Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 22:15

Chapitre 5 - Le salon de beauté (2ème partie)

 

Elle suréleva légèrement son bassin, attrapa la main de l’adolescente, et la guida à l’intérieur de son short. Allie était trop choquée pour l’en empêcher. Quand tout cela allait-il se terminer ? Jusqu’à présent, elle s’était toujours considérée comme une fille sage, mais maintenant… elle était nue… dans un salon de beauté… la main dans la culotte d’une autre fille, en train de toucher son sexe… qui était trempé.


Petite Gouine se mit à agiter la main d’Allie d’avant en arrière contre son intimité.

— S’il te plaît…

La plupart des femmes étaient reparties travailler. Seules restaient deux esthéticiennes, la vendeuse et Maîtresse Jytte. Toutes quatre regardaient les deux adolescentes se donner du plaisir.

— Regardez-moi ces deux petites cochonnes, ça les excite de s’exhiber comme ça devant tout le monde !, dit Jytte.

Allie l’entendit malgré son orgasme. Elle aurait été choquée si, au même moment, elle n’avait pas été submergée par la force du plaisir provoqué par les mouvements des hanches de sa partenaire contre son sexe.

Soudain, l’une des esthéticiennes s’approcha d’elles et attrapa la petite blonde par le bras pour l’écarter d’Allie.

— C’est l’heure de ta toilette, Petite Gouine.

Toute luisante des sécrétions de la jeune fille, la main d’Allie était ressortie du short. Sa compagne fut emmenée sans ménagement, gémissante de frustration. L’autre employée s’empara du bras d’Allie et la guida fermement à la suite de sa collègue. Et toi, Petite Pute, toi aussi c’est l’heure de ta toilette.

Les deux adolescentes furent entraînées à travers le salon. Elles franchirent la pièce principale dans laquelle plusieurs femmes se faisaient manucurer ou coiffer et se dirigèrent vers le fond de la boutique fermé par un rideau. Toutes les clientes regardèrent les deux jeunes filles, emmenées avec rudesse, les examinant comme si elles étaient des morceaux de viande. Allie rougit et baissa les yeux, tentant désespérément de masquer ses petits seins et son sexe à la vue de toutes ces femmes indiscrètes. Elle sentit leur regard sur ses fesses jusqu’à ce qu’elle soit dissimulée par le rideau.

Il y avait trois fauteuils dans la pièce. Mais ce n’étaient pas les mêmes que celles de la pièce qu’elles venaient de traverser. Il s’agissait de chaises gynécologiques avec des étriers et équipées de courroies fixées au-dessus de la tête. L’esthéticienne poussa sèchement Allie sur l’une d’entre elles, et avant qu’elle ait pu réagir, encore étourdie par son orgasme récent, Allie se retrouva arrimée aux étriers, les bras attachés par les courroies de cuir derrière sa tête. Elle se mit à se débattre.

— Arrête de bouger, Petite Pute, comment veux-tu que je puisse te raser si tu remues comme ça.

La femme lui sourit.

— Je m’appelle Jackie. C’est moi qui vais m’occuper de toi aujourd’hui. Tu devras venir me voir régulièrement tous les jours pour que je puisse maintenir ton sexe parfaitement rasé et tes trous suffisamment propres pour ta Maîtresse. Tu ne peux quand même pas lui offrir tes orifices sales… elle risquerait de se salir n’est-ce pas ?

Morte de trouille, Allie essaya de protester :

— Laissez-moi partir, s’il vous plaît, je veux m’en aller !

Rapidement, Jackie attrapa quelque chose derrière la chaise et le poussa dans la bouche de l’adolescente. C’était un bâillon constitué d’une balle en caoutchouc. Elle la lui enfonça dans la bouche avant de l’attacher derrière sa tête, lui emplissant entièrement la bouche et lui écartant les mâchoires douloureusement.

— Tu n’es pas autorisée à déranger les clientes, Petite Pute. Elle s’assura que le bâillon était bien attaché et alla se placer derrière l’adolescente.

