Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 17:58

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Thai-Student

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 17:50

Darling40.jpg

 

 

Des cours particuliers? Non! des cours très particuliers!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 17:46

Chapitre 3 : Une première journée intense

 

Ca y est, je venais de recevoir mes "fonctions" et je savais que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je me sentais à la fois désemparée et à la fois bizarrement excitée par l'inconnu. En plus, je serai rémunérée pour ce travail donc il fallait juste être courageuse.

 

Une fois qu'elle m'eu énumérée le planning elle me fit découvrir plus en détail la cuisine pour que je puisse m'y retrouver quand je ferais à manger.  Quand la visite fut terminée je dû lui préparer le petit déjeuner elle me détailla précisément tout ce qu'elle voulait et me dit :

-Attention ne te trompe pas et réussit bien les préparations parce que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée et si il est loupé je serai de mauvaise humeur et je pense que tu n'as pas envie de ça.

-Bien je ferai attention Maîtresse.

-On verra ça, je t’attends dans le salon dépêche toi !

Je me mis tout de suite au travail mais ce ne fut pas chose facile car je n'arrêtais pas de chercher ce dont j'avais besoin mais dans l'ensemble je pensais ne pas avoir trop mal travaillé. Je me présentai donc devant Maîtresse Caroline puis lui servi ses tartines, sont café et son fruit.

-J'espère que c'est bon parce que tu as pris ton temps !

-Désolée Maîtresse mais je ne connais pas très bien la cuisine.

-Je ne veux pas savoir, mais tu vas voir tu vas bientôt très bien la connaître.

Une fois qu'elle commença à déjeuner je voulu me retirer dans la cuisine mais elle me dit :

-Reste là ! Je ne crois pas t'avoir demandé de partir. Je crois que tu as encore beaucoup de chose à apprendre !

C'est vrai que je me sentais mal à l'aise je ne savais pas trop quoi faire, c'était la première fois que je devais servir quelqu'un. Alors je suis resté debout à un mètre d'elle en là regardant manger.

Une fois qu'elle eut terminé elle me dit :

-Pour cette fois ce n'est pas trop mal. Même si tu as trop fais griller les tartines et que as mis trop de sucre dans mon café. Allez débarrasse, je ne pense pas que ce soit trop dur pour toi ça ?

-Non Maîtresse.

Ces réflexions étaient désagréables mais je pensais pouvoir les supporter. Je fis la vaisselle, la rangea et nettoyât la table puis revint vers elle.

-Bon puisque tu m'as dis que tu ne t'y retrouvais pas encore dans cette maison tu vas avoir le loisir de la connaître par cœur : tu vas nettoyer tous les sols avec une brosse et un sot. Tu verras après tu connaîtras tous les recoins sur le bout des doigts.

-Mais Maîtresse j'en ai pour des heures.

-Et alors tu es bien là pour ça ?? Et puis tu commences à m'énerver à toujours répondre !

Elle me saisit le bras et avec une importante force elle me coucha sur la table basse du salon.

-Reste ici ne bouge pas.

Elle revint très rapidement avec un martinet et des bouts de cordes. Elle commença par me retirer ma robe tant bien que mal vu ma position et mes légers débattements puis elle me fixât les quatre membres aux pieds de la table. J'étais terrifiée je la suppliais.

-Maîtresse excusez moi, s'il vous plait, je me terrai maintenant.

-C'est trop tard petite peste tu vas recevoir une petite correction qui va t'aider à te mettre au plis.

Et elle se mis à me fouetter les fesses avec ces lanières de cuir, puis elle fit rougir mon dos et mes cuisses. Je criais mais ne pouvais pas éviter les coups. Elle me corrigeât pendant environ dix minutes mais ce me paru une éternité. Puis elle me détachât puis passa sa main sur mes fesses et mon dos comme pour admirer le résultat. J'étais en larme et mon corps me brûlait mais elle m'emmena vers un placard ou ce trouvait le matériel pour faire le ménage puis elle dit de prendre un sot et la brosse et d'aller faire mon travail. Je saisi les instruments, j'étais révoltée mais la correction que je venais de recevoir me poussa à me conduire docilement. Elle ne me rendit pas ma robe et je me retrouvais juste vêtue de mes talons et de mes entraves à quatre pattes pour faire briller tous ses sols. La tache était longue et pénible. Je me suis arrêtée juste à midi pour lui préparer son repas mais moi je n'avais toujours rien mangé et je commençais à avoir mal au ventre mais je n’osai pas lui demander quelque chose par peur de représailles. J'ai fini le ménage vers 15h complètement exténuée, les genoux endoloris et une faim énorme.

