Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 21:17

 Sally Mist est entrée dans sa maison après un bon jogging pour terminer sa matinée. Elle était exténuée. La sueur coulait sur son front et avait trempée sa tenue de sport moulante. En entrant chez elle, elle n'en cru pas ses yeux.


Là, assis dans son fauteuil, complètement nu, Brian, le jardinier du campus, se faisait sucer par une blondasse genre Bimbo.


 «Que se passe t-il ici?", s'écria t-elle


 Brian sursauta et totalement paniqué, se rhabilla.

 

 "Je peux tout vous expliquer Sally. Nous étions juste en train de s'amuser un peu. ".


La jeune fille aux pieds de Brian aussi se leva et Sally n'en cru à nouveau pas ses yeux. Jane. Cette salope de Jane ! La  personne qui a elle seule avait causé à Sally plus de problèmes que tous les autres étudiants sur le campus. Un large sourire se dessina sur les lèvres de Sally.


«Il m'a violée. Lui, et le doyen, et les bibliothécaires ! Il faut tous les arrêter dès maintenant! ", a crié Jane à Sally.


«Je ne l'ai pas violée. Elle aimait tout cela! . . . Elle n'a pas arrêté de jouir comme une dératée !", s'est défendu Brian.


«L'accusation de viol est une chose sérieuse !", dit Sally, le sourire toujours sur son visage. « Jane, expliquez moi ce qui s'est passé, en détail ! »


Jane, toujours nue, a rapidement tout dit à Sally sur le médicament qui lui avait enlevé son libre arbitre.


"Est-ce vrai Brian ?" a demandé Sally.


"Je pense que oui, Miss Mist, elle a fait tout ce que je lui ai demandé.", a répondu Brian, les yeux vers le sol.


"Très bien Brian, sortez de ma maison. Ne dite pas un mot de tout cela à personne. Vous avez eu votre part du gâteau. Je la prends en main à partir de maintenant. ", lui a dit Sally.

"Oui madame!", répondit Brian en sortant sans demander son reste.

 

Sally éclata de rire.


"Oh Jane, Jane, Jane. Asseyez-vous dans mon fauteuil et jouez avec votre chatte ! Je veux voir les doigts se déplaçant dans et hors de votre trou! ", dit Sally.


La main droite Jane s'est rapidement déplacée vers sa chatte,  3 doigts s'enfoncèrent dans son trou et commencèrent  à entrer et sortir. Sa mouille commença à s'écouler sur son poignet.


"S'il vous plaît, je veux que ces personnes soient arrêtées. Ils n'ont aucun droit de me faire ça! ",

 

"Pas le droit? Vous osez me parler de droits!", a déclaré Sally à Jane. «Vous m'avez fait des problèmes plus que tout autre étudiant sur ce campus. 215 plaintes contre des étudiants de sexe masculin et le personnel de cette université en un semestre seulement! Nous sommes maintenant classés comme le pire des campus de l'état en raison de votre nombre de plaintes et avons perdu tous nos fonds fédéraux pour le service de sécurité, ce qui a causé la perte de 8 agents  pour protéger les étudiants qui en ont vraiment besoin. J'ai perdu 15 points de mérite à mon dossier en raison des plaintes que vous avez déposées puis représentées au contrôleur de sécurité de l'Etat. Moi qui avec à peine 26 ans avait le meilleur score des Universités ! Le local de la police ne réponds plus à mes appels à l'aide en pensant que  c'est juste une autre fausse alarme de votre part. Ma chère, ne me parlez pas de droits. Après tout, comme Brian l'a dit, personne ne vous a contrainte ou violentée, vous n'avez fait qu'obéir de votre plein grès ! »

«Vous allez payer aussi  pour ça! ", cria Jane


"Ne criez pas ma chère, vous pouvez parler, mais ne criez pas . . . en outre, à partir de maintenant vous ne jouirez plus lorsque vous entendrez le mot  « con », mais seulement lorsque je vous le dirai", lui ordonna Sally.


Jane ne pouvait pas le croire. Ses doigts se déplaçaient dans et hors de sa chatte qui devenait de plus en plus chaude et lubrifiée. Son clitoris durcit. Son visage et sa poitrine passaient au rouge vif.


«Jane», dit Sally, "Vous pouvez arrêter de vous fouiller la moule ! Vous avez vraiment l’air d’une pute ! Allez à l'étage prendre une douche. Une douche bien froide . . . glacée en fait. Et puis peignez bien vos cheveux soigneusement et agenouillez-vous dans la salle de bain, mains sur la tête et attendez-moi. Et n'oubliez pas de bien nettoyer votre chatte! Et vite. ".


Sally admira les fesses et les seins rebondis de Jane bien exposés à sa vue pendant que cette dernière montait l'escalier et entrait dans la salle de bains.


« Putain que c'est bon d'avoir cette garce à ma botte ! », pensa Sally.


Elle se dirigea vers son téléphone et composa un numéro.

"Bonjour, Brad. C'est Sally. Vous n'allez pas me croire, mais j'ai cette chienne de Jane chez moi, prête et disposée à faire tout ce que je lui dis ! Ecoutez, venez avec votre caméra vidéo et persuadez
Rod de venir ici rapidement. . . Ouais, vous pouvez venir avec une autre personne si vous le voulez !".

Sally entendit la douche à l'étage. Souriante, elle gravit les marches à son tour.

Jane fit couler l'eau froide comme Sally l'avait ordonné. Ses mamelons s'érigèrent au contact de l'eau.

 

« Ils paieront tous ! », pensa t-elle.


Ses mains saisirent le savon, et elle commença à frictionner son corps, à laver toutes les parties de son corps, à écarter les lèvres de sa chatte et la laver en profondeur. Elle ferma l'eau et sortit,
saisissant une serviette pour se sécher. Elle a alors saisit un peigne et a commencé à se peigner les cheveux. Elle se mit enfin à genoux, mains sur la tête, juste à temps pour voir Sally pousser la porte et la regarder.


«Je vais vous faire aller en prison pour cela!", lança Jane.


Sally sourit en enlevant son short de jogging puis sa culotte, exposant ainsi sa toison pubienne noire.

"Saviez-vous que je suis bisexuelle Jane . . . ?", demanda Sally.


«Oh non . . . », dit Jane, la voix tremblante.


"Maintenant, mettez  vos mains derrière la nuque et détendez-vous un peu en inclinant la tête vers l'arrière de façon à ce que je puisse poser ma chatte sur vos lèvres délicieuses ! »


En disant cela, Sally frotta sa chatte avec la main droite et sa mouille commença à couler. De sa main gauche, elle se frottait les seins à travers son maillot.


«Non, s'il vous plaît ne me faites pas cela, s'il vous plaît!", supplia Jane, tout en inclinant la tête vers l'arrière.

"Relax Jane . . . ça va vous plaire", déclara Sally alors qu'elle plaçait sa chatte sur la bouche de Jane. Elle saisit les cheveux de Jane et plaqua le visage de celle-ci sur sa moule.

«Maintenant, Jane, rappelez-vous, de votre dépendance à la mouille ! Je veux que que vous tiriez la langue dans mon trou, puis me léchiez  mon clito, et recommenciez jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter! »


La langue de Jane entra en action, s'enfonçant profondément dans l'anus de Sally puis léchant sa vulve, titillant son clitoris, puis s'enfonçant dans son trou, aspirant tout son jus. Son nez était
chatouillé par les poils pubiens de la jeune femme, l'odeur extrêmement salée, musquée
presque suffocante la prenait aux narines.

 

« Elle aurait fait mieux de prendre aussi une douche après son jogging », se dit Jane.


Prise par le plaisir, Sally plaqua encore plus fortement la bouche de Jane contre sa chatte.  Elle se rapprochait de l'orgasme, la langue de Jane la rendait folle de désir, . . . dans et hors de son trou, autour de son clitoris, puis de nouveau en elle, elle était d'une agilité diabolique !

 

Sally gémit bruyamment, oscillant sur langue infernale.

L'orgasme lui saisit son corps, ses mains plaquant le visage de Jane contre sa chatte. La jeune fille ne pouvait plus respirer.

 

Vidée, elle a relâcha Jane.


Jane, bien obéissante a continué à lécher jusqu'à la dernière goutte.


"Vous pouvez arrêtez maintenant Jane.", dit Sally.


