Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 20:49

 

Chapitre 7 : Le cours d’aérobic (deuxième partie)

 

 

 

À l’intérieur, un groupe d’une vingtaine de femmes s’activait au rythme des instructions d’une jolie blonde. Josie marcha droit vers elle. Les participantes s’interrompirent et regardèrent les deux intruses entrer. L’une d’entre elles était en tenue de sport, l’autre ressemblait plutôt à une star du porno. Son entrejambe était complètement trempé. On pouvait distinguer des taches jaunes qui ressemblaient à de l’urine sur ses chaussettes blanches en coton.
Allie tenta de se faire oublier en se plaçant dans un coin de la salle afin de dissimuler à quel point ses vêtements étaient souillés. Malheureusement pour elle, la pièce était entièrement équipée de miroirs, si bien que toutes les femmes purent voir ses fesses aussi bien que si elle les avait exhibées.

 

Josie s’adressa à la blonde.

 

— Billy ! Voici Allie. Elle est inscrite à ton cours. Désolée pour le retard mais elle a eu un accident en chemin.

 

Et sans ajouter un mot, elle fit demi-tour et abandonna l’adolescente, debout dans sa tenue outrageante, les seins presque nus et le minuscule maillot souillé d’urine ne couvrant qu’à peine son sexe.

 

— Va te mettre au fond et essaye de suivre, petite traînée. Fit la jolie monitrice.

 

Allie fit le tour de la pièce. Toutes les femmes la suivirent du regard en la dévisageant. Arrivée à sa place, elle tenta d’exécuter les exercices, mais le moindre mouvement, ne faisait qu’exposer ses seins à la vue de tout le monde. Heureusement, qu’elle avait une petite poitrine, sinon chaque exercice aurait été un calvaire.
L’exercice suivant consista à sauter sur place. À chaque mouvement, le gadget anal bougeait dans son rectum, ce qui ne tarda pas à lui procurer quelques frissons de plaisir qui l’accablèrent de honte.
Tous les corps des jeunes femmes qui participaient au cours étaient mis en valeur par des justaucorps qui révélaient plus qu’ils ne cachaient de jolies paires de fesses.
Allie était obsédée par les souvenirs dans lesquels elle était étendu nue, aux pieds de sa Maîtresse.
Après quelques minutes, elle commença à ressentir une humidité différente entre ses cuisses et se rendit compte que cela l’excitait. Non, pensa-t-elle, elle ne voulait pas ça, pas ici…
Le godemiché continuait à la stimuler et les exercices lui rappelant en permanence sa condition de sodomisée.

 

L’adolescente tentait de se concentrer, mais le mouvement constant entre ses fesses, ainsi que l’inconfort de ses pieds qui clapotaient dans ses chaussures à cause de l’urine qui s’y était introduite, rendait la chose impossible. Elle semblait en permanence avoir un pas ou deux de retard. Les femmes les plus proches d’elles devaient penser qu’elle n’était qu’une putain complètement idiote pour s’habiller de cette manière.

 

Son plaisir continua à augmenter l’approchant de plus en plus de l’orgasme. Bientôt elle imagina que toutes les femmes autour d’elle étaient nues, ce qui n’était pas difficile vu l’épaisseur des vêtements en lycra qu’elles portaient.
Elle essaya de faire bouger le bouchon qui lui obstruait le derrière pour se soulager mais, rien à faire. Finalement, quand elle fut à bout de résistance, elle glissa sa main derrière elle en plein cours et tira la lanière du maillot sur le côté afin d’avoir accès à son anus. Espérant que personne ne pouvait la voir, elle attrapa la base du gadget entre son pouce et son index et commença à le faire bouger d’avant en arrière au rythme des exercices, s’imaginant agenouillée entre les jambes de Billy, l’instructrice blonde. Elle commença à imprimer un mouvement de va et vient à l’objet, en regardant autour d’elle pour vérifier que personne ne s’en était rendu compte. Heureusement, elle était au fond de la salle et il n’y avait qu’une ou deux femmes qui auraient pu la voir.  Comme elles étaient concentrées sur Billy, il n’y avait pas trop de risque.
Elle s’enhardit un peu et fit bouger l’objet de deux à trois centimètres à chaque fois, se sodomisant allégrement. Elle tentait de continuer à faire les exercices en même temps que tout le monde. Proche de la délivrance, elle ferma les yeux.

 

Alors qu’elle commençait à suivre son propre rythme, qui n’était pas en accord avec le reste du cours, les deux femmes les plus proches se rendirent compte de son manège. Elles arrêtèrent leurs mouvements et la regardèrent avec stupéfaction et dégoût, puis elles avertirent leurs voisines en leur désignant la fille en train de jouer avec son anus.

 

Bientôt, tout le cours entier s’interrompit pour regarder l’adolescente, inconsciente du spectacle qu’elle offrait, prendre son plaisir dans la salle d’aérobic. Les 20 femmes restèrent immobiles choquées de voir la jeune fille pousser et tirer le gadget anal à l’intérieur de son sphincter, un coup à l’intérieur et un coup à l’extérieur du rectum, les yeux fermés, en gémissant.
Après quelques instants de ce traitement, Allie n’y tint plus et tira le devant de son maillot sur le côté, exhibant son jeune sexe imberbe à l’audience. Elle commença à caresser son clitoris. Son plaisir monta et elle se mit à gémir de plus belle. Les femmes autour d’elle la fixaient, comme hypnotisées par sa masturbation. Elles commencèrent à l’encourager. Allie ne s’en rendit pas compte. Elle tirait l’objet sur une dizaine de centimètres hors de son anus avant de le renfoncer à l’intérieur convulsivement. Elle le poussait et le tirait avec l’énergie du désespoir pendant que son autre main sollicitait furieusement son clitoris. Ses gémissements se transformèrent en cris lorsqu’elle atteint son orgasme. Les spectatrices l’acclamèrent.

 

Elles rirent de l’adolescente pendant que cette dernière se calmait.

 

— Quelle salope.

 

— Un gadget anal tu te rends compte.

 

— Le sexe rasé… Quelle pute.

 

Allie réalisa soudain qu’on la regardait.

 

— Salope.

 

— Putain.

 

— Vicieuse.

