Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 22:51

Quinze jours après avoir rencontré Serge, Paul me dit : « Demain nous sommes invités par Serge à son chalet de Megève, nous partirons dans l’après midi, il nous attend vers 10 h ».

J’avais un peu oublié que nous nous étions quittés la dessus lors de notre rencontre sur Lyon. J’étais inquiète et pour tout dire pas rassurée du tout. J’en parlai  à Paul qui me rassura en disant que toute façon il resterait prés de moi. Je lui fis remarquer que cela n’avait pas été le cas à Lyon.

Je me souviens bien de l’époque, nous étions fin juin début juillet. Après avoir pris possession de notre chambre d’hôtel à Megève, nous sommes allés au restaurant et vers 10 h nous sommes partis vers le chalet de Serge. Nous avons fait quelques kilomètres sur une route sinueuse avant d’arriver devant un magnifique chalet en bois. Serge nous attendait devant le seuil de la porte. Contrairement à la première fois il fut plus chaleureux dans son accueil, en m’embrassant et en me disant quelques mots .Nous sommes montés au premier étage du chalet qui manifestement devait en compter deux.

La pièce dans laquelle nous étions donnait sur une terrasse face au Massif du Mont Blanc. Serge s’est assis dans un fauteuil, cela ma rappelait la première scène à Lyon. Nous étions Paul et moi face à lui, derrière nous la terrasse.

« Déshabille-la », dit-il à Paul.

Bientôt je me retrouvais nue face à Serge comme à Lyon. Paul m’amena alors sur la terrasse et les mains en appui sur la balustrade, il me fit me cambrer fortement en arrière. J’entends encore Serge dire toujours la même chose.

« Quel cul elle a cette salope !».

Serge me dit alors : « viens ici, assis toi dans le fauteuil, mets tes jambes en appui sur les accoudoirs ». J’avais honte, j’étais complètement ouverte, écartelée, mon intimité offerte.

« Tiens dit-il, prend ce godemichet et caresses toi ».

Paul avait disparu sur la terrasse, j’étais de nouveau seule avec Serge.

« Caresses toi » répéta-t-il.

Je m’exécutai avec honte. Au bout d’un moment il me tendit un nouveau godemichet beaucoup plus gros, et l’introduisit lui-même dans mon vagin. Je me souviens de ses mots crus.

« Tu avale bien, continue ».

Il était face à moi, son regard allait de mon sexe à mes yeux. Il me dit en me regardant droit dans les yeux comme pour me soumettre : « tu aimes n’est-ce pas, dis que tu aimes, mais je suis sur que tu préfères la réalité ».

« Mais tu coules, c’est bien tu es lubrifiée comme il faut », ajouta-t-il.

J’avais de plus en plus honte, mais j’avais peine à retenir la sensation de plaisir qui envahissait mon bas ventre. Au bout de quelques minutes, il s’écarta et dans l’encadrement de la porte fenêtre qui donnait sur la terrasse apparurent deux hommes. Ils étaient nus, l’un devait avoir une cinquantaine d’année, l’autre semblait beaucoup plus jeune.

« Avancez», dit Serge, « elle est à vous, je vous la laisse, prenez bien du plaisir ».

J’étais paniquée, d’autant que je ne savais pas ou était passé Paul qui semblait avoir quitté la pièce depuis longtemps .Le plus âgé s’avança vers moi, il me regarda droit dans les yeux et sans me quitter du regard il enleva le godemichet que j’avais dans le sexe et se mit a me caresser le clitoris. Le plus jeune  vint se placer derrière moi, il me fit pencher la tête sur le dos du fauteuil et mit sa verge à l’aplomb de ma bouche. J’ouvris la bouche et je lui pris la verge entre mes lèvres. Bientôt je plus âgé se fit entreprenant. J’étais comme tétanisée, de toute façon je devais maintenant assurer pleinement la chose pour laquelle j’étais soumise .Il me pénétra d’abord doucement puis de plus en plus violemment. Au bout de cinq minutes je crois, j’avoue que je n’avais plus la notion du temps, ils me firent mettre a genoux sur le fauteuil, la poitrine en appui sur le dos de ce dernier, les fesses cambrées en arrière .Ils me prirent alors a tour de rôle alternant l’un et l’autre sans un mot les pénétrations. Alors que mon esprit repoussait cette possibilité, je me suis mise à jouir, cela les excita encore plus, et ils continuèrent encore a me saillir comme une chienne. Au bout de combien de temps je ne sais plus, le plus âgé se retira et éjacula sur mes fesses, le plus jeune qui était venu se replacer devant moi, éjacula sur mon visage. J’étais à la fois comblée par la jouissance qui brulait encore mon bas ventre, mais j’avais honte, honte de moi-même, honte de tout, et de se que je faisais par amour pour Paul, et je lui en voulais énormément.