"Levez-vous et lavez votre visage. Ensuite, nous allons passer dans la chambre pour plus de plaisir. ", lui ajouta Sally.


«Je vais vous faire condamner!", a menacée Jane comme elle se levait et se mit à se laver le visage.


"Bien sûr Jane, bien sûr. Quand nous aurons fini avec vous, non seulement vous aurez perdu votre libre arbitre, mais en plus, vous ne menacerez jamais plus quiconque à nouveau! ", a déclaré Sally.


"Nous? Quel voulez-vous dire?", a demandé Jane, la panique dans la voix.

 

"Vous verrez plus tard. Pour le moment, suivez-moi dans la chambre." ordonna Sally.


Jane est entré dans la chambre à coucher,


«Allongez-vous sur le lit, écartez bien vos cuisses et jouez avec votre moule et votre clitos ! Utilisez une main sur vos seins et une pour votre chatte, et bien entendu, n'oubliez pas de nettoyer vos mains de temps en temps avec votre bouche. Et je veux vous voir sourire, je veux vous voir vous amuser!", lui commanda Sally.

 

«Salope», lança Jane en s'allongea sur le lit.


Alors que Jane obéissait contrainte et forcée aux ordre de Sally, un éclair attira son attention . Elle regarda au dessus du rebord du lit et vit Sally la photographier avec  un Polaroid. Un gémissement sourd s'échappa de ses lèvres alors que le flash crépita à nouveau, capturant sa bouche engloutissant sa main.


« Utilisez ceci à la place de vos doigts!", dit Sally, en lançant un énorme gode noir sur le lit à côté de Jane.

 

"Utilisez le dans votre chatte, puis sucez le sur toute la longueur !".


« Mon Dieu », gémit Jane, « combien de temps mon calvaire va-il durer?


Jane saisit le gode de la main droite, le plaça à l'entrée de son vagin et l'enfonça dans son conduit. Elle fit entrer la moitié de l'engin.


«Mettez toute la longueur!", dit Sally.


«C'est trop grands!", protesta Jane. Mais, tout en protestant, elle obéi à l'ordre reçu et enfonça le gode en hurlant.

 

Sally photographiait avec attention.

 

Jane commença son va et vient. Au début avec lenteur, puis de plus en plus rapide.


Son autre main pétrissait ses seins avec force. Les mamelles étaient maintenant rouges et gonflées par les mauvais traitements.


Jane continua à s'exciter ainsi pendant quinze minutes, sous les flash photos réguliers.
Enfin, la sonnette de la porte retentit.


«Eh bien, voilà Brad, le chef de la sécurité. Vous me souvenez  de lui Jane ? Vous lui avait causé plus de problèmes encore que vous m'en avez causé !. Il est venu avec quelques amis pour vous. Ne bougez pas de là, je serai bientôt de retour. Continuez comme cela !, lui a dit Sally.


"S'il vous plaît, relâchez moi Sally, je promets que je ne vous causerez plus de problèmes! ", a plaidé Jane.


"Oh, je sais que vous n'en causerez plus Jane !.", a déclaré Sally si doucement qu’elle envoya des frissons dans le dos Jane.
Jane entendit discuter. Elle reconnu la voix de Brad, le chef de la sécurité du campus, celle de Rod, l'adjoint de Sally, et celle de Deborah, la secrétaire du doyen.

 

Les voix se firent ensuite plus fortes, comme elles se rapprochaient de la chambre à coucher.


La porte s'ouvrit au moment où Jane plongeait le gode profondément dans sa chatte, puis le retirait de son trou pour le mettre dans sa  bouche grande ouverte.

 

"Si je ne le voyais pas de mes propres yeux, je ne pourrai pas y croire ! », s'exclama Brad lui en regardant Jane pousser le gode dans sa gorge et le nettoyer de ses sécrétions puis l'enfourner à l'intérieur sa chatte.


"S'il vous plaît, aidez-moi!", supplia Jane.


Les 3 arrivants éclatèrent de rire.


« Jane, vous pouvez arrêter de jouer avec vous-même maintenant, je veux que vous vous reposiez pour plus tard! ", ordonna Sally.


"Qu'allez-vous faire de moi?", demanda Jane. "Je vous poursuivrai tous pour ça! ".

"C'est chiant à la fin.", répondit Brad.


"Ouais, quelle conne, elle n'a pas le bon sens de la fermer !", déclara Deborah.


Jane constata avec horreur que les hommes commençaient à placer des lumières dans la chambre à coucher, les disposant dans chaque coin de la pièce pour débarrasser celle-ci de toutes les ombres, et mettaient en place une caméra sur un trépied à côté du lit.


Deborah sortit quelque chose d'un grand sac de plastique et le mit sous le lit.


"Qu'est-ce que c'est?", demanda Jane.


"Venez en dehors de la chambre avec moi Jane, et je vais vous expliquer ce que qui se passe ici, et ce que vous devrez dire et faire.", dit Sally à Jane.


Jane se leva, remarquant qu'elle avait en main une nuisette noire. En arrivant à l'extérieur de la chambre, elle vit les amis de Sally poursuivre leurs efforts précipités pour préparer la chambre.

 

Après avoir donnée ses consignes à Jane, Sally revint dans la chambre, laissant la jeune fille dans le couloir.


Sally se dirigea vers la commode à côté du lit et mit le grand gode noir sur la commode, en compagnie d'un autre de couleur chair de la même taille.


«Eh bien, cela devrait faire l'affaire. Est-ce que la caméra est OK Rod?", demanda Brad.


"En parfait état, avec de la bobine à revendre!", répondit Rod.


"Ok . . . et n'oubliez pas . . .  pas de voix ou de bruits, et restez en dehors du champ de la caméra. Je ne veux pas qu'une preuve de notre participation revienne nous hanter . . . ", a déclaré Brad.

 

« OK, Jane . . . ACTION! ", cria Rod.


Tout le monde était debout contre le mur maintenant, à l'exception Rod, qui avait sa caméra vidéo pointée vers la porte, attendant que Jane apparaisse.


Jane entra par la porte et resta un moment fixe devant l'entrée de la chambre.


Un large sourire sur les lèvres, sa main droite se déplaça vers le bas de son ventre pour frotter sa chatte à travers la nuisette noire que Sally lui avait demandé de porter. La nuisette, totalement transparente, ne lui arrivait qu'au quart de cuisse et laissait ses bras et ses seins nus jusqu'aux aréoles. Sa main gauche se dirigea vers ses seins et se mit à mes malaxer également à travers la nuisette. Ses mamelons s'érigèrent.


«Mon Dieu, que je suis excitée !" déclama Jane à haute voix. «J'ai besoin d'un homme pour me baiser. Je lui sucerai bien la queue et il me ramonerait bien à fonds par tous les trous !. Mais je suis une telle salope que personne ne me veut me baiser. Tous les mâles ont trop peur de chopper une maladie ! Il va falloir que je me débrouille toute seule, comme d'habitude !".


Sur ce, elle se dirigea vers la table de nuit, et se tournant face à Rod et à sa caméra, elle tendit la main et saisit le grand gode noir. Ouvrant la bouche, elle poussa le godemiché dans sa gorge, l'enfournant en totalité à l'intérieur d'elle puis le retira en s'assurant que la caméra la filme bien. Elle lécha le gode tout le long de sa longueur.


Pendant cinq minutes, elle resta ainsi à sucer le gode sous l'oeil de la caméra. Rod zoomait de temps à autre afin de bien saisir la scène sur le vif.


Jane se dirigea ensuite vers le lit, et se coucha, toujours en suçant le gode, ses jambes largement écartées pour que son autre main puisse « chauffer » sa chatte avec trois doigts qui allaient et venaient dans son trou chaud.


Jane prit ensuite le gode en main et le fit passer de sa gorge à sa chatte. Elle enfila tout le gode dans son trou bien lubrifié sans aucune difficulté, malgré sa taille et son épaisseur.


«Oui, ô mon Dieu, OUIIIIIIII!", s'est écriée Jane en commençant à faire aller et venir l'engin dans sa chatte.


De sa main libre, elle saisit le second gode resté sur la table de chevet, et le mit dans sa bouche.


Jane ne pouvais pas croire à ce qu'elle faisait, elle ne pouvait croire ce que Sally lui avait dit de faire sous l'oeil de la caméra afin d'avoir une preuve permanente de « sa dépravation ». D'une façon ou d'une autre, elle allait devoir récupérer ce film abject, mais comment?


