Dimanche 1 janvier 7 01 /01 /Jan 21:10

Chapitre 2: Travail, obéissance et chasteté

 

Cette première journée fut consacré à faire connaissance avec ma nouvelle vie de détenue, et après le repas du soir, soupe tiède et pain sec, je fus conduite en cellule. Je partageais cette pièce minuscule avec quatre autres jeunes femmes. Il n’y avait que trois lits. Une fille dormait déjà par terre sur un matelas. Mais pas de matelas pour moi, je dormirais sur les dalles enveloppée dans une couverture. Je n’osais protester.

« Et touchez pas à la nouvelle, bande de salopes, je branche la caméra » prévint la gardienne avant de fermer la lourde porte.

En effet, une caméra fixée dans un angle était braquée sur nous. J’avais ôté ma robe et m’étais enveloppée, nue, dans le drap avant de m’enrouler dans la couverture le plus vite et le plus discrètement possible. Mais mes codétenues avant gardées les yeux sur moi, et leurs regards vicieux ne m’avaient pas échappés. Heureusement que la caméra me protégeait !

Je profitais de cette relative intimité pour demander à ma voisine des explications sur la vie de la prison. Voici en résumé ses propos, échangés à voix très basse, serrée l’une contre l’autre.

« La vie ici est elle vraiment très dure ?

« Plus que tu ne l’imagines… A la privation de liberté s’ajoute le travail et surtout l’abstinence sexuelle, très dure pour des jeunes femmes, ici depuis des mois, voir des années…La moindre relation est impitoyablement punie…et les gardiennes, sadiques, ajoute des aphrodisiaques aux repas…certaines d’entre nous en deviennent folles…surtout avec le travail…Sais tu en quoi il consiste ? Il faut mettre en sachet, douze heures par jour, des godemichets et des vibro masseurs pour une entreprise de VPC. Pendant douze heures on doit manipuler des gros sexes plus vrais que nature, des vibro dont on imagine sans peine le plaisir qu’ils peuvent délivrer…La nuit on ne rêve plus qu’a ça…Certaines craquent, se retrouvent discrètement sous les douches, ou derrière la chapelle… ou encore se caressent seules… Mais il y a toujours une gardiennes dans les parages, quant ce n’est pas une détenue qui dénonce, par jalousie…

« Il paraît que les punitions sont doublées si… enfin, si on est pas restée chaste ?

« Exact, que tu ai fauté volontairement ou que des codétenues t-aient forcée, peu importe. Doublées ou triplées…La directrice est une spécialiste du bondage. Elle nous ligote pendant des heures dans son bureau…la nuit c’est le cachot…on est fouettée matin et soir…on est au pain sec et à l’eau, mais toujours mêlé d’aphrodisiaque…

« Tu as été punie ?

Ma camarade hésita un instant

« Oui une fois…j’étais incarcérée depuis quatre mois…je n’en pouvais plus…je crevais d’envie…j’ai cédée à une amie, sous la douche…Elle m’a fait jouir très fort …Je n’ai pu m’empêchée de gémir de plaisir…Une gardienne est arrivée, et j’ai pris pour un mois de cachot…Tiens, rien que de penser à cet orgasme, je mouille encore…

A l’idée que ma camarade était encore excitée à ce souvenir je sentais une chaleur sourde envahir mon bas ventre. Moi aussi, j’avais envie, je me sentais devenir garce. C’est à cet instant que je compris que dans cet univers reclus et avec les traitements qui étaient infligés aux détenues, j’allai très vite ne plus pouvoir penser qu’au sexe, que j’allai devenir totalement obsédée.

 

« Et la directrice t’a ligotée ?

« …oui…Pendant trois jours j’ai eu droit à un bondage sévère dans son bureau…Ligotée sans pouvoir faire le moindre mouvement…Et pour me punir, elle m’avait introduit deux boules dans le sexe…Je mouillais comme une folle, sans pouvoir jouir….

« Ca durait longtemps ?

« …la journée entière…en fait elle me préparait…

« A quoi ?

« La directrice est une lesbienne, c’est connue. D’ordinaire, elle a des relations avec les gardiennes. Mais quand l’une d’entre nous est punie, on devient sa proie…

J’étais de plus en plus excitée par le récit de ma camarade

« Ensuite ?

« Elle m’a libérée, m’a fixé une ceinture de chasteté, fermée par cadenas…Elle a voulue que je la lèche toute la nuit….je lui ais donné ainsi de nombreux orgasmes, sans pouvoir jouir moi même…si tu savais comme elle crie quand elle jouit !

