Mercredi 29 février 3 29 /02 /Fév 22:33

Chapitre 12 : Livrée à l’infirmière

"Ohhhhhhh! Ohhhh . . .". Elle s'est arrêtée, pleurant et gémissant de douleurs. Je ne crois pas avoir jamais donné à une fille une telle bastonnade! Sarah allait très clairement mettre des jours à pouvoir s'asseoir ou marcher normalement. Il y avait même quelques rares endroits où un peu de sang était visible.


Je pense que de la voir se dandiner en couinant, cloches tintant à tout va, excita mon enthousiasme et peut-être obscurci mon sens des proportions. Mais je crois fermement qu’une jeune fille n’est jamais trop punie ! Elle me remercierait un jour, même si je doutais que ce soit pour bientôt.

J'ai donc procédé au retrait de ses « bijoux ». Elle grimaça à la suppression de chaque pince et glapit lorsque je l'ai massée sur les parties libérées pour faciliter l'écoulement du sang. J'ai ensuite libéré son bras droit. Sa main s'est immédiatement mise à frotter ses fesses pour atténuer ses douleurs intolérables.

 

Je lui dis d’enlever le reste de ses entraves elle-même.

Toujours en pleurant et gémissante, Sarah tentait d’enlever maladroitement les autres entraves. Apparemment, elle avait un peu perdu de sa dextérité. J’admirai ses seins qui se balançaient, les mamelons irrités et gonflés.

Sur ce, mon téléphone sonna. Je décrochai. C’était l’infirmière de l’école.

 

« Oui Sonia ?. . . Vous devez me voir pour une urgence ?. . . Cela ne peut pas attendre ?. . . Soit. Je suis à la salle de punition. Oui . . . Avec Sarah Mc Cluskey. . . . Je vous ouvre la porte . . . », dis-je en appuyant sur un bouton.

 

Effarée, Sarah se démenait de plus belle pour se libérer et dans sa panique agitait ses appâts encore plus impudiquement. C’est juste au moment ou Sonia entra que l’adolescente réussit à retirer ses entraves.

 

Sarah couvrit ses seins et sa chatte par pudeur.

 

Sonia, superbe grande blonde de 25 ans aux jambes interminable, portait sa blouse d’infirmière minimaliste. La blouse, de couleur blanche, portait une croix rouge sur l’épaule gauche, dévoilait largement ses seins généreux par un grand décolleté en V et ne lui tombait qu’au quart de cuisses. La tenue mettait superbement en valeur sa peau blanche et ses cuisses charnues. Connaissant mon infirmière de choc, je savais qu’elle ne portait rien dessous !

 

A la vue de Sarah, Sonia sourit franchement.

 

« Eh bien ma petite, tu as du en faire de belle pour recevoir une telle correction ! », s’exclama t-elle.

 

« Et elle n’est pas terminée ! », commentai-je.

 

Sarah étouffa un sanglot.

 

« Oh pitié, Madame La Directrice . . . »

 

« Vraiment, Madame La Directrice ? », demanda Sonia.

 

« Oui, je l’ai corrigée pour ses manquements au règlement, mais il me reste à la punir pour avoir jouit sous la punition ! »

 

« Mon Dieu, voilà qui est en effet particulièrement indécent ! », commenta l’infirmière d’un ton faussement outré.

 

« Oui, mais je sais me montrer clémente. . . Je vais vous laisser Sarah le temps que vous jugerez nécessaire pour un examen médical complet afin de m’assurer que je puisse continuer la punition sans dommages pour elle! »

« Oh! S'il vous plaît, s'il vous plaît, je peux pas ... mes fesses ne pourrons tout simplement plus! », supplia la jeune fille.

"Ne t-inquiète pas, ma chérie, tes fesses ne seront plus au centre de mes préoccupations. Je vais devoir punir les parties de ton corps responsables de tes abandons répétés à tes bas instincts !».

L’adolescente blêmit. Sa mâchoire tremblait.

 

« Maintenant Sarah, à ta place, je me rhabillerai, à moins que tu ne veuille rejoindre l’infirmerie nue ! »


Sarah, étourdie, enfila ses vêtements avec force grimaces.