Au bout de 5 minutes, Jane retira les 2 godes de ses 2 orifices.

 

« Allez mon joli », dit-elle en gardant le gode noir en main, « mon trou du cul te réclame ! ».


Saisissant l'engin à 2 mains, elle le plaça devant son anus et poussa de toutes ses forces. Sa raie bien lubrifiée par la mouille qui avait coulée laissa entrer le gode, non sans difficultés

 

Jane eu l'impression que ses intestins se retournaient.


"AHHHHRRRRRR !!!", s'écria t-elle. Mon Dieu, pensait-elle, il va me déchirer!

Une fois l'engin totalement entré et bien bloqué, Jane prit en main le second gode et s'embrocha la chatte avec.


«Oui, que c'est bon !!!", hurla t-elle à la caméra en pensant le contraire.


Jane commença à forcer les deux godes dans et hors de ses trous. Quand le noir plongeait dans son cul, l'autre sortait de sa chatte et vice versa. Jane gémissait bruyamment pour la caméra.


Après 10 minutes de ce rythme d'enfer, Jane s'écria « Putain, c’est bon, mais serait encore meilleur avec un vrai mâle ! »".

Elle sauta hors du lit, les deux godes maintenant fichés dans ses orifices, jeta sa nuisette au sol, et s'agenouilla à côté du lit. »


Rod continuait de filmer.


Jane se releva avec dans les mains le paquet que Deborah avait déposé.

 

En le posant sur le lit, elle pouvait maintenant constater que c'était une poupée gonflable en plastique avec un pénis de 25 centimètres.


"N'ayant pas de mâle sous la main, j'ai encore besoin de toi Johnny!", dit Jane.

 

Elle se pencha alors vers la poupée pour la gonfler. Elle aspirait les goulées d'air afin de les injecter dans la poupée gonflable, tout en se ramonant les orifices en faisant aller et venir les deux godes dans sa chatte et son anus.

 

La poupée totalement gonflée, Jane se leva en enlevant les deux godes de son corps et de les déposant sur la table de nuit.


"Une petite gâterie Johnny?", fit mine de demander Jane à l'homme en plastique. «Bien sûr, faites!", se répondit-elle.


Sur ce, elle avala la virilité en plastique jusqu'au fond de sa gorge. Sa bouche glissa de haut en bas sur sa bite de plastique pendant que sa main droite frictionnait sa chatte, et que sa main gauche malaxait ses seins.


"Baise-moi Johnny!", s'écria Jane en se levant et en plaçant sa chatte au dessus de la bite artificielle.


Jane a poussé la bite dans sa chatte, puis commença à la faire aller et venir à l'intérieur d'elle. Pendant dix minutes, elle baisa son amant de plastique, sa chatte s'empalant sur le pénis comme s'il était une véritable verge.


"Comment Johnny, vous voulez baiser mon cul? Vous ne doutez de rien ! . . . Mais c'est vrai que je suis tellement salope ! ", s'exclama Jane.

 

En son fort intérieur, elle n'arrivait pas à croire qu'elle allait vraiment le faire!


Elle retira le phallus en plastique de sa chatte, le plaça devant la rondelle ridée de son anus et poussa pour qu'il entre dans son orifice.


"AHHHHHHHHHHH! OUI Johnny, OUI", s'est écriée Jane pendant que la bite de plastique forçait ses chairs intimes.

 

Elle approchait peu à peu de l’orgasme, Sally lui ayant ordonné de jouir 5 minutes après avoir commencé à se sodomiser.

 

« Je viens Jonny . . . je viens . . . OUUIII ! », cria t-elle, toujours pour obtempérer aux ordres de Sally, tout en enfonçant le pénis de plastique au plus profonds d’elle.

 

 «C'était génial Johnny.", dit-elle en embrassant la poupée  à plusieurs reprises sur les lèvres.

 

 «Maintenant laissez-moi vous nettoyer."

Elle approcha alors sa bouche de la verge artificielle couverte de ses excréments et la prit en bouche. A l’odeur, Jane en vomit presque de dégoût.  Mais Sally lui avait ordonné de ne pas vomir et elle ne le fit donc pas.

 

Elle fixa Rod dans les yeux, un sourire sur ses lèvres, tout en continuant de lécher la merde de la bite en plastique, tout en en priant que personne ne voit jamais ce film immonde.

 

Après avoir nettoyé la bite de plastique, elle saisit le gode qui avait labouré son anus et le récura aussi de fonds en comble en léchant consciencieusement les  traces brunes qui le couvrait. Puis, elle nettoya aussi l’autre gode.

 

Elle les reposa sur la table de chevet, puis s’allongea à côté de la poupée gonflable, lui roula un baiser langoureux en fourrageant la bouche de la poupée de sa langue tout en caressant son pénis.

 

 «Bonsoir Johnny", dit Jane,  «Merci beaucoup pour cette baise merveilleuse! ".


 Rod filma Jane allongée  à côté de la poupée 1 minute de plus, puis éteint la caméra.


«Ça y est les gars, nous pouvons tous respirer à nouveau et  parler", dit-il.


"Jane, tu as été parfaite ! Une véritable actrice porno ! », commenta Sally.

 

 « Salauds, vous êtes des chiens ! », hurla Jane. «Je vais vous faire aller en taule pour cela, je le jure. Je trouverai un flic honnête pour m’aider ! ».


 «Eh bien, peut-être, mais pas dans cette ville !. Tu as pissé à la raie de tout le monde ! Et si tu porte plainte, on diffuse ce film auprès des étudiants et on le met sur internet ! Tu saisit ? », contra Sally.

 

« Je dois m’absenter un gros quart d’heure : nettoyer tout ça pendant mon absence », lança Sally.

 

« Bien sûr Sally, pas de problème.", a déclaré Rod.


Sally a quitté la chambre et on entendit claquer la porte d’entrée.


"Vous savez, je ne peux pas parler pour vous les gars, mais cette garce m’a bien allumée ! Je pense que je vais la tester pendant que vous nettoyez la chambre » dit Deborah en regardant Jane.


"Pas de problème", déclara Brad, "mais laisse lui suffisamment d'énergie pour nous, parce qu’elle m’a filé une sacrée trique aussi ! ».


Deborah enleva rapidement ses vêtements. Du haut de ses 30 années, elle était toujours en excellente forme. Ses gros grands seins blancs pointaient encore fiérement comme 2 obus.


«S'il vous plaît pas, s'il vous plaît, laissez-moi aller!", supplia Jane.


"Allons, je ne suis pas du genre à laisser filer une bonne chienne sans en profiter ! » a déclaré Deborah. «Maintenant, viens ici et suce mes seins."

 

Jane se leva et se dirigea vers Deborah, ouvrit la bouche et prit le mamelon gauche en bouche. Il était si grand qu’elle pouvait à peine contenir le mamelon entier dans sa bouche.


«Utilise tes mains pour jouer avec mes seins . . . », ordonna Deborah.

 

Les mains de Jane s'approchèrent des deux mamelles et les pétrirent avec énergie, pendant que sa bouche suçait un mamelon, puis l’autre.


«Allonge-toi sur le lit Jane. Je vais m'asseoir sur ton visage pour te permettre de me bouffer la moule. "


« Oh mon Dieu, s'il vous plaît faites que ce calvaire s’arrête ! », pensa Jane, en obéissant.

 

Deborah ramena sur le corps de Jane, frottant sa chatte humide sur ses seins, telle une limace, pour finir sur sa bouche.


«Maintenant, Jane », a déclaré Deborah «mange ma chatte et suce mon jus jusqu'à ce que je te dise d'arrêter! ".


 La langue de Jane lapa la chatte offerte, monta dans le nid d'amour tout chaud, bu autant de mouille gluante qu'elle pouvait trouver, puis se déplaça le long de la fissure, frappant son clitoris et le suçant avant de revenir vers le bas. Elle aimait le goût de la mouille, elle en était accro. Elle voulu aller jusqu'à la dernière goutte. 

 

Deborah jouit rapidement, poussant sa chatte dans la bouche de Jane, y resta tant que Jane  continua à la brouter.


«Les garçons, je retourne au bureau.", a déclaré Deborah après s’être rhabillée, un grand sourire sur son visage.


