Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 11:01

Fidèles lecteurs et lectrices, vous venez de lire le dernier chapitre écrit à ce jour de cette histoire. Je suis d'accord, c'est une belle mise en bouche . . . mais qui mériterait d'être continuée! J'essayerai de m'y appliquer, mais j'ai déjà lancé tellement de choses sur ce site et ailleurs que je ne peux garantir de délais! Si vous vous sentez une âme d'écrivain, n'hésitez pas à m'envoyer vos propositions de suites!

 

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 10:53

Chapitre 8 : Initiation PonyGirl

 

Il était deux heures de l'après midi. J'avais passé environ trois heures à nettoyer, astiquer, ranger ... alors que Stéphanie avait pris le temps de lézarder au soleil, se faire un bon petit repas et une sieste sur un transat. Pour me féliciter de mon travail, elle m'ôta ses horribles chaînes d'esclave et me fit allonger sur une couverture au pieds des transats, de manière très douce elle me badigeonnât le corps de crème solaire pour éviter que ma peau brûle sous ce beau soleil d'été. Je lui rendis ses gestes à mon tour. Cette situation nous excitait terriblement toutes les deux. Je ne sais pas pourquoi mais je ressentais l'envie de lui donner du plaisir malgré tout ce qu'elle me faisait subir. Nous nous caressions sensuellement, elle m'embrassa fougueusement et sa langue mêlée à la mienne me procurait un sentiment des plus agréables. Nos caresses se faisaient plus précises, elle me malaxait les seins, me tirant légèrement les tétons gonflés de plaisir alors que mes mains fouillaient son intimité. Son sexe était humide de plaisir, je m'attardais sur son clitoris avant d'introduire un doigt puis deux dans son sexe. Son corps trahissait son plaisir par des petites saccades. Malgré le plaisir que lui procuraient mes mains elle les repoussa et me dit :

- Je veux que tu me fasses jouir avec ta langue comme tu sais si bien le faire.

Elle plaça ses genoux de chaque coté de ma tête, je pouvais ainsi jouer avec son clitoris et ma langue. Mes mains écartaient ses lèvres intimes pour le dégager. Pendant se temps elle me malaxait la poitrine alternant caresses et pincements. Elle ne tardât pas à jouir tout en s'effondrant sur moi. Une fois qu'elle reprit ses esprits elle s'installa entre mes jambes pour me rendre mes caresses. Elle me léchait le clitoris tout en me branlant avec deux doigts. Mais elle retira ses doigts pour les présenter devant mon petit trou. Elle continuait son cunnilingus mais commença à introduire un doigt dans mon étroit orifice. Le plaisir que me procurait sa langue fit que je n'eu même pas envie de lui refuser cette acte si inhabituel pour moi. Elle commençait des mouvements de va et vient et je ressentais déjà le plaisir se décupler. Je n'aurais jamais cru pouvoir ressentir autant de plaisir dans la sodomie. Quand elle sentit que j'étais prête, elle introduisit un deuxième doigt, qui me fit ressentir un petit peu plus de douleur. Etrangement cette douleur m'excitait encore plus. C'est au bout de quelques minutes que je m’abandonnai à un orgasme d'une terrible intensité.

Nous sommes restées de longues minutes collées l'une contre l'autre, récupérant de cette intense jouissance. Après un fougueux baiser qui signifiait la fin de nos jeux lesbiens, elle me rééquipa de mes habituelles chaînes alors qu'elle enfila un petit short, un débardeur et une paire de tong. Elle me dit :

- Maintenant nous allons nous entraîner pour la surprise que j'ai prévu pour Caroline. Reste à genoux sur la serviette je reviens.

Je l'attendis donc dans cette position, je n'étais pas très rassurée, qu'avait elle encore prévue pour moi ?

Elle revint quelques minutes plus tard munie de différent objets quels posa sur le transat. Elle commença par me libérer de mes entraves pour me faire enfiler les insupportables gants de bras. Je ressentais encore dans mes épaules la douleur du voyage. Ensuite elle me bâillonnât à l'aide d'un bâillon boule. Mais ce n'était pas fini, elle me fit asseoir sur le transat puis me présenta une sorte de sabot de cheval surmonté d’une petite semelle en métal. C'était une sorte de chaussure à semelle compensée mais sans talon. Elle me dit :

- Moi non plus je ne connaissais pas, c'est fou tous les objets inimaginable qu'a Caroline. Mais avec ça tu vas vraiment rentrer dans le personnage.

Elle se mit à rire.

A quel personnage voulait elle que je ressemble ? Elle saisit mon pied droit et enfila l'étrange accessoire. Elle le bloqua ensuite à ma cheville avec un bracelet en cuir fermé par un petit cadenas. C’était relativement lourd mais ca avait l'air au moins aussi stable que les talons aiguilles que me faisait porter Maîtresse Caroline. Elle fit de même avec mon pied gauche pour enfin me faire relever. Je n'étais pas vraiment à l'aise surtout que si jamais je chutais je ne pouvais pas me retenir de mes mains.

