Mercredi 11 avril 3 11 /04 /Avr 19:18

Chapitre 13: Règles (2ème partie)

 

— Oui Maîtresse. Ses pensées se concentrèrent sur le sexe de Betsy. Elle avait déjà léché la serveuse et se souvenait de son goût une petit peu sucré. Son excitation monta, humidifiant son intimité.

— Pénètre-toi avec ton doigt, espèce de petite pute lesbienne soumise.

Allie se rendit compte que le langage ordurier ne faisait qu’ajouter à son excitation. Elle inséra son doigt dans sa vulve et le fit aller et venir comme sa Maîtresse le lui avait ordonné. Elle pouvait sentir les parois veloutées de son vagin devenir de plus en plus humides.

— Tu n’as qu’à t’imaginer que tu es obligée de sucer une chatte avec un énorme godemiché enfoncé dans ta cramouille de salope.

Allie suivit ses conseils et s’excita encore plus.

— Maintenant, le sexe factice est dans ton cul, fais-le bouger entre tes fesses.

Allie s’exécuta sans se faire prier et se mit à gémir en approchant de l’orgasme.


Nicole observait l’adolescente se mener au plaisir au pied de son lit. Elle aimait tant ça, elle pouvait l’obliger à se masturber à la demande. Son esclave était vraiment le jouet parfait. Toute femme devrait avoir sa propre salope.

Allie jouit en poussant un gémissement et continua à sodomiser son petit anus en se laissant emporter par les vagues du plaisir.

Dès que l’adolescente eut terminé, Nicole ordonna :

— Debout esclave, c’est l’heure de ton service matinal.

Allie se releva tant bien que mal. Elle était à nouveau dans cette espèce de transe sexuelle qui commençait à lui être si familière. Ses tâches furent, à peu de choses près, les mêmes que les matins précédents : Elle dut faire couler la douche de Maîtresse Nicole puis s’agenouiller entre ses cuisses pendant qu’elle urinait dans la cuvette des toilettes.
Ce matin-là, elle fut soulagée que Nicole ne lui fasse pas sur le visage comme la veille. Mais cette fois Nicole ne l’autorisa pas à utiliser le papier toilette. Elle l’obligea à lécher l’urine qui souillait son sexe jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus une trace.
Allie s’acquitta de sa tâche sans broncher, cela lui paraissait tellement moins désagréable que ce que sa Maîtresse lui avait imposé le matin précédent. Pour elle, lécher le sexe de Nicole était près de devenir quelque chose de naturel. Elle avait franchi tellement de degrés dans la soumission dans un laps de temps si court, que le fait de lécher le sexe d’une autre femme juste après qu’elle ait fait pipi lui paraissait tout à fait acceptable.

Lorsqu’elle s’estima suffisamment propre, Nicole céda sa place à Allie pour qu’elle se soulage à son tour, puis elles entrèrent dans la douche. L’adolescente lava sa Maîtresse, accordant une attention toute particulière à la règle 18 (elle ne voulait pas être encore fouettée), se répétant à voix basse :

— Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.

— Que dis-tu salope ? Demanda Nicole.

Allie répeta un peu plus fort afin que Nicole entende :

— Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.

— Brave fille, nous réviserons toutes les règles en prenant le petit-déjeuner. Sur ce, elle coupa le robinet. La Maîtresse et son esclave sortirent de la douche.

Allie prépara sa Maîtresse pour la journée. C’était le samedi et Nicole voulait rester à la maison à paresser. Elle mit un survêtement moulant, bleu marine avec des bandes galonnées sur les manches et sur les côtés des jambes. Il mettait les formes de son corps en valeur et lui donnait un air sportif élégant.

Pendant le petit-déjeuner, Allie répondit correctement aux questions qui portaient sur les règles et Nicole la complimenta sur ses capacités d’apprentissage.

— Allie ! Te souviens-tu que nous avons une invitée ce soir ?

Le cœur de l’adolescente s’affola.

— Je veux que tu nous prépare quelque chose de spécial pour ce soir. Tu devrais y aller.

Et elle se désintéressa de l’adolescente et s’installa dans le salon pour lire le journal.

****

À midi, par deux fois et du bout des doigts, Nicole avait mené sa soumise à l’orgasme, au beau milieu de la cuisine. Elle avait systématiquement exigé qu’Allie lui rende la pareille, du bout de la langue, agenouillée sur le carrelage, les bras croisés dans le dos avant de préparer des pâtes carbonara et de la salade pour le dîner.

La sonnette retentit à l’entrée.

— Va ouvrir petite chienne !

Choquée, Allie était restée immobile dans la cuisine.

— Ne laisse pas quelqu’un attendre à la porte, petite salope, c’est malpoli. Et souviens-toi de la règle numéro 7…

L’adolescente était entièrement nue, excepté son collier de chien, hésitante, elle s’approcha lentement de la porte.

