Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 19:44

Chapitre 10 : Sarah entravée


"Maintenant, comme je le disais, nous commençons à être très en retard, donc je pense que nous allons aller droit au but. Tout d'abord, puisque nous avons établi que tu n'es pas capable de maintenir ta position de punition, je pense que nous avons besoin de contraindre tes mouvements. Vas à ce mur, là, Sarah, et apporte-moi l’objet suspendu là. Oui, celui-là. Amène-le ici "


L’excuse du retard était une excuse qui fonctionnait toujours très bien !


L'équipement que m’apporta Sarah se composait d’une barre de bois à laquelle étaient fixés des brassards de cuir assez grands pour être attachés autour des cuisses d'une jeune fille, juste au dessus du genou.

 

La barre de bois se fixait de plus aux poignets par deux autres brassards, reliés à la barre par deux chaînes de métal. Souriant, je reçu d'une source provenant Sarah confus et effrayés et le leva pour son usage.


«Eh bien, Sarah, qu'en pense-tu? Peut-tu imaginer comment ce petit article est d'être utilisé? "


Sarah regarda l'engin avec fascination craintive. Elle s'arrêta de pleurer, se concentrant pour trouver une réponse à ma question.


« Tout ce que tu as à faire est de mettre les plus grands brassards autour de tes jambes », lui expliquais-je en lui remettant l'engin en main.


Sarah recula, "Ohhh ... ohhh, Madame la directrice, s'il vous plaît-p ..." Elle avait visiblement très peur.

"Dois-je appeler nos amis, ma chérie?


«Non, non, Madame la directrice, je vais l-le faire ..." et la pauvre enfant tendit la main pour prendre le redoutable appareil en main.


Je le lui tendit. Il ne lui a pas fallu très longtemps pour attacher les brassards à ses cuisses. Puis, elle attendit, ne sachant visiblement que faire des 2 autres brassards.

 
Elle avait l'air tout à fait adorable: une adolescente nue et voluptueuse avec ses genoux attachés l'un à l'autre, mais suffisamment écartés pour qu'elle soit dans l'impossibilité de protéger le petit trésor placé entre ses cuisses à l'abri des regards et des . . . coups!


«Maintenant, attache le brassard à ton poignet gauche », Sarah."


"Oh, Mme Madame la directrice, s'il vous plaît, je vous promets que je vais rester en position! Vous n'avez pas à le faire . . . »


"Sarah, obéit-moi, maintenant."


Elle a commencé à chialer à nouveau, mais obéit, l'échine courbée. Avec un poignet fixé, la posture de Sarah devenait encore plus intéressante. La pauvre fille se retrouva dans une position assez provocatrice, fesses bien relevées.


«Bon, ma fille, maintenant je vais finir de t-attacher". Et j'ai rapidement fixé le poignet droit de Sarah la bande de cuir restante. Le choix de poses de Sarah est devenu plus limité. Si elle voulait être capable de regarder devant elle, elle devait adopter une posture accroupie. Sinon, elle pouvait redresser les jambes, mais cela la contraignait à se pencher en avant plus sévèrement. Cette position était tout à fait attrayante - pas pour elle bien entendue, mais pour moi! En outre, bien sûr, Sarah était désormais totalement entravée, incapable de se libérer seule.


Afin qu'elle puisse garder ses yeux sur moi, Sarah décida de se tenir jambes repliées, en me faisant face, postérieur vers le bas, loin de mes mains. Elle n'avait pas conscience qu'ainsi elle me présentait ses seins lourds qui pendaient sans défense.


J'eu un petit rire: «Eh bien, Sarah, tu ne manque pas de  charme dans ta nouvelle position »


Sarah tourna son regard suppliant et pitoyable plus sur moi, avec peu d'effet.


"Mme . . . Madame Marks, je promets que je vais rester en position pour la punition! Oh, s'il vous plaît, laissez-moi libre! "


J'ai ignoré cette demande. « Marche en arrière de quelques pas. Oui . . . ».


La pauvre fille se dandinait d'avant en arrière dans son absurde posture, pleurant amèrement d''humiliation. Après un peu de pratique, elle a bien reçu la coup de lui et traînant plutôt bien. L'effet visuel était délicieux: elle remuait les fesses et les seins grossièrement gigotant par petits pas pour reculer. Il était difficile de garder à l'esprit que la pauvre fille n'était pas si provocatrice à dessein.


Ses jambes ont dû être fatigué se de leur position courbée, et, bien sûr, Sarah se trouva obligé de redresser ses jambes afin de reposer ses muscles fatigués. Cela lui lui fit basculer tête et épaules vers le bas, et les fesses vers le haut, à l'équerre. A nouveau, la pose était charmante et j'accordais un  nouvel hommage mental à ses deux orifices vierge.


