Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:55

Chapitre 13 : Un bâillon-gode dans la gorge
 

A peine calée, j’entendis Sonia ordonner :

 

« Bien, tu peux te déshabiller Sarah ! »

 

La jeune fille rougit encore plus si possible.

 

« Mais . . . Melle . . . devant Lin-Yi ? »

 

Sonia fixa Sarah, faisant mine de ne pas comprendre.

 

« Lin-Yi est mon assistante personnelle à temps partiel. C’est pour cela que je l’ai sorti de sa classe pour lui demander de nous accompagner ! Elle m’aide sur les visites un peu particulières !  Tu peux donc te déshabiller sans gêne : tu ne seras pas la 1ere élève qu’elle verra nue ! »

 

« Oh, Melle . . . »

 

« Ecoute Sarah, je ne vais pas passer le reste de la journée sur ton cas. De plus, je te signale que Lin-Yi rate un cours afin de m’aider. Ce serait donc charitable d’essayer de ne pas lui en faire rater d’autres ! Mais si tu ne souhaite pas te déshabiller, nous retournons dans le bureau de la Directrice et nous lui expliquerons . . . ».

 

La menace fit blêmir la jeune fille.

 

« Non Melle, je vais obéir ! », dit-elle en commençant par enlever sa veste, puis sa cravate, qu’elle posa sur  une chaise.

 

Sonia, satisfaite, sourit.

 

Sarah enleva ensuite ses souliers et ses chaussettes, comme pour retarder l’échéance. Mais elle du ensuite passer à la chemise et au soutien-gorge, dévoilant ainsi ses seins plantureux aux larges aréoles roses à sa camarade de classe. Résignée, elle fit ensuite tomber sa jupe et enfin sa culotte. Toujours pudique, elle ne pu s’empêcher de placer un bras devant ses seins et une main devant sa chatte.

 

« Mon Dieu ! », s’exclama Lin-Yi à la vue du corps encore marqué de la jeune fille, « tu as reçu une véritable dégelée ! » !

 

Sarah ravala un sanglot.

 

« Tu as du en faire de belles pour déguster comme ça ! », ajouta la petite asiatique avec perfidie.

 

Sonia saisit alors Sarah par un bras et commença son office. Elle la pesa, prit son tour de poitrine, son tour de hanche, son tour de cuisse. A chaque nouvelle mesure, je constatai que mon infirmière de choc touchait par « accident » des parties sensibles ; tétons, mamelons, chatte, fesses. Soucieuse de ne pas braquer Sonia à nouveau, Sarah se contraignait à ne pas bouger.

 

Sonia fit ensuite bouger Sarah : mains sur les pieds, jambes bien tendues, bras en l’air bien étirés, bras à la perpendiculaire du torse, petits sauts sur place. A chaque fois, les seins opulents de la jeune fille gigotaient avec élégance et sensualité.

 

« Et bien tout cela me semble en parfait état de marche ! », conclu Sonia en prenant en main une longue spatule de bois plate.

 

« Mais vu ce qu’à laissé entendre Mme La Directrice de la suite de ta punition, je me dois de vérifier le bon état de tes orifices ! »

 

L’infirmière s’approcha de Sarah et se plaça devant elle.

 

« Ouvre la bouche ! »

 

Sarah ouvrit timidement les lèvres.

 

« Allons, plus fort ma jolie ! »

 

La jeune fille ouvrit plus franchement la bouche.

 

D’un geste vif, Sonia enfonça la spatule dans la gorge de Sarah, buttant contre la luette, et la plaqua contre la langue comme pour observer le fonds de la gorge de sa patiente.

 

C’était visiblement la 1ere fois que l’on enfonçait quelque chose aussi loin dans la gorge de Sarah.

 

La gorge de la belle eu un spasme et fit mine de vomir.

 

Tout aussi vivement, Sonia retira la spatule. Sarah respira bruyamment, en état de choc.

 

« Et bien, quel cinéma ! », lança Sonia. « Si l’attention de Mme La Directrice se porte sur cet orifice, tu risque de l’exaspérer ! »

 

Sarah ne pu retenir ses sanglots.

 

« Oh non ! Cela a été plus fort que moi ! . . . je ne souhaite qu’obéir, mais je n’ai pas pu . . . », gémit-elle.