La sonnette retentit à nouveau. Allie se glissa silencieusement derrière la porte et l’ouvrit. Elle fit son possible pour rester derrière, espérant que la personne qui attendait ne verrait pas sa nudité. Sous le coup de l’émotion, elle avait oublié son collier.

Une jolie jeune fille brune, qui semblait être à peu près du même âge qu’elle se tenait sur le pas de la porte. Elle portait un short court, un haut de bikini rouge, une paire de lunettes de soleil et des tongues. Instinctivement, l’adolescente s’imagina en train de déshabiller la jeune fille. Elle aimait beaucoup ses petits seins fièrement dressés qui remplissaient adorablement le petit bikini et dont les tétons pointaient sous le tissu. Elle imagina ses lèvres entourant les pointes érigées, suçant, suçant, suçant et dut secouer la tête pour évacuer l’image de son esprit. Elle ne voulait pas fantasmer sur des femmes nues. Elle n’était pas une lesbienne, elle aimait les garçons, elle n’aimait pas les filles.

Elle sortit de sa torpeur, se cachant toujours derrière la porte, lorsque la jeune fille dit :

— Salut, je suis Brittney. Je fais partie de l’équipe de majorettes du Lincoln High. Nous proposons des lavages de voitures. Est-ce que votre voiture a besoin d’un nettoyage ?

— Je ne pense pas. Répondit Allie.

Elle ne pouvait quand même pas demander à cette fille la permission de lui sucer le sexe… Ça n’était pas convenable.
Elle se tint inconfortablement derrière la porte, essayant de se cacher, espérant que la fille s’en irait rapidement.

— C’est un collier de chien que tu portes ? Demanda Brittney.

Non, non, non, s’il vous plaît, ne permettez pas que ça recommence se dit Allie.
Elle fit un petit oui de la tête et baissa les yeux, humiliée. Etait-il possible de vivre quelque chose de pire que ça ?

— Waow ! Mais pourquoi portes-tu ça ? Demanda-t-elle.

Allie répondit aussi doucement que possible :

— Il le faut.

Sans quitter le sol des yeux.

— Tu peux me le montrer ? Demanda la jeune fille en se penchant pour regarder derrière la porte.

Elle constata que l’adolescente ne portait pas de vêtements, que des anneaux transperçaient ses tétons et qu’un petit cadenas était suspendu au capuchon de son clitoris.

— Oh mon dieu, regarde-toi ! Dit la brune en pointant le doigt sur elle. — Tu as un cadenas sur le clito !

À ce moment, Nicole les rejoignit dans l’entrée, et demanda :

— Qui est-ce Allie ?

Elle s’approcha des deux jeunes filles, Allie, nue, un collier de chien autour du cou et ses piercing d’un côté, et Brittney, la jolie petite majorette avec son short court et son haut de bikini de l’autre.

Allie ne répondit pas, si bien que Nicole se présenta elle-même.

— Bonjour, moi c’est Nicole.

— Moi c’est Brittney, est-ce que vous jouez à quelque chose de pervers ou quoi ?

— Et bien, Allie que voici est très attirée par toutes les choses du sexe, et moi je m’occupe simplement de la conseiller et de l’aider à assouvir ses fantasmes. Tu n’imagines pas dans quels états elle se trouverait si je ne l’aidais pas à canaliser ses pulsions lesbiennes.

Nicole était extrêmement fière d’elle. Elle avait la certitude qu’Allie était complètement humiliée et abattue, obligée à se tenir nue devant l’inconnue, tandis qu’on parlait d’elle comme d’un objet.

— Elle est gay ?

— Attends ! Tu ne veux pas dire qu’elle ne t’a pas encore demandé l’autorisation de sucer ta minette ?

— Quoi ? Bien sûr que non !

— Ca ne va pas du tout ça !, dit Nicole en se retournant face à allie. — C’est très impoli, ma fille, tu mérites une punition pour désobéir à la règle numéro 7. Maintenant fais ce qu’on te dit et demande…

Allie pleurait presque lorsqu’elle demanda à la jolie brune :

— Aimeriez vous que je suce votre minou, Maîtresse ?

Elles ne l’entendirent qu’à peine tant elle parlait doucement.

Nicole réagit aussitôt, avant même que la majorette ait pu répondre, elle ajouta :

— C’est une bonne petite lécheuse de chattes, et elle s’améliore sans arrêt. Si tu n’as jamais été léchée par une fille, ça pourrait être la bonne occasion pour essayer.

— Ben… Je ne sais pas… Je ne suis pas comme elle… Je veux dire que je ne suis pas gay, et je ne veux pas tromper mon petit copain.