Je passais derrière mon bureau, en disant à Sarah avec un rire cruel, « je serai bientôt de retour, ma chérie! »


J'ai ouvert une porte à côté de l'armoire. A l'intérieur du placard je rangeais une grande variété de cannes. J'ai choisi l'un des modèles les plus sévères. En me dirigeant vers ma victime avec cet impressionnant instrument, je vis que Sarah lutta un peu, mais qu'elle constata rapidement qu'elle n'allait pas être en mesure de se libérer.


Saisissant Sarah par l'oreille à nouveau (j'adore faire ça!), je l'ai conduit à un mur de la pièce.


 «Maintenant, ma fille, voici ce qui va se passer. Tu n'as qu'à faire le tour de la salle trois fois et ta bastonnade sera finie. Je te conseille d'aller aussi vite que tu le pourras, parce que je vais te bastonner aussi vite que je le peux. Maintenant, voici la ligne de départ. Bien. Maintenant, le signal de départ est très simple - commence à bouger dès que tu sentiras le 1er coup de canne. "


Elle avait l'air si adorable là, attendant que la canne s'attaquer son fondement!


J'ai lancé la canne vigoureusement vers les fesses de Sarah . Elle s'imprima profondément dans les chairs de la jeune fille. Sarah hurla de douleur et de surprise. Elle sauta en avant en réaction à la douleur, mais, étant une fille intelligente, elle se souvint qu'elle commencer à avancer si elle voulait minimiser le nombre de coups sur ses fesses. Elle commença à se dandiner aussi rapidement qu'elle le pouvait, et je dois dire que l'image qu'elle a présenté a même réussit à détourner la canne pendant quelques secondes. J'ai été complètement pris par le balancement des fesses et  des seins de Sarah.


Je me suis reprise et décochait un 2eme coups dans le fessier de la belle!

"Allons, Sarah, plus vite! Vite!"

 

Vlan! Vlan!


"Owww! Owwwww! Oh, ça fait mal!"


Je suivais la pauvre fille alors qu'elle avançait avec une habileté sans cesse croissante, en ajoutant à chaque pas une nouvelle rayure douloureuse sur son arrière-train, jusqu'à ce que, au moment où nous avions fait un tour de pièce, elle se mit à se déplaçer à une vitesse surprenante. Malheureusement pour son cul, je n'en ai pas moins réussi à lui décocher une trentaine de bons
coupe de la canne. Le cul de Sarah virait au pourpre foncé.


Les choses allaient cependant trop vite. Sarah avançait trop vite. A son rythme actuel, je ne pourrai que lui décocher au plus que cinquante coups, et je tenais à donner beaucoup plus que cela - pour son propre bien, bien sûr!


«Arrête, Sarah . . . J'ai dit stop!"


La jeune fille nue était tellement absorbée dans sa course qu'il lui a fallu quelques secondes pour enregistrer ma commande. Maintenant, elle se tenait immobile, haletante, avec ses jambes redressées afin de reposer ses muscles. Elle pleurait amèrement de honte et douleur. Je m'arrêtais pour boire avec ce spectacle magnifique sous les yeux.


«Tu évolue très bien Sarah. Je te félicite pour ton agilité. Toutefois, J'ai besoin de m'assurer que tu prenne la pleine mesure de ta punition ... "


«Mais, Madame la directrice, mon postérieur est en feu! J'ai été très, très punie déjà! Ohhh, je ne pense pas que je puisse prendre beaucoup plus de cela ... plus de canne s'il vous plaît. "


"Ton cul à un peu mal?" demandai-je, caressant l'objet de la discussion affectueusement, provoquant chez Sarah évidemment un certain malaise, à en juger par ses cris de protestation.


J'ai continué: «J'espère donc que tu vas apprendre à être plus respectueuse des règles de l'école, ma chérie et éviter toute répétition de cette expérience. J'ai bien peur que ton cul ait encore beaucoup plus à souffrir cet après-midi. "


"Ohhhh ... Madame la directrice! S'il vous plaît, je n'en peux plus!"


"Eh bien, je crains que tu vas devoir encore prendre sur toi! Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de te fixer avec quelques jolis bijoux, que tu vas aimer, j'en suis certaine ».

 

Sur ce commentaire, je fouillais dans un tiroir.

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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 19:39

Darling16.jpg

 

 

Le fantasme des Femmes de chambres et soubrettes en tous  genres! Que de nuits a t-il peuplé? Et lorsque l'on regarde l'illustration de Karla, on comprends pourquoi!

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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 19:37

Chapitre 6: Servitude au quotidien

 

 

Le mercredi après-midi de Laure fût bien sur employé au service de Mademoiselle. Elle sonna à sa porte dès quatorze heures. Sur le palier, Orane fit mine de ne plus se souvenir ce qu’elle faisait là. D’une voix troublée, Laure bredouilla selon ses instructions :

 

- Je viens faire la bonniche et me faire traire.

 

Orane avait exigé qu’elle prononce cette mortifiante phrase.

