Dimanche 3 mars 7 03 /03 /Mars 11:41

Grace à votre fidélité, et malgrè une production un peu plus faible ces derniers moi, votre blog préféré est encore monté au Top des Blogs d'Overblog: 205eme!

 

Soyez en remercié.

 

C'est pour moi la preuve qu'il rempli son modeste objectif: vous distraire, vous faire fantasmer, sans prise de tête.

 

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 20:52

Chapitre 7 : Première soirée en compagnie de Maîtresse Stéphanie

 

Il était environ 18h quand Maîtresse Caroline quitta la ferme.

Je me retrouvais maintenant seule, encore nue car les deux femmes n'avaient pas trouvé important de me rhabiller. De 18h à environ 20h Stéphanie m'envoya ranger ses affaires et celles de Maîtresse Caroline dans leurs placards respectifs, ensuite je dus faire leurs deux lits, nettoyer un peu la poussière et passer l'aspirateur. Pendant que je m'exécutais elle ne me porta aucune attention, elle m'ignorait totalement. Elle prit une douche changea de tenue s'installa sur la terrasse. Une fois mes activités terminées elle voulut que je lui prépare le dîner. Ce que je fis volontiers pour en profiter pour manger en douce car depuis le début de la journée je n'avais eu droit qu'à une petite collation au réveil. Je lui servis son repas et pendant ce temps je fus invité à rester à genoux à coté de sa chaise, comme quand Maîtresse Caroline prenait son repas. J'avais bien fait de me servir sans sa permission avant elle, car elle ne me proposa pas de manger quelque chose. Elle prit son temps pour finir et vers 21h30 elle me fit débarrasser et laver la vaisselle. Elle pendant se temps, avait rejoint le salon et s'était installée dans un fauteuil pour fumer une cigarette. Ce n'est que je l'ai rejoint après mes taches terminées, qu'elle m'adressa la parole. Elle voulut que je lui raconte en détail ce que m'avait fait subir Maîtresse Caroline depuis que j'étais à son service. C'était vraiment très désagréable de me retrouver dans cette situation debout, complètement nue face à cette fille qui n'était qu'une copine de classe encore hier et qui était devenue ma Maîtresse. Tout au long de mon explication je remarquais que ce que je lui disais l'excitait beaucoup et j'étais d'autant plus mal à l'aise. Cela dura environ trois quarts d'heures car elle n'arrêtait pas de me poser des questions.

Elle me dit enfin :

- Je crois que tu as remarqué que cela m'excitait beaucoup, je ne pensais pas éprouver tant de jouissance face à une telle situation. D'ailleurs je suis moi aussi novice dans le domaine de la domination mais j'ai vraiment envie de me perfectionner. En attendant j'ai envie que tu me donnes du plaisir.

Elle m'avait saisie par le poignet et m'a tirée jusque dans sa chambre, là elle me fit m'allonger sur le ventre. Elle ouvrit un tiroir et en sortit plusieurs bouts de cordes. Elle me dit :

- Je ne suis peut être pas très expérimenté mais Caroline m'a expliquée deux trois trucs.

Elle m'attacha les poignets dans le dos, lia mes chevilles avant de les remonter au niveau de mes fesses pour les attacher aux poignets. Elle passa une corde entre mes cuisses et mes mollets pour que je ne puisse plus déplier mes jambes. Elle venait de m'immobiliser en "hogtied". Je ne pouvais bouger que mon coup. Ensuite elle se déshabilla et vint s'allonger sur le dos, je me retrouvais entre ses jambes, le visage limite collé contre son sexe. Dans la main elle tenait un petit martinet aux lanières de cuir avec lequel elle me menaça si je ne lui donnais pas de plaisir à l'aide ma langue. Ce que je fis aussitôt de crainte d'être fouetté. Ceci ne l'empêcha pas de m'appliquer quelque coup sur le dos et la plante de pieds. Il ne lui fallu pas très longtemps pour jouir. C'était un impressionnant orgasme vu les secousses qui faisaient bouger son corps. Je fus contrainte de recommencer plusieurs fois de suite avant qu'elle ne s'endorme épuisée par la violence de chacun de ses orgasmes. Moi je fus réduite à dormir attachée et malgré la position inconfortable, ce ne fut pas long avant que je m'endorme à mon tour épuisée par cette journée difficile.