-Allez la petite touche finale et tu seras prête.

La "touche finale" était en fait une sorte d'harnais qui entourait mes seins, passait par mon entrejambe et était fermé autour de mon coup. Mais à l'entrejambe il y avait un petit plug anal fini par une longue queue de cheval. L'instrument qui était rentré en moi sans difficulté était plutôt fin donc pas très douloureux mais gênant.

Une fois complètement équipée elle admira son travail et d'un air très satisfait se félicita. Elle me fit un peu avancer et prit plusieurs photos avec un appareil numérique que je ne l'avais pas vu apporter.

Les différents clichés faits, elle m'expliqua se qu'elle attendait de moi :

- Tu dois sûrement te demander pourquoi je t'ai accoutrée ainsi.

Je fais un signe de tête pour dire oui.

-Et bien parce que j'ai promis à ta Maîtresse que j'apporterai une touche personnelle à ton dressage. Et après m'etre un peu renseigné sur le Web j'ai découvert plusieurs photos de pony grils, et ça m'a fascinée. Je dois dire que je n'ai pas plus d'expérience dans ce domaine que toi mais nous allons apprendre !! Allez suis moi j'ai préparé un terrain d'entraînement derrière la ferme.

Elle fixa une corde à mon collier à l'aide d'un crochet et me conduisit jusqu'au "manège". Mes premiers pas étaient difficiles car j'appréhendais beaucoup de tomber. Je fixais mes pieds pour voir où je les posais. Le point positif c'est que j'oubliais temporairement l'objet planté en moi.

- Et bien tu ne t'en sors pas si mal, mais tu vas voir tu vas prendre de l'expérience.

Enfin nous sommes arrivées, cela ressemblait vraiment à un manège pour entraîner les chevaux : je pense d'ailleurs que c'est Maîtresse Caroline qui avait fait construire ça et non Stéphanie.

Stéphanie se plaça au centre et lâcha du mou sur la longe pour que je puisse commencer à tourner. Elle me fit faire un premier tour sans rien me dire puis me fit arrêter et alla saisir un fouet qui était entouré sur la barrière.

- Il va falloir que tu écoutes attentivement et que tu t'appliques. Je pense que ceci va t'aider.

Elle fini claquer la lanière dans l'air. Je commençais à frémir.

- Je veux que tu arrêtes de regarder tes pieds. Lève la tête et regarde droit devant toi. Allez, on recommence.

Je me remis à avancer en essayant de regarder au maximum devant moi. Mais à chaque fois que je me sentais déséquilibrée je regardais le sol. Ce qui lui déplu terriblement car elle fit claquer la lanière mais sur le bas de mes fesses cette fois. La douleur fut terrible mais elle eut l'effet escompté car je fis plusieurs tours qui satisfirent ma Dresseuse.

- Bon c'est très bien pour le regard, maintenant lève plus les genoux quand tu avances une jambe.

Je m'exécutais redoutant qu'elle ne me fouette à nouveau. Mais c’est ce qu'elle fit quand même a chaque fois qu'elle sentait que je fatiguais et que je levais moins les genoux. En plus l'objet enfoncé dans mon anus se faisait à chaque fois ressentir quand je levais la jambe car ça tendait le harnais.

Au bout de plus d'une heure d'exercices, je commençais à être très fatiguée et mes fesses et mes cuisses me brûlaient terriblement à cause du fouet. Quand elle sentit que je n'en pouvais plus elle me fit arrêter me fit m'agenouiller devant un abreuvoir, m'ôta mon bâillon et me fit boire en lapant l'eau.

Elle passa ses mains sur les marques rouges du fouet, ce qui me fit sursauter.

- Tu vois si tu n'es pas très attentive ce qui arrive ?

- Oui Maîtresse - lui répondis je pour lui faire plaisir.

Quand j'eu fini de boire elle me conduisit dans l'étable collée a la ferme. Elle ouvrit un boxe dont le sol était jonché de paille. Elle me fit m'allonger par terre reliant mon collier à un anneau fixé dans le mur et relia mes chevilles. Elle sorti du box, referma la porte. Elle me dit :

- Allez repose toi, ta Maîtresse rentre se soir normalement.

Elle me laissa la, sans avoir pris la peine de m'ôter mon "déguisement". Je ne me suis pas vraiment endormi mais je me suis bien reposée, de toute façon je ne pouvais pas faire grand chose d'autre.

Vers, à mon avis 19h-19h30, j'entendis un bruit de voiture. Puis une discussion entre les deux femmes. Quand soudain Maîtresse Stéphanie vint ouvrir la porte du box. Elle avait l'air toute excitée, si enthousiaste de me présenter à Maîtresse Caroline. Elle me détacha puis me fit me lever, me replaça le bâillon boule dans la bouche et me frotta le corps pour enlever les brindilles de pailles. Ensuite elle fixa une laisse à mon collier et me murmura à l'oreille :

- Tu as intérêts à être une bonne jument si tu ne veux pas subir une petite séance de fouet.