— Voyons Brittney, te faire sucer la minette par Allie ne veut certainement pas dire que tu es gay, seulement que tu souhaites vivre une nouvelle expérience. Beaucoup de filles essaient, et te voir en train de te faire sucer le sexe par Allie pourrait probablement être une expérience inoubliable dans la vie d’un jeune homme. Pourquoi ne lui demanderai-tu pas s’il veut venir voir la prochaine fois. Vous seriez bien venus tous les deux si vous vouliez revenir la semaine prochaine. Peut-être qu’on pourrait aussi convaincre Allie de l’aider un peu, malgré son ignorance en matière de sexes d’hommes.

— Bien… Pourquoi pas… Faut voir… Elle regarda par-dessus son épaule, dans la rue.

— C’est à dire que je suis un peu pressée, nous essayons de trouver des gens du coin qui seraient intéressés par le lavage leur voiture à la station-service du quartier.

Nicole sembla réfléchir un moment.

— D’accord, mais au fait, pourquoi n’irais-tu pas demander aux autres si elles ne sont pas intéressées par une aventure avec cette petite salope ?

D’un geste, Nicole invita Brittney à rentrer et ferma la porte derrière elle.

— Viens par là, Allie va te montrer comme elle est douée.

Allie pleurait presque, elle aurait voulu dire à Nicole qu’elle ne voulait pas faire l’amour à Brittney, mais les deux jeunes femmes étaient déjà passées au salon.

Nicole conseillait à l’adolescente brune de se détendre et de se laisser faire par la salope. Elle s’assit sur le canapé et fit signe à Brittney de se placer au milieu de la pièce.
Allie n’avait pas besoin qu’on lui indique ce qu’elle devait faire, elle s’agenouilla devant la jeune fille et tendit la main vers son short.

— Allie ! C’est impoli, qu’est-ce que c’est que ces manières ? Demande-lui si elle t’autorise à voir son minou.

Allie s’arrêta et leva les yeux vers la majorette.

— Est-ce que je peux vous enlever votre short Maîtresse ?

— Oui. Répondit Brittney, manifestement nerveuse.

— Appelle la "salope", elle adore ça. Ajouta Nicole.

Allie déboutonna le short de la brune, et l’abaissa. Le mouvement révéla une adorable culotte assortie avec le haut du bikini.

— Est-ce que je peux vous enlever votre bikini Maîtresse ?

— Oui salope. Répondit Brittney, souriant timidement en éprouvant l’ivresse du pouvoir qu’elle exerçait sur la fille agenouillée à ses pieds.

Allie crocheta la ceinture du bikini et le baissa à son tour, mettant à nu un adorable petit sexe de lycéenne.

—      Est-ce que je peux lécher votre minou Maîtresse ?

—      Vas-y salope. Dit-elle avec un rire de gorge.

Allie posa sa langue sur le sexe de la brune, et se mit à lécher sans retenue. Brittney lança sa tête en arrière et s’écroula sur le sol, tandis que les vagues d’un plaisir ravageur la submergeaient.
Nicole se leva du canapé et alla chercher son appareil photo numérique. Elle prit plusieurs photos des deux filles, prenant soin de cadrer les photos sans que le visage de Brittney y apparaisse alors que celui d’Allie, lui, était parfaitement visible. Sur plusieurs photos, la bouche de l’adolescente était plaquée goulument sur le sexe de la majorette.

Brittney eut un orgasme aussi rapide que ravageur. Elle se rhabilla et s’en alla en promettant d’en toucher quelques mots à ses copines.

L’après-midi d’Allie se poursuivit entre préparation du repas et léchage de sexe.

Avant quatre heures, Allie avait fait la connaissance de 5 autres majorettes. Elle les avait accueillies correctement sur le pas de la porte, demandant à chacune d’entre elles :

— Puis-je lécher votre minou Maitresse ?

Elle les avait ensuite léchées jusqu’à la jouissance. Nicole prit des photos de chaque rencontre. Même si leur visage n’apparaissait pas sur les photos, on s’apercevait sans conteste que les partenaires d’Allie étaient différentes à chaque série. Nicole envisageait de poster les photos sur un site web.

Enfin, Allie s’acquitta du dîner.

— Joli travail, salope, tu as parfaitement bien respecté la règle numéro quatre aujourd’hui. Je n’aurai pas besoin de te punir pour celle-là. Par contre, au début, quand Brittney à sonné à la porte, tu n’as pas respecté la règle numéro 7. Nous règlerons ça ce soir avec Betsy, je suis certaine qu’elle va aimer ça.

Allie attendit l’arrivée de Betsy avec appréhension.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 21:09

J'adore les contes pour enfants . . . et surtout les contes pour enfants adaptés pour un public adulte!

 

Si vous avez mis là main sur un récit de qualité de ce genre, envoyez-le moi pour publication!

 

J'apprécie tout particulièrement les personnages de méchantes . . . qui donnent tellement de sel aux histoires!

