Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 18:47

Darling14.jpg 

 

 

 

Après les bourgeoises délurées, retour aux fondamentaux: les jouvencelles bonnes à dresser!

 

Un ouvrage de la collection Darling, poupée du vice ou l'on découvre que la musique n'adoucit pas toujours les moeurs! Elle peut aussi aider à les dépraver gravement!

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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 21:32

Chapitre 9 : La salle de punition


«Mon Dieu, ce n’est pas de chance, Sarah ! Si près du but . . . Tu as toute ma compassion ma chérie . . . Mais il ne faut pas te laisser aller ! On se relève !"


J'ai aidé la pauvre fille à se remettre sur ses pieds. Elle était courbée en deux, mais a réussi à rester debout. Toutefois, ses mains restaient entre ses jambes à masser doucement la chatte cuisante.


«Allons Sarah, pas besoin de faire tant d'histoires à propos de quelques petites gifles"


Sarah se redressa, ses bras sur ses côtés, ses merveilleux seins pointant vers moi.

 

Je remarquais que les jambes de la jeune fille étaient arquées.


"Sarah, un peu de tenue : mets tes jambes droites, s'il te plaît. Essayes-tu de me provoquer à nouveau?"


La jeune fille commençait véritablement à bien être conditionnée à l'obéissance. Elle referma les jambes de suite en couinant de douleur.


Avec une voix perdue de petite fille, elle dit: « Oh, Mme. Marks . . ."


«Oui, Sarah. »


"Cela signifie vraiment que je vais être punie en public . . . en face des garçons?"


"En présence des garçons, des filles et de nos instructeurs . . . je le crains oui"


« Ohhhh, non! »


Sarah allait tomber à genoux pour me supplier, mais je l'ai arrêté d’un geste clair de la main.

 
«Maintenant, nous avons vraiment besoin de vous consacrer à ta punition. Nous en sommes presqu’au point mort !"


"M-Mais, Madame la Directrice, vous avez fait tellement! J’ai subi tant de choses, je suis assez puni, n’est-ce  pas? "


"Vous avez reçu un petit échauffement en guise de fessée, c'est tout . . . ».


"Ca  . . . ça fait mal . . . ça fait trop mal . . . »


«Je suis désolée si ça fait mal, ma chérie, mais la punition est inévitable, je te l’ai déjà expliquée "


Un regard désespéré ce fixa sur ce joli visage.


« A la salle de punition maintenant".

 

Et j'ai attrapé Sarah par l’oreille droite et l’ai tirée vers une porte à la droite de mon bureau. Elle gémissait un peu mais a fait son mieux pour être coopérative et marchait avec moi, bien que sa démarche était arquée. J'ai ouvert la porte et fit signe à Sarah pour montrer la voie. J’ai allumé la lumière, comme elle passait par la porte, et j'ai été heureuse de capter son souffle coupé. Je suis assez fière de ma salle de punition, et elle fait toujours son petit effet sur mes futures victimes lors de leur 1ere visite.


Lors de sa 1ere visite, l’élève punie devine de suite qu’il s’agit d’un endroit spécial. Il est vrai qu’il y a de nombreux indices : le cheval de voltige avec ses bretelles stratégiquement placée, les différentes poulies au plafond et sur les murs, les deux «chevaux de bois » que j'avais acquis récemment et qui ont été si utiles à punir les jeunes filles qui se sont rendus coupables de délits sexuels, la chaise à gode rectal, les sacs à lavements accrochés aux murs, etc.


La salle elle-même était assez grande pour contenir confortablement toutes ces choses, et en plus pour conserver encore beaucoup d'espace pour bouger. L'éclairage était tamisé et agréable, mais la salle était aussi équipée de spots puissants.

 

Sarah regarda autour d'elle les yeux exorbités, horrifiée.

 

J’ai alors enlevé ma veste et ma chemise, puis laissé tombé ma jupe, dévoilant un soutien-gorge de dentelle noire et une petite culotte échancrée assortie. Je fis sauter les attaches du soutien-gorge, dévoilant mes 2 petits seins entièrement bronzés et encore fermes pour leur âge, mais Sarah était trop occupée à examiner la salle pour s’apercevoir de quoi que ce soit. J’ai rangé mes vêtements dans un placard et j’ai enfilé un petit short de coton gris et un t-shirt de la même matière et de la même couleur beaucoup plus confortable. J'ai ensuite pris place dans mon fauteuil préféré, un fauteuil confortable placé dans un coin de sorte qu'il avait vue sur toute la salle de punition.


