Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 20:14

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Asservie par sa meilleure amie - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 20:15

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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 20:14

Chapitre 6 : Aux ordres de 2 maîtresses

 

J'avais enfin compris comment je m'étais retrouvée là et qui était derrière ce complot. Mais ma situation restait inchangée si ce n'est que j'étais devenue l'esclave de deux femmes au lieu d'une.

J'appris le jour même ou Stéphanie nous a rendu visite que nous allions partir toutes les trois pour la maison de campagne de Maîtresse Caroline. Je pensais que j'allais peut être avoir moi aussi un peu de vacances et que je récupérerai quelques libertés. Pour préparer le voyage je dus faire la valise de Maîtresse Caroline. Moi je n'eu pas le loisir de préparer un sac pour moi si ce n'est que joindre une brosse a dent dans sa trousse de toilettes. Elle vérifia tout ce que j'avais prévu et fut satisfaite. Ma tenue pour le voyage fut une petite robe blanche ultra courte, sans sous vêtements et une paire d'escarpins noir a talons vertigineux. C'était la première fois que je portais autre chose que cette tenue de bonne. J'appréciais la robe malgré la vulgarité mais j'avais toujours un peu de mal avec les talons de plus de 10 centimètres.

Une fois que j'eu chargée leurs bagages dans la voiture, Maîtresse Sophie me fit venir dans le salon. Maîtresse Caroline tenait dans sa main le petit plug anal qui lançait des décharges électriques. Horreur, j'avais vraiment un mauvais souvenir de la première fois.  Maîtresse Stéphanie me dit :

- Tu as la chance, tu ne vas pas t'ennuyer pendant le voyage.

- Allez Sophie penche toi en avant, jambes tendues, pose les mains sur la table basse.

Dans cette position et vu la taille de la robe je leur offrais mon anatomie.

Maîtresse Caroline eu la bonté de m'enduire l'entrée de mon anus avec un produit lubrifiant ensuite Maîtresse Stéphanie se chargea d'introduire le petit objet en moi. Pour faciliter l'insertion elle me caressa le sexe puis inséra deux doigts dans ce dernier. Elle était très douce et je pris du plaisir à ces caresses. Ceci facilita l'entrée du petit instrument de torture. Une fois complètement enfoncé elle cessa ses caresses et violement, tira sur les lèvres de mon sexe. Je ne pus retenir un petit de douleur. Ma tortionnaire me dit :

-Il va falloir travailler sur la dilatation.

Ce mot m'effrayait terriblement que voulait elle me faire ?

-Bon Sophie, ce n'est pas tout à fait le même instrument que l'autre fois cette fois : il est télécommandé. Me dit Maîtresse Caroline.

Elle me fixa sur la cuisse un petit récepteur sous formes de boîtier plastique noir. Et dans ça main elle tenait la télécommande. Elle pressa le bouton et je senti une décharge électrique en moi très désagréable. Je fis une petite grimace qui visiblement rendit les deux femmes contentes d'elles.

-Bon et pour que tu n'essayes pas d'enlever ton jouet nous allons te lier les mains.

Elles m'enfilèrent des gants de bras, c'était la première fois que je voyais ça et la première fois que j'en portais. C'était pas du tout agréable car ça tirait sur les épaules. Une fois que je fus équipée on monta dans la voiture de maîtresse Caroline et prirent le chemin de sa maison de campagne.

Nous avons fait une première halte dans une station essence. Il y avait trois voitures en plus de la notre. Maîtresse Caroline descendit du véhicule pour faire le plein d'essence. Pendant ce temps Stéphanie prit un malin plaisir à me lancer plusieurs décharges. Je gigotais de douleur mais luttais pour ne pas attirer l'attention de l'homme qui était juste à coté. Par chance il ne se rendit compte de rien. Au bout de 10 minutes de torture, Maîtresse Caroline remonta dans la voiture. Je priais pour que la caissière de la pompe ne remarque pas ma situation quand nous nous sommes avancées pour payer. Heureusement, elle était plus concentrée sur la carte bleu de ma maîtresse que sur le spectacle que je lui offrais. Une fois éloignées Maîtresse Stéphanie se retourna et me dit :

- Je t'avais dis que tu n'allais pas t'ennuyer!!