Allie ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait. La jeune femme revint devant elle et plaça un grand seau sous la chaise avant de faire rouler à côté d’elle un long support en métal au bout duquel était suspendu un sac à lavement. Les yeux de l’adolescente s’agrandirent de terreur et elle se mit à remuer la tête de droite à gauche désespérément. Jackie l’ignora superbement et enfila une paire de gants en caoutchouc. Elle appuya sur un bouton et un moteur électrique contraint les jambes d’Allie à s’écarter. L’esthéticienne ne relâcha la pression que lorsque ses jambes furent presque en position de grand écart, étirant douloureusement les articulations de la jeune fille. Satisfaite, elle saisit un bocal de Vaseline et lubrifia consciencieusement ses doigts. Puis elle s’accroupit entre les jambes de sa victime et, sans avertissement, viola son anus de son majeur, le fit tourner sur lui-même quelques instants dans le rectum distendu de l’adolescente. Horrifiée, Allie gémit comme un animal pris au piège à la fois de surprise et d’humiliation mais aussi sous le plaisir de la pénétration.

Lorsque Jackie estima que l’adolescente était suffisamment lubrifiée, elle attrapa l’embout du tuyau. Allie l’entraperçut alors qu’il passait brièvement dans son champ de vision, mais avant qu’elle ait pu s’y préparer, l’extrémité s’appuya contre son sphincter, suivie d’une poussée ferme qui fit pénétrer l’embout dans son rectum. Jackie l’ajusta brièvement et ouvrit le robinet. Un liquide chaud gicla dans les entrailles d’Allie, remplissant ses intestins.

L’esthéticienne se redressa et contourna l’adolescente assise, exposée, jambes écartelées, poignets emprisonnés derrière sa tête, et l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre les fesses. Le liquide savonneux chaud coulait doucement dans son ventre. Ses yeux fermés etaient baignés de larmes.

— Pas besoin de pleurer, Petite Pute, tu vas recevoir ce traitement plusieurs fois par semaines à partir de maintenant.

Maîtresse Jytte entra dans la pièce et vint se pencher sur Allie. Elle posa sa main superbement manucurée sur sa joue.


Allie cligna des yeux avant de les ouvrir.

— J’ai parlé à ta Maîtresse, elle me semble être une femme tout à fait compétente. Nous allons déjeuner ensemble un peu plus tard dans la semaine.

Jytte fit cheminer sa main le long du corps de l’adolescente en s’attardant sur les mamelons, s’amusant distraitement avec eux.

— Elle approuve sans aucune réserve la punition que je t’ai donnée.

Elle fit descendre sa main plus bas.

— En ce qui te concerne…

Elle inséra un doigt dans le sexe d’Allie, pénétrant entièrement la jeune fille immobilisée dans ses liens. L’adolescente se cambra sous l’effet de la surprise et du plaisir alors qu’un orgasme explosait en elle.

— Petite Pute est un nom qui te va aussi bien qu’un autre.

Elle fit aller et venir son doigt plusieurs fois, avant de le retirer avec un sourire qui fit à nouveau sangloter la jeune fille d’humiliation. Elle ferma les yeux en signe de capitulation. Pourquoi Nicole lui faisait-elle subir ça ? Elle ne voulait pas être une salope. Elle voulait être une adolescente normale, simplement, comme les autres filles de son âge.

Maîtresse Jytte s’approcha de sa petite soumise qui était assise à côté d’Allie et recevait le même traitement.

— Brave fille

Dit-elle et elle tapota le sexe de la jeune fille.

— Si tu es sage, je te baiserai dans le cul cette nuit. Et puis, de toute façon, je te baiserai dans le cul même si tu n’es pas sage, sauf qu’auparavant, je te fouetterai.

Et elle quitta la pièce.

Allie dû garder la position pendant près de 5 minutes, Jackie s’affairait derrière elle et elle ne pouvait pas entendre ce qu’elle faisait. Finalement, l’esthéticienne revint et pressa un autre bouton sur la chaise, lui faisant reprendre une position plus proche de la verticale, ce qui éjecta l’embout du tuyau. L’adolescente grogna en relâchant ses intestins et expulsa l’odieux liquide savonneux mêlé à ses déjections nauséabondes. La jeune femme entreprit de laver l’entrecuisse souillé à l’aide d’une éponge. Puis elle empoigna l’anse du seau et s’éloigna. Allie l’entendit vider la mixture odoriférante et tirer la chasse.

