Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:20

Chapitre 1: La prise en main

— Ne t’inquiète pas Allie, tu peux venir habiter chez moi aussi longtemps que tu le souhaites, je ne te laisserai pas tomber.

Nicole étreignit la si naïve jeune fille. Elle fantasmait sur la jeune adolescente depuis qu’elle avait été sa baby-sitter. La petite était alors âgée de six ans. Aujourd’hui, à 27 ans, elle avait obtenu sa garde car les parents d’Allie l’avaient désignée comme tutrice.
Les cheveux blonds de la jeune fille et ses yeux bleus étaient ternis par sa robe de deuil noire. Ses parents venaient d’être tués dans un accident de la circulation et elle n’avait pas d’autre famille. L’orpheline n’avait ni grands parents, ni cousins et venait juste de fêter son anniversaire. Elle n’avait nul endroit où aller.
Nicole, au contraire, avait une situation, une maison dans laquelle elle pouvait accueillir l’adolescente désespérée. Aussi lorsque Nicole proposa de l’héberger, Allie ressentit un grand soulagement.

Pendant les semaines qui suivirent, Nicole l’assista en permanence dans sa nouvelle vie. Elle l’aida à vendre la maison de ses parents, remplissant tous les documents administratifs à sa place. Allie était anéantie. Il y avait une chambre d’amis dans la maison. C’était petit, en fait à peine une pièce avec un lit et une armoire, mais, pour Allie, c’était un "chez-soi" au moment où elle en avait le plus besoin.
Nicole l’aida à déménager. Elle ne possédait que quelques vêtements car Nicole lui avait fait revendre tout le reste, prétextant qu’elle n’en aurait plus besoin puisque dorénavant, ce serait elle, Nicole, qui s’occuperait d’elle. Allie était encore trop sous le choc pour se poser des questions, elle accepta sans arrière-pensée les conseils de son aînée.

Lorsque Allie fut complètement installée, Nicole instaura quelques règles. Comme elle travaillait et que la jeune fille était inoccupée, elle lui demanda d’entretenir la maison, de faire le ménage et la cuisine. Elle prétexta que c’était pour son bien et qu’il valait mieux qu’elle s’occupe au lieu de rester à ruminer dans son coin. Puis elle rajouta qu’elle pensait que ça ne serait pas une bonne idée de sortir seule avec l’état d’esprit dans lequel elle se trouvait actuellement.
Allie passa donc ses journées enfermée, à nettoyer la maison de son hôtesse, à lui préparer à manger. Nicole était très exigeante et, souvent, Allie dut recommencer le nettoyage de la cuisine ou la salle de bain. Chaque fois, elle prétextait que c’était pour son bien et que ça lui changeait les idées. Rapidement, Allie s’habitua à faire ce que Nicole exigeait d’elle.

Un mois plus tard, Nicole décida qu’il était temps de sortir de la maison. Elle suggéra un repas au restaurant. Allie aima l’idée et en ressentit un peu d’excitation. Pour la première fois depuis le drame qui l’accablait, elle avait envie d’autre chose. Nicole prétendit qu’avant tout il fallait qu’elles aillent acheter de nouveaux vêtements.

— Tes vêtements ont vécu de meilleurs jours. Avait-elle dit en inspectant un vieux pull marron. Franchement Allie, ta garde-robe laisse à désirer. Elle fait vieux jeu et tes vêtements sont tous usés. Pour la plupart, ils datent de ton enfance et ne te vont même plus. Je pense qu’il est temps de trouver des vêtements qui conviendront mieux à une jeune fille de ton âge.

— Oui Nicole, tu as raison.

Elle partageait l’avis de sa tutrice bien que ses commentaires la mettaient mal à l’aise. Ces vêtements étaient tout ce qui lui restait de ses parents. Nicole ouvrit la commode dans laquelle Allie rangeait ses sous-vêtements et farfouilla quelques instants dans la lingerie.

— Décidément, il faut faire quelque chose. Dit-elle en inspectant une vieille paire de culottes grises en coton.

 — Franchement, ce sont des culottes de gamine, il faut qu’on t’achète des sous-vêtements de ton âge pour aller avec de nouveaux vêtements.