 

Elle reprit ses sens en réalisant que les autres femmes la traitaient de tous les noms. Oh mon dieu, qu’avait-elle fait. Quelle horreur. Que lui était-il arrivé ?
Elle renfonça le gadget dans son anus et courut à travers le rassemblement de femmes, quitta la salle et sortit dans le couloir. Son maillot n’était même pas ajusté et son sexe était visible pour tout le monde mais elle s’en moquait. Il fallait qu’elle se sauve.

 

Dans sa précipitation, elle heurta une femme et tomba à ses pieds. La porte de la salle claqua sur des éclats de rire.

 

— Hé, fais attention ! Dit la femme.

 

Allie s’empressa de remettre son maillot en place, dissimulant son sexe autant que possible. Elle était encore sous le coup de l’émotion tant son orgasme avait été puissant, mais en même temps, elle ressentait une humiliation terrible, écrasante. Pourquoi avait-elle fait ça ? Elle ne voulait pas se comporter comme ça. Elle était juste une adolescente, pas une salope de lesbienne, une putain de lesbienne. Elle aurait voulu ramper dans un trou et s’y blottir pour pouvoir pleurer tranquillement.

 

Finalement, la jeune fille roula sur le dos et regarda la femme. C’était Betsy, la serveuse du restaurant d’il y a deux jours…

 

— Hé Allie, quel plaisir, laisse-moi t’aider.

 

Elle attrapa la jeune fille sous les bras et l’aida à se mettre debout, profitant au passage de la vue imprenable de ses adorables petits seins fermes.

 

— Hmmm, qu’ils sont beaux.

 

Dit-elle en glissant sa main sous le minuscule tee-shirt pour tâter l’un d’entre eux et les masser quelque peu.

 

— Je vais vraiment adorer la nuit de samedi que nous allons passer ensemble, jeune fille.

 

Elle relâcha les seins de l’adolescente.

 

Betsy était entièrement habillée car elle avait terminé son entraînement. Allie se sentait tellement gênée d’être si peu vêtue devant son aînée. Elle était encore sous le coup de l’émotion après ce qui s’était passé au cours d’aérobic.

 

— Dis donc, qu’est-ce que tu fais maintenant ? je vais déjeuner avec quelques copines, tu ne veux pas venir avec nous ?

 

Allie aurait préféré refuser, mais Betsy représentait le seul moyen dont elle disposait pour quitter le club

 

— Avec plaisir, dit-elle d’une toute petite voix, — Est-ce que tu pourras me ramener chez moi après ?

 

— Ok poupée, c’est parti.

 

Betsy repartit vers l’entrée du club. Allie se sentait tellement indécente avec cette tenue. Sa seule consolation était que l’urine avait pratiquement séché. Elle ne sentait plus qu’une légère odeur de pisse qui s’estompait de plus en plus. Elle suivit Betsy, les fesses exposées à la vue de tout le monde.

 

Lorsque Betsy arriva à l’accueil, elle se dirigea vers la réceptionniste :

 

— Tu es prête Josie ?

 

Allie eut l’impression que le ciel lui tombait sur la tête. "Oh non, pas Josie."

 

Josie leva les yeux vers Betsy et répondit :

 

— Ouais

 

Elle remarqua Allie :

 

— Mais dis donc, tu connais Allie toi aussi ?

 

— Ouais, je l’ai rencontré il y a deux nuits environ. Puis, d’une voix plus basse : — Elle est chaude non ?

 

— Tu ne me croiras jamais… Je te raconterai ça pendant le déjeuner. Où sont Sandy et Ashley ?

 

À ce moment, deux nouvelles femmes arrivèrent, l’une d’entre elles était une rousse qui devait mesurer au moins 1m 80 et l’autre une petite brune aux cheveux courts. Les quatre femmes étaient habillées normalement et prêtes pour aller manger.

 

— Salut les filles !

 

Il y eut une série d’embrassades.

 

— Voici Allie, elle va manger avec nous.

 

Les deux nouvelles femmes lui jetèrent un bref regard et l’ignorèrent. Toutes quatre se mirent en route. Allie traîna derrière elles, pleinement consciente de l’obscénité de sa tenue.

 

Elles arrivèrent à la voiture d’Ashley, la grande rousse. C’était un gros 4x4. Comme la rouquine s’installait au volant, Sandy s’assit sur le siège passager et les trois autres femmes montèrent derrière. Bien évidemment, Allie se retrouva assise entre Betsy et Josie. Ashley mit le moteur en marche et commença à sortir du parking. Josie posa sa main sur la cuisse de l’adolescente.

 

— Comment c’est passé ton entraînement, jeune fille ?

 

Betsy posa sa main sur l’autre cuisse d’Allie.

 

— Bof… Pas très bien…

 

— Ah bon ? Quel dommage.

 

Dit Josie avec peu de conviction, en déplaçant lentement sa main sur la cuisse de l’adolescente.

 

— Non, s’il vous plaît. Dit Allie d’une voix à peine audible. — Je vous en prie.

 

Betsy regarda Josie faire glisser sa main sur l’abdomen de l’adolescente et se mettre à masser son bas-ventre, juste au-dessus du pubis. Elle tira sur sa jambe pour l’écarter un peu plus.

 

— S’il vous plaît. Dit Allie une nouvelle fois. Cependant, le ton semblait plutôt vouloir dire "encore s’il vous plaît."

 

Ashley parlait du club et Betsy lui répondit simplement "Hmm hmm" tant elle était absorbée par les caresses que Josie prodiguait à l’adolescente.

 

— Ecarte moi l’empiècement de sa culotte, Betsy. Murmura Josie.

 

Sandy se retourna et vit à quoi elles se livraient. Elle fit signe à Ashley qui dérégla son rétroviseur pour mieux voir ce qui se passait derrière elle.

 

— Waow ! Vous allez vous la faire dans ma voiture ?

 

— C’est pas une mauvaise idée. Répondit Josie.

 

Betsy tendit la main vers l’empiècement du maillot de l’adolescente.
Allie protesta silencieusement. Elle sentit la main de la jeune femme entrer délicatement en contact avec son sexe et tirer le tissu étroit sur le côté. Inévitablement, elle frissonna, tant l’étoffe était fine. L’effleurement la fit frissonner. Les deux femmes qui l’encadraient tirèrent sur ses jambes pour les écarter encore plus, lui faisant poser ses cuisses nues sur leur pantalons en jean. Elle était maintenant complètement offerte.
Josie fit descendre sa main sur le sexe de la jeune fille et l’empauma délicatement. Elle écarta les lèvres de l’adolescente et inséra son majeur entre les babines humides.