Elle revint et replaça le seau au même endroit qu’auparavant.

— Encore deux lavements et nous pourrons nous occuper de ta petite chatte.

Elle accrocha un nouveau sac transparent sur le support et, souriant à l’adolescente, fit pénétrer un nouvel embout dans son anus. Elle ouvrit le robinet et Allie sentit une nouvelle fois le liquide se ruer dans son ventre. Elle gémit encore en entendant Petite Gouine expulser bruyamment son propre lavement dans son seau.

Jackie l’abandonna un moment. L’autre esthéticienne parlait à Petite Gouine :

— C’est bien ma fille, regarde comme ton anus se crispe, est-ce que tu aimes les lavements ?

— Oui M’dame. Répondit Petite Gouine.

L’esthéticienne vida le seau. La jeune fille était attachée de la même façon qu’elle. Elle observa attentivement l’introduction d’un autre tuyau entre les fesses de la petite blonde et la grimace qu’elle fit lorsqu’on ouvrit le robinet.

Allie sentait le liquide chaud ballotter dans ses intestins. Existait-il quelque chose de plus humiliant que ça ? Avoir son intimité nettoyée comme un animal. Elle referma les yeux, tentant d’oublier son infortune. Mais elle n’y arrivait pas. Ses bras commençaient à la faire souffrir, elle avait froid et elle se sentait exposée avec ses jambes écartelées comme elles l’étaient. L’embout du tuyau enfoncé dans son fondement, l’empêchait d’oublier son avilissement. Elle se sentait à peine plus qu’un morceau de viande, une salope préparée pour sa Maîtresse. Comment tout cela avait-il pu s’enchaîner si rapidement. Il y a seulement deux jours, elle était une fille normale et maintenant elle était attachée et n’importe qui pouvait abuser de son corps.
Sans avertissement, Jackie retira l’embout, l’adolescente gémit lorsque ses intestins relâchèrent le liquide savonneux. La sensation la soulagea, lui procurant un plaisir incomparable. Elle en eut presque un orgasme. Cette fois, le liquide était moins souillé et sentait moins mauvais.

— Plus qu’un ! Annonça Jackie en nettoyant l’anus de l’adolescente et en s’emparant une nouvelle fois du seau.

Elle alla jusqu’aux toilettes et le vida. Allie entendait Petite Gouine haleter et gémir pendant que son esthéticienne libérait le lavement dans ses entrailles.

Jackie revint et poussa le troisième embout dans son rectum.

— A la demande de ta Maîtresse, celui-ci est rempli d’eau de roses, infusée au lys, Petite Pute. Elle souhaite que ton anus sente aussi bon que possible.

Elle ouvrit le robinet, lui remplissant le ventre une dernière fois.

— Jane, il faut que je m’absente pour aller téléphoner, est-ce que tu as besoin de quelque chose ?

— Non merci, Jackie. Est-ce qu’il y a quelque chose à faire à Petite Pute ?

— Non, pour l’instant elle n’a besoin de rien.

Jackie sortit de la pièce, abandonnant Allie avec l’embout enfoncé dans l’anus, les intestins remplis et les yeux fermés.

Une minute plus tard, la réceptionniste entra dans la pièce, accompagnée par trois jolies femmes. Elle faisait visiter les lieux.

— Et c’est ici que nous occupons de nos esclaves. Nous proposons un service complet, quels que soient vos désirs.

Les trois femmes visitèrent la pièce, étudiant attentivement Allie et Petite Gouine. Allie ferma les yeux et pria pour que les femmes s’en aillent. Elle ne voulait pas être vue dans une position aussi humiliante, attachée, exhibée, avec l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre ses fesses.

Une grande blonde vêtue d’un tailleur bleu marine se pencha vers l’entrejambe de l’adolescente et se tourna vers la réceptionniste :

— Puis-je ?

— Mais je vous en prie. Répondit celle-ci.

La blonde inséra son doigt entre les cuisses d’Allie qui ne put se retenir, elle avait été soumise à tant de stimulation aujourd’hui qu’elle était au bord de l’orgasme en permanence. Elle tenta de pousser sur le doigt de la femme.