Serge réapparut alors, avec Paul et demanda aux deux hommes : « alors comment cela s’est il passé, comment la trouvez vous ».

J’entends toujours le plus âgé dire : « elle est bonne on peut sans problème l’intégrer dans le réseau, elle a des qualités, elle aura des clients  ».

« L’avez-vous sodomisée », demanda Serge.

« Non », répondit le plus jeune.

« On l’essaye maintenant ? », demanda Serge.

J’avais l’impression d’être un objet asservi à la volonté de ces hommes.

« On verra cela plus tard », répondit Paul qui pour la première fois prenait la parole.

Nous sommes rentrés Paul et moi à notre hôtel. J’ai demandé à Paul se qu’il comptait faire par la suite et quel était ce réseau dont avait parlé l’un des hommes. Il me répondit, qu’il s’agissait comme nous l’avait déjà dit Serge d’un réseau d’hommes d’affaire, de médecins, d’avocats, qui aimaient prendre du bon temps avec des femmes mariées, car les risques étaient limités.

Il ajouta « tu seras comme une pute de luxe occasionnelle, et cela te rapportera des avantages en nature, tu n’auras pas a le regretter».

« Ils t’inviteront au restaurant, dans des hôtels de luxe , tu seras là pour leur tenir compagnie et parfois leur donner du plaisir , et ça tu sais faire ».

« Et si je refuse », ai-je demandé.

Paul répondit : « Tu peux refuser, tu es libre, c’est toi qui décide ». Il ajouta : « Mais je sais que tu vas le faire, c’est ta nature ».

« Dans quelques semaines Serge va t’introduire dans son réseau, ensuite tu seras autonome » ajouta t il.  « Tu es d’accord ? » demanda t-il.

Je m’entends répondre « oui si tu le veux ».

« Je le veux » dit-il.

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Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 21:52

Quelques semaines après ma rencontre au cours de laquelle un partenaire pour la première fois, me paya pour « mes services », Paul me dit « Ce soir nous allons à Lyon, nous sommes invités par un ami ». Je savais ce que cela voulait dire, nous allions faire une rencontre avec un nouveau partenaire pour une soirée à trois. Depuis mon aventure au cours de laquelle je m’étais fait payer pour « mes services », Paul n’était plus le même. Il était très excité me demandant à chacun de nos rapports comment les choses c’était passées, si j’avais pris du plaisir, ce que je ressentais à l’idée de me faire payer. Je ne lui répondais pas car au fond de moi je souhaitais oublier ce moment de folie.

Notre rencontre avec celui que j’appellerai Serge eut lieu à l’hôtel des Loges un superbe quatre étoiles situé dans le vieux quartier St Jean de Lyon. Nous trouvâmes Serge au bar de l’hôtel. Les présentations faîtes, Serge ne m’adressa plus la parole, la discussion se déroulant entre Paul et lui uniquement. Je me souviens très bien de ses paroles. J’avais l’impression irréelle d’assister à un film dont j’étais l’objet, sans pouvoir intervenir. Au début je pris cela pour un jeu initiatique à notre rencontre, sans lendemain. La suite des événements quelques semaines plus tard allait me prouver le contraire. Après quelques paroles d’usage, Serge se fit plus précis.

« Tu veux faire de Virginie une vraie pute de luxe ? ».

« Oui c’est cela » répondit Paul.

« J’ai un réseau d’amis important, des hommes d’affaires, des avocats, des médecins, qui aiment rencontrer de façon occasionnelle des femmes mariées, je pourrai sans problème la présenter à ce cercle dans lequel elle trouvera des clients », poursuivit Serge.

« Bien sur ils savent se montrer généreux et elle n’aura pas à se plaindre, mais il lui faudra être souple et docile », continua t il.

« Je souhaiterais toutefois l’essayer pour tester ses capacités, tu n’y vois pas d’inconvénients » demanda t-il à Paul.