 

— Ben dis donc, qu’est-ce qu’elle mouille. Dit Josie en commençant à jouer avec le clitoris d’Allie. Sandy lécha ses lèvres et se mit à masser son propre sexe à travers son jean.

 

Betsy se pencha sur l’adolescente, attira son visage vers le sien, et l’embrassa passionnément. Elle remonta sa main sous le tee-shirt et se mit à masser les petits seins. Allie se mit à gémir à contre les lèvres de Betsy. Elle n’arrivait pas croire que ça recommençait. Elle n’était pas une lesbienne, elle voulait juste être une fille normale.
Elle gémit encore quand Josie fit pivoter doucement sa main pour introduire son majeur à l’entrée de son vagin et se mit à faire de petits mouvements d’avant en arrière. Très rapidement, le plaisir la submergea. Les deux femmes ne cessèrent de jouer avec son corps que lorsqu’elles arrivent au restaurant. Allie avait eu deux autres orgasmes, Betsy l’avait embrassée continuellement et, Josie n’avait cessé de la pénétrer avec son doigt. Allie était complètement abrutie par le plaisir lorsque Ashley éteignit le moteur.

 

Betsy interrompit le baiser et Josie se retira de son sexe. L’adolescente resta assise dans un état second à l’arrière du 4x4.
Les autres femmes descendirent de la voiture.

 

— Vas-y, petite ! Lui fit signe Josie.

 

À moitié consciente, l’adolescente rampa hors de la voiture. Josie et Ashley la rattrapèrent juste avant qu’elle ne chute au sol.

 

— Je pense qu’on va bien s’amuser cet après-midi. Rajouta-t-elle.

 

Les quatre femmes éclatèrent de rire en s’avançant vers l’entrée du restaurant.

 

Lorsqu’elles arrivèrent à la porte, Allie réalisa avec horreur que son sexe était entièrement découvert. Elle se mit à gigoter en tentant d’attraper l’arrière de son maillot pour réajuster le minuscule morceau de tissu entre ses jambes. Mais, les deux femmes qui la soutenaient étaient très fortes et tenaient ses bras si fermement qu’elle n’arriva pas à atteindre la lanière rebelle.

 

— Josie, s’il vous plaît. Est-ce que je peux me rhabiller ?

 

— Comment m’as-tu appelée, salope ? Je ne crois pas que ce soit le meilleur moyen de demander quelque chose. Dit-elle en tirant le bras d’Allie dans son dos, imitée aussitôt par Ashley.

 

Ses bras immobilisés fermement dans son dos lui firent cambrer le corps et pousser la poitrine en avant, faisant pointer ses petits tétons à travers le petit tee-shirt.

 

L’esprit d’Allie était encore embrumé par les orgasmes qui l’avaient submergée dans la voiture. Elle répondit presque automatiquement.

 

— Est-ce que je peux me rajuster s’il vous plaît Maîtresse.

 

— C’est mieux. Bien sûr que tu peux te rhabiller, nous serions gênées pour toi si tu entrais dans cet état. Elles lâchèrent ses bras et Sandy ouvrit la porte. La serveuse s’avança pour les accueillir en se demandant si elle n’avait pas rêvé pendant que l’adolescente se revêtait enfin.

 

Sandy demanda une table pour cinq, isolée de préférence. La serveuse les guida dans le restaurant à l’ambiance tamisée. Allie avançait au milieu des quatre femmes, humiliée de traverser le restaurant vêtue comme elle l’était. Leur groupe était constitué de quatre femmes habillées normalement plus une habillée comme une prostituée. Heureusement, il n’y avait pas grand monde à ce moment, bien qu’elle fût remarquée par une demi-douzaine de consommateurs. Elle entendit leurs commentaires en passant près d’eux :

 

— Regarde cette salope.

 

— Non mais tu as vu ce morceau ?

 

— Ben dis donc, j’aimerais bien lui mettre mon truc entre les jambes.

 

Comment en était-elle arrivée là ? Tout ce qu’elle souhaitait, c’était rentrer à la maison. Mais le seul moyen qui s’offrait à elle passait par les quatre volontés de Betsy. Elle redressa la tête, résignée. Au moins ici, elle était en sécurité. Affamée, elle allait au moins pouvoir se restaurer.

 

Elles prirent place à table. Allie se glissa prestement au milieu et réalisa avec soulagement qu’à cette place, elle était presque hors de la vue des autres consommateurs. La nappe cachait le bas de son corps et, si elle faisait attention à son tee-shirt, elle devait arriver à ne pas exposer ses seins à tout le monde. Pour la première fois depuis des heures, elle se détendit un peu. Ashley s’assit d’un côté d’elle et Sandy de l’autre. La serveuse leur apporta les menus et se retira.

 

— Alors les filles, vous n’allez jamais deviner ce que cette salope à fait aujourd’hui. Commença Josie. — Elle s’est pointée habillée comme une pute et j’ai voulu l’emmener au cours d’aérobic.

 

Allie était stupéfaite, Josie n’allait quand même pas raconter toute l’histoire. Non, ça n’était pas possible. Pas quand elle s’était fait pipi dessus. Mon dieu, je vous en prie, pas ça.
Josie continua :

 

— Elle m’a appelée "Maîtresse" ! Vous-vous rendez compte ? Je pense que c’est une soumise finie.

 

Allie sentit à nouveau une main se poser sur sa cuisse. Elles n’allaient quand même pas remettre ça ici ? Elles n’oseraient pas.

 

— Elle m’a dit qu’elle avait une envie urgente. Mais je ne l’ai pas crue, et nous nous sommes retrouvées dans la petite réserve du couloir.

 

Sandy s’empara de la jambe d’Allie et la posa sur la sienne. Voyant cela, Ashley attrapa l’autre et fit de même.

 

— Elle a perdu son équilibre et est tombée sur le cul.

 

Allie fit non de la tête. Ashley tendit la main et tira la bretelle de son maillot sur son épaule puis vers le bas, sous le tee-shirt, avant que l’adolescente puisse l’en empêcher. Sandy fit de même avec l’autre bretelle.

 

— Quand j’ai trouvé la lumière, je l’ai vue, assise par terre entrain de… Vous n’allez pas me croire… Elle se pissait dessus à travers ses vêtements.

 

Choquées, les autres femmes ouvrirent de grands yeux.