« Et tu as gardé longtemps cette ceinture ?

« …je…oui…je l’ai encore…depuis trois mois…je la garderais jusqu’à la fin…encore un mois à tenir…
Elle termina sa phrase dans un soupir de frustration. Soulevant légèrement le drap, elle me montra son ventre, effectivement emprisonné dans une large ceinture de cuir qui lui recouvrait entièrement le sexe…je glissais ma main sur le cuir, tirait sur la boucle de fermeture, appuyait sadiquement sur son pubis prisonnier…Elle gémissait en me suppliant d’arrêter. Je prenais plaisir à la torturer ainsi et à la voir dans cet état, mais moi, je ne valais guère mieux…

Le lendemain, comme toute nouvelle arrivée, je dus passer une visite médicale et je fus conduite, par deux matonnes, jusqu’à l’infirmerie. Outre une jeune infirmière moulée dans une blouse blanche à demi transparente sous laquelle on devinait sans peine sa nudité, il y avait la Directrice, toujours aussi raide, les deux gardiennes, et trois autres jeunes femmes, des détenues comme moi, qui sans doute attendaient leur tour.

L’infirmière me mesura, me pesa, prit ma tension et me fit lire en me cachant alternativement un œil sur un panneau à trois mètres de distance. Jusque là, rien que de très classique. Je m’en tirais bien !

« Enlève ta robe »

L’ordre de la Directrice claqua sec : il fallait obéir. Je dégrafais mon habit, et bien sur, ne portant aucun sous vêtement, j’apparue dans le plus simple appareil devant les sept femmes qui faisaient cercle autour de moi.

« Allonge-toi là » me demanda l’infirmière d’une voix douce, sans doute pour me mettre en confiance. Je m’allongeais donc sur la table de gynécologie vers laquelle elle me poussa. Je glissais de moi même mes pieds dans les étriers prévus à cet effet. Une gardienne me lia immédiatement les chevilles avec des courroies de cuir, pendant que sa collègue, me saisissant les poignets, me ramena les bras au dessus de la tête, et les attacha solidement avec de semblables courroies. La Directrice acheva de m’immobiliser en fixant une dernière courroie autour de ma taille, me maintenant étroitement le bassin plaqué sur la table. Plus aucun mouvement ne m’était possible, et l’infirmière, actionnant une petite manivelle, augmenta l’écartement de mes jambes au maximum : j’étais désormais offerte largement ouverte aux yeux de toutes…

Tous ses préparatifs m’avaient troublée, mais maintenant, ma situation de totale dépendance commençait à m’exciter singulièrement. Ma fente s’ouvrait d’elle même, et je sentais une humidité sournoise autant que délicieuse m’envahir le sexe.

« Tu es vierge ? demanda la Directrice
« …non…je…non madame…
« Madame qui ? fit elle durement en écartant mes lèvres, maintenant toute mouillée
« …Madame…Madame la…la Directrice

« Vérifiez sa propreté fit elle en s’écartant devant l’infirmière

La jeune femme n’attendait que ça. Profitant de mon impuissance, elle enfonça deux doigts dans mon vagin sans défense. Je poussais un gémissement de surprise et de plaisir. Plus de plaisir d’ailleurs que de surprise.

« Montrez son clitoris demanda la Directrice

L’infirmière, en vrai technicienne (techichienne devrai je dire !) trouva sans peine mon petit bourgeon déjà bien gonflé et le titilla jusqu'à ce que mes gémissements, l’alertant sur mon état, la fissent arrêter.

« Maintenant vérifiez le point G poursuit la Directrice

Je n’en croyais pas mes oreilles. Offerte sans défense, déjà passablement excitée, elle allait me faire jouir à coup sur… Effectivement, ses doigts me pénétrèrent au plus profond, se tendirent, s’agitèrent, et enfin s’immobilisèrent sur la zone sensible. J’étais arrivée au bord de l’orgasme, tendue dans mes liens, haletante. Mais elle se retira, me laissant insatisfaite, pantelante, à demi consciente.

« A vous maintenant ordonna la directrice à l’une des gardiennes. Et je du subir de nouveau les mêmes attouchements de cette femme, moins délicate cependant que l’infirmière, mais qui su cependant s’arrêter à temps avant que mon plaisir n’éclate.