Sarah m'a regardé avec crainte. Elle avait inconsciemment repris son habitude d'essayer de protéger sa pudeur, avec un bras couvrant ses seins et l'autre main posé sur sa chatte. Elle s’était aussi d’elle-même adossée à un mur, peut-être pour protéger ses fesses.


Je souris: «Eh bien, Sarah, qu’en pense-tu? C'est une pièce bien-nommée, je dirais. Je peux te dire une chose - les jeunes filles comme toi ne quitte pas cette chambre sans avoir à appris une leçon forte sur la valeur du bon comportement."


Je me servis un petit verre de cognac à partir d'une carafe sur la table d'appoint à côté de mon fauteuil, allumais un cigare et me donnais le plaisir de profiter de la superbe beauté nue en face de moi. Elle pleurait et semblait à nouveau avoir perdu la parole. Ses yeux lançaient des regards aux objets de la pièce, de toute évidence pour essayer de comprendre leurs utilisations potentielles, leurs menaces. Avec quelques-uns, sans doute, elle n'avait aucun mal à discerner le but, alors que d'autres devaient la laisser perplexe.


J’ai d’ailleurs oublié de préciser que la pièce était très confortable. Le plancher était recouvert d'un lino couleur amande, les murs pastels étaient rembourrés, et l'éclairage était efficace et agréable. Comme toujours, quand j'entrais dans cette pièce avec un sujet, je pris quelques secondes pour tout boire un verre afin de me détendre et me préparer pour la suite des événements.


J’utilisais cette salle de punition pour les cas «spéciaux», ceux qui avaient besoin de beaucoup plus d'attention. Ceux qui allaient crier beaucoup plus que la normale ! Ou je préférai que les perturbations pour les classes ayant lieu juste en dessous de la salle soient minimisés.


La fermeture de la porte de cette chambre envoyait un froid glacial dans le cœur de la plus brave des filles. La porte fermée, il ne restait plus au monde que la fille et moi. Sarah semblait très impressionnée. Son reniflement s'était arrêté, pour être remplacé par une sorte de halètement.  «Maintenant, Sarah, viens en face de moi. "


Sarah poussa un gémissement, mais obtempéra  à mon ordre, en protégeant ses zones sensibles du mieux qu’elle pouvait.


«Maintenant, les mains sur ta tête et au garde à vous !"


Là encore, elle poussa un gémissement de désespoir et obéit, mettant ses mains sur la tête et rejetant ses épaules en arrière, ce qui eu pour effet de projeter ses seins en avant. J’avais ainsi vue sur ses gros seins laiteux, ses larges mamelons roses, son ventre mou et plat, sa chatte grasse et encore rouge couverte d’un léger gazon roux. Elle se tenait devant moi, tremblante, le regard implorant la miséricorde même si sa voix se tut.


Elle avait les jambes légèrement écartées, probablement en raison de la douleur continue de sa chatte.

« Jambes bien droites, Sarah ».


Elle obéit, mais j'ai noté une grimace de douleur qui stria son front.


"C’est ton clitoris, ce gros bout de chair rouge sortit de ta chatte ma chérie ? », ai-je demandé, en me penchant un peu pour obtenir une meilleure vue, provoquant chez Sarah un élan de détresse supplémentaire.


"O-Oui, Madame La Directrice . . ."


«Eh bien, quel morceau ! Tu vas avoir un franc succès auprès de tes camarades de classes masculins lors de ta punition publique ! Dommage que tu n’as pas pu pas durer un coup de plus ! »


Un cri de désespoir a répondu à cette pique.


J’en ai rajouté.

 

 "Oui, je comprends ton inquiétude ! Les châtiments publics seront probablement particulièrement pénibles, physiquement et moralement ! "


"Ohhh, Madame La Directrice! Ne me faites pas passer . . ."


"Silence! Maintenant, retourne-toi et montre-moi tes fesses».


Sarah se retourna et exposa son superbe postérieur sous mes yeux.


"Tu as un superbe fessier Sarah, et je pense que son apparence s’est améliorée après le début de fessée que tu as reçue : le rouge lui va très bien. Mais, je ne crains cependant que tes fesses affichent toutes les couleurs de l'arc-en lorsque j’en aurai finit avec elle. Maintenant, s'il te plaît va à ce mur sur ta droite et amène-moi l'objet suspendu là-bas. "

 

Sarah s’exécuta.