 

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Et quelle plus belle méchante que la Reine de coeur de "Alice aux pays des merveilles"? . . . Bottes-cuissardes en cuir  à haut talons . . . robe échancrée . . . cuisses bien galbées . . . dominatrice féroce . . . on imagine tout ce qu'elle fera subir à cette "pauvre" Alice!

 

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 Je suis volontaire pour lui prêter main forte!

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 21:02

Chapitre 14 : Sarah se fait sodomiser et raser de près

 

Sonia plaça la poire au dessus de la matraque et la pressa de toutes ses forces. Un filet huileux s’écoula sur les boules et sur sa main.

 

Celles-ci enduite d’huile, elle plaça la pointe de la poire sur l’anus de Sarah. La pastille rose de la jeune fille se contracta de peur. L’adolescente couina de frayeur, mais n’eu le temps de ne rien faire. Sonia enfonça la pointe de la poire dans l’anus sans défense et pressa de toutes ses forces vidant la poire dans le cul de sa « patiente ».

 

Ceci fait, elle retira l’engin, mais pour placer à l’entrée de l’anus la pointe de la matraque, encore plus menaçante.

 

De nouveau, l’anus rosé se crispa de peur. Les muscles de Sarah également.

 

Celle-ci supplia en bougeant la tête de droite à gauche de façon pathétique.

 

Sonia poussa alors la matraque dans le cul de l’adolescente dont tous les muscles se contractèrent.

 

La 1ère boule entra dans l’anus jusqu’alors inviolé.

 

La jeune fille tremblait de tous ses membres et pleurait. Un filet de bave continu s’échappait du gode ouvert qui lui distendait la bouche.

 

Après une belle claque sur une des fesses de sa patiente, Sonia recommença à pousser sa matraque pour faire pénétrer la 2ème boule, et à force d’insister y arriva.

 

Sarah trembla de plus belle.

 

Sans tenir compte des cris étouffés de l’adolescente, ni de ses spasmes, mon infirmière de choc poussa à nouveau la matraque et enfonça la 3ème boule dans le cul torturé.

 

Sarah poussa un feulement de bête à l’agonie et ne pu se retenir d’uriner !

 

Pour ma part, je ne pu me retenir non plus et j’eu mon 2ème orgasme ! . . . Sonia était une diablesse !

 

En voyant sa compagne de classe ainsi avilie, Lin-Yi souriait à pleines dents !

 

« Mon Dieu ! », s’exclama Sonia. « Quel manque de tenue ! . . . Qu’elle indécence ! Et bien je ne te conseille pas de te laisser aller ainsi devant Mme La Directrice ! »

 

Et tout en faisant ce constat, on ne peut plus exact, elle claqua à nouveau les fesses rebondies de l’adolescente à tout va cette fois, sans se retenir. Le cul plantureux de Sarah était à sa merci, elle en profitait à plein !

 

Une claque sur la fesse gauche, une sur la droite, et ainsi de suite. Entre deux volées de claques, elle pétrissait les fesses charnues à pleines mains.

 

Les fesses virèrent vite au rouge.

Elle enchaîna de la même façon avec les cuisses de la jeune fille.

 

«Bon, ton trou de balle est étroit, mais il peut soutenir une éventuelle punition de Mme La Directrice ! », conclu Sonia. « Je dirai même que quelques punitions lui feraient le plus grands bien en l’élargissant un peu ! »

 

Puis, elle se mit à tirer sur la matraque pour la retirer du cul de la belle rouquine.

 

Visiblement, cela lui fit aussi mal que la pénétration !

 

Une boule sortit. Puis une deuxième. Puis une troisième.

 

L’anus resta ouvert quelques secondes, puis tenta enfin de se refermer.

 

Sonia regardait sa matraque.

 

« Mon Dieu ! Tu as recouvert ma  matraque de merde ! »

 

Le cerveau encore embrumé par la douleur de Sarah comprit tout de même les propos ordurier de l’infirmière.

 

Elle courba l’échine de honte.

 

« Un bon nettoyage s’impose avant de te renvoyer chez Mme Marx ou tes boyaux vont se souvenir du voyage ! »

 

Puis, jetant sa matraque sur le sol, elle se releva.

 

« Mais avant, nous allons appliquer les consignes de Mme La Directrice et te faire une épilation intégrale ! »

 

Elle alla dans un coin de la salle et revint avec un broc visiblement rempli.

 

Elle enfila une paire de gants de latex blancs fins qui lui couvrirent mains et bras jusqu’aux coudes.

 

Elle plongea ses mains dans le broc et les ressortis.

 

Les gants étaient couverts d’une crème blanche assez pâteuse.

 

Sonia prit en main les fesses de Sarah et les malaxa pour les enduire du produit, les pétrissant bien plus que nécessaire.

 

Elle passa ensuite aux cuisses, aux jambes, au dos, au ventre, aux bras, et n’oublia pas les seins plantureux de la jeune fille qu’elle pétrit aussi consciencieusement que ses fesses et avec un plaisir évident, et bien entendu sa vulve qu’elle couvrit de crème.