Elle me montra comme pour me menacer un plus petit fouet que celui qu'elle avait utilisée tout a l'heure mais qui avait l'air tout aussi dangereux.

Je fis donc un signe de la tête pour lui dire que j'avais bien compris. Elle tira sur ma laisse pour me faire avancer, je m'appliquais à garder la tête haute et à monter les genoux. Quand Maîtresse Caroline me vu, elle jubila :

- C'est pas vrai, tu l'as fait. Haha haha

- Et oui je t'avais promis ma petite touche personnelle.

- Vas y fait la un peu marcher !

Elle s'adressait à ma Dresseuse comme si je ne comprenais pas. Elle me fit donc faire quelque pas pour admirer leur nouveau "jouet".

- Et bien je suis très contente de toi Stéphanie, tu as vraiment fait du bon boulot.

- Merci Caroline, ça m'a vraiment beaucoup amusée. Allez, on a qu'a rentrer maintenant, je t'ai préparé à manger.

- Bonne idée je meurs de faim. Tu vas voir j'ai une idée, on va se faire servir par notre jument.

Quand elles étaient toutes les deux, elles ne me portaient plus aucune attention. Je redevenais la servante à qui on ne s'adresse pas.

A l'intérieur le bruit de mes sabots ressemblait vraiment à un bruit de cheval qui se déplace. Pour que je fasse le service et comme mes mains étaient prisonnières, Maîtresse Sophie me fixa le plateau pincé sur les seins et accroché autour du coup. Les pinces me mordaient terriblement la chair tellement elles serraient fort. Maîtresse Sophie prit place à la table du salon alors que Maîtresse Stéphanie me conduisit à la cuisine ou elle déposa un premier plat sur mon plateau. Le poids amplifiait la douleur sur mes tétons. Je n'avais peur que d’une chose : que ça lâche d'un coup, mais je pu terminer d'apporter une par une chaque assiette.

Je dus rester debout toute la durée de leur repas écoutant le récit de tout ce que Maîtresse Stéphanie m'avait fait subir. Maîtresse Sophie la félicita. Cette dernière me regarda et me dit :

- Je dois dire que le récit de Stéphanie m'a plutôt excitée. Viens par ici et a genoux.

Je m'avançai vers elle et je m’agenouillai maladroitement à cause des sabots. Elle me tritura les mamelons et m'ôta le bâillon. Elle força l'entrée de ma bouche avec sa langue et m'embrassa goulûment. Puis elle se leva et fit glisser sa jupe et sa culotte.

- Fait moi jouir !! Me dit-elle.

Elle maintenait ma tête à l'intérieur de ses jambes. Je m’appliquais rigoureusement malgré ma douleur au cou et l'odeur forte qui émanait de son sexe. Il ne lui fallut pas longtemps pour quel jouisse et heureusement pour moi car j'avais l'impression qu’elle allait me briser le cou à appuyer comme ça. Une fois ses râles de plaisir terminés elle dit à Stéphanie :

- C'est bon, elle peut débarrasser.

Maîtresse Stéphanie me libéra les bras, mes épaules étaient très endolories mais je dus débarrasser la table. Ensuite elle me reconduisit dans le box ou elle était venue me chercher. Mais je sentais une envie pressente de mes faire mes besoins et lui demanda :

- Oui bien sur tu n'as qu’à  faire pipi devant, dans la pelouse.

Je crois que c'était ce que je détestais le plus, faire ça dehors devant elle. Mais j'avais très envie et ne pouvais me retenir. Une fois terminé elle enchaîna ma cheville aux murs de ma "nouvelle chambre" et me fit quitter mes sabots et le harnais. J'étais soulagé, mon intimité état libéré. Ensuite elle me jeta une vulgaire couverture et m'abandonna ici.

Je devais passer la nuit ici. Ca n'allait pas être très agréable car la paille me grattait énormément.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 22:44

Une journee ou le corps enseignant à de la chance: toute une classe de grandes jeunes filles dissipées! Qu'il est "obligé" de coriger sévérement pour leur plus grands bien!

 

J"avoue que j'aurai tout particulièrement apprécié m'occuper de la grande brune au serre-cheveux rouge! Voilà, vous connaissez tout de mes goûts!

 

23- AP~1

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 26 mars 2 26 /03 /Mars 21:08

Chapitre 16: La fête d’anniversaire (1ère partie).

 

— Allie viens ici. J’ai terminé les invitations pour ton anniversaire.

Avec tous ces évènements, Allie avait oublié que son anniversaire approchait. Une vague de bonheur l’envahit : des cadeaux, des gâteaux, une fête rien que pour elle… Nicole était vraiment adorable, pensa-t-elle en rêvant à tous les plaisirs qui l’attendaient.

