Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 23:04

Toujours aussi sexy, une nouvelle étudiante Thaï:

 

thaistudent-f.jpg

 

C'est clair, je vais reprendre les études très vite!!!!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 17 janvier 2 17 /01 /Jan 23:19

La preuve est faite: être enseignant en Thaïlande est une torture permanente. La preuve par l'image:

 

thai-student-c.jpg

 

Il n'y a visiblement pas de police des moeurs sans ce pays!!!!

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Mardi 17 janvier 2 17 /01 /Jan 23:14

Chapitre 4 : Sarah perd sa jupe et se fait malaxer le cul et la chatte !


C'en était trop pour Sarah, comme je m'y attendais et . . . l’espérait, pour pouvoir aggraver sa punition. Elle hurla et immédiatement se retrouva debout, se protégeant la poitrine des mains.


"Comment osez-vous! . . . Vous ne pouvez pas faire ça! Oh! Aidez-moi! A l'aide! ", hurlait-elle.

 

Sarah était hors de contrôle. Elle criait à pleins poumons.


Elle sauta en avant, frappa la chaise. Sa jupe est tombé vers le bas (dommage),
et elle-même était appuyée à la porte. Ses mains étaient toujours derrière elle,
essayant de protéger son anatomie arrière d’une insulte supplémentaire. C'était très amusant de voir
le moment où elle se rappela que son haut était presque nu, avec seulement son soutien-gorge
pour prévenir l'exposition complète de ses gros seins. Les deux mains maintenant en vinrent à
nouveau à protéger son haut de mes yeux.


 J'ai attendu patiemment que son état de crise se calme. Ce qui finit par arriver, la jeune fille finissant par comprendre que personne n'allait venir à son aide.


A la fin, j'ai demandé: «Sarah, qu'est-ce qui te prends?"


«Vous . . . vous . . . vous avez t-touché mes ... mes ... fesses! . . . Vous ne pouvez pas faire
ça, je sais que vous ne pouvez pas! ». Elle était presque hystérique.


"Sarah, Sarah, là tu remets à nouveau en cause mes actes et mon jugement ! Avoir la prétention de me juger quand tu es la coupable, placée sous ma Dominion pour le temps de ta punition. Je crains que je n'ais comme recours que de te montrer la folie de tes actions. "


Sarah avait assez d'expérience maintenant pour soupçonner que je ne bluffais pas.  Cette remarque a cassé net sa tirade et l'a amenée à regarder, tremblante, dans l'attente de voir ce que je ferais. Elle savait très bien qu'elle avait à craindre les conséquences de ses actes. Elle avait l'air tout à fait charmante, à ce moment - sa belle chevelure rouge dans le désarroi, le visage rouge de honte, ses beaux yeux bleus larges et fixes. Sa poitrine se soulevait par saccades, en partie exposée.


"Sarah, Sarah, tu use ma patience. Pourtant, je me sens encore décidée à être patiente
et miséricordieuse. Sans doute parce qu’en tant que femme je compatis à ta détresse. Normalement, je devrais appeler nos amis Sam et Ken pour te mettre totalement nue devant eux! Cependant, je vais te proposer un choix afin de te permettre de me démontrer que ton voeux d'obéissance n'est pas vain. D'abord, ma fille, es-tu enfin prête à être réellement  obéissante? »


Sa fureur hautaine avait été remplacée par la peur. Elle savait très bien qu’entre Sam, Ken, et moi, il  ne serait pas question de résistance possible. Elle s'imaginait sans doute nue et à notre merci. Elle était donc prête à saisir à n'importe quelle perche que  je pouvais offrir. Voilà, chers lecteurs qui est un bon état d'esprit pour une «victime», je vous assure!


L'une des choses merveilleuses à propos de Sarah, c'est que malgré ses craintes, une grande partie de son attention a été exclusivement consacrée à conserver sa pudeur et pas du tout
à éviter la douleur physique qui devait faire partie de sa punition. Ce fut, je crois, pour deux raisons. La première était qu’elle était une fille très pudique qui n'avait jamais été nue devant une autre personne que sa mère, et la seconde qu’elle n'avait jamais connu de châtiments corporels, surtout de moi, et qu’elle n’avait donc aucune idée jusqu’ou ils pouvaient aller !