De la tête, Allie acquiesça avec un petit sourire résigné.

— Bien, allons-y, jeune fille, en route pour le centre commercial.

Nicole les conduisit en BMW jusqu’au centre commercial du quartier où elle connaissait une petite boutique de vêtements à prix abordables. Elles y pénétrèrent et elle commença à faire son choix pour Allie. L’adolescente se contentait de l’accompagner dans les rayons. Elle avait la charge de porter les robes que Nicole lui tendait au fur et à mesure qu’elle les décrochait des présentoirs. Ce n’étaient pas celles qu’elle aurait choisies, mais elle avait conscience que son amie faisait ça pour elle et, par reconnaissance, elle ne lui en toucha mot. Les robes étaient courtes et très fines, deux d’entre elles étaient rouges, une autre noire et la dernière avait des motifs fleuris.

Nicole l’escorta jusqu’aux cabines d’essayage, en trouva une qui était vide et y entra avec Allie.
Elle se tourna vers la blonde et dit :

— Ok, maintenant commence par celle avec les fleurs. Son regard était fixé sur la jeune fille, dans l’expectative.

L’adolescente fut un peu surprise que sa tutrice reste avec elle, mais elle resta silencieuse. Lentement, elle retira son pull-over, révélant un vieux soutien-gorge démodé. Nicole se régalait en regardant le déshabillage. C’était mieux que tout ce qu’elle avait pu imaginer, Allie ne lui avait pas demandé de sortir de la cabine d’essayage. C’est une soumise née, pensa-t-elle. Les jolis petits seins de la jeune fille se maintenaient fermement dans les bonnets B du soutien-gorge grossier. Elle était impatiente d’échanger le vilain sous-vêtement strict par un autre plus sexy et en dentelle, mais bon, chaque chose en son temps. Lentement, Allie baissa son vieux jean sur ses chevilles en rougissant, exhibant son corps jeune et mince, ses longues jambes bien galbées et ses petites fesses rondes et fermes que masquait une culotte de coton affligeante. Elle se retint péniblement pour ne pas se jeter sur elle, lui arracher ses effets et prendre possession de son corps, de force, sans plus attendre. Mhhh, patience, se dit-elle.

Allie se tenait devant Nicole, elle ne portait plus que sa culotte, son soutien-gorge et ses tennis. Toutes deux restèrent immobiles pendant un instant. Timidement, l’adolescente baissa les yeux. Le regard de la jeune femme l’inspectait avec insistance, remontant de ses pieds jusqu’à ses fesses pour finir par se fixer sur ses seins, se repaissant de l’apparition, criante d’innocence, qu’elle représentait à ses yeux.

— Alors ? Dit Nicole d’un ton impatient, malgré son regret de ne pouvoir profiter plus longtemps de cette vision enchanteresse. — Habille-toi donc ! A moins que tu aies envie de rester en sous-vêtements ?

Rouge de honte, Allie acquiesça de la tête et enfila la robe à fleurs. Elle était très courte et lui recouvrait à peine les fesses. En réalité, elle était trop petite pour elle, mais Nicole décida que ça lui allait à la perfection.

— La mode se porte très courte aujourd’hui.

Nicole se régala un moment des contorsions qu’Allie fit en tirant sur sa robe pour l’empêcher de dévoiler sa culotte, c’était possible mais, pour cela, elle devait se tenir droite. Evidemment, son hideuse culotte grise en coton dépassait mais elle allait remédier à cela très bientôt.

— Nicole, je ne peux pas porter ça, c’est trop court.

— Ne sois pas idiote, ma chérie, toutes les jeunes femmes à la mode s’habillent comme ça aujourd’hui, tu veux avoir l’air branché non ?

— Je ne sais pas.

— Écoute, je ne veux pas gaspiller mon argent à remplacer tes vieux vêtements ringards par des vêtements minables.

— D’accord, je comprends.

— Je préfère ça, maintenant essaye la rouge.