 

— C’est pas possible ! Dit Sandy.

 

— Je vous jure. Elle pissait à travers son maillot. Ça giclait par terre. Elle se vautrait dans sa pisse.

 

Malgré l’extravagance des propos de son amie, Ashley ne perdait pas le nord, elle fit glisser les bretelles du maillot le long du buste de l’adolescente et, d’un geste impérieux, les fit passer sous ses fesses avant que la jeune fille ait pu protester. Puis elle souleva le tee-shirt, exhibant les petits seins à peine formés au regard de ses amies.
Oh non, pensa Allie, je suis nue jusqu’à la taille maintenant.

 

— Alors j’ai pas pu me retenir, j’ai baissé ma culotte et je l’ai obligée à me sucer. Putain, c’était génial. C’est une sacrée lécheuse de chattes.

 

À ce moment, la serveuse revint. C’était une jolie petite brune.

 

— Avez vous choisi, mesdames ?

 

— Oui, c’est fait, répondit Betsy en regardant Allie avec gourmandise.

 

Toutes les femmes attablées éclatèrent de rire, enthousiasmées par le jeu de mots.

 

Elles se tournèrent vers la serveuse et commandèrent. Ce fut Ashley qui choisit pour Allie, ne la laissant même pas consulter le menu. Elle lui commanda une petite salade.
La serveuse les remercia et les laissa.

 

Allie était terrifiée d’avoir encore à s’exhiber, elle gigota un peu contre les deux femmes qui tenaient ses jambes écartées mais ne savait pas quoi faire. Faire du bruit attirerait l’attention sur elle. Sandy croisa son autre jambe par-dessus la sienne, la bloquant entre ses cuisses. Ashley, elle, fit passer rapidement l’autre jambe de l’adolescente au-dessus de sa tête et la fit glisser dans son dos avant de s’appuyer contre le dossier de la banquette pour la coincer.

 

— Non, s’il vous plaît, pas ici, laissez moi tranquille.

 

— Oh la ferme, petite salope. Dit Betsy. — On s’amuse un peu, c’est tout.

 

Allie regarda autour d’elle désespérément, mais mises à part les quatre femmes attablées avec elle, personne ne semblait s’intéresser à elle.
Ashley passa sa main sous les fesses de l’adolescente et la força à avancer un peu sur le siège afin d’exposer son sexe luisant à sa convoitise. Aussitôt, la main gauche de Sandy se retrouva entre ses cuisses et se mit à caresser son clitoris. Le choc électrique que ressentit Allie fut tel que ses yeux roulèrent dans leurs orbites.
Sandy commença à jouer distraitement avec son sexe tandis que Josie finissait l’histoire de Allie la salope.
L’adolescente gigota un peu et plaça ses mains sur celle de Sandy pour l’empêcher de caresser son sexe.

 

— Non, non, non, pas de ça jeune fille. Dit Ashley.

 

Elle attrapa les deux bras de la jeune fille et les rabattit violemment dans son dos où Sandy l’aida à les attacher ainsi que ses coudes avec les bretelles du maillot.

 

— Oh non, ne m’attachez pas… Je vous en prie ! Geignit l’adolescente.

 

— Si tu restais assise sans bouger, nous n’aurions pas besoin de t’attacher. Maintenant, reste tranquille et arrête de gigoter.

 

Les consignes qu’on lui imposait devenaient de plus en plus autoritaires au fur et à mesure que Sandy continuait à lui rendre hommage.

 

A cet instant, Allie était pratiquement nue. Elle n’avait plus sur le dos, que ses chaussettes souillées, ses chaussures et son tee-shirt. Elle sentait son plaisir monter et tenta de le contenir. Pourquoi lui faisaient-elle ça, elle n’était pas lesbienne.
Elle perdit le fil de ses pensées lorsqu’un orgasme commença à poindre dans son ventre, elle mordit ses lèvres et se mit à gémir tout doucement. Ses jambes étaient écartelées au maximum de ce que permettaient ses tendons, proches du grand écart. Ses bras étaient solidement attachés dans son dos à la hauteur de ses coudes et de ses poignets. Elle était sans défense, rien qu’un objet avec lequel on pouvait s’amuser sans retenue, auquel on pouvait faire ce que l’on voulait.

 

Sandy fit glisser sa main sous l’entrecuisse de l’adolescente et lui tâta l’anus du bout du doigt. Elle fit marche arrière aussitôt.

 

— Oh mon dieu, cette salope a un godemiché dans le…

 

Les autres femmes éclatèrent de rire. Josie lui demanda de le retirer :

 

— Enlève-le fais-moi voir !

 

Sandy plongea sa main dans le dos de l’adolescente, lui appuyant sans ménagement le buste sur la table et, ignorant les protestations peu convaincantes de la jeune fille matée, retira l’objet en caoutchouc de son rectum et l’exhiba devant ses amies.
Pour la première fois depuis 24 heures, les fesses d’Allie se vidèrent de l’intrus qui les encombrait. Elle sentit un vide en elle.

 

— Oh là là ! Elle portait ça toute la journée ? Remets-le en place.

 

Sandy repositionna la tête du godemiché contre le sphincter d’Allie et, lentement, le lui réintroduisit. Allie ferma les yeux en accueillant le bouchon. Son retour lui parut étonnement agréable. Sandy commença à sodomiser lentement la fille avec le gadget. Ashley lui mit la main droite entre les jambes et commença à jouer avec le sexe de l’adolescente.
L’orgasme d’Allie recommença à enfler en elle, sans répit cette fois, elle se mit à gémir comme une petite chienne, pencha sa tête en arrière contre le dossier de la banquette et jouit.
Elle poussait de tout petits gémissements, crispant ses lèvres pour maintenir sa bouche close, essayant tant bien que mal de rester discrète.

 

C’est ce moment que la serveuse choisit pour revenir et leur servir leur repas. Elle regarda Allie.

 

— Est-ce qu’elle va bien ?

 

De sa place, elle ne pouvait pas voir les mains de Sandy et Ashley s’amuser avec les trous de l’adolescente.

 

— Ouais, elle a seulement eu une séance d’entraînement vraiment difficile aujourd’hui et ça doit être des crampes. Répondit Josie.