Les deux femmes se mirent à rire.

Tout au long du trajet je n'eu droit à aucune attention de leur part si ce n'est que des décharges répétés. Le plus étonnant c'est qu'au bout d'une heure de route je me mis à ressentir de plus en plus de sensations agréables à l'intérieur de mon ventre. D'ailleurs je sentais mon sexe se lubrifier et pouvais constater une tache humide sur le siège. Cela me gênait d'ailleurs beaucoup, j'essayais tant bien que mal de la cacher. Ma honte ne cessa pas pour autant l'excitation que je ressentais. Une heure plus tard Maîtresse Caroline fit part à sa comparse que nous étions bientôt arrivées. Stéphanie se retourna pour me dire :

- Alors comment as tu trouvé le voyage ?

Et c'est à ce moment qu'elle aperçu la tache qui c'était formée entre mes cuisses. Elle dit à Maîtresse Caroline :

-Wouah, regarde cette petite salope. Tellement qu'elle a apprécié le trajet elle a mouillé sur toute la banquette.

Maîtresse Caroline stoppa la voiture sur le coté pour constater les fait et je pense qu'a ce moment mon teint était devenu rouge comme une tomate.

- Tu as raison -dit elle- elle a vraiment adorée ça ! Augmente donc l'intensité et calme lui sa libido, en attendant que je trouve quelque chose pour la punir.

A partir de ce moment et pendant environ 20 minutes les décharges que je recevais étaient vraiment très douloureuses et j'avais perdu toute excitation. Maitresse Caroline tourna à droite et s'enfonça dans un petit chemin de terre caillouteux. 100 mètres plus loin elle stoppa la voiture et dit :

- J'ai trouvé sa punition, fait la descendre s'il te plait.

Elles sortirent toutes les deux de la voiture et pendant que Maîtresse Caroline fouillait dans le coffre du 4x4, Maîtresse Stéphanie me fit descendre à mon tour.

Quand elle revint vers nous elle jeta une corde à mes pieds et à l'aide d'un opinel coupa ma robe pour que je puisse la quitter sans enlever mes gants de bras. Ensuite elle me fit me déchausser et m'attacha la corde autour de la taille et l'autre extrémité à l'attache caravane de notre véhicule. Maîtresse Stéphanie dit :

- Je viens de comprendre ce que tu lui réserves. Très bonne idée.

-Oui, ça va lui dégourdir les jambes.

Et sur un éclat de rire elles remontèrent en voiture. Rapidement Maîtresse Caroline démarra la voiture et se mit à rouler à faible allure. Je me retrouvais bien obligée de les suivre alors que les cailloux sur ma plante de pieds nus me faisaient souffrir horriblement. Mais comme si cette douleur n'était pas suffisante pour me faire payer mon "plaisir" Stéphanie continuait à envoyer des déchargent. J'eu beau essayer de les supplier d'arrêter mais elles faisaient comme si je n'étais pas la. Ma marche forcée dura environ une demi-heure quand nous sommes arrivées à une magnifique ferme ancienne retapé. La, elles stoppèrent la voiture devant l'entrée et je me suis écroulé sur le sol tellement mes pieds me faisaient souffrir. J'eu droit à quelques minutes de répits le temps que les deux femmes se dégourdissent les jambes.

C'est Stéphanie qui me détacha et me libéra des horribles gants de bras. Je ressentis une grande douleur dans les épaules à ce moment là. Mais je n'eu pas le temps de faire passer la douleur qu'elle m'ordonna de vider la voiture et de poser les affaires à l'intérieur. La seule chose que j'appréciais était la sensation agréable de l'herbe sur mes plantes de pieds encore endoloris.

La ferme comportait un bâtiment principal où se trouvaient les chambres et les pièces de vie et d'une grange juste à coté. Le bâtiment principal était vraiment très joli, et l'intérieur tout aménagé. Je mis les bagages de mes maîtresses dans leurs chambres avant de leur servir l'apéritif à l'extérieur sur des lits de jardins.

- Enlève-moi ces horribles baskets qui me serrent les pieds, me dit Maîtresse Caroline.

Je m’exécutai et fut surprise par l'odeur particulièrement forte de ses pieds. Elle avait porté ses chaussures sans chaussettes toute la journée.