Nicole l’attendait dans la cuisine. Elle était vêtue du tailleur qu’elle mettait pour aller travailler, alors que l’adolescente, conformément à la règle n°3, était nue et ne portait que son collier de chien (règle n°5) et le godemiché anal qui était fermement inséré dans son rectum (règle n°9). Son dressage durait maintenant depuis plusieurs semaines et toutes ces règles avaient fini par devenir familières. Il lui arrivait même d’oublier les piercings sur ses tétons et le petit cadenas sur son sexe.

Nicole se lécha les lèvres en observant son petit jouet sexuel s’approcher. Elle lui tendit le carton d’invitation. En plein bonheur, Allie s’empara de la carte. Mais son sourire eut tôt-fait de disparaître lorsqu’elle vit les illustrations. Il s’agissait d’un montage photographique. Chacune des photos la montrait en gros-plan, entrain de s’activer entre deux cuisses féminines. Sa partenaire n’était jamais la même, comme le démontraient indéniablement les différents sexes. Certains étaient poilus, d’autres soigneusement "coiffés" ou bien parfaitement épilés, et on discernait parfaitement la bouche de l’adolescente, profondément enfouie entre leurs lèvres, appliquée à les honorer. On remarquait aisément qu’il n’y avait pas que sa langue qui était en contact avec l’objet de sa convoitise. Nicole avait soigneusement sélectionné des photos sur lesquelles force était de constater que sa bouche était plaquée hermétiquement contre les vulves qu’elle dégustait avec beaucoup de ferveur.

— Je les enverrai tout à l’heure. J’ai choisi les 15 invitées, femmes et jeunes filles, que tu apprécies le plus. Dit Nicole en se repaissant du désarroi qu’elle sentait naître dans l’esprit de sa soumise.

Les larmes aux yeux, Allie ouvrit la carte.

En titre, on pouvait lire : " C’est l’anniversaire d’Allie, tu es invitée à la fête la plus folle qu’on ait jamais organisé.

— Ça va être une fête gigantesque. J’ai invité toutes tes nouvelles amies. Betsy, Ashley et bien sûr, Josie, Jackie, Sarah et Brittney et toutes les pom-pom girls dont tu t’es si bien occupée. On va bien s’amuser.

L’expression horrifiée qui s’afficha sur le visage de l’adolescente fit sourire Nicole.

Ça va être le pied. Se dit-elle en pensant avec excitation à toutes les humiliations qu’elle allait pouvoir imposer à cette petite poupée vicieuse.

*****

Le jour venu, Allie s’éveilla comme d’habitude au pied du lit de sa Maîtresse, son collier attaché à la laisse noire qui pendait du montant. À part ça, elle était entièrement nue. Elle écarta ses jambes et se mit à se masturber. Nicole exigeait qu’elle le fasse tous les matins. Avec le temps, elle était devenue très réceptive à ces caresses. Les images sur lesquelles elle fantasmait n’étaient pas celles dont elle rêvait quelques semaines auparavant, mais celles de femmes et de jeunes filles nues. Elle était tellement impliquée dans cette homosexualité contrainte qu’il n’y avait plus de place dans son esprit pour les fantasmes hétérosexuels. Les seules similitudes avec cet aspect de la sexualité étaient les sexes factices avec lesquels ses différentes Maîtresses l’avaient possédée.

L’adolescente atteignit l’orgasme en s’imaginant en train de sucer la délicieuse petite chatte de Brittney, la pom-pom girl. C’était son fantasme préféré. La lycéenne lui ordonnait d’abaisser la petite culotte qu’elle mettait pour ses représentations avec la fanfare, puis elle devait écarter les jambes de l’adolescente et sucer son sexe délicieusement odorant et fruité. Elle eut un orgasme puissant en frottant son clitoris à un rythme frénétique.

Une fois apaisée, elle sauta hors de son couchage et débuta sa journée d’esclave. Elle détacha son collier et s’empressa d’aller préparer le bain de sa Maîtresse.

Une fois dans la salle de bain, elle se garda bien d’utiliser les toilettes, elle ne pourrait les utiliser que quand sa Maîtresse l’y autoriserait. Elle fit couler le bain et trottina jusqu’à la chambre, s’agenouilla au pied du lit de la jeune femme encore endormie et dit avec une voix de petite fille :

— Maîtresse, votre bain est prêt.

Nicole s’étira et sourit, appréciant à sa juste valeur la chance qu’elle avait de se faire réveiller par cette petite chienne soumise. Allie s’était vraiment bien adaptée à sa nouvelle vie. Elle s’était soumise si facilement qu’elle avait du mal à croire qu’elle ne rêvait pas. Il lui restait tant de choses à apprendre à l’adolescente, tant d’échelons à lui faire franchir avant d’arriver à ses fins. Chaque progrès de son esclave était un bonheur qu’elle vivait intensément. Elle repoussa les draps, exposant son corps nu à l’adolescente.