 

Sa tâche terminée, elle se releva, prit en main un rasoir à la lame impressionnante et bien aiguisée et saisit Sarah à l’épaule.

 

« Je te conseille de ne pas bouger ma belle ! », commenta t-elle.

 

Elle plaça la lame sur l’épaule et se mit à raser le dos de l’adolescente.

 

La crème fit que celle-ci eu la peau rosée, mais pas trop irritée.

 

Tout le dos y passa. Puis les fesses et les cuisses.

 

Sonia se releva alors, saisit la jambe gauche de la jeune fille, la tira en l’air et la lui rasa de près.

 

Ceci fait, elle fit de même pour la jambe droite.

 

La laissant retomber, elle tira Sarah par les cheveux pour qu’elle s’agenouille et lui rasa les bras.

 

Elle saisi ensuite le mamelon gauche entre 2 doigts, tira le sein vers le haut et rasa la mamelle et le ventre autour, puis fit de même avec le sein droit.

 

Enfin, elle poussa sa patiente au sol, sur le dos, qui glissa sur la crème qui y était tombée, lui écarta les cuisses et rasa sa chatte au plus près, dégageant le mont de Vénus, les grandes lèvres et le clito, d’ailleurs érigé.

 

Cela me permit de constater que Sarah avait des lèvres encore plus proéminentes que je ne l’avais pensé !

 

Un morceau de choix auquel il allait falloir rendre tous les honneurs !

 

A la vue de ce spectacle, voisin du plumage de volaille, j’eu mon 3ème orgasme. Mes jambes flageolaient. Mais je ne pouvais m’arrêter de me branler comme une damnée !

 

Sonia enleva sa paire de gant et en mit une seconde.

 

« Bon, quitte à salir l’infirmerie, terminons toute la besogne salissante de suite ! », s’exclama t-elle en forçant une Sarah en état de choc, qui n’obéissait plus que mécaniquement, à se remettre à 4 pattes.

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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 20:50

Malgré le long week-end pascal vous avez été nombreux à venir lire les petites histoires de votre blog préféré . . . alors qu'aucune nouvelle histoire n'y était publié!

 

Pour vous remercier de votre fidélité et de votre patience, vous allez enfin avoir droit à un nouveau chapitre de "La punition de Sarah", une de vos histoires préférée, sinon votre histoire préférée, car la plus consultée! Et ce malgé son caractère particulièrement hard! Ou peut-être à cause de  . . . ?

 

Comme le chapitre précédent, ce chapitre est une suite de mon cru. N'hésitez pas à me donner votre avis!

 

J'essaye de respecter le style inimitable de l'auteur, Max Smart, que j'adore,  et ne vous étonnez donc pas de la violence physique de l'histoire. Une évolution cependant: là ou l'auteur suggérait la violence sexuelle, je la rends plus explicite!

 

Est-ce à votre goût?

 

Bref, la "pauvre" Sarah n'a pas finit de souffrir . . . et de jouir!

 

10

 

En prime, un petit focus sur Tera Patrick qui ferait une magnfique Madame Marx!

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Vendredi 6 avril 5 06 /04 /Avr 20:08

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Chapitre 7: Où Jenny négocie …

Enfin toutes les filles partirent et Jenny resta seule avec sa mère dans la cuisine, s’asseyant sur un oreiller moelleux. " Je n'ai jamais vu personne prendre une fessée comme Helen-Ann l’a fait. Elle en a pris vingt de toi et vingt cinq de Sally. Non seulement çà, mais c’était sa première fessée. Hey, Je vais essayer d'entrer dans son association, ils sont très branchés fessée."

Ellen souri, " Je te rappelle juste que tu vis encore ici, et je peux t'en donner un peu plus. Puis il y a toujours ton grand père. Chérie, qu'est-ce que tu penses de mon idée de te réveiller avec plus d’un coup de canne pour les deux prochains jours ? "

 

Après les activités de l'après midi, Jenny n'était portée sur la discussion. Elle avait pensé à cela depuis le matin et avait pris une décision. "C'est d'accord maman. Donne-moi ce que tu penses être bien pour moi. A la fin de la semaine je veux avoir le derrière le plus fessé de toute la ville si je ne l'ai déjà."

" En tout cas tout sera fini jeudi matin !!"

"Bien, maman, je ne suis pas si sûr de cela. Je n'avais pas mis de date limite à mon offre de permettre aux filles qui le veulent de me fesser. Il y en avait onze aujourd'hui, et elles ont toutes appréciées le spectacle. Je parie qu'il y en aura plus mardi et mercredi. Puis le jour de ma grande fessée, il y en aura encore plus d'intéressées. Il y a une vingtaine de filles dans notre classe de gym, et elles parlent toutes de l'allure qu'aura mon derrière. En fait je suis certaines qu'elles se demandent si je pourrais en prendre plus que les vingt annoncés jeudi."