 

Laure dut revêtir rapidement sa ridicule tenue de soubrette qui ne cachait rien de son anatomie. Puis elle se présenta devant sa Maîtresse, à genoux, attendant ses instructions. Elle ne put s’empêcher de constater une fois de plus à quel point Orane était belle. Elle était vêtue d’une jupette écossaise et d’un body moulant sa poitrine menue. Ses longs cheveux noirs noués en un chignon compliqué et son maquillage sophistiqué lui donnaient un air plus âgé et plus strict. Ce contraste avec sa propre tenue le mettait d’autant plus mal à l’aise et renforçait son sentiment d’infériorité. Les parents d’Orane étaient au travail, et la maison était déserte. Orane la fit attendre un moment, avant de venir soupeser ses seins nues avec sa règle de plastique plate.

 

- Tu as vraiment des mamelles de vaches. Voyons voir si tout cela tient au moins en place. Sautille un peu.

 

Laure dut faire de ridicules petits sauts sur place pour que sa lourde poitrine ballotte. Orane exigea de tout voir bouger, et Laure s’appliqua du mieux qu’elle put, ses seins remuant dans tous les sens. Ses mamelons ne tardèrent pas à se durcir, et Orane les pinça méchamment, pour éprouver leur texture. Elle lui donna quelques cruelles pichenettes sur les tétons, encourageant Laure à bien agiter ses mamelles. Laure fut bientôt rouge et essoufflée, et Mademoiselle lui laissa enfin un répit, en l’envoyant s’occuper du ménage de sa chambre.

 

Laure passa l’aspirateur, changea les draps, fit le lit, épousseta les meubles… Elle dut laver à la main la lingerie fine de Mademoiselle, et s’occuper du repassage en retard, pendant qu’Orane la surveillait en se prélassant sur son lit. Elle était aux anges. Son esclave obéissait de façon mécanique, prenant toutes les positions humiliantes qu’elle lui dictait alors qu’elle nettoyait sous un meuble ou qu’elle lavait les carreaux. L’adolescente était toujours très excitée quand elle dominait Laure, mais elle était passée maître dans l’art de dissimuler ses émotions. Elle avait une intuition très fine en ce qui concernait les rapports de pouvoir, et sentait instinctivement qu’il pouvait être dangereux de se laisser aller devant un esclave. Mais elle sentait également que Laure était à présent suffisamment domptée pour pouvoir s’abandonner à la jouissance en sa présence. Et même avec sa participation active. Elle eut un sourire cruel et dit :

 

-Va me chercher le vernis sur la commode. Tu vas m’en mettre sur les ongles.

 

Laure obéit et lui vernit les ongles de pieds, à genoux, lançant parfois un regard à la dérobée vers les longues jambes fines et nues de sa Maîtresse. Elle apercevait parfois l’éclat noir du slip d’Orane. Elle fit sécher le vernis en soufflant doucement sur ses orteils. Une fois le vernis sec, la belle asiatique s’étira comme un chat.

 

- Huumm, il fait si chaud. Tu vas me servir de ventilateur. Allez, au boulot, souillon.

 

Orane fit alors remonter sa jupette le long de ses longues jambes dorées. Laure comprit ce que Mademoiselle voulait, et au fond elle-même, elle espérait confusément cet ordre. Elle avança la tête et souffla sur la culotte de satin de l’Asiatique, s’enivrant de son parfum délicat. Orane commença à s’exciter, et passa un doigt sous sa culotte, avant de l’agiter sous le nez de Laure.

 

- Allez toutou, lèche !

 

Laure sentit le doigt luisant de cyprine forcer l’entrée de ses lèvres, et s’abandonna. Le goût chaud et salé l’excita malgré elle. Dans sa tête, elle entendit une voix la traiter de sale gouine vicieuse. Orane échancra complètement son slip, mettant à nu les lèvres de sa vulve et s’ouvrit de deux doigts en V, exhibant les crêtes écarlates et luisantes.

 

- Allez, ma chienne, lèche moi bien, gémit-elle

 

A sa grande honte, Laure n’hésita pas un instant et plongea sa tête entre ses cuisses avec un empressement obscène. Jamais elle n’aurait imaginé pouvoir désirer une autre fille. Pourtant elle suçait à présent sa rivale avec une joie non feinte. Elle sentait son bouton sous la langue, et tournait autour pour le faire sortir. Orane essayait de garder le contrôle de son corps. Laure entendait à peine parfois quelques soupirs étouffés.

 

- Enfonce bien ta langue, Allez plus loin. Oui comme ça… Plus bas maintenant, passe ta langue entre mes fesses.

 

Laure s’appliqua à masser l’anus avec sa langue, pénétrant parfois la mince rondelle. Elle n’osait poser les mains sur sa Maîtresse, et les garda dans le dos, s’activant seulement avec sa bouche et ses lèvres. Ce qui autrefois l’aurait dégoûtée la conduisait à présent au bord de l’orgasme. Elle sentait aux raidissements des cuisses de l’asiatique que celle-ci luttait pour retarder son orgasme. En vain. Son corps fut soudain parcouru de spasmes et elle poussa un long soupir satisfait.