— Celle là est une vraie salope. Je parie qu’elle suce les chattes comme une clocharde.

Elle continua à faire remuer son doigt entre les cuisses d’Allie.

— Comme vous pouvez le voir. Continua la réceptionniste, ignorant le comportement de la blonde. — Nous avons l’équipement pour : nettoyer, raser, tatouer, percer, épiler définitivement et, avec autorisation et dispense de responsabilité en bonne et due forme, nous pouvons même marquer votre esclave. Nous faisons notre possible pour être le lieu incontournable pour vos exigences les plus insolites. Pour des transformations plus exotiques, nous pouvons vous recommander les meilleurs spécialistes de la région, y compris les chirurgiens.

— Par ici Mesdames, je dois vous montrer notre service de remise en forme complète. C’est étudié pour satisfaire vos désirs les plus inavouables.

La blonde retira son doigt du sexe d’Allie, et les quatre femmes sortirent de la pièce. Les sanglots d’Allie étaient étouffés par son bâillon. Comment la réceptionniste l’avait-elle appelée ? Esclave ? Elle n’était pas une esclave, ni une lesbienne. Tout ce qu’elle désirait, c’était d’être une adolescente comme les autres.
Jackie revint, s’avança jusqu’à l’adolescente et ôta l’embout. Allie vida ses intestins une dernière fois.

— C’est bon pour le côté pile, maintenant, occupons nous du côté face.

Elle ne vida pas le seau tout de suite. Elle attrapa une poire à lavements, ôta le capuchon et l’introduisit rapidement dans le vagin d’Allie. La jeune fille poussa un cri aigu à travers son bâillon.

— Nous ne pouvons plus lambiner, il ne me reste qu’une demi-heure pour te raser avant que ma prochaine petite salope arrive.

Jackie pressa la poire dans le vagin offert. Le liquide purifiant fouetta les chairs intimes de l’adolescente, la menant une nouvelle fois au bord de l’orgasme. L’esthéticienne laissa le premier jet s’écouler dans le seau et fit gicler le reste dans le bas-ventre de l’adolescente.

— Voilà, maintenant nous sommes prêtes pour nous occuper de tout ce duvet disgracieux, j’adore les minettes toutes lisses. C’est ça le meilleur moment.

Elle se redressa, lança la poire dans l’évier et alla une dernière fois vider le seau dans les toilettes.

Elle plaça un tabouret entre les jambes écartelées de l’adolescente, et s’assit.
Le sexe d’Allie était à une hauteur parfaite pour le travail qu’elle s’apprêtait à exécuter, juste à hauteur d’œil. Jackie n’aurait eu qu’à se pencher un peu pour déguster la vulve offerte. Elle s’empara d’un rasoir électrique et le mit en marche avec un déclic métallique. Elle sourit à l’adolescente en commençant à éliminer le fin duvet. Il ne lui fallut que quelques minutes pour que le pubis de l’adolescente n’ait plus qu’une toute petite épaisseur de poils. Un dernier déclic et le rasoir s’éteignit.

Elle pressa un tube dans le creux de sa main, y versant un peu de gel de rasage, puis frotta ses mains l’une contre l’autre jusqu’à obtenir une mousse qu’elle étala sur le pubis de l’adolescente, l’enduisant entièrement. Allie se sentait frustrée. La jeune femme évitait les lèvres de son sexe et son clitoris. Elle badigeonna la petite portion de peau située entre l’anus et l’entrée du vagin, passant même sur le fin duvet qui pointait autour de la petite rosette fripée. L’adolescente serait complètement imberbe lorsqu’elle en aurait terminé.

Jackie leva les yeux sur le visage d’Allie et y détecta la frayeur qui l’habitait. L’adolescente ne pouvait pas croire ce qui lui arrivait. Elle était attachée étroitement sur une chaise gynécologique, les jambes forcées en position écartée. Elle avait été odieusement violée à l’endroit le plus secret de son intimité, et maintenant on était entrain de raser entièrement son entrecuisse. Comment tout cela avait-il pu se produire ?

— Ne t’inquiète pas. Dit Jackie. — Je rase des dizaines de sexes par mois, le tien est très mignon, mais comme ça, il paraîtra plus mouillé.