— Lèche moi la chatte, ma petite chienne adorée. Dit Nicole en écartant les cuisses pour offrir son sexe à l’appétit de l’adolescente. Il n’en fallut pas plus à Allie pour escalader le lit et plonger sa langue entre les cuisses de sa Maîtresse, se régalant du goût fort que la nuit avait déposé au cœur de son intimité. C’était le premier cunnilingus de la journée, mais il serait suivi de beaucoup d’autres. Nicole attrapa les cheveux de la jeune fille à pleines mains et guida le visage adorable jusqu’à ce que son plaisir explose en un feu d’artifice de sensations multiples.

Après avoir récupéré, elle se leva et se fit accompagner par l’adolescente jusqu’à la salle de bain, où elle s’adonna à ce qui était devenu depuis longtemps une routine régulière. Elle s’assit sur le siège des WC et soulagea sa vessie, tandis que cette petite chienne d’Allie s’agenouillait entre ses jambes et inclinait son visage contre le bord de la cuvette. Lorsqu’elle eut terminé, l’adolescente approcha encore plus son visage constellé par les éclaboussures et, sans qu’on le lui ordonne, lécha le sexe jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus une seule trace d’urine. Cette petite salope s’adaptait vraiment à merveille à sa condition d’esclave sexuelle.

Pour la récompenser, Nicole l’autorisa à se soulager, ce qui fut une nouveauté bienvenue pour l’adolescente. Puis elles allèrent à la baignoire et Allie s’occupa de sa Maîtresse à genoux sur le sol carrelé et froid de la salle de bain. Elle lava Nicole des pieds à la tête, accordant une attention particulière à ses seins et son sexe. Elle savait à quel point sa Maîtresse aimait être massée à ces endroits. Puis la jeune fille lava les cheveux de sa dominatrice et l’aida à sortir du bain, la séchant délicatement à l’aide d’une serviette-éponge toute chaude.

Puis elle l’aida à s’habiller. Une paire de pantalons très élégants sur une culotte en dentelle très échancrée, une chemise blanche en soie et un soutien-gorge assorti. L’ensemble lui donnait beaucoup d’allure, lui conférant la silhouette d’une jeune femme résolument moderne et sexy.

Puis elles allèrent prendre leur petit-déjeuner. Agenouillée aux pieds de sa Maîtresse, Allie avait l’air d’une star du porno négligée, nue avec ses piercings, tandis que Nicole, au contraire, avait tout d’une femme d’affaires distinguée, assise sur sa chaise confortable.

— C’est ton anniversaire aujourd’hui, petite salope. Tu dois te faire jolie. Je t’ai pris un rendez-vous au salon ce matin.

Allie acquiesça de la tête et remercia sa Maîtresse.

— Tu as carte blanche pour le début de la matinée. Mets ta robe rouge. Allie s’empressa d’aller dans sa chambre pour mettre la robe. Elle évita de se regarder dans le miroir, incapable de faire face au genre de fille qu’elle était devenue. Elle se contenta de traverser la pièce, attrapa la robe provocatrice rouge sur un cintre et l’enfila. Puis elle s’empara de ses mules à talons hauts et ressortit.

— Tu passeras mon bonjour à Jackie, petite salope. Dit Nicole lorsqu’Allie franchissait le seuil de la porte d’entrée.

****

Arrivée au salon d’esthétique, Allie subit le traitement habituel. Elle s’estima heureuse de ne pas avoir d’extras à endurer, ne recevant que le lavement et la douche vaginale pour parfumer son sexe et son anus. Puis Jackie lui lava les cheveux et la coiffa avec beaucoup d’attention. Apparemment, elle avait reçu des consignes pour que l’adolescente soit la plus belle possible pour la fête de ce soir.

Lorsqu’elle rentra à la maison, elle était aussi propre à l’extérieur qu’à l’intérieur, fin prête.

********

Une fois à l’intérieur, elle se déshabilla entièrement, conformément à la règle n°3, et alla à la cuisine pour s’occuper des préparatifs.

Lorsque Nicole entra dans la cuisine, l’adolescente lui tournait le dos. Elle était penchée dans le four pour y entreposer les cookies. Sans un mot, aussi silencieuse que possible, Nicole glissa sa main entre les cuisses de la jeune fille et inséra sans compromission, son médius dans le vagin offert, jusqu’à la deuxième phalange. Sous l’effet de la surprise, la pénétration de l’intrus coupa le souffle d’Allie, mais elle ne se déroba pas. Elle savait que sa chatte devait rester accessible à sa Maîtresse en permanence. Elle écarta légèrement les jambes pour faciliter l’accès à son sexe imberbe.

— Alors ma petite lécheuse de chattes, cette fête d’anniversaire ne t’excite pas ? Demanda Nicole sans bouger son doigt, se contentant de le maintenir à l’intérieur de l’adolescente.

Elle se pencha contre l’oreille de la jeune fille, s’empara d’un de ses petits seins, et se mit à jouer nonchalamment avec l’anneau qui transperçait le téton d’Allie.

— Je parie que tu vas lécher un tas de minettes cette nuit, je suis sûre que tu meurs d’envie d’en goûter le plus possible de différentes non ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie.