 

- Bien, cela n’était pas trop mal… mais il vrai que les salopes comme toi sont douées pour tout ce qui sexuel. Je suis sûre que tu as aimé ça, cochonne comme tu es, non ?

 

Laure resta sans réaction face à l’insulte. Elle n’espérait pas de remerciements. Le pied nu d’Orane se glissa sous son minuscule tablier, et elle gratta légèrement son clito saillant. Un long tremblement la fit frissonner de la tête aux pieds.

 

- Oui tu as aimé ça, je le sens, avoue-le.

 

- Ooui Mademoiselle, geignit Laure, j’ai aimé…

 

- Tu as aimé ? C’est tout ?

 

Le ton était soudain plus froid, et Laure réfléchit un instant au genre de réponse que Mademoiselle souhaitait entendre.

 

- Merci Mademoiselle de m’avoir permis de vous sucer. La gouine en chaleur que je suis ne le mérite pas.

 

- C’est mieux, fit Orane en retirant son orteil de la chatte de Laure et en le portant à ses lèvres. On dirait que tu es devenue une vrai lèche-cul à présent, non ?

 

Laure suça docilement l’orteil de Mademoiselle avant de répondre, les yeux baissés.

 

- Oui Mademoiselle, je suis une lèche-cul et j’aime ça.

 

- Tu peux te branler si tu veux, mais fais ça en silence ! Il faut bien te soulager puisque tu as le vice dans la peau.

 

Honteuse, Laure glissa une main sous son tablier.

 

- Pas comme ça ! Je veux tout voir. Allonge toi sur le dos et retrousse ton tablier. Oui, lèves bien tes cuisses, je veux aussi voir ton cul. Ecarte les fesses !

 

Tremblante d’excitation, Laure se branla rapidement, ouvrant de deux doigts ses fesses rondes, exhibant servilement son anus. Ses halètements devinrent de plus en plus fort, et Orane l’intima au silence en plaçant un doigt sur sa bouche. Elle jouit en se mordant les lèvres.

 

- C’est déjà fini ? Tu es soulagée ? Alors tu peux disposer…

 

Laure se redressa, morte de honte.

 

- Tu es vraiment écœurante. Si les copines savaient quelle truie tu es ! Mais je suis trop bonne, cela restera entre nous, bien sur ! Du moins tant que je ne me serai pas lassée de jouer avec toi, fit-elle en lui tapotant la tête, comme à un animal domestique.

 

Laure garda la tête basse. Mademoiselle lorgna entre ses cuisses avec une moue dégoûtée. Elle se sentait indécente et souillée. Puis elle lui jeta charitablement un kleenex aux pieds. Laure la remercia en le ramassant et Orane ne la quitta pas des yeux tandis qu’elle s’essuyait le sexe. Puis elle la congédia lorsqu’elle estima que son amour propre avait suffisamment mis à mal :

 

- Tu peux y aller maintenant.

 

- Bien Mademoiselle

 

Orane l’arrêta d’un signe avant qu’elle ne passe la porte :

 

- Au fait j’ai oublié de te donner tes devoirs. Demain, je veux que tu viennes en cours sans culotte et sans soutien-gorge, avec le mot « Lécheuse de chattes » écrit au feutre sur tes grosses loches. Compris ?

 

- Oui à vos ordres, Mademoiselle

 

Laure rentra chez elle pantelante et honteuse. Orane exigeait toujours plus d’elle, et plus elle la dépravait, plus Laure jouissait. Comme si son corps autorisait implicitement Orane à lui faire subir les pires dégradations. Elle se masturbait de plus en plus fréquemment le soir, peinant à trouver le sommeil, ses sens étant constamment stimulés. Elle se caressait d’une main, se frappant de l’autre les seins ou les cuisses, obtenant plusieurs orgasmes à la file. Elle appréhendait et espérait en même temps chaque nouvelle lubie de Mademoiselle.

 

Ainsi, chaque séance renforçait encore un peu plus l’emprise qu’avait Orane sur elle. Elle utilisait son ascendant sur Laure à chaque instant. Il lui prenait parfois la fantaisie de la déculotter ou de lui faire enlever son soutien-gorge dans un recoin du Lycée, au risque de voir déboucher un élève, ou pire un prof du couloir. Ou bien, elle lui envoyait des SMS sur son portable durant les cours, pour lui annoncer que ce soir elle serait enculée avec une banane. Ou bien encore Laure se voyait appliquer une solide fessée, sans aucune explication, et était aussitôt envoyée, honteuse et essoufflée, demander des renseignements à un prof. Orane tenait tout particulièrement à vérifier son épilation, ce qui donnait lieux à de longues et humiliantes inspections de chaque recoin de son intimité. Laure devait lui demander la permission pour tout : prendre son repas à la cantine, travailler à la bibliothèque ou même aller aux toilettes. Durant cette première semaine, la jolie lycéenne comprit pleinement le sens du mot esclavage. Et l’échéance du Bac était encore bien lointaine.

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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 19:33

Darling15.jpg

 

 

Dans ce 15ème volume de Darling, Poupée du Vice, de la "volaille" tendre et fraîche! Terriblement appétissante, comme le laisse deviner le superbe dessin de Karla!

