Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 20:56

Nouvelle couverture de cette mémorable série de romans érotiques d'Esparbec. Encore une illustration inoubliable de Karla. Un roman ou l'on "entre" enfin dans le vif du sujet par la prise d'une série de mesures délicieusement perverses de la belle Caroline!

darling03

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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 21:26

Couverture du volume 2 de "Darling, poupée du vice". Superbement perverse, comme la 1ere! . . . Monsieur ne va visiblement pas s'ennuyer! 

 

darling02.jpg

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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 21:11

thaistudent-k

 

 

 

Amateurs de jeunes étudiantes Thaï, voici enfin une nouvelle photos des étudiantes les plus sexy de la planète!

 

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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 21:06

Chapitre 6 : Sarah se retrouve cul et chatte à l’air


Sarah était courbée en deux et se massait les seins


"Attention, Sarah." Dis-je.


Sarah reprit aussitôt sa posture, quoique un peu distraitement. Bien que ses gémissements aient cessé pour  le moment, les larmes ont continué à couler de ses yeux rougis et elle  reniflait périodiquement. Elle semblait sous le choc par ce qu'il s'était passé, alors j'ai attendu un peu pour lui laisser reprendre ses repères et admirer son opulente poitrine se soulever à chaque respiration saccadée.


J’ai noté avec plaisir les empreintes de mains parfaitement formées, rouges, sur le côté de chaque sein frémissant.


Sarah regarda vers le bas et remarqua de nouveau sa culotte mouillée. Avec un petit gémissement elle a avancé ses mains pour se couvrir, mais, pensant mieux me satisfaire, et  avec un soupir, elle les laissa retomber sur ses flancs.

 

La garce m’excitait lorsqu’elle me résistait . . . mais elle m’excitait aussi lorsqu’elle se soumettait ! Elle n’était pas sortie de l’auberge !


«Oui, je suppose que c’est très embarrassant.", ai-je dit d'un ton aimable.

 

«Ici, ma fille, pose toi sur la chaise. ". Après qu'elle fut assise, elle a commencé à plier distraitement ses bras sur sa poitrine saillante, mais à la vue de mon regard a rapidement remis ses bras sus ses côtés.


"Je pense que je vois une certaine amélioration, Sarah. Tu semble comprendre enfin qu’elle est la place d’une élève punie et faire preuve de l'obéissance totale et immédiate que je suis en droit d’attendre. Ai-je raison? »


"Oui Madame la Directrice. Sniff ... Oh, s'il vous plaît laissez-moi mettre mes vêtements ...", regardant nerveusement ses tétons en érection.


«Crois moi, en mon fort intérieur, je ne demande que cela Sarah, mais je manquerais à mes devoirs si je ne tenais pas fermement la direction de cette séance de discipline. . . . Maintenant, voyons, où  en étions-nous? Oh, oui, je me souviens maintenant, mais peut-être que maintenant que tu es bien obéissante va tu me le dire? Pourquoi a t-on invité Ken et Sam à se joindre à nous? »


Le visage de Sarah pâlit: «Oh oui .... Madame la Directrice... Oh, s'il vous plaît ..."


"Et qu'est-ce donc?


Sarah se mit à sangloter: «Ohhhh, vous ... vouliez que je ... oh!"


"Allez!"

«Vous voulait me faire enlever mes sous-vêtements! Oh, Mme Marks, n'y a t-il pas d'autre
façon de me punir? Je suis très pudique, et la m-ma religion ... "


«Sarah, ma chère, tu n’a pas à te préoccuper de moralité et de modestie. Tu n’es plus dans une école religieuse. Tu ne dois apprendre qu’à obéir. "


Sarah a commencé à trembler, "Oh, mais ... ne nous s-même ... Je veux dire que j'ai déjà h-ma
b-soutien-gorge ... "


"Si je dois appeler Sam et Ken, ma chérie, alors, je te laisse seule avec eux pendant une heure. As-tu idée de ce qu’ils ont envie de faire avec toi pendant une heure? . . . Je ne suis pas certaine qu’ils se contentent de te fesser ! Mais peut-être ne t-en plaindrais tu pas ! Permets-moi de les appeler ... "

"Non! Pitié . . .! Oh, mon Dieu, pardonne-moi!" Elle se tordait les mains.


«Eh bien, lèves-toi et enlève ta culotte! De toute façon, elle est trempée de tes sécrétions ! On dirait que tu as pissé ! Tu seras bien plus à l'aise ! », ai-je ajouté en riant.


Le visage sillonné de larmes, Sarah se leva et  a commencé à avancer lentement sa culotte sur ses hanches.

La culotte avait atteint le point critique ou la jeune fille allait exposer ses poils pubiens. La pauvre Sarah a cessé de la pousser vers le bas et me regardait suppliante. Je lui ai souri et fait un mouvement léger mais significatif vers le bouton de mon bureau.


Avec un sanglot étouffé, Sarah a poussé sa culotte vers le bas, passé le point critique et soudain, la culotte tomba à ses pieds. Elle dévoila ainsi une belle chatte dodue, seulement un peu caché par une très légère toison pubienne constituée de poils roux épars qui avaient du mal à cacher de grosses lèvres roses et un clitoris prometteur.

 

Mécaniquement, Sarah tenta de couvrir son sexe de ses mains. Encore une fois, j'ai souri et déplacé mon doigt vers le bouton magique.


Sarah s'écria: «Non!", et par à-coups a retiré ses mains. C'était une lutte homérique, et par deux fois ses mains ont commencé à regagner leur poste, mais la raison l'a emporté.


«Viens ici, ma chérie, à côté du bureau. Bon. Je veux voir à quel point tu t-es laissée allé ! »


La jeune fille fit le tour du bureau et je me tournai vers elle. Je lui ai indiqué de se mettre à environ deux pieds en face de moi, et, merveille des merveilles, elle obéit. En silence, je laissai mes yeux voraces voyager, monter et descendre sur son corps nubile et voluptueux. D’elle-même, elle rejeta les épaules en arrière et tint son dos bien droit. Ses seins me sautèrent presque qu’a la figure. Mon souffle me manqua. Puis j'ai commencé à regarder son con, ce qui, j'en suis sûr, lui a causé une grande souffrance morale, mais elle garda la position.


Je commentais d’un petit rire, "Hmmmm, je vois que nous avons besoin de l'utilisation d'une serviette ou un sèche-cheveux,! ».


En effet, les poils roux arrosés avec les gouttelettes de Sarah étaient luisants.


J’ai contourné mon bureau jusqu’au et j’ai ouvert un tiroir de l’armoire, qui contenait différentes tailles de serviettes. J'ai pris une serviette blanche, moelleuse.


"Ohhh, Madame la Directrice ..." gémit Sarah, comme elle a vu ce que je faisais.


J'ai décidé que c'était un bon point de paraître clémente.

 

Je tendis la serviette à l’adolescente.


«Hmm, je peux imaginer qu'il serait très dommageable pour ta pudeur que je te touche là, Sarah. Sèche-toi toi-même. N'oublie pas, cependant, que je vais vérifiez par la suite ta propreté ».



Elle saisit la serviette, la regarda sans comprendre, et hésita.


«L'obéissance, Sarah, . . . »


Rapidement, la pauvre fille a commencé à appliquer la serviette sur sa chatte humide. Elle a commencé  plutôt mollement, comme trop timide pour se frotter devant moi. C'était plutôt charmant.

"Tu ferais mieux de t-assurer et faire un nettoyage approfondi Sarah, parce que je serai intraitable à l’inspection », dis-je. « Evidemment, cela serait plus simple si tu étais épilée comme presque toutes tes camarades !


La jeune fille se mit à se nettoyer chatte et cuisses avec application.


«Je vais prendre ça.", lui dis-je une fois qu’elle eu terminée, pour reprendre la serviette.


La serviette était définitivement humide. J’ai porté la serviette à mes narines et je me suis mis à la renifler. Sarah courba l’échine sous la honte.


«Je ne veux maintenant plus détecter la moindre trace d'humidité ou tout autre signe d’excitation sexuelle ! Tu dois apprendre à réprimer tes bas instincts.»


«Oui, Madame la Directrice."


J'ai dit: «Eh bien, il m'a semblé que tu as fait un travail approfondi, donc je vais renoncer à tout examen pour l'instant. Eh bien, ma chérie, où en étions-nous? »


«Je ne sais pas de Madame la Directrice ». Elle renifla.


«Eh bien, je veux dire, tu es venue ici pour la punition, n’est-ce pas ? Je pense que nous devons ne pas l’oublier. Maintenant, je crois que nous étions en train de commencer une fessée, à l’origine sur ta jupe. Puis, grâce à ton entêtement, elle allait être donnée sur ta culotte. Maintenant, ma chérie, toujours grâce à ton propre comportement, elle va l’être sur les fesses nues, alors que tu es complètement nue. "


Le regard d'horreur qui a traversé son visage en ce moment était merveilleux, certainement le
genre de chose qui me maintient dans le goût du travail bien fait.


"Ohhh, s'il vous plaît, Madame la Directrice, n'ai-je pas été assez puni? Ces garçons... ce qu'ils ont fait à mes ... et je suis toute nue ... j’ai trop honte, . . . s'il vous plaît laissez-moi ... mettre ma culotte et ensuite vous fessez moi comme je le mérite "


J'ai ri aux éclats.

 

«Sarah, ma chérie, tu ne semble pas comprendre à quel point j'ai été clémente. Maintenant, laisse là ces billevesées. Voyons, où vais-je te . . . ? Oh, bien sûr, . . . sur la chaise . . .  et courbe toi juste dans la position ou tu étais auparavant. Maintenant, Sarah !"


La fille savait qu'elle devait obéir, et elle marcha lentement, avec angoisse, vers la chaise qui l'attendait en face de mon bureau. Elle reprit sa position, mais en se rendant compte qu’elle exposait ainsi sa raie fessière, son anus et sa chatte avec impudeur. Cerise sur le gâteau, ses seins libérés pendaient maintenant lourdement vers le sol.

 

Le tableau était absolument magnifique !


J'ai posé doucement ma main droite sur les fesses et entendu  son souffle. Alors j’ai frotté doucement pendant qu’elle gémissait sous l’humiliation.


Elle se mit à pleurer. Je l'ai aidée à atteindre le bas de la chaise et à saisir les  pieds de chaise aussi bas que possible. Puis je me suis déplacé autour d'elle.


«Eh bien, Sarah, je peux voir pourquoi tu étais si peu disposés à assumer cette position. Tu expose en effet absolument toute ton intimité! Heureusement que je suis une femme ! Il ne faudrait pas que Sam et Ken soient obligés d’entrer !» La pauvre fille gémit de désespoir.


«Maintenant Sarah, tu va devoir garder cette position sans faillir ! »


"Oui, Madame la Directrice."


J’étais aux anges. Le cul de Sarah était splendide ! Je me promis de ne pas relâcher ma proie tant que je ne me serais pas occupé de son cul, ses seins, sa chatte et son anus comme ils le méritaient ! Mes deux « Boys » allaient être à la fête.


J'étais fascinée, subjuguée. Mon cœur bondissait à chaque petit clin d'oeil de l’anus provoqué par les tics nerveux compréhensible de Sarah.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 23:36

Chapitre 5 : le gang bang



Cynthia arriva chez elle à la nuit tombée, tout aussi épuisée physiquement qu'émotionnellement.

Elle commença par sauter sous la douche pour se laver consciencieusement.

Elle avait décidé de ne révéler à personne ce qui lui était arrivé.

Non seulement ce serait très humiliant, mais de plus il y avait trop de témoins qui clameraient sa participation volontaire pour qu'on puisse la croire.

Ils la croiraient d'autant moins s'ils apprenaient combien de fois elle avait joui au cours de cette soirée.

Elle pensait profondément que le mieux pour elle était de tenir secrète cette expérience hors du commun.

Peut-être qu'un jour, lorsqu'elle aurait les idées claires elle serait capable de jeter un oeil impartial sur ces événements, bien qu'elle en douta.

Satisfaite de sa douche, elle remplit sa baignoire d'une eau bien chaude et s'assit dedans pour se relaxer, après s'être nettoyée, elle voulait estomper sa lassitude et la douleur persistante de sa chatte et de son trou du cul.

Après un long bain relaxant, elle se releva et se drapa dans une chaude sortie de bain en flanelle.

Elle réalisa alors qu'elle crevait littéralement de faim elle gagna sa petite cuisine pour inspecter son frigidaire.

N'y trouvant pas grand chose à se mettre sous la dent, elle empoigna son téléphone, appela sa pizzeria favorite et commanda une pizza aux légumes.

Elle se maudit alors en prenant son sac à main à la recherche de son porte-monnaie et se rappela alors qu'on lui avait dérobé le peu d'argent qu'elle avait sur elle.

Elle soupira et prit son carnet de chèque espérant que le livreur accepterait ce mode de paiement inusité pour une si petite somme.

Une fois le chèque remplit Cynthia alluma la télé et s'assit devant, elle n'était pas assise depuis plus de trois minutes lorsqu'on sonna à la porte.

-"Bordel, ils sont drôlement rapides... » pensa -t-elle fugitivement, elle saisit le chèque posé sur la table.

Elle avait pensé enfiler une robe avant l'arriver du livreur mais elle n'en avait plus le temps la sonnerie retentissait à nouveau.

Je suis vêtue et il y a tant de monde qui m'a vu nue aujourd'hui que ce n'est pas un coup d'œil sur mes charmes, par les fentes de ma sortie de bain qui va me déstabiliser.

Cynthia déverrouilla la serrure et ouvrit la porte

Elle cria lorsque les deux hommes sur le palier la repoussèrent à l'intérieur.

Elle les reconnut tout de suite, c'étaient les deux jeunes qui avaient pénétré dans le cabinet quelques heures plus tôt et l'avaient violé à couilles rabattues.

-"Laissez-moi! ....." s'écriait-elle se débattant pour échapper à leur étreinte.

La ceinture de sa sortie de bain sa délaça au cours de la lutte, elle se figea en voyant six autres jeunes ados pénétrer dans sa maison.

-"Du calme Cynthia... " intervint Sid le jeune bâtard aux cheveux blonds.

-Voyant qu'elle n'avait aucune chance et que de plus chaque ruade la déshabillait un peu plus exposant ses charmes sous leurs yeux ravis, elle cessa toute résistance.

-"Comment avez-vous appris où j'habitais? ......" leur demanda-t-elle abasourdie.

Ken, le plus trapu lui tendit son permis de conduire, Cynthia se serait battue de ne pas avoir vérifié le contenu de son sac plus consciencieusement.

-"On a trouvé ton adresse dans ton sac! ...." l'informa-t-il hilare.

-"Quand on a dit à nos potes ce qu'on avait fait cet après-midi, ils n'ont pas voulu nous croire! ...... Aussi les a-t-on à ton bureau, mais le cabinet était fermé! ..... On a alors supposé que ton petit jeu au boulot avait pris fin, on a donc décidé de venir te faire une petite visite! .....

-"Oh mon Dieu non! ......" soupira Cynthia plus pour elle-même que pour ses visiteurs.

-"Mais si! ...." rétorqua Sid suavement en ouvrant sa robe de chambre.

En une seconde les 8 gaillards l'entouraient, la maintenant allongée sur son sofa leurs mains rampant avec concupiscence sur corps partiellement dénudé. Ils lui empaumèrent les nichons, lui pincèrent les tétons, et plusieurs doigts s'introduirent profondément dans sa chatte.

Elle ne pouvait s'empêcher de mouiller, son jus intime enrobait les doigts fouineurs de ses agresseurs qui la doigtaient fébrilement.

Ils la relevèrent et lui enlevèrent sa sortie de bain, puis ils la traînèrent dans sa chambre.

Une fois jetée sur le lit Sid fut le premier à l'enfourcher, la labourant d'une bite impatiente.

Cynthia se débattait bien qu'elle sache qu'elle n'était pas de taille à leur résister.

Puis elle accepta son avec fatalisme et pria pour que cela se termine rapidement.

Sid lui martelait la chatte de violents coups de boutoir, elle le sentit nettement juter dans sa chatte mais resta passive.

Lorsque Sid se retira, ils la saisirent et la disposèrent à quatre pattes sur son lit, puis une des nouveaux se posta dans son dos et lui fourra sa bite dans la cramouille.

Pendant ce temps, Ken s'allongeait sur le lit elle du se pencher pour le prendre en bouche et se mit à le sucer docilement.

Tandis qu'elle se faisait baiser tout en suçant, elle sentait les mains des comparses ramper sur tout son corps.

Ken gémit juste avant de se vider au fin fond de sa gorge, comme une pute expérimentée, Cynthia avala chaque jet de foutre qu'il expulsa dans sa bouche, un autre gars s'était déjà agenouillé face à son visage.

Sans même qu'on le lui demande, elle tourna la tête vers lui et ouvrit la bouche l'invitant à lui enfourner sa bite en pleine gorge, elle entama une nouvelle pipe.

Le gars posté dans son dos expulsa son foutre dans sa chatte et se retira à son tour, un troisième se mit en position poussant son chibre charnu dans sa moule détrempée.

Cynthia glapit en le sentant la pénétrer, elle supposa que son chibre mesurait un bon 25 centimètres de long, sans même le réaliser, Cynthia jeta son cule n arrière pour mieux s'empaler sur cette grosse bite.

Sa chatte était en feu, son corps tremblait d'excitation alors qu'elle se faisait prendre par ce jeune homme.

Elle ne prêta aucune attention à la bite qui se vidait entre ses lèvres jusqu'au moment où elle sentit une dose massive de foutre lui emplir la bouche.

Elle engloutit avidement tout ce qu'elle put de foutre avant qu'il n'extirpe sa bite de sa caverne fumante.

Elle surprit tout le monde, jusqu'à elle-même en se mettant à hurler :

-"Oh oui baise-moi..... baise-moi plus fort bordel de Dieu! ....."

Ces mots excitèrent encore plus le jeune gaillard posté dans son dos qui accéléra le train.

Cynthia déçue le sentit relâcher ses efforts, elle aurait voulu que sa bite reste dans sa chatte jusqu'au moment ou elle jouirait, mais il avait explosé trop vite dans sa foufoune.

Un grand gaillard efflanqué qui ressemblait à Sid l'avait empoignée.

Cynthia l'avait enfourchée le chevauchant empalée sur sa bite. Elle tirait beaucoup de plaisir de ses coups de boutoir, elle avait l'intention de jouir avant qu'il en finisse avec elle.

Puis elle sentit quelqu'un grimper sur le lit dans son dos.

Elle grogna en sentant un gland épais frotter contre son petit trou.

Elle ne voulait pas se faire baiser par cette voie, mais en fait, elle n'avait pas le choix.

L'homme, dans son dos, pressa son gros champignon sur son oeillet palpitant, la pénétra sans trop d'efforts et se mit à la baiser accordant son rythme sur celui de son pourfendeur de chatte.

C'est alors que le huitième lui empoigna la tête pour lui fourrer sa bite en pleine bouche.

Elle sentait un orgasme tonitruant monter dans ses reins, la bite en bouche étouffait ses cris de plaisir alors que sa chatte exultait.

Cynthia tremblait convulsivement, elle était au si prêt de jouir, qu'elle sentit à peine décharger les deux pines qui sur lesquelles elle était embrochée.

Elle ne commença à reprendre ses esprits que lorsque le jeune gars la baisant en bouche projeta son foutre au fin fond de sa gorge.

C'est alors que tinta la sonnette de la porte.

-"Qui cela peut-il bien être bordel de merde! ....." s'esclaffa Ken dérangé.

-"Mes pizzas... " haleta Cynthia égarée.

-"Va ouvrir la porte... " commanda Sid à Ken.

Cynthia resta allongée passive ; elle était coincée entre le désir de voir le livreur de pizzas découvrir ce qui lui arrivait espérant qu'il appellerait alors les flics, et ne pas l'alerter ce qui lui permettrait de continuer à se faire baiser allégrement par ces 8 gaillards.

-Ken revint dans la chambre et dit :

-"Il faudrait donner un pourboire au livreur... "

-"Je crois savoir ce qu'il aimera vraiment! ....."

Les 8 gars éclatèrent de rire tout en empoignant Cynthia.

Ils la traînèrent dans le salon, elle vit alors Timmy le livreur de pizza qui lui souriait.

Cela faisait des mois qu'elle connaissait Timmy.

C'était un bon gars au visage boutonneux.

Elle savait qu'il sortait tout juste de son lycée ce dernier printemps et attendait la rentrée des classes supérieures du lycée local.

Elle était à peu prêt certaine que ce jeune ado de 18 ans était encore vierge.

Elle rougit de honte en le voyant la toiser des pieds à la tête.

Elle sentait la liqueur de ses agresseurs s'écouler sur ses cuisses, elle était sure qu'il avait remarqué les filets de foutre marbrant ses cuisses.

-"Tu vas donner à ce jeune homme un pourboire qu'il n'oubliera jamais! .... " clama Ken hilare.

-"Viens ici mon garçon..... Elle va te tailler une pipe! ....."

Timmy ne savait pas quoi faire, il se posta devant l'adorable jeune femme qui le regardait droit dans les yeux.

Il ne parvenait pas à croire que cette somptueuse jeune femme était aussi salope, une salope qui visiblement se faisait partouzer par tous ces gars! .....

Et voila qu'ils le priaient de se joindre à eux.

Timmy décida qu'il ne pouvait pas laisser passer cette occasion, il descendit sa braguette et extirpa son épaisse bite de 18 cm de son caleçon.

Cynthia avait envie de hurler en voyant la bite de Timmy pointée sur sa bouche.

Elle savait qu'elle le reverrait fréquemment, et voila qu'elle se voyait obligée de le sucer en le convainquant que c'était de son plein gré.

Honteusement, elle se mit à genoux et entreprit de sucer sa dure bite tendue.

Elle espérait qu'ils allaient refermer la porte d'entrée cessant ainsi de l'exposer aux yeux d'éventuels chalands.

En se mettant à sucer Timmy, elle entendit Ken, posté dans son dos, dire qu'il avait envie de la baiser.

Il se mit à genoux et fourra sa grosse bite dans sa petite chatte engorgée de foutre.

Cynthia rougit encore plus en voyant le regard satisfait de Timmy qui la regardait le suçant tout en se faisant baiser par un tiers.

Mais sa honte diminua rapidement alors que la bite de Ken l'excitait au plus haut point.

Elle suça de plus en plus vite Timmy l'absorbant de plus en plus profondément dans sa gorge, bien vite elle sentit le sperme du livreur de pizza lui éclabousser le palais.

La bite de Ken avait frotté sur son point G à chaque intromission, elle commença à gémir la queue de Timmy toujours en bouche alors qu'elle jouissait sur la bite de Ken.

Ken projeta alors son sperme au fin fond de son utérus et se retira.

Comme il ramenait en la traînant dans sa chambre, elle entendit Ken proposer à Timmy de revenir avec quelques amis pour se mêler à la fête, pour quelques dollars.

Cynthia mourrait de honte à l'idée que Timmy allait raconter à ses amis qu'elle n'était qu'une prostituée.

Ils la jetèrent sur le lit, immédiatement un des ados l'enfourcha.

Ils la grimpèrent l'un après l'autre la faisant rebondir d'orgasme en orgasme au gré de leur propre jouissance.

Puis elle vit que Timmy était de retour accompagné avec quatre copains travaillant comme lui à la pizzeria.

Le fait qu'ils aient payé 25 $ pour la baiser la choquait au-delà de toute expression.

Timmy l'enfourcha et se mit à la labourer frénétiquement.

Révulsée elle fixait, d'un regard hagard, sa face boutonneuse elle savait que sa réputation aux yeux du voisinage était vraisemblablement ruinée à jamais.

Elle se faisait violer, et cependant elle savourait chaque instant de cette agression, et maintenant tous la considéreraient comme une vulgaire pute à 25 $ le coup.

Timmy entreprit de lui sucer les mamelons alors qu'il la pilonnait sauvagement, elle exulta une fois de plus.

La sentant jouir sous ses assauts, Timmy perdit tout contrôle de soi et se vida pour la première fois les couilles dans une intimité féminine.

Puis il se releva laissant un autre prendre son tour.

Cynthia fut baisée par les quatre nouveaux venus avant de subir à nouveau la plus épaisse des bites.

La dernière fois qu'elle s'était occupée de lui c'était pour lui tailler une pipe, et voila qu'elle allait devoir le chevaucher.

Elle l'enfourcha et se laissant tomber sur sa grosse bite érigée, avant même d'entreprendre sa chevauchée elle jouit.

Elle le baisa rapidement, profondément empalée sur sa bite, rebondissant d'orgasme en orgasme avant de s'évanouir sous l'intensité de son extase.

Lorsqu'elle se réveilla, elle gisait nue et seule sur son lit.

Les draps étaient souillés de sperme et de cyprine, elle comprit qu'ils avaient continué à se satisfaire en elle alors qu'elle était évanouie.

Elle n'avait aucun moyen de savoir combien de temps ils l'avaient baisée avant qu'ils abandonnent.

Elle sortit de son lit et gagna sa salle de bain.

Elle prit une douche faisant de son mieux pour effacer toutes les traces de son "viol".

Elle décida qu'elle ne pouvait rien faire d'autre, elle s'habillait pour se rendre au cabinet du docteur James résignée à lui remettre sa démission.

Puis elle ferait ses valises et retournerait chez ses parents, et essaierait de retrouver un autre poste d'infirmière.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les infortunes de l'infirmière, par Coulybaca - Communauté : Soumissions féminines
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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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