Samedi 5 mars 6 05 /03 /Mars 20:21

Chers lectrices et lecteurs . . . 

Vous pensiez que la vie de Catherine, sa fille et sa soeur ne pouvait pas être plus mouvementée?

 . . . Lourde erreur!

. . . la suite de leurs aventures!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Housewives at play - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 22:49

Nous faisions du triolisme depuis quelques années lorsque j’eue envie de faire une pause dans nos relations, que nous n’enchainions pas certes de façon effrénée, préférant la qualité à la quantité, mais j’avais besoin de souffler.

Bien sûr, Paul ne le voyait pas de la même manière, prétextant que sa propre libido allait en souffrir. Il était, c’est vrai, obsédé de me voir baiser sans retenue dans les bras d’autres hommes. A la fois pour l’ennuyer un peu et aussi lui faire comprendre que j’en avais assez pour un temps, je décidais de rencontrer un homme sans sa présence et ainsi le priver de son plaisir.  L’occasion m’en fut donnée lorsque Paul partit pour quinze jours en voyage d’affaires. Depuis quelques semaines il me proposait de rencontrer Jean, un homme qu’il avait connu je ne sais pas trop comment  lors d’un de ses voyages à Paris. Bien sur j’avais refusé, et  c’est sur un énième  refus que Paul partit en voyage. Il avait donné à Jean notre numéro de téléphone, ce que j’ignorai. Ce dernier se mit alors à m’appeler tous les jours, me proposant de venir me voir à Lyon. Il savait que Paul était parti et que j’étais seule en journée. Il se proposait de venir passer une journée entière avec moi, me disant qu’il était obsédé par les photos de moi que lui avait montré Paul. Je tenais là mon occasion, j’allais priver Paul de son plaisir favori. Après plusieurs jours d’appels téléphoniques, je finis par céder.

Je récupérai Jean à La Part Dieu  à l’un des premiers TGV en provenance de Paris vers 9h, après avoir déposé mes enfants au collège. Nous avions convenu d’un signe de reconnaissance car je ne le connaissais absolument pas. Avec du recul, je me suis dit que j’avais pris quelques risques, car d’où venait il, qui était il, je n’en savais strictement rien. Jean avait l’allure d’un joueur de rugby, 1,9 mètre, une corpulence massive et musclé, un homme relativement bien. Après avoir pris un café dans le hall de la gare et bavardé de choses et d’autres, il me dit « allons chez toi, nous serons plus à l’aise, je sais que Paul est loin et tu sais pourquoi je suis venu ». C’est ainsi qu’en toute inconscience je l’amenai  chez nous sur les hauteurs de Lyon. Arrivés, Jean se fis tout de suite très entreprenant. Après avoir élégamment enlevé mon manteau, il se mit à me caresser le cou, les joues, les cheveux.

« Paul m’a montré des photos intimes de toi, j’aimerai bien voir la réalité, je te trouve belle et désirable » me dit il. En quelques mouvements il me déshabilla entièrement. J’étais maintenant nue devant lui. Il me fit assoir sur un fauteuil, les cuisses en appui sur les accoudoirs. Lentement il se déshabilla à son tour, sans cesser de me regarder. Il se mit à genoux et commença lentement à me lécher le clitoris. Malgré mon appréhension, je me surpris à couler rapidement. Quelques instants après je jouie avec des râles de plaisir. Il me prit alors et c’est une masse de chair qui s’abattit sur moi, il avait une verge courte mais épaisse. Il me souleva du fauteuil, me porta sur la table du séjour, me posa sur le dos et me saillit ainsi rapidement, en hurlant son plaisir.

La fin de matinée fut plus calme. Il me demanda néanmoins de rester nue avec seulement un pull sur mes épaules  « Je veux ton petit cul à disposition » dit-il. Nous avons déjeuné ainsi sur la terrasse. Alors que je débarrassais la table, il me prit par les épaules et de nouveau m’amena sur la table du séjour. Là il me prit de nouveau, plus calmement cette fois, prenant son temps, enfonçant à chaque coup de rein sa verge au plus profond de mon sexe, alternant des mouvements rapides avec des mouvements lents. Il a jouie seul cette fois, mais j’avoue avoir été sur le point de jouir également, ce qui assez rare pour moi dans cette position, étant qui plus est très californienne.