«J'attends, Sarah."


"Oui, Madame la Directrice ... je serai obéissante». Elle me répondit d'une voix si basse que je pouvais à peine entendre.


«Je suis contente de l'entendre.  Maintenant, je ne peux pas laisser cette explosion de folie furieuse sans aucune conséquence. . . .  Tu es une fille pudique, n'est-ce pas? "


Tout ce que j'ai entendu en réponse ont été de doux sanglots comme elle se tourna vers moi.

«N'est-ce pas, Sarah?


"O-Oui ... Madame la Directrice ..."


«C'est commode. Je pense que nous allons donc te retirer ta jupe à titre de punition."


"Ohhhh!"

«Maintenant, souviens-toi de Ken et Sam, et plus vite que ça. Maintenant!" Je durcis ma voix juste pour  produire l'effet que j'attendais. La pauvre jeune fille, démoralisée, a été forcée de choisir entre deux maux, et elle était assez intelligente pour réaliser qu’être en soutien-gorge et culotte en face de moi, c'était mieux que d'être nue devant moi et deux jeunes gens en rut. Elle ouvrit la fermeture éclair de sa jupe, sanglots au coeur, et l'a laissé tombée avec un profond soupir.


Quel moment merveilleux de triomphe!


Bien sûr, le calvaire de la demoiselle ne faisait que commencer! Plus elle me résistait, plus elle m’excitait et me donnait envie de pousser le bouchon plus loin !


Comme Sarah était là dans son soutien-gorge et sa culotte, elle semblait trop confuse pour faire grand chose. De toute évidence elle avait besoin d'être dirigée. "Très bien, Sarah. Je vois que
tu apprends enfin  le bien-fondé de l'obéissance. Maintenant, voyons, où en étions-nous? Oh!
Oui, j'étais sur le point de donner une fessée sur le cul . . . que tu as très impressionnant je dois dire! »


Un sanglot étouffé répondit à cette remarque cruelle, mais juste.


"Retourne sur la chaise et reprends ta position! Allez!"


C'est avec une réticence angoissée que notre pauvre chérie se força à revenir à sa position honteuse - à cheval sur l'assise de la chaise, les mains tendues vers le bas et les pieds de chaise, et l'arrière train  bien fléchis et délicieusement bien présenté. Comme auparavant, l'horreur de sa position sembla arrêter ses larmes, et ainsi ses sanglots ont été remplacés par un silence apeuré.


J'ai replacé ma main, si innocemment à nouveau, sur la courbe supérieure de son cul. Elle haletait. Par les contractions de ses muscles je pouvais dire qu'une partie d'elle était paniquée et voulait s'échapper, tandis que son côté plus rationnel la  mettait en garde que ce qu'elle éprouvait était le moins élevé des maux potentiels.


J'ai repris mon discours dans un ton calme et nonchalant, «Eh bien, ma chère, il semble que
tu étais opposé à ce que je faisais avec mes doigts. N'est-ce pas? "


Tout ce que je pouvais entendre était sa respiration rapide et étranglée. Le tremblement semblait 
augmenter.

"Sarah! Réponds-moi quand je te parle! Quand je te pose une question, tu réponds! Maintenant, je vais répéter. Tu semblais avoir une objection à mon toucher de certaines parties de ton corps qui doit pourtant lors d’une punition être entièrement à ma disposition?  Est-ce vrai? Réponds! »


«Oh lala ... oui ... Madame la Directrice ...", murmura t-elle avec une toux dans sa voix.


«Il est important que tu comprenne que je suis la responsable ici. Quoi que je fasse, c'est
pour ton bien, que tu le comprennes ou non. Pour montrer que tu comprends
cela, je veux que tu me demande de reprendre ce que je faisais ».


Un soupir.


"Oh s'il vous plaît, Madame la Directrice! S'il vous plaît! Je ferais n'importe quoi! Oh ...."


"Sarah ... si Sam et Ken reviennent dans cette pièce, tu va souhaiter m'avoir obéi! Demande!"