Puis ce fut le tour de la seconde gardienne, et successivement des trois détenues…Toute honte bue, je les suppliais de m’achever, de me faire jouir, de me prendre, puisque j’étais à leur merci. Mais elles s’y refusèrent, obéissant certainement à une consigne de la directrice. Enfin elles se retirèrent, me laissant seule, attachée, frustrée et gémissante.

« On te délivrera quand tu sera calmée » fit la Directrice en fermant la porte.
Combien de temps restais je ainsi, immobile, liée sur cette table, le feu au ventre ? Une heure ? Deux heures ? Peut être trois ? Peu à peu je me calmais, la fièvre retomba, mais une sourde chaleur rayonnait toujours dans mon ventre. Enfin l’infirmière revint et me délivra. Je remis ma robe et une gardienne me conduisit à la chapelle.

Nous pénétrâmes dans la chapelle, obscure et fraîche, aux murs massifs. Face à l’autel, une vingtaine de prie dieu, et dans un angle un confessionnal de bois sombre étaient le seul mobilier.

Sur l’ordre de la gardienne, je me mis à genoux sur les dalles de l’allée centrale. Elle me lia les mains derrière le dos avec des menottes.
« Attend ton confesseur et bouge pas » puis elle partit, me laissant seule dans le silence impressionnant des lieux.
A la vue de la croix d’argent qui brillait toujours à mon cou, la Directrice avait conclue que je devais être catholique pratiquante, et à ce titre, que je devais me soumettre aux obligations de ma foi. Elle avait aussi ajouté que ma conduite se devait d’être irréprochable, et que tout écart serait doublement sanctionné. Voilà pourquoi j’étais là, à genoux depuis maintenant une heure dans cette chapelle silencieuse. Nue sous ma tunique d’uniforme, je commençais à ressentir des frissons, et le froid faisait durcir mes pointes de seins…
D’ailleurs, mon corps n’avait encore oublié le traitement spécial de l’infirmerie, et un sourd désir me taraudait en permanence, rendu plus intense encore par l’état de soumission ou l’on m’avait laissée.

Enfin mon confesseur arriva. Je le vis à peine. Il s’engouffra dans le confessionnal sans un mot. Me redressant avec peine, je l’y rejoignis. Je m’agenouillais dans l’obscurité, les mains toujours liées derrière le dos. La position m’obligeait à cambrer, rendant bien visible les pointes de mes seins qui pointaient sous le nylon.

« Bénissez moi mon Père, j’ai beaucoup péchée… (ça c’était bien vrai…)
« Je t’écoute fit il d’une voix sourde
Je décidais de jouer le jeux et d’être sincère dans ma confession. Je pensais que ma franchise me vaudrait l’indulgence, et peut être assouplirait quelque peu ma condition dans cette prison.
« J’ai commis le péché de chair…
« Seule ou avec d’autres ?
« …Seule…et avec d’autres…
« Quand la première fois ?
Il me fallut donner tous les détails, préciser les circonstances, les lieux…
« Et les autres fois ?
Je dus parler des garçons avec qui j’avais couché, toute jeune fille, et chaque fois mon confesseur voulait plus de précisions : comment j’avais jouis, combien d’orgasmes, quelles positions j’avais prise.
« As tu connu des femmes ?
Il me fallu bien avouer que, oui, effectivement, je m’étais donnée également à des femmes, et là encore, décrire avec minutie mes aventures.
A ce stade de la confession, j’étais devenue brûlante entre les cuisses, je coulais sans retenue, et je comprenais pourquoi on m’avait laissé les menottes : sinon je me serais déjà sûrement caressée…
« Et avec ton amant ?
« Oui…je fais l’amour presque toutes les nuits…Parfois plusieurs fois dans la nuit…C’est un étalon insatiable »

Il sentait combien toutes ces souvenirs me troublaient, et il prenait un plaisir sadique à exiger un luxe de détails, sachant que leur évocation ne pouvait que m’exciter davantage. Je dus donner toutes les précisions, et effectivement, j’étais maintenant bien allumée. Mais je dus encore avouer que je me masturbais très souvent et finalement le tableau que je donnais de moi était celui d’une parfaite salope qui ne vit que pour et par le sexe.