Nicole agita tout doucement son doigt. Elle nageait en plein bonheur. Maintenant, l’adolescente était complètement soumise à tous ses caprices. Elle vivait constamment nue et  se tenait entièrement disponible pour sa Maîtresse à tout moment. Sexuellement, elle était devenue experte en léchage de chattes et, bientôt, elle serait malade à l’idée de ne pas avoir fait son maximum pour satisfaire sa Maîtresse.

— Est-ce que tu te rends compte que toutes ces femmes vont venir exprès pour toi ce soir ? Demanda Nicole en faisant bouger son doigt de plus en plus vite.

— Ouiii. Répondit Allie en s’offrant de plus belle à l’attouchement de sa Maîtresse.

— Tu vas voir, tu vas vraiment te régaler.

Et, du bout du doigt, elle mena l’adolescente à l’orgasme. Puis, elle le lui fit nettoyer méticuleusement et abandonna l’adolescente, lui recommandant de finir rapidement de préparer la soirée.

************************

Vers cinq heures, Nicole appela l’adolescente et annonça qu’il était temps qu’elle s’habille.

— Je t’ai acheté de nouveaux vêtements pour ce soir. Ils sont dans ta chambre. Va vite les mettre, j’ai hâte de voir comment ils te vont.

Allie s’empressa d’obéir et se dirigea vers sa petite chambre. Elle se doutait que les vêtements malmèneraient sa pudeur, mais elle se surprit à espérer qu’il en serait ainsi… Elle souhaitait que ses invitées la désirent le plus possible.
Mais que lui arrivait-il ? Elle s’immobilisa un instant au milieu de la pièce, entièrement nue, avec ce collier de chien obscène qui ceignait son cou, tentant de chasser les pensées lubriques qui s’imposaient à son esprit. Mais elle était à nouveau dans cet état second qui la submergeait, incapable de dominer cette double-personnalité qui prenait de plus en plus souvent possession d’elle.

Dans l’armoire, sur un cintre unique, étaient suspendus quelques vêtements moulants. Il y avait un petit string noir et une minuscule robe noire très légère. Elle les enfila et remarqua qu’il n’y avait pas de chaussures. Elle en conclut que Nicole l’autorisait probablement à rester pieds nus. Elle observa son reflet dans la glace. La robe ne cachait rien et l’on pouvait voir sans difficultés ses piercings à travers le tissu presque transparent. Le tissu descendait à peine plus bas qu’en dessous de ses fesses. Le string mettait son sexe en évidence, attirant irrémédiablement le regard sur son bas-ventre. Elle ressemblait à une petite fille dépravée, et elle avait compris depuis longtemps que c’était justement ce que Nicole désirait.

Elle retourna se faire inspecter par sa propriétaire.

— Parfait. Dit Nicole alors qu’au même moment, la sonnerie de la porte d’entrée retentissait.

— Va ouvrir, petite salope, et souviens toi de la règle n°7. Fit-elle avec un sourire carnassier.

Allie trottina jusqu’à la porte d’entrée. C’étaient Josie, Betsy, Ashley et Sandy. Elles étaient toutes vêtues de pantalons et chemisiers élégants excepté Sandy qui portait un imperméable. Cette dernière avait un air bizarre, presque honteux, et apparemment elle n’avait pas enfilé ses bras dans les manches de sa veste

— Voulez-vous que je vous suce, Maîtresses ? Demanda Allie. La phrase était devenue automatique.

Les invitées sourirent toutes sauf Sandy.

— Je pense que cela pourra attendre un peu, petite salope. Répondit la grande Ashley.

Elles entrèrent. Une fois à l’intérieur, Ashley ôta l’imperméable de Sandy. Celle-ci était entièrement nue, ses mains étaient attachées dans son dos et elle portait les mêmes piercings qu’Allie. L’aolescente réalisa qu’elle était en présence d’une autre esclave sexuelle. Sandy était vraisemblablement la soumise d’Ashley.

— Comment trouves-tu Sandy, petite salope ? Faire ta connaissance a été une telle révélation pour moi que j’ai réalisé que Sandy ne pouvait faire autrement que devenir mon jouet sexuel, tout comme toi avec ta Maîtresse. Au début, elle n’était pas trop coopérative, mais j’ai su lui montrer où était sa vraie place.

Ashley tenait dans sa main une vilaine laisse reliée à un collier de chien qui était passé autour du cou de Sandy. Elles suivirent Allie jusqu’au salon.

— Salut Aslhey, Dit Nicole. — J’adore ce que tu as fait de Sandy. J’ai toujours pensé qu’elle avait tout d’une soumise. On sait toutes que tu es la meilleure.

Toutes les femmes se mirent à rire, excepté Allie et Sandy. Ashley s’assit sur le canapé et exigea de Sandy qu’elle s’agenouille à ses pieds.

On sonna à nouveau.