 

« Excusez-moi Melle, je ne voudrai pas être indiscrète, mais pourquoi Mme La Directrice voudrait-elle punir Sarah par ses . . . orifices ? », demanda Lin-Yi.

 

« Tout simplement parce que cette prude jeune fille s’est oubliée en pleine punition et a éprouvé un plaisir très sexuel sous les coups ! »

 

« Oh mon Dieu ! Quelle honte ! », s’exclama la belle asiatique. « Je comprends mieux la sévérité de Mme La Directrice ! Ce n’est pas à notre école que les parents de Sarah devaient la placer, mais dans une maison de passe !»

 

Sonia éclata de rire.

 

« Oh non, Melle . . . ». Sarah mourait de honte que Lin-Yi connaisse la vérité sur son comportement.

 

Sonia se dirigea vers une table ou était placés divers instrument et revint avec un bâillon gode  en main. Le gode était couleur d’ébène, fin et long d’au moins 20 cm. Il était fixé sur une sangle en cuir.

 

Les yeux de la jeune fille fixaient l’engin sans ciller. C’était indubitablement la 1ere fois qu’elle voyait un bâillon gode.

 

« Nous allons donc entraîner ta gorge au cas où . . . allez, ouvre la bouche », demanda Sonia.

 

Sarah pleurait maintenant franchement. Son corps était secoué de tremblements. Ses seins en gigotaient en tous sens.

 

Prenant sur elle-même, elle se contraignit à ouvrir la bouche.

 

Sonia se plaça derrière elle, positionna le gode devant la bouche de sa « patiente » et l’enfourna brutalement dans sa gorge. Avec dextérité, elle saisit les 2 lanières de cuir et les fixa derrière la tête de Sarah.

 

Le corps de celle-ci fut pris d’un spasme violent et donna l’impression de vouloir vomir à nouveau.

 

La jeune fille tomba au sol à 4 pattes, râlant comme un animal à l’agonie, ses seins blancs et lourds pendant vers le sol.

 

Le gode étant creux, un filet de salive s’écoula par l’orifice circulaire de la sangle. Sarah bavait sur le sol un filet de bave quasi continu !

 

Je me pétrissais alors la moule comme une furie depuis plusieurs minute et j’eu mon 1er orgasme !

 

« Très bonne idée Sarah ! Reste à 4 pattes ! Cela va me permettre de tester l’élasticité de ton anus ! Car je serais très étonnée, vu la gravité de tes écarts de conduite, que Mme La Directrice ne pense pas à s’occuper de lui ! »

 

Là où j’utilisai « le choc » des punitions corporelles pour « attendrir » puis briser et donc ensuite remodeler pour leur plus grand bien les péronnelles dont l’éducation m’était confiée, Sonia recourait franchement à l’humiliation à caractère sexuel ! Je devais constater que c’était diablement efficace !

 

Sonia se dirigea à nouveau vers sa table couverte d’instruments et revint vers Sarah, qui vu sa position ne pouvait la voir, avec en main une poire et une matraque un peu particulière : longue de 20 cm, elle n’était pas uniforme mais en fait constituée de 3 boules reliées les une aux autres par un une barre de caoutchouc rigide. La matraque était prolongée par un manche qui permettait de l’avoir bien en main.

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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:50

A partir du chapitre suivant, vous allez lire une suite originale de la punition de Sarah, écrite de ma blanche main.

 

J'espère que vous allez aimer cette suite comme vous avez aimé les 1ers chapitres de Max Smart!

 

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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:36

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 Ou l'on se découvre un goût prononcé pour la tâche d'éducateur, tout spécialement en Anglais, et pour l'éducation "à l'anglaise"!

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Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 20:27

Chapitre 2: Où Jenny découvre le Strap et Ellen le redécouvre.

 

  Gwendoline-6.jpg

 

Le temps passa, et Jenny était une bonne fille et n'était pas punie. Les vacances de printemps était seulement dans une semaine quand Ellen dit à Jenny . "Jenny, tu te rappelle ta promesse de prendre une douzaine de coups avec le strap, comme je le faisais ?"