-Ce que ca fait du bien. Masse les moi, ça me fera le plus grand bien.

Je me trouvais à genoux aux pieds de son transat à la masser  pendant que les deux femmes discutaient tranquillement en buvant un verre. Mais le pire c'est que je commençais à m'habituer à cette situation et le plus déroutant c'était que j'avais l'impression que c'était normal.

Je m'appliquais beaucoup en espérant pouvoir être récompensée. Ce qu'elle fit, de son point de vue, puisqu'elle vida le fond de whisky de son verre sur son pied gauche et me le fit lécher "généreusement". Moi qui n'aime pas particulièrement l'alcool, je fus plutôt contente car l'odeur et le goût fort de ses pieds étaient plus ou moins cachés par ceux de cette boisson.

Je dus m'occuper ensuite des pieds jaloux de Maîtresse Stéphanie qui eux ne sentaient pas particulièrement car elle avait passé la journée avec ses tongs. Elle m'obligea par contre à effectuer le massage juste avec ma langue, cette fille appréciait vraiment qu'on lui lèche les pieds.

A ma plus grande surprise j'appris en fin d'après midi que Maîtresse Caroline ne passait pas la soirée avec nous et qu'elle ne rentrerait pas avant le lendemain. J'étais plutôt déçue de cette annonce car avec elle je savais ce qu'il pouvait m'arriver mais je ne savais pas du tout ce que pouvais me réserver Stéphanie...

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 20:08

Votre blog préféré ne cesse de monter dans le classement du Top des blogs d'Over-blog! Il se place désormais à la 209ème place, contre la 258ème place précédemment!

 

Encore une fois, merci pour votre fidélité et votre patience, vu le ralentissement du rythme des publications!

 

Mais je ne vous oublie pas  . . . !

 

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 28 mai 1 28 /05 /Mai 20:13

Chapitre 16 : Sonia teste l’élasticité du vagin de Sarah :

 

« Oh non, Madame, je vous en supplie ! », supplia Sarah en se remettant à pleurnicher.

 

La petite dinde avait retrouvé sa voix !

 

« Il le faut bien ma jolie ! . . . Mme La Directrice a été très claire : je dois te faire un examen médical complet pour vérifier que tu es apte à subir une punition qui s’annonce très douloureuse et humiliante . . . à la hauteur de tes écarts de conduites ! . . . C’est d’ailleurs une chance pour toi de peut-être y échapper partiellement si je constate une contre-indication ! », sermonna la sculpturale Sonia.

 

Sarah, peut-être peu convaincue par la dernière affirmation, se mit à pleurer franchement.

 

« Bon, j’espère que tu va arrêter tes enfantillages et de prêter à l’examen de bonne grâce ou je vais devoir en référer à Mme La Directrice . . . qui avisera ! », conclu Sonia.

 

Sarah se contraignit à arrêter de pleurer.

 

« Oui, madame . . . Je suis à votre disposition ».

 

« Bien ! », s’exclama Sonia, en la saisissant par le bras et en la traînant jusqu’à un appareillage étrange.

 

Sur un gros pied métallique était fixé une sorte de siège également métallique en forme de corps humain. On reconnaissait distinctement la forme du tronc, des bras et des jambes.

 

Sonia indiqua à Sarah de s’allonger sur le « siège ».

 

La peur visiblement au ventre, la jeune fille s’exécuta.

 

Une fois allongés, Sonia boucla des attaches aux chevilles et aux poignets.

 

Sarah était livide de terreur.

 

Sonia tourna alors une manivelle et les « jambes » du siège se mirent à s’écarter, écartant par la même les jambes de Sarah.

 

Ces dernières remontèrent de plus en plus haut jusqu’à se retrouver à la perpendiculaire du torse de la jeune fille !

 

Sarah grimaça et hurla de douleur.

 

Sonia tourna une seconde manivelle et c’est les bras de Sarah qui se mirent à remonter jusqu’à se retrouver dans l’alignement du torse, ce qui eu pour effet, voulu, de soulever les seins plantureux de la jeune fille.

 

Sonia tourna une troisième manivelle et le siège se mit à basculer à 45°, mettant Sarah dans une position idéale pour son examen.