Comme je pensais avoir fais du bon travail je lui dis :

-Maîtresse s'il vous plait est ce que je pourrais manger maintenant.

-Allez si tu veux, assis toi par terre sur le tapis de salon et ne bouge pas.

Ce que je fis sans problème après ces dures heures de ménages. J'étais encore nue mais ne ressentais, bizarrement, pratiquement pas de gêne, j'avais tellement du mal à réfléchir par honte et par peur que je pense que c'est ça qui me rendait si docile.

 Au bout d'environ quinze minute elle vint me chercher et me fixa une laisse au bout du collier que je portais, je me sentais terriblement ridicule à côté de cette femme. Elle m'emmena à quatre pattes jusqu'au sous sol où je vis deux gamelles une d'eau et l'autre on aurait dit une sorte de purée ou de compote, c'était en fait de la nourriture pour bébé.

Elle me relia les mains dans le dos par un mousqueton et me dit :

-Voilà le vrai repas d'une parfaite petite esclave régale toi.

-Mais Maîtresse je ne peux pas manger comme ça!! J'étais complètement paniquée et honteuse de cette situation.

-Ah oui tu ne peux pas très bien je les enlève.

-Non Maîtresse s'il vous plait j'ai très faim je vais manger comme ça.

-D'accord mais maintenant silence et mange on n’a pas que ça à faire !

Je penchai la tête sans pouvoir m'aider de mes mains et comme un chien je me suis mise à manger, mes fesses nues étaient relevées et je devais lui offrir en spectacle mes parties intimes. J'étais vraiment devenue une esclave.

Ce ne fut pas facile d'en cette position mais au bout de 5min j'avais tout vidé. Elle me fit boire puis me mouilla légèrement le visage pour nettoyer la nourriture qui si trouvait. J'ai eu le droit de remettre ma robe ensuite pour faire les lessives et repasser le linge de ma Maîtresse. Elle m'avait, pour ça, fixer une chaîne qui était fixer au mur de a buanderie à la cheville droite puis relier les poignets par une chaîne pour réduire mes mouvements. Je dois dire que comme ça il n'était pas facile de manier un fer. Elle revint me chercher vers sept heures pour que je prépare le repas et que je lui le serve au salon toujours avec les poignets reliés mais cette fois mes chevilles l'étaient aussi et elle fixa une chaîne à mon collier qui reliait mes poignets et mes chevilles. Mes mouvements étaient réduits et ce ne fut pas chose facile de préparer  à manger et de lui apporter les plats. Pendant qu'elle mangeait elle fit rester debout à côté d'elle et parfois de donnait quelque bout de nourriture comme un maître à son chien.

Une fois le repas terminée et que tout fut nettoyé elle me fit m'agenouiller à côté de son fauteuil et me dit :

-Comme c'est ta première soirée ici je te permettre de te reposer.

Je pensais dans ma tête c'est bon je vais pourvoir aller me coucher ou elle va me permettre de regarder la télé. Mais ses projets pour moi étaient tout à fait différent en revint avec différent accessoires. Elle avait pour idée que je lui serve de table. Elle me fixa les chevilles, puis me relia les poignets dans le dos. Puis elle m'installa une sorte de plateau qu'elle fixa par une chaînette autour de mon cou puis me découvris les seins juste un petite geste de recule

-Allons ne bouge pas tu vas voir c'est très marrant.

Elle me fixa les deux autres extrémités du plateau par des pinces reliées à des chaînettes aux tétons. La douleur fut vive et je laissai partir un : "aie".

-Ne t'inquiète pas tu vas t'y habituer.

Puis elle finit par me poser un bâillon boule dans la bouche qui fut très désagréable à porter.

-Bon voila j'ai fini reste le dos bien droit  et regarde toujours en fasse de toi.

Facile à dire mais la position était vraiment pénible. Elle revint ensuite avec un verre d'alcool qu'elle posa sur le plateau puis s'installa dans son fauteuil pour lire un livre.

Le poids du verre n'était pas vraiment important mais les pinces était qan même douloureuse en plus l'odeur d'alcool sous mon nez était vraiment très désagréable. Je suis restée environ comme ça 2 heures pour qu'elle lise son livre. Elle ne m'a a aucun moment adressée la parole mais quand elle voyait que ma position commençait a faiblir elle me regardait d'un air de me dire "attention si tu ne veux pas de correction reste bien sage !". C'est ce qui m'a poussé à ne pas bouger.

Vers 10 heures elle a donc décidée d'aller se coucher et d'enfin me libérer. Quand elle a enlevé les pinces de mes seins la douleur fut énorme et je ne pus échapper un cri étouffé.