Il était environ 9 heures quand Maîtresse Stéphanie me réveilla en me libérant de mes liens. J'étais toute enquilosée et les cordes avaient laissé de grosses traces sur mes membres. Elle me regarda amoureusement et me dit :

- Tu as vraiment été merveilleuse, je n'ai jamais pris autant de plaisir que hier soir.  D'ailleurs pour te remercier je t'autorise à prendre le petit déjeuner avec moi, je sais que Caroline veut que tu ne manges pas à table mais on va faire une exception.

-Merci Maîtresse

Maîtresse Stéphanie enfila une robe de chambre mais moi je n'y eu pas droit, la nudité ne me gênait presque plus et je préférais ne rien porter plutôt que d'être obligé de porter la tenue de soubrette.

Je du préparer le café, mettre le pain, le beurre et la confiture sur la table et je pu enfin m'asseoir à table avec ma Maîtresse J'avais vraiment très faim et n'était pas sur d'avoir le droit de manger à midi. Je dévorais mes tartines quand Maîtresse Stéphanie me dit :

-Et ben, elle ne devait pas te nourrir souvent, je vois que je t'ai fait un beau cadeau et je pense avoir droit à des remerciements.

-Oui Maîtresse, merci beaucoup.

-Je pense avoir droit à plus qu'une simple phrase.

Elle posa ses pieds sur la table et se les badigeonna avec de la confiture. Et me dit :

-Tu as l'air de vraiment aimer ça alors lèche, vas y !

-Mais Maîtresse je n'ai pas fini de manger.

-Ah oui tu refuses et bien . . . si, tu as fini de manger.

-Non Maîtresse, ce n’est pas ce que je voulais dire . . . je vais le faire.

Mon appétit était plus fort que ma fierté, je préférais donc abdiquer. Je m’occupai donc de lui nettoyer les pieds avec ma langue. Je ne sais pas pourquoi mais je voyais que cela l'excitait beaucoup comme à chaque fois. Cette fille ressentait du plaisir à se faire adorer les pieds. Ce petit jeu dura environ 15 minutes avant qu'elle juge que j'avais léché toute la confiture. Je me remis donc immédiatement à dévorer mes tartines avant que Stéphanie me stoppe net et me dise :

-Est ce que je t'ai permis de manger ? Non il ne me semble pas. En plus je n'ai pas aimé le fait que tu ne t’exécutes pas immédiatement quand je t'ai donnée un ordre.

Elle se leva me saisit pas les cheveux et me fit agenouiller par terre.

-Il faut que tu comprennes quand je te dis de faire quelque chose ce n'est pas une proposition. Est ce que tu comprends ça ?

-Oui Maîtresse

-Bien, donc tu veux absolument les manger tes tartines et bien . . . d'accord.

Elle s'empara de mes tartines les jeta par terre et les piétina sauvagement jusqu'à ce qu'elles ne ressemblent plus à rien, écrasées sur le sol.

-C'est bon tu peux maintenant les manger.

Elle me ressaisit les cheveux et m'appuya le visage contre le sol, je sorti ma langue et commença à nettoyer le carrelage. Elle s'était rassise et contemplait le spectacle. Je du recommencer à lui nettoyer les pieds eu fois le sol propre.

-Et bien voila, tu auras prit un bon petit déjeuner, n'est ce pas ?

-Oui Maîtresse

-Bon j'espère que tu as compris. On va aller faire un brin de toilette toutes les deux. Lève toi et va dans la salle de bain je te rejoins.

Que de bonne chose ce matin : un bon déjeuner, une bonne douche.