"Uhmmm . . . euh  .. . Ah, je ne peux pas ... S'il vous plaît, Madame la Directrice, s'il vous plaît ! Mettez vos mains . . .  dans ma culotte! Ohhhhh .... !


« Eh bien, étant si joliment demandé, ce serait bien discourtois de refuser! »

 

Pour ajouter à la torture, c’est très lentement et  légèrement que je fis pénétrer mes doigts puis mes mains dans la culotte de Sarah, pétrissant ses fesses palpitantes. La respiration de la jeune fille sifflait entre ses dents. Puis, toujours aussi lentement ma main droite bascula devant la culotte, mais toujours à l'intérieur, prenant sa chatte à pleine main.


Elle a sursauté et gémit mais a réussi à tenir sa position. Je me mis à
travailler sa vulve. Cette fois, je malaxais la chatte de l’adolescente avec  ma main toute entière et mit à donner à la sacro-sainte moule de Sarah une caresse tout à fait approfondie.


La pauvre fille se tortillait, souffle coupé, et grinçait, "Ohh! Ahh! Oh, s'il vous plaît Madame la Directrice, arrêtez!"


« Tu n'étais pas sur le point de contester Sarah ? Quand je te dis qu'il n'est plus  question
de contredire mes actions, je ne plaisante pas! Ma patience et ma clémence ont des limites !"


«Oh! Ah! O-Oui s. .. Ah ... Madame la Directrice Ohhhh! . . . Excusez-moi Madame la Directrice ", me répondit  la jolie chose.


Impitoyablement, je continuais de presser, caresser, malaxer sa chatte sur toute sa longueur. Je lui dis: «Maintenant, juste pour rattraper tes écarts de comportement, je veux que tu me remercie pour avoir caressé ton sexe. Maintenant, Sarah! "


Son âme en proie au désespoir, la belle me répondit: "Ohhhhh ... ohhhh .... Je vous remercie, Madame la Directrice, pour  .... ohhhh- me caresser mes parties intimes ... Ah .... Ah! "

 

Juste pour tester sa soumission, j'ai lui ai pincé les fesses. Surprise, elle couina de douleur, mais garda sa position.


J'ai alors changé mon approche. Aux caresses et au malaxage, j’ajoutai les chatouilles et taquinait le clitoris. Sarah tremblait de plus en plus, mais j'ai aussi détecté un mouvement subtil - un léger balancement des hanches - Comme si elle voulait me faire appuyer plus fort.


«Maintenant, j'espère que tu comprends que je n'ai pas d’obligation à expliquer l'une de mes action, ma chérie. Cependant, j'ai de nouveau envie de faire preuve de clémence, alors je vais expliquer la raison parfaitement légitime de ce que je fais. Comme tu le sais, je suis sur le point de te donner une fessée. Ce sera une fessée très sévère, particulièrement énergique qui pourrait te blesser j'en ai peur."


Sarah respira rapidement et contracta ses hanches.


"Tu peux constater que ta chatte, euh, c'est à dire tes « parties intimes » sont un peu exposés dans cette position. En conséquence, il y a toujours une possibilité que des doigts errants frappent par inadvertance cet endroit fragile. Ainsi, je  teste la résistance et la fermeté de ces parties. Eh bien, je te rassure, j'ai constaté que je n'ai pas besoin d'être particulièrement prudente, parce que tu es particulièrement bien dodue et ferme à cet endroit, et une fessée occasionnelle ne va pas te faire de mal. Mon devoir me commande donc d’y aller franchement"


"Oh ... Oh ... s'il vous plaît ... st-stop! », implora ma victime.

 

 J’ai alors commencé à remarquer une certaine réaction que j'avais escomptée. Effectivement, je pouvais sentir l'humidité sourdre sur ma main qui continuait à triturer le sexe de Sarah.


« Mais, il y a une autre raison. Tu vois, ma chérie, il y a des filles qui sont si indisciplinées et sans honte qu’elles en viennent à éprouver du plaisir pendant la discipline. Je vais ... vérifier . . . hmmm ... qu'avons-nous ici? Sarah! Je suis vraiment choquée! », me suis-je exclamée d’un voix pleine de fausse indignation.