Enfin elle me conduisit dans ma chambre, me déshabilla comme si j’étais handicapée mais décida de me faire dormir sur le dos, mes pieds et mes mains reliés aux extrémités du petit lit. Elle me couvrit ensuite d'une couverture.

Elle me regarda tendrement pour la première fois et me dit après m'avoir déposé un baiser sur le front :

-Je suis contente que tu sois là.

Elle referma la porte à clés après avoir éteint la lumière. Ma chambre était devenue un cachot. Je me suis endormis rapidement après cette journée plutôt mouvementé et bouleversante.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 21:12

Chapitre 11 : Nouveaux vêtements (2ème partie).

 

Allie se pencha entre les jambes, elle pouvait sentir l’odeur musquée du sexe humide, sa bouche se mit à saliver un peu à la perspective de ce qui l’attendait. Qu’est-ce qui m’arrive ? Pensa-t-elle. On dirait que j’aime ce goût. Mais je ne veux pas aimer ça.
Sans réfléchir, elle ouvrit la bouche et attrapa l’élastique de la culotte entre ses dents et se mit à le tirer vers le bas. Le sexe délicieusement soigné d’Amanda s’offrit à sa vue, à quelques centimètres seulement de son nez, rose et humide. Allie pouvait voir à quel point la vendeuse mouillait. Elle eut l’impression que c’était une autre qu’elle qui tirait lentement, avec ses dents, la culotte de la jeune femme jusqu’à ses chevilles. Il n’était pas possible que ça soit elle qui soit là, agenouillée, nue, dans une cabine d’essayage, sur le point de lécher le sexe d’une inconnue. La journée avait déjà été si horrible… Elle avait été fouettée, percée. Lécher encore une autre vulve (elle avait perdu le compte du nombre de femmes qu’elle avait été forcée à satisfaire) ne serait pas si grave finalement.

Lorsque son sous-vêtement fut abaissé, la vendeuse lui dit :

— Ok, salope, maintenant lèche moi. Je suis sûre que c’est ce que tu sais le mieux faire.

Allie s’avança un peu et poussa sa langue contre la vulve de la femme. Elle se rendit compte que chaque femme avait un goût différent. Certaines étaient un peu acidulées, d’autres plutôt âcres. Elle se surpris à aimer le goût d’Amanda. C’était presque sucré.
Amanda attrapa l’adolescente par la nuque et plaqua étroitement son visage contre son sexe.

Jessica faisait le guet à l’extérieur, elle entrouvrit la porte et jeta un coup d’œil sur le spectacle qui se déroulait à l’intérieur. Elle n’arrivait pas à y croire. Jamais elle n’avait vu quelque chose d’aussi obscène. Elle n’aurait jamais cru qu’Amanda puisse être aussi vicieuse. L’adolescente nue avait sa tête enfouie entre les cuisses d’Amanda. Sa collègue avait rejeté sa tête en arrière, les yeux clos sur son extase. La jolie rousse sentit l’excitation la gagner un peu. Elle regarda rapidement derrière elle. Il n’y avait personne. Elle glissa sa main dans son pantalon, sous sa culotte, dénicha son clitoris et commença à le titiller délicatement. Elle pouvait voir le sexe et l’anus de l’adolescente et quelque chose qui dépassait de son rectum. Mon dieu, quelle salope. Jessica accélera le mouvement de sa main sans lâcher du regard les deux filles dans la cabine d’essayage.

Amanda regarda vers elle et sourit.

— Tu ne veux pas entrer ? Comme ça tu verras mieux.

Jessica pénétra dans la pièce exiguë. Elle n’avait encore jamais vu deux femmes faire l’amour. Elle resta un moment, dans un état second, debout à côté de la porte qu’elle venait de refermer.

— Approche-toi et vois comme cette petite salope de lesbienne me lèche bien.

Amanda tapota sur le banc à côté de l’endroit où elle était assise.
Jessica s’assit sans réfléchir, les yeux de l’adolescente s’étaient fixés sur elle, tandis que sa bouche s’aplatissait sur le sexe de sa collègue. Sa langue pénétrait profondément dans la vulve offerte.
Amanda grogna.

— Ouais petite pute, juste-là, continue comme ça.

Elle leva les yeux vers Jessica.

— Pourquoi n’enlèves-tu pas ton pantalon, ça serait plus facile pour te caresser ?

Jessica était trop excitée pour contester. Elle ouvrit sa braguette et glissa sa main dans sa culotte, trouva son petit clitoris et recommença à l’agacer.