 

Ashley poussa un peu plus en avant et pénétra le sexe d’Allie avec son majeur. L’adolescente subissait une double-pénétration au moment où la serveuse posa son assiette de salade devant elle. Elle essaya d’ouvrir les yeux pour remercier la serveuse, mais à ce moment une nouvelle jouissance la parcourut et elle dut monopoliser toute sa concentration pour ne pas crier d’extase.

 

Pendant tout le déjeuner, Sandy et Ashley continuèrent à abuser de l’adolescente. Elles mangèrent à tour de rôle, pendant que l’autre s’amusait avec l’adolescente. À la fin du repas, Allie était au bord de l’évanouissement.

 

Son plaisir avait été poussé à son point culminant lorsqu’elle avait senti quelque chose de sensiblement plus gros pénétrer son sexe. Elle avait baissé les yeux pour constater qu’on introduisait un vibromasseur dans sa vulve imberbe. Sandy l’avait enfoncé à fond et l’avait mis en marche. Dès lors, son plaisir avait atteint son apogée.
Elle ne se rendit qu’à peine compte qu’Ashley lui renfilait son maillot d’aérobic. Les quatre femmes se levèrent et quittèrent le restaurant. Le sexe d’Allie bourdonnait au rythme du vibromasseur dont la base poussait sur le tissu de son maillot, formant une protubérance visible sous son sexe.

 

Elles retournèrent à la voiture et reprirent les mêmes positions qu’à l’aller. Allie faillit avoir un autre orgasme en s’asseyant lorsque le vibrateur et le gadget anal se touchèrent à travers les parois intimes de son vagin et de son anus. Les sensations occasionnées par le fait d’être remplie des deux côtés étaient déjà trop en elles mêmes. Elle n’eut pas suffisamment de présence d’esprit pour protester lorsqu’elle sentit qu’on lui ôtait ses chaussures, puis ses chaussettes et qu’on les lançait dans le coffre du 4x4. Au même moment, Josie lui enleva une nouvelle fois son maillot qui suivit la même direction que ses chaussures. Elle n’avait plus sur elle que son petit tee-shirt. Ensemble, Betsy et Josie le firent passer par-dessus sa tête. Allie se retrouva nue dans la voiture d’une inconnue, entourée de femmes, un vibromasseur dans le sexe et un gadget anal entre les fesses.

 

Betsy se pencha et recommença à embrasser la jeune fille, forçant sa bouche avec sa langue. Allie gémit entre les lèvres de la jeune femme au rythme des vagues de plaisir qui la parcouraient. Josie glissa ses mains sous les fesses de l’adolescente et l’attira vers l’avant du siège. Une fois qu’elle eut accès aux deux extrémités de la jeune fille, elle se mit à agiter les deux objets en cadence.
Allie hurla presque lorsqu’elle jouit à nouveau, Josie la pistonnait des deux mains et elle n’arrivait pas à penser à autre chose qu’aux sensations qui cheminaient dans son corps. Son anus et son vagin la faisaient jouir en permanence, elle gémissait sans discontinuer pendant que Betsy ne cessait d’introduire sa langue au fond de sa bouche.

 

Elle fut incapable de marcher jusqu’à la maison d’Ashley. Elles s’étaient garées le long du trottoir et durent traîner l’adolescente nue jusqu’à la porte d’entrée. Allie resta sur le pas de la porte, à la vue de tout le monde, n’y faisant même plus attention. Sandy était derrière elle et avait glissé sa main entre ses jambes pour s’assurer que le vibromasseur et le gadget anal étaient toujours bien en place.

 

Elles entrèrent dans la maison, traînant l’adolescente nue et sans défense.

 

Une fois à l’intérieur, Josie prit à nouveau la direction des évènements.

 

— Agenouille toi au milieu du salon, petite salope.

 

Et elle poussa Allie vers le centre de la pièce. L’adolescente se sentit soulagée en pensant qu’au moins elle n’avait plus à s’exhiber en public.

 

— Attends nous ici, salope, on revient dans une minute.

 

Allie s’agenouilla au centre de la pièce. Le vibromasseur ronronnait dans son sexe, et son anus se contractait convulsivement sur l’intrus qui l’envahissait. Elle ferma ses yeux et laissa sa tête tomber sur sa poitrine. Soudainement elle se mit à pleurer silencieusement, les humiliations qu’elle avait subies ce matin réclamaient leur dû. Maintenant qu’elle était seule, les évènements horribles qu’elle avait vécus se télescopaient dans son cerveau. Elle frissonna et sentit un nouveau mini-orgasme naître au fond de son ventre. Non, s’il vous plaît, stop. Se dit-elle en elle-même. Je ne veux pas jouir encore. Elle souhaitait par-dessus tout s’en aller et rentrer chez elle. Peut-être que si elle demandait gentiment à Josie, celle-ci accepterait de la ramener tout de suite.

 

Les quatre femmes la rejoignirent dans le salon en prenant leur temps. Elles s’étaient accordé le temps de boire un verre. Elles s’approchèrent de l’adolescente agenouillée au centre de la pièce et l’entourèrent, la dominant de toute leur taille.

 

— J’aime ses seins, ils sont très jolis et ses tétons se dressent fièrement. Dit Sandy.

 

— Moi, c’est son sexe épilé qui m’excite.

 

— Je veux qu’elle me suce la chatte.

 

Elles parlaient d’elle comme si elle était un objet, ignorant ses sentiments, ne parlant que de son corps et de l’usage qu’elles pouvaient en avoir, de sa langue et de ses trous.

 

— Je pense que nous devrions encore lui attacher les bras dans le dos. Au restaurant, on a vu qu’on ne pouvait pas encore lui faire confiance. Dit Ashley en allant ouvrir un petit placard.

 

À l’intérieur, Allie aperçut quelques objets qu’elle reconnut parce que Nicole les avait utilisés sur elle. Munie de quelques cordes, Ashley revint vers elle.

 

Betsy et Josie lui rabattirent les bras dans le dos. Allie resta agenouillée, sans opposer de résistance, et laissa les femmes faire d’elle ce qu’elles voulaient.

 

— Comme tu peux voir, petite salope, Ashley adore attacher les filles. Ça la met vraiment en condition et c’est comme ça qu’elle s’amuse.

 

Maintenant, Allie sanglotait, mais personne ne s'en préoccupa. Ashley lui attacha les bras au niveau des coudes, les enserrant étroitement, tout le long, jusqu’aux poignets.

 

— Je viens de parler à Nicole.