 

Après avoir retiré ma main de sa culotte, j'ai sniffé mon doigt à haute voix, et a annoncé, "Sarah! ma parole, tu mouille !"


«Oh, non, Madame la Directrice ..."


"Silence! Cela est inacceptable. Quelle vulgarité ! C’est flagrant ! J’ai la main trempée ! Je suis choquée, surtout d’une fille comme toi, qui prétend être une fervente catholique ».

Sarah ne pouvait que pleurer et ma tirade a continué: «Eh bien, ma chère, tout ce que je peux dire, c'est que ta punition prendra ce comportement scandaleux en compte. "

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 16 janvier 1 16 /01 /Jan 21:47

Grâce à votre formidable fidélité, votre blog préféré est passé en à peine quelques semaines d'existence à la 456 ème place au Top des Blogs Erog!

 

Merci de votre assiduité!

 

Visiblement vous aimez les histoires de soumissions et de soumises!

 

Tant mieux! Moi aussi!

 

Je vais essayer de continuer à vous distraire avec toujours plus d'histoires érotiques de qualité! Qu'elles soient de mon cru ou d'autres auteurs!

 

Continuez à être attentif à votre blog préféré, de nouvelles soumises vont bientôt y débarquer pour de superbes histoires toujours plus chaudes, plus hard, toujours à lire d'une seule main!

 

Inscrivez-vous à la newsletter pour ne pas les rater!

 

Et ayons à nouveau une pensée émue pour nos splendides étudiantes Thaï que nous aimerions avoir allongées sur nos genoux! . . . Et pas pour réviser leur anglais!

 

asian-sweethearts

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 16 janvier 1 16 /01 /Jan 21:44

Chapitre 3 : Cynthia se fait gouiner pour la première fois



Cynthia gisait sur la table d'examen, jambes grandes ouvertes, chevilles rivées aux étriers.

Son cul était suspendu quelques centimètres au dessus du matelas, tout son poids reposait sur ses épaules et son dos.

Elle commençait à avoir des crampes dans ses bras liés au dessus de sa tête.

Elle sentait le foutre qui avait séché sur son visage et sur ses cuisses au sortir de sa chatte.

Elle avait cessé d'appeler inutilement à l'aide.

Cela faisait maintenant deux heures que ces deux derniers visiteurs l'avaient quittée. Elle s'était débattue pour se libérer de ses liens, mais en vain.

Elle s'était retenue longtemps mais elle n'en pouvait plus, elle entendait sa pisse tomber au sol elle savait déjà à quel point elle se sentirait humiliée lorsqu'on la découvrirait.

Elle entendit au loin le son d'un aspirateur, Cynthia réalisa que le groupe chargé du nettoyage du bâtiment était arrivé en avance.

Elle savait que normalement ils n'entraient pas dans le bureau du docteur, mais elle comprit au son que la porte du bureau devait être grande ouverte.

Ils viendraient sûrement nettoyer les moquettes et vider les poubelles s'ils voyaient la porte grande ouverte.

Cynthia voulait crier, mais elle pensa au dernier instant que sa voix serait couverte par le bruit des shampouineuses, aussi attendit-elle que l'équipe de nettoyage s'approche du cabinet.

Brandi parcourait le couloir vidant les poubelles alors que sa partenaire briquait les sols. Ce n'était pas le boulot habituel de cette jeune femme de 22 ans.

Brandi était venue aider sa mère qui dirigeait l'équipe de nettoyage.

Avec ses cheveux courts et son corps ferme et bien formé elle n'avait vraiment pas le physique d'une concierge.

Mais elle était venue aider son amie Martina pour qu'elle finisse plus tôt son boulot et elle serait ensuite libre d'aller flâner de concert.

Martina était une jeune femme de 26 ans d'origine hispanique. Elle portait ses courts cheveux bruns tirés en arrière.

Elle avait un corps magnifique, une petite poitrine et portait habituellement des jeans bien larges et des chemisiers de flanelle.