 

Jenny souri, "A dire vrai, maman, j'ai essayé de l'oublier, mais j'ai fait bêtement cette promesse, et je pense que je dois la tenir maintenant. Quel jour est-ce que tu as en tête ? Je voudrai juste être certaine que les marques seront parties lorsque l'école recommencera la semaine prochaine. Même si mes cuisses ne sont pas marquées, je ne veux pas que les filles voient mon derrière tout marqué."

 

" J'ai parlé à ton grand père il y a une semaine, et il m'a fait remarqué que si j'avais reçu de nombreuse fessées avec le strap, je ne l'avais jamais utilisé moi même pour fesser quelqu'un d'autre. Il propose de te donner une fessée comme il avait l'habitude de me la donner. Ca m'a semblé juste, aussi j'ai pris rendez vous avec lui pour ce samedi, dans l'après-midi. Est-ce que c'est OK pour toi chérie ?" Jenny n'était certainement pas très enthousiaste à la perspective d'obtenir un strapping de grand père, qui était encore très fort au regard de ses soixante ans.

 

"Hey, bébé, tu n'as pas à le faire si tu ne veux pas le faire. Je t'en ai parlé il y a huit semaines. Ce n'est pas parce que j'avais l'habitude d'être punie de cette façon, que cela veut dire automatiquement que tu dois l'essayer. " Ellen souriait à Jenny et lui donna un baiser sur la joue. "Ca va faire mal, je le sais."

 

Jenny réflechit un moment. Maman la laisserait si elle le voulait, mais le ferait elle réellement ? Est-ce que ce n'était pas juste qu'elle obtienne une fessée juste comme maman avait l'habitude de l'avoir et de la même personne ? Soudainement il lui vint une idée, "maman , est-ce que tu en prendrais une avec moi ? Je veux dire laisser grand père me fesser en premier, puis lui permettre de t'en donner une en mémoire du bon vieux temps ?"

 

Ellen était choquée par la perspective de sentir le strap encore après toutes ces années. Elle pensa longuement à la proposition de Jenny. Carl, le père de Jenny, devrait être au courant, d'autant qu'elle ne pourrait pas très bien le lui cacher, mais elle était certaine qu'il ne protesterait pas. Il aurait probablement un bon rire et demanderait à voir son cul après qu'elle soit rentré de chez son père. Elle savait ce qui arriverait après son inspection. Cette partie était toujours un plaisir, même avec un cul endolori.

 

"OK, chérie, je le ferai. C'est très juste tu sais. tu en obtiens une, j'en obtiens une. Ca va faire un choc à mon derrière après tout ce temps. je me demande si le strap est vraiment aussi mauvais que dans mes souvenirs ? Bon et bien toutes les deux nous découvrirons cela samedi prochain. J'appelle papa et je lui explique la situation, mais je suis certaine qu'il sera trop heureux d'obtenir une chance de faire rougir mon derrière une dernière fois. "

 

Jenny était curieuse, " maman, quel âge avait tu quand grand père a cessé de te fesser ? "

 

Ellen souri, se rappelant de sa jeunesse. "Il n'a jamais arrêté, aussi longtemps que j'ai vécu ans chez lui. Je suis allée à l'université locale après le lycée, et je continuais à vivre à la maison. J'étais beaucoup plus mûre que quand j'étais au lycée, mais papa continuait à employer le strap sur moi chaque mois."

 

" Il m'a trouvé avec un paquet de cigarettes une fois dans ma dernière année. J'avais vingt deux ans, mais nous sommes allés à la grange. Je pensai qu'il me donnerait seulement ma douzaine, mais il était si énervé que j'ai pu le sentir pendant une semaine. C'était comme la fille du magasin l'a dit. la douleur est proportionnel à la façon dont vous recevez le coup, et papa était fou furieux ce jour là. Tu as remarqué qu'encore maintenant je ne fume pas, ce pour quoi je lui suis très reconnaissante. "

 

Jenny frotta ses fesses comme si elle pouvait déjà sentir le strap. Ellen le remarqua et frotta ses fesses également "Ce samedi qui vient, nous aurons toutes les deux des derrières endoloris, chérie. Tu sais, je parie que papa est encore aussi bon avec le strap qu'il avait l'habitude de l'être, et il était très bon."