" Et tu penses pouvoir en recevoir plus ? "

"Je crois que oui, maman. Du moins si j'ai quelques heures pour que mon cul rafraîchisse, et si c'est vraiment trop dur je leur dirais que j'en ai pris assez pour une journée mais qu'elles pourront revenir le lendemain, et me donner deux coups chacune. Je pense que je devrais être capable d'en prendre autant Qu'Helen-Ann. Enfin, vingt au moins. A l'exception de Sally, la plupart des fessées que j'ai eues aujourd'hui étaient en dessous de l'intensité des tiennes.

" Maman, je n'arrive pas à croire que je suis devenue aussi exhibitionniste. Il y a juste quelques semaines nous changions la canne pour que les marques des verges ne se voient pas sous mon maillot et maintenant je montre mon cul aux étrangers et je permette même qu'ils me fessent. Tu sais, Sally ne m'avait jamais rencontrée jusqu'à aujourd'hui ! Elle était l'amie d'une amie et décidait venir me voir fesser. Wow, je suis contente qu'elle l'ai fait, parce que ainsi j'ai entendu parler de cette association."

"Bien, chérie, la fessée que tu as reçu de mon père a débloqué les choses on dirait ? "

" Je sais, maman, soudainement je voulais que tu me fesses et le dire à tous mes amis. Je t'ai même donné les noms et numéros de téléphone pour chaque fille. Tu sais, j'ai mis des affiches à l'école disant ' Jenny reçoit une cannée Jeudi ' Est-ce que tu penses que je l'aurais fait deux semaines auparavant ? "

Ellen souri, "Non, je ne pense pas. C'est ironique que nous ayons acheté cette canne un petit peu avant que tu ne te décide à rendre public tes fessées. Maintenant, je préfère la canne maintenant que je suis habituée à l'utiliser. Mais je suppose que nous pourrions de nouveau utiliser les verges et que tu n'en as plus rien à faire n'est ce pas ?"

" Bien sur, hey maman, pourquoi ne pas m'en donner une douzaine avec les verges après la cannée ? De cette façon les marques se verront sous mon maillot et tout le cours de gym sera au courant de ma fessée."

Ellen secoua sa tête, "Ma chère fille est devenue maso ! Sûr, chérie, c'est ton cul. Arrange toi pour avoir une bonne collection de branches prête pour mercredi soir. Tu veux que j'essaye de te frapper un peu sur le côté afin que les marques se voient mieux ?"

"Ca paraît être une bonne idée. Est ce que tu me permettrais d'avoir un ensemble plus révélateur ? Certaines filles ont des maillots plus échancrés sur l'aine et derrière. Personne n'a jamais rien dit, et je pense que le professeur s'en fiche. Je sais à qui demander demain pour savoir ou l'acheter. "

Ellen souri," Sûr, chérie. Prend le maillot le plus échancré que ton professeur te laissera porter, mais je te rappelle que tu as beaucoup de poils pubiens, je suis volontaire pour te les couper, ce n'est pas très facile de le faire soi même."

"Maman, est-ce que tu pourrais aller un peu plus loin et me les raser ?? Plusieurs des filles ont des chattes rasées et cela fait vraiment net. En plus cela fera une chose de plus à regarder pour les gens de ma classe."

"Wow, où est-ce que j'ai trouvé cette exhibitionniste ? D'accord chérie, mais faisons un deal, je te rase et tu me rases. Je parie que ton père aimera cela."

"C'est mieux pour lui quand il te lèche…."

" Jenny, comment est-ce que tu sais cela ? Je pensais que tu étais encore une vierge."

"Je lis beaucoup et je discute avec mes amies. En plus un garçon pourrait me manger la figue et je pourrait encore être une vierge, bien que si nous allions aussi loin, je perdrais probablement tout contrôle et je voudrai qu'il me prenne."

" Regarde maman, techniquement je ne suis pas une vierge, parce que j'ai perdu ma virginité depuis quelques années avec un god. Mais aucun garçon n'a obtenu de baisser ma culotte pour l'instant. Il y a seulement un garçon qui me plaise suffisamment pour cela, mais nous ne sommes pas allés aussi loin. Je ne suis pas prude. Si je décide de le permettre, ma culotte va disparaître vite. J'ai toujours au moins deux préservatifs avec moi. Enfin, pas maintenant, mais ils sont dans mon sac à plaisir. "

Jenny racla sa gorge, "Ahem, ce qui amène un autre sujet, maman. Beaucoup de garçons ont demandé à me fesser, comme les filles, mais je leur ai dit que c'était réservé aux personnes de même sexe. Mais le garçon qui me plait… C'est autre chose…Est ce que tu lui permettrais de me fesser un peu ? Son nom est Derek Nelson, et je pense qu'il est vraiment cool."