 "Nous arrivons dans peu de temps !", lança Brad.


Rod et Brad étaient assis côte à côte sur le lit.


 «Jane», lança Brad. «Je comprends que vous êtes accros au jus, alors nous allons t-aider. Viens ici t-agenouiller devant nous et pompe nous la bite! ".


Jane se dirigea vers eux, à genoux. D’une main, elle saisi la verge de Rod et la prit en bouche. Elle le pompa avec énergie jusqu'à jouissance. 


Puis elle passa au sexe de Brad. Sa bouche montait et descendait pendant que sa main jouait avec ses boules. Brad ne tarda pas à se vider les bourses.


Rod se leva, prit l'équipement vidéo et quitta la maison.


Brad regarda Jane pour une seconde, à genoux sur le plancher, sucer jusqu'à la dernière goutte de sperme.

 

 "Ok Jane", dit Brad. « Habille toi et sort de cette maison. Que je n’entende pas parler d’une plainte auprès de qui que ce soit ! Compris ? »

 

 "Oui, je le sais.", dit Jane en pleurant.

 

Jane s’habilla sans trainer et sortit par la porte d'entrée.

 

Mais qu'est-ce que je fais maintenant ?, pensa Jane. Personne ne veut m’aider, personne ne m'aime. Si seulement mon père, le sénateur, était ici, il saurait quoi faire!


Dieu, Jane pensée, quelle bêtise! Ses parents, son puissant Papa va s'occuper de ça!


30 minutes plus tard Jane était à la maison.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 19:34

Chapitre 4 : Dans le bureau de la Directrice

 

Après m'avoir fait remettre debout, mon implacable  gardienne « réajusta » ma jupe et mon chemisier, c'est à dire qu'elle s'assura que ma jupe était bien enroulée autour de mon ventre, coincée par le cordage qui m'enserrai, me mettant ainsi cul et chatte à l'air, et que mon chemisier était bien ouvert mettant ma poitrine à nu!

 

Cette vérification faite, elle me poussa vers la porte en lançant: « direction le bureau de la Directrice ma salope! ».

 

J'avançai sans résistance, sachant que cela ne ferait qu'aggraver mon cas.

 

Perverse jusqu'au bout, ma gardienne m'obligea à passer par les ateliers ou mes compagnes de détention empaquetaient des godes à longueur de journée afin de bien m'exhiber. Chatte rasée, je ne pouvait pas leur cacher grand chose de mon anatomie!

 

Arrivée devant le bureau de la directrice, la gardienne me fit ouvrir la porte et me donna un coup de pied dans l'intérieur du genou droit. Cela me coupa mes forces et je tombai aussi sec, me retrouvant sur les genoux et les mains.

 

«Cela va t-aller beaucoup mieux d'entrer à quatre pattes que debout! », me jeta-elle à la figure.

 

Soumise, j'avançai, tête baissée, vaincue.

 

J'entendis alors  la voix de la Directrice: « Ah, voilà enfin notre petite Carole! »

 

Elle m'attendait donc!

 

« Mon Dieu », lui répondit une voix féminine.

 

Mon sang se glaça en reconnaissant cette voix fluette et mielleuse. Une boule dans la gorge, je relevai la tête, saisie d'un vertige et eu confirmation de mes craintes: c'était ma belle mère qui discutait avec la Directrice! Des larmes de honte et de frustration me vinrent aux yeux.

 

Marjolaine! Une petite grue d'à peine 24 ans, qui avait mis la main sur mon père il y a moins d'un an, se mariant avec lui dans le mois ou elle le connu! Rien qu'à la voir, on comprenait par quel moyen: 1m78, rousse flamboyante, Marjolaine était mince mais avait une très forte poitrine (encore plus forte que la mienne) et un cul bien rebondi! Le tout, comme d'habitude était mis en valeur par une tenue que n'aurait pas reniée une pute professionnelle: une robe moulante ultra courte en stretch violet qui lui arrivait au ras des fesses, dévoilant ainsi la totalité de ses cuisses nacrées, au décolleté en U qui faisait pigeonner outrageusement ses gros seins. La robe lui donnait un air encore plus « pute » qu'à l'habitude: elle n'arrivait même pas à couvrir ses gros mamelons roses et les seins donnaient l'impression de vouloir bondir en dehors de leur fragile prison. On devinait parfaitement qu'elle ne portait pas de soutien gorge, et comble de l'indécence, comme Marjolaine décroisa les jambes à mon arrivée, je pu constater qu'elle ne portait pas de culotte non plus: la robe était tellement courte que j'eus en effet vue sur son sexe aux grandes lèvres roses proéminentes à peine couvert d'un léger duvet de poils roux.

 

Dès que mon père me la présenta, je senti la garce intégrale et la profiteuse, et la détestai de suite. Ayant deviné mes sentiments, elle me le rendait bien!.

 

« J'étais venue vérifier que le traitement subi par Carole n'était pas trop dur . . . mais ce que je vois là dépasse tout ce que j'aurai pu craindre: qu'elle humiliation, qu'elle indécence! Comment justifier cela Mme la Directrice? », reprit ma belle-mère.

 

Et il est vrai, qu'a genoux, le cul et la chatte rasée à l'air, les fesses marbrées par les coups de ma gardienne, les mamelles pendantes, les yeux baignés de larmes, tremblante de honte et de frustration, je ne devais pas être un modèle de décence!

 

« Ne tirez pas de conclusions trop hâtives Mme, je me porte garant de mon personnel, et je suis certaine que si votre belle-fille est traitée de façon aussi humiliante, c'est qu'il doit-y avoir une bonne raison! », argumenta la Directrice.

 

« Tout à fait Madame! », reprit ma gardienne. « J'ai du sévir suite à une tentative de corruption caractérisée de la détenue en vue d'échapper au juste traitement qui lui est  appliqué et ce après qu'elle se soit montré particulièrement odieuse avec sa meilleure amie venue prendre de ses nouvelles! »

 

« Ce n'est pas possible! », s'exclama Marjolaine.

 

« Vous voyez! », constata la Directrice. « Pour ce genre de comportement, je suis intraitable! Je le serai d'autant plus pour Carole! Car je ne vous le cache pas, cette jeune femme à clairement perdu tout repère d'autorité, d'où ses problèmes. Mais heureusement pour elle, dans cet établissement, les détenues subissent une peine de prison, mais aussi une rééducation complète. Notre objectif est de leur faire comprendre que dans notre monde, il y a ceux qui commandent et ceux qui obéissent, les dominants et les dominés, dans le champs du travail comme dans le champs familial. Nous leur ré-inculquons les valeurs! . . . Ainsi, dans cet établissement, je commande, mes gardiennes commandent et les détenues obéissent. Dans l'entreprise, l'employeur commande, les salariés obéissent Dans la famille, les parents commandent, les enfants obéissent Sorti de là. . . . »

 

« Je partage totalement cette conception Mme la Directrice! », reprit ma belle-mère.

 

« Alors pourquoi votre belle-fille s'est-elle retrouvée à voler des sou-vêtements? », questionna t-elle.

 

« Vous me prenez au dépourvu Madame », minauda Marjolaine. « . . . c'est que mon mari n'est pas de cet avis. . . Pour ne rien vous cacher, il lui passe tous ces caprices . . . Alors qu'une ou deux fessées énergiques auraient sans doute suffi à éviter ces dérapages »

 

« Oui, une bonne fessée cul nu en présence de la famille est souvent le meilleur moyen pour recadrer une jeune fille puis une jeune femme récalcitrante », reconnu la Directrice. « . . . mais nous n'en sommes plus là! Nos punitions vont devoir être autrement plus sévères et humiliantes pour porter leurs fruits! »

 

Marjolaine lâcha un soupir théâtral.

 

« Si c'est pour le bien de ma belle-fille, je ne peut faire rien de plus que m'en remettre à vous Mme la Directrice », dit-elle.

 

« Mais vous pouvez faire bien plus Mme! Pour faire gagner nos punitions en efficacité et ainsi gagner du temps, vous pouvez nous préciser ce que craint le plus votre belle fille! », lança la Directrice avec le sourire.

 

« Si c'est pour son bien . . . je peux vous préciser qu'elle a une peur bleue des châtiments corporels, puisqu'elle n'en a jamais reçue », lâcha ma rouquine de belle-mère, qui rêvait visiblement que l'on me tringle le cul.