La mère de Brandi savait que Martina était lesbienne mais elle ignorait que sa fille et sa collègue s'aimaient tendrement.

Brandi vit que la porte du cabinet du docteur James était ouverte en grand, cela lui parut très surprenant qu'il y ait quelqu'un dans le bureau en ce jour de congé.

Elle jeta un coup d'œil dans le bureau et ne vit personne.

Légèrement embarrassé elle s'y reprit à deux fois avant d'entrer dans le cabinet.

Elle laissa la shampouineuse dans le couloir pour couvrir le bruit de ses pas au cas où il se trouverait quelqu'un dans le bureau.

Elle entra et jeta un oeil dans bureau d'accueil et vit le sac d'une infirmière grand ouvert posé sur le bureau.

Brandi craignait qu'il ne s'agisse d'un cambriolage et s'apprêtait à sortir lorsqu'il lui sembla entendre du bruit provenant d'une pièce au fond du vestibule.

Ignorant sa première impression qui la poussait à se sauver elle se glissa silencieusement vers cette pièce.

Jetant un oeil dans la petite salle, Brandi n'en crut pas ses yeux.

Une infirmière était ligotée sur la table d'examen les chevilles rivées aux étriers, sa chatte était tournée vers la porte.

Réalisant que l'infirmière n'avait pas pu la voir, elle retourna dans le hall d'accueil et sortit du cabinet du docteur James, elle saisit la shampouineuse et se rua à la rencontre de Martina.

Remorquant Martina elle revint au cabinet du docteur James, Martina jeta à son tour un oeil dans la petite salle d'examen et vint rejoindre Brandi à la porte du bureau.

- "C'est cette salope d'infirmière qui m'a incendiée un jour où j'avais garé ma voiture trop près de la sienne!....." l'informa Martina rêveuse.

- "C'est une foutue snob!..... Elle pense que son cul  vaut beaucoup mieux que n'importe qui dans ce bureau!...... Je me demande bien comment elle a pu se foutre dans une telle situation!....." réfléchissait Brandi à voix haute.

- "Qu'est ce que ça peut nous foutre?....... Pour ce que ça nous rapporte!...." rétorqua Martina amèrement.

Elles étaient sur le point de quitter les lieux lorsque Martina afficha un large sourire.

- "Ce serait honteux de laisser une si jolie petite chatte se morfondre toute seule!....."

- "Que veux-tu dire?....." répliqua Brandi légèrement inquiète.

- "Pourquoi ne retournerions pas dans la salle d'examen pour nous amuser avec la chatoune de cette petite salope?......"

- "Penses-tu qu'on le puisse .... Ne risquons nous pas de graves ennuis?......."

- "A voir sa posture elle serait la première à avoir des ennuis si quelqu'un la trouvait ainsi, comment justifierait-elle de sa position?......"

- "Par l'enfer il va bien falloir qu'elle nous raconte comment elle s'est fourrée dans une telle situation!...."

Cynthia entendit quelqu'un marcher dans le couloir.

Tout d'abord elle eut peur que ce soit l'un de ses agresseurs qui soit revenu.

Lorsqu'elle vit Martina et la jeune brunette entrer dans la salle elle se senti à la fois soulagée et honteuse.

Elle supposait depuis un bon moment que Martina était une gouine et elle sentait les yeux de la femme de ménage explorer sa foufoune entièrement livrée à sa convoitise.

- "Dieu soit loué ...... S'il vous plait détachez moi." les pria Cynthia.

- "Nous ne te détacherons après s'être un peu amusé avec toi!....." lui rétorqua Martina hilare.

- "Que ... Quoi?......" balbutia Cynthia effondrée.

Puis elle sentit Martina sonder du doigt sa chatte engorgée.

- "Arrêtez saleté de gouine!....." hurla Cynthia au premier doigt fourré dans sa cramouille.

Brandi fit le tour de la table d'examen et se posta de l'autre coté, elle entreprit de lui peloter les nibards avant de se pencher pour les mordiller et les sucer.

- "Oh mon Dieu Nonnnn ....... Ne me faite pas ça!......" larmoyait Cynthia éperdue de honte.