Ellen avait entendu parler de la famille Nelson. " Jenny, tu veux que ce garçon te voie te déshabiller, puis t'aide à être attachée sur ton lit et enfin qu'il te fesse, c'est cela ?"

"Oui, ce n'est pas comme s'il ne m'avait pas déjà vue nue plusieurs fois…"

"Et où, ma fille avec tant de secrets, as t'il pu te voir nue ??"

Jenny ri, "C'est très simple, maman. Nous nageons et plongeons dans la rivière. Beaucoup de garçons et filles le font. Certains parmi eux font l'amour avant ou après la baignade. Je pense que j'ai vu une douzaine de fois des couples baiser. Nous devons marcher au travers d'eux pour récupérer notre serviette. C'est vraiment excitant, et cela nous amène à nous soulager…"

"Et tu ne lui as jamais permis une incursion dans ta culotte ?"

"En fait maman, il m'a fait jouir avec sa main. Je suppose que c'est aussi bien comme sensation qu'avec son sexe, mais honnêtement je ne sais pas. Ensuite je l'ai aidé à jouir de la même façon, euh, excepté la dernière fois. "

"Décidément, c'est la journée des révélations. Et qu'as tu fait la dernière fois ? "

"J'ai employé ma bouche. Son sperme a bon goût. J'ai tout avalé et il m'a léché le sexe. C'était notre scène la plus intense. Alors il peut me donner une fessée ? "

Ellen soupira. Jenny était seulement à quelques mois de ses dix-huit ans…. "Est-ce que je peux demander combien de coups tu penses le laisser te donner ? Je parle des fessées, pas des doigts."

Jenny ri, "La douzaine habituelle, et je voudrai que tu sois là comme arbitre pour être certaine qu'il le fait correctement. Tu pourrais commencer par m'en donner une ou deux pour qu'il voit quelles marques cela doit faire… Bien sur nous ne compterons pas ces premiers coups…"

Ellen pensa que de toute façon Jenny pourrait prendre la canne et aller se faire fesser en dehors de la maison. "Et je suppose qu'ensuite tu me demanderas de partir pour qu'il puisse te 'consoler' après la fessée ? "

"Ce serait gentil maman. Je pense que je devrais l'aider à se masturber…."

"Mais tu promets de ne pas lui permettre de te pénétrer autrement qu'avec sa main. Oh, je suppose que sa langue c'est OK aussi. D'accord ?"

"D'accord, maman, mais est-ce que tu peux imaginer de te faire baiser pour la première fois ainsi ? Le cul bien fessé, attachée au lit et il entre par l'arrière, style levrette. Ma culotte est mouillée juste en pensant à cela. Euhh d'ailleurs ce n'est pas vrai, je ne porte rien. Je suis toute excitée. Il a un grand sexe."

Ellen remarqua que sa propre culotte était humide, "Chérie, que penses tu d'attendre un certain temps, la semaine prochaine, après que ton cul ait récupéré. Je pense que je permettrais à Derek de te rentrer plus que sa main. Je le laisserai commencer à te fesser puis je partirai. Si je lui tends un préservatif et si je lui dis d'y aller doucement avec toi, vous saurez que j'ai décidé que vous êtes assez vieux tout les deux pour avoir des relations sexuelles, et je te délivrerai de ta promesse."

Jenny embrassa sa maman, "Oh, merci maman. Nous n'aurons pas de relations sexuelles, nous ferons l'amour."

"Tu penses vraiment que c'est aussi sérieux entre vous ?"

"Nous allons attendre au moins jusqu'à ce qu'il ait son diplôme d'ingénieur, c'est à dire encore deux ans, mais nous éprouvons beaucoup de choses l'un pour l'autre. Il est puceau également."

"Est-ce que tu penses que nous allons avoir beaucoup de monde ici demain à te fesser ?

Je pourrai être la si tu veux."

"Maman, après que les onze filles l'aient dit au moins à une autre fille après la scène d'aujourd'hui, que penses tu qu'il va se passer ? Ils devront louer un autobus ! Puis il y a le week-end. Oh, je dois appeler grand père. Helen-Ann et Sally veulent un strapping. J'espère qu'il est libre samedi."

"Laisse moi l'appeler et lui dire bonjour, ensuite je te le passe." Ellen alla au téléphone et composa le numéro familier. Sa mère répondit en premier et elles bavardèrent un moment puis vint son père. Elle passa le téléphone à Jenny.

"Bonjour, grand père, c'était une grande fessée que tu m'a donné la semaine dernière."

"Jenny, je ne me suis pas amusé autant depuis que mon neveu est tombé dans la fosse à purin."

"Grand père, J'ai au moins deux volontaires de plus pour ce Samedi, si vous êtes libres."

" Libre ? Bien sur ! Amène tes amies, mais je ne sais pas si elles seront toujours tes amies après ce que je vais leur faire !! " dit-il en riant.