Nous avons passé le reste de la journée à discuter. Il devait reprendre son TGV vers 18h avant que je récupère mes enfants au collège. Vers 16h il me dit « j’ai envie de toi encore, allons dans votre chambre ». Pour moi la chambre conjugale est un sanctuaire, je lui fis comprendre que je n’avais pas trop envie d’y aller. Il insista, me bousculant un peu au passage, gentiment mais avec fermeté. « Montres moi comment Paul te baise ». Je m’exécutai à contre cœur me mettant à quatre pattes sur le lit, les fesses bien offertes. « Tu es magnifique ainsi » dit il tout en  léchant la raie des fesses. Je sentais sa langue qui allait de mon anus à mon vagin, rentrant dans chacun avec délice. Il n’en fallut pas plus pour que je jouisse de nouveau. Il me retourna alors sur le dos, pris mes cuisses entre ses bras et s’abattit sur moi, me pénétrant avec violence et impétuosité. « Vide moi, prends tout » c’est ainsi qu’il se répandit pour la troisième fois en moi en ayant pris soin de mettre une capote.

Je le raccompagnais à la gare repue de plaisir. »La prochaine fois tu viens à Paris seule, je t’offre un weekend end »dit-il. « Pourquoi pas » répondis je.

Lorsque Paul est rentré de son voyage quelques jours plus tard, je lui racontai ma journée avec Jean, dans le moindre détail, pour bien sur le faire râler de ne pas avoir été là. Sa réaction fut contraire à celle que j’escomptais, il me demanda encore plus de détails, disant à chaque fois « Tu es une parfaite petite salope ». Cela se termina dans notre chambre ou il me prit en levrette les fesses écartées. « Je reprends possession de mon territoire, tu es à moi » dit il. Je compris à ces derniers mots, qu’il avait malgré tout été marqué dans sa fierté de mâle. Finalement j’avais atteint mon but. Cela ne changea rien à la suite, j’ai continué à me faire baiser devant lui pour son plus grand plaisir et le mien…

« Tu iras à ce weekend end avec lui ?» dit-il.

 

« Je n’en sais rien, peut être» dis-je, mais c’est une autre histoire.

 

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Confessions de Virginie - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 22:23

Quelques semaines après notre weekend  à Megève,  je retrouvais la carte qu’avait glissée le gynécologue dans l’enveloppe remise par Serge. Son cabinet se trouvait dans le centre de Lyon. Il se trouve que j’avais besoin de me faire examiner à ce moment. Je pris rendez vous et me retrouvais quelque jours après dans sa salle d’attente. Il était 18h, j’étais apparemment la dernière patiente.

 

Il me fit entrer dans son cabinet en me disant « Bonjour Virginie comment allez vous depuis que nous nous sommes vus » Je reconnus effectivement un des hommes qui avait participé à la soirée de Megève. Il était de corpulence moyenne avec un peu d’embonpoint, bel homme.

 

« Déshabillez-vous, je vais vous examiner »  me dit il de façon très professionnelle. Je me retrouvai bientôt les cuisses écartée sur son fauteuil d’osculation. Le début de l’examen se déroula normalement. Palpation des seins, examen vaginal, prélèvement d’un frottis vaginal, un examen gynécologique normal. A un seul moment, alors qu’il examinait mon vagin après l’avoir écarté avec un spéculum, il émit une réflexion équivoque du genre « un bel intérieur » «  de beaux festons bien irrigués, de belles lèvres ourlées à souhait ».

 

J’allais descendre du fauteuil lorsqu’il me dit « attendez Virginie, je voudrai procéder à un examen complémentaire ».

 

Je remarquais alors qu’il avait enlevé ses gants d’examen. Il se mit à me palper de nouveau les seins, différemment cette fois, s’attardant sur les auréoles, ce qui eu pour effet de faire dresser mes tétons. Puis ses  mains descendirent vers mon ventre, qu’il se mit à caresser. Bientôt il se pencha vers moi et pris le bout de mes seins alternant l’un l’autre entre ses lèvres. Une de ses mains était au niveau de mon sexe, caressant mon clitoris. Je me sentis envahie d’une douce torpeur, je me laissais aller, sachant pertinemment ce qui allait arriver.