 

L'après-midi de samedi trouva Ellen au volant et Jenny sur le siège droit. Ellen parlait,

 

" Papa donne les fessées dans la vieille grange. Il y a une grande poutre ronde qui aide à tenir en haut la soupente de foin. ca fait près de trente centimètre de diamètre et c'est idéal pour des fessées. Il insiste pour que l'on soit totalement nue. Même pas de chaussettes. Je suppose qu'il pense que cela ajoute à l'embarras. "

 

"Il attachera tes mains ensemble et emploiera une poulie pour te soulever les pieds qui seront attachés derrière la poutre. Si tu bouge encore trop, il a une ceinture longue à mettre autour de la poutre pour t'immobiliser. Je te conseille de le lui demander, s'il ne la met pas de lui-même. Ca aide réellement à rester en place. Car, si tu te déplace trop autour tu vas te frotter les mamelons et ils te feront mal ensuite. tu auras assez de douleur sur ton cul sans blesser tes mamelons en plus."

 

Jenny répondit, "Wow, maman , il ne veut vraiment pas devoir chasser la victime partout. Et bien, je ne l'en blâme pas. J'allais te demander de m'attacher au lit avant ma prochaine fessée à la canne, peu importe quand ce sera. Je pense que cela m'aiderait si je peux avoir quelque chose à serrer, mais je n'en suis pas sûr, car je n'ai jamais essayé de cette façon, mais je saisit les draps, ce qui semble aider un petit peu."

 

Ellen pensa à cela un petit moment et puis dit, "Je pense que tu as raison chérie. Dans mes plus anciens souvenirs de fessées j'étais sur les genoux de papa. Quand j'étais très jeune c'était facile pour lui, mais quand j'était un peu plus grande ça tournait au match de catch. Bien sûr, il gagnait toujours, mais c'est alors qu'il a aménagé l'endroit dans la grange pour mes fessées. Une fois que tu es attachée à la poutre, tu ne peux plus rien faire."

 

" Maman, je crains de faire beaucoup de bruit. Je suis aussi effrayé par le fait que grand père me fesse. "

 

Ellen ri, " C'est vrai chérie. Mais tu pourras aussi m'entendre lorsque Grand père tannera mon cul ! ".

 

Elles tournèrent dans l'allée conduisant à la vieille maison, avec la grande grange à proximité.

 

"Je suis contente que tu passes en premier chérie. Ca me donnera quelques minutes de plus pour contempler mon destin. Tu sais que j'ai peur ? j'ai cette sensation dans le ventre, comme celle que j'avais juste avant d'être fessée par mon père il y a quelques années."

 

" Moi aussi maman . Bon, nous sommes arrivées, prêtes ou pas prêtes. "

 

Elle se frotta le derrière en sortant de la voiture. Elles allèrent à la porte de la cuisine.

 

Le grand père lisait le journal à la grande table de cuisine et la grand-mère était assise dans une chaise raccommodant des chaussettes et chemises. Elle sourit, "Eh bien ? J'ai entendu dire que l'une de vous deux avait été vilaine ? Le vieux strap était couvert de poussière jusqu'à ce que ton père le récupère et l'huile. Il est comme neuf maintenant. Ca va être sympa d'entendre de nouveaux certains cris venir de la grange. Juste comme dans le bon vieux temps."

 

Elle rit.

 

Ellen sourit, "Aucune de nous n'a été vilaine, maman . Bon, en toute honnêteté nous l'avons probablement été toutes les deux, mais que n'est pas pourquoi nous sommes ici. Je fesse Jenny quand elle le mérite et un jour elle m'a demandé pourquoi je lui donnais toujours une douzaine de coups lors de ses fessées. J'ai expliqué que papa me donnait une douzaine de coups avec le strap . Je l'ai défiée d'en prendre une douzaine avec lui et elle y a consentit. Ensuite elle m'a défiée d'en prendre une douzaine après elle, et j'y ai consenti. Ca semblait idiot. Je n'en ai pas eu une depuis des années mais j'ai pensé que je devais en prendre une avec elle. Je veux voir si cela fait aussi mal que dans mes souvenirs, et Jenny pourra comparer la fessée de papa à celle que je lui donne."

 

 

 

Grand père se leva et dit, "je suis prêt et le strap est prêt. Es tu prête Jenny ? J'ai cru comprendre que tu voulais y aller la première."