La robe rouge était encore mieux, plus sexy avec deux petits cordons minces, qui couraient sur les épaules à la place des bretelles. C’était encore une robe très courte qui mettait à mal la pudeur d’Allie et l’obligeait à déployer des trésors d’ingéniosité pour ne pas dévoiler ses charmes aux regards indiscrets. Bien entendu, elles essayèrent la troisième robe et, lorsque ce fut fini, le sexe de Nicole était tellement humide qu’elle avait taché sa culotte. Elle avait la certitude qu’Allie pouvait sentir l’odeur poivrée de son excitation. Avant de sortir, comme Allie s’apprêtait à remettre son pull-over et son jean, Nicole l’interrompit.

— Allie, j’aimerais que tu portes une de ces nouvelles tenues que je viens de t’acheter, mets la rouge, s’il te plaît, elle te va à merveille.

Le ton était sans équivoque. Elle prit la robe que la jeune femme lui tendait et assista, impuissante au geste rapide qu’elle fit pour s’emparer du pull-over et du jean. Allie n’allait jamais les revoir. Nicole avait prévu de jeter tous ses anciens vêtements.

L’adolescente, vêtue de la robe légèrement transparente, se sentait mal à l’aise devant son aînée.

— Bien, prochaine étape : "Victoria secrets", il te faut aussi de la lingerie.

Allie était mortifiée, est-ce que pour Nicole allait l’obliger à changer de dessous en sa présence ? Elle suivit timidement son amie jusqu’à la caisse. Pendant que Nicole payait, elle se tint derrière elle, embarrassée par sa tenue qu’elle trouvait outrageuse. Les regards des gens autour d’elle montraient leur désapprobation, mis à part quelques hommes qui pensaient sûrement à la baiser. Elle se sentait plus que nue, exposée à la vue de tout le monde, mais Nicole la réconforta en lui disant qu’elle était superbe, si bien qu’elle finit par se dire que c’était elle qui fantasmait.

Après avoir payé, Nicole lui fit porter les sacs. Cela l’empêchait de tenir sa robe et de ménager sa pudeur. Elles traversèrent la galerie marchande jusqu’à Victoria Secrets. Pendant tout le chemin, Allie sentait sur elle les regards des gens qu’elles croisaient. Un peu plus loin, un groupe de filles de son âge discutaient. L’une d’entre elles l’aperçut et la désigna du doigt. Elle se sentait humiliée, sa jupe était plus courte que celle d’une majorette et, à chaque pas qu’elle faisait, sa culotte se montrait à la vue de tout le monde. Quoi qu’elle fasse pour l’en empêcher, cela ne changeait rien.

Enfin, elles arrivèrent à la boutique. Allie en fût soulagée. Au moins ici, il y avait moins de monde. L’air très sérieux, Nicole la guida jusqu’à jusqu’au rayon des strings. Elle en choisit une douzaine sans même lui demander son avis. Ensuite elle se dirigea vers les soutiens-gorges assortis en dentelle et fit sa sélection. Allie essaya de protester, mais Nicole l’ignora superbement, la contourna et présenta un string contre ses fesses.

— Parfait, maintenant va essayer ça et rapporte-moi tes vielles fripes.

Allie protesta bien un peu mais Nicole la poussa gentiment vers les cabines d’essayage. Une fois à l’abri des regards, l’adolescente chercha un moyen de conserver les sous-vêtements qu’elle portait. Peut-être que si elle acceptait de mettre les neufs aujourd’hui, elle arriverait à convaincre Nicole de la laisser remettre les autres plus tard. Résignée, elle décida de les enfiler, c’était ce que Nicole attendait et elle savait que c’était pour son bien. Lentement, elle quitta sa robe, ôta son soutien-gorge et baissa sa culotte. Au moins, Nicole n’était pas rentrée dans la cabine avec elle. C’est à ce moment, le rideau s’écarta sur sa tutrice.

— Je me demandais si le noir ne t’irait pas mieux.