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Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 18:52

Chapitre 3 - Après le dîner, Allie est remise à sa place.

 

Lorsqu’elles arrivèrent à la voiture, Nicole se tourna vers Allie et dit :

— J’ai oublié de donner mon numéro de téléphone à Betsy, cours vite la retrouver et donne le lui petite chienne. Je t’attends dans la voiture.

Sur ce, elle se désintéressa de l’adolescente décontenancée et alla à la voiture.

Allie resta sur place un moment à se demander ce qu’elle devait faire. Elle ne pouvait pas se résigner à donner son numéro de téléphone à la serveuse lesbienne, cela aurait été trop révelateur, mais Nicole avait déjà lancé l’invitation. Lentement, elle commença à se diriger vers l’ascenseur.
La seule chose qu’elle désirait était d’être à la maison dans les bras de Nicole. Est-ce que ça faisait d’elle une lesbienne ? Elle se retrouva devant la porte de l’ascenseur et pressa le bouton.

En ayant l’impression d’être une autre personne, elle pénétra dans la cabine et monta jusqu’au restaurant. Arrivée à l’étage, elle se dirigea vers le maître d’hôtel et demanda d’une petite voix si elle pouvait parler à la serveuse qui s’appelait Betsy. Visiblement, cela lui déplaisait, mais il fit venir la serveuse.

Betsy la rejoignit devant l’ascenseur.

— Oui Allie, qu’y a-t-il ? Demanda-t-elle en étudiant l’adolescente. Elle se lécha les lèvres sensuellement en inspectant le corps moulé dans la robe noire sexy.

Allie avala sa salive nerveusement.

— Nous avons oublié de vous donner notre numéro de téléphone.

— Waow, super !

Betsy prit un stylo et un morceau de papier dans son tablier et regarda Allie dans l’expectative. Elle se prit à attendre avec impatience le prochain week-end, pour pouvoir mettre cette petite salope dans son lit.

— 01 44 33 22 11. Dit allie honteusement, en baissant les yeux. Elle était en train de donner son numéro de téléphone à une lesbienne pour qu’elle puisse la rejoindre et abuser d’elle. C’était l’humiliation totale.

— Merci poupée. J’attendrai samedi prochain avec impatience. J’apporterai spécialement quelque chose pour toi.

L’ascenseur remonta et Betsy tint la porte pour laisser sortir un couple. Allie monta dans la cabine et, sur une impulsion, Betsy la suivit s’assurant au passage que ses collègues ne la voyaient pas. Elle attira l’adolescente contre elle et l’embrassa goulûment sur la bouche, faisant pénétrer sa langue entre les lèvres de la petite soumise, en profitant pour peloter ses fesses nues sous sa jupe. Elle rompit le baiser et abandonna l’adolescente hébétée dans l’ascenseur laissant la porte se refermer.

Choquée, Allie appuya sur le bouton de descente. En l’espace de quinze minutes, deux femmes l’avaient embrassée. Elle avait du mal à reprendre ses esprits. Les baisers avaient été très agréables, mais elle les avait concédés presque contre sa volonté. Avant ce jour, elle n’aurait jamais immaginé pouvoir embrasser une femme. Peut-être était-elle une lesbienne. Peut-être même une salope insatiable comme le lui disait Nicole. L’ascenseur s’immobilisa. Elle sortit.

Nicole avait approché la voiture et l’attendait à proximité de l’ascenseur. Allie s’assit à côté d’elle.

— Ca y est ? Tu as donné notre numéro ?

— Oui. Répondit Allie d’une voix à peine audible.

— Qu’est-ce qui ne va pas petite salope ? Demanda Nicole en posant sa main sur sa cuisse.

— Elle m’a forcée à… Dit l’adolescente en baissant les yeux.

— Waow, elle en pince pour toi. Est-ce que tu as aimé ? Demanda la jeune femme en faisant glisser sa main sur la cuisse de la jeune fille, remontant insidieusement vers l’entrejambe.

— Je ne sais pas.

— Est-ce que tu as essayé de l’en empêcher ?

La main de Nicole disparut sous la jupe et entra en contact avec la culotte de l’adolescente. Instinctivement, Allie écarta les jambes pour offrir son sexe à sa tutrice.

— Non.

Inconsciemment, elle espérait que Nicole allait à nouveau jouer avec elle. Le souvenir de son étreinte avec Betsy raviva son désir. La serveuse l’avait embrassée sans lui demander son avis et elle s’était laissé faire avec un plaisir veule.

Lentement, la main de Nicole glissa sous le tissu. Ses doigts caressèrent le pubis, s’emmêlant dans la toison duveteuse.

— Elle veut te sucer la chatte. Est-ce que tu as déjà été léchée par une fille à cet endroit auparavant ?

— Non.