 

« L'information est importante », convint la Directrice.

 

« Elle a aussi une peur bleue de se faire sodomiser! », ajouta ma gardienne.

 

« Les punitions pourrons aller jusque là? », s'étonna Marjolaine.

 

« Madame, nous sommes en présence d'une tentative de corruption! Je crains qu'elles pourront donc aller jusque là! », arrêta la Directrice.

 

« Evidemment. Dans ce cas, je dois confirmer cette phobie: Carole refusait même catégoriquement à son petit ami de la sodomiser! . . . La vue du cul de ma belle fille le mettait parfois dans de tels états que j'ai du accepter qu'il se soulage dans le mien! »

 

J'étais suffoquée. D'abord d'entendre ma belle mère avouer que mon petit ami l'avait enculé à plusieurs reprise. Puis de l'avouer devant moi, comme si je n'existai pas!

 

« C'est tout à votre honneur Madame! Un homme non satisfait est un homme prêt à tous les excès! »

 

« Enfin, pour être complet, elle déteste les lesbiennes: elle  a coupé tous les ponts avec sa tante dès qu'elle a appris qu'elle était une lesbienne, chef d'un réseau de prostitution de jeunes adolescentes des pays de l'est, alors que c'est une jeune femme tout à fait charmante, qui a la main sur le coeur et toujours prête à partager! »

 

« Et ce qui de plus n' a rien de répréhensible depuis que la prostitution a été légalisée! », commenta la Directrice en souriant à pleines dents.

 

« Fouttez-moi cette salope à poil! », lança t-elle à la matonne.

 

Implacable, cette dernière m'arracha mon chemisier puis ma jupe, mettant mes charmes opulents totalement à nu.

 

La Directrice se leva, ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit un grand morceau de cuir noir

 

Elle se dirigea vers moi et m'enjamba, se plaçant sur mon dos.

 

Je compris alors que le morceau de cuir était en fait un corset: elle le plaça sur mon ventre et noua les lacets. La Directrice serra tellement fort qu'elle me coupa le souffle. Le corset emprisonnait mes seins et les faisaient pigeonner outrageusement, laissant les mamelons découverts. Ma taille était tellement serrée que j'imaginais sans peine mon cul ressortir de façon obscène!

 

La Directrice se releva, ouvrit un autre tiroir d'un meuble situé dans mon dos et revint. Je sentis le contact du plastic sur mon anus, mais je n'eus pas le temps de réagir. L'implacable femme poussa ce qu'elle avait en main de toute ses forces. Le plug anal, car il s'agissait bien de cela, pénétra dans mon rectum d'une seule traite. Je poussais un cri de douleur déchirant sous l'atroce douleur. Mon corps se couvrit de chair de poule. J'essayais d'expulser le corps étranger de mon cul, mais il ne voulait pas ressortir: de forme conique, il était coincé!

 

La Directrice me décocha une grande claque sur les fesses.

 

« Voilà ma belle! Toi qui n'aime pas te faire enculer, te voilà servie! », me railla t-elle.

 

La Directrice repartit et revint quasi de suite.

 

Elle me plaça alors un collier de cuir autour du cou, qu'elle serra à me rendre la respiration difficile, puis me ficha une boule dans la bouche. La boule était fixée à 2 sangles qu'elle m'attacha derrière la tête.

 

« Mon Dieu! », s'exclama Marjolaine! « Elle est totalement obscène! »

 

« Totalement en effet! », confirma ma tortionnaire.

 

Puis, se tournant vers la matonne, elle ajouta: « Allez, baladez là à 4 pattes dans toute la prison! Je veux que toutes les filles la voient comme ça! Vous pouvez les laisser la plauter à loisir! Si elle minaude, cravacher lui son gros cul ou ses nibards! Une fois le circuit terminé, vous la mettez au mitard et vous m'appelez! »

 

La matonne accrocha à mon collier une laisse en métal et me lança: « allez pouffiasse, vient faire de l'exercice! »

 

Ma jeune belle-mère se leva alors et vint près de moi. Me regardant dans les yeux, elle me dit: « Carole, soit soumise et obéissante! Obéit en tout à Mme La Directrice! Elle sait ce qui est bien pour toi. Même si les punitions te paraissent dures, elles te permettront de revenir sur le droit chemin! »

 

La garce était collée à moi. J'avais son odeur musquée de rousse plein les narines!. Ses seins ballottaient devant mes yeux. Sa robe était tellement remontée que j'avais vu sur sa moule suintante.

 

Ligotée, bâillonnée, corsetée, exhibée nue comme un objet, bourrée d'aphrodisiaque, l'excitation montait en moi de façon irrésistible! Ma belle mère me faisait mouiller alors que je la détestais!

 

La matonne me tringla le cul pour me faire avancer.

 

J'obtempérais de suite afin de ne pas prendre de nouveaux coups.

 

Du coin de l'œil, je vis Marjolaine se relever et la Directrice se rapprocher d'elle. Il me sembla voir la main de cette dernière se poser sur le cul de ma belle-mère, mais comme la matonne me fit sortir du bureau à cet instant je ne pu en être certaine.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 11 janvier 3 11 /01 /Jan 23:06

Après les mésaventures que je venais de vivre, il n’était pas questions de repartir aux douches pour me refaire une toilette ! J’avais trop peur de me faire tringler en cours de chemin.  Je me suis donc lavé comme j’ai pu avec de l’eau en bouteille et du Sopalain, je me suis coiffée et maquillée, puis je suis partie à la recherche de Jean.

 

Pour rejoindre la plage, j’ai du traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en suis tirée à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Elément nouveau, j’ai alors remarqué certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y ai alors pas plus prêté attention que cela.

 

Arrivée à la plage, je longeai celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes avaient la poitrine à l’air et ne portaient qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fondait plus dans le décor. Il n’en était rien : étrangement, ma chatte dénudée attirait tous les regards !

Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçue au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passait pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclée, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentrait complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme. J’étais bien consciente que je n’avais pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse était en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui avait elle aussi avait la poitrine à l’air.

Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continuai cependant d’avancer à la recherche de Jean. Julie finit par m’apercevoir, mais continua sa discussion. Au fur et à mesure que j’avançais, la gêne que je ressentais se fit de plus en plus pressante. La brune, que je ne voyais que de dos, me rappelais quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me mettais en alerte.

Je m’apprêtais à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourna brusquement. J’en restais pétrifié sur place : il s’agissait de Laetitia, la responsable du magasin ou je travaillais!

« Coralie . . . la chatte à l’air en public . . . qu’elle surprise ! », s’exclama t-elle d’une voix suave. « Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping ! »

« Non . . .C’est pas . . . », bredouillais-je.

« Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours . . . c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon camescope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! . . . Un coup de chance ! », répliqua t-elle le sourire aux lèvres.

Mon cœur rata un battement. Je crus que j’allai m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle allait se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! J’allai devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prenait un malin plaisir à humilier son personnel, elle n’allait pas me rater !

« Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! », ajouta Julie en ma saisissant un sein à pleine main, « je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi ! »

« Oh non, pas en public ! », couinais-je. Consciente des engagements que j’avais prise, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !

« Et pourquoi, je ne te plauterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lança Julie sur un ton venimeux.

« Allons Julie, il faut être compréhensif », dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses. « Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps . . . mais avec les hommes ! Se faire mater, plauter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, plauter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! . . . Il y a des dunes à quelques mètres. . . Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle . . . et comme bon te semblera. »

Julie semblait hésiter. J’ai voulu forcer sa décision.

« D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition ».

Cela ma faisait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je savais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie voulait prendre une revanche. Il fallait lui en donner pour son argent. De toute façon, je ne pouvais pas y couper

« Tu es vraiment une garce ! », me lança Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables. Arrivées derrière celles-ci, je vis que Laetitia fermait la marche. Elle jeta un gros sac au sol.

« Tu as oublié tes petites affaires Julie. »

« Merci », répondit celle-ci avec un sourire carnassier.

D’un geste brutal, Julie me jeta alors au sol. « A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! . . . Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute ! »

Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéissais. J’entendis alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couvrit mon corps.

C’est alors que le premier coup de baguette s’abattit sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mordit ma peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retins mon hurlement de douleur et de détresse.

« Beugle si tu veux chienne ! », commenta Julie. « Que du monde vienne voir le spectacle et ai ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leur bites ! »

Les autres coups suivirent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.