Allie était entièrement nue. Lorsque Nicole lui tendit la lingerie, ébahie, elle s’en saisit. Avant qu’elle ait pu réagir, Nicole s’accroupit et s’empara des sous-vêtements qui reposaient à ses pieds. Allie n’avait plus d’autre possibilité que de porter la lingerie échancrée. Nicole resta un moment à détailler la jeune fille des pieds à la tête. L’adolescente se demanda si elle avait fait quelque chose de mal et baissa les yeux. La jeune femme resta dans la cabine pendant qu’elle enfilait le string et ne sortit en refermant le rideau que lorsqu’elle eut mis le soutien-gorge.

Nicole n’arrivait pas à y croire. Allie acceptait sans conditions tout ce qu’elle lui imposait. Visiblement, elle n’attendait que ça. Avant ce soir, cette fille se prosternerait entre ses jambes.

L’adolescente enfila la robe rouge, et se regarda dans le miroir, elle se dit qu’elle ressemblait à une salope. La robe courte et légèrement transparente masquait à peine son entrejambe et si elle se retournait, elle distinguait clairement le reflet de ses fesses. La lingerie lui faisait une impression bizarre, c’était comme si elle portait une culotte normale qui aurait complètement glissé entre ses fesses. Ce sentiment était obsédant. Il lui rappelait continuellement à quel point sa tenue était scandaleuse, pas une parcelle de son corps ne serait à l’abri des regards indiscrets.

Elle ouvrit la porte de la cabine d’essayage et s’avança dans la boutique. Elle eut honte et rejoignit directement Nicole qui se tenait devant la caisse pour payer les sous-vêtements. Elle essaya d’attirer son attention, de lui dire qu’elle ne pouvait pas porter ces vêtements, mais son amie discutait avec la vendeuse, une jolie jeune fille, blonde, du même âge qu’elle. Elle ne fit pas réellement attention à leur discussion tant elle était sous le choc.

— Allie ! Va derrière la caisse, cette demoiselle a besoin de lire l’étiquette de ta culotte.

Allie fit ce qu’on lui demandait sans réfléchir.

— Hmmm… Où se trouve le prix ? Demanda la jeune femme.

À son tour, Nicole fit le tour de la caisse. Elle fit pivoter une Allie complètement hébétée de façon à ce qu’elle présente son derrière à la vendeuse, souleva l’ourlet de la courte jupe rouge, dévoilant les fesses parfaites d’Allie, avec, pour seul et unique rempart, la lanière du string qui les partageait. L’étiquette dépassait légèrement sous l’ourlet de la culotte. La vendeuse se pencha lentement en avant avec un air dédaigneux, l’attrapa et en coupa la fixation en plastique en la tirant fermement. Allie ne savait plus ou se mettre. L’adolescente l’entendit murmurer "putain" dans un souffle, tandis qu’elle s’emparait de l’étiquette. Elle aurait voulu se justifier et lui dire qu’elle se trompait, mais elle était trop choquée. Son embarras était tel qu’elle était au bord des larmes.

Lorsqu’elle eut payé, Nicole sortit dans la galerie marchande, suivie par Allie qui portait un sac supplémentaire. Elle avait l’impression que son derrière était nu, exposé à la vue de tout le monde.

— Un dernier achat pour te faire belle, jeune fille, et ensuite nous pourrons aller dîner.

Allie redoutait le prochain arrêt, mais, en même temps, elle se disait que cela ne pourrait pas être pire que de montrer ses fesses à une étrangère en étant exhibée si nonchalamment par son amie.

Elles cheminèrent jusqu’à un magasin de chaussures sous le regard ahuri des passants qui dévisageaient Allie pendant tout le trajet. Nicole marchait plus vite qu’elle et la précédait de quelques pas, si bien qu’il semblait qu’Allie se promenait seule. Lorsqu’elles furent arrivées, Nicole choisit plusieurs sortes de chaussures pour qu’Allie les essaye. Toutes avaient des talons assez hauts. Une vendeuse vint s’enquérir de leurs désirs. Elle était jeune et jolie. À croire que la beauté était le principal critère de recrutement dans ce centre commercial, se dit l’adolescente.