 

Sonia enfila une nouvelle paire de gants en latex blancs et se plaça entre les cuisses de l’adolescente.

 

Elle écarta ses grandes lèvres et dégagea complètement son clitoris.

 

« Et bien, tu as des lèvres sacrément grosses ! . . . Et un clitoris à l’avenant ! Cela ne m’étonne pas que tu sois aussi sensible ! »

 

Sarah couina de honte.

 

Lin-Yi s’approcha.

 

« Mon Dieu ! », s’exclama-t-elle. « Pardonnez-moi, Madame, mais dans mon pays, on considère que les jeunes filles qui ont des chattes avec de tels attributs sont des jouisseuses et des salopes par nature ! »

 

« Oh non, ce n’est pas vrai ! », s’exclama Sarah.

 

Sonia prit le clitoris de l’adolescente entre 2 doigts. Il était aussi gros que la phalange d’un pouce !

 

« Ah bon ! », s’exclama l’infirmière. « Et comment traite-t-on leur cas dans ton pays ? »

 

« Avant la révolution, elles devenaient des concubines princières ou on les envoyait dans des bordels à soldats. Depuis la révolution, on les éduque avec la plus extrême rigueur afin  de les maintenir dans le droit chemin ! »

 

Sonia fit pénétrer 2 doigts dans le vagin de Sarah.

 

« Oh non . . . Madame, je vous en prie . . . », supplia-t-elle.

 

Sonia releva la tête, visiblement surprise.

 

« Et bien Lin-Yi, je crois que tu ne te trompais pas tout à l’heure . . . les parents de cette demoiselle auraient mieux fait de la placer dans un bordel plutôt qu’à notre école ! . . . elle n’est plus vierge ! »

 

« Oh la salope ! », s’exclama la jeune asiatique.

 

« Alors, tu t’es fait gamahucher à quel âge petite garce ? », questionna Sonia.

 

Sarah éclata en sanglots.

 

« Jamais Madame ! . . . C’est un accident !. . . . Je jouais avec une bougie . . . « 

 

« Tu te mettais une bougie dans la chatte ! . . . de mieux en mieux ! . . . Et tu fais de telles manières lorsque tu te fais punir  . . . Madame La Directrice va apprécier ! »

 

Tout en parlant, l’infirmière tournait ses doigts dans le conduit de la jeune fille, qui commençait à lubrifier sérieusement.

 

Elle les retira et saisit un spéculum d’environ 20 centimètre de long, pour un de large.

 

Elle l’enfonça dans la chatte de Sarah.

 

L’engin pénétra comme dans une motte de beurre fraiche !

 

Plus d’une bougie avait déjà du passer dans cette chatte !

 

Une fois enfoncé, Sonia se mit à tourner la molette du spéculum pour l’écarter.

 

Peu à peu, Sarah se mit à gigoter, puis à grimacer et enfin à hurler.

 

Sonia regarda son appareil.

 

«5 centimètres ! . . . Pas mal pour une péronnelle de 17 ans ! »

 

Elle revissa la molette du spéculum et le retira, puis remit les jambes et les bras du siège en place et libéra l’adolescente.

 

Toute courbaturée, celle-ci descendit à grand peine.

 

« Et bien tu es en parfait état pour subir ta punition ! . . . Et comme tu n’es plus vierge, Madame La Directrice ne sera pas gênée ! », conclu Sonia.

 

Sarah tomba au sol et s’agenouilla devant elle en éclatant en sanglots.

 

« Oh pitié Madame ! . . . Je ne le supporterai pas  . . . d’être à nouveau punie . . . »

 

« Allons, un peu de tenue ! Mme Marx a promis de laisser tes fesses tranquilles . . . . C’est un mauvais moment à passer. Soit courageuse ! Et obéissante ! Et elle te renverra vite à tes chères études ! »

 

«Mais, elle a promis de me punir par ou j’ai péché . . . et devant les garçons de l’école des garçons ! », hurla Sarah

 

Lin-Yi éclata de rire.

 

« Voilà qui est assez mortifiant ! », releva la jeune fille. « Je connais quelques amis qui vont bien s’amuser ! »

 

« Conseillez-moi, Madame, je vous en prie . . . je suis prête à tout pour éviter cette punition ! »

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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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