 

« Pitié . . . je ne vais plus pouvoir me retenir de crier . . . mon cul va exploser . . . », murmurais-je.

 

« Il faut être humain, Julie », enchaîna Laetitia. « Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’assoir de la soirée ! »

 

Eperdue de gratitude de ce soutien, je lançais un petit « Merci »

 

« Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups ! »

 

« Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! », lança ma chef de rayon.

 

Un frisson glacé me parcouru le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide » !

 

« Mais ou veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? », demanda Julie.

 

Laetitia éclata de rire. « Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier . . . les seins restent une possibilité ! »

 

« 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! », s’écria Julie.

 

« Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur son cul en définitive ! », ajouta Laetitia.

 

« A genoux ! », commanda Julie. Puis après que j’eu obtempéré, elle demanda : « alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ? »

 

Le choix était cornélien ! Je savais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feraient hurler de douleur et attireraient les campeurs. Mais j’étais bien consciente que les coups de baguettes sur les seins allaient être parfaitement visibles et . . . interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses allaient déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’était pas pour tout de suite, alors que si je me mettais à hurler, c’est de suite que j’allai devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui allait s’en suivre! Cela me décida.

 

« Sur les seins », bredouillai-je

 

« Alors, présente les moi ! », lança Julie, implacable.

 

En sanglots, je pris mes seins par en dessous et les lui présenta.

 

Le sourire aux lèvres, Julie abattit la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu.

 

A la fin de la correction, je tremblai de tous mes membres, mais j’avais réussi à ne pas crier.

 

« Nous voilà quitte ! », s’écria Julie.

 

Haletante, je me relevai, imaginant que j’allai pouvoir me libérer de mes tortionnaires.

 

« Et ou va tu comme ça, ma jolie ? », me demanda Laetitia en me voyant faire mine de partir.

 

« Je repart à la recherche de mon mari », répondis-je d’une toute petite voix.

 

Julie éclata de rire.

 

« Comme je suis bonne fille, je t-emmène : je sais ou il est », me lança t-elle.

 

Et, prenant son sac en main, elle partit à travers les dunes.

 

Je la suivis.

 

Laetitia fermait la marche.

 

Nous avons marché deux à trois minutes, tournés une dernière fois à gauche et débouché derrière une dune. Un homme était allongé. Une fille était sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embrochait avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille !

 

« Ta femme ne t-a jamais fait ça, hein mon cochon !  . . . C’est ça . . . . va à fonds ! Bouffe moi les nichons. . . . ! », lança t-elle.

 

Bien que je ne voyais que son cul, la voix me permis de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.

 

« Oui . . . vas-y, lâche la purée . . . la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud ! ».

 

S’agrippant brutalement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacula dans un râle d’agonie.

 

Christelle s’effondra sur lui, puis bascula sur sa droite. Je découvris que l’homme en question était . . . Jean, mon mari.

 

Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retint par un bras.

 

Jean me vit et se redressa en un mouvement.

 

« Coralie, je . . . », commença t-il.

 

Je vis rouge. Ma main partit sans que je m’en rende compte et je lui mis une gifle mémorable.

 

Laetitia nous sépara de suite.

 

« Allons Coralie, un peu de dignité . . . tu ne va pas me dire que tu es surprise ? »

 

Saisie, je la regardai sans pouvoir parler.

 

« Tu te ballade à poil dans le camping, tu te fait pelauter par tous les mecs que tu rencontre, sauter par certains, laissant ton mari seul. . . et tu compte qu’il restera de marbre devant un joli lot ? »

 

« Mais je n’ai pas voulu ça », bafouillai-je.

 

« Parce que quelqu’un t-a forcé à prendre les engagements que tu as pris ? »

 

Pendant cet échange, Julie et Christelle s’étaient rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prit la verge en main et se mit à le branler tout doucement Julie se mit à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne faisait rien pour se dégager. Il me regardait fixement. Laetitia regardait la scène et semblait trouver tout cela normal.

 

« Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t-exhibe, que tu te fais fouiller  et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions. »

 

«Oh, Jean . . . j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot . . . que les choses redeviennent comme avant », dis-je entre deux sanglots.

 

« Coralie . . . tu as pris des engagements . . . et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping », répondit mon mari en baissant les yeux.

 

Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me  persuader à le passer !

 

« Et bien baise qui tu veux mon salaud ! », hurlai-je. « Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi . . . et, il y a du monde ! »

 

« Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie », me dit Laetitia. « Je loue un mobilum, et je vous trouverez bien une place . . . Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie ! ».

 

Pendant que nous parlions, la verge de Jean s’était redressée. Julie s’agenouilla et se mit à la pomper avec énergie.

 

« Je vous suit », répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les sanglots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.

 

Et sur ce, je pris la direction du mobilum, le nez retroussé, certaine d'avoir cloué le bec de mon Jean. Laetitia me suivait. Je ne vis donc pas le sourire narquois qu'elle me lança!

 

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Mardi 10 janvier 2 10 /01 /Jan 21:59

Chapitre 3 : 1eres claques sur les fesses


C'était évidemment une expérience nouvelle et déconcertante pour notre jeune Sarah. Une  heure auparavant, elle était entièrement vêtue et maintenant elle se retrouvait enfermée dans une pièce
avec moi et avec le torse dévêtu. Son visage était rouge cerise, ses yeux inondés de larmes. Elle était debout, toujours plus ou moins au même endroit, au milieu de la salle, ou les garçons l'avaient quitté. Elle  se pencha un peu et étreignit  ses seins, essayant désespérément de minimiser la quantité de la peau  exposée. La pose était d'un charme fou!


"Oh, oh!" ; miaula t-elle entre deux sanglots amers, "Oh, vous ne pouvez pas me voir comme ça!
Oh! S'il vous plaît, donnez-moi mes vêtements! Oh, je vous laisse ... me punir ... »


« Et sur quelle partie de ton corps tu vas me laissez te punir?", ai-je demandé cruellement.


"Oh mon ... Oh, je ne peux pas le dire  ...».

 

La pauvre bête était si confuse!


Calmement, je lui ai dit: «Réponds-moi vite et bien, ma chère Sarah, ou Ken et Sam seront de retour et t-enlèveront le reste de ce que tu as sur le dos! Quelle partie de ton corps vas-tu mettre à ma disposition avec docilité pour ta punition? »


"Ohhhhh ...", gémit-elle, désespéré. Elle était coincée! «Mon postérieur ...", a t- elle murmuré.

«Je ne t-entends pas."


«Mon postérieur! ». Oh, quelle douleur ce simple mot  a causé à la pauvre fille!


"Oui. Ton postérieur. Ton cul. Et, ma chère fille, tu ne récupéreras pas ta chemise et ta veste tant que ta peine ne sera pas  finie . . . avance sur cette chaise à dossier droit vers le centre de la pièce.  .  . Oui, c'est bien. "


J'ai été amusé de voir la jeune fille déplacer  la chaise avec une main alors qu'elle essayait encore de protéger sa pudeur de l'autre! Il serait incomplet de ne pas noter que ce spectacle était hautement érotique. Ma vulve en finit de s’épanouir !


Je me suis levée, tout en continuant à énoncer mes instructions: «Maintenant, Sarah assieds-toi  face à la chaise. Non, pas de dos, de face. Bien. Maintenant, mets tes jambes de chaque côté du siège de la chaise, va de l'avant jusqu'à ce que ton ventre touche le dos de la chaise. "


La pauvre fille hésita, mais, avec une réticence infinie, fit comme indiqué.


"Hmmm, très bien." J'ai noté: "Maintenant, laisse-moi t-expliquer ce qui va se passer." Je
regarde calmement, en appréciant secrètement le tremblement de la jeune fille effrayée, jouissant de  voir comment  ses yeux pleins de larmes ont suivi chacun de mes mouvements.


«Je vais te donner la fessée."


Sarah s'étrangla et étouffa un cri d'angoisse.


«Si tu avais été obéissante, ce serait une fessée sur ta jupe. Au lieu de cela, ce sera sans la jupe. . . . Sarah, souviens toi de Ken et Sam, n'oublie pas que ta pudeur  souffrira bien pire s'ils revenaient et ajoutaient ta jupe à leur collection!"


"Oh, je ne peux pas."


«Oh, Sam ...» ai-je commencé à appeler.