- "Mais tu n'es qu'une petite salope!..... " cracha Martina "C'est bien toi qui as pissé sur le sol n'est-ce pas!..... On va être obligée de te nettoyer la chatte avant tout autre chose!....."

Martina sortit de la salle d'examen et revint quelques minutes plus tard une carafe munie d'un pulvérisateur en main, elle pulvérisa son contenu sur la foufoune de Cynthia en riant.

L'infirmière entravée frémit au contact de l'eau fraîche sur ses appâts intimes.

Mais ce n'était rien en comparaison des sensations qu'elle endura lorsque la femme de ménage enfouit son visage entre ses cuisses et entreprit de lui brouter le gazon.

Cynthia hurlait son désespoir alors que, pour la première fois de sa vie une femme lui léchait la chatte.

Pire encore, pendant ce temps, l'autre fille lui mâchouillait les tétons.

Cette expérience la révulsait. Au moins au cours des viols précédent c'était des hommes qui l'avaient possédée!......

Et voila qu'elle se faisait a violenter par deux femmes!......

Et le pire, c'est que petit à petit son corps répondait à leurs assauts!.....

Sous la langue de Cynthia elle sentait monter un nouvel orgasme ravageur.

Et, juste au moment où elle allait jouir, la femme arrêta ses caresses et dit à sa comparse d'en faire autant.

Martina quitta à nouveau la salle et revint une paire de minutes plus tard avec quelque chose en main.

Mais Cynthia ne parvenait pas à voir ce dont il s'agissait.

Elle tendit l'engin à Brandi et lui intima :

- "Quand je te dirai de l'utiliser tu sais quoi faire!....." puis elle revint mâchouiller la cramouille de Cynthia éperdue.

Alors qu'un nouvel orgasme risquait de la terrasser, Cynthia luttait de toutes ses forces pour le repousser se refusant à jouir des caresses d'une autre femme.

Mais elle savait bien que c'était une cause perdue d'avance.

Son corps se réjouissait trop de ses caresses intempestives pour qu'elle puisse résister bien longtemps.

Elle se mit à gémir traduisant les inavouables délices que lui procurait la langue habile.

Quelques secondes avant qu'elle n'exulte, Martina recula sa tête et cria :

- "Maintenant!...."

Cynthia hurla de douleur alors qu'une pince serrée se refermait sur son téton droit.

Elle jeta un oeil vers le bas et vit une que Brandi avait refermé une puissante pince à papier sur son mamelon qui virait au pourpre.

- "Je vous en prie enlevez moi ça!....." les supplia-t-elle d'une voix chevrotante.

Puis Martina se remit à la lécher.

La douleur émanant de son nibard se heurtait au plaisir irradiant sa foufoune.

Puis petit à petit son téton s'engourdit alors que le plaisir grandissait dans sa foufounette.

Soudain elle arrêta de nouveau, Cynthia hurla à nouveau alors que Brandi refermait une autre pince sur son téton gauche.

Cynthia se débattait de toute son énergie dans les liens qui l'entravaient.

Elle lutta encore plus farouchement lorsque Martina se releva et saisit les deux pinces, étirant ses mamelons torturés.

- "Je vous en prie arrêtez ..... pleurnichait Cynthia affolée par la douleur.

Mais Martina se remit à lui brouter le gazon.

Son téton gauche s'engourdissait à son tour, alors qu'une fois encore sa chatoune s'affolait sous les caresses labiales de l'habile gouine.

Elle tendit le ventre en avant réclamant de nouvelles caresses, elle haletait alors que son excitation grandissait, cela lui importait peu maintenant que ce soit les mains ou même les lèvres d'une femme qui la travaillaient, elle ne se souciait plus que son envie de jouir.

Mais son envie de jouir se mut en de terribles cris de douleur alors que quelque chose d'infernal lui mordait atrocement son clito dardé, elle hurla réalisant qu'une troisième pince se refermait sans pitié sur son petit haricot.

Elle avait pensé que la douleur émanant de ses tétons était terrible mais ce n'était rien comparé à cette effroyable torture lancinante.

- "Feras-tu tout ce qu'on te demandera si j'enlève ces pinces?....." Lui demanda suavement Martina.