Répondit Allie qui avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la conversation. Elle écarta un peu plus les jambes. Nicole continuait à conduire, se contentant de farfouiller dans les poils de son pubis, rien de plus. Allie commençait à devenir folle. Quoi que fasse Nicole, elle mouillait. Sa tutrice conduisait en regardant droit devant elle et semblait l’ignorer totalement. Allie écarta encore un peu les jambes, espérant que Nicole allait en profiter pour déplacer ses doigts jusqu’à sa minette.

— Je t’apprendrai quand nous serons rentrées. Nicole resta silencieuse un moment, faisant tourner les poils épars entre ses doigts.

— Dis-moi, Allie ! Tu as aimé ta salade ?

Frustrée, l’adolescente regarda la conductrice. Qu’avait-elle en tête ? Pourquoi ne la caressait-elle pas mieux que ça ?

— Oui… Nicole… S’il te plaît.

— Qu’y a-t-il petite chienne ? Demanda Nicole en continuant à jouer avec son pubis.

— Est-ce… Est-ce que s’il te plaît… S’il te plaît, est-ce que tu peux jouer avec ma foufoune ? Supplia-t-elle.

— Il faut que tu me demande plus poliment, et tu dois m’appeler Maîtresse. Tu as vraiment du mal à te souvenir de mes requêtes.

Nicole attrapa une mèche et tira. Allie décolla brusquement le bassin en accompagnant le mouvement douloureux. Elle eut l’impression que sa tutrice allait lui arracher les poils.

— Aiiiie… Maîtresse ! Pourriez-vous me caresser s’il vous plaît ?

— C’était mieux. Nicole relâcha la pression. Mais nous sommes presque arrivées, et tu dois comprendre que tu ne peux pas satisfaire tous tes vices.

Elle sourit légèrement. Allie gémit silencieusement et glissa sa propre main dans sa culotte avec l’intention de se satisfaire elle-même.

— Arrête ça immédiatement, petite salope ! Surprise par le ton autoritaire de Nicole, l’adolescente retira sa main de son string.

 

— Est-ce que je t’ai autorisée à te caresser ?

— Non Maîtresse ! Allie avait employé le mot inconsciemment. Le ton autoritaire employé par sa tutrice lui parut naturel.

— J’ai bien l’intention de gérer au plus près tes petites manies de nymphomane. Tu te caresseras UNIQUEMENT quand je te le permettrai.

 

Elle regarda l’adolescente sévèrement.

 

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui Maîtresse.

Elles finirent le reste du trajet en silence.

Nicole rangea la voiture dans le garage. Allie se dirigeait vers l’entrée de la maison, lorsque Nicole l’attrapa et la repoussa en arrière, contre la voiture, en l’embrassant. Frustrée par toutes les privations qu’elle avait endurées, Allie lui rendit avidement son baiser. Sans cesser de l’embrasser, Nicole entreprit de lui ôter sa robe. La jeune fille l’aida en faisant glisser les bretelles sur ses épaules. Rapidement, la robe tomba sur le sol. Vêtue uniquement de ses sous-vêtements et de ses talons l’adolescent s’offrit encore plus aux lèvres de son aînée. Elle sentit la main de la jeune femme s’attaquer à la fixation de son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre la robe à ses pieds. Ses petits seins se tendaient fermement contre le tailleur de Nicole. Cette dernière se recula brusquement, crocheta la taille du string de l’adolescente et l’arracha presque du corps de la petite blonde. Allie dut s’accrocher désespérément au toit de la voiture pour garder son équilibre.

— Quitte tes chaussures petite salope. Allie s’exécuta aussi vite que possible. Elle était complètement nue devant sa maîtresse. Cet état de fait lui paraissait maintenant tout à fait naturel. C’était sa Maîtresse.

Nicole la traîna vers l’avant de la voiture et la renversa, le dos sur le capot de la BMW. Elle la força à écarter les jambes et plaça sa main sur son sexe.

— Je vais te baiser, et te dévorer. Dorénavant, tu m’appartiens corps et âme.

Allie laissa échapper un petit glapissement lorsque Nicole enfonça son doigt dans son intimité. La jeune femme s’accroupit et se mit immédiatement à lécher expertement le sexe de l’adolescente. Elle avait attendu si longtemps pour goûter la jeune fille qu’elle ne pouvait plus se contenir. Rapidement, la mince adolescente se mit à gémir et à ruer sur le capot de la voiture.

— Ohh… Maîtresse… Hmmm ! Nicole avait introduit sa langue dans fente de l’adolescente et s’en servait pour la pénétrer. Elle avait écartelé les lèvres de la petite blonde au maximum de leur possibilité pour avoir accès à l’entrée du vagin et au clitoris. Allie porta sa main sur sa bouche et eut un orgasme. Nicole se recula un instant.

— Est-ce que tu aimes être léchée par une femme ?

Elle continuait à la pénétrer avec son doigt en la questionnant.

— Oui, je vous en prie Maîtresse ! Sucez ma minette s’il vous plaît. Elle employait le mot "Maîtresse" sans même s’en rendre compte. La jeune femme se pencha entre les cuisses nues et recommença à la lécher sans cesser de la pénétrer avec son doigt. Allie eut un nouvel orgasme presque instantanément.