Amanda avait agrippé la petite blonde par les cheveux pour la forcer à aplatir son visage contre son entrecuisse. La rousse commença à se masturber plus vite. Sa collègue rejetait sa tête en arrière en jouissant silencieusement.

— Mmmmhhhhh !

Elle fut tellement stupéfaite, qu’avant qu’elle ait pu réagir, l’adolescente s’était précipitée entre ses jambes pour abaisser son pantalon et sa culotte sur ses chevilles. Elle était trop excitée pour l’en empêcher.

C’était la troisième fois qu’Allie léchait une femme aujourd’hui. Elle ne put s’empêcher de penser que ça se reproduirait. Celui de Jessica avait un goût un peu plus aigre que celui d’Amanda, pas mauvais, mais différent.

Au contact de la langue d’Allie, la rousse se mit à respirer bruyamment.

— Ooohhh… Oh mon dieu !

Amanda, remise de son orgasme, s’était redressée. Elle contourna Allie et découvrit le gadget qui encombrait son fondement.

— Putain ! Quelle salope ! Elle a un machin enfoncé entre les fesses ! Tu aimes tant ça : être sodomisée ?

Elle s’agenouilla derrière l’adolescente, attrapa la partie qui dépassait et l’appuya fermement contre son pubis pour donner de grands coups de reins à la petite blonde, la heurtant avec fougue.

— Ouais petite pute, prends ma bite dans ton cul.

Elle se mit à s’agiter en calant la fréquence de ses coups de reins avec le rythme de son propre plaisir. En même temps, elle faisait bouger la tête d’Allie dont le front heurtait le pubis de Jessica en cadence. Sa langue pénétra dans la vulve de Jessica, s’enfonçant plus profondément à chacune des poussées que lui imposait Amanda.
La brune menait en même temps les deux femmes sur le chemin de l’orgasme.

Soudain, Amanda entendit un petit gémissement derrière elle. Stéphanie s’était approchée et regardait à travers la porte qu’elle avait entrouverte.

— Viens nous rejoindre, elle peut s’occuper de nous trois, c’est une sacrée petite salope de lesbienne, elle adore les chattes.

La blonde secoua la tête pour refuser, mais elle resta dans l’entrebâillement.

— Allez ! Tu n’auras peut-être jamais plus une occasion comme celle là. Même si tu es 100% hétéro, tu as le droit d’être un peu curieuse non ?

Amanda continuait à bouger en rythme tout en s’adressant à Stephanie. Elle donna un dernier coup de rein avant de se redresser en libérant l’objet en caoutchouc qui résidait entre les fesses de l’adolescente.

Elle s’approcha de la porte, l’ouvrit et tira la blonde paralysée dans la cabine d’essayage.

— Viens donc t’asseoir, tu seras mieux pour regarder.

Elle guida Stephanie jusqu’au banc et la fit asseoir à côté de Jessica.

— Regarde comme cette petite pute enfonce bien sa langue dans Jessica, elle aime vraiment ça. Ça ne t’excite pas ?

Stephanie fit un oui de la tête.

— Ça ne te donne pas envie de te caresser ? moi j’en ai drôlement envie.

Amanda posa sa jambe sur le banc, tout près de la blonde et se mit à caresser son propre clitoris. Le visage de Stephanie n’était plus qu’à quelques centimètres de son sexe. Elle était assise à côté de Jessica qui se faisait lécher le sexe par une petite blonde au corps juvénile. Lentement elle souleva sa jupe et baissa suffisamment son collant pour avoir accès à son sexe. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se mit à se caresser.

Jessica avait rejeté sa tête en arrière et approchait de l’orgasme. Allie sentit que la femme allait jouir et prit son clitoris entre ses dents en le mordillant délicatement. Jessica explosa aussitôt et eut un orgasme tellement ravageur qu’elle eut beaucoup de mal à retenir les grognements qui menaçaient de sortir de sa gorge. L’adolescente fut surprise par la quantité de mouille que la rousse sécrétait. On aurait dit qu’elle était en train d’uriner, mais le goût était bien celui de l’orgasme. Elle avala tout.

Lorsqu’elle releva la tête, elle vit qu’Amanda pointait le doigt vers l’entrejambe de la blonde. L’adolescente s’avança à quatre pattes jusqu’à la troisième vendeuse et s’agenouilla entre ses jambes.
Stephanie sentit qu’on lui baissait complètement son collant et sa culotte. Brusquement, la tête de la petite putain blonde s’était imposée entre ses jambes et une langue chaude et délicieuse s’insinuait au cœur de son intimité. Elle poussa un gémissement et s’agrippa au banc.

Amanda aida Jessica dont le corps était sans forces à quitter le banc et la fit s’agenouiller à côté de la petite salope blonde, la poussant un peu sur le côté.

— Regarde bien ma chérie… Tu vois comment elle s’y prend ? Regarde comment elle fait glisser sa langue entre les lèvres de Stephanie.

Petit à petit, la brune poussait le visage de sa collègue vers le sexe de Stephanie.

— Tu n’aimes pas comment elle enfonce sa langue dans la vulve de Stephanie ?

Le visage de Jessica se trouvait tout près du sexe de sa collègue blonde, elle regardait attentivement la langue d’Allie lécher et sucer comme si sa vie en dépendait.
Sa joue s’appuyait maintenant contre celle de l’adolescente, tandis qu’elle ne perdait pas une miette du spectacle qui s’offrait à elle. Cette petite vicieuse se servait de sa langue comme d’un petit membre. La rousse se lécha les lèvres, son estomac se contracta.

Amanda se pencha contre elle et lui susurra à l’oreille :

— Vas-y… Juste avec le bout de la langue… Goûte Stephanie. Je suis sûre que tu en meurs d’envie.

Hypnotisée, Jessica se pencha tout doucement, indépendamment de sa volonté, sa langue franchit ses lèvres et se posa au bord du sexe de la blonde. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle faisait une chose aussi incroyable mais son excitation était telle qu’elle avait vaincu toutes ses inhibitions. Jamais un homme ne lui avait fait cet effet.
Elle plongea et sa langue se mêla avec celle d’Allie, s’enroulant autour du clitoris de Stephanie.
Amanda s’empara d’une des mains de la blonde et la plaça derrière la tête de Jessica.
Aussitôt, celle-ci attira la bouche de la rousse contre son sexe.
Jessica se mit à lécher son premier sexe féminin. Allie et elle, ne mirent pas longtemps à procurer à la blonde un formidable orgasme. Elles avaient leurs nez fermement appuyés sur le pubis de Stephanie et leurs langues menaient un ballet endiablé au cœur de la chair rose et humide du sexe de la rousse.

Finalement, Amanda tira l’adolescente en arrière, abandonnant Jessica toute seule entre les cuisses de sa collègue blonde. La rousse léchait la chatte de sa collègue comme une pro.

— Maintenant, il est temps de t’habiller, ta Maîtresse ne devrait plus tarder.

L’esprit embrumé d’Allie lui refusait tout service. Elle resta debout, immobile, à regarder les deux vendeuses se livrer à leurs ébats pendant qu’Amanda l’habillait.
Elle lui enfila un chemiser très fin qui était aux moins deux tailles trop petit et ne le boutonna pas, se contentant de nouer les deux pans du vêtement entre eux. C’était un peu comme si Allie portait un bikini à manches. Le tissu était tellement transparent qu’on pouvait voir ses fiers petits seins dont les tétons formaient une petite protubérance circulaire.
Stephanie gémissait sous la langue de Jessica.
Ensuite, Amanda lui passa une jupe plissée qui, visiblement, était de la taille d’une fillette de douze ans tellement elle était courte. Elle était bleue marine et ne recouvrait que partiellement ses fesses.
Pour finir, une paire de chaussettes blanches, une paire de chaussures noires en cuir verni et une culotte à fleurs en coton complétèrent la tenue.

— Parfait, je trouve que la culotte te confère une petite touche d’innocence. Dit Amanda en poussant Allie sur les genoux pour qu’elle s’occupe à nouveau de son sexe.

Lorsque Nicole revint, elle trouva les trois femmes dans l’entrée du magasin. Elles étaient derrière leurs caisses et entouraient Allie qui était agenouillée derrière le comptoir, sous la jupe de Stephanie, en train de lui lécher le sexe. Jessica et Amanda regardaient. Nicole se rendit compte que la main de la brune était posée sur les fesses de Jessica, un peu comme si elle voulait affirmer sa possession.
Bien sûr, au cours des semaines suivantes, Amanda et Jessica devinrent plus que des collègues. La rousse déménagea chez Amanda qui était la dominante dans leur relation. Jessica endossa le rôle de la soumise très facilement et bientôt, elle lécha les sexes des femmes avec autant de plaisir qu’Allie.

Nicole adora la tenue de son esclave. Au moment de partir, elle ne manqua pas de laisser sa carte à chacune des trois vendeuses, les assurant qu’elles seraient invitées au prochain anniversaire d’Allie.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 21:06

 Darling39.jpg

 

 Retour sur le thème de la bonne . . . on ne s'en lasse pas!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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