« Tu es vraiment une grande pécheresse, me dit il, je ne sais pas si je peux t’absoudre si facilement. En attendant va te mettre à genoux au pied de l’autel et attends ma décision »

Ce que je fis en silence. Et je me retrouvais sur les dalles de granit, agenouillée, droite et tendue au pied de l’autel. J’avis les poignets endoloris par les menottes que je portais depuis deux heures maintenant. Mais surtout, ma confession m’avait mis dans un état d’excitation incroyable : je crois bien qu’un simple attouchement sur les seins ou le ventre m’aurait fait jouir immédiatement. Une mouille chaude coulait sans arrêt de mon sexe embrasé, inondant mes cuisses que laissait nues ma blouse trop courte. J’étais morte de honte d’avoir tellement envie. Je dus attendre près d’une heure dans cet état.
Enfin mon confesseur revint.
« Je vais t’absoudre, petite salope, mais ta pénitence sera sévère. Tu acceptes ? »
Je n’avais pas le choix si voulais retrouver la paix avec ma conscience teessayer d’amadouer le prêtre pour m’en faire un allié…
« Tu seras transférée au cachot pour la totalité de ta peine et fouettée matin et soir par les gardiennes : tu es bien trop sensuelle pour rester en cellule. Nous verrons ensuite quelles mesures prendre à ton égard. »

La sentence, car ce n’était pas autre chose me laissa sous le choc.

 

Il me confia aux bons soins d’une gardienne, qui m’emmena aussitôt sous la douche glacée pour me calmer…..

Je passais une dernière nuit en cellule, ou l’on me laissa menottée, par sécurité. Malgré la caméra, mes compagnes, me voyant sans défense, ne se privèrent pas de se livrer à des attouchements impudiques. Surtout la jeune Nathalie, celle qui portait en permanence une ceinture de chasteté. Elle se vengea en laissant des heures ses doigts caresser mon pubis, et descendre à vers mes grandes lèvres inondées de nouveau, refusant de me faire jouir…Je dormis très mal et j’en vins à être satisfaite d’être isolée au cachot pour la suite de ma peine!

 

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Dimanche 1 janvier 7 01 /01 /Jan 21:01

A peine crée, ce blog rencontre un franc succès auprès des amateurs d'érotisme. Je vous remercie de votre intérêt pour mes modestes petites histoires. Noel est passé, et le père Noël est retourné à ses occupations . . . 

 

December02.jpg

. . . et même si j'apprécie également ce genre d'occupations, je vais continuer à sauvegarder assez de temps libre pour alimenter mon blog des histoires que j'ai déjà écrites, de nouvelles histoires, mais aussi de récits d'autres auteurs que j'ai tout particulièrement apprécié, et dans lesquelles vous devinez que la gente féminine prends du plaisir, mais de façon un peu . . . contrainte . . . pour leur plus grand plaisir!

 

Mais ce blog est aussi le votre! N'hésitez pas à laisser vos avis en commentaires, à me proposer des posts (récits, photos, dessins, etc;). L'érotisme ne vaut que s'il est partagé!

 

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Samedi 31 décembre 6 31 /12 /Déc 22:04

Bonne et heureuse année 2012! En espérant que mon modeste Blog y contribuera un peu!

 

january

 

(Oui, le très beau dessin de "Deucesworld" date un peu!)

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Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 22:40

Et encore une étudiante Thaï en uniforme! Il n'y a pas à dire, cet uniforme est superbe! Il doit être très difficile d'être enseignant dans ce pays!

 

Thai-Student.jpg

 

Vu sous cet angle, je suis clairement pour le rétablissement de l'uniforme en France! Et d'urgence!

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Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 22:26

 

     Je me réveille à l'aube avec mon envie matinale habituelle d'uriner. Jean dors encore à mon côté. Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J'en profite pour jeter un regard sur son beau corps endormis et nu (nous avons fait l'amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre). Son petit sexe rose est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J'en suis toute attendrie... Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente. Ouf, il ne s'est pas réveillé ! Aujourd'hui, je veux lui faire une surprise...

     Tout d'abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seul quelques matinaux sont réveillés et s'activent en silence, soit pour confectionner un petit-déjeuner, soit pour préparer leurs sacs à dos, en vue d'une randonnée. Sur le chemin, plusieurs me sourient et la plupart m'appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très visible, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres : je suis intégralement nue en permanence, le sexe rasé de près, depuis que j'ai gagné le concours de " Miss Camping " du début du mois. Bref, tout le monde connait « Coralie, Miss Camping 2006 » !

     La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m'ont rendus la tâche aisée. Mais quelques uns et surtout quelques unes n'ont pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner... Mais j'ai décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, j’étais en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pensais que ne verrais jamais plus ces gens. Bref, pour moi, c'était une parenthèse originale dans ma vie, qui devait reprendre son cours normalement après les vacances...Il y allait avoir loin de cette rêverie à la réalité !