— Es-ce que je peux vous sucer Maîtresses ? Demanda Allie au groupe de cinq pom-pom girls qui attendaient derrière la porte. Elles éclatèrent de rire et entrèrent dans la maison en se moquant de l’adolescente.

La dernière à entrer fut Brittney, elle se jeta pratiquement sur l’adolescente, l’embrassant goulument sur la bouche et la cramponnant par les fesses à la même occasion. Les autres acclamèrent leur copine.

— Vous avez vu ? Je vous avais bien dit que je le ferai. Catherine, tu me dois 20 €. Et elles ignorèrent l’adolescente abasourdie, l’abandonnant dans l’entrée pour rejoindre les autres invitées au salon.

Avant qu’Allie ait pu les suivre, la sonnerie retentit une nouvelle fois. Cette fois, c’étaient Maîtresse Jytte, son esclave blonde : "petite gouine", Sarah, la propriétaire de l’institut de beauté, Jackie l’esthéticienne qui s’était occupée d’Allie et la petite réceptionniste. L’esclave était vêtue comme une écolière, mais une fois à l’intérieur, Maîtresse Jytte la fit déshabiller et la poussa vers le salon.

— Bien nos invitées sont presque toutes arrivées, il n’en manque que trois. Dit Nicole, juste avant que la sonnerie ne retentisse une nouvelle fois.

Cette fois-ci, c’étaient Amanda, Jessica et Stephanie, les trois vendeuses du magasin de vêtements.

— Puis-je sucer vos minettes Maîtresses ? Demanda Allie une nouvelle fois.

— Peut-être plus tard, petite salope dit Amanda en tirant Jessica par la main. La rousse la suivit en restant étrangement silencieuse. Enfin, Stephanie les accompagna, quelque peu hésitante, comme si elle se demandait dans quoi elle venait de se fourrer.

Quand tout le monde fut dans le séjour, Nicole s’adressa au groupe.

— Merci à toutes d’être venues à la fête d’anniversaire d’Allie. Je propose que l’on commence avec les cadeaux. Allie ! Assieds-toi ici. Dit elle en désignant un tabouret à l’entrée de la pièce.

Allie s’empressa d’obéir. Après tout, elle avait hâte de voir quels cadeaux on allait lui offrir. Son excitation augmenta un peu. Les femmes déposèrent les paquets et rapidement, Allie se retrouva devant un monceau impressionnant de paquets cadeaux.

Elle attrapa le premier.

— De la part d’Amanda et Jessica. Dit-elle, comme n’importe quelle petite fille s'émerveillant devant ses cadeaux d’anniversaire.

La carte était simple et elle lut :

— Joyeux anniversaire et merci pour m’avoir aidée à initier Jessica à l’amour entre filles. C’est ma petite copine maintenant et j’adore ça. Amanda.

Allie lit à voix haute pour toute l’assemblée. Amanda sourit et Jessica, embarrassée, baissa les yeux.

L’adolescente déballa son cadeau. Il s’agissait d’une boîte contenait une paire de culottes. Chacune était un string et elles étaient de couleurs différentes. Allie remercia, même si elle trouvait un peu bizarre qu’on lui offre des sous-vêtements pour son anniversaire.

— Et si tu les essayais tout de suite ? Dit Nicole.

Allie regarda toutes les femmes qui faisaient cercle autour d’elle en la dévorant des yeux. Elle ne voulait pas enlever sa culotte devant toutes ces femmes, elle était déjà suffisamment impudique comme ça,  avec ses petits seins parfaitement visibles à travers le tissu léger de sa robe. Les invitées pouvaient certainement voir les anneaux qui transperçaient ses tétons très facilement. Au même moment, elle réalisa que toutes ses femmes l’avaient déjà vue entièrement nue. En fait la plupart s’étaient livrées à des attouchements sur elle et elle les avait toutes sucées, à l’exception de l’esclave "petite gouine", qu’elle avait masturbé jusqu’à l’orgasme dans le salon de beauté. Comme "petite gouine" et Sandy étaient nues elles aussi, elle se décida à suivre la suggestion de Nicole.

L’adolescente se leva et souleva lentement la robe minuscule, exposant sa petite culotte noire à l’assemblée. Elle crocheta l’élastique du sous-vêtement à la taille et le tira vers le bas. Maintenant, toutes les femmes pouvaient voir son sexe imberbe et le petit cadenas qui ornait le haut de sa petite fente. Celles qui n’avaient pas encore vu le piercing se mirent à bavarder entre elles sans cesser de la regarder.

— Montre ton bijou à tout le monde Allie, je ne pense pas que tout le monde l’ait déjà vu. Nicole se régalait de l’embarras éprouvé par sa soumise.