Elle ouvrit un petit sachet en plastique contenant un rasoir jetable tout neuf et commença à enlever le fin duvet persistant sur le mont de vénus de l’adolescente avec de petits mouvements rapides. Précautionneusement, elle progressa sur le pubis de l’adolescente, écartant les lèvres sexuelles au passage, les positionnant de façon à être sûre de ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Chaque mouvement qu’elle lui imposait envoyait l’adolescente sur les pentes de l’extase, au bord de la jouissance, la maintenant dans un état d’excitation maximum. De temps en temps, Jackie plongeait le rasoir dans le petit bol d’eau chaude pour rincer la mousse avant de reprendre son travail. Au grand désespoir de l’adolescente, elle annonça que son travail était arrivé à son terme.

La jeune femme s’empara d’un serviette chaude et humide et s’en servit pour essuyer l’entre jambe de l’adolescente. Les yeux d’Allie roulaient dans leurs orbites, elle était sur le point d’éprouver un orgasme dévastateur. Jackie se retira à temps pour l’empêcher de jouir. Elle se redressa et rangea son matériel, laissant l’adolescente frustrée gémir dans ses liens.

— Un moment Petite Pute, il faut que je mette le reçu en place.

Allie ne comprit pas ce qu’elle voulait dire mais lorsque la jeune femme réapparut dans son champ de vision, elle tenait à la main un godemiché anal d’une douzaine de centimètres sur la base duquel pendait une petite étiquette. Jackie consacra quelques instants à y écrire quelques mots.

— Voilà. Signée, scellée et livrée.

Elle plongea le bout du gadget dans une matière visqueuse et se pencha sur l’entrecuisse de l’adolescente. Elle ajusta l’embout contre l’anus, poussant doucement la tête de l’objet en plastique contre le rectum plissé de l’adolescente. Allie secoua la tête négativement tandis que l’esthéticienne approcha sa bouche de l’oreille de la jeune fille, tout en maintenant l’extrémité du godemiché à l’entrée du sphincter de l’adolescente.

— Maintenant, tu vas garder ça entre tes fesses jusqu’à ce que ta Maîtresse te l’enlève ce soir. Si jamais tu as une envie pressante…

Elle fit une pause et sourit cruellement de son commentaire

— Tu pourras l’ôter, mais après il faudra le remettre immédiatement en place entre tes fesses. Comprends-tu ?

Allie acquiesça de la tête en signe de défaite. Elle était si près de l’orgasme, maintenue dans un état d’excitation totale depuis ce qui lui semblait avoir duré toute une journée, qu’elle était prête à accepter tout ce qui pourrait lui permettre de jouir.

— Bien. Dit Jackie.

Et elle commença à enfoncer le godemiché dans les intestins de l’adolescente. Allie arqua son dos, submergée par l’extase que lui procura le viol de son anus. Les vagues d’un orgasme commencèrent à la parcourir. Jackie ne se contenta pas de la poussée qu’elle venait d’exercer sur le gadget. Elle se mit à faire aller et venir l’objet entre les fesses de l’adolescente, prenant plaisir à la violer analement. Enfin, elle l’enfonça entièrement dans les entrailles de la jeune fille. Elle serra les dents et immobilisa la paume de sa main contre la base du godemiché

— Ok, salope, tu es prête.

Elle libéra les chevilles de l’adolescente, ses poignets sans forces et la fit mettre debout. Allie s’effondra dans les bras de l’esthéticienne, incapable de tenir debout tant elle était épuisée. Jackie l’aida à se redresser.

— Allons allons, petite chienne, debout.

Elle défit le bâillon et l’ôta de la bouche de l’adolescente. Allie n’arrivait pas à refermer complètement sa bouche.

— Allez, en route. On se reverra la prochaine fois.

Elle claqua les fesses de l’adolescente et la poussa à travers le rideau vers l’entrée du salon.