- "Ou .....Oui ....." balbutia Cynthia folle de douleur.

- "Alors bouffe la chatte de mon amie!..." lui ordonna une Martina impitoyable.

Brandi avait déjà enlevé ses habits et grimpait sur la table d'examen se postant au dessus du visage de Cynthia.

Cynthia jeta un oeil affolé sur la chatte rasée à quelques centimètres de son visage.

- "Je ..... Je n'ai jamais ...."

Sa protestation mourut dans un cri déchirant alors que Martina empoignait la pince martyrisant son clito pour l'étirer sauvagement.

Vaincue, elle tendit la tête pour enfouir son visage dans l'entrecuisse de son assaillante et entreprit de lui lécher la fente.

Brandi chaloupa des hanches, se plaçant en bonne position pour que l'infortunée nurse puisse lui bouffer correctement la chatte.

Elle était déjà trempée, elle se mit tout de suite en action.

Cynthia cherchait à faire abstraction de la douleur émanant de son entrecuisse alors qu'elle broutait servilement la fentine de cette sale gouine.

De toute sa vie, elle n'avait jamais été tentée d'avoir des rapports sexuels avec une autre femme.

Et voilà qu'en cet instant elle mâchouillait la chatoune d'une inconnue, faisant de son mieux pour combler ces deux tourmenteuses.

Alors qu'elle suçait sa partenaire elle sentit qu'on lui sondait la cramouille, elle pensa tout d'abord qu'il s'agissait des doigts de Martina, mais elle réalisa très vite que c'était quelque chose de bien plus gros.

Elle se demandait bien ce que cette salope cherchait à introduire dans sa moule.

Sa cramouille était de plus en plus distendue à la limite de la rupture, elle voulut crier mais ses plaintes de perdaient dans la chatoune qu'elle broutait consciencieusement.

Brandi se tortillait sous les caresses enivrantes de la bouche inexpérimentée, elle gémissait d'extase emportée par un orgasme fulgurant.

Cynthia savait que la jeune femme jouissait sous les caresses de sa langue, elle sentait sa cyprine lui couler sur les joues alors qu'elle continuait à la lécher servilement.

Finalement ayant joui par tous les pores de sa peau, Brandi se releva et la désenfourcha ,descendant de la table d'examen.

Cynthia jeta un oeil vers le bas entre ses jambes, elle vit alors que Martina lui enfonçait de force une grosse bouteille en plastique dans la foufoune.

Elle faisait bien 30 cm de long et 20 cm de diamètre, elle était déjà parvenue à l'emboîter de moitié dans sa chatte horriblement distendue.

- "Tu aimes?....." lui demanda Martina se marrant comme une brute.

- "Non ..... Bien sur que non ....... Enlevez moi ça!......" cracha Cynthia en retour.

- "Voilà tout ce que tes protestations te rapporteront!....." la railla Martina tirant de façon saccadée sur la pince provoquant une multitude d'élancements douloureux dans sa chatte et ses lombes.

- "Regarde moi ça ....." intervint alors Brandi lui présentant un godemiché en plastique imitant parfaitement un pénis en pleine érection.

Cynthia reconnut immédiatement le leurre, c'était l'un des modèles dont se servait monsieur James pour démontrer le fonctionnement d'une bite.

Elle avait souvent plaisanté avec ses collègues prétendant qu'elles aimeraient toute trouver un homme aussi bien monté que ça.

- "Amène le moi!...." intervint alors Martina.

Elle saisit le gode et commença à le frotter entre les jambes de Cynthia.

La plus jeune s'était accroupie et écarta ses cuisses en grand, le leurre pouvait maintenant glisser dans toute sa fentine.

Lorsque Martina pensa qu'il était suffisamment lubrifié, elle le pointa tout contre l'étroit anus de Cynthia qui frémit de peur.

- "Oh non ..... Je vous en prie ..... Pas ça ..... Pas dans mon anus!......" hurla Cynthia paniquée.

Martina éclata de rire alors qu'elle poussait le gode en avant, l'introduisant lentement dans l'œillet ridé de la belle odalisque.