 

Jenny nia vigoureusement, "Non non, grand père. Au début le défi était pour moi de prendre une fessée avec le strap à domicile, de la part de maman. J'y ai consenti parce que je pensais qu'il était juste que je connaisse ce qu'elle avait eu. Puis tu as indiqué à maman qu'elle n'avait jamais employé le strap , bien qu'elle l'ait senti de nombreuses fois et tu t'es proposé pour me le donner."

 

" Je me suis dit que je prendrais le strap si maman en prenait aussi. Alors tu vois j'ai été choisie pour commencer mais si tu veux commencer par maman c'est OK pour moi. "

 

Ellen dit," Oh non chérie. Tu y passeras la première, juste comme nous l'avions prévu. "

 

"OK, maman , j'y vais la première si tu m'assures que tu prendras ta fessée aussi douloureuse que paraisse la mienne.... "

 

cela semblait juste, bien que les genoux d'Ellen commencent à faiblir et la fessée

 

n'avait pas même commencé... sa voix était un petit peux tremblante quand elle dit, "Top là, bébé, allons y."

 

Grand père ouvrit la porte. " Suivez moi vilaines filles. Toutes les deux vous allez avoir des derrière très rouges très bientôt. "

 

Grand père parlait à Jenny , " ôte tous tes vêtements jeune dame. " Il avait rapidement attaché les mains de Jenny et elle fut presque soulevée du plancher lorsqu'il tira la corde avec le système de poulie.

 

Une corde courte allait autour la poutre et était attachée à chaque cheville.

 

Elle était sur la pointe des pieds. "prête jeune dame ? "

 

Jenny réalisa qu'elle pouvait encore déplacer un peu son corps.

 

" maman dit vous aviez une corde a attacher au niveau de ma taille. Je ne veut pas frotter mon corps. "

 

Grand père ri," Elle se rappelle bien. D'accord je t'attache . " Il plaça la corde autour d'elle et de la poutre. Quand il serra Jenny réalisa alors à quel point elle était impuissante.

 

"et bien, mais tu as un petit derrière très fessable, tu ne penses pas Ellen ?" Il abatit le strap à travers les fesses de Jenny.

 

Splat ! EEOOWWWW ! Oh !

 

Splat ! EEOOWWWW ! Oh, mon dieu !

 

Splat ! EEOOWWWW ! Affreux !

 

Splat ! EEOOWWWW ! Je ne peux pas. ...

 

En fait, elle put, bien sûr, chacun des coups de la douzaine. Quand cela s'arrêta Jenny était pendue, haletante et sanglotante.

 

Grand père sourit, "je parie que cela bat ces misérables petites fessées que ta maman te donne." Il détacha les cordes, puis la fit redescendre lentement. " Ellen , je me rappelle un peu des temps où tu n'étais pas très étable sur tes pieds après un bon strapping. Peux tu aider Jenny , si elle en a besoin ? " Jenny n'était plus attachée, mais chancelante, comme grand père l'avait prédit. Elle voulait s'asseoir, mais savait que cela allait être trop douloureux, aussi elle laissa Ellen l'accompagner jusqu'à une plus petite poutre.

 

Ellen dit, " veux tu te rhabiller chérie ? "

 

"Est-ce que tu plaisante maman ? Je ne peux rien mettre encore."

 

Grand père ri, "tu n'es pas encore habituée aux vraies fessées, jeune dame. Maintenant c'est ton tour, Ellen . Enlève tes vêtements."

 

Ellen fut bientôt contre la poutre que sa fille avait occupé juste avant. " Prête ? ", demanda grand père. Elle acquiesça.

 

Splat ! EEOOWWWW ! Ca ne peux ...

 

Splat ! EEOOWWWW ! pas être. ...

 

Splat ! EEOOWWWW ! aussi ...

 

Splat ! EEOOWWWW ! mauvais. ...

 

En fait ça l'était et ça continua jusqu'à ce qu'Ellen en ait pris une douzaine.

 

Jenny chancelait sur ses jambes mais elle réussi à aller jusqu'à Ellen et l'embrassa . "Laisse moi t'aider maman ." Bientôt elle fut libre, mais elle dut se tenir à une poutre avec l'aide de Jenny.

 

Ellen dit, "ca l'est.."

 

" C'est quoi, maman ? "

 

"Aussi douloureux que dans mes souvenirs."