Allie traversa devant les femmes qui se faisaient coiffer. Elle avait pleinement conscience de sa nudité, son sexe épilé, et le godemiché qui était enfoncé entre ses fesses. Elles la dévisagèrent avec dans les yeux une expression qui signifiait qu’elle n’était qu’une salope soumise qui méritait à peine qu’on lui permette de lécher leurs chaussures. La regardant avec dédain comme on regarde un objet avec lequel on s’amuse. Allie était anéantie. Elle essaya de cacher ses petits seins fermes d’une main et son sexe fraîchement rasé de l’autre tandis qu’elle se pressait de traverser le salon pour revenir devant la réceptionniste.

Lorsqu’elle arriva dans l’entrée, celle-ci déclara :

— Ca y est ? Ok, ton prochain rendez-vous est pris pour vendredi prochain à 14 heures.

Elle tendit à l’adolescente un carton sur lequel la date était notée. Allie resta debout devant le bureau, abasourdie, nue, tandis que la réceptionniste se désintéressait d’elle et se replongeait dans la lecture de son magazine pornographique.

— Heuu… M’dame… Dit Allie d’une petite voix.

Elle était complètement soumise maintenant, après avoir été humiliée et dominée toute la journée.

La réceptionniste leva les yeux, contrariée.

— Qu’y a-t-il Petite Pute ?

— Heu… Maîtresse Jytte vous à donné mes vêtements. Je devais les récupérer à la fin de mon traitement non ?

Allie pouvait sentir l’air frais entrer en contact avec son sexe fraîchement épilé et la sensation que lui causait le gadget enfoncé profondément entre ses fesses avait quelque chose d’obsessionnel.

— Ah oui ! Tu les as perdus tout à l’heure, quand tu as été punie. Je n’avais pas remarqué. Tu es tellement salope que la nudité te va très bien.

Elle se pencha derrière son bureau et en sortit la robe et les chaussures mais pas de trace des sous-vêtements. Elle les tendit à l’adolescente et se désintéressa d’elle à nouveau.

— Heuu… Excusez- moi… il me manque ma petite culotte et mon soutien-gorge.

La réceptionniste vérifia derrière son bureau.

— Eh bien ils n’y sont pas. Ça n’est pas de ma faute si tu n’es pas capable de te souvenir de ce que tu fais de tes habits. Probablement parce que tu penses sans arrêt à sucer des chattes. Dit-elle avec un rire moqueur.

— J’aime bien que tu sois imberbe, ça va bien à une salope telle que toi.

Allie en pleura presque, mais comparé à ce qu’elle venait d’endurer, les propos humiliants de la jolie réceptionniste étaient presque insignifiants.

Elle enfila rapidement la robe légère, mit ses chaussures de pute et trotta vers l’extérieur du salon, essayant de ne pas exhiber ses fesses nues et son sexe à tout le monde. Elle se hâta de rentrer à la maison en pleurant. Comment en était-elle arrivée là ?

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 22:06

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 Ou l'on découvre que les jeux de vilains peuvent être des jeux de vilaines!

 

Une superbe illustration de Karla qui m'a toujours fait terriblement fantasmer!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 23:08

Chapitre 1: Où Jenny découvre la canne.

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" Maman, est ce que je pourrai avoir une conversation privée avec toi un peu plus tard ce soir ? ", demanda Jenny un jour, pas très longtemps après avoir reçu sa dernière fessée à la badine.

" Bien sur chérie. Dès que j'aurai fini la vaisselle après le diner. Tu seras dans ta salle d'étude ? "

" Oui maman, j'y serai. " Jenny adorait sa nouvelle belle mère et l'appelait 'maman' comme elle en avait l'habitude avec sa vrai mère, qui avait été tuée dans un tragique accident de la route. Elle était heureuse que son père se soit remarié. Elle avait besoin d'une mère et son père avait besoin d'une femme. Il était également apparu qu'elle avait besoin de quelqu'un pour la fesser.