Je finis de me laver les dents quand Maîtresse Stéphanie me rejoint. Elle posa un sac sur le sol, elle se déshabilla et s'introduisit dans la baignoire, fit couler de l'eau puis me demanda de la frotter et de la masser en même temps. J'étais munie d'une éponge avec laquelle je m'appliquais à la satisfaire le mieux possible en étant la plus doux possible. Elle avait l'air satisfaite. Je me disais que j'étais devenue très docile car je m'appliquais à rendre heureuse ma maîtresse mais ce qui me paraissait le plus bizarre c'est que cela ne m'effrayait pas, je trouvais ça normal. Elle se réserva juste sa toilette intime puis se rinça. Je dus la sécher comme un enfant qui sort du bain puis enfila un peignoir. Elle me dit :

-Je savais que tu avais une langue merveilleuse pour me donner du plaisir mais tu as aussi des mains de fée.

-Merci Maîtresse

-Bien, maintenant c'est à toi, mais toi tu vas dans la douche et pas dans la baignoire.

J'étais un peu déçue par ce qu'elle venait de dire mais je m'exécutais. Elle récupéra le sac qu'elle avait laissé tout a l'heure et en sortit deux bracelet d'entrave qu'elle me fixa autour des poignets reliés par une chaîne qu'elle fixa en hauteur au dessus du pommeau de douche. Elle me fixa une barre d'écartement aux chevilles ce qui lui permettait de disposer de mon intimité sans problème. Et pour finir elle me bâillonna avec le bâillon non pas à boule mais à anneau. J'étais le dos contre le carrelage de la douche. Elle commença par faire couler de l'eau froide, j'étais pétrifiée, je gigotais comme pour essayer d’éviter chaque goutte, mais rien n'y faisait. Ensuite elle alterna chaud et froid, la torture était terrible, j'avais l'impression d'avoir le corps entièrement brûlé. Puis elle ferma les robinets et, munie d'un martinet, elle me fouetta le corps. Aucune partie de la face a sa merci n'était épargnée, l'entre jambe, les cuisses, les seins, le ventre ... Je la suppliais d'arrêter mais aucun mot compréhensible ne sortait de ma bouche a cause du bâillon. Quand elle estima que ma peau était devenue assez rouge elle stoppa les flagellations pour me caresser, d'abord les seins puis le clitoris gonflé par les coups. A ma grande surprise l'excitation et les halètements ne mirent pas longtemps à arriver, mais quand elle vit que j'allais jouir elle stoppa les caresses pour recommencer les "chauds-froids", ce qui me coupa net le plaisir. Et enfin elle recommença les coups de martinets, mais uniquement sur les lèvres de mon sexe. La douleur était immense mais en même temps agréable.

Elle s'amusa plusieurs fois à varier plaisir et douleur pour enfin me faire jouir. Mon plaisir était immense et je me sentais épuisée.

Une fois mes esprits repris elle me savonna énergiquement et me rinça. Elle me libéra de mes liens et me tendis une serviette pour que je me sèche, ce ne fut pas chose facile car mon corps me faisait horriblement mal.

Pour m'humilier un peu plus, je dus faire mes besoins devant elle. Pour seule tenue elle me fixa les chaînes que je portais chez Maîtresse Caroline celles qui reliaient mes poignets, mes chevilles et ma taille.

Ensuite elle me donna une liste de toutes les taches ménagères que je devais faire (en quelques sorte, tout nettoyer !!) ce qui allait bien m'occuper pour plusieurs heures alors qu’elle allait se pavaner.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 17:42

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Chapitre 9: La dernière démonstration de Jenny…

 

Lorsque Jenny partit pour l'école après le petit déjeuner, sa maman dansait encore. Jill s'assis à côté d'elle, "Accepterais tu de me parler de tout cela Jenny ? J’ai tellement de questions, mais je comprendrais si tu voulais rester tranquille."

 

Jenny sourit faiblement à Jill, "Je vais devoir parler de cela toute la journée, aussi autant que je m’y habitue. Roycee a été satisfaite au bout de 10 marques. Deux étaient sur des marques précédentes. J'ai suggéré qu'elle se mette sur le lit et fouette chaque fesse une fois, verticalement, en travers des autres marques, ainsi n'importe qui pourrait compter douze coups, s'ils le voulaient. Bien, elle m'a fouettée trois fois, et le plus dur était directement sur la raie."