Nicole la fit asseoir sur une chaise pour essayer les premières paires. Les deux premières que la vendeuse lui proposa étaient une rouge et une noire. Elle s’agenouilla devant Allie qui réalisa aussitôt qu’elle lui offrait une vue imprenable sur ce qu’elle tentait désespérément de dissimuler sous sa robe. La jupe ne la couvrait presque pas et, comble de l’indécence, était remontée sur ses cuisses lorsqu’elle s’était assise. La jeune femme avait son sexe à peine voilé par le tissu en dentelle en vision directe.

L’adolescente fit son possible pour ne pas se donner en spectacle, mais au fur et à mesure qu’elle levait ses pieds pour mettre les chaussures, ses jambes s’écartèrent légèrement et sa foufoune, à peine masquée par la dentelle, en fût plus que jamais exhibée. Au comble de l’embarras, elle ressentit un début d’excitation lorsqu’elle constata que la jeune femme jetait plusieurs coups d’œil vers son entrecuisse pendant l’essayage. Est-ce que la jeune vendeuse le faisait exprès ? Elle en fût plus embarrassée que jamais. Aussi, dès que Nicole fut satisfaite, elle enfila les chaussures et quitta la boutique sans demander son reste. Nicole paya les achats et la rejoignit.

— Ok, nous en avons terminé avec ton "shopping". J’ai encore quelques magazines à acheter et nous pourrons aller dîner. Elles pénétrèrent dans une librairie. Il n’y avait que peu de clients et Allie se dissimula entre deux rayons pendant que Nicole faisait son choix. Quelques minutes plus tard, elle revint avec une pile de magazines. Sur le dessus, un "Marie-Claire" l’empêchait de voir le titre des autres revues. Elles se dirigèrent vers la caisse qui était tenue par une jeune femme. En faisant la queue, Allie se tenait le plus droit possible afin de dissimuler ses fesses sous le court vêtement. Le client qui les précédait avait de nombreux achats, si bien qu’il y eut rapidement du monde derrière elles : Deux hommes et deux femmes. Alors que leur tour arrivait, Nicole lui tendit un billet de cinquante Euros et lui demanda de payer pendant qu’elle téléphonait au restaurant pour retenir une table. Abandonnant Allie, elle sortit de la boutique.

Allie fit quelques pas et déposa la pile de revues sur le comptoir. À sa grande surprise, lorsqu’elles glissèrent les uns sur les autres, elle se rendit compte qu’il y avait plusieurs revues pornographiques sous le "Marie-Claire". Son sang se glaça dans ses veines. Qu’allait-on penser d’elle ? Sans aucun doute, tous leurs regards étaient braqués sur elle. Les deux femmes eurent une grimace de dégoût, l’un des hommes sourit et la vendeuse fronça les sourcils.

— On achète quelques distractions coquines à ce que je vois. Dit la vendeuse. Des ricanements retentirent derrière elle. Le comique de la situation leur faisait oublier leur désapprobation.

— Vous allez avoir les mains occupées cette nuit. Dit l’un des hommes.

Tout le monde se moquait d’elle.

— Vous-vous intéressez à la mode ? Demanda la vendeuse en exhibant une revue dont la couverture glacée montrait une blonde nue qui s’exhibait de profil pour masquer son sexe. Son bras n’arrivait pas à cacher entièrement sa poitrine dont on voyait distinctement l’un des tétons.

Allie paya et sortit de la librairie si précipitamment qu’elle ne prit même pas le temps de prendre le sac que la vendeuse allait lui tendre. Elle tenta de les ranger dans l’un des sacs de vêtements, mais fut si maladroite qu’elle en laissa échapper deux. Elle s’accroupit pour les ramasser, mais déjà quelques passants s’étaient arrêtés pour la regarder. La scène insolite que cette jeune femme si peu vêtue qui ramassait ses magazines pornographiques était proprement ahurissante. Allie fit le plus vite possible, humiliée à l’idée que tout le monde allait la prendre pour une lesbienne et qui allait se masturber en regardant des photos de femmes nues.

Nicole s’avança discrètement vers l’adolescente désemparée. Elle riait.

— C’était une bonne farce. hmmm ?

Allie tenta de sourire et d’en rire, mais elle n’arrivait pas à oublier son humiliation.

Nicole la précéda jusqu’à sa BMW noire, se disant qu’elle tenait la jeune fille. Elles montèrent dans la voiture et se mirent en route vers la maison.