Après le souper, sa belle mère toqua à la porte de Jenny, et demanda à entrer. " Et bien chérie, tu as un problème dont tu veux discuter avec moi ? "

" Oui maman, c'est à propos de mes fessées. Je ne me plains pas vraiment car je sais combien tu es honnête avec moi. J'ai mérité chacune des fessées, et il y en a probablement plusieurs que tu as laissé passer, mais tu sais, c'est gênant lors de mes cours de gym. Je suis très embarassée pour aller nager après que tu m'ai punie car la badine est si grosse qu'elle marque mes cuisses également, et le maillot ne couvre pas tout. Veux tu que l'on utilise une canne à la place ? J'ai entendu que c'était assez dur, mais je veux bien supporter plus de douleur si cela m'évite de laisser apparaitre des marques sous mon maillot ou mon short de gym. "

" Oh, Jenny, je suis désolée ! il ne m'était pas venu à l'esprit que les marques de la badine pouvaient se voir, mais tu as raison, j'ai moi même vu les marques. Je n'avais simplement pas pris en considération que fait que tu te deshabillais pour la gym. Bien sur, j'utiliserai une canne, où penses tu que je puisse en trouver une ? "

Jenny rougit. " Maman, il y a une boutique de "cuir " dans la rue principale. Je t'y emmenerai samedi si tu es OK. La patronne est une jeune femme très gentille. J'ai déjà parlé avec elle, et elle m'a dit qu'une canne est facile à controler, et qu'ainsi ça ne tombe pas là où ça n'est pas supposé tomber. Une ceinture ou un martinet seraient OK, mais elle m'a dit que c'était la canne le mieux approprié. "

" Et bien, il semble que tu ai bien discuté avec cette dame. Bien sur chérie, dans la matinée, j'avais des courses à faire de toute façon. "

Samedi matin, Jenny montra la boutique à Ellen. Sa belle mère avait l'esprit ouvert et ne fus pas surprise par la collection de vêtements de cuir, équipement d'esclavage, gods et fouets. La dame derrière le comptoir reconnu Jenny.

" Salut Jenny. C'est votre maman ? Bonjour, je suis Linda. Jenny cherchait des cannes il y a quelques jours. Elle m'a exposé le problème. Si votre objectif est le même, vous ne pouvez pas manquer son cul avec un de ces articles. " Elle prit plusieurs des cannes placées à l'étalage.

Ellen regarda les cannes. " Un plaisir de faire votre connaissance Linda . Je suis Ellen et je suis la maman de cette vilaine fille. Ces cannes semblent pouvoir faire beaucoup de dommages. "

Linda rayonna, "Et bien ça dépend de la vigueur avec lesquelles elles sont employées, combien de coups Jenny va prendre et de l'article que vous achetez. Je choisirai plutôt celle-ci. "

Elle montra à Ellen une canne en plastique noir dc près d'un demi centimètre de diamètre. Elle faisait près d'un mètre de long et avait une poignée agrandie à la fin.

"Mon petit ami m'a donné une fessée d'anniversaire il y a près d'un mois. J'ai eu vingt et un ans, il m'a donné vingt deux bon coups avec. Dieu cela faisait mal, mais je les ai prit, bien que j'ai crié à chaque coup ! Ca m'a fait mal de m'asseoir durant des jours. Le plastique est appelé " Delrin " et il est très solide."

Ellen tenait la canne et la fit siffler dans l'air. " Est-ce que je peut essayer un ou deux coups par dessus le jean de Jenny ? " Linda acquiesça. " C'était ton idée, chérie, penche toi et présente moi ton derrière. Tire bien ton blue-jeans bien plaqué sur ton cul. "

Jenny le fit et whoosh ! Son cul était en feu ! Whoosh, encore plus de feu. " Oh, mon Dieu maman, c'était affreux ! " Jenny se frotta le cul endolori.

" Hey, ce n'était pas mon idée! Est-ce que tu penses pouvoir en prendre une douzaine avec cela si je promet de limiter mes coups sur ton derrière ? Cette chose est facile à contrôler, et je ne suis pas sûre mais je crois que je la préfére à la badine. "

Jenny continuait à se frotter le cul, mais dit, "OK, maman. Je prendrai ce que je dois prendre si je peux porter mon maillot de bain ensuite."

Ellen fut un peu surprise par le prix, mais se dit que c'était un article spécial et qu'elle pourrait toujours le donner à l'époux de Jenny dans quelques années, comme un présent de mariage. Peut-être comme un " cadeau-plaisanterie " et peut-être pas, cela dépendrait avec qui elle se marierait. Elles remercièrent Linda et quittèrent le magasin.