 

Au bout de quelques minutes il me dit après avoir introduit ses doigts dans mon sexe « Vous coulez, c’est bien, vous êtes très réceptive, j’avais déjà constaté ça lors de notre dernière rencontre ». Il continua à me caresser ainsi plusieurs minutes, bientôt n’y tenant plus, ma respiration se fit plus haletante, une chaleur envahie mon bas ventre, je l’entends me dire  «  Laissez vous aller, Virginie, c’est bien, respirez doucement vous allez jouir, je vais vous amener au plaisir ». J’ai brusquement éclaté de plaisir entre ses doigts, le mouillant abondamment de jets saccadés de cyprine

 

 « Quelle surprise, une femme fontaine, vous êtes magnifique, un beau cadeau que vous me faîte ». Je connaissais ce terme de femme fontaine sans  me douter que j’en étais une. Il remonta alors ses doigts imprégnés de mes odeurs vers ma bouche et mes lèvres, qu’il se mit à caresser, introduisant un puis deux doigts dans ma bouche, bientôt je sentis mes lèvres se gonfler. Je me mis à le mordiller et je l’entends encore me dire à l’oreille « je n’y ai pas encore gouté, j’ai envie de votre bouche ». Il enleva sa blouse, enleva ses sous-vêtements, se mis en appui sur une petite estrade et me présenta sa verge déjà raide de désirs.

 

Je la pris entre mes lèvres et me mis à le sucer. Il n’avait pas mis de préservatif, je lui fis remarquer, à quoi il répondit que je n’avais aucune crainte à avoir, il était sain. Maintenant il me tenait la tête et enfonçais au plus profond de ma gorge sa verge tumescente. Bientôt il éjacula dans un cri qui tenait du râle, je sentis alors couler  sa laitance abondante en plusieurs jets au fond de moi.

 

Il se retira  et me dis me tutoyant pour la première fois « tu es parfaite, il faudra bien prendre soin à conserver tous ces orifices en état à l’avenir».

 

Alors que je rhabillais, il me dit « j’aimerai vous revoir dans quinze jours à la même heure, je voudrais faire si vous le permettez une expérience avec vous». Je lui demandais de quoi s’agissait-il. « Vous verrez le moment venu, mais n’ayez crainte, vous ne serez pas déçue ».

 

« Vous viendrez ? », demanda-t-il.

 

 

« Oui » fut ma réponse. 

 

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Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 22:15

Nous faisions du triolisme depuis 3 ou 4 ans lorsque Paul me proposa une expérience : m’offrir à plusieurs hommes, à tour de rôle, dans un hôtel, les yeux bandés. Je refusai dans un premier temps. Cette expérience me faisait peur, bien que cela faisait partie des fantasmes que j’avais eu la malencontreuse idée de dévoiler à Paul. Paul finalement sut me convaincre. Il serait dans une chambre à coté et il me garantissait que les partenaires sélectionnés par ses soins seraient tous des « Gentlemen » avec du savoir vivre et du tact. C’est ainsi que je me retrouvai un soir dans un hôtel chic de Lyon, les yeux bandés. Paul avait choisi une suite ce qui lui permettait de rester a proximité.

J’étais nue sur le lit, les yeux bandés par un foulard noir, je ne voyais strictement rien, à peine une lueur. Je restai ainsi quelques minutes quand j’entendis la porte du vestibule de la chambre  s’ouvrir.

Je sentis l’homme s’assoir sur le bord du lit à mes cotés. Il se mit à me caresser doucement, avec beaucoup de tact et de douceur. Il me força à m’allonger sur le dos et à ouvrir mes cuisses. Je sentais ses mains qui remontaient le long de mes mollets, s’attardaient à l’intérieur de mes cuisses. .Doucement il écarta les lèvres de ma chatte, il se mit à me lécher tandis qu’il introduisait dans mon vagin quatre doigts, deux par main en les écartant en forme de V.

Au bout de plusieurs minutes je sentis monter en moi un désir violent. Mon clitoris était gonflé, prêt à éclater de plaisir. Je me surpris à écarter encore plus mes cuisses. Bientôt je me répandis sans le vouloir, je suis parfois femme fontaine. Quelques instants plus tard je me mis à jouir par saccade sans aucune retenue.