« Non c’est normal » répondit Paul.

Serge avait loué une chambre dans l’hôtel, c’est ainsi qu’après une petite heure de discussion nous primes la direction de sa chambre .Une fois dans la chambre, Paul entreprit de me déshabiller. Je me souviens très bien de la scène, Serge était assis dans un fauteuil, immobile. Paul ôta mes vêtements doucement me faisant tourner sur moi-même à chaque fois qu’il enlevait un de mes vêtements. Bientôt je fus nue devant Serge.

« Fais la se cambrer »

« Quel cul », ne cessait de répéter Serge.

J’étais exhibée, montrée , écartée , Serge tournait autour de moi comme un fauve en rut .

« Je voudrais voir comment elle fonctionne cette salope », dit-il à la fin.

Paul me coucha alors sur le lit, écarta mes cuisses et se mit à me lécher délicatement le clitoris et la vulve comme il sait si bien le faire et comme il le fait à chaque fois  que nous faisons une soirée à trois. Bientôt je sentis mon clitoris se gonfler et une douce chaleur envahir mon bas ventre. Paul continuait de me lécher avec sa langue titillant tour à tour mon clitoris, mon anus. Au bout de quelques minutes je me mis a jouir, en poussant des râles de plaisir.

Paul quitta mon intimité et dit alors à Serge : « Elle est à toi maintenant, je vous attends au bar d’ici une heure».

Il quitta la chambre, j’étais seule avec Serge.

C’était la première fois que Paul procédait ainsi, d’habitude il restait et continuait a me caresser pendant que notre  partenaire d’un soir me pénétrait. J’étais troublée de me retrouver avec cet homme dans cette immense chambre d’hôtel.

« Viens me caresser » dit-il.

C’était les premiers mots  qu’il m’adressait depuis le début de la soirée. Je me mis a genoux entre ses jambes et commençai à le caresser au travers son pantalon. Je sentais sous le tissu son membre qui grossissait.

« Prends la, salope », dit-il crument.

J’ouvris sa braguette et dégageais la verge de son slip. Elle était de belle taille. Je le décalottais doucement et mis dans ma bouche toute sa hampe.  Alors que j’effectuais de lents va et viens je me mis a titiller son gland avec ma langue, l’enroulant, l’aspirant .

« Quelle belle bouche tu as », dit-il.

« Tu es faite pour ça salope ».

Au bout de quelques minutes, Serge me dit : « Vas te mettre sur lit en position, je te veux en levrette ».

Je me mis sur le bord du lit les fesses bien cambrées, j’entends encore Serge dire  « Quel cul, vraiment tu es aussi belle que sur les photos que m’a envoyées Paul, cambre toi encore plus, on commence par quoi ma belle ». Je sentais sa verge qui allait de mon anus à ma vulve. Je lui fis remarquer que j’étais étroite de l’anus et qu’il devait me préparer si tel était son désir premier. Il partit quelques instants dans la salle de bain, et revint avec un onguent qu’il appliqua avec douceur sur l’entrée de mon intimité. Il se mit à me doigter, d’abord un doigt puis deux, lentement mais surement je sentais mon anus s’ouvrir. En même temps il caressait mon clitoris qui de nouveau se mit à enfler de plaisir. Je sentis de nouveau sa verge à l’entrée de mon anus. Il me prit par les épaules et violemment s’introduisit en moi, en poussant un rugissement de plaisir. Je poussai un cri de douleur, cela ne l’arrêta pas. Il se mit a faire des vas et viens dans le creux de mes fesses de plus en plus rapidement tout en  claquant mes fesses. A un instant sa verge sortit de mon anus et glissa vers ma vulve, qu’il pénétra également. Il alterna alors anus et vulve tout en me caressant le clitoris.

« Tu aimes salope » dit-il.

Je ne répondais pas.

« Tu aimes ? », demanda-t-il de nouveau.

«  Je vais t’en donner salope »

Petit à petit la douleur aigüe faisait place à une chaude pression qui envahissait tout mon bas ventre. Je me mis à jouir sans retenu. Il se retira, enleva son préservatif, et éjacula à son tour sur mes fesses. J’étais partagée entre un sentiment de honte et de plénitude.

« C’est bien pour un début », dit il sans plus de commentaire.