Ellen réflechissait en conduisant. " Jenny, que pense tu d'en prendre une douzaine cet après-midi, sur les fesses nues, pour voir comment cette canne fonctionne et me donnent un peu de pratique ? "

Jenny avait eu un peu peur que sa maman lui fasse une suggestion comme celle ci. Bon, le changement de la badine à la canne avait été son idée, aussi elle pensait que sa maman avait le droit de l'essayer sur son derrière nu. Elle soupira, résignée à cette idée.

" OK, maman . J'en prendrai une douzaine aujourd'hui et nous pourrons voir de quoi cela aurai l'air demain. Et maman ..... merci, je t'aime."

Ellen sourit, "Contente de t'aider chérie, mais vu la façon dont cette chose te blessait par dessus ton blue-jeans, je ne pense pas que tu sois très vilaine à l'avenir. La canne ne va pas servir beaucoup."

Après le déjeuner, Ellen fit un peu de ménage pour permettre à Jenny de finir de manger. Après une heure, elle s'approcha de Jenny, qui lisait le journal. "Tu es prête à essayer notre nouveau jouet, chérie? "

Jenny s'inclina et elles allèrent toutes deux dans la chambre. Ellen dit, " Veux tu bien ôter blue-jeans et culotte et te placer sur ton lit. " Jenny le fit. Elle désirait que ses mains soient attachées au lit, mais le mieux qu'elle put faire fut de saisir les couvertures. Whoosh, douleur. Whoosh, plus de douleur. Whoosh, Jenny cria. Bruit ou pas, elle prit sa douzaine.

Ellen regarda de près le cul brûlant. "Pas mal, pour une débutante, chérie. Pas une ne dépassera de ton maillot. Regarde dans le miroir."

Jenny reniflait encore mais sortit du lit et utilisa le grand miroir à l'intérieur de sa penderie. Elle regarda par dessus son épaule et vit douze marques rouges à travers son cul, assez proches les unes des autres. Chacune traversait la totalité de ses fesses et son cul entier la blessait. Mais après tout une fessée c'est une punition. Ce n'était pas supposé faire du bien.

" Ca parait bien maman, je veux dire elles ne peuvent pas être vus en dessous de mon maillot. Ca fait un mal de chien, mais au moins elles sont cachées. " Elle se frottait le cul. "Maman, c'était bien pire que douze avec la badine. Je prendrai ma douzaine quand je le devrai, mais où as tu pris ce nombre de fessées ?"

Ellen souri, "Papa avait l'habitude de me donner douze coups avec la lanière du rasoir, le strap. Je pourrait bien l'emprunter un jour et te montrer ce que ça donne. je pense et je suis prête à parier que c'est pire que la canne, mais il est vrai que ton grand père a plus de force que moi."

Jenny n'était pas certaine de savoir si Ellen plaisantait ou pas, mais elle dit, "OK, maman, je pense que je peux en prendre autant que toi, au moins une fois, mais attendons jusqu'au printemps ? Tu pourras l'essayer sur moi au début des vacances. Si tu frappes mes cuisses et me marque, peu importe."

" Bien sur chérie. Voilà un bon rendez vous. "

La reprise des classes n'était pas avant mardi, et bien qu'il reste une certaine douleur, les fesses de Jenny n'avait pas mauvais aspect et elle se mit en maillot de bain dans un coin de la pièce. Plus tard, elle se doucha dans le dernier box avec son cul dans le coin. Aucune des filles ne remarqua quoi que ce soit.


 


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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 22:58

 

Nous allons commencer ce jeudi 1er mars une nouvelle histoire publiée sur un site assez sympathique "fesses rouges". Comme son nom l'indique, ce site était consacré aux histoires de punitions. Je ne sais pas s'il existe toujours.

Ce site a entre autre publié l'histoire "Jenny". Une histoire d'éducation anglaise à "l'ancienne" au goût délicieusement "vintage", mais néanmoins très sexuel!

Je vous laisse juge!

Chaque chapitre de cette histoire sera illustré par un dessin tout aussi "vintage" de John Willie, l'inoubliable créateur de la douce Gwendoline!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Jenny, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 22:40

Darling22.jpg

Ou l'on découvre que la lecture peut receller des plaisirs insoupçonnés!

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