— Maintenant que tu es habillée convenablement, nous allons pouvoir sortir, mais auparavant, j’ai moi aussi besoin de me changer. Nous allons d’abord passer à la maison et tu en profiteras pour te débarrasser de toutes tes emplettes.

Allie pouvait sentir le cuir du siège sous ses cuisses et ses fesses, au début c’était froid mais au bout d’un moment, il s’en dégageait une chaleur agréable.

— Que pense-tu de tes nouveaux habits Allie ? Demanda Nicole. Elle savait que la jeune fille détestait s’exhiber ainsi, mais elle adorait la façon dont ils révélaient son corps sans concessions. Elle voulait l’habituer à dévoiler ses charmes et pensait que le plus tôt serait le mieux car ce n’était que la première étape et elle aurait beaucoup plus à exhiber dans le futur.

— Je les aime bien, Nicole, merci beaucoup. Mentit Allie.

Nicole tendit le bras vers la jambe d’Allie et tapota le haut de sa cuisse de la main droite.

— Je t’en prie, petite chienne.

Sa main resta sur la cuisse de l’adolescente pendant qu’elle conduisait.

Les idées de la jeune fille tournoyaient dans sa tête. Pourquoi Nicole laissait-elle sa main sur sa cuisse ? Pourquoi l’avait-elle appelé comme ça ? Sa main était très chaude et ses doigts se trouvaient à quelques centimètres seulement de son sexe. Allait-elle l’enlever ? Pourtant, ça n’était pas désagréable et elle désirait autant qu’elle la fasse glisser vers son entrejambe pour la caresser que de lui demander d’arrêter ça. Toutes ces émotions l’avaient épuisée, aussi elle resta simplement assise, sans rien dire, durant tout le trajet du retour.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:15

Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par son ancienne baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. Lesbienne perverse et sadique, celle-ci va contraindre la pauvre Allie à la satisfaire de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.

 

 

L'histoire est à l'origine écrite par un auteur sous le pseudo de Annie The Slick, an langue anglaise.

 

Vous la trouverez en cliquant sur le lien suivant: link

 

Elle a été traduite par un auteur français sous le pseudo de Perverpeper, et publiée en langue française sur le même site et sur son site personnel:

 

http://www.perverpeper.com/perverpeper/00_accueil.html.

 

Le traducteur a gommé certain aspects de l'histoire, notamment le jeune âge d'Allie pour en faire une adolescente.

 

L'histoire est âpre, hard, mais terriblement efficace!

 

Laisser-vous entraîner par les longues mésaventures de la pauvre Allie!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:07

 darling06

 

 

 

Le titre du volume est explicite: le dressage de darling commence! Lentement! Suavement! Pour le plus grands plaisir des lecteurs. . . et de notre Darling!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 7 février 2 07 /02 /Fév 19:00

Pour mieux pouvoir répondre à vos attentes, vous allez maintenant pouvoir donner votre avis sur le contenu de votre blog préféré grâce à des petits sondages rapides à renseigner et anaonymes!

 

Voici le 1er! Il me permettra de déterminer quelle est votre histoire préférée et donc de donner priorité à sa publication!

 

Merci de prendre quelques secondes pour y répondre en cliquant sur le lien suivant!

 

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Mardi 7 février 2 07 /02 /Fév 18:58

Chapitre 7 : Début de fessée sur le cul

 

Je posai alors mes mains sur les fesses de la jeune rouquine, qui sursauta en hoquetant.

 

Doucement, lentement, je me mis à les caresser, à les pétrir.

 

De nouveau, Sarah se mit à respirer par saccades, à haleter.

 

A chaque fois que mes pouces se rapprochaient de son anus, la jeune fille contractait ses fesses pour les protéger d’une éventuelle agression.


Mais Sarah est restée en position en ne faisant mine de se protéger avec ses mains qu’une seule fois. Une faute qu’elle corrigea de suite, sans besoin de rappel à l’ordre.


«Je te félicite, Sarah . . . tu as un cul magnifique ! Comme ta chatte, il est tellement dodu que je n’aurai aucun soucis pour t-administrer ta fessée ! "


La jeune fille réprima un sanglot de honte.