"Non, je vais le faire!" et, douloureusement, elle leva lentement le dos de sa jupe. Ce fut une lutte terrible, et elle a semblé s'arrêter juste à l'endroit ou sa petite culotte était sur le point de devenir visible.


"Sarah, n'oublie pas les garçons ..."


Ce fut juste assez pour faire pencher la balance. Pleurant à haute voix, secouée par d'amers sanglots, Sarah accomplit sa tâche honteuse et commença à dévoiler culotte. Quelques secondes plus tard, je regardais le cul de l'écolière enfermé dans une sorte  de grande culotte enveloppante. Encore une fois, la culotte n'était pas réglementaire, puisque celle-ci tenait du string ficelle minimaliste cachant à peine la vulve des jeunes filles. Et comme par ailleurs une disposition du règlement interdisait pour raison d’hygiène tout dépassement des poils pubiens des sous-vêtements, ce string contraignait les élèves à s'épiler au plus près de façon à ce qu'il n'y ait pas de poils disgracieux qui sortent de partout. Pour ne pas prendre de risque de punition lors de la visite médicale, la plus part des élèves se rasait d’ailleurs totalement ! Ce qui était du plus charmant effet et particulièrement apprécié par notre infirmière !

 

Pour une bonne catholique pratiquante sortant pratiquement du couvent, ce qu'endurait Sarah était presque au-delà de l'endurance!

 

« Et bien ! Nous devons à nouveau ajouter une violation de notre règlement ! La culotte réglementaire était sans doute trop indécente pour la prude jeune fille que tu es ! »


Les émotions de Sarah étaient très intenses, évidemment. Elles étaient au-delà de la parole. Elle
n'arrivait pas à surmonter sa gêne et son humiliation.


"Ohhh, Mme Marks ... s'il vous plaît ne le faites pas pour moi ..." gémit-elle.


J'ai remarqué que sa jupe glissait un peu.


"Remonte ta jupe sur le ventre Sarah . . . Bonne fille! Maintenant, tiens ta jupe, penche-toi un maximum sans tomber. Oui, c'est ça... "


La culotte se serra à merveille sur son cul plein comme Sarah se pencha en avant, le moulant comme une seconde peau.


"Penche-toi en avant jusqu'à  saisir les parties inférieures des  pieds de la chaise . . . Non, plus bas. "

 

 «Oh, Madame la Directrice ... Oh, s'il vous plaît!", gémît-elle, mais en obéissant.


La jeune Sarah se retrouva jambes écartées, courbée en deux, en culotte blanche lui moulant le cul  avec ses seins lourds qui pendaient vers le bas dans leur soutien-gorge. Son corps entier, même les fesses, était secoué de sanglots pitoyables.


Sarah s'est arrêtée brusquement de sangloter, en prenant conscience que je me promenais
vers mon bureau pour revenir ensuite. Toutefois, son tremblement augmenta.


«Sarah, ma chère, tu semble un peu nerveuse. Rappelle toi, c'est seulement une fessée! Maintenant,
je vais juste te donner un petit avertissement, un avertissement qui avec la plupart des filles ne serait pas nécessaire, mais dont je soupçonne qu'avec toi il l'est. Je vais te donner la fessée. Tu dois être consciente que donner une fessée implique inévitablement une main qui touche un cul. Je te préviens pour que tu ne doit pas changer  de position ou faire le moindre mouvement pour protéger ton postérieur sous la surprise. Si tu le fais, les conséquences seraient une aggravation de la punition fortement embarrassante pour ta pudeur ».


Je posais ma main gauche sur les courbes de la fesse droite de la belle. Qu'est-ce que ce cul était beau! Chaud et doux, mais ferme.


Sarah se rigidifia d’un coups. Elle haletait. Je pouvais sentir qu'elle avait envie de protéger
son sacro-saint postérieur, mais n'osait pas bouger. Vu sa respiration rapide et saccadée, je me suis convaincu que le monde de Sarah était devenu subitement très simple. Il se composait de deux choses, ma main et ses fesses.


J'ai commencé à caresser la fesse, légèrement et innocemment.


"Oh ... oh ... oh, non .... Oh, Madame la Directrice, vous ne devriez pas ... je ne devrais pas ... Oh, s'il vous plaît, ne pas le faire. "


«Ma chère Sarah, permet-moi de te rappeler que je suis une professionnelle de la discipline.
Tu es ici pour être punie. J'ai été assez indulgente avec toi jusqu'à maintenant, mais
je suis fatiguée de t-entendre me dire ce que je dois ou ne doit pas faire. J'ai été employé en cette qualité depuis quatre ans maintenant, et je peux dire que l'école et surtout les parents sont tous très satisfaits de mes méthodes. Ce n’est pas à toi de les remettre en question."

 

Pendant tout ce temps je gardais ma main en place tout en continuant de caresser la fesse ainsi offerte.


J'ai continué: «Alors, si tu ne veux pas obtenir une peine encore plus sévère que celle que tu t-es déjà attirée, et qui est considérable, je te conseille de t'excuser auprès de moi"


Elle a commencé à pleurer, mais a réussi à pousser des sanglots: "Je suis désolé de douter de vos
méthodes, Madame la Directrice. "


J'ai donné une claque affectueuse à la fesse, produisant une forte secousse de l'arrière
train de la jeune fille. Je dis "bonne fille. Et tu va m'obéir pendant tout le reste
de ta session ici aujourd'hui? "

 

Un autre claque. Plus soutenue.


"Ohh! Ah ... ah, oui Madame la Directrice. Je vais être obéissante ... oh …"

 

Les claques s'enchaînaient, de plus en plus fortes.


 "Ahhh! Oh!"


"Sarah, réponds-moi! Est-ce que je fais mal?"


"N-Non, Madame la Directrice." Elle me répondit d'une voix à peine audible.


J'ai décidé de tester sa détermination à être obéissante. Laissant mes mains sur le sommet
de son cul, je fis en sorte que mes index pénètrent à l'intérieur de la culotte.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 23:24

Chapitre 2 : Le cauchemar continue



Cynthia suppliait encore son violeur de revenir la détacher de la table d'examen alors qu'Eric sortait du bâtiment.

Il n'avait aucun remords de laisser la ravissante infirmière ligotée sur le lit d'examen.

Il était ravi de l'avoir possédée par ses trois orifices, il jubilait à l'idée que loin de supporter passivement son viol, elle l'avait suppliée de la faire jouir!.....

Eric était tout de même surpris de voir à quel point cela avait été facile et il était aussi très heureux de savoir qu'il n'y avait que très peu de chances qu'elle porte plainte.

Comme il regagnait sa voiture, il croisa deux jeunes hommes assis dans la contre-allée, il vit l'un des deux siffler une promeneuse proférant, à voix haute, un commentaire graveleux sur ses charmes alors qu'elle passait devant lui.

Il eut alors une idée: il s'approcha des deux jeunes hommes et leur signala qu'il pensait qu'ils se régaleraient s'ils se rendaient tout de suite chez le docteur James au 4ème étage, une surprise les attendait dans la salle d'examen au fond du couloir.

 

« Profitez en bien, mais laissez là comme vous l'avez trouvée en partant . . . », leur lança t-il, mystérieux

Ils commencèrent par ignorer les dire de cet étranger, et le regardèrent regagner sa voiture et démarrer.

Ils avaient tous deux 18 ans révolus et profitaient de ce jour de congé, ils travaillaient à temps partiel dans une station essence et venaient de quitter leur boulot lorsqu'ils s'étaient assis contemplant la somptueuse jeune femme qu'ils venaient de croiser.

Sid, le plus grand des deux avait des cheveux blonds ébouriffés alors que son ami Ken avait les cheveux bruns coupés courts, c'était lui le plus séduisant des deux.

Après quelques minutes Ken suggéra qu'ils montent jusque chez ce docteur pour voir ce dont voulait parler cet étranger énigmatique.

Ils pénétrèrent dans le bâtiment par la porte qu'Eric avait laissée grande ouverte, c'était la seule à ne pas être verrouillée.

Ils réalisèrent rapidement que l'immeuble était vide au lendemain du jour de fête. Ils se rendirent au 4ème et cherchèrent le bureau du docteur James, la porte était grande ouverte, ils entrèrent faisant attention de ne pas faire de bruits.

Ils ne virent personne et commencèrent à explorer les lieux.