     Arrivée aux toilettes, je tombe sur un homme que je ne connais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement et ses raisons. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire et ma docilité, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses. Enfin, il s'empare de mes seins qu'il malaxe sans ménagement. Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j'ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c'est le train-train !

     Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d'une trentaine d'année. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : « Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse ».

D'abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. J'accepte donc. Que de chemin parcouru depuis le concours de Miss Camping, ou je rougissais de honte, la peur au ventre, dès qu’un homme me touchait ! Maintenant, j’ai toujours la peur au ventre, mais je les attends presque les caresses ! Et lorsqu’elles arrivent, c’est avec plaisir que je les accueille.

     Me voici donc debout, les jambes écartés et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d'uriner, toute honte bue, devant un illustre inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches... Au début, l'urine a du mal à venir : l'inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perlent tout d'abord sur mes lèvres intimes, puis soudain un jet dru arrive. L'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette " production ". Avec ses doigts, il s'amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses. Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit " Retiens-toi maintenant". Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : " C'est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fait le poirier ".

     Sous le charme, je m'exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces !). Je m'appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrés tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l'aise, les cuisses ouverte et le sexe offert bien malgré moi. En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée : " Maintenant, continue à pisser ". Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée... mais il ne laisse pas sa prise et répète " Pisse ". Je me concentre alors pour satisfaire son désir, d'autant que j'ai aussi encore bien envie. Mais l'urine ne veut pas sortir... Il me dit " Concentre-toi, j'attendrais aussi longtemps qu'il faudra ".

     Plusieurs minutes s'écoulent alors. J'en profite pour lui dire que j'ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s'écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L'urine coule d'abord sur mon sexe, puis coulant sur mon « abricot » rasé de près, elle s'écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d'autre de mon cou. Je me couvre littéralement d'urine ! Cependant, la sensation qui en découle n'était pas désagréable. Au contraire, je me sens bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau. Lorsque j'ai finit, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit : « Je crois qu'il y a des douches là derrière. Vas-y, tu l'as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout! ». Puis il s'en va, non sans avoir tapoté et caressé langoureusement une dernière fois mon fessier. Le regard qu’il lui a alors jeté me laissait clairement deviner qu’à notre prochaine rencontre, c’est à d’autres types de besoin qu’il allait me contraindre.

     Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cet heure. Mais l'eau chaude n'est pas encore en marche : c'est une douche froide qui me remet de mes émotions !

     Ensuite, trempée car je n'ai pas de serviette, je m'oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c'est la " surprise " que je veux faire à mon homme). C'est le gérant qui m'accueille. Dès la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser... Encore une fois, il profita de la situation... Me voyant mouillé, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cet heure), ce que j'accepte avec plaisir car j'ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins... Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu'il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.

     Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivé d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide... Mes seins pendent, dur comme de l'acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j'attends avec impatience l'arrivé du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartées. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir...

     Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie : " Maintenant qu’elle est bien chaude, qui veut la caresser ? ".

Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse son bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime qu’il porte à sa bouche. Honteuse, je dois endurer des remarques du type " C'est vraiment une pute, elle aime ça ! " pendant que d'autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue).

Les caresses se font de plus en plus insistantes et intimes : des doigts pénètrent ma chatte, titillent mon clitoris, puis un index s’introduit brutalement dans mon anus ! C’est la première fois qu’on me pénètre par ce côté. La douleur est forte, mais comme les caresses sur ma vulve se font de plus en plus insistantes, le plaisir arrive. Par réflexe, j’abaisse mon bassin, me cambre au maximum en écartant les cuisses, poitrine offerte. J’allaite comme une femelle en chaleur ! Alors que le doigt va et vient dans mon cul, qu’une main me tripote la moule, que deux mains me malaxent les seins, une autre main s’abat sur mes fesses avec violence.

« Jouit salope ! Jute à fonds ! » cri le nouvel intervenant. Un vertige me saisit. Je jouis sans retenue et m’affale sur la table. Je crois entendre « sacrée traînée, dans une semaine on va pouvoir en faire ce que l’on veut . . . y compris l’emmener à poil au marché ! ».

Je reprends peu à peu mes esprits. Je suis seule avec le gérant. Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venu chercher et part sans demander mon reste...

     En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort tout en me tirant sur les seins que je pousse un petit cri de douleur.

Décidément, mes électeurs n’étaient pas des gentlemen’s.

     Les larmes aux yeux, je regagne la tente.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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  • : Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
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  • : femmes Histoires érotiques
  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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