J'ai continué à «torturer» et à «taquiner» ma victime avec mes caresses légères en frôlant toujours sa chatte et son anus. Bientôt, je pris conscience que mon vrai but avait été atteint. Autrement dit, notre pauvre jeune fille s’excitait de nouveau. Je ne sais pas si j'ai d'abord senti l’odeur de la mouille ou si je l’ai vu suinter, mais les manifestations étaient parfaitement visibles. La  peau rose de l’adolescente était luisante et des gouttes de rosée étaient suspendues aux poils roux. Je  pouvais également voir le gonflement des lèvres vaginales maintenant clairement exposées. Magnifique spectacle ! L'arôme âcre des sexes de rousse était caractéristique.


J'ai arrêté ma caresse, et dit d'une voix choquée faussement choquée, je dis : « Sarah, je peux à peine croire ce que je sens et vois ! Vous vous êtes une nouvelle fois livrée à vos plus vils appétits !"


«Oh non, Madame . . . ! Non, nooooon! Je suis ... je suis désolée ... je n’ai pu m’arrêter . . ."

C'était amusant d’avoir une conversation avec une jeune fille dans la position de Sarah, « face à moi » comme elle était, avec son cul, sa chatte et son anus, qu’elle ne pensait maintenant plus à protéger, sous les yeux.


«Tu ne fais qu'empirer les choses, ma fille, en n'acceptant pas la responsabilité de ton comportement. Je ne veux pas être dupé et je ne l'accepte pas. Je ne peux pas croire qu’après ce que je t-ai dit, explicitement, que tu as le courage de t-abandonner à nouveau. Je ne crois pas avoir jamais rencontré une telle insolence et une telle impudeur! "


"Ohhhh, sniff »!, elle ne pouvait que pleurer, ses épaules et ses fesses s’agitant en rythme avec
ses sanglots.


«Eh bien, dis-je d'une voix froide, laisse-moi être parfaitement claire. Tu seras puni pour cela, ma fille - très lourdement . . . Je n'en dirai pas plus pour l'instant, mais on peut s'attendre à des conséquences graves pour ta soi-disant pudeur ! ».


Je laissais ces mots s'enfoncer dans son esprit à travers ses sanglots, et puis j'ai dis: "Mais le temps est à l'action. Nous devons faire avec. D'abord, ta fessée, et je te conseille très fortement de rester en position tout au long de la punition, peu importe à quel point ça fait mal."


WHAP!

 

La première claque tomba sur la fesse droite avec violence.

 

Une vraie fessée fait mal.

 

Et Sarah recevait une vraie fessée !


"Oww! Oww! Ahh!", a hurlé Sarah en lâchant les pieds de chaise, se levant juste un peu. Ma récente conférence était cependant encore dans son esprit et comme elle voulait vraiment éviter toute nouvelle sanction plus dure encore, elle a réussi à se forcer à reprendre sa position. C'était un beau spectacle, à voir reparaître la chatte et l'anus après leur absence momentanée.


«Il était sage de te rappeler à toi-même, Sarah, et de réprimer tout élan d’indiscipline ! Cependant, même le moindre écart te coûtera une aggravation de ta punition !  Encore une fois, je te conseille de rester parfaitement immobile ».

 

WHAP! WHAP!

 

J’avais cette fois décochée 2 claques, une sur chaque fesse. Sarah a hurlé à chacune mais a réussi à maintenir son emprise sur la chaise.


WHAP! WHAP!

 

Deux autres claques, toujours aussi violentes.

 

Sarah a crié de nouveau et se tourna brusquement vers l'arrière, près de perdre de son emprise sur les pieds de la chaise. Comme elle se laissa retomber vers le bas, ces deux gros seins gigotèrent, se rappelant à mon bon souvenir.


J’accélérais alors la cadence de frappe, sans en atténuer la violence.


WHAP!
"Owww!


WHAP!
 "Owww! Ahhh!"


WHAP!
"Ahhhgg! Owww!"


WHAP!
"Ohhhh!
Sob! Ahhh! Oh, S'il vous plaît ....!"