 

Allie regarda Betsy, pleine d’espoir, et arrêta de pleurer. Peut-être qu’elle allait pouvoir rentrer chez elle après tout.

 

— Elle a dit que tu devais être rentrée à quatre heures pour préparer le dîner, mais qu’en attendant tu peux rester quelques heures ici pour qu’on s’amuse avec toi.

 

Incrédule, Allie secoua la tête négativement.

 

Allie passa le reste de l’après-midi, la tête entre les cuisses de chacune des femmes à sucer leur sexe. Lorsqu’elle fut finalement déposée sur le palier de la maison de Nicole, elle était complètement épuisée. Elle était nue, mais n’y prêtait pas vraiment attention. Elle pénétra dans la maison et commença à préparer le dîner de Nicole comme si cela lui permettait d'oublier.

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 20:46

Darling29.jpg

 

 Ou des jeunes filles bonnes à marier reçoivent une éducation un peu particulière . . .

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 16:53

Chapitre 10: Un long week-end

 

 

Nue sous la douche, Laure savourait pleinement sa récompense. L’eau chaude tombait en cascade sur ses épaules, délassant chaque fibre de son corps. Elle la fit durer jusqu’à ce que ce que la salle de bain fut engloutie sous la buée. Puis elle enroula une serviette autour de ses cheveux et passa son peignoir. Elle vérifia l’heure, et constata avec soulagement qu’il restait encore vingt minutes avant de devoir retourner au service d’Orane. Le moindre retard lui vaudrait sûrement une dure punition, mais il lui restait largement le temps de se préparer.

 

Tout d’abord, elle vérifia minutieusement son épilation, inspectant chaque recoin de son intimité. Orane ne lui avait accordée pour cela qu’une pince à épiler, ce qui rendait la tâche longue et douloureuse. Une fois satisfaite, elle se consacra au maquillage. Connaissant les goûts de Mademoiselle, elle fit quelque chose d’osé et provocant, soulignant outrageusement le contour de ses yeux, colorant ses lèvres d’un rouge si voyant qu’il en était presque vermillon. En contemplant le résultat dans son miroir, Laure réalisa soudainement que même en l’absence d’Orane, elle se conduisait exactement comme Mademoiselle le souhaitait. Comme une esclave docile, qui se maquille en pute pour faire plaisir à sa Maîtresse. Sans même que celle-ci ne lui en donne l’ordre. Elle secoua la tête en constatant à quel point l’emprise d’Orane sur sa vie était devenu importante depuis les derniers mois. Elle remit ses attributs de bonniche, et regarda de nouveau son reflet. Avec sa coiffe de soubrette et son maquillage vulgaire, elle se trouvait ridicule. Mais sa Maîtresse aimerait sûrement, et la satisfaire était son devoir. Cette pensée l’échauffa, et elle se demandait avec une crainte mêlée d’excitation jusqu’où elle pourrait aller pour plaire à Orane. Plus l’Asiatique était sévère et exigeante, et plus Laure l’adorait et la vénérait. Le tintement de la clochette la tira de ses réflexions. Laure finit de se préparer en vitesse, mettant autour de son cou le collier de chienne au médaillon gravé de son prénom. Elle descendit les escaliers aussi vite que lui permettaient ses escarpins à talon haut pour se rendre en cuisine. Mademoiselle désirait son apéritif, et elle détestait attendre.

 

Orane se prélassait sur le canapé du salon, tirant de longue bouffée d’une cigarette de cannabis. Elle prenait un plaisir considérable en regardant Laure à genoux devant elle, portant un plateau ou reposait un verre, une bouteille de Martini blanc et un bol de glaçon. Cela faisait au moins dix bonnes minutes maintenant qu’elle attendait ses ordres, le regard baissé. En silence. Mademoiselle sourit en imaginant la trame de la moquette qui devait s’incruster dans la moquette, et ses efforts pour tenir le plateau bien droit. La façon dont son esclave s’était maquillée l’amusait beaucoup.

 

- Tu peux servir, commanda-t-elle, en lui soufflant sa fumée en plein visage.

 

- Bien Mademoiselle

 

Laure put enfin déposer le plateau sur la table basse du salon. Elle servit un verre et l’apporta à Orane, à genoux. L’Asiatique se saisit du verre sans la remercier. Laure croisa ses mains dans son dos, et baissa de nouveau la tête. Attendant patiemment que Mademoiselle daigne de nouveau s’occuper d’elle. Au bout d’un long moment, Orane paru se souvenir de son existence.

 

- Si tu ne sais pas quoi faire, dit-elle après avoir bu une gorgée, tu peux toujours embrasser mes chaussures.

 

- Merci Mademoiselle fit Laure en s’exécutant.

 

Elle déposa une série de longs baiser sur le cuir des souliers de la fine adolescente, ne pouvant s’empêcher de jeter à la volée de brefs regards sur le haut des jambes de l’Asiatique. Une soudaine impulsion lui fit embrasser la cheville nue qui se balançait devant sa tête. Comme celle-ci sembla l’ignorer, Laure s’enhardit et déposa plusieurs timides baisers remontant le long de la jambe. Elle commençait à embrasser avec passion les cuisses de Mademoiselle sous sa jupe, lorsque soudain la semelle d’Orane se posa sur sa poitrine, et la repoussa brusquement.

 

- Il me semblait d’avoir dit les chaussures, non, sale petite vicieuse.

 

- Je, je suis désolée, bredouilla Laure, sincèrement confuse.

 

- Allons, ne me racontes pas de salades ! Tu viens me voir fardée comme une putain, et tu espérais que cela mériterait une récompense, non ?

 

- Non, je… bredouilla piteusement Laure. Elle se sentait perdue, comme une petite fille prise en faute.

 

Une violente gifle l’atteignit en pleine joue. Déjà la main d’Orane se levait de nouveau, pleine de menaces. Pourtant Laure ne fit rien pour éviter trois autres claques, toutes aussi violentes et méchantes.

 

- Oui, pardon avoua Laure, les yeux rougis de larmes. Pardonnez mon audace, je pensai vous faire plaisir.

 

- Me faire plaisir ! Ria Orane. Te faire plaisir, oui, grosse gouine ! Avoue que tu rêves de brouter mon petit minou, fit-elle en promenant ses longs doigts fin sur sa joue.

 

- Je… Oui, vous… avez raison, c’est moi qui le voulais, réussi péniblement à articuler Laure.