Après quelques minutes de répit, l’homme me fit mettre alors en levrette, les jambes au bord du lit. Je sentis de nouveau sa langue qui allait de mon anus à ma chatte, tout en buvant la liqueur de plaisir qui continuait à s’écouler de mon sexe. Je sentis sa verge qui glissait de ma chatte à mon anus, s’attardant devant l’un, devant l’autre ne sachant quel orifice pénétrer. Finalement il pénétra ma chatte, d’abord avec lenteur, puis de plus en plus vite. Dans le même temps il me caressait le clitoris et  mordillait ma nuque. Je sentais en moi monter une nouvelle vague de plaisir. De son côté il s’était relevé et me pénétrait de toute sa puissance. Je crois bien que nous avons joui en même temps. J’avoue avoir été sur le moment un peu honteuse de m’être abandonné ainsi à un inconnu dont je ne voyais pas le visage, mais dont je ne connaissais pas la voix car il était resté silencieux tout au long. C’est ainsi d’ailleurs qu’il quitta la chambre sans un mot sans un souffle après m’avoir embrassé tendrement.

Le temps me parut long avant l’entrée du deuxième partenaire. Je compris très vite qu’il n’était pas seul. Il y avait cette fois deux hommes .A leurs paroles, ils me semblèrent jeunes. Je les entendis dire  « Elle est  belle », ajoutant crument « On se la fait tout les deux en même temps ». C’est ainsi que très vite après avoir été prise en levrette par chacun d’entre eux à tour de rôle, je me retrouvai accroupie sur le premier qui sans ménagement, après seulement avoir humecté mon anus avec son doigt et sa salive,  me sodomisa. Je poussais un cri de douleur, car je n’aime pas trop cette pratique du moins sans préparation. Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle que le second pénétrait mon vagin. J’étais prise par mes deux orifices. Ils se mirent a s’activer à l’unisson et rapidement ils ont joui en moi. J’entendrai toujours  l’un d’entre eux  dire en quittant la chambre et en me tapant les fesses « Putain tu es bonne ». J’avoue avoir été soulagée de leur départ. Je n’ai pas aimé cette relation qui avait quelque chose de bestial et leur langage vulgaire.

Je restais de nouveau seule plusieurs minutes, je n’avais plus la notion du temps. La porte s’ouvrit, je déduisis au bruit qu’ils étaient de nouveau deux. J’entends l’un dire a l’autre « Attends, je m’installe, j’en ai pour 5 minutes, prépares toi ». Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait. Cinq minutes plus tard, l’un des hommes commença à me caresser le corps. J’étais alors étendue nue sur le lit. Celui qui avait parlé jusqu’alors dit « Tu la prends dans toute les positions, lorsque je te dis de ne plus bouger, tu ne bouges plus, allez  . . . commence ».

L’homme qui avait commencé à me caresser me fit mettre en levrette. Il me pénétra immédiatement. Il avait une verge énorme pour ne pas dire démesurée. J’entends alors le second dire  « Ne bouge plus, putain c’est beau un black avec une blonde ». A ce moment précis j’ai compris que l’homme qui me pénétrait était un homme de couleur, cela n’était pas pour me déplaire. Au même moment il y eu comme un éclair dans la chambre. Malgré mon bandeau j’avais pu le percevoir. Je compris alors qu’il prenait des photos. Je me hasardais à poser une question « Que ferez vous avec ces photos » Celui qui était le photographe me répondis brutalement  « C’est pour ton mari et pour nous, allez remue ton cul, tu es magnifique » La séance continua durant plus d’une heure Je dus prendre toute les poses possibles et inimaginables. Mon partenaire était très doux, même attentionné à mon égard. Le photographe lui demanda de me goder, ce qu’il fit avec beaucoup de délicatesse. A la fin de la séance il lui dit « Allez baise la à fond et termine». L’homme s’activa avec force, si bien qu’au bout de quelques minutes je me mis a jouir une nouvelle fois. J’entends encore le photographe dire  « Superbe, je la prends en pleine jouissance ».

J’étais honteuse de me donner ainsi en spectacle, de m’exhiber, mais le plaisir qui parcourait mon bas ventre était plus fort que tout, je pris a pleine mains les fesses de mon partenaire pour qu’il jouisse au plus profond de moi.

 

C’est ainsi que se termina cette expérience. Nous sommes restés Paul et moi  à l’hôtel pour la nuit. Paul me fit l’amour divinement bien. 