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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 21:24

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Comme je le disai il y a peu, la gymnastique est un élément essentiel pour une bonne soumise!

 

Point important: se trouver un bon "coatch"! De préférence une bonne copine!

 

Puis, prendre une position qui permet de faire travailler tous les muscles du corps: bras, jambes, cuisses . . . et chatte!

 

Ne pas s'inquiéter pour le "matériel": il y aura toujours une verge compatissante pour se proposer!

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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 21:20

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Que peut-il y avoir de mieux qu'une petite jouvencelle à soumettre? Une belle bourgeoise apparemment coincée du cul mais qui une fois prise en main convenablement se révelle être la pire des dépravées!

 

Les romans de Darling, Poupée de Vice, en regorgent! Pour le plus grand plaisir des lecteurs!

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Jeudi 16 février 4 16 /02 /Fév 20:39

Chapitre 5 : Le contrat

 

Laure se leva tard le dimanche matin. Le samedi soir, elle s’était effondrée dans son lit après son retour de chez Orane. Epuisée, elle s’était endormie immédiatement. Le soleil brillait haut dans le ciel, inondant sa chambre de lumière. Pendant un instant, encore dans les brumes du sommeil, elle crût avoir rêver tout ceci. Oui, se disait-elle, ce qui s’est passé hier soir était bien trop irréel. Jamais une fille de son rang, enviée de tous et respectée, n’aurait pu avoir un tel comportement.

 

Surtout devant une fille, qui malgré tous ses efforts, ne lui arrivait pas à la cheville en terme de popularité. Elle se redressa dans son lit, promenant son regard sur le décor familier de la vaste pièce. Ses innombrables peluches reposant sur une étagère complète, témoignaient de son enfance dorée. Des posters tapissaient les murs de sa chambre, comme chez toutes les filles de son age. Tout le vernis de la normalité se disait-elle. Puis elle regarda ses poignets qui portaient encore les traces de la corde à sauter qui avait servi à l’attacher hier soir. Elle se revit obéissant avec une abjecte servilité à toutes les exigences d’Orane, se comportant comme une chienne. Mais le pire était sans aucun doute le plaisir monumental qu’elle avait éprouvé à se faire humilier de la sorte. Son incapacité à contrôler ses pulsions lui avait fait abandonner toute dignité. Et cela n’allait pas s’arrêter là. En partant, Orane lui avait fait par de son intention de lui faire subir un dressage complet. A cette idée, son corps s’alanguissait, et cela lui faisait horreur. Pour se calmer et punir ce corps si lascif, elle s’imposa une longue douche froide. La vue de son sexe glabre lui rappelait à chaque instant que son corps était désormais la propriété de sa Maîtresse.

 

Après le déjeuner, son père lui proposa de profiter de ce bel après-midi pour faire une promenade à cheval. Laure adorait l’équitation depuis l’age de huit ans, et son père lui avait offert son propre cheval à dix ans. Ce dernier adorait sa fille unique, et lui passait tous ses caprices. Pourtant, malgré son envie de l’accompagner, Laure refusa, prétextant un devoir de maths en retard. Orane devait l’appeler, et elle redoutait de manquer son coup de fil. Elle passa donc l’après midi dans sa chambre, appréhendant les futurs exigences de Mademoiselle.

 

Une fois de plus, celle-ci la laissa mijoter longtemps, comme si elle savait l’effet que pouvait avoir cette attente sur les nerfs de son esclave. Lorsque le téléphone sonna enfin, Laure se précipita sur le combiné de sa chambre.

 

- Allô, salut poufiasse ! C’est moi, Orane.

 

- Bonjour, Mademoiselle, répondit respectueusement Laure, malgré l’insulte.

 

- Bien, je vois que tu es toujours dans de bonnes dispositions. Je présume donc que tu es prête à continuer le jeu.

 

- Oui, Mademoiselle, je vous obéirai

 

- Il est vrai que tu n’avais pas l’air de trouver cela trop déplaisant, traînée. Je te préviens, avec tout ce que je sais sur toi maintenant, le prix de mon silence sera très élevé.

 

- Je… Je vous appartiens, répondit Laure en blêmissant. Faites de moi ce que vous voulez, mais, par pitié, ne dites rien à personne.

 

- Cela ne dépend que de toi, petite pute. Tu as de quoi écrire ?

 

- Oui, Mademoiselle

 

- Alors note.