 

Elle rentra la tête dans les épaules, honteuse de devoir dire tout haut ce qu’elle encore avait du mal à s’avouer à elle-même.

 

- J’attends des excuses, immédiatement ! Espèce d’obsédée, rugit Mademoiselle si brusquement que Laure en sursauta.

 

- Pardon, Mademoiselle, pardon supplia Laure en s’aplatissant littéralement sur le sol. Je suis stupide d’avoir cru…

 

- Tu n’es pas seulement stupide, tu es une conne ! Une gouine ! L’interrompit brutalement l’Asiatique. Constamment en chaleur ! Une vraie truie !

 

- Oui, vous avez raison…

 

- Alors dis-le !

 

- Je ne suis qu’une conne, une truie en chaleur, articula péniblement la jolie adolescente, le front collé au plancher. Une petite gouine, une salope, une cochonne, une pute.

 

- Exactement dit gravement Orane, la dominant de toute sa hauteur. Tu es la pute qui offre son cul à la demande, pas moi ! Ma chatte m’appartient, et c’est à moi de décider si tu mérites l’honneur de la lécher. Ta chatte aussi m’appartient, d’ailleurs. Ainsi que tous tes orifices, et je pense que je vais devoir te le rappeler.

 

Laure ressentit une vive angoisse en essayant d’imaginer quelle punition Mademoiselle allait lui réserver. Orane faisait toujours preuve d’une perverse inventivité en la matière. Laure sentait à la froideur de la voix de sa Maîtresse qu’elle lui réservait quelque chose de particulièrement odieux et humiliant. Elle tenta désespérément de gagner un peu d’indulgence de sa propriétaire. Dans un geste de pure soumission, elle prit délicatement le pied de la lycéenne entre ses mains, et la posa sur sa tête.

 

- Je vous demande humblement de me punir comme je le mérite. S’il vous plaît, Mademoiselle, faîtes de moi une esclave bien obéissante.

 

- Bien, alors saches que ta punition durera toute la soirée. Pour commencer, files en cuisine, et commence à préparer le dîner ! Pour une personne, seulement. Toi, tu mangeras si je le veux bien. Allez, ouste ! Fit-elle en pointant son index vers la porte du salon.

 

Laure commença à se redresser, mais Orane lui précisa qu’elle devrait à présent, sauf avis contraire, se déplacer en rampant.

 

- Attends un instant, intima l’Asiatique, alors que Laure entamait sa reptation jusqu’à la cuisine.

 

La jeune fille alla chercher le gode que Laure avait du acheter pour tourner la vidéo. Elle revint, d’une démarche féline, vers sa chienne, toujours allongée sur le ventre, et jeta négligemment l’objet sous son nez.

 

- Fixes-toi ça dans le cul, ça rendra les choses plus intéressantes

 

- A… A sec, Mademoiselle ? Le regard mauvais que lui jeta Orane lui fournit sa réponse. Bien, je… vais le faire, à vos ordres.

 

La joue collée à la moquette, Laure fit remonter sa croupe, ses longues cuisses ouvertes à 90 degrés. Elle pointât le sexe de plastique sur sa rondelle mate, et commença à pousser. Elle avait l’impression de devoir se déchirer en deux, l’épais leurre lui meurtrissait l’anus. Peu à peu, les traits tordus de douleur, gémissant pitoyablement la bouche grande ouverte, elle parvint à enfoncer le gode de plusieurs centimètres. Mais sa Maîtresse était intransigeante :

 

- Enfonce le correctement, enculée ! Dit-elle en posant sa semelle sur l’extrémité du gode saillant des fesses rondes.

 

Elle finit de fourrer l’objet en le poussant brutalement du pied. Laure ne put retenir un cri de douleur.

 

- Et maintenant, Rampes ! Les nichons et la moule bien appuyés au sol. Et gardes-moi ce gode bien profond.

 

La jolie déléguée se dirigea donc péniblement ainsi vers la cuisine, sous les insultes de sa camarade de classe :

 


- Comme ça, je suis sûre de pouvoir te suivre à la trace fit-elle, riant aux éclats, comme les escargots.

 

Sa progression était lente et pénible. La moquette frottait durement ses tétons érigés, et le gode se rappelait à elle à chacune de ses ondulations. Lorsqu’elle parvint enfin à la cuisine, elle était atterrée de constater que Mademoiselle avait eu encore raison : elle mouillait abondement. Elle se sentait méprisable, et elle aimait ça. Elle se releva pour se mettre au travail. Laure ne savait absolument pas cuisiner, ayant toujours été habitué à avoir une cuisinière pour cela. Heureusement pour elle, elle avait juste à faire réchauffer les plats que cette dernière lui avait laissés en l’absence de ses parents. Durant ce temps, elle commença à dresser la table. En l’honneur de sa Maîtresse, elle sortit une jolie nappe blanche et le service de mariage de ses parents. Ils la tueraient sûrement sur-le-champ si elle cassait une seule pièce de ce service que sa mère adorait. Mais décevoir Mademoiselle serait encore pire. Surtout en ce moment.

 

Orane la rejoint à ce moment là, le martinet à la main. Elle avait l’ait mutin de quelqu’un qui prépare une bonne farce. Elle s’adossa à la porte pour contempler sa bonniche s’affairer.

 

- Inspection ! Dit-elle, toujours souriante.

 

Laure cessa immédiatement ses activités pour venir se placer en position d’inspection. Debout, sur la pointe des pieds, les jambes bien évidemment largement ouverte, les seins offerts à deux mains. Orane lui avait ainsi fait apprendre par cœur une dizaine de postures. Laure devait les consigner dans un carnet, et chacune était illustrer par un cliché d’elle prenant la position. Cela faisait partie de ses « devoirs » d’esclave. Orane s’amusa un instant à lui tordre le bout des tétines, avant de plonger la main vers sa vulve. Elle sourit plus largement encore en constatant à quel point le sexe de son jouet était chaud et humide. L’Asiatique caressa du bout des doigts les replis du vagin jusqu’à ce que Laure ne puisse plus retenir ses gémissements. Elle pinça alors fortement le clito érigé de la jeune fille. Les longs ongles de Mademoiselle s’incrustèrent dans la chair tendre. Laure eut si mal qu’elle ne put s’empêcher de porter les mains vers son sexe.

 

- Gardes la pose, poufiasse, insista Orane, sans la lâcher.