Il  remit son pantalon  et me dit en quittant la chambre.

« On se retrouve au bar ».

Après avoir fait un brin de toilette, je me rhabillais et retrouvais Paul et Serge en grande discussion au bar. Serge fit de nouveau comme si je n’existais pas.

« Elle a des dispositions, elle est faîte pour ça, je pense que mes amis seront ravis de la découvrir. Il faudra la dilater un peu car elle a l’anus trop étroit, je connais un médecin dont c’est la spécialité, je la lui présenterai » « Je te propose de me l’amener dans quinze jours à mon chalet de Megève, je voudrais l’éprouver une dernière fois, lui faire subir une initiation » poursuivit-il.

« C’est d’accord »  répondit Paul.

Serge nous quitta sur ces paroles après avoir salué Paul, sans toujours m’adresser le moindre mot. Nous regagnâmes notre maison. Sur le chemin du retour je n’ai pas dit un mot à Paul. J’étais partagée entre plusieurs sentiments contradictoires. La honte de moi-même, j’en voulais aussi à Paul de m’entrainer dans ces aventures, et en même temps j’avais envie d’aller plus loin, à la fois par bravade vis-à-vis de Paul et aussi pour me prouver que j’étais capable de cela. J’aurai pu à ce moment dire à Paul : Stop j’arrête. En effet il avait été convenu entre nous depuis bien longtemps que j’avais à tout moment la possibilité et le choix de dire « Stop j’arrête ». Ce soir là je n’ai rien dit. Pourquoi je n’en sais rien,  probablement pour les raisons que j’ai évoquées avant. 

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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 21:49

Nous avons commencé Paul et moi a faire de l’échangisme il y a 20 ans, j’avais alors 34 ans, puis par gout commun nous sommes passés au triolisme.

 

Je préfère me retrouver seule avec deux hommes rien que pour moi seule, quant à Paul il aime me voir dans les bras d’un autre en train de jouir .Je ne me souviens plus comment Paul avait trouvé cet  hôtelier il y a quelques années. Peut-être par Internet ou par annonce. Un jour Paul me dit «  nous sommes invités ce weekend end par Claude, il possède une auberge sur les hauteurs de  Valence, nous pourrons y faire de la randonnée ». Je savais pertinemment que nous n’y allions pas que pour faire de la randonnée. Nous sommes arrivés un vendredi soir. Il y avait peu de monde au restaurant. Claude un homme de 50 ans nous accueillit et se présenta comme le gérant et le cuisinier  de l’hôtel. On nous servit un excellent repas. Vers 11h du soir alors qu’il  n’y avait plus personne dans la salle, Claude nous rejoignit. Il apporta une bouteille de champagne et nous avons commencé a discuter de tout et de rien.  Une demi-heure plus tard la serveuse et l’employé aux cuisines quittèrent le restaurant. Claude nous indiqua qu’il n’y avait personne a l’hôtel et se proposa de nous faire visiter les chambres situées dans une tour. Son regard était de plus en plus pressant sur moi et sans équivoque.

 

Paul à mi-voix me fit comprendre que Claude voulait me voir plus intimement. Je m’en étais douté un peu ! Il me fit passer devant lui pour monter dans la tour ou se trouvaient les chambres. L’escalier était en colimaçon, je m’en souviens très bien. J’étais la première, Claude me suivait, Paul fermait la marche .Alors que nous montions les marches, je sentais a travers ma robe le regard concupiscent de Claude. Nous sommes arrivés à l’une des chambres, Claude me dit alors « déshabille toi ma belle ». Paul me fit comprendre que je devais m’exécuter. Après m’avoir un peu caressée, Paul me lécha longuement comme il le fait à chaque fois que nous rencontrons un partenaire, très vite je me mis à jouir. Il me retourna et me fit m’accroupir sur le lit.

 

« Elle est a toi maintenant dit Paul à Claude ». Claude me regarda longuement dans les yeux puis il se mit derrière moi et commença a me fouiller d’abord la chatte puis l’anus.  Je ruisselais encore du plaisir que m’avait donné Paul. « Elle est bien préparée », dit-il. Il me pénétra alors violemment, je sentais en moi sa verge de belle taille .A chaque coup de boutoir, je sentais son ventre qui venait s’écraser contre mes fesses .Il haletait, tout en disant, à la manière d’un disque rayé « Putain qu’elle est bonne » Au bout de quelques minutes, il se retira, enleva son préservatif et se masturba pour éjaculer sur mes fesses .Je l’entendais dire « Quel cul, quel cul ! ».