Avant que l’adolescente ait repris ses esprits, Nicole la fit rentrer dans la maison. Choquée par l’orgasme, intégralement nue, Allie la suivit comme dans un rêve. La jeune femme la tenait fermement par la main. Elle lui fit monter l’escalier et l’emmena dans le séjour.

— Ferme tes yeux petite salope, j’ai une surprise pour toi. Allie obéit. Elle attendit, nue, l’esprit embrumé, au milieu du salon, ondulant légèrement sur ses pieds. Elle entendit Nicole quitter la pièce et se diriger vers la chambre. Elle garda les yeux fermés jusqu’au retour de sa Maîtresse.

Lorsqu’elle revint, Nicole traversa la pièce et vint se placer derrière elle, tout contre. Elle plaça une main sur ses fesses et fit cheminer son doigt lentement le long de la raie de ses fesses. Allie poussa un petit cri de surprise.

— Mets tes mains dans ton dos.

L’adolescente s’exécuta. Rapidement, Nicole referma une paire de menottes sur ses poignets. La jeune fille haleta, ouvrit les yeux et essaya de se libérer.

— Arrête de gigoter petite chienne, ça n’est qu’un jeu. Elle secoua la chaîne reliant les menottes. Allie se calma et s’immobilisa à nouveau.

 

— Je ne t’ai pas autorisée à ouvrir les yeux petite salope, la surprise n’est pas finie.

Allie ferma les yeux.

— Bien, maintenant reste tranquille un moment. Toujours exposée, nue et menottée, Allie attendit pendant que Nicole la contournait. Elle sentit une main effleurer un de ses seins et sursauta. Nicole lui frappa les fesses.

 

— Ne bouge pas, salope.

Allie tenta à nouveau de rester immobile tandis que Nicole continuait à tourner autour d’elle. Elle réussit à se contenir lorsqu’elle sentit la main de son aînée s’emparer d’un de ses petits seins et le masser délicatement.

— Brave petite. Maintenant, écarte les jambes pour moi petite chienne.

Nicole fit courir ses mains le long des fesses de la jeune fille et explora l’intérieur de ses cuisses. Les jambes écartées, l’adolescente avait du mal à conserver son équilibre. Sans cérémonie, la brune introduisit son majeur dans la fente offerte, les lèvres humides épousèrent la forme de son doigt.

— Encore humide n’est-ce pas ?

Allie était complètement désorientée, elle était au comble de l’humiliation mais en même temps, son corps la brûlait d’un désir ardent. Nicole ôta son doigt.

Elle sortit un collier de chien de derrière son dos. Il était épais et noir, avec des petits clous sur sa circonférence et une plaque métallique sur laquelle était inscrit : "Allie la salope". Elle le passa délicatement autour du cou de l’adolescente qui ne comprit pas tout de suite de quoi il s’agissait.

— Voilà, je te l’ai acheté il y a quelques semaines et j’étais impatiente de voir comment il t’irait. Maintenant tu es la parfaite petite salope, nue, avec un collier sur lequel il est écrit "salope".

Allie fut horrifiée et eut les larmes aux yeux. Comment en était-elle arrivée là. Elle était une fille sage, pas une salope.

Nicole attacha une laisse au mousqueton du collier et poussa la jeune fille au milieu de la pièce.

— A genoux ! Allie obtempéra, elle était trop abasourdie par les événements pour faire autre chose. — Ouvre les yeux petite chienne.

Elle fit ce qu’on lui disait et vit Nicole debout devant elle, les jambes légèrement écartées, resplendissante. Elle ressemblait à une jeune femme de haute société dans son splendide ensemble bleu marine. Ses cheveux noirs parfaitement coiffés, tenant la laisse de sa petite chienne nue. Allie se sentit toute petite devant tant de perfection.

Nicole continua :

— Je veux que tu me regarde me déshabiller, je veux que tu puisse bien voir le corps que tu vas adorer cette nuit et pour toujours. Tu vas lécher mes seins, mon sexe et te servir de ta bouche pour me donner du plaisir de toutes les façons dont j’aurai envie.

Elle tira sur la laisse de sa jeune soumise et se pencha en avant pour l’embrasser, introduisant sa langue dans la bouche de l’adolescente.

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui. Répondit Allie dans un soupir en levant les yeux sur sa Maîtresse.

— Oui qui petite chienne ?

— Oui Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une petite voix, baissant les yeux sur le sol en signe d’allégeance.

Nicole sourit.

 

— C’est mieux, nous allons bientôt faire de toi une parfaite petite esclave sexuelle lesbienne. Tiens-moi ta laisse quelques instants. Elle se pencha derrière la jeune fille et plaça la laisse dans ses mains menottées.

 

— Pendant que je me déshabille pour toi. Allie prit le lien de cuir dans sa main.

 

— Souviens-toi bien que je veux que tu étudies tout mon corps, je veux que tu en apprenne par cœur toutes les courbes et cavités.