 

- Ouch ! Oui Mademoiselle, pardon… Cela fait trop mal, pitié.

 

- Je te rappelle que tu es punie. Tu n’avais qu’à retenir tes pulsions, lèche cul !

 

- Aïe! Oui merci Mademoiselle Orane. C’est vrai, je le mérite.

 

Laure reprit donc la position d’inspection, faisant des efforts surhumains pour ne plus bouger. Magnanime, Mademoiselle arrêta alors de la pincer, et elle se confondit en remerciements, conservant scrupuleusement sa pose avilissante. Sa dominatrice exigea ensuite qu’elle lui « montre son intelligence ». Le seul nom de cette pose était une terrible vexation pour la brillante étudiante. Laure se retourna et se pencha comme si elle voulait toucher ses orteils. Des deux mains, elle ouvrit amplement son sexe et son anus. C’était là en effet que Mademoiselle situait ses capacités intellectuelles. Orane arracha brusquement le gode, le lança dans le bac à vaisselle, et partit vers le frigo. Elle revint avec deux glaçons :

 

- Voilà peut être un moyen de calmer tes ardeurs fit-elle en lui enfonçant l’un après l’autre les glaçons dans le vagin. Bien sur, je te conseille de ne pas les perdre.

 

Laure crût défaillir, le froid était si fort qu’il là brûlait intérieurement. Elle pouvait à peine marcher, et Mademoiselle exigea pourtant qu’elle commence à servir le repas. Tremblante, elle réussit à poser l’entrée sur la table. Entre chaque plat, Mademoiselle lui demandait de changer les couverts et les assiettes. Pendant que Mademoiselle mangeait, sa servante restait debout derrière sa chaise, prête à réagir aux moindres claquements de doigts. Tout en sentant les glaçons fondre doucement dans sa chatte. Ceux-ci finirent par glisser hors d’elle après que Mademoiselle eut finit son hors d’œuvre. Il atterrirent sous la table, faisant un bruit cristallin.

 

- Nettoie-moi ça tout de suite ! Avec la langue, ajouta-t-elle alors que Laure prenait une éponge.

 

- Je suis navrée Mademoiselle, je vais tout laver.

 

Elle rampa donc sous la table, et avala ce qui restait des glaçons, avant de lécher à même le sol la moindre goutte d’eau répandue. Elle sentit alors la chaussure de Mademoiselle pointée à l’entrée de son vagin. Ses chairs intimes étaient encore glacées, et Laure frissonna longuement à ce contact.

 

- Tu as eu froid, souillon ? S’enquit-elle d’une voix douce.

 

- Oui Mademoiselle, beaucoup. Mais je le méritais. Merci de corriger mes vilains défauts répondit obséquieusement la jeune bourgeoise.

 

- Pauvre petite gouine. Tu vas voir, je vais arranger ça.

 

Le ton très ironique de Mademoiselle ne la rassurait pas du tout. Malgré tous ses efforts et sa servilité, Laure sentait que la perverse asiatique allait faire durer sa punition encore longtemps. En effet, Mademoiselle souhaitait finir son repas aux chandelles. Et Laure serait la chandelle. Orane la fit grimper sur la longue table et s’allonger sur le dos. Laure dut prendre ses jambes entre les bras, sous les genoux, de façon à bien relevé ses fesses à la verticale. Orane prit alors une des bougies rouges du chandelier de la salle à manger, la planta entre ses jambes et l’alluma. Pour maintenir la position de son esclave, elle ligota ses poignets entre ses cuisses à l’aide de serviettes. Mademoiselle recula de deux pas pour admirer son œuvre. Son assiette était tout près des fesses ouvertes, et elle ne pouvait manquer aucun détail. Sa poupée ne disait rien, mais elle la suppliait des yeux. Complètement à sa merci. La jeune asiatique se régalait. Elle fit remonter sa jupe courte le long de ses hanches cuivrées et se tortilla pour enlever sa culotte. Elle la fourra ensuite dans la bouche de son esclave.

 

- Je l’ai portée toute la journée, elle doit avoir un peu de mon goût se moqua-t-elle. Si tu as mal, mords la bien, tu sauras pourquoi tu souffres, bouffeuse de chatte.

 

L’adolescente dut conserver son rôle de bougeoir jusqu’à la fin du repas de sa propriétaire. Mademoiselle avait du prendre un vif plaisir à la maltraitée toute la journée : son slip était trempé. Le fort goût acre et salé l’écœurait et l’excitait en même temps. La bougie coulait abondamment, et elle ne tarda pas à ressentir la cuisante douleur provoquée par la chute des gouttes de cires. Plusieurs tombèrent sur son clito, et elle dut se contrôler pour ne pas sursauter et faire tomber la bougie sur la nappe. Sa Maîtresse ne la libéra que pour qu’elle puisse débarrasser la table et laver la vaisselle. Elle enleva d’abord la bougie, et nettoya la cire en frottant sèchement l’entrejambe de Laure du plat de la paume, avant de la détacher.

 

Pendant que Laure lavait la vaisselle, Mademoiselle s’amusait à lui tourner autour, la frappant avec son martinet avant de la caresser tendrement de la main. Laure remercia pour chaque coup. La jeune brunette prit tout son temps, explorant de son martinet et de sa bouche le corps entier de sa soubrette. Laure sentait les lanières fouetter ses seins, ses cuisses, son dos. Sa maîtresse dosait avec art la puissance de ses coups, certains échauffaient à peine sa peau alors que d’autre la mettaient au supplice. La jolie lycéenne ne résista pas longtemps à pareil traitement, et finit par jouir sous les lanières de cuir. Le résultat fut catastrophique pour la vaisselle, et Laure cassa deux assiettes et un verre. Mais la menace des ses parents lui semblait bien loin. La soirée était loin d’être finit, et déjà Orane lui fixait sa laisse, et la traînait au milieu du salon. Oui, le week-end promettait d’être bien long pour la jeune Laure.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Laure - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 16:45

mgiumh

 

 

 

Comme nous l'avons déjà constaté, la gymanastique est particulièrement importante pour entretenir la forme d'une bonne soumise!

 

Et quoi de plus sympa que de la pratiquer entre amies? Surtout s'il s'agit d'entrainer son petit anus?

 

S'entraîner à plusieurs permet de reculer toujours ses limites!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 16:43

Darling28.jpg

 

 

Ou l'on découvre que sexe et équitation font très bon ménage!

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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