 

Grand père ri, "C'était une bonne journée pour moi. Hey, n'importe quand si vous voulez une vraie fessée, vous n'avez qu'à juste me passer un coup de fil. Bon je vais à la maison, rhabillez vous et venez nous dire au revoir."

 

Ellen se tenait encore à Jenny . " Mon Dieu, chérie, c'était terrible. Lorsque je te fesse ça fait aussi mal ? "

 

Jenny souri, " non maman , mais si tu veux obtenir certains résultats positifs, tu devrais sans doute . Tu penses que tu pourras remettre ton jean ? Je vais porter juste ma culotte. Aucun espoir de remettre mon pantalon aujourd'hui. Est-ce que tu remettais le tien après une fessée comme celle ci quand tu étais plus jeune ? "

 

"Je suis désolée, j'ai oublié qu'il ne faut pas porter de vêtement serré. Avant je gardais ma culotte dans ma poche et ne portait qu'une robe lâche. Maintenant nous allons devoir rentrer à la maison dans des blue-jeans serrés. Je peux t'aider à t'habiller si tu m'aides. Je suis encore faible avec cette douleur."

 

" Wow, chérie, ca, c'était une fessée. "

 

Jenny embrassa Ellen encore. "ca faisait un mal d'enfer, maman , mais je suis contente de l'avoir eue avec toi. D'une certaine manière cela nous rend plus proche."

 

Ellen serra sa fille. " Je comprends ce que tu veux dire chérie. J'ai besoin de dormir maintenant. Allons dire au revoir à grand père et à grand mère. "

 

Les deux filles réussirent douloureusement à enfiler leur blue-jeans et allèrent rapidement à la maison.

 

La maman d'Ellen rit. "je n'ai pas entendu crier ainsi depuis des années. Je suis sur que papa a fait du bon travail sur vous ! ? "

 

Les deux, Ellen et Jenny étaient d'accord. Jenny dit, " MERCI Grand père. Je suis contente de connaitre ce que maman recevait quand elle était jeune, même si cela fait un mal de chien. "

 

Ellen dit, "Autant pour moi. J'avais juste oublié comment c'était douloureux. Si Jenny le nécessite vraiment, je la ramènerai pour une reprise en main, OK ? "

 

Le grand père dit en riant : " Bien sur chérie, et n'importe quand si toi aussi tu as besoin d'une reprise en main fais le moi savoir. "

 

Ellen sourit, " Euh, maman , est-ce que nous pourrions emprunter deux oreillers pour rentrer à la maison ? "

 

La maman d'Ellen ri, " Bien sûr, chérie. Prends en une paire du salon. Tu les rapporteras la prochaine fois que vous viendrez nous voir, ou que vous déciderez devoir recevoir une autre fessée. "

 

Adossée à la voiture Ellen dit, " Chérie, s'il te plaît, tu peux conduire jusqu'à la maison ? Je suis encore tremblante à cause de la fessée. "

 

"Oui maman J'ai mal au derrière mais je tiens debout. Si d'aventure je dois en avoir une autre comme cela, j'emmène mon sac de couchage."

 

Mêmes avec les oreillers, c'était un voyage douloureux jusqu'à la maison. Ellen dit, "Chérie, je suis encore un petit peu étourdie. Vas demande à ton père de m'aider à rentrer à la maison. Oh, et chérie, ne fais pas attention aux bruits qui pourraient venir de ma chambre. La fessée m'a donnée une grande envie de faire l'amour."

 

Jenny ri, "Moi aussi, mais je vais devoir me débrouiller seule. Bonne baise, vous deux."

 

" Jenny ! Tu ne devrais pas employer cette sorte de langage. "

 

"Je sais, mais je ne pense pas que tu vas me fesser pour l'avoir dit."

 

Jenny trouva son père en train d ebricoler sa voiture "Papa, la fessée que nous avons reçue de grand père était même pire que ce à quoi nous nous attendions. Maman est encore un petit peu faible, et aimerait que tu l'aides à aller jusqu'à la chambre à coucher. Ahh, au fait papa, je sais qu'elle a un cul très endolori, mais je pense qu'elle aimerait une petite fessée supplémentaire avant que tu ne lui fasse l'amour. "

 

"Est-ce que n'elle a pas eu assez pour un jour ?"