 

« De plus Sonia, j’aimerai que vous épiliez complètement notre jeune amie de façon qu’elle puisse enfin se conformer au règlement et ne pas exposer ses poils disgracieux à tout va lors de ses séances de punitions ».

 

« Ce sera fait, Madame la Directrice. En plus, les poils sont encore plus disgracieux sur la peau des rousses : je lui ferai une épilation intégrale ! »

 

Je souri à mon infirmière, satisfaite de la voir reprendre la balle au bond.

 

« Et bien Sonia, pourquoi souhaitiez-vous me voir ? »

 

« Rien de bien urgent dans le fonds Madame La Directrice !. . . Le plus important est que j’aille examiner Sarah afin de vous la rendre le plus vite possible et qu’elle en ait terminé avec sa punition ! »

 

« Oui, en effet ! Mais prenez votre temps ! Je veux un examen vraiment complet car le reste de punition à administrer est particulièrement douloureux et humiliant et je veux être certaine qu’il n’y a pas de contre indication! »

 

L’adolescente était sur des chardons ardents.

 

« Et toi Sarah, j’espère que tu as compris que je ne suis plus d’humeur à supporter tes accès de pudeur mal placés ! Sonia est une infirmière ! Son travail est d’examiner des personnes nues ! Alors si tu ne souhaite pas encore aggraver ta punition, je te conseille de ne pas lui compliquer la tâche lors de ses examens et de lui obéir au doigt et à l’œil ! »

 

La jeune fille déglutit.

 

« Oui, Madame La Directrice, . . . je serais très obéissante ».

 

Sonia sortit de la pièce suivit, en claudiquant, de Sarah.

 

J'eu alors le merveilleux sentiment du travail bien fait.

 

Sonia et Sarah sorties, je refermai et verrouillai la porte pour être tranquille et fit sauter tee-shirt, short et petite culotte pour enfin m’assoir confortablement dans mon fauteuil.

 

De ma place, je mis en marche le micro-ordinateur portable placé sur la petite table à côté du fauteuil, puis lançai le programme me permettant de me connecter aux caméras de l’école. Je choisi de me connecter à la caméra de l’infirmerie. Stratégiquement placée, celle-ci m’offrait une superbe vue couleur, avec son, sur la pièce ou Sonia était censée examiner ses chères patientes dans l’intimité. C’est grâce à cette caméra que je pouvais dire que les examens de Sonia étaient très poussés et particulièrement . . . approfondis! Et d’autant plus poussés et approfondis que l’élève était belle et « appétissante ». Sonia aimait visiblement les jeunes filles aux formes très féminines. Avec Sarah, elle allait être comblée.

 

A peine connectée, je vis entrer une Sarah rouge jusqu’aux oreilles, une Sonia rayonnante . . . et la jeune Lin-Yi, souriant à pleines dents ! Cette garce de Sonia s’était débrouillée pour prendre en chemin cette petite perverse de Lin-yi, une petite asaitique de 16 ans à peine, mince comme un fil de fer, d’une merveilleuse servilité envers le corps enseignant et le personnel de l’établissement, mais au fonds bien sadique avec ses camarades de classe, surtout celles à fortes poitrine ! Par pure jalousie sans doute ! Décidément cela allait être la fête de Sarah !

 

Lâchant un soupir d’aise, je me calai dans le fauteuil, cuisses bien écartées et pris ma moule glabre aux grosses lèvres brunes à pleine main en commençant à la malaxer sans pudeur.

 

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Mercredi 29 février 3 29 /02 /Fév 22:23

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Ou de naives élèves se font sévérement et voluptueusement punir!

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Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 21:14

Chapitre 8: Grandeurs et déchéance

Au bout de quelques semaines de pareils traitements, Laure faisait peine à voir. Elle avait perdu l’assurance hautaine qui faisait sa réputation. Constamment sur la défensive, elle bafouillait chaque fois qu’on lui adressait la parole, et paraissait terriblement mal à l’aise avec ceux qu’elle prenait de haut dans le passé. Après ce qui s'était passé dans les vestiaires du gymnase, Laure devint rapidement la brebis galeuse de sa classe, et même du lycée entier. Les adolescents sont prompts à mépriser ceux qu’ils portaient aux nues auparavant, et sa passivité face aux brimades et l’attitude servile que lui imposait Orane achevèrent de détruire sa glorieuse réputation.