 

" Oh, non ! Tu veux dire qu’elle a frappé ton trou du cul ? " Jill ri, " Pardonne l'humour, mais j'aurais obtenu une fessée à la maison pour parler ainsi. "

 

"Et bien, cela aurait pu être pire. . . Mais elle est bien pire que maman. . . Mais celà aurait pu être devant! Mon dieu, j’espère qu'elle n’y pensera jamais…. Roycee a dit que sa mère lui donnait vingt coups, tous dans la raie des fesses, pour punir certaines vilaines choses. "

 

" Maman s’est sentie un peu désolé d’avoir permis à Roycee de me donner le Grand Coup, et elle a proposée de permettre à Roycee de lui en donner trois comme ceux que j’ai eu, le dernier sur l’anus. Roycee l’a fait dans la cuisine, avec maman sur le plancher avec le cul en l'air. Le troisième coups était parfaitement descendu au milieu. Maman dansait encore dans la cuisine quand je suis partie. J’espère qu’elle n’aura pas envie d’aller aux toilettes aujourd’hui, je ne le souhaite à personne. Combien de mamans prendraient la fessée comme elle ? "

 

Jill n’en revenait pas, " Pas la mienne c’est sûr. Est-ce que vous allez donner une demonstration aujourd'hui ? "

 

"Oui, mais avec de nouvelles règles. Roycee administre la canne et vous recevez cinq coups, tous verticaux, et le dernier est vous - savez - où. Je tiendrais même les fesses ouvertes pour elle."

 

Jill dit, "Wow, je ne veux pas manquer ça. Je n’aurait peut être pas d’autre occasion de me faire fesser le trou du cul. Tu vas en prendre encore deux ? "

 

Jenny se tortilla sur l'oreiller, "Yeah, et j’espère que c'est le dernier jour de fessées de démonstration pour le moment."

 

Il semblait que tout le monde voulait voir le cul de Jenny, aussi elle passa largement tout son temps de pause dans les toilettes des dames. Les filles qui lui touchaient le cul lui disait qu’il était encore chaud, ce qui ne surprenait pas Jenny. Elle prit un sandwich et passa la plupart du temps de son déjeuner à montrer son derrière. Elle avait un grand succès en montrant les traces des " extras " spécialement celle du milieu des fesses. On lui dit que la marque au milieu de son anus était bien visible encore, ainsi que les marques des verges.

 

Au moins la moitié des filles du cours de gym avaient vu son derrière. Elle était complimentée pour son sexe rasé. Le nouveau maillot était aussi révélateur qu’il était supposé l’être, et l’on voyait bien qu’elle avait été fessée. La prof de gym choisit d’ignorer les marques visibles en haut des cuisses.

 

A la fin du cours, mademoiselle Hunt lui dit " Puis je vous voir dans mon bureau ? "

 

Jenny s'attendait à étant interrogée, "Bien sûr, Mademoiselle Hunt."

 

Dans le bureau, Melle Hunt lui dit de s’asseoir.

 

Jenny souri, "j’espère que ce n’est pas un ordre. J'a été canée et fouettée aux verges aujourd'hui et je me sens mieux debout, a moins d’avoir un oreiller sous mes fesses."

 

Mademoiselle Hunt rit, "Tout le monde dans l'école le sait. Quelqu'un a même mis un avis sur le panneau d’affichage. Pas de problème, gardez la position que vous préférez. Ce qui m'ébahissait c’était que vous étiez si embarrassés par les marques sur vos cuisses justes il y a quelques semaines, et maintenant vous ne semblez pas y faire attention. Votre nouvelle tenue de gym les montre encore plus."