Rouge de honte, l’adolescente se tourna face à l’assemblée et souleva sa robe jusqu’à sa taille, révélant son sexe épilé. Sa fente sexuelle qui partageait son entrejambe faisait ressembler son sexe à celui d’une gamine pré-pubère, mais le cadenas obscène qui y pendait contrastait avec l’image virginale. Elle tendit la main et souleva la pièce métallique pour l’exhiber devant tout le monde. Comme elle avait incliné la tête en avant, ses cheveux recouvraient son visage, lui permettant de masquer l’humiliation qu’elle éprouvait. S’exhiber devant ces femmes était éprouvant, mais le pire dans tout ça restait que les cinq pom-pom girls qui assistaient à son avilissement étaient du même âge qu’elle.

— Splendide. Dit Maîtresse Jytte en souriant. — Crois-tu que nous devrions te faire équiper avec quelque chose dans ce genre, "petite gouine" ?

— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille assise aux pieds de sa propriétaire.

Allie s’empara d’une des petites culottes. Elle était encore plus petite que la sienne. Elle l’enjamba et la fit glisser le long de ses jambes. Son entrejambe n’était protégé que par une fine lanière qui partageait son intimité en deux.

— Tourne-toi et montre nous comment ça te va petite salope. Dit Ashley qui adorait la façon dont l’adolescente s’exhibait devant elles.

Allie pivota sur elle-même en soulevant sa robe jusqu’à sa taille de façon à exhiber ses fesses et son entrejambe. Intérieurement, la dégradation qu’on lui imposait la gênait énormément, mais elle continua à afficher un sourire pâle pour respecter les règles que lui imposaient sa Maîtresse. Toutes les spectatrices admirèrent ses petites fesses fermes et rondes. La lanière du string disparaissait entre les ravissantes babines de son sexe, courait entre ses jambes et réapparaissait au-dessus de ses fesses. Son pubis était à peine masqué par un petit triangle de tissu.

— Superbe, tu as vraiment un adorable petit cul de salope. Dit Ashley en caressant langoureusement la tête de Sandy qui était appuyée sur ses genoux.

Allie procéda de la même façon avec l’autre culotte, et la garda sur elle pour ouvrir le cadeau suivant.

Le présent était de Sarah, la propriétaire de l’institut de beauté. Il contenait un bon pour un tatouage gratuit au salon. Allie la remercia poliment, bien qu’elle n’ait aucune envie de se faire tatouer.

— C’est une idée de Nicole, elle a des vues sur l’un d’entre eux. Tu devrais venir la semaine prochaine, on s’occupera de toi comme il faudra.

— Oui Maîtresse. S’entendit répondre Allie.

Intérieurement, tout en elle lui hurlait qu’il n’en était pas question, mais pourtant, au fond d’elle-même, elle savait qu’elle n’y échapperait pas. Si sa Maîtresse l’avait décidé, elle ne pourrait pas s’y opposer. Elle espéra seulement que ça ne serait pas trop dégradant.

Le cadeau suivant venait des pom-pom girls, à part Brittney qui avait son propre cadeau. Les filles sourirent et chuchotèrent entre elles lorsqu’Allie déchira l’emballage. Elles ricanaient en murmurant des insanités qui l’humilièrent plus que tout.

— Quelle salope cette fille.
— Je n’arrive pas à croire qu’on puisse en arriver là.
— Elle doit se masturber en permanence.

Allie était horrifiée de constater que ces filles, qui avaient le même âge qu’elle, la considéraient comme une espèce de malade anormale. Les larmes aux  yeux, elle continua à déballer son présent.

Lorsque le carton apparut, Allie constata qu’il s’agissait d’une boite de chez Mistigriff. C’était certainement l’emballage d’une jupe, mais curieusement, ça pesait beaucoup plus lourd. Elle souleva le couvercle et jeta un coup d’œil à l’intérieur. Horrifiée elle crut vivre un cauchemar. Elles ne pouvaient pas lui offrir ça quand même… Pourquoi tant de méchanceté ? Elle n’avait pas mérité ça. Elle adressa un sourire contrit aux pom-pom girls, mais ne sortit pas le cadeau de sa boîte.

— Qu’est-ce que c’est petite salope, allez ne soit pas dure avec nous montre-nous ça et remercie les filles pour leur gentillesse. Dit Nicole en se réjouissant du désarroi de sa soumise.

Ayant conseillé les jeunes filles, elle savait parfaitement de quoi il s’agissait. L’humiliation qu’éprouvait Allie en découvrant ces cadeaux ouvertement sexuels l’excitait énormément. Elle savait pertinemment que l’adolescente détesterait les montrer à tout le monde.

Allie retira le couvercle et le déposa par terre, puis elle sortit son cadeau. C’était une pile de magazines. Les couvertures apparurent aux yeux de l’assemblée : Penthouse, club, Devot, Dépravations magazine, Déviations féminines, Leglove, Tabou, 18 ans, HotVideos… Elle eut du mal à sourire tant elle avait envie de jeter toutes ces revues pornographiques dégoûtantes loin d’elle. Comment avait-elles pu penser que ce genre de chose pourrait lui faire plaisir ? C’était complètement faux.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 3 mars 7 03 /03 /Mars 11:47

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Asservie par sa meilleure amie - Communauté : Soumissions féminines
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