 

"Papa, tu dois comprendre qu'une fessée excite beaucoup les femmes, même moi, et je suis encore une vierge. Cela fait une heure que maman en a reçue une de grand père. Je pense qu'une bonne douzaine de plus seraient bien. "

 

"Tu veux dire que tu es excitée quand Ellen emploie cette paddle sur ton cul ? Ou les verges ? Pourtant je t'entend crier partout dans la maison."

 

" Ca fait mal, mais ça m'excite. Je pense que quand j'aurai un petit ami, ou même quand je serais mariée, cette fessée sera une partie régulière de notre histoire d'amour. "

 

Elle rit. "Hey, Tu devrais utiliser la canne. C'est plus efficace que la paddle. Maman la garde suspendue dans sa penderie dans la chambre à coucher. Une bonne douzaine de coups devraient être justes. "

 

Jenny alla dans sa chambre à coucher. Elle se dévêtit aussitôt, grimaçant de douleur. Elle chercha dans le premier tiroir de son bureau et prit un god, un tube de vaseline et une paire de pinces de mamelon reliées par une chaîne. Elles étaient de la sorte qui serrent plus quand on tire dessus. Elle se coucha sur le ventre sur son lit. Elle lubrifia le haut du god et l'inséra où il fallait. Oooooh, elle le sentait si bien. Elle mit les chaines de seins, cela faisait mal, mais c'était un "bon" mal. Elle pourrait tirer sur la chaîne et punir ses mamelons tandis qu'elle poussait le god dans et hors de sa chatte.

 

Elle était à la moitié de son premier orgasme quand elle entendit un cri venant d'en bas, dans la salle, dans la direction de la chambre principale. Elle sourit. Papa l'avait prise au mot. Savoir que sa maman était fessée l'excitait et elle atteint le sommet, gémissant ouvertement. Elle pensait que personne en bas ne l'entendrait. Maman cria encore. Jenny compta les cris tandis qu'elle était occupée avec son deuxième orgasme. Il lui sembla en entendre au moins six, quand elle eu son troisième orgasme.

 

Habituellement elle en avait seulement deux, mais savoir ce qui arrivait en bas dans la salle, plus la grande fessée qu'elle avait obtenu la rendait plus chaude aujourd'hui. Elle entendit un autre cri. Est-ce qu'elle pourrait avoir encore un autre orgasme ?

 

Quatre serait un record avec elle, mais elle était encore excitée. Les gémissements d'en bas, dans la salle étaient réellement forts et maman cria encore. Elle se demandait si ce serait meilleur avec un homme ? Le god était gentil et grand, mais elle avait seulement vu un pénis en érection et qui appartenait à son petit ami Derek.

 

Techniquement, elle avait perdu sa virginité la première fois qu'elle avait employé un god. C'était des années auparavant, et c'était avec un plus petit god qu'elle gardait encore et employait des fois dans son rectum. Tenant le grand god en place, elle récupéra le vieux et l'inséra dans son anus. Wow, elle se sentait bien, remplie par les deux trous. Elle avait essayé le petit dans le cul auparavant, mais jamais tandis que sa chatte était remplie.

 

Elle tira la chaîne des pinces de sein. Ohhhhhh, les mamelons devenaient sensibles. Elle s'assit, reveillant la douleur de la fessée. Elle avait envie de douleur maintenant. Elle se tortillait plus, tirait nettement sur les pinces, poussant le god entièrement en elle. Maman cria encore. Jenny vint pour la quatrième fois, mais cette fois elle trembla et trembla encore. Il lui que l'orgasme durait des minutes. Elle gémit et s'évanouit au milieu d'un beau feu d'artifice.

 

Elle se réveilla. Elle enleva les pinces avec un "ouch" pour chacune et se tourna sur son oreiller avec les deux gods en place. Bientôt elle était endormie.

 

Le lendemain matin les deux trou étaient un peu sensibles, d'avoir été bourrés toute la nuit. Son cul était encore douloureux, mais elle avait faim et elle alla à la cuisine. Maman y était il et ne semblait pas trop heureuse.

 

"Toi et tes suggestions. Ton père m'a donné une autre douzaine avec la canne. "

 

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Jenny, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 20:12

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 Ou l'on découvre qu'aller à la pharmacie peut ne pas être aussi désagréable que celà . . . !

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