 

Après avoir passé une nuit courte mais au sommeil réparateur, Claude vint de nouveau me retrouver dans la chambre, alors que Paul était déjà descendu prendre son petit déjeuner. « Va ma belle on y va », dit-il un peu vulgairement. Il me présenta sa verge et me fit comprendre que je devais le sucer. Je le fis avec application, engloutissant tour à tour sa verge, puis ses couilles. Il bandait comme un taureau en rut. Je m’appliquais à monter et descendre ma langue le long de sa hampe, m’attardant sur son gland.  Il me fit mettre en levrette et me baisa de nouveau cette fois avec plus d’application, au moment d’éjaculer je l’entends encore dire « je me vide les couilles en toi salope ».

 

Nous sommes repartis le samedi soir après le repas. Alors que nous roulions je demandais à Paul ce qu’il avait payé. « Rien « me dit-il « C’est toi qui a payé avec ton corps, d’ailleurs notre ami a été satisfait de tes services et il m’a chargé de te donner cela » dit il en me tendant, je ne me souvient plus du montant.

 

Je crois avoir eu à ce moment  une bouffée de chaleur, j’étais honteuse et j’en voulais à Paul.  « J’ai honte et je te hais » je crois lui avoir répondu.

 

Alors que nous arrivions à quelques kilomètres de chez nous, Paul s’est arrêté dans un chemin a l’abri des regards et des phares de voitures.  « Descend » me dit-il, il me fit m’allonger face contre le capot, souleva ma robe, je sentis ses doigts qui me fouillaient, je mouillais. « Tu mouille salope » me dit il « Tu as aimé, tu vois tu es une vraie pute maintenant  » Il m’a prise violemment, nous avons joui tout les deux en même temps.

 

 

Par la suite nous avons continué a rencontrer d’autres partenaires masculins jusqu’à ce que l’un d’entre eux  souhaita me revoir seule. Je lui avais laissé mon numéro de portable. Lorsqu’il me rappela quelques semaines plus tard j’hésitai à le rencontrer, j’en parlai à Paul qui bien sur  m’encouragea à le faire.  Je ne sais pas ce qui m’a pris lorsque je lui ai téléphoné, mais je me souviens lui avoir dit «  d’accord je viens seule, mais je souhaite une attention de ta part  »   Interloqué il fit comme s’il n’avait pas compris .Dans mon esprit je pensais à une lingerie ou un parfum. Je lui ai réitéré ma demande. Je l’entends me dire alors « Tu es une pute, tu veux de l’argent ». Excitée à ces mots et sans contrôle je lui répondis «  oui ». Cet instant de folie aurait pu être sans suite, c’était sans mesurer combien Paul fut  ébranlé par mon culot pour ne pas dire mon inconscience.

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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 21:47

Je m’appelle Virginie.

Aujourd’hui j’ai 59 ans. J’ai gardé de mes 35 ans mon allure sportive et les rondeurs de ma féminité. C’est Paul mon mari qui m’a fait femme et m’a initiée aux plaisirs du sexe.

Nous étions mariés depuis quelques années lorsque je lui ai parlé de mes fantasmes amoureux lors de nos ébats sexuels. Je rêvais de faire l’amour à trois, parfois avec d’autres couples, en groupe, dans des lieux insolites. Pour moi ce n’étaient que des fantasmes, rien de plus. C’était sans compter sur la persévérance et la persuasion de   Paul .J’avais planté dans son esprit une petite graine qui n’allait plus le quitter.

J’avais alors 38 ans lorsqu’un jour Paul me dit « nous allons réaliser un de tes fantasmes ».

Ainsi commence mon histoire. Paul continue à dire qu’il a révélé ma vraie nature, je ne suis pas loin de penser la même chose que lui.

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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 21:42

Nous allons ce soir commencer une nouvelle série d'histoires, d'une nouvelle contributrice, Virginie.

Cette série d'histoires courtes sont des confessions sur la vie combien bien remplie de notre nouvelle contributrice, avec parfois un zeste de fantasme . . . bien difficile à déceler!

Les photos qui illustrerons les récits sont des photos de notre héroïne.



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