"Grand père, les deux volontaires dont je te parle, je leur ai dit à quel point la fessée était sévère, aussi elles ne me blâmeront pas si c'est trop dur pour elles. Je ne sais pas s'il y aura plus de volontaires, si elles y pensent, elles changeront peut être d'avis après avoir vu les dégâts sur les fesses des deux premières, mais cela peut aussi être l'inverse. Peux tu fesser une douzaine de filles dans ton après midi ?"

"Et bien, je n'étais pas essoufflé après vous avoir fessé toi et ta mère. Je ne sais pas combien de fessées je peux donner, mais on obtient une sorte de rythme en balançant le strap, ca n'est pas si fatiguant que cela. Fais venir autant de tes camarades que tu le veux. Si je suis fatigué, ta grand mère prendra le relais, elle fessait parfois ta mère elle même. "

"Super ! Merci ! A samedi !"

Jenny dit à Ellen, " j'espère juste qu'il ne s'attend pas à ce que je sois moi aussi volontaire….. Hey, tu ne m'a jamais dit que grand mère se servait du strap aussi.

" Mon père me donnait la plupart des fessées, mais parfois ma mère m'en donnait une, et elle était aussi vigoureuse que mon père. Est ce que tu voudras recevoir une autre fessée de grand père ou de grand-mère un de ces jours ? Je te promets que si tu recommence moi aussi, je commencerai même la première."

Jenny repensa à la douleur que cela lui avait provoqué, mais si sa mère en voulait encore, elle aussi. "D'accord"

Jenny appela Sally, elle était sortie et elle eu quelqu'un de son association. La fille lui dit qu'elle était une amie et qu'elle pouvait prendre les messages. "Ok, dit lui que la fessée de samedi est confirmée, qu'elle vienne chez moi à 13H00, mon grand père nous attendra pour 14h00. Et n'oublie pas de lui rappeler de porter une jupe large et d'apporter un sac de couchage ou une couverture et un oreiller moelleux. "

La fille dit, "Wow, je ne savais pas qu'il y avait une fessée prévue pour ce Samedi."

" C'est un petit peu compliqué à expliquer, mais mon grand père est un expert réel avec le strap. Je le sais il l'a utilisé une fois avec moi. J'ai seulement rencontré Sally aujourd'hui. Elle est une amie d'une amie. Une chose menant à une autre et j'ai mentionnée grand père et son strap. Elle voulait l'essayer, et s'est proposée. On ne peut plus trouver de strap, les coiffeurs n'en utilisent plus depuis des années, mais grand père en a un. Son papa l'employait sur lui et il l'employait sur ma maman"

"Dis donc, c'est sans doute une chance unique de découvrir ces vieux straps. Est-ce que votre grand père accepterait une volontaire de plus ?"

"Et bien, je pense que oui. Si tu viens avec Sally, tu seras la troisième."

Jenny continua, "Je t'avertis, c'est une fessée sévère, et une fois qu'il commence tu reçois ta douzaine, quoi que tu dises. Ton cul va être gonflé, tu ne pourras plus remettre ta culotte ensuite. Le sac de couchage c'est pour récupérer, après la fessée, tu ne peux plus marcher les genoux sont si faibles. Je n'exagère pas, maman a du m'aider"

Jenny appela Helen-Ann et l'obtint après plusieurs sonneries. " Désolé pour le retard Jenny. J'étais sur le lit, sur le ventre bien sûr. J'aurai aimé remercier encore ta maman. S'il te plaît dit lui que je veux une fessée une fois par semaine, si ce n'est pas trop pour elle. Toutes ces années ou j'ai eu envie d'être fessée, et maintenant j'ai trouvé enfin quelqu'un pour me les donner. Mon dieu, comme j'aimerai que ce soit mon père."

Jenny répondit, "Tu vas avoir un strapping Samedi. Je l'ai confirmé avec grand père. Nous avons rendez vous à 1 HEURES. N'oublie la jupe et tout ce que j'ai mentionné. Tu auras besoin d'une heure et demie sur le ventre pour récupérer, peut-être plus, surtout si tu demandes une ration supplémentaire. Est-ce que tu ne penses pas que tu pourrais expliquer à ton père que tu as besoin d'être fessée ?"

"Je ne sais pas. Peut être qu'après la fessée de samedi je pourrais lui en parler. J'aurai un derrière bien fessé à lui montrer. Hey, ce sera quelque chose, il n'a pas vu mon derrière dénudé depuis que j'étais une petite fille. Jusqu'à aujourd'hui, la fessée a seulement été un fantasme. Celle de ta maman était bonne et aussi celle de Sally, mais il y a quelque chose qui fait que ce serait différent si c'était mon père qui me la donnait. Peut-être même meilleur. Et puis cela aurait l'avantage de ne pas avoir à aller en dehors de la maison pour l'obtenir."

Elle riait.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Jenny, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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