Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:18

J'imaginais le choc de Laetitia. La scène qui s'offrait a elle. Michael, qui me prenait en levrette, les mains sur mes fesses, moi, qui suçais sa fille pendant que Jean la sodomisait, puis qui happai Jean, hurlant sous ma morsure tandis que le sperme coulait sur mes lèvres, au rythme de l'éjaculation saccadée de mon mari.

Je n'en restai pas la. Veronique avait dégagé le sexe de Jean de son joli petit cul, portant ainsi son doux abricot ouvert et dégoulinant de salive a quelques centimètres de mon nez. Je lui attrapais les fesses et, laissant Jean a sa douleur, je fourrais ma langue blanche de sperme dans sa petite chatte rose, engloutissant le clitoris fragile dans un baiser sincère et gourmand.

Malgré son effroi, Veronique plaqua ma tête contre elle, enfonçant ma langue dardante dans ses grandes lèvres en faisant mine de se dégager. J'étalais le sperme sur le sexe rasé en me repaissant de ce dernier instant de partage.

Laetitia hurlait, elle avait attrapé Michael, qui jouissait encore quand sa bite sortit de ma minette en feu, puis elle poussa Veronique hors de mon étreinte, et gifla Jean, recroquevillé sur sa queue blessée.

Il ne restait plus que moi, agenouillée, nue, épuisée, tremblante et excitée, au milieu de la famille au grand complet, mari de Laetitia compris. Je fis un sourire à Axel, qui avait toujours son caleçon taché de sperme et dont les joues avaient manifestement tâté de la gifle de sa mère...

- Espece de salope !!! hurla cette dernière en attrapant une cravache accrochée près d'autres équipements d'équitation, a l'entrée du mobil-home. Ce n'est pas dix coups que tu vas te prendre cette fois ! Debout ! Montre-moi ton cul !

Je sais que je n'aurais pas du sourire.

- tu n'as aucun droit de me frapper, juste de me peloter...

- Debout, chienne ! sinon je diffuse la vidéo de ton élection a miss camping sur Internet dans dix minutes, avec un lien a tous les collègues dont j'ai les Email, ainsi qu'au patron !

Je palis légèrement et me levais lentement.

- Ton cul, tends-le vers moi !

Je me retournais, et fis ce qu'elle me demandait, tête basse.

Le premier coup tomba, très fort, une brulure soudaine sur le haut des fesses. Je décidais de ne pas crier, et de ne pas pleurer. Un second puis un troisième coups suivirent, sur mon cul nul et déjà douloureux. J'ouvrais les yeux, a l'agonie et remarquais qu'Axel et Michael sursautaient a chaque coup de trique, et que Veronique me regardait intensément, presque amoureusement. Je lui rendis son regard, tandis que les coups se succédaient, terribles, et pus me repaitre de son petit corps jeune, si bien proportionne, de sa taille fine, de sa blondeur, de ses hanches larges, de la délicatesse de ses lèvres... Je me mordais jusqu'au sang pour ne pas hurler.

- Tu vas pleurer, salope ! Tu aimes les coups ? Prends celui-la ! Et celui-la !

Je fermais les yeux, espérant que la douleur cesse, et qu'elle me laisse partir mais les coups tombaient et tombaient encore. Je sentis les larmes monter, rouvrit les yeux et fixait le sexe rasé et les seins parfaits de Veronique, qui serrait les poings et se mordait aussi les lèvres dans une espèce de communion avec moi.

Finalement, Laetitia laissa tomber la cravache et me gifla trois ou quatre fois. Elle attrapa mes seins amples dans ses mains et les griffa très fort, et sans me lacher, elle dit:

- Sors d'ici immédiatement et si je te revois tourner autour de ma famille, je te pourrirai la vie jusqu'à ce que tu me supplie de t'oublier !

Jean se leva et me prit la main, et nous sortimes du mobil-home. Je repoussai sa main, mais, les larmes aux yeux et le cul en feu - elle m'avait fouettée la ou les deux miss perdantes m'avaient tapée sur la plage - je le suivis silencieusement jusqu'aux douches. La, il me laissa prendre une douche seule, ou je pus pleurer en silence et m'apitoyer sur la douleur qui me vrillait les seins, le cul et les joues. Je me massai le sexe, qui n'avait jamais autant connu d'hommes en dix-neuf ans.

Je laissai longtemps l'eau froide couler sur mon corps et me ressaisissais. Ce séjour était une catastrophe mais je sortis de la douche bien déterminée a en profiter.

Jean m'attendait encore, l'air malheureux.

- Coralie, tout est de ma faute, pardonne-moi je...

Je le regardai férocement.

- Enlève ton slip.

- Pardon ?

- Tu veux discuter avec moi ? Enlève ton slip et montre ta queue en public. Je ne veux plus être la seule à me balader cul nul dans le camping. Si tu obéis, on rentre à la tente et on discute. Sinon, je fais ma valise, et tu ne me reverras plus jamais.

- Mais je ne peux pas... Que vont penser les... enfin...

- Décide-toi. Je ne serai plus la seule à faire la pute dans ce camping pour payer tes dettes. Tu n'imagines pas combien de fois on m'a baisée et humiliée aujourd'hui.

Il suffoquait, pale comme un linge.

Je pris le chemin de la tente, sous les regards voyeurs des campeurs de tous âges qui rentraient de la plage et venaient se doucher.

- Jolis seins, Coralie.

Une main me frôle les tétons, une autre me tâte franchement. Je fais un sourire forcé et continue d'avancer.

- La belle croupe !

Deux mains me frottent douloureusement, un index s'attarde sur mon anus en fleur sans le pénétrer. Sourire et larmes à peine retenues.

- Rase-toi la moule, miss camping, mes doigts glisseront mieux !

Un gars énorme essaye de fourrer ses doigts dans mon vagin. J'écarte les cuisses en regardant autour de moi, paniquée. Je vois Jean, nu comme un vers, repousser le type et me prendre la main.

- Désolé, mon vieux, ma femme a envie d'un plaisir avec son homme, dit-il en forme d'excuse. Le gros a un sourire porcin et éructe:

- Baise la bien, et envoie-la moi après, j'aime les moules quand elles sont bien préparées, et encore toutes chaudes...! Je serai à la piscine !

Et il éclate d'un rire gras.

Nous continuâmes à marcher vers la tente, moi, nue, seins rouges et gonfles, fesses en feu, lui, piteux, bite pendante, rougissant a chaque fois que nous croisions des campeurs au regard interloqué. Sa présence eut au moins un avantage: personne n'osa me toucher en chemin.

Nous entrâmes dans la tente, je m'écroulais littéralement sur le duvet, fermais les yeux en réfléchissant a ce que j'allais dire maintenant. Il fallait que ce soit ferme, sans appel, cruel, vengeur, et jouissif pour moi.

J'ouvris les yeux et me tournai vers Jean, l'air résolu.

- Bien, dis-je. Soyons très clairs: Tu m'as transformée en femme-objet du camping pour quelques centaines d'euros. Une pute bon marché pour des vacances à l'œil. Tu vas donc payer tes dettes de la même manière que moi: a poil tout le temps, tu accepteras les avances de tous les campeurs - les femmes, s'il y en a, mais les hommes aussi.

- Coralie...

- Deuxièmement: Tu m'accompagneras partout ou je te demanderai de venir. Aux toilettes. Aux douches. A la plage. Partout..

- Coralie je...

- Troisièmement: tu m'aideras à me venger de Laetitia. Cette salope a un film qu'elle veut utiliser pour me ridiculiser au boulot, je veux ce film ou un autre moyen de pression pour l'en empêcher.

- Coralie...

- Quatrièmement: J'entends profiter de MES vacances. Si je dois subir les assauts de tous les mecs du camping, si je dois dépuceler tous les adolescents qui connaissent leurs premiers émois, si je dois sucer toutes leurs sales bites, et me faire violer par tous les trous sous tes yeux, je veux en tirer le plus grand plaisir. Tu vas déplacer la tente dans un endroit isolé du camping, des ce soir, pour que je puisse recevoir au calme les gars qui me plairont le plus, ou avec lesquels je réaliserai les fantasmes qui me viendront a l'esprit.

- Coralie, tu...

- Enfin, si tout se passe comme JE le décide, que tu supportes les trois semaines a venir, et que notre couple survit a la débauche de sexualité qui m'a vue me faire éjaculer dessus en deux jours plus qu'en toute une vie, me faire vriller l'anus, frapper, insulter, remplir de foutre et de jus de moule, comme dirait le gros porc qui m'attend a la piscine, alors je te donnerai une deuxième chance et nous essayerons de reconstruire une vie commune... Sinon tout s'arrête maintenant. Je fais mon sac, je me rhabille, et tu ne me revois plus.

Jean respirait difficilement.

Il geignait sans s'en rendre compte.

Se balançait d'avant en arrière.

Je me relevai. Sortis ma trousse de toilette, et farfouillai dedans. J'y trouvais ce que je cherchais.

- Coralie...

- Je t'écoute.

Il baissa les yeux.

- Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Même à ce prix, j'accepte.

Je souris méchamment. Je montrai l'objet que j'avais pris dans ma trousse de toilette. Un rasoir.

- Parfait. Nous allons donc ressortir ensemble, aller aux douches, et, je me raserai la minette pour qu'elle soit bien appétissante pour ces messieurs. A dix-neuf heures, à la piscine il y a une séance de massage aux huiles essentielles pour 15 euros la demi-heure. Tu vas me payer une heure. Pendant ce temps, tu déplaceras la tente. Je vais commencer à prendre du bon temps !

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:15

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 1er volume d'une série de roman sur les perversions à l'Hôtel . . . une mine de bonnes idées!

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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 21:14

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Sa mère et elle passèrent de nombreux coups de téléphone, si bien qu'elle reçut plusieurs appels de camarades de classe qui en avaient entendu parler et avaient du mal à le croire ou voulaient avoir des détails.

Jenny était honnête et franche avec tous les visiteurs. Elle ne leur disait pas pourquoi elle méritait cette fessée; c'était personnel. Tout le monde obtenait le reste de l'histoire, incluant le fait qu'elle dormait attachée au lit et obtenait un douloureux réveil - chaque matin. Et un qui allait être très douloureux, jeudi matin prochain.

Beaucoup de ses visiteurs ne croyaient pas qu'elle dormait attachée au lit aussi elle les invitait à la maison pour une démonstration. Chaque fille devait être d'accord pour essayer les contraintes, et recevoir seulement un coup de la paddle de Jenny, par dessus leurs vêtements. Jenny recevait ensuite un coup avec la canne sur son derrière nu, de chaque visiteur.

Jenny commença à regretter d'avoir permis à des amis de la fesser quand six d'entre eux vinrent un matin, mais elle les reçut toutes les six. Les coups n'étaient pas aussi mauvais que ceux que sa mère lui donnait, mais elle avait néanmoins six marques sur le cul après ce traitement.

Elle recevait même des appels de certains garçons qu'elle connaissait. Elle était également franche avec eux, mais ils n'obtenaient pas une invitation à la maison pour une démonstration. Elle pensait néanmoins qu'un jour peut être .....

Elle avait changé, d'une fille qui était plutôt prude elle était passée à une exhibitionniste au cours de peu des jours, et elle ne pouvait pas réellement comprendre pourquoi, elle-même.

Chaque soirée à près 22H00, Ellen attachait Jenny au lit et chaque matin elle la réveillait avec une attaque solide de la canne sur le derrière.

Le lundi, Ellen décida d'intensifier le réveil - en donnant à jenny deux bons coups de canne. Un sur chaque fesse..

Jenny se réveilla douloureusement," AARGHH, maman, ce n'est pas juste. "

Ellen ri," Chérie, qui est-ce qui réveille et qui est attachée au lit ? "

Jenny gémi," Maman !!, nous étions d'accord pour une fessée à la canne chaque jour, et une grande fessée Jeudi et c'est seulement Lundi aujourd'hui !! Détache moi s'il te plait"

Ellen ri," Et ce qu'est-ce que tu vas faire si je décide de te laisser là pour un moment et de m'occuper de ton cul ? Ah, je sais, tu vas te plaindre au "journal de la fessée" !!"

Jenny gémi," Maman, ce n'est pas juste. "

"Tu te répète. OK, Je te détache maintenant, mais nous allons avoir une discussion après l'école. Je pense que tu devrais prendre plus de coups de canne Mardi et Mercredi. Tu n'auras la douzaine que jeudi mais on va augmenter les coups petit à petit. Penses à cela sérieusement, nous en discuterons ensuite."

Ellen défit les quatres fixations pour permetttre à jenny de se lever.

Il semblait que la moitié de l'école était au courant de sa fessée. Sept filles demandèrent à venir la voir après l'école et la voir attachée. Si elles venaient toutes, cela signifiait sept coups de canne de plus, et certaines filles frappent presque aussi dures que maman. Deux de ces filles, elle ne les connaissait guère, mais elle avait bêtement fait l'offre un contre un, aussi elle ne pouvait pas les refuser.

Pendant la journéee Jenny reflechit. Elle était certaine que sa mère était juste avec elle, mais ce que Ellen avait dit était très vrai.

Elle était fermement attachée au lit et sa mère pourrait faire ce qu'elle voulait avec elle. Est-ce que c'était une bonne idée de recevoir plus d'un coup les deux matins suivants ou bien cela aurait juste pour résultat de rendre son cul plus douloureux ?

Cela dépendait surtout de combien de coups sa mère donnerait. Son derrière était déjà plaisant à regarder, il serait pire quand elle le montrerait jeudi à sa classe de gym. Même un coup de canne de lundi se verrait encore jeudi. Ellen et elle devait en parler après l'école mais Jenny savait qu'Ellen ferait ce qu'elle voudrait. Jenny ne pouvait s'attacher sans son aide, mais une fois attachée elle était à sa merci.

Jenny n'avait pas décidé quoi dire à sa mère quand elle rentra à la maison. Est-ce qu'elle devait juste permettre à sa mère de lui donner ce qu'elle voulait ou bien devait elle en débattre ? Après tout elle s'étaient mises d'accord pour qu'elle en recoive une douzaine jeudi, mais le nombre inconnu à recevoir mardi et mercredi n'avait pas encore été discuté. En plus, combien allait elle en recevoir de la part de ses camarades de classe ?

Lorsqu'elle arriva chez elle, Ellen était absente. Comment discuter avec quelqu'un qui n'est pas là ?

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Jenny, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 21:08

Darling32.jpg

 

Ou, comme nous le démontre l'illustration de Karla: l'absence de culotte!

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Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 22:09

Chapitre 8 : Séance pipi et piercing (1ère partie).

 

Allie se réveilla, couchée par terre. La nuit dernière, Nicole l’avait encore fouettée. Pourtant ça n’était pas sa faute si elle avait perdu tous ses vêtements. Pourtant Nicole ne semblait pas s’en soucier. Les marques rouges qui s’entrecroisaient sur son dos en témoignaient.
Elle se mit à pleurer silencieusement en se remémorant son châtiment. Ses sanglots étaient étouffés par le bâillon en forme de boule qui était coincé dans sa bouche, attaché étroitement derrière sa tête.

Lorsqu’elle était rentrée à  la maison, Nicole était d’une humeur exécrable. Betsy l’avait appelée au travail pour lui raconter les exploits d’Allie durant la journée. L’épisode urinaire lui avait profondément déplu.
À peine arrivée, elle avait fait agenouiller l’adolescente sur le sol, lui avait attaché les mains à la tête du lit et avait étroitement lié ses chevilles l’une contre l’autre.
Puis elle lui avait longuement fouetté le dos avec un fouet dont la lanière mesurait près d’un mètre vingt de long. Allie avait eu beau pleurer et supplier, les seuls sons qui étaient sortis de sa bouche étaient les gémissements pathétiques que le bâillon douloureux avait laissé passer.

— Tu as pissé dans ta culotte devant une de mes amies ! L’admonesta-t-elle en abattant le fouet sur le dos nu de l’adolescente.

— Jamais je n’ai été aussi humiliée.

Le fouet sifflait en soulignant ses paroles. Allie glapissait et secouait la tête négativement.

— Ne me répond pas petite salope.

Et le fouet sifflait à nouveau.

La punition se poursuivit jusqu’à ce qu’Allie s’évanouisse. Lorsqu’elle se réveilla, il faisait noir. Elle était entravée, nue, sur le sol. Son gadget anal était toujours enfoncé entre ses fesses et un phallus artificiel obstruait son sexe. Paradoxalement, Nicole avait affectueusement étendu une couverture sur le corps martyrisé de l’adolescente avant de se coucher.

Allie était en état de choc, pourquoi tout ceci lui était-il arrivé ? Elle ne voulait être le jouet de personne, elle voulait juste être une adolescente normale.
Finalement, pendant qu’elle pleurait, l’épuisement prit le dessus et elle sombra dans un profond sommeil.

Elle sentit un mouvement à ses pieds. Nicole était entrain de détacher ses jambes. La ruée soudaine de sang dans ses membres libérés lui communiqua de nouvelles vagues de douleur dans tout le corps.
Nicole lui laissa les bras liés et la regarda en souriant. Tout se passait si bien. Allie était maintenant une adolescente soumise, salope et battue. Il était temps de passer à la prochaine phase de son plan.

— Allons-y petite chienne. Ton travail du matin t’attend.

Elle attrapa Allie par les cheveux et la força à se lever puis la traîna littéralement jusqu’à la salle de bain. C’était très inconfortable pour Allie de suivre avec les bras attachés, le gadget anal entre les fesses, et le phallus en plastique logé dans son sexe. Elle se sentait empalée et devait se dandiner un peu avec ces objets enfoncés en elle.

— Prépare ma douche, petite salope.

Son bâillon ne lui permettait que de pousser de petits gémissements, mais la douleur était vraiment minimale comparée à ce qu’elle avait dû endurer ces deux derniers jours.

Pendant que sa Maîtresse allait soulager sa vessie, Allie régla la température de la douche. Comme ses mains étaient toujours attachées dans son dos, elle dut se retourner pour actionner le robinet. La douleur et les deux objets enfoncés en elle la déconcentraient quelque peu. Lorsqu’elle eut enfin réussi à faire couler l’eau, Nicole la fit venir près d’elle.

— A genoux !

Allie s’agenouilla entre les jambes écartées de sa Maîtresse. Sa bouche bâillonnée se trouvait à peu près à la hauteur du nombril de sa maîtresse.

— Enlevons ce vilain bâillon, de toute façon, je ne pense pas que tu en aies besoin pour l’instant.

Allie se pencha légèrement pour que Nicole puisse lui passer les mains derrière la tête. Bientôt, la pression désagréable qui lui écartelait les mâchoires se relâcha, si bien qu’il lui fut douloureux de refermer la bouche. Elle la conserva donc à moitié ouverte.

Nicole attrapa la nuque de l’adolescente et la força à se pencher sur son sexe.

— Tu t’es tellement régalé de pisser n’importe où hier que je pense que tu dois apprendre à aimer mon urine aussi. Nicole relacha sa vessie et commença à uriner sur le visage de l’adolescente. Les yeux fermés, Allie crispa ses paupières et tenta de fermer la bouche, mais les muscles de ses mâchoires étaient trop engourdis par l’épreuve qu’ils avaient enduré toute la nuit. La pisse de Nicole éclaboussa son visage, dégoulinant dans sa bouche et sur son menton, coulant sur sa poitrine. Elle ne put s’empêcher d’en avaller un peu et se mit à tousser, submergée par la miction.

Nicole épancha son envie en arrosant copieusement le visage de l’adolescente, ses cheveux et son buste. Son jouet sexuel était entièrement détrempé par le liquide jaune qui giclait de sa vulve. Elle n’en revenait pas du plaisir qu’elle prenait à dégrader la jeune fille comme ça. Il allait falloir qu’elle réfléchisse aux nouvelles épreuves qu’elle allait pouvoir lui imposer.

Une fois soulagée, elle déclara :

— Maintenant, ma fille, nettoie-moi. Et elle attira le visage de l’adolescente contre son sexe.

Au début, Allie ne bougea pas et resta immobile avec son nez écrasé contre le pubis de sa Maîtresse, la bouche appuyée contre le sexe souillé par la pisse. Elle était complètement désorientée, baignant dans l’urine, ses trous remplis, les bras attachés. Mais Nicole enfonça le clou.

— Sors ta langue et lèche-moi petite pute !

Finalement, la langue de la jeune fille, saturée par l’urine, émergea entre ses lèvres et se mit à lécher consciencieusement le sexe de sa Maîtresse. Le goût salé de la miction imprégnait déjà sa bouche, la saveur de l’excitation de Maîtresse allait peut-être contribuer à adoucir l’affreuse sapidité.

Impatiente, Nicole plaqua sa vulve contre le visage de l’adolescente et jouit dans une secousse rapide. La tyranie qu’elle éxerçait sur la jeune fille l’excitait énormément et il fallait qu’elle se contienne, elle était réellement emballée par la suprématie qui s’était établie entre elles.

Finalement, elle se redressa devant l’adolescente agenouillée.

— Viens, petite chienne, allons prendre une douche, j’ai besoin que tu me nettoies.

Allie se redressa et tenta de suivre la jeune femme, mais elle n’arrivait pas à ouvrir ses yeux, de peur que l’urine y pénètre.

— Oh ! Ma pauvre chérie, laisse-moi détacher tes bras.

Elle contourna l’adolescente et délia ses bras. En sentant le sang se ruer à nouveau dans ses artères, Allie ne put retenir de petits cris. Nicole poussa la jeune fille aveuglée par la pisse jusqu’à la douche, l’y fit pénétrer et referma la porte derrière elles.

— Maintenant ma petite esclave chérie, nettoie-moi.

Allie s’empara du savon et obéit. Nicole s’était placée au milieu de la cabine et la laissait s’organiser, tourner autour d’elle, savonnant l’intégralité de son corps en le frottant délicatement. Elle se sentait dans la peau d’une princesse décadente disposant de son esclave personnelle qui devait honorer ses moindres désirs. La vie était belle et ça ne pouvait aller que de mieux en mieux.

Allie pleurait silencieusement. Sa seule consolation était que l’odieuse mixture avait été lavée par la douche. Elle avait essayé de se laver rapidement pendant les brefs moments au cours desquels elle se trouvait derrière sa Maîtresse. Elle ne savait pas si celle-ci l’autoriserait à prendre le temps de se doucher. Ça n’avait pas été le cas la veille. Elle nettoya le sexe et l’anus de sa Maîtresse en leur accordant toute l’attention et la délicatesse nécessaires. Elle savait que Nicole aimait ça et tout ce qui pouvait la mettre de bonne humeur était bien venu. Si elle était dans de bonnes dispositions, elle n’aurait probablement pas envie de la fouetter à nouveau.

Lorsque la jeune fille eut terminé de la nettoyer, Nicole la fit pivoter sur elle-même et la prit dans ses bras.

— Allie, je t’éduque à devenir une jeune demoiselle "comme il faut", mais si tu continues à avoir un comportement aussi déplorable que faire pipi dans ta culotte, je devrais être plus stricte. Me fais-je bien comprendre ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie à la façon d’un automate.

Elle se sentait bien dans les bras de Nicole, ses seins merveilleux étaient si doux contre les siens. Elle se sentait en sécurité. Il y avait probablement une bonne raison pour que sa Maîtresse lui fasse subir toutes ces épreuves.

— Bien, dit Nicole en se penchant pour déposer un baiser sur les lèvres de l’adolescente.

Allie sentit l’une des mains de sa Maîtresse s’égarer entre ses fesses et entrer en contact avec son gadget anal.

— Nous avons rendez-vous au salon de beauté aujourd’hui, ça sera une surprise. J’aurai un cadeau pour toi et il faut que tu te prépares correctement pour que je puisse être fière de toi.

Allie ne comprit pas de quoi il s’agissait. Son attention fut soudain accaparée par l’objet en caoutchouc qui s’animait doucement entre ses fesses.

Nicole descendit son autre main et commença à jouer avec le godemiché qui se trouvait dans le sexe de l’adolescente. Elle fit pivoter la jeune fille afin qu’elle lui tourne le dos et l’obligea à se pencher en avant afin de pouvoir la solliciter des deux côtés à la fois. Allie se mit à gémir.

— Oh ouiiii Maîtresse ! Baisez-moi.

Elle plaça ses bras ankylosés au-dessus de sa tête et s’arc-bouta contre la paroi pour mieux s’offrir.

Elle explosa dans un orgasme ravageur.

— Aaahhhhh !!!

Nicole ôta le godemiché du sexe de son esclave, mais laissa le gadget anal en place.

— Il vaut mieux le laisser là, c’est sa place maintenant.

Elles sortirent de la douche. Allie aida sa Maîtresse à se préparer pour la journée. Elle la sécha et coiffa ses cheveux, la maquilla, l’habilla, tandis qu’elle restait nue, embrochée par le jouet anal.

Une fois satisfaite, Nicole guida l’adolescente, toujours nue, jusqu’à la cuisine pour le petit-déjeuner. Elle fit asseoir la jeune fille au pied de sa chaise et mangea tranquilement, jouant nonchalament avec ses petits seins.

Ensuite, Nicole lui fit revêtir sa robe rouge et ses talons.

— Tu n’auras pas besoin de sous-vêtements aujourd’hui, petite chienne, comme ça tu ne risqueras pas de les perdre.

Allie retourna dans sa chambre et se regarda dans le miroir. Elle y vit une adolescente dépenaillée, les yeux rouges d’avoir trop pleuré. Elle ne se posa pas de questions sur ce qu’elle faisait, et agit sans réflechir, c’était plus facile comme ça.
Elle baissa les yeux, incapable de contempler son image, s’empara de la robe rouge et l’enfila. Ses fesses étaient à peine couvertes par le tissu et le haut de la robe démontrait sans ambages qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle chaussa les chaussures à talons aiguilles qui lui faisaient penser à celles que portent les femmes de mauvaise vie, tenta de se recoiffer quelque peu et se précipita dans le salon où l’attendait sa Maîtresse.

— Sans plus attendre, Nicole se dirigea vers le garage et monta dans la BMW. Allie ressentit avec un certain trouble la sensation familière du cuir froid contre ses cuisses et ses fesses nues.

Elles se mirent en route pour l’institut de beauté.

Une fois sur place, Nicole guida Allie jusqu’à l’entrée. La réceptioniste les regarda avec intérêt.

— Que puis-je pour vous, Madame ?

— J’ai pris rendez-vous pour ma petite chienne aujourd’hui, un nettoyage classique, rasage et quelques autres services.

La réceptioniste fit venir Jackie. À peine arrivée, celle-ci ôta sans cérémonie sa robe à l’adolescente, la tirant sur sa tête sans même l’avertir. Allie ne protesta pas, elle s’attendait à être avilie. La jeune femme tendit la robe à Nicole et escorta les deux femmes dans les profondeurs de l’institut.

L’estheticienne les préceda à travers le salon dans lequel plusieurs femmes se faisaient coiffer. En passant devant elles, Allie pouvait sentir leurs regards prédateurs sur ses fesses nues. Lorsqu’elles furent arrivées dans la pièce du fond où on lui avait rasé le sexe, Nicole se tourna vers Jackie et dit :

— Cette petite salope a un problème urinaire. Tu devrais aller chercher un seau pour qu’elle puisse se soulager tout de suite, ça éviterait qu’elle se souille pendant que tu la raseras.

Choquée, Allie se tourna vers Nicole. Elle ne pouvait pas lui demander ça, pas faire pipi devant une autre femme.

— S’il vous plaît Maîtresse, permettez-moi d’utiliser les toilettes.

—  C’est absurde Allie, ça sera bien plus commode pour Jackie de te faire uriner dans un seau.

Allie n’y crut pas, mais elle ne voulait pas ergotter avec Nicole. Elle préfera ne pas prendre le risque d’une autre séance de flagellation. Jackie revint avec un seau qu’elle déposa devant l’adolescente.

— Allez, salope, vas-y.

Allie enjamba le seau et s’accroupit légèrement. Elle fit abstraction de la présence des deux femmes et relacha lentement sa vessie. La miction tinta bruyament contre le fond du seau en métal, le jet jaune cascada en crépitant et éclaboussa un peu ses mollets.

Au même moment, le rideau se tira sur la jolie blonde qui pénétra dans la pièce.

— Nicole, j’ai appris que tu étais là. Dit la blonde dont les seins parfaits essayaient de se libérer de la blouse légère qui les contenait difficilement.

Elle s’avança vers Nicole.

Effarouchée par l’arrivante, Allie ne put empêcher son sphincter de se contracter, bloquant aussitôt la miction.

Nicole se retourna bursquement vers Allie.

— Ne t’arrête pas, petite salope, tu as besoin de vider entièrement ta vessie avant de te faire nettoyer, c’est la moindre des politesses envers Jackie.

Puis elle ignora l’adolescente et enlaça la femme blonde.

— Sarah, ça me fait plaisir. Comment vont les affaires ?

Nue et supposée faire pipi dans son seau, Allie n’arrivait pas à se soulager au milieu de ces femmes, l’humiliation était trop forte. Elles étaient toutes habillées alors qu’elle était nue, avilie, au milieu d’elles.

— Comment s’appelle ta nouvelle petite salope, Nicole ? Elle a l’air d’avoir un petit sexe adorable.

— Sarah, je te présente Allie. Elle a un petit problème urinaire. Je suis obligée de m’assurer qu’elle a bien vidé sa vessie pour que Jackie n’ait pas de problèmes avec elle. Allez, petite salope, presse-toi un peu, tu n’oserais quand même pas nous faire attendre n’est-ce pas ?

Accablée, Allie baissa les yeux. Son cerveau eut une sorte de "court-circuit" et elle ferma les yeux, se concentrant pour relancer la miction. Les femmes se tenaient autour d’elle, parlant de choses et d’autres pendant qu’elles attendaient que l’adolescente ait fini de se soulager. Finalement, un petit filet commença à sortir et se transforma en un jet jaune puissant.

— Ah, ça-y-est. Et bien ça n’est pas trop tôt. Dit Jackie.

Allie avait l’impression de vivre dans une autre dimension. Elle était en train de faire pipi, nue, devant trois autres femmes. Elle n’aurait jamais commis une telle ignominie, il y a seulement quelques jours de ça, et elle n’aurait jamais imaginé en arriver là un jour. C’était si embarrassant et si honteux.

Lorsqu’elle eut terminé son petit "pissou", Jackie la fit étendre sur la chaise "spéciale salopes" et lui attacha les mains et les poignets dans une position identique à la fois précédente. Puis elle pompa sur une pédale pour écarter les jambes de l’adolescente au maximum. Comme la dernière fois, elle s’arrêta lorsqu’elle fut à la limite du grand écart. La douleur fit pleurer Allie mais l’estheticienne s’approcha d’elle calmement et lui enfila un bâillon boule entre les mâchoires. De douleur, Allie crispa les yeux tant l’écartement de ses jambes était difficile à supporter.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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