Il était devenu si facile pour sa Maîtresse de la ridiculiser en public, que presque tous les autres élèves s’y mirent également. A l’inverse, la jeune Asiatique rayonnait littéralement, et était de toutes les fêtes. En un mois, elle était devenue le nouveau centre d’attention du Lycée. Mais Laure acceptait cette nouvelle situation. Elle jouissait même terriblement de son esclavage clandestin. Tout concourait à l’exciter : les ordres humiliants, l’index qu’Orane, exprès, agitait devant elle sous le regard des autres élèves, au risque de la trahir. Et bien sur les séances en dehors du Lycée. Ce qu’Orane appelait son « dressage »…

Ainsi, un week-end, les parents de Laure s’absentèrent, et Orane lui fit part de son attention de passer la nuit chez elle. Laure tressaillit à l’idée de servir Mademoiselle sous son propre toit, mais elle ne put que céder une fois plus à ses exigences. Les parents de Laure partirent le samedi matin chez ses grands-parents, en Moselle, et une heure plus tard, Orane sonna au portail. Laure se précipita dehors ouvrir le portail afin de ne pas faire attendre son impatiente Maîtresse. Celle-ci lui avait imposé depuis peu quelques nouveaux accessoires à la tenue de soubrette qu’elle devait porter pour la servir. Elle portait une paire de bottines basses en cuir, dont les talons mesuraient au moins 10 cm de haut, qui l’obligeait à trottiner maladroitement sur l’allée de gravier. Elle avait également des bas à larges résilles noires retenus par un porte-jarretelles rose. Et bien entendu, elle avait toujours son minuscule tablier et sa coiffe de bonniche. En dehors de ça, elle était intégralement nue. Heureusement, la cour était entourée par une haie de troènes, et le haut portail la protégeait des regards. Laure ouvrit la porte en faisant une large révérence :

- Votre esclave est honorée de pouvoir vous servir, Mademoiselle

Orane l’avait dressée à ces signes de respect envers elle, et la dernière fois que Laure l’avait oublié, elle avait dû passer une heure au coin, agenouillée sur une règle et portant une lourde encyclopédie sur sa tête. Mademoiselle passa devant elle, sans un mot, se réjouissant de la voir trembler de froid par cette fraîche matinée de novembre. Laure la guida jusqu’au salon et attendit que la belle asiatique s’installe dans le canapé avant de se prosterner en lui baisant les pieds.

- Montre moi tes devoirs, fit froidement Orane en la repoussant du bout de sa chaussure.

- Bien Mademoiselle

Laure s’exécuta en branchant le caméscope de son père sur le téléviseur, en lança la vidéo qu’Orane lui avait imposée de tourner. Les « devoirs » particuliers qu’Orane lui donnait comme à une écolière vicieuse étaient devenus un rituel, qui donnait lieux à de terribles punitions si Orane ne jugeait pas son travail satisfaisant. Et ce devoir fut particulièrement éprouvant : Laure devait faire devant la caméra un strip-tease « digne de la salope qu’elle était » avait précisé Mademoiselle, puis se branler avec un gode vibrant. Dans tous les trous. Jusqu’à l’orgasme. Bien sur, il lui revenait d’aller acheter l’objet, avec son propre argent de poche. Laure repensa à l’angoisse qu’elle avait éprouvée devant le sex-shop de la petite bourgade. Elle avait patienté une heure au coin de la rue, attendant que la rue se vide, avant de pénétrer dans la boutique d’un pas rapide, terrorisée à l’idée de rencontrer quelqu’un de sa connaissance. Mais le pire fut quand le vendeur lui avait demandé ses papiers, afin de vérifier qu’elle était bien majeure. L’homme ne fit aucun commentaire, mais Laure ne s’était jamais sentie aussi honteuse de sa vie.

Les images commencèrent à défiler sur l’écran, et Orane claqua des doigts en pointant l’index vers le sol à ses pieds. Laure se mit aussitôt à quatre pattes et rampa vivement vers Mademoiselle.

- Tourne toi, le cul relevé, les fesses écartées à deux mains, le front au sol.