Elle ôta sa veste et la plia précautionneusement sur l’accoudoir du canapé, bientôt suivie par son pantalon. Allie voyait sa Maîtresse la surplomber avec ses bas, porte-jarretelles et culotte noirs plus un chemisier blanc. Le chemisier ne tarda pas à rejoindre la veste et Nicole se tint debout devant sa soumise en sous-vêtements. Elle s’avança jusqu’à ce que son bassin soit au niveau du front de l’adolescente.

— Sens-moi, salope. Je veux que tu connaisses mon odeur.

Son sexe se trouvait juste à la hauteur du nez de la jeune fille, Allie respira l’odeur musquée.

— Tu m’excites, je mouille. Allez, au travail, je ne peux plus attendre de sentir ta langue en moi.

Elle fit un pas en arrière et ôta sa culotte en l’extirpant de sous son porte-jarretelles, dégrafant et re-fixant rapidement chaque bretelle. Puis elle se replaça devant l’adolescente.

— Tu vois ma chatte ?

Allie regarda le triangle de poils noirs, elle pouvait à peine voir le haut des lèvres de la jeune femme.

— Je t’ai posé une question petite chienne !

— Oui Maîtresse. Répondit-elle en veillant à employer un ton respectueux.

— Est-ce que tu veux la sucer ? Allie baissa les yeux et ne répondit pas tout de suite. — Il ne peut vraiment y avoir qu’une seule réponse à cette question pour une lesbienne nymphomane comme toi. Si je me souviens bien, tu as invité ici une serveuse lesbienne pour samedi prochain. Alors est-ce que tu veux sucer la chatte de ta Maîtresse, la chatte que tu vas vénérer, la chatte dont tu rêveras en t’endormant, la chatte que tu vas nettoyer et dont tu prendras le plus grand soin… MA CHATTE…

— Oui Maîtresse.

Répondit l’adolescente, les yeux replis de larmes. Elle pleurait parce qu’elle était devenue ce genre de fille si rapidement, parce que, bien qu’elle se sente humiliée et maltraitée, elle avait envie de sucer le sexe de Nicole. Il lui paraissait naturel d’être nue devant sa Maîtresse (c’est ainsi qu’elle l’identifiait maintenant), que l’on décide à sa place de la façon dont elle devrait se comporter.

— Parfait

Nicole s’assit sur le bord du canapé, écarta ses jambes et dit :

— Rampe jusqu’ici et tend-moi ta laisse, petite chienne.

Annie se déplaça à quatre pattes jusqu’à se trouver entre les jambes de sa tutrice. Son nombril se trouvait à eu près à la hauteur du sexe sa Maîtresse. Nicole se pencha dans son dos et s’empara de la laisse.

— Bien petite salope. Dit-elle en lui tapotant la tête avec condescendance.

— Maintenant, baisse-toi un peu plus et contemple mon sexe.

Allie s’assit sur les talons et regarda la fente de la jeune femme.

— Regarde comme il luit pour toi, je suis très humide pour toi.

Allie plongea son regard dans les chairs moites du sexe de Nicole.

— Viens plus près ma fille, colle-toi contre moi afin bien me sentir et ne plus rien voir d’autre que mon sexe.

Allie s’inclina jusqu’à ce que son nez soit à quelques centimètres de l’intimité de sa Maîtresse.

— Alors que penses-tu de ma chatte ?

— Elle est très mouillée Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix.

— Tu ne trouves pas qu’elle est d’un joli rose ?

— Si Maîtresse.

— Je veux que tu l’embrasse tout doucement, avec amour, que tu poses tes lèvres très délicatement.

Allie se pencha lentement, fronça les lèvres et embrassa le sexe offert avec douceur. Nicole regardait avec fascination cette adolescente de rêve pousser sa bouche admirable entre ses lèvres intimes. Son rêve devenait réalité. Puis, Allie embrassa le clitoris de sa Maîtresse avec la même dévotion. Nicole ressentit une secousse lorsque son sexe qui la démangeait depuis si longtemps lui procura un plaisir inouï au contact des doux baisers de la petite. Elle rejeta la tête en arrière et poussa un gémissement. L’adolescente embrassa le côté des lèvres sexuelles de Nicole. Le goût musqué et salé la fit frissonner. La saveur était plus agréable que ce qu’elle s’était imaginé. Elle embrassa l’autre côté. Nicole raffermit sa prise sur la laisse de son esclave et s' en servit pour attirer la jeune fille encore plus fort contre son sexe.

— Maintenant, petite chienne, lèche !

Allie sortit sa langue et s’exécuta.
Elle n’était pas très experte mais Nicole pensa qu’elle allait devenir la meilleure lécheuse de chattes du coin lorsqu’elle en aurait fini avec elle. Rapidement la jeune femme se trouva au comble du plaisir en frottant convulsivement son sexe contre le visage de l’adolescente, et contre sa langue.

Elle allait vraiment se régaler avec son nouveau jouet.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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