L'un deux entendit soudain du bruit et une voix de femme qui quémandait :

- "Hello, est-ce vous?..... Je vous en prie, revenez ...... S'il vous plait, délivrez moi!......"

Ils échangèrent un regard surpris.

- "Détachez moi?...." susurra Ken l'air étonné.

- "Nous devrions voir de quoi il retourne ....." proposa alors Sid intrigué.

Silencieusement les deux jeunes gens gagnèrent la salle d'ou semblaient provenir les bruits et la voix.

Ils n'étaient pas du tout préparé à ce qu'ils trouvèrent. Figés dans la porte d'entrée ils ouvraient des yeux comme des soucoupes à la vue de la ravissante infirmière ligotée à la table d'examen.

Jambes rivées aux étriers elle leur offrait un point de vue d'une rare précision sur son intimité béante qui visiblement venait d'être visitée.

- "Bordel quel spectacle!...." s'exclama Sid abasourdi.

Cynthia frissonna, elle avait espéré que c'était son agresseur qui pris de remords venait la libérer de ses entraves, elle ne s'attendait pas à voir surgir deux jeunes ados qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam.

- "S'il vous plait détachez moi ....." les supplia-t-elle misérablement.

Ken et Sid s'approchèrent de la table d'examen.

- "Eh mec, elle semble drôlement chaude!....." commenta Sid s'adressant à son copain.

- "Oui, et elle vient de se faire baiser la salope!......" avança Ken le doigt pointé sur une rigole de foutre s'écoulant de sa chatte.

- "Je crois qu'on s'est trouvé une bonne petite salope!....." s'esclaffa Sid hilare.

- "Non je vous en prie .... Laissez moi tranquille!..... Vous ne comprenez pas ce que ......"

- "Ta gueule salope !...." la coupa Sid.

- "Je suppose à voir les bouquins pornos comme celui que tu as jeté par terre que ton petit copain et toi même vous jouez à des jeux sexy ....... A un simulacre de viol ou quelque chose comme ça!....... Sinon pourquoi nous aurait-il conseillé de venir te rejoindre!......."

- "Ce n'est pas mon petit ami!....." insista Cynthia vainement. Elle était scandalisée, non seulement elle s'était fait violer mais voila que maintenant ses sauveurs pensaient qu'elle se livrait à de pervers jeux sexuels avec son petit ami!......

- "Bon puisque tu veux te faire baiser on va s'occuper de toi ...." s'exclama Sid jubilant.

- "Non!....." hurla Cynthia

- "Vous ne comprenez rien ....."

Les deux jeunes hommes riaient de ses protestations, ils lui dirent qu'ils allaient lui donner une bonne leçon.

Sid se déshabilla rapidement.

Il était maigre, mais sa bite était à peu près aussi longue que celle d'Eric, et bien plus épaisse.

Il bandait déjà comme un turc.

Ken enleva ses caleçons ne gardant que son tee-shirt probablement pour cacher son petit ventre rondouillard.

Sa bite ne mesurait que 13 cm environ mais était bien plus épaisse que celles qu'elle avait vue à ce jour, elle correspondait à sa stature.

Ils prirent place de chaque coté de la table et commencèrent à la caresser, explorant avec avidité son corps.

Cynthia pleurait, les suppliant d'arrêter.

Se faire violer une première fois lui semblait bien suffisant et voila que maintenant deux jeunes salopards se préparaient à la sauter à leur tour.

Plus elle pleurait et les suppliait, plus cela les excitait.

Ils pensaient tous deux que cela faisait partie d'un jeu sexuel élaboré.

Ils décidèrent de commencer par sucer ses tétons de concert.

Sid prit son mamelon gauche raidi en bouche et se mit à le mâchouiller, Ken en fit de même avec son tétin droit, ils exploraient son corps de leurs mains libres qui plongèrent bientôt vers son entrecuisse livré à leurs manigances concupiscentes.

Chacun leur tour ils la doigtèrent et promenèrent leur doigts dans sa fentine inondée, tout en lui manipulant rudement son petit clito affolé.

Cynthia les suppliait d'arrêter.

Elle sentait son excitation monter contre son gré sous les suçotements de leurs bouches habiles et les caresses de son sexe enfiévré.

Elle ne savait pas combien de temps elle pourrait encore contrôler ses sens.

En fait son corps répondit rapidement à leurs caresses, ses protestations décrurent alors qu'augmentaient ses gémissements.

Les deux ados étaient entrés en action, ils sentaient qu'ils allaient induire en elle un orgasme exceptionnel, Cynthia se balançait d'avant en arrière sur la table

Elle sentait l'orgasme de plus en plus proche.

Elle avait déjà entendu parler de filles jouissant à force de caresses sur ses tétons mais n'avait jamais expérimenté elle même une telle situation. Et voila que cela lui arrivait, elle ne résista pas plus longtemps

- "Oui!....." hurla-t-elle alors qu'un nouvel orgasme la submergeait.

Sid ne pouvait plus attendre plus longtemps..

Sa bite était dure et bandée à bloc il sentait la pression monter dans son canal déférent.

Il se posta entre ses cuisses et enfouit sa grosse bite dans sa chatte sans perdre de temps.

L'infirmière commença à secouer sa tête, il l'enfilait juste au moment ou l'orgasme qui venait de la terrasser s'estompait, lui laissant quelques instants de répit.

Elle remua les hanches dans l'espoir de fuir cette nouvelle bite qui s'enfouissait dans sa chatoune.

Dans cette journée, Cynthia avait déjà joui plus qu'elle ne l'avait jamais rêvé, mais elle ne voulait plus se faire baiser, et encore moins par ces deux bâtards.

Sid crut qu'elle manifestait son excitation de se faire sauter à nouveau, il se mit à la labourer alors que Ken continuait à sucer et mâchouiller ses tétins.

Soudain Cynthia frémit alors qu'un nouvel orgasme déferlait en elle.

Sid en avait mal aux burnes de se retenir. Le rythme de ses coups de boutoir augmentait.

Il cria à Ken de prendre sa place, et il grimpa sur la table pour fourrer sa bite dans la bouche de Cynthia.

Comme elle commençait à sucer sa bite, Ken se posta à son tour dans son entrecuisse, Cynthia avala sa salive lorsqu'il pressa son énorme bite contre sa figue.

Alors que Sid avait été rapide Ken la baisait avec férocité : il s'enfonça aussi profondément qu'il le put dans son intimité, claquant ses hanches contre les siennes avec assez de force pour la faire reculer.

Ses chevilles étaient toujours fixées aux étriers et c'est la seule raison qui l'empêcha de glisser en arrière.

Sa chatte lui faisait très mal et cependant elle sentit un nouvel orgasme monter dans ses reins.

Elle se mit à sucer avidement la bite qu'elle avait en bouche, elle sentit que son gland grossissait encore, elle devina qu'elle ne tarderait plus à goûter à son sperme, déjà elle savourait les premières gouttes de pré sperme qui suintaient à son méat.

Les deux ados adoraient baiser la chatte de cette ravissante infirmière. Ils n'étaient vierges ni l'un ni l'autre, mais ils n'avaient jamais vécu une telle expérience, et ils ne s'étaient jamais envoyés de jeune femme aussi belle que Cynthia.

Sid projeta les premières vagues de foutre dans la bouche de Cynthia, puis il extirpa sa bite d'entre ses lèvres et se branla langoureusement, projetant jet après jet son épaisse crème sur son visage.

Au même instant Ken cria son plaisir, et la pilonna plus âprement tout en giclant dans sa chatte inondée.

Ils grognèrent et gémirent de concert submergés par un intense orgasme simultané.

Lorsque les deux jeunes gens en eurent fini, ils se redressèrent et se rhabillèrent lentement.

Cynthia gisait sur la table, son corps frissonnant encore d'avoir emmagasiné tant de plaisir. Ses yeux la brûlèrent soudain, un filet de foutre projeté par Sid se glissait sous ses paupières.

Elle avait toujours pensé qu'il était révoltant de se faire éjaculer sur la tronche, et voila qu'elle se retrouvait le visage couvert de foutre sans espoir de pouvoir se nettoyer.

Voyant les deux jeunes hommes se rhabiller elle les pria de la libérer de ses liens.

- "Et pourquoi te détacherait-on?...... " lui demanda Sid. « Ton copain ne nous