 

Jenny souri, "j’ai mis moi même l’avis sur le panneau, et j’ai chois ce maillot justement parce qu’il était révélateur . Melle Hunt je ne sais pas vraiment ce qui m’arrive, peut être que je grandi. J’ai du montrer mon derrière à des dizaines de filles aujourd’hui, dans les toilettes bien sur. Je voulais qu’elles le voit. "

 

" Est-ce que votre mère est d’accord pour ce, euh, spectacle ? "

 

"Oui, maman a été merveilleuse. Elle m’a elle même payé des bracelets en cuir. J'ai dormi attachée au lit depuis une semaine. Maman me réveille chaque jour avec la canne. Melle Hunt, je veux bien vous en montrer le résultat si vous voulez."

 

Mademoiselle Hunt sourit, "certainement ma chère, J’aimerai bien voir ce dont toutes vos camarades de classe parlent. Si je comprend bien, votre maman a également fessé certaines d’entre elles, celles qui le desiraient."

 

" C’est vrai. Hier elles recevaient quatre coups pour deux qui m’étaient donnés, et nous avons eu dix volontaires. " Jenny se tourna et releva sa jupe, puis se pencha en avant, touchant ses orteils de ses mains.

 

" Oh, mon Dieu ! Et vous étiez volontaire ? Votre maman vous a vraiment bien fessée… "

 

Jenny fit face de nouveau à Melle HUNT, en remettant sa jupe en place. Elle souriait, " Roycee L’a fait. Elle est pire que maman. Oh, il y en a un que je n’avais pas demandé. " Elle montra de nouveau ses fesses à Melle Hunt, ouvrant bien les fesses.

 

"Je ne le croit pas, elle a fessée votre anus ? Cela doit avoir été terrible."

 

" C’était assez intense, c’est vrai. Vous pouvez toucher si vous voulez, près de la moitié des copines l’on fait La marque est encore chaude. "

 

Mademoiselle Hunt fit ce qu’on venait de l’inviter à faire. "Les marques de canne sont proéminentes. Il semble que vous ayez beaucoup de marques anciennes sous celles que vous avez eu aujourd'hui. Votre tout derrière est chaud."

 

" C’est cuisant effectivement. Les plus anciennes sont de maman et de mes amies. Maman me fessait jusqu’à ce que Roycee ne fasse sa démonstration."

 

"Oh, je vais lui demander. J’ai aidé à s'entrainer pendant presque quatre ans et je l’aimais bien, mais nous nous sommes perdues de vue lorsqu’elle a été diplômée. "

 

" Elle est pompier, au capitol. Elle m’a dit qu’elle avait été embauchée parce que :

 

1 / Elle est une Femme Noire.

 

2 / Elle est une Femme Afro - Américaine.

 

3 / Elle est une Femme Nègre.

 

Mademoiselle Hunt rit, " C’est bien du Roycee. Dites lui de venir me voir. Combien de temps reste t’elle ? "

 

"Au moins jusqu’à la semaine prochaine. Je lui dirai. Je ferai mieux d’y aller maintenant ou je vais manquer le bus. Maman devrait venir me chercher et elle me donnera une fessée pour mon retard. " Jenny rit en disant cela.

 

Quand Jenny sortit de l'autobus il y avait plusieurs voitures étrangères devant la maison. Elle gémit. Elle paria que les filles partiraient quand elles entendraient qu’elles devraient recevoir cinq coup, le dernier sur le trou du cul.

 

Elle entra dans la maison et il y avait neuf filles. Sa maman et Roycee les documentaient sur ce qu'elles devraient recevoir pour pouvoir donner deux coups de canne à Jenny. L’une d'elles s’offusqua, "Est-ce que je vais devoir en prendre un sur mon trou du cul ? C’est impossible !"

 

Jenny souleva sa jupe et écarta ses fesses, "Voilà ce que ça donne, et c’est toujours douloureux. Je l’ai reçu à 07 heures ce matin. Franchement j’en ai reçu assez pour la semaine mais je ne vais pas renier ma parole. Si vous pouvez en recevoir quatre coups sur les fesses et un sur le trou du cul, vous pourrez me donner deux coups de canne sur les fesses aussi fort que vous pourrez. Autrement vous pouvez partir. A vous de voir. "

 

La fille qui se plaignait se leva, réfléchit puis se rassit. Elle demanda, "Est-ce que tout le monde veux avoir un coup de canne sur l’anus ?"