 

Orane lui dicta alors ce qu’elle appelait le contrat d’esclave de Laure. Celle-ci recopia un à un les commandements qui régiraient sa vie jusqu’à la fin de l’année scolaire :

 

1) Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot, en échange de son bienveillant silence concernant mes honteuses manies et mon comportement lubrique.

 

2) Tout mon temps libre devra être consacré à satisfaire du mieux que je pourrai les moindres désirs de Mademoiselle Orane de Bréot.

 

3) Je fais don de mon corps et de mes orifices à Mademoiselle Orane de Bréot, et m’engage à toujours lui en laisser l’accès libre.

 

4) Je m’engage par ailleurs à toujours être parfaitement épilée, sexe et anus compris, en bonne poupée que je suis.

 

5) Mademoiselle Orane de Bréot pourra me punir de la façon qu’elle désirera si elle s’estime insatisfaite de mes services. Je devrai alors la remercier de cette punition.

 

6) Je ne suis autorisée à tutoyer Mademoiselle Orane de Bréot que dans les lieux publics, sinon je dois la vouvoyer et me tenir à genoux devant elle.

 

7) En signe de respect, je dois en permanence baisser les yeux devant ma Maîtresse et conserver à son égard une attitude humble et respectueuse.

 

8) Il m’est rigoureusement interdit me mettre en valeur en public, et je dois au contraire toujours adopter une position basse et servile.

 

9) Quel que soit l’endroit, lorsque Mademoiselle Orane utilise sa clochette pour me sonner, je dois immédiatement me déshabiller intégralement et me mettre à sa disposition en baisant ses pieds.

 

10) Il m’est interdit de faire quoi que ce soit sans en avoir préalablement demandé la permission à Mademoiselle Orane.

 

Laure signa alors le document, sur ordre de la jeune fille.

 

- Voilà, tu as des remarques à faire sur ce contrat ?

 

- Non, Mademoiselle

 

- Alors je te préviens une fois pour toutes, si tu ne le respectes pas à la lettre, je montre illico les photos en insistant bien sur tous les détails croustillants. Il n’y aura pas d’avertissement.

 

- Je comprends. Je ferais de mon mieux pour vous servir.

 

- Parfait. Alors voici ton premier devoir d’esclave. Tu vas apprendre par cœur ce contrat, et tu me le réciteras avant le début des cours demain.

 

- Bien, Mademoiselle.

 

- Et pour t’aider à bien t’en imprégner, comme je sais que tu n’es qu’une idiote dévergondée, tu me le copieras 100 fois. Avec les voyelles en bleu et les consonnes en vert. Alors, qu’est ce qu’on dit ?

 

Malgré sa docilité, Laure déglutit péniblement avant de répondre, s’efforçant de suivre les consignes du contrat

 

- M…Merci d’aider votre esclave à vous servir de son mieux.

 

- Bien, ria Orane, je te laisse, tu as des devoirs à faire, esclave. Rendez-vous demain matin, à huit heures moins le quart devant derrière le lycée. Je vérifierai alors ton travail. Souviens-toi, gare à toi si tu me déçois !

 

Orane lui raccrocha alors au nez. Laure regardait le contrat, la tête vide. Avec résignation, elle se mit au travail. Cela lui prit des heures et elle put à loisir goûter l’imagination sadique de sa jeune maîtresse. Elle devait tout le temps changer de stylo, et se trompa souvent au début. Elle déchirait alors la feuille de rage, sachant qu’Orane lui ferait payer cher la moindre rature ou trace de typex. Elle n’avait toujours pas fini quand sa mère l’appela pour le dîner, et dut travailler encore une bonne partie de la nuit. Cette corvée stupide avait sur Laure un effet lénifiant, et elle s’imprégnait malgré elle du texte. Elle me conditionne comme une chienne de Pavlov pensait la jolie lycéenne. Une fois son « devoir » achevé, elle s’écroula épuisée sur son lit. Sous ses paupières dansaient des consonnes vertes et des voyelles bleues.

 

Laure n’eut aucun mal à faire sa récitation devant la jeune asiatique le lundi matin. Les mains dans le dos, le regard bas, comme une élève de cours primaire, elle remis ensuite à Orane sa punition. A son grand désarroi après le mal qu’elle s’était donnée, sa Maîtresse jeta à peine un œil à l’épaisse liasse de papier, avant de la remiser dans son cartable.

 

- Tiens lui jeta-t-elle en lui tendant son cartable, tu me le porteras jusqu’à la salle de classe

 

- Bien Mademoiselle

 

- Tu portes une culotte ? s’enquit Orane

 

- Euh, oui Mademoiselle

 

- Alors donnes.