WHAP!
"Ahhhhhgggg! Oh, arrêtez, arrêtez! Ça fait mal!"

 

Les fesses de  Sarah tremblaient et reculaient avec chaque coup. Ses cris étaient de plus en plus remplis de douleur et de désespoir. J'ai vu que ses jambes commençaient à trembler. Je me suis alors autorisée à commencer à frapper la chatte offerte entre deux claques sur les fesses accentuant encore la peur et la douleur de ma victime.


Sarah a essayé de son mieux pour faire preuve de courage, de tenir sa position, mais c'était une bataille perdue d’avance. J’étai résolue à frapper jusqu’à ce qu’elle cède !


Pour accélérer le mouvement,  j'ai appliqué une gifle très dure sur sa grasse, mais vulnérable, chatte !

Splatt!

"Aiiieeeeghhhhoowww!", a-t-elle criée tout en se relevant et en couvrant son intimité pour se protéger. Elle était en pleurs. Tout son corps était secoué de sanglots, ses seins lourds en premier, qui gigotaient sans retenue.


«Tu fais à nouveau preuve d'insubordination? », demandai-je.

"Ohhhh, je suis désolé, je suis désolé! Mais, vous frappez m-m-mes . . . ohhhh mon Dieu! Ohhh,
ça fait mal! ". Elle balbutiait travers ses larmes, bouleversée.


« Je crois que le mot que tu recherche est . . .  chatte, ma chérie. Ou peut-être . . . vulve? "

 

Je savourai l’air outré qu’elle arborait sur son visage.

 

" Il est inévitable qu’au cours d'une fessée grave, il y ai quelques coups qui tombent à côté de la cible. Cela fait partie d'une fessée, ma chérie. Et la fessée, j'ose le dire, est une activité avec laquelle tu ne semble pas avoir eu une connaissance suffisante dans ta jeune vie. Tu devrais m’être reconnaissante que je ne donne pas à ta chatte ma complète attention. Tu chanterais une mélodie différente, alors, je parie. Mais peu importe. Tu as prouvé que tu es une fille qui ne sait pas se discipliner. Tant pis pour toi, parce que cela signifie une augmentation de la sévérité de la punition. Cela signifie aussi que la présence de Sam et Ken sera nécessaire. Je vais donc les appeler ».


«Non, non, je vais rester en position! S'il vous plaît! Oh, je veux dire, tant que vous ne touchez pas moi ... là ... à nouveau. Non! Je veux dire ... ce que vous dites, je vais faire ... C’était inexcusable de ma part Madame La Directrice . . . Je reprends la position . . . Vous pouvez me punir comme vous le voulez Madame La Directrice! . . . Je suis à votre disposition . . . Seulement, n’appelez ces garçons!".

 

La pauvre Sarah n'appréciait certainement pas l'idée que Sam et Ken
aient vue sur ses voies intimes !


«Ma petite, j'espère que tu es consciente de la clémence répétée avec laquelle je te traite! . . . »

 

« Oui, Madame la Directrice . . . Merci, madame la Directrice ».


« Hmmm, nous allons voir. En tout cas, une chose est sûre, pour la fin de ta punition, tu seras entravée ! Je ne peux pas être dérangé en permanence et te commander de nouveau de te remettre dans la bonne position. Après tout,  j'ai à peine commencé ta punition et nous sommes déjà en retard. ".


"A peine commencée? M-mais vous avez . . .". Elle renifla, incrédule.


"Allons! Tu ne crois pas que l’on envoie les élèves dans mon bureau pour des punitions aussi légères ! Ne sois pas stupide, ma fille. Maintenant, nous allons voir. Je suis d'accord pour ne pas appeler Sam et Ken si tu accepte de plein gré de te soumettre à ta punition et surtout de ne plus résister en aucune façon. ".


"Oooh, Madame . . .?".


"Tu m’as entendu, Sarah. Tu accepte ou nos deux jeunes amis reviennent pour s'amuser un peu plus? ".

"Je vais le faire . . . Ohhhhhhh . . . Je ferai ce que vous voulez Madame la Directrice!"

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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