Alors que Laure obéissait vilement, Orane étendit ses jambes fines et posa ses semelles sur sa croupe.

- Tu me serviras de repose-pied pendant que je vérifie ton travail, lui annonça-t-elle chaleureusement.

Comme Laure ne répondait pas, elle frotta sèchement sa semelle contre la raie largement ouverte que lui présentait son esclave.

- Ouch, merci de cet honneur, Mademoiselle, geignit-elle

- Mais de rien, pétasse ! fit Orane. J’espère que tu t’es appliquée, car sinon tu te souviendras de ce week-end.

- J’ai fait de mon mieux répondit humblement Laure. J’espère que vous serez fière de votre bonniche, Mademoiselle.

- Nous verrons ça dit Orane en montant le son de la télé. En attendant, silence et ne bouge plus, catin !

Le salon s’emplit des basses puissantes du morceau de techno que Laure avait choisi pour son strip-tease. Elle savait que Mademoiselle aimait ce disque. Le nez collé au planchez, Laure ne voyait pas les images, mais elle imaginait parfaitement le plaisir qu’elles procuraient à sa jeune Maîtresse. Elle repensa à ses déhanchements lascifs et osés alors qu’elle dansait devant l’objectif du caméscope posé sur la commode qui faisait face à son lit. Elle avait ensuite pris un air gourmand en déboutonnant son chemisier, massant ses seins lourds et fermes, les présentant à pleines mains avant de les lécher du bout de la langue. Une fois nue, elle pris toute une série de poses obscènes, révélant chaque recoin de son anatomie à l’œil froid de la caméra. Orane s’amusait énormément du spectacle, et Laure entendait parfois fuser son rire cristallin. Oui, pensait-elle, il devait être amusant de voir celle qui était autrefois sa rivale s’humilier et se ridiculiser de la sorte. Question de point de vue. De son point de vue de repose-pied, elle souhaitait juste que ces rires étaient signes que son devoir plaisait à sa Mademoiselle, et qu’elle ne serait pas punie. En entendant sa voix sortant du téléviseur à plein volume, Laure sut que la deuxième partie de la cassette commençait.

- Bonjour, je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo, et délégué de ma classe, avait-elle récité à genoux, en déballant le gode. Mais je suis également une chienne en chaleur, propriété exclusive de Mademoiselle Orane de Bréot. Et comme toutes les chiennes en rut, j’adore sucer des bites.

Laure fut profondément humilier de s’entendre prononcer de telles paroles. Elle se revit faisant coulisser le gode entre ses seins, avant de l’avaler goulûment. Les bruits de succions qui lui parvenait étaient odieux. Orane restait muette, mais Laure sentait à la façon dont elle bougeait les jambes sur son dos que la scène commençait à l’exciter. Mademoiselle prenait effectivement beaucoup de plaisir à voir son esclave s’empaler frénétiquement sur le sexe de plastique. Le vrombissement de l’appareil et les sons humides que sortaient de sa chatte furent bientôt couverts par les râles de l’adolescente. Laure jouissait sur l’écran, à quatre pattes, se masturbant profondément dos à la caméra. Puis elle se redressa, sortit un instant du champ du caméscope et revint avec un pot de margarine.

- Comme toutes les putes, avait alors expliqué Laure, j’aime beaucoup être enculée. Je vais vous montrer comment je fais.

Elle s’était alors de nouveau tourner dos à l’objectif, toujours à quatre pattes, et avait largement écarté les jambes.

- Tout d’abord, il est important de bien se beurrer la raie, avait-elle ajouté avant de cueillir une noix de margarine de l’index et de s’oindre l’anus.