 

Laure se garda bien de lui faire répéter l’ordre. Le coin de rue où Orane lui avait donné rendez-vous était encore désert à cette heure matinale, à son grand soulagement. La jeune fille fit donc remonter les pans de sa jupe longue et passa les mains dessous pour faire glisser son slip de coton blanc le long des ses jambes cuivrées, avant de le tendre à sa Maîtresse. Orane récupéra le sous-vêtement prestement :

 

- Confisqué pour la journée ! Un peu d’air frais calmera peut-être tes ardeurs, qu’en dis tu ? Dit-elle en sortant de sa poche un épais marqueur. Retournes toi maintenant et touche la pointe des tes pieds.

 

A peine Laure eut-elle prit position qu’Orane remonta sa jupe, dévoilant ses fesses rebondies.

 

- Vois-tu esclave, j’ai un souci. Mon marqueur ne tient pas dans ma trousse.

 

Alors, je vais t’utiliser comme trousse de rechange, dit-elle en enfonçant profondément l’imposant feutre dans sa chatte.

 

- Oouh, gémit Laure, alors que le stylo emplit brutalement son vagin.

 

- Redresse toi, voilà quelqu’un dit Orane en lui claquant légèrement le derrière.

 

Laure se releva vivement. Elle aperçut en effet Samia et Claire, deux élèves de sa classe qui venait de passer le coin de la rue, et elle eut à peine le temps de rajuster sa tenue. Orane lui fit comprendre d’un geste dédaigneux qu’elle pouvait disposer, avant de rejoindre ses deux amies. La rue s’emplissait peu à peu de lycéens, et Laure dut serrer les cuisses afin d’empêcher le marqueur de tomber à la vue de tous. Elle était parfaitement consciente du caractère grotesque de sa démarche, alors qu’elle montait péniblement les trois étages du lycée afin de rejoindre sa salle de classe. Le marqueur faillit tomber à plusieurs reprises, et elle dut le renfoncer plus profondément en elle tout en faisant semblant de relacer ses souliers. Elle était persuadée que tout le monde savait et la dévisageait. Elle fut réellement soulagée quand elle put enfin s‘asseoir à sa table. Quelques élèves s’étonnèrent de la voir porter le cartable d’Orane, et elle ne sut que bredouiller qu’au fond, elle aimait rendre service.

 

Le cours fut pour Laure un véritable supplice. Elle redoutait à chaque instant que la prof de math ne l’envoie au tableau, car elle sentait le marqueur glisser constamment en elle. Elle en était réduite à sa tortiller lamentablement sur sa chaise pour l’empêcher de tomber. Et plus elle sentait le stylo remuer en elle, plus elle sentait son sexe s’humidifier, ce qui compliquait encore plus sa tâche. A la récréation, Orane la força à la suivre dans les toilettes peu utilisées du troisième étage. Laure se dandina comiquement derrière sa Maîtresse, la suivant jusqu’au cabinet. Orane referma alors la porte derrière elles, et s’assit pour pisser. Laure dut rester à genoux devant elle, les mains derrière la tête. Elle ne put s’empêcher de regarder la fine toison rectangulaire d’Orane, dont la noirceur contrastait avec la peau dorée de la jeune asiatique. Pendant un instant, elle souhaita recevoir l’ordre d’embrasser la vulve si délicate de la belle adolescente, et cette pensée la déstabilisa profondément. Mais celle-ci avait d’autres projets, et Laure dut se contenter d’essuyer le sexe de sa Maîtresse avec son propre mouchoir brodé. Orane ne lui permit pas de se libérer du marqueur, et elle dut le garder en elle jusqu’au dernier cours de la matinée, à l’issu duquel Orane l’entraîna de nouveau dans les toilettes désertes du troisième étage.

 

- Ote ta jupe, et met toi à 4 pattes dit Orane d’un ton sec

 

- Bien Mademoiselle répondit Laure en s’exécutant, heureuse de se défaire de cette contrainte.

 

Orane passa derrière elle, ravie de voir l’extrémité du marqueur pointée hors du sexe rasé de son ex-rivale. Elle se recula de quelques pas et ordonna :

 

- Maintenant ma grosse trousse va gentiment venir me remettre mon stylo. Allez, recule, au pied !