 

Une acquiesça, puis une autre, puis l’ensemble.

 

Celle qui venait de se plaindre dit : " je ne veux pas être la seule à partir, alors je vais rester et repartir avec un cul douloureux. "

 

Elles entrèrent toutes dans la chambre de Jenny. Roycee dit : " Vous, avec la grande bouche, vous allez commencer. " La fille tremblait mais ne dit pas un mot et fut bientôt attachée au lit.

 

BAAAAM, BAAAAM, BAAAAM, BAAAAM, aïe,aïe,aïe,aïe. Jenny s’assit sur son dos et ouvrit les fesses de la victime.

 

BAAAAM ! En plein sur la cible ! La fille poussa un horrible cri et fit presque tomber Jenny par terre. Une inondation de pleurs suivi.

 

Jenny dit, "Maintenant que vous avez vu un exemple, je ne vous en voudrait pas si vous décidiez de partir. Grande bouche va pouvoir me donner deux coups de canne, et vous allez pouvoir regarder. Demain vous pourrez me donner deux coups contre quatre sans extra-coups sur l’anus. Ou même la semaine prochaine. "

 

" Oh, j’oubliais, nous faisons une démonstration de strap samedi après midi. " Elle leur dit ce qui devait arriver, et que cinq filles étaient volontaires pour recevoir le strap, une douzaine d’autre venant les encourager..

 

 

 

Roycee dit , " Alors ? D’autres trous du cul vierges ? Ajourd’hui ou plus tard ? A vous de décider. Y a t’il d’autres volontaires pour aujourd’hui ? "

 

Une jeune fille se leva et mit les manchettes. Bientôt elle était attachée et fessée. La dernière attaque sur son trou du cul provoqua le bruit prévu.

 

Une autre fille vint ensuite et fut fessée. Enfin toute les neuf avaient obtenu leur cannée, incluant le redouté cinquième coup sur l’anus.

 

Ellen parla," OK, maintenant la première fille, Melle Grande Bouche, vous pouvez donner deux bons coups à Jenny. " Jenny était en train de se dévêtir pour sa fessée.

 

La fille se leva, le visage rouge, " je suis restée assise ici avec un trou du cul endolori surveillant huit autres filles qui en ont reçu autant en faisant moins de chichis. Je réalise que je parle vraiment trop, et je voudrai commencer à me corriger. Je pense qu’il est temps. Roycee, voudriez vous bien me donner cinq coups de canne supplémentaires ? "

 

Roycee haussa les épaules, " Cest ton derrière. En position. "

 

La fille se rallongea. Elle reçu les quatre premiers coups avec seulement de forts grognements, mais des larmes ruisselaient sur ses joues. "S'il vous plaît excusez-moi si je faire un peu plus de bruit avec le dernier."

 

Jenny s’assit sur son dos et lui écarta les fesses.

 

BAAAAM ! La fille frémit, gémit, mais ne cria pas. " Roycee, je ne pense pas qu’il était aussi dur qu'avant. Est-ce que vous essayeriez encore s'il vous plaît ? "

 

BAAAAM ! Un cri. "Ce… C’était…mieux. M…merci. "

 

Ellen dit, "Vous avez très bien supporté cette cannée. Reposez vous un peu pendant que les autres filles fessent Jenny. Je ne vous oublierai pas ne vous inquiétez pas "

 

Jenny était attachée, et la première fille lui donna deux bons coups de canne. Elle réprima un cri. Son cul était encore douloureux de la cannée du matin.

 

La prochaine fille, exprès ou par hasard, la fouetta au même endroit que les deux coups précédents.

 

Après cela, son cul était si sensible qu'elle criait avec chaque fessée. Enfin vint le tour de l’ex-mademoiselle Grande Bouche. Bien, au moins elle était la dernière.