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Samedi 20 février 6 20 /02 /Fév 21:40

(Récit vécu par Paul mon mari)

 

Nous sommes arrivés à Megève vendredi soir. Nous avions une chambre réservée à la sortie du village dans un hôtel de bonne classe.  Nous étions prévus de faire du ski samedi dans la journée, mais le temps était exécrable samedi matin, finalement nous avons flemmardé et fait du shopping. Vers 17 h, Serge nous a téléphoné pour nous dire qu’il viendrait nous chercher à l’hôtel à 20 h précise. En effet, nous avions trouvé un arrangement avec Serge au sujet de ma présence. Il était d’accord pour que j’assiste à la soirée mais avec discrétion et uniquement en tant que voyeur, en clair pas question de participer à quoi que ce soit. De toute façon Virginie avait bien  précisé qu’elle ne viendrait pas sans moi.

 

 

A 20 h, Serge est venu nous prendre à l’hôtel. Il nous a conduit dans un superbe chalet sur les hauteurs de Megève qui serait d’ailleurs difficile de retrouver tant le chemin nous a paru long et tortueux. Il y avait dans le chalet 6 hommes entre 40 et 50 ans  et une autre femme très belle, une brune, trente ans à peine, 1,70 mètre environ, les cheveux longs et une poitrine magnifique.

 

Après quelques présentations d’usage (2 des hommes étaient des avocats, un autre était médecin, les 3 autres n’ont pas décliné leur profession), nous sommes passés dans un magnifique salon tout en bois ou brulait un feu de bois dans une cheminée de marbre rouge. Le salon était immense, il y avait plusieurs fauteuils et dans un coin un buffet était dressé avec de quoi se nourrir. Il y avait champagne a volonté .Vers 22 h, les 2 avocats ont commencé a entreprendre la jeune femme brune et 2 autres ont commencé également avec Virginie, caresses sur les cuisses, baisers dans le cou. Virginie était vêtue d’un tailleur noir et elle portait des escarpins à talons hauts très classes.  Les 2 autres hommes,  qui s’étaient jusqu’alors comportés en spectateurs, ont bientôt rejoint les autres. Je me suis alors absenté quelques instants.

 

Lorsque je suis revenu il n’y avait plus dans le salon que Serge et 2 des hommes. J’ai continué à boire et manger comme si rien n’était. Au bout d’une demi-heure Serge m’a fait signe de le suivre. Nous sommes allés dans une chambre, quelle ne fut pas ma surprise en voyant qu’il y avait un miroir sans teint, on pouvait observer ce qui se passait dans les 2 chambres contigües.  Virginie était nue, 2 des hommes avec elle. L’un l’avait déjà pénétrée, l’autre lui caressait les seins. Dans l’autre chambre la scène était semblable, la jeune brune était avec 3 des autres hommes. J’ai regardé cela avec beaucoup de plaisir.

 

Alors que je m’étais absenté 10 minutes pour me rafraichir, Serge est venu de nouveau m’appeler.

 

« Viens voir  Virginie ».

 

Cette fois Virginie était avec 4 hommes. Accroupie sur le lit, le cul bien offert, chacun la prenait à tour de rôle. Après une saillie de quelques minutes, celui qui était en elle se retirait et un autre prenait le relais.

 

« Tu vois elle est complètement libérée », me dit Serge. Durant ces saillies à répétition, Virginie a jouie plusieurs fois. Une fois elle a été prise en sandwich, là aussi ses partenaires changeant à tour de rôle. Serge nous a raccompagnés à l’hôtel vers 3h du matin.

 

Alors que nous quittions la voiture il tendit une enveloppe à Virginie : «  tiens c’est pour ta prestation », dit il et il ajouta « je te réserve pour une autre soirée peut être sur Lyon cette fois, tu as été à la hauteur ».

 

Arrivé dans notre chambre j’ai demandé à Virginie ce qu’il y avait dans l’enveloppe. Mille cinq cent euros me dit-elle. Ce n’était pas tout, l’un des hommes le médecin qui était en réalité un gynécologue, lui avait glissé sa carte pour une « consultation privée » à son cabinet sur Lyon .Je ne pus m’empêcher de baiser Virginie, j’en avais très envie, tout le long de notre accouplement je l’ai traitée de pute «  tu es une vraie pute » à quoi elle répondait par des « oui j’aime ça » sans complexes. Nous avons quittés Megève dimanche matin.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Confessions de Virginie - Communauté : Soumissions féminines
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