Mademoiselle rit de nouveau en voyant le doigt luisant aller et venir dans la rosette de Laure. C’était elle, évidemment, qui avait dicté à Laure les phrases mortifiantes qu’elle prononçait à l’écran. Les gémissements reprirent bientôt, et Laure repensa à la douleur qui l’avait envahie alors qu’elle poussait bien à fond le gode entre ses reins. Elle se sentait déchirée en deux, mais elle avait tenu bon et appuyé fortement sur le leurre, l’enfonçant jusqu’à la garde. Elle avait ensuite mit le vibreur en marche, et commencé un lent va-et-vient. La douleur s’était alors transformée en douce chaleur, et le plaisir l’avait de nouveau envahi. Chaque fois plus intense depuis qu’Orane l’avait initié au plaisir anal. Laure se sentit de nouveau mortifiée alors qu’elle entendait ses râles et soupirs se transformer en véritables cris de jouissance. Mademoiselle poussa encore le volume, absolument ravie de contempler la déchéance de sa chienne. La jolie Laure était devenue une véritable bête à plaisir, un parfait objet sexuel dont on use à sa guise. Tantôt salope à pornos, tantôt repose-pied ou paillasson. Et toujours aussi prompte à l’orgasme. Elle suivit la vidéo jusqu’à ce que Laure fut secouée des spasmes du plaisir, et nota avec joie que sa rondelle resta largement ouverte après qu’elle eut retiré le gode. Mademoiselle coupa alors la télé, et retira ses pieds des fesses de Laure. Celle-ci se tourna et demanda d’une voix faible si sa propriétaire était contente de son travail.

- Pas vraiment, menti Orane, tu as oublié de bien montrer ton visage lorsque tu jouissais. Et le strip-tease aurait pu être bien plus chaud. Et le gode plus gros.

- Je… je suis désolée, fit Laure. Je serais très honoré de subir une punition méritée pour vous avoir déplu…

Laure se sentait anéantie. Durant la terrible humiliation qu’elle venait de subir, elle avait sincèrement souhaité plaire à sa maîtresse. Orane dut sentir à quel point elle était éprouvée, et lui esquissa un petit sourire.

- Je me sens l’âme généreuse aujourd’hui, et je vais donc suspendre provisoirement ton châtiment.

- Oh! merci, Mademoiselle dit Laure en embrassant ses souliers


- Ne te réjouis pas trop vite ! Et files enfiler ton imper noir, on va sortir faire un peu de shopping.

- Bien Mademoiselle, a vos ordres.

Laure n’osa pas discuter les instructions de sa jeune Maîtresse, mais elle était anxieuse. La simple idée de devoir sortir nue sous son léger imper noir, en pleine rue, la rendait très mal à l’aise. A part devant Orane, Laure restait une jeune fille très pudique. Mais après tout songea-t-elle, elle devait déjà s’estimer heureuse qu’Orane lui ait permis de quitter son tablier et son bonnet de soubrette. Et s’il lui prenait la fantaisie de l’exhiber et de l’humilier en pleine rue, après tout, c’était son droit. Elle avait d’elle-même fait don de son corps à Mademoiselle. Laure se hâta de la rejoindre en entendant résonner la clochette d’argent, symbole de sa condition de domestique. Parvenue au bas de l’escalier, elle fit de nouveau une gracieuse révérence devant Mademoiselle. Devant son accoutrement, Orane rit de nouveau, et tourna son esclave vers la glace de l’entrée. Laure rougit de la tête au pied en découvrant son reflet. L’imperméable avait un col très ouvert, et il lui suffisait de se pencher légèrement pour exhiber son opulente poitrine. De plus, le vêtement lui arrivait à mi-cuisse, et ne cacherais rien de son sexe glabre si elle s’asseyait. Ses bottines à haut talon et ses bas résille complétait le tableau. La jolie asiatique s’esclaffa de nouveau :

- C’est parfait, tu as tout d’une pute ! Dommage qu’on n’ait pas le temps d’arranger ton maquillage, mais le bus va bientôt arriver. Allez, ouste !

Laure, tête basse, suivit donc sa terrible dominatrice, en frissonnant dans l’air glacé.

 

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Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 21:06

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AVERTISSEMENT

 

La lecture répétée et intensive de votre blog préféré peut donner de fortes températures!

 

Veillez a avoir auprès de vous une demoiselle (femme, amie, petite-amie) correctement épilée et en tenue adéquate pour vous porter les 1ers soins d'urgence!

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Mardi 28 février 2 28 /02 /Fév 21:03

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Les cours de maintien! Une source inépuisable de situations érotiques! Le 20eme roman de "Darling, poupée du Vice" et la superbe illustration de karla sont là pour le démontrer!

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