 

Laure resta un instant pétrifiée par la honte. A chaque fois qu’elle pensait toucher le fond, Orane inventait une nouvelle humiliation encore plus infamante que les précédentes. Mais Mademoiselle ne lui laissa guère le temps d’avoir des états d’âme, et la rappela à l’ordre en lui bottant les fesses si violemment que ses épaules et son front heurtèrent le sol. Se souvenant que sa Maîtresse détestait attendre ou se répéter, Laure recula à quatre pattes aussi rapidement qu’elle le put, rougissant de sa posture grotesque. Elle s’arrêta aux pieds de son intransigeante propriétaire, qui la toisait, hautaine :

 

- Allons, tu n’espère quand même pas que je vais me baisser. Tend ton cul correctement ! Allez, du nerf, grosse pouffe !

 

Laure se redressa tant bien que mal, prenant appui sur les mains et sur la pointe de pieds afin de monter peu à peu sa croupe à la hauteur de la main d’Orane. Lorsque Mademoiselle s’estima satisfaite, elle daigna enfin retirer le marqueur rendu poisseux par les sécrétions de sa chienne. Elle le tint alors à la hauteur de son ventre, et ordonna à Laure de le nettoyer, comme si elle taillait une pipe, les mains dans le dos. L’adolescente s’exécuta toujours à demi nue, terrifiée à l’idée que quelqu’un ne finisse par les surprendre. Elle était décidée à satisfaire Orane le plus rapidement possible, afin de pouvoir se revêtir au plus vite. Bien qu’elle n’ait jamais fait de fellation, il lui était arrivé de voir quelques pornos sur le câble, et elle mima de son mieux, avalant le feutre au maximum, puis le léchant délicatement, la langue bien sortie. Elle était telle que Mademoiselle le désirait : servile et obscène. Une fois le marqueur bien propre, elle se laissa passivement tagué le mot « PUTE »sur les fesses en caractère gras. La sonnerie annonçant le deuxième service de cantine retentit, et Laure fut un instant soulagée. Orane allait sûrement lui rendre sa jupe et sa culotte avant d’aller déjeuner. L’asiatique esquissa d’ailleurs un geste dans ce sens, puis s’interrompit, semblant se souvenir de quelque chose.

 

- Dis-moi, ne devait-tu pas respecter à la lettre un certain contrat d’esclavage ? Or, il me semble que tu devais me remercier pour chaque punition. Et j’ai eu l’amabilité de te botter le cul… Quand dit-tu ? s’enquit Orane d’un ton menaçant.

 

Laure ressentit une angoisse folle devant le ton glacial de sa Maîtresse, qui sonnait comme un avertissement. Elle se précipita à ses pieds, les couvrant de baisers.

 

- Je suis désolée, Mademoiselle, ayez l’indulgence de pardonner l’erreur de votre esclave… Cela ne se produira plus, je vous jure. Pitié, pitié. Je vous remercie humblement de m’avoir botté le cul, je le méritais, je suis lente et stupide.

 

- Il me semble que cette faute mérite tout de même une punition, non ? Fit Orane, enchantée de voir la jolie déléguée supplier en se traînant à terre

 

- Oui Mademoiselle. Je vous suis reconnaissante de me punir et de me garder comme esclave.

 

- Alors, tu vas entrer dans ce chiotte, et y rester dans cette tenue jusqu’au cours de quinze heure. Tu es privée de repas, compris !

 

- Oui, merci Mademoiselle murmura Laure en tremblant

 

Orane la laissa ainsi, privée de sa jupe et son slip, avec cette insulte obscène qui lui barrait les fesses. Elle s’enferma vivement dans un cabinet en entendant du bruit dans le couloir. Elle y resta deux heures, se faisant la plus discrète possible, tremblant de peur à chaque fois que la porte des toilettes s’ouvrait. Une élève essaya même d’entrer dans son cabinet, mais heureusement elle n’insista pas face à la porte verrouillée. Elle n’osait imaginer ce qui se passerait si on la surprenait ainsi. Laure eut donc tout le temps de réfléchir à la meilleure manière de suivre les instructions de Mademoiselle, les nerfs tendus à craquer, redoutant de ce qui pourrait arriver si elle lui déplaisait encore. La punition avait eut l’effet escompté, et lorsque Orane lui rapporta enfin sa jupe, elle demanda d’elle-même, à genoux, la permission de s’habiller. Mademoiselle fut satisfaite, elle avait de nouveau réussi à mater Laure, et elle était à présent sûre que celle-ci respecterait à la virgule près son contrat d’esclave. Ses fantasmes de dominatrice allaient avoir de beaux jours devant eux.

 

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