 

Jenny dit, " Hi, tu connais mon nom, mais je ne connais pas le tien. "

 

La fille sourit , " C’est parce que je suis une ami de Sally, qui est une amie de Sue. Je m'appelle Grâce et je suis la présidente actuelle de la fraternité dont Sally t’a parlé. "

 

"Je vais proposer un strapping ce samedi. Si jamais tu veux te joindre à nous, tu as mon vote. L’enrôlement n’est pas le but, mais Sally ou moi pouvons avoir un invité. Un invité peut recevoir la fessée qu’il désire lors de notre réunion, mais je ne pense pas que tu ais de problème avec cela. "

 

" C’est un plaisir de faire ta connaissance Grâce. Nous avons été un peu dures avec toi, j’en suis désolé. Excuses moi si je ne te serre pas la main, mais il se trouve que je suis un petit peu… attaché. C’est toi que j’ai eu au téléphone lorsque j’ai appelé Sally ? "

 

"Non, je pense que c’était Nancy. La nouvelle de ce strapping s’est propagée. Est-ce que tu penses que ton grand père serait prêts à faire une démonstration dans notre bâtiment ? Certaines filles y vivent, d’autres habitent ailleurs. Nous avons un bulletin, mais il n’y a aucun moyen de toutes les contacter dans un délai bref. Nous pourrions programmer cela pour le mois prochain mois s'il est disponible, et envoyer une voiture le chercher. "

 

" Tu pourras le lui demander samedi. Je pense qu’il sera enchanté de donner une telle démonstration. " Jenny ferma les yeux, il m’a dit : " Jenny je ne me suis pas autant amusé depuis que mon neveu est tombé dans la fosse à purin. Bien sur avant il donnait régulièrement des fessées à maman car c’était une vraie tête brulée, n’est ce pas maman ? Mais cela faisait des années qu’il n’avait fessé personne et il semble qu’il ait pris un grand plaisir à nous fesser toutes les deux. 

 

Grâce était surprise, " Vous avez été strappée toutes les deux ? J’aimerai bien que ma mère s’intéresse, même un peu, aux fessées. Elle n’a jamais compris que notre fraternité organise de tels évènements, aussi j’ai cessé de lui en parler. "

 

Jenny expliqua, " Maman était strappée quand elle vivait chez ses parents, même jusqu'à l'âge vingt deux ans, quand grand père l’a attrapé à fumer. Elle voulait me faire connaître cela, mais grand père a fait remarquer que si elle avait une expérience certaine pour la recevoir, elle n’en avait aucune pour la donner, aussi il s’est proposé pour me strapper. J’ai proposé à maman d’en recevoir une avec moi et elle l’a fait. "

 

Ellen dit :  " J’ai été fessée jusqu’à l’âge de 22 ans. Je n’ai mentionné qu’un seul exemple. Hey, je ferais mieux de préparer le souper. Donne à ma vilaine fille les deux coups qu’elle attend, car je suis supposée vérifier qu’elle les reçoit bien et qu’ils sont suffisament forts. "

 

Jenny s’adressa à Grâce, " Vas-y, fais comme si j’étais une vraie peste et donne moi deux bons coups. Maman, si je ne crie pas cela ne compte pas. "

 

Grâce lui donna un coup, mais Jenny grogna seulement. Grâce frappa plus durement et Jenny poussa un cri, suivit par :  " Cela fait un Maîtresse. S’il vous plait donnez moi un autre. "

 

Grâce frappa de nouveau mais Jenny ne cria pas. Elle donna un nouveau coups sans rien obtenir d’autre qu’un grognement. Finalement, elle donna un grand coup de canne et Jenny cria. " ," M-merci M-Maitresse, c-ca f-fait d-deux. "

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Jenny, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 22:52

Pour vous remercier de votre fidélité, je poste vite fait sur le site un des plus beau cul et une des plus belle chatte que j'ai trouvé sur le net. On a de suite envie de pétrir, de palper, de doigter, de fesser et de visiter ces 2 adorables petits trous!

 

Amusez-vous bien!

 

Lilly15-copie-1.jpg

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 22:46

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Asservie par sa meilleure amie - Communauté : Soumissions féminines
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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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