- "Es tu prête maintenant?...." lui susurra-t-elle égrillarde à souhait.

Cynthia hocha la tête.

- "Ce n'est pas assez!...." dit-elle retirant un peu l'épais leurre de son trou du cul.

- " Supplie moi de te laisser brouter ma chatte!....."

Cynthia ne parvenait pas à croire ce à qu'on exigeait d'elle.

- "S'il vous plait ...... Donnez moi votre chatte à lécher!...."

Martina grimpa sur la table d'examen et enfourcha le visage de Cynthia.

Cette dernière pensa tout d'abord qu'elle risquait d'étouffer, mais trouva bien vite la bonne méthode pour respirer par le nez, elle se mit à brouter le second chaton qu'on proposait à sa convoitise.

Tandis qu'elle broutait le gazon de Martina, Brandi prit place entre ses cuisses et se mit à la pistonner avec la bouteille en plastique un doigt fourré dans son anus, ce qui ne faisait qu'ajouter à la confusion de la malheureuse infirmière saoulée de caresses.

- "Oh oui, bouffe moi la chatte petite salope!..... " s'écriait Martina pressant sa chatte contre le visage de Cynthia.

Elle savourait tous ces instants et était déterminée à se vider dans la bouche de la jeune infirmière.

- "Oh oui ......" cria-t-elle soudain submergée par un orgasme fulgurant alors que Cynthia continuait à lui brouter le gazon.

Cynthia sentait la chatte de Martina battre contre son visage elle savait pertinemment qu'elle succombait à un orgasme d'une rare intensité, elle continuait de la lécher la faisant rebondir d'orgasme en orgasme.

Puis finalement Martina s'écroula.

Elle s'allongea de tout son long se débrouillant pour que sa chatte reste contre les lèvres de Cynthia, coinçant la tête de la petite infirmière entre ses jambes pour l'empêcher de tourner la tête.

Elle regarda Cynthia droit dans les yeux avec un large sourire.

- "C'était merveilleux ma petite Cynthia, tu as bien gagné ton dessert!....."

Cynthia sentit un liquide chaud sentant fort lui inonder la bouche, elle voulut fermer la bouche mais il était bien trop tard, Martina lui pissait dans la bouche.

- "Avale ma chérie ...." lui intima Martina hilare.

Cynthia n'avait guère le choix en la matière, elle devait soit avaler soit étouffer, aussi ingurgita-t-elle péniblement l'urine de Martina.

Une fois qu'elle se fut vidée la vessie Martina se releva.

- "Et maintenant on va te donner bien du plaisir!....."

Elle saisit les pinces ornant ses tétons et les retira vivement.

Cynthia pensait avoir souffert tout à l'heure, mais l'afflux de sang dans ses tétons engourdis lui octroya une douleur bien plus intense que les pinces elles mêmes.

Puis les deux jeunes femme lui sucèrent tendrement ses mamelons meurtris.

Martina se dirigea alors vers son entrecuisses, elle commença par lui enlever la bouteille de plastique enfouie dans sa chatte, puis desserra la pince refermée sur son clito, Cynthia hurla à nouveau de douleur.

Sa peine diminua rapidement sous les caresses de la langue de Martina qui fourrageait dans sa foufoune.

Cynthia roulait des yeux en sentant son corps répondre à ces assauts lubriques.

Brandi lui suçait toujours les tétins alors que Martina s'occupait de sa féminité exacerbée.

Cynthia haletait de plus en plus fort, sa jouissance était intense.

- "Oh mon Dieu ..... Oh oui ..... Faites que je jouisse ..... Je vous en prie je veux jouir!......." hurlait-elle en plein délire.

Sa prière se réalisai soudainement, sa chatte explosa en extase alors qu'un dernier orgasme la faisait trembler de la tête aux pieds.

Elle avait souvent joui cet après-midi, mais pas encore avec une telle intensité.

Elle secouait la tête en tous sens hurlant sa joie alors que la jeune femme la tête entre ses cuisses continuait imperturbablement ses caresses.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les infortunes de l'infirmière, par Coulybaca - Communauté : Soumissions féminines
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