Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 23:09

 

Elle fixa Michael d'un œil mauvais.

- Toi, mon salaud, tu t’assieds sur ce tabouret et tu ne bouges pas !

- Mais Véro, laisse-moi au moins...

- Tais-toi ! (elle se tourne vers moi en pointant Jean du doigt) C'est votre mari ?

Je hochai la tête, l'air innocent, en portant mes doigts plein de sperme à la bouche, puis en les léchant un à un. J'essayais d'en faire sortir un maximum de mon anus dégoulinant et trouvais amusant de jouer le jeu de la salope ingénue, contente de boire du sperme d’où qu’il sorte – bien que le goût un peu fort de la semence qui me venait aux narines n’avait rien d’agréable.

Elle plissa les yeux et poussa Jean sur l'autre tabouret.

- Très bien ! dit-elle. Vous avez baisé mon mec devant le vôtre, je vais baiser le vôtre devant le mien !

Michael, la queue encore pendante, gémit de désespoir et je la regardai en introduisant mon majeur au bord de mon petit trou, raclant la moiteur du sperme de son mec en affectant un détachement étudié. Jean n'était plus rien pour moi – du moins essayais-je de m’en convaincre - et si Laëtitia arrivait et trouvait sa fille qui baisait en public, devant celle qu’elle venait d’humilier, qui plus est, tout serait encore plus délicieux !

Véronique ondula lascivement des hanches, la main dans sa culotte, devant les yeux horrifiés de Michael, qui avait sans doute espéré qu'elle perdrait sa virginité avec lui...

Elle avait un corps taille mannequin, petite blondinette aux hanches fines qui s'ouvraient sur un superbe cul, ferme et ample dans son maillot de bain échancré. Elle ôta son bikini, révélant deux beaux seins bronzés aux mamelons minuscules, frottant son cul sur le caleçon de Jean, qui n'osait pas me regarder.

La blondinette tira les ficelles de son bas de maillot et l'enleva, écartant les jambes, un air de défi dans les yeux.

Son sexe était totalement et parfaitement rasé, ses lèvres délicates, un peu molles, son clitoris bien visible, érigé bien au-dessus de son vagin humide. Elle était très appétissante, et je me surpris à mouiller en la regardant se dandiner de droite à gauche, s’arc-boutant sur le chibre de mon mari. Je ne sais pas ce qui me prit, mais j'avançai la main et caressai l'abricot délicat. Elle eut un mouvement de recul et je pus voir la bite de Jean, sous elle, qui dépassait de son caleçon et frottait les superbes fesses de l'adolescente.

- Ne me touche pas, salope !

Je retirai ma main et me dirigeai vers Michael à quatre pattes, fesses en l'air, nichons pendouillant, frottant l'un contre l'autre à chaque pas.

- Très bien, dis-je, mais si tu veux faire tout ce que j'ai fait à ton copain, il va falloir t'accrocher... J'ai d'abord pris son beau sexe fin dans ma bouche. Sa pine est plus grosse que celle de ton frère, et bien plus nerveuse…

Je me plaçai derrière Michael, à genoux, mes seins contre son dos, et lui caressai les épaules, le torse et le bas-ventre, j'embrassai son dos et y frottai mon visage, mes seins, mon ventre. Sa main descendit discrètement vers ma chatte. Je me laissai faire.

La petite se retourna, s'agenouilla et attrapa la bite de Jean avec ses lèvres roses, enfonça le membre dans sa bouche et commença un mouvement de va-et-vient en poussant des petits gémissements de dégout. Ses lèvres s’écartaient en rythme, la langue apparaissant parfois, faisant le tour du gland gonflé. Les dents de perles de la gamine mordillaient de temps-à-autre la pine, Jean fermait les yeux, grimaçant quand elle le mordait de manière trop appuyée. Il attrapa la tête de Véronique entre ses mains et appuya sur sa nuque, forçant la jeune blonde à l’avaler tout entier. La petite lutta un moment, puis ouvrit sa gorge, happant la verge jusqu'à la garde, avant de la libérer, langue dehors, et de s'attarder sur le gland gonflé de plaisir. Jean ne la laissa pas respirer. Il lui baisa la gorge à plusieurs reprises, ne tenant pas compte des petits cris de panique de l’adolescente qui protestait en bavant sur la pine des flots de salive à chaque fois qu’il la libérait, avant de lui pénétrer la bouche, de la lui baiser en soufflant comme un bœuf. La petite se masturbait, pétrissant ses lèvres délicates, enfonçant ses doigts dans son jus intime, gémissant parfois de désespoir, parfois de plaisir.

Je pris le sexe de Michael entre mes doigts, quand elle se retourna pour me regarder, l'air vengeur, branlant la queue inondée de salive blanchâtre de Jean à pleines mains.

- Tu vois, me dit-elle d’un air moqueur, comme ton mec aime que je le suce, espèce de poufiasse !

- Oui, je dois dire que tu l’as sucé bien mieux que je n’ai sucé ton copain... Mais pour me rattraper, je lui ai demandé de me mettre sa petite queue dure bien au fond du vagin, mais avec douceur... je ne voulais pas qu’il éjacule en moi avant que je n’aie pris largement mon quota de coups de pine…

Jean, Véronique et Michael gémirent tous les trois, mais pas pour les mêmes raisons. Jean, parce que je me montrais parfaitement capable d’être la pute qu’il voulait que je devienne, mais pas avec lui. Véronique, parce qu’elle allait devoir offrir sa virginité à un homme qu’elle ne connaissait pas et n’aimait pas. Et Michael parce qu’il allait voir sa nana se faire déflorer par un inconnu sans pouvoir rien y faire.

L'adolescente se releva, se tourna vers moi, ses seins ronds pointant vers le ciel, comme deux seins de nonne.

- Si tu as bien baisé mon mec, ce n’est rien à côté de ce que va vivre le tien avec moi, sale pute. Regarde mon corps de déesse. Tous les hommes rêvent de me mettre dans leur lit depuis que mes seins ont poussé – et ton mari sera le premier à me baiser !

Elle enfourcha Jean et glissa la grosse bite dans sa fente bien humide. Je m'approchai à nouveau, tout près d'elle et dut admettre qu’elle ne se vantait pas : elle était vraiment taillée comme une déesse. Elle ferma les yeux, et guida la verge enduite de salive dans son abricot rasé.. J'en profitai pour ouvrir le verrou du mobil-home discrètement et la regarder perdre sa virginité. Un filet de sang abondant goutta sur le lino de Laetitia. Je souris intérieurement en imaginant Laëtitia en string rouge et seins nus frottant le sol souillé en pestant contre miss camping… Je lui avais pris l’innocence de son fils et de sa fille, ce qui valait toutes les vengeances du monde !

J’empaumai tendrement un des seins de la blondinette dans ma main, tâtant sa douce texture, sa fermeté et, sentant une chaleur curieuse dans mon bas-ventre, j'approchai mes lèvres des siennes. Elle accepta mon baiser en couinant. Jean la fourrageait avec douceur, ses mains la caressant partout, avec une préférence pour ses hanches fines et son cul magnifique. Il la soulevait, écartant la chatte rasée avec ses doigts, et s'enfonçait en elle, en un râle satisfait. Il la reluquait, les yeux sur son cul doré, sur son ventre plat, son sexe nu, ses épaules parfaites. Il l'embrassait dans le cou, et la respirait tout entière. Sa bite avait la taille et la force des bons jours, et la pénétrait avec ardeur.

Elle finit par repousser mon baiser, à regret.

- Ne me touche pas ! répéta-t-elle d’un ton incertain. tu es une pute et je vais faire hurler ton mari de plaisir !

Elle joignit le geste à la parole, sautant littéralement sur le membre excité, le montant comme un cheval au galop, en gémissant un peu plus fort chaque fois que Jean l’accompagnait de ses coups de reins de plus en plus fermes, de ses coups de bite de plus en plus violents, pénétrant la minette inexpérimentée le plus loin possible.

Michael se masturbait en nous regardant, l'air à la fois désolé et excité. Je revins vers lui, et guidai sa main libre vers mes seins généreux. J'attendis que l'adolescente me défie à nouveau du regard, empalée sur mon mari, sexe écartelé bien visible pour son petit copain, qui me touchait à nouveau le minou par derrière, discrètement, un doigt plongé dans mon vagin crémeux.

Elle cria :

- Le spectacle te plaît, espèce de trainée ?

- Plus que tu ne le crois, belle blondinette... mais pourras-tu aller jusqu’au bout ? Parce que j'ai aussi demandé a Michael de me sodomiser... J'ai eu trois ou quatre beaux mecs qui m'ont prise par derrière depuis que je suis miss camping, tu sais, on y trouve du plaisir quand la pine est bien dure. Il n’a pas résisté à ma demande, je dois dire, il m’a enfoncé sa trique dans le cul en pleurant de joie, le petit. Encore une virginité à perdre pour toi aujourd’hui…

L'adolescente pâlit. Jean aussi. Je l’avais rarement vu aussi choqué.

Véronique regarda Michael d’un air incrédule.

- Tu as fait ÇA !!!?

Le pauvre déglutit en hochant piteusement la tête. Je m'assis sur lui, plaçant son sexe sous moi, le frottant tendrement contre ma chatte toujours collante et humide. Il s'accrocha a mes seins généreux, tout honteux.

Véronique se souleva pour dégager la verge de Jean de son abricot rasé et la plaça à l'entrée de son beau cul bronzé.

- Eh bien s’il faut qu’il m’encule, il m’enculera !

Elle força l'anus à s'ouvrir, s'y reprenant à plusieurs fois, en haletant et couinant de douleur. Jean lui écartait les fesses pour l'aider, osant à peine respirer. Je lâchai la bite de Michael et me relevai lentement. Je m’approchai de la belle, et vins enduire de salive le petit trou étroit et la pine au garde-à-vous, en crachant sur le petit cul rond. La pastille céda d'un coup, la blondinette s'empala en hurlant, visage et tétons pointant vers le ciel, implorants.

Elle entama son va-et-vient douloureux, bras à mi-chemin entre le ciel et la terre, yeux fermés. Je l'embrassai langoureusement, elle me rendit mon baiser sauvagement.

- C’est ça, embrasse-moi, petite fille, mange ma langue et mes lèvres pendant que tu te fais prendre, ça va t’aider…

Je caressai sa chatte toute ouverte, m'attardant sur son clitoris dressé tout en l'embrassant goulûment. Cette petite blondinette allumait un feu en moi qui n'avait plus rien à voir avec ma vengeance sur Laetitia. Jean se cambra, pour l'enculer plus profond, tandis qu'elle hésitait entre la fuite et le besoin de sentir la trique se frayer un chemin dans ses boyaux vierges.

- Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te goûter, moi aussi…

Je m'agenouillai et commençai à la lécher, profitant de chaque coup de langue pour admirer ses lèvres écartées au goût de pêche et observer la bite qui l'empalait, sans concession, dans des mouvements de plus en plus durs, au fur et à mesure que l'excitation de Jean montait. Je sentis Michael venir derrière moi et glisser sa verge molle dans mon fruit intime. Je l'aidai, avec douceur, et fermai les yeux, savourant le bonheur de l'instant. Je n'avais jamais sucé de femme de ma vie, ni ressenti une telle attirance. Chacun de mes coups de langue sur le clitoris délicat, sur les petites lèvres trempées, sur le périnée déchiré par le chibre avide qui pénétrait les entrailles de l'adolescente, des éclairs et des vagues de cyprine me chatouillaient la chatte, dans laquelle Michael s'affairait, accélérant le rythme en matant sa petite copine se faire sodomiser. Véronique se tenait les seins, me caressait les cheveux en alternant les "oui, oui" et les "non, non", elle secouait la tête, gémissait, me prenait dans ses bras, m'embrassait le cou, les lèvres, la langue. Je mis mes doigts dans son bel abricot ouvert et la suçai encore et encore, la sentant s’abandonner enfin.

Tout arriva très vite.

La porte s'ouvrir d'un coup, Laetitia entra en hurlant.

- Que faites-vous ICI !?

Véronique dégagea la bite de Jean de son cul, Jean commença a éjaculer, je l'attrapai entre mes dents et lui mordit très fort le bout de son gland tandis qu’il venait dans ma bouche en criant de douleur .

- Maman ?

Véronique, chatte écartée, cul dégoulinant de sperme, avait un regard horrifié.

Michael enfonça sa pine en moi, grappillant sa dernière chance de venir avant la tempête, et jouit en saccades brûlantes...

 

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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 23:01

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Parfois, il en faut peu pour fouetter l'imagination: un joli minoi, une tenue d'écolière, . . . et un superbe fessier légérement découvert et invitant l'esprit à tous les vagabondages!

 

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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 22:54

 

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Une illustration de Karla qui se passe de commentaire! Elle illustre le titre de l'ouvrage à la perfection!

Une seule remarque: qui n'aimerait pas être à la place du barman?

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Dimanche 26 février 7 26 /02 /Fév 23:15

Chapitre 11 : les cloches sonnent


«Ah ha! Je savais qu'ils étaient ici!!"


Dans ma collection de clips et de colliers, j'ai choisi deux belles pinces «papillon» en métal, assez fermes et lourdes.


Je me suis assis dans mon fauteuil et fit signe à Sarah de venir vers moi. J'ai l’ai placée entre mes jambes écartées, en face de moi, afin que ses seins pendent comme des gros fruits murs merveilleux devant mes yeux avides. J'ai tenu les colliers de serrage dissimulés dans une main et avec l'autre, j’ai caressé et massé les superbes masses de chairs. Sarah était horrifiée et bien sûr pleurait à chaudes larmes.


Je tournais ses mamelons en tous sens, émerveillée par leur taille et fermeté. Ils en devenaient encore plus grands et plus ferme.


«J'espère que tu n’es pas encore en train de t-abandonner à tes instincts Sarah! », dis-je en plaquant ma main entre son entre-jambe afin de palper sa chatte. Elle était légèrement humide, mais cela aurait pu être simplement provoqué par l'effort. Je lui ai donné le bénéfice du doute.



Brandissant les pinces devant les yeux de Sarah, j'ai dit: "Je vais les fixer à tes mamelons, Sarah. (Elle avait les yeux creusés.) Cela va être un peu inconfortable, mais dois-je te rappeler l'importance de l'obéissance ? Je ne veux pas de résistance et aucune lutte, ou tu sera encore plus désolée de ce qui va s'en suivre! ».

 

Avec ma main droite, j'ai légèrement pressé le sein gauche de Sarah, juste derrière le mamelon, ce qui fit pointer le délectable morceau encore plus fortement, et puis j'ai fixé avec soin la pince. Dès que la pince mordit la chair fragile, Sarah hurla et fit un bond en arrière, comme pour me fuir.


« Owww! Owww! Oh! Ça fait mal! Oh, oh!! »

« Tais-toi, Sarah! Et reviens à ta place! »

Elle obéit, mais elle ne put retenir une série continue de cris étouffés.

«Non, non! S'il vous plaît, oh s'il vous plaît!", a t-elle a plaidé, comme elle me voyait préparer la répétition de l'opération avec l’autre mamelon.

Je restai bien entendu sourde à la supplique.

"Ahh! Owww! Oh, ça fait trop mal! Oh!"

J'ai glissé de ma chaise et me suis levée, laissant Sarah se concentrer sur sa nouvelle douleur. Je
allée vers un autre tiroir et ai récupéré deux cloches en laiton d’environ 500 grammes chacune. Ce n’était pas un poids terriblement lourd pour tenir dans une main, mais je soupçonnais que Sarah allait trouver leur poids tout à fait suffisant lorsqu’ils allaient se retrouver suspendus à ses mamelons.

 

Les cloches se suspendaient aux pinces par un crochet. J'ai fixé les 2 poids en les maintenant afin qu’ils ne tirent pas de suite sur les seins.


Les yeux de Sarah étaient fermés et elle ne vit donc pas la manœuvre.


Je laissais ensuite lentement descendre les cloches et les lâchaient.


Libérées, les cloches tintèrent joyeusement.

La réponse de Sarah fût homérique.

«Ahhhhhhh! Owwwww! Oh! Oh, oh! Je ne peux pas le supporter! Ooooh!".

 

Elle hurla et son visage devint rouge et déformé par la douleur. Apparemment, ses fesses en feu étaient définitivement passées au second plan de ses préoccupations!

 

En hurlant, Sarah se débattit et découvrit que cela ne faisait qu’accentuer sa douleur. Elle essaya donc de rester immobile.


J'ai noté que les mamelons étaient désormais étendu à environ deux fois leur longueur normale,
qui était déjà impressionnante. Sarah était sexy en diable !


Encore une fois je me suis levée et je repris la direction de mon tiroir à trésor pendant que Sarah continuait de crier et sangloter. J'ai récupéré 2 nouvelles pinceset 2 nouvelles cloches identiques aux précédentes et me dirigeais vers ma jeune victime en prenant soin de faire taire les cloches.


Les yeux à nouveau fermés, Sarah gémissait de douleur et ne me remarqua pas avancer un tabouret derrière elle. Elle frissonne un peu lorsqu’elle a senti ma main chaude caresser sa cuisse molle, mais les cloches qui tiraient sur ses mamelons douloureux l'ont empêchée de faire toute tentative d'évasion ou de défendre sa personne.

Je me suis donné quelques instants pour profiter de la vue qui s’offrait à moi. Les fesses de Sarah s’exposaient sans pudeur devant mes yeux : à l’origine bien blanches, elles étaient maintenant écarlates et rayées de marques rouges et violacées. Sa chatte dodue apparaissait encore rouge et gonflée et son petit trou du cul était toujours plus mignon et rose que jamais.

Les cris de Sarah diminuaient progressivement et j’ai glissé ma main jusqu'à son entre-cuisse et soigneusement saisit une de ses grandes lèvres.

"Ohhh . . . qu’est-ce que vous ...?", s’exclama Sarah d'une voix tremblante.

Pour toute réponse, j'ai rapidement fixé l’une des pinces à sa grande lèvre et suspendu une cloche qui se mit à tinter..

"Owwwww! Ohhhhhh! Non! Pas ça! Pas là! Aïe! Enlevez-là! Aïe! S'il vous plaît, Pitié! ".

Pauvre fille! Elle avait une idée de ce qui allait arriver, mais ne pouvait pas bouger pour échapper sans causer à ses mamelons une douleur encore plus forte.

J’ai alors attaché l'autre pince et la 2ème cloche. Les grandes lèvres étaient étirées à l’extrême et ressemblaient maintenant plus à 2 grandes babines bien roses!


La jeune fille s'est laissée aller à un gémissement rauque, un gémissement de souffrance extrême.

 

"Arrrrrghhh! . . .Ohhhhharrrrgghhh!

En dépit de sa tentative de rester immobile, elle tremblait de douleur tandis que les cloches, à la fois devant et derrière, se balançait légèrement et tintaient doucement. Peu à peu, ses plaintes se sont apaisées jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu’une sorte de halètement douloureux.

Pour m’amuser, je projetai une des cloches suspendues à sa chatte sur la seconde. Cela provoqua un tintement joyeux et une série de hurlements désespérés. La cloche est entrée en collision avec sa partenaire et toutes deux se balançaient d'avant en arrière, provoquant la distension des grandes lèvres vaginales. Tout ce que Sarah put faire, c'est de gémir et pleurer tout en restant à attendre que le mouvement douloureux s’arrête de lui-même.

Je me suis levée, ramassa la canne, et dit: «Eh bien, Sarah, il est temps de reprendre ta progression. Tu n’avais plus que 2 circuits à effectuer et ta bastonnade sera finie. "

« Ohhh! J . . . J. . . je ne peux plus bouger ... s'il vous plaît, Madame La directrice! Ah! Ohhh! »

« Tu ferais mieux de te remettre en piste ma chérie, sauf si tu veux entendre tes jolies clochettes sonner bien entendu ! »

« S'il vous plaît, s'il vous plaît ... pl ... ça fait mal ... je serai ... sage ... Ah! Ohhh! »

Et la pauvre fille a commencé à se déplacer lentement par petit pas. Elle a réussi à être très prudente, de sorte que, tandis que les cloches ne balançaient un peu, elles sonnaient à peine. Néanmoins, il était évident que le moindre mouvement était douloureux.

«Viens, ma fille, nous n'avons pas toute la journée, tu sais. C’est bien . . . mets toi dans la bonne direction maintenant ».


Vlan!

 

La canne a repris ses travaux, entrant en collision avec le derrière déjà meurtri de la belle.

Sarah a crié, à la fois de la douleur du coup de canne et de la réaction inévitable de ses colifichets.

Vlan! Vlan!

 

J'ai décochais deux traits en diagonale. Cette fois, elle sauta presque, et les cloches rebondirent joyeusement. Ses cris et ses hurlements étaient impressionnants.

"Tu ferais mieux de bouger, Sarah, parce que cette bastonnade se poursuivra jusqu'à ce que tu ai terminé tes tours. "

Vlan! Vlan!

 

Cette fois, j'ai visité les parties supérieures des fesses bien bombées et Sarah est presque tombée. Le résultat pour sa chatte et ses mamelons devait être assez douloureux ! Les cloches sonnaient fort. !

Sarah réalisa qu’elle avait tout intérêt à commencer à bouger. Elle a commencé à se dandiner, un pas devant l’autre, en essayant de son mieux d’éviter des dommages supplémentaires à ses parties sensibles. Cependant rien de ce qu'elle pouvait faire ne pouvait m’empêcher de la flageller et de faire tinter ses grelots ! Comment la petite a crié et pleuré! Je fis une pause, rien que pour le plaisir de profiter de la vue de la jeune fille en pleurs.

Je repris ensuite la punition en visant l’intérieur fragile des cuisses. Sarah a commencé à se déplacer plus rapidement, en essayant d'éviter les coups, en faisant tinter les cloches à tout va.

Vlan! Vlan! Vlan! Vlan!

 

La pauvre fille était désespérée.

 

Elle augmenta sa vitesse, jusqu'à se déplacer environ au quart de sa vitesse de pointe précédent. Ses seins rebondissaient et dansaient, en jetant les cloches en tous sens qui entraient en collision les unes avec les autres.

Le cul de Sarah était un pudding flamboyant de couleur prune.

 

Il ne restait plus à l’adolescente qu’un tour et demie à effectuer.


Vlan! Vlan! Et une ligne rouge vif apparut sur chaque sein, pour changer.


Sarah fut tellement choquée qu'elle ne cria pas.


Vlan! Vlan! Une de plus sur chaque sein.


"Ahhhhh! Hooooo! Ahhhh! Sarah réalisa rapidement son erreur et me tourna de nouveau le dos, continuant sa quête, se dandinant à pleine vitesse, ses fesses recevant de nouveau coups après coups meurtriers. Enfin, Sarah termina sa course autour de la pièce. J'ai arrêté la canne, mais elle continuait de se dandiner en criant et faisant tinter ses bijoux. C'était très distrayant, je dois dire.

«Sarah, ma chérie, vous pouvez désormais arrêter."  

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 21:32

Chapitre 7: Dans les vestiaires filles

 

Le réveil résonna dans sa tête. Il était l’heure de se lever. Laure émergea sans joie d’un sommeil sans rêve. Elle se souvint du jour de la semaine et son cœur se serra. Le vendredi était arrivé. En fin de matinée aurait lieu le prochain cours de gym. Le premier depuis qu’Orane l’eut surprise dans les vestiaires, il y’a de cela quinze jours maintenant. L’incroyable soulagement éprouvé lorsqu’elle avait appris que le cours de la semaine dernière était annulé s’était complètement estompé. Mme Jacquet, sa professeur d’EPS était rétablie de sa grippe, et à présent aucune échappatoire n’était possible. Elle allait devoir exhiber face à toute la classe son sexe rasé.

La veille au soir, Orane lui avait téléphoné. Laure, effondrée, avait tenté sans grande conviction d’infléchir la volonté de sa maîtresse, en lui demandant si elle pouvait se faire désormais porter malade pour les cours d’éducation physique.

Mais la réponse l’avait immédiatement remise en place :

- Pour qui tu te prends, petite chienne ? Tu crois être en position de négocier ?

Elle n’avait pas oublié les paroles de la perverse asiatique.

- Il faut te rendre à l’évidence : c’est demain que ta nouvelle condition éclatera aux yeux de tous, et je compte sur toi pour être à la hauteur. Tu n’as pas intérêt à te dérober. Essaie de cacher le moindre détail, et j’exhibe les photos que tu connais.

Laure ne put s’empêcher de balbutier bêtement :

- Mais comment je vais expliquer ça quand les autres filles me le demanderont ?

Orane éclata de rire.

- Tu tiens à raconter que c’est moi qui t’ai épilée dans le cadre de ton dressage ?

Laure rougit à cette seule évocation :

- Non, avait-elle humblement répondu, je ne préfère pas, si vous m’en laissez le choix.

Orane avait répliqué, avec une pointe d’impatience qui fit frissonner son esclave:

- Alors t’as qu’à leur raconter que tu as fait ça pour exciter les mecs.

Les larmes vinrent aux yeux de Laure quand elle s’entendit protester :

- Mais… tout le monde sait qu’en ce moment, je n’ai pas de petit copain.

La réponse fut un aboiement exaspéré :

- Mais qu’est-ce que tu peux être gourde, c’est pas croyable ! Incapable d’inventer le moindre mensonge ! Et puis qu’est-ce que tu veux que ça me foute, c’est ton problème après tout. Enfin… puisqu’il faut tout te dire… tu expliqueras que t’as perdu au strip-poker contre des copines et que comme gage t’as dû te laisser raser la foufoune.

Laure sursauta à cette évocation : c’était plus humiliant que tout ! Elle voulut demander à Orane de revenir à sa première option, mais les mots se bloquèrent dans sa gorge lorsqu’elle entendit sa maîtresse lui lancer :

- Ce week-end, je vais te donner cinquante coups sur tes grosses fesses, ça t’apprendra à faire ta mijaurée et à importuner ta maîtresse pour des détails.

Toute velléité de résistance quitta Laure, qui, se souvenant de son statut et de son contrat, répondit doucement :

- Merci de veiller à mon éducation, Mademoiselle.

Elle entendit Orane ricaner, ce qui la soulagea. C’était le signe que sa Maîtresse était satisfaite et ne chercherait pas dans l’immédiat à majorer sa sanction. Puis cette dernière ajouta :

- Dès demain matin, tu amèneras toi-même l’instrument qui me permettra de marquer ton cul. Et tu n’as pas intérêt à te foutre de moi : si j’estime que tu n’as pas choisi quelque chose d’assez cinglant, je t’envoie cul nu dans un sex-shop pour acheter un martinet.

Laure répondit, comme mue par un automatisme :

- Bien Maîtresse.

Orane poursuivit sur sa lancée :

- Je te conseille de t’épiler convenablement pour demain. Que je voie un seul de tes poils de cul dans le vestiaire, et je garantis que tu le regretteras. Au fait, pour l’occasion, tu enfileras l’une de tes grosses culottes de coton, tu sais, les blanches à pois roses, ça coïncidera mieux avec ton sexe de petite fille.
Laure subit une nouvelle bouffée de honte. Orane, qui avait intégralement fouillé sa lingerie, était tombée sur deux de ses vieux slips de gamine qui traînaient au fond de son armoire depuis plusieurs années, et qu’elle avait oublié depuis. A cette découverte, l’Asiatique avait longuement plaisanté les goûts vestimentaires de son esclave, avant d’ordonner : « Ne les jette pas, garde-les. Tu les mettras quand je te le demanderai, ça me fera trop marrer de te voir te dandiner comme une gourde avec ces grosses culottes. » A présent, il allait falloir en porter une devant toutes les filles de la classe avant de leur montrer son sexe glabre ! Laure en fut d’autant plus bouleversée que, vis-à-vis de ses camarades, elle s’efforçait toujours de soigner sa lingerie.

Pour clore la communication, Orane avait ajouté :

- Pas de soutien-gorge non plus ça complètera ton portrait de petite fille, je veux voir tes grosses loches partir dans tous les sens pendant tout le cours de gym, pour que ça attire l’attention sur toi. Et estime-toi heureuse que je ne te fasse porter aucune inscription sur ton cul, ton sexe ou tes pis de vache.
Laure remercia et raccrocha. Elle espérait au fond d’elle que la nuit lui porterait conseil.

Mais à présent le matin était venu sans qu’elle ait trouvé la moindre échappatoire. Elle se disait que le seul moyen de se soustraire à l’emprise d’Orane serait de fuir la ville, mais elle n’avait nul endroit où aller, et ne se sentait pas non plus le tempérament d’une fugueuse. De plus, elle tenait à obtenir son bac, ce qui ne serait pas possible si elle quittait brusquement son lycée. Enfin, elle se voyait mal expliquer la situation à ses parents ou à ses amies. Si Orane apprenait sa délation, ou constatait son départ, elle distribuerait à tout l’établissement ces photos si compromettantes. Laure n’oserait plus jamais revenir dans la région, et elle manquait de perspective, d’imagination, pour projeter de mener sa vie ailleurs. Sa jeunesse dorée ne l’avait jamais préparé à cela. Le pis-aller était d’attendre patiemment l’échéance du bac.
Elle avait toutefois puisé suffisamment de courage au fond elle pour tenter une dernière fois de convaincre Orane de la laisser proposer l’explication de son choix quant à son épilation. Elle voulait s’inventer un mystérieux petit ami, et laisser les filles croire qu’elle avait cela pour lui, par amour. C’était à ses yeux la meilleure option. Cela n’empêcherait pas les ragots de circuler, mais la plupart de ses camarades étaient d’incurables romantiques convaincues que l’on pouvait tout faire pour l’ « Homme de sa vie »… Oui, c’était indéniablement la solution la moins catastrophique pour son image.

Mais il restait à convaincre sa tyrannique maîtresse. Pour cela, elle avait longuement répété dans sa tête le petit speech qu’elle lui récita à la grille du lycée, avant le début des cours :

- Bonjour Mademoiselle, je vous ai apporté la… cravache que j’utilise pour l’équitation. La minable traînée que je suis espère que cela vous conviendra pour marquer mon gros cul. Je… Je vous suis très reconnaissante po… pour ces cinquante coups… qui m’aideront à être une chienne plus dévouée pour sa Maîtresse.

Malgré sa détermination, Laure ne put empêcher sa voix de trembler. Elle savait que la morsure de la cravache était particulièrement douloureuse. Elle craignait de ne pas pouvoir en supporter autant. Orane sentit ce trouble chez la jeune fille.

Elle comprit rapidement que si cette petite garce cherchait si vilement à lui plaire, c’est qu’elle avait quelque chose à lui demander. En souriant, elle demanda à Laure d’ouvrir son cartable et de lui monter l’instrument :

- Bien, cela va te faire très mal, tu t’en doutes… Et qu’oses tu espérer en retour, pauvre petite pute ?

Laure fut déstabilisée en un clin d’œil d’être aussi transparente devant la belle Asiatique. Elle ne put que bredouiller piteusement sa requête, les larmes aux yeux, en suppliant :

- Je vous en supplie, Mademoiselle, s’il vous plait, je serai sage, je vous le jure, je serai une gentille chienne…

Laure entendit ces mots comme quelqu’un d’autre les prononçait. Les yeux baissés, elle entrevit le sourire moqueur d’Orane.

- Soit, lui annonça-t-elle à sa grande surprise, je suis de bonne humeur ce matin. Tu pourras t’expliquer à ta guise.

- Oh, merci ! Merci, Mademoiselle

- Mais de rien, Laure, tu auras l’occasion de me remercier de ma bonté après le cours d’EPS. En nettoyant mes baskets. Avec ta langue, bien sur, paillasson !

- Je… Oui, Mademoiselle, ce seras fait… Avec plaisir. Merci.

Laure garda la tête basse tandis qu’Orane s’en allait rejoindre le cours de Philo.

Elle était loin d’être soulagée, la facilité avec laquelle Orane avait cédé l’inquiétait. Elle se rendit en classe lentement, se demandant quel coup tordu lui réservait sa perfide « camarade de classe ».

La jolie lycéenne eu beau avoir toute la journée pour s’y préparer, le cours de gym de dernière heure fut encore pire ce qu’elle attendait. Le temps s’était radouci, et toutes les filles de sa classe s’étaient mises en tee-shirt. Orane l’avait encouragée d’un regard noir à faire de même, et on pouvait deviner l’auréole sombre des tétons à travers son fin maillot blanc. Comble de malheur, Mme Jacquet avait prévu pour exercice une séance de stepping, et chaque mouvement faisait bouger outrageusement sa lourde poitrine libre. Tous le monde se rendit ainsi compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle surprit quelques garçons échanger des commentaires en ricanant à voix basse. La lycéenne ressentait une douleur lancinante au niveau de ses épaules et de seins malmenés par ce traitement. Orane s’était placée à ses côtes, et l’encourageait discrètement à ne pas mollir : « Allez, gosse vache, du nerf ! Suis bien le rythme, n’ais pas peur d’agiter tes mamelles. »

A la pause, la jeune fille était écarlate, autant à cause de l’effort que de la honte qui la submergeait. C’était la première qu’elle connaissait une telle humiliation en public. Elle avait le sentiment d’avoir été exposé comme une bête de foire. Lorsque sa professeur d’EP la prit un instant à l’écart durant la pause pour gentiment lui conseiller d’adopter pour la gym des sous-vêtements de maintien adaptés, la ravissante déléguée souhaita disparaître dans un trou de souris. Elle ne put qu’opiner, la tête rentrée dans les épaules. Mme Jacquet lui fit un petit sourire, étonnée de la voir ainsi et la changea d’activité sportive pour le reste de l’heure. Pour ses professeurs, elle gardait l’image d’une fille de bonne famille hautaine et un peu prétentieuse qui ne pouvait s’empêcher de critiquer ses enseignants à chaque conseil de classe. Laure fut sincèrement reconnaissante de la compréhension dont semblait malgré tout faire preuve sa prof, mais cela ne lui laissait qu’un répit avant le pire. Et lorsque la cloche sonna, Laure se dirigea vers les douches avec le sentiment d’aller à son propre enterrement.
Les vestiaires étaient une pièce carrée dont trois des murs étaient occupées par des bancs et des portes-manteaux. Laure se dirigea vers une place libre, à l’opposée de la salle des douches. Le front empourpré, elle se mit face au mur et commença à retirer son tee-shirt. L’adolescente pouvait sentir les regards braqués dans son dos. Au milieu des brouhahas des conservations, elle perçut distinctement un bref raclement de gorge. Orane la rappelait à l’ordre, et lentement son esclave se tourna face à ses camarades de classe. L’Asiatique jubilait de voir sa rivale de toujours aussi désemparée, froissant nerveusement son maillot en tentant d’éviter les regards des autres filles. C’était encore mieux que dans ses rêves les plus fous. Bien sur toutes les filles mourrait d’envie de savoir pourquoi leur déléguée n’avait même plus un soutien gorge à se mettre pour le sport, mais personne ne faisait encore la moindre remarque. Laure était encore connue pour avoir la répartie facile, et il ne valait mieux pas se la mettre à dos si l’on espérait encore être invité à une fête lycéenne. Mais même les membres les plus fervents de sa petite cours d’autrefois, comme Nathalie ou Ludivine semblait se poser des questions. Toutefois, lorsque Laure enleva son short et qu’elles aperçurent cette fille toujours si élégante boudinée dans une culotte blanche à pois rose visiblement destiné à une enfant, ce fut trop. Ce fut d’abord quelques timides ricanements, mais bientôt toutes les occupantes du vestiaire se mirent à rire franchement. Claire, une jeune rouquine constellée de taches de rousseur lui demanda si sa garde-robe avait flambé. Laure ne sut que répondre, elle semblait avoir perdu tous ses moyens. A présent, les jeunes filles s’étaient toute dévêtue et se dirigeaient vers les douches. Orane lui assena le coup de grâce :

- Et tu comptes le garder pour te laver, ça fait aussi maillot de bain ?

Les lycéennes se remirent à rire, et tous les regards se braquèrent vers elle. En retenant ses larmes, Laure se tortilla pour retirer sa ridicule petite culotte. Comme Orane lui avait ordonné, elle ne fit pas un geste pour se dissimuler. Et l’hilarité générale repris de plus belle.

- A mon avis, il n’y a pas que sa garde robe qui a flambé, se moqua Samia.

- Tu m’étonnes, reprit une autre fille, elle en a même perdu tous ses poils dans l’incendie !

- Je comprends mieux la culotte de petite fille, maintenant reprit Claire.

- Non, sérieusement, pourquoi tu as fais ça ? questionna Nathalie, un peu gênée de voir cette fille qu’elle admirait ouvertement en si mauvaise posture.

Laure prit sur elle pour sortir son boniment d’une voix claire et ferme. Orane la laissait dire en silence, et Laure, mise en confiance, broda à l’envie sur un nouveau petit ami tellement beau, attachant et sensible qu’elle n’avait pu refuser ce « petit plaisir » au « nouvel amour de sa vie ». Au fur et à mesure de ses enjolivements, la jolie déléguée reprit confiance et retrouva ses attitudes d’autrefois. A force d’arguties et de jolies tournures, elle se sentait presque capable de retourner la situation, et en effet, ses camarades avaient fini de plaisanter à son sujet, et Laure retrouvait même dans certains regards une lueur de compréhension, et même d’envie pour cette « si jolie romance ».

- Mais au fait, demanda soudain Samia, qui est cette perle qui mérite tant de sacrifice ?

Aïe, Laure n’avait pas prévu ça. Elle chercha à toute vitesse un nom quelconque, mais Orane lui coupa l’herbe sous le pied.

- Moi je sais, dis la jeune asiatique jusque là silencieuse, c’est Richard Thomas!Je les ai surpris ensemble il y’a 15 jours, ici même.

Laure comprit en une fraction qu’Orane l’avait joliment piégé. Richard est un gros garçon boutonneux, si laid et si bête qu’il était la honte du lycée (et probablement aussi de sa famille). Il était devenu une telle tête de turc pour les autres élèves que ses parents avaient été obligés de le changer d’établissement en cours d’année. Les réactions ne firent évidemment pas attendre :

- Quoi ! Ce gros porc abject ! tu te moques de nous, Orane, fit Claire, visiblement sidérée

- Oui, allez Laure, dis-nous la vérité, reprirent Ludivine et Nathalie en chœur.

- N’est ce pas la vérité, Laure ? Vas tu me traiter de menteuse ? la défia l’Asiatique, prenant à parti toutes les autres filles.

Laure était tétanisée, incapable de dire un mot. Elle comprit en un éclair à quel point Orane l’avait bernée. Déjà, elle voyait sa rivale faire un pas vers son sac, d’où dépassaient les coins d’une large enveloppe kraft. Les photos. Si elle démentait, Orane n’hésiterait pas un instant à les montrer.

- Je… Non… Heu, je veux dire… Si, c’est… C’est vrai lâcha-t-elle tristement. »

C’était un cauchemar pour la jolie étudiante. Il était de notoriété publique que même si Richard Thomas était le dernier homme sur Terre, toutes les filles du Lycée préfèrerait devenir gay et laisser l’espèce humaine s’éteindre plutôt que de coucher avec lui. Elle-même avait beaucoup fait voir à ce pauvre garçon. Et maintenant, toutes les filles de sa classe pensaient qu’elle trouvait cette larve obèse « irrésistible », et était même aller jusqu’à se raser la chatte pour mieux l’exciter. D’après ses propres paroles. Elle comprenait mieux maintenant pourquoi Orane l’avait laissé sortir son beau baratin romantique. Comme une chasseuse cruelle, elle lui avait laissé entrevoir une porte de sortie avant de l’exécuter froidement. Du grand art.

- J’en reviens pas ! s’esclaffa Claire, c’est lui ton « prince au regard renversant », un type qui porte des lunettes double foyers.

- Incroyable, fit Nathalie avec une moue dégoûtée, tu es amoureuse du gros porc!

- Après tout ce que tu lui as fait endurer, c’est dingue ! reprit Ludivine

- Comme quoi, l’amour, la haine, c’est du pareil au même, ria une autre fille

- Qui se ressemble finit par s’assembler ! Ou l’inverse, je ne sais plus.

Les filles rirent tellement fort que Mme Jacquet passa la tête par la porte afin de leur demander de se calmer. Elle ne remarqua pas Laure, mais les rires reprirent du coup de plus belle. La professeur secoua la tête, résignée, avant de les laisser seules à nouveau. Maintenant, presque toutes les filles l’entouraient, se moquait d’elle. Nue, rasée, l’adolescente ne se sentait que plus vulnérable à leurs plaisanteries. Sa situation empirait à telle vitesse qu’elle se demanda si elle n’aurait pas mieux fait de laisser Orane montrer les photos, et de s’enfuir d’ici à toutes jambes. Mais encore une fois, elle s’était laissé porter par les évènements, et se maudissait de son manque de réactivité. Et lorsque Samia reprit la parole, elle sentit que les choses allaient encore empirer. La beurette avait un caractère farouchement indépendant, et avais toujours vu d’un mauvais œil le côté « reine du bal » de la déléguée.

- Moi je me souviens d’une fois où Laure nous avait proposé à Claire et à moi de rigoler un peu avec le gros porc…

- Oui, reprit Claire, je me rappelle. On l’avait coincé en salle de sciences, et Laure l’avait faussement accusé de lui avoir mis une main aux fesses et menacer de le dénoncer aux autres garçons.

- Qui l’aurait sûrement massacré, ce pauvre gros.

- Eh ! bien, il faut croire que maintenant elle aime ça, se faire peloter par Richard, se moqua l’Asiatique

- Oui, faut croire ! reprirent les autres. En attendant, le gros avait paniqué, et était prêt à tout pour éviter la correction. Alors Laure lui a fait faire le tour de la pièce, à quatre pattes, en grognant comme un porc. Couik, Couik ! C’était tordant.

- Incroyable, alors comme ça Laure, tu lui as fait du chantage, toi, ironisa Orane en la fixant dans les yeux. Laure ne put que baisser encore plus la tête.

- Ouais, acquiescèrent les lycéennes, c’est vraiment ignoble de faire ça à quelqu’un. Même si c’est Richard Thomas

- En tout cas, maintenant, le gros porc a trouvé une amoureuse, reprit Samia. Au fait, Laure, la fiancée du cochon, c’est pas la truie ?

Ce fut le déluge, toutes les filles riaient, l’appelait « Laure, la truie » en imitant le cri de l’animal. Samia et Claire se firent un clin d’œil, et l’empoignèrent avant le pousser dans les douches : « Allez, la truie ! C’est l’heure du bain. » Ainsi, bousculée, Laure tomba au sol. Deux de ses camarades la maintinrent à genoux en lui appuyant sur les épaules.

- A ton tour de faire la cochonne, reprit méchamment Samia. Comme ton petit ami avant, ça me paraît normal, non ? Qu’est ce que vous en penser, vous autres ?

Toutes les filles acquiescèrent en riant. Laure commença à prendre peur. Les dernières révélations de Samia avaient définitivement retourné l’ensemble des filles contre elles. Déjà fusaient les insultes et les exhortations à obéir. La pauvre Laure craignait sincèrement qu’elles ne finissent par en venir aux mains. Elle n’arrivait plus à penser tant cela lui paraissait irréel. Comment toutes ses soi-disant copines pouvait-elles lui faire ça ? Comment avait-elle pu être déchu si vite ? Paniquée, elle ne voyait aucune issu, a part se plier à leurs exigences avant qu’elles ne lui fassent vraiment mal. Alors elle s’appuya sur les mains et commença à avancer autour des douches. Un coup lui cingla les fesses : une des filles avait roulé sa serviette de bain pour la fouetter. « En couinant, la truie ! » De surprise, Laure lança un petit cri perçant qui provoqua un enthousiasme général. Les filles formèrent une haie autour de son parcours, et chacune lui gifla les fesses d’un coup de serviette à son passage. Laure se pressait à 4 pattes pour éviter les coups, et au fur et à mesure que ses fesses lui cuisaient, elle couinait de plus en plus fort. Ses « Hoink ! hoink ! » stridents se perdaient au milieu des cris et des rires.

Ses camarades de classe finirent par l’abandonner en larmes dans un coin des douches. Nathalie fut une des dernières à la quitter, la toisant de façon méprisante :

- Vraiment, je ne comprends pas comment on a pu traîner avec toi. Tu peux oublier mon numéro de téléphone, tu es vraiment trop nulle, en fait.

Laure resta recroquevillée sur elle-même pendant que les adolescentes se lavaient et s’habillaient, quittant peu à peu le gymnase. Elle continua de pleurer ainsi durant un long moment. Elle entendit soudain un bruit qui la fit se redresser. Orane la contemplait en silence, appuyer désinvoltement contre l’encadrure de la porte.

- Elles sont toutes parties, si c’est ce que tu attendais, dit finalement l’Asiatique.

- Qu’est ce que tu veux encore ! lui cria Laure, laissant enfin exploser sa colère. Tu peux être contente, dès demain, tous le lycée sera au courant de ce qui vient de se passer. Ma vie va être un enfer ! Tu peux montrer les photos, si tu veux, je ne t’obéirais plus ! De toute façon, je ne vois comment cela pourrait pire, après


Pendant que Laure se libérait de sa colère et sa frustration, Orane s’approcha d’elle en la fixant des yeux, sans un mot. Lorsqu’elle fut tout près de Laure, celle-ci fit un geste pour le repousser. L’Asiatique s’empara de ses poignets et plaqua vivement sa bouche contre la sienne. En sentant la langue chaude et fine d’Orane envahir sa bouche, Laure se débattit plus férocement. Mais malgré son corps gracile, l’Asiatique était vive et énergique. Sans cesser de l’embrasser, elle réussit à immobiliser les bras de Laure dans son dos. Laure lui donna alors quelque coup de pieds, et réussit à la faire trébucher. Orane s’agrippa alors plus fortement à elle, et l’entraîna dans sa chute. Plaquée au sol, Laure ne put de nouveau empêcher Orane de l’embrasser. Imperceptiblement, elle cessa peu à peu de se rebiffer. Malgré elle, son corps réagissait à se baiser passionné. Orane relâcha son étreinte pour caresser le bas de son dos. Elle continua de picorer de baiser son visage, et lui caressa tendrement les seins. La jolie déléguée ne luttait plus, au contraire, son corps allait au devant des gestes doux de l’Asiatique. Elle sentit son ventre s’allumer d’un coup, se libérant brutalement l’excitation accumulée dans la journée. Orane lui murmura quelques mots à l’oreille :

- Tu n’as pas encore compris, n’est ce pas ? Ce n’est pas à cause des photos que tu m’obéis. Ce n’était qu’un prétexte pour libérer ce que tu cachais au fond de toi. Ce que tu avais si peur de t’avouer à toi-même que tu t’es protéger derrière un vernis de suffisance de prétention. Ce besoin de te sentir dominée, asservie, esclave…

Laure essaya de protester, mais elle put lâcher qu’un long soupir de plaisir.

- J’aime te sentir comme ça, ajouta Orane, complètement fragile, complètement abandonnée

Jamais Orane ne lui avait parlé d’une voix si chaude et douce. Encore sous le choc de ce qui venait de se passer, elle avait désespérément besoin de tendresse et d’affection. Et que ce doux réconfort vienne précisément de la personne responsable de ces tourments la troublait encore davantage. Oui, sa rivale avait raison. Malgré tout ce qu’elle pouvait dire, les épreuves de cette journée l’avaient terriblement excitée.

La tête d’Orane se glissa lentement entre ses cuisses, sans cesser de l’embrasser. Le simple fait de sentir la pointe de la langue de l’Asiatique se poser sur son clitoris déclencha en elle un orgasme violent. Orane accentua encore sa caresse, et Laure s’allongea sur le dos, la tête renversée, et s’abandonna sans plus aucune honte au plaisir qui continuait de l’envahir. Orane lui fit véritablement l’amour, sans aucune violence, rien exiger d’elle. Laure fut traversée par des vagues de jouissance fantastiques. Quand elle fut enfin repue, elle se laissa délicatement laver en silence par son amante sous la douche. Laure était complètement déstabilisée par ses sentiments envers l’Asiatique. Elle avait éprouvé tellement de haine envers elle il y’a seulement un instant, et à présent… Elle se sentait reconnaissante, elle souhaitait lui plaire pour la remercier du bonheur qu’elle venait de lui offrir. Et le sourire mutin d’Orane qu’affichait en la dévorant des yeux n’arrangeait rien.

- Tu commences à admettre l’évidence, n’est ce pas ? lui demanda-t-elle. Sans lui laisser le temps de répondre, Orane enchaîna, Je vais donc te rendre les photos, quand dis tu ? Puisque tu m’as dit ne plus vouloir me servir, elles ne me servent à rien. Reprends les, et tout sera fini entre nous.

Laure en resta sans réaction. Elle n’avait qu’à les reprendre et cela serait terminé. Plus d’ordre, plus d’humiliations. C’était une chance inespérée. Pourtant la déléguée ne fit pas un geste pour s’en saisir. Car cela signifiait aussi ne plus avoir de relations avec Orane, ne plus connaître les plaisirs de la soumission.

- J’ai envie de t’aimer, ajouta Orane en lui caressant le visage, de te donner du plaisir, que tu m’en donnes, mais aussi que tu me montres jusqu’où tu peux aller, que tu me montres que tu peux aller plus loin encore pour moi. J’ai envie de te faire mal quand je devine ton envie d’avoir mal.

Cette déclaration acheva d’enflammer la lycéenne. Elle connaissait Orane depuis l’enfance, et pourtant elle ne l’avait jamais regardé ainsi. Elle était remplie de vénération pour cette fille si belle, autoritaire, intransigeante et douce à la fois. Toujours nue, elle se mit à genoux, les mains dans le dos.

- Vous avez raison, Mademoiselle. J’aime être une esclave, votre esclave… Je… Je crois que je vous aime. Je suis fière de vous appartenir.

- C’est bien, il est bon qu’une esclave aime sa Maîtresse, lui sourit Orane. Je suis satisfaite de ton comportement, tout à l’heure. Tu as déjà bien été punie, je vais donc lever ta sanction. Tu ne seras pas cravaché. Mais, par contre, j’espère que tu n’as pas oublié ta promesse de remerciement ?

- Non, Mademoiselle. Laure parut hésiter un instant puis ajouta, aurai-je la permission de vous lécher après, s’il vous plait Maîtresse ?

- On verra, rit Orane, si tu as bien travaillé, peut être…

Et c’est avec un air gourmand que Laure rampa lécher les baskets de Mademoiselle pour les nettoyer. Lorsque les deux adolescentes quittèrent enfin le gymnase main dans la main, la nuit était tombée depuis longtemps.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Laure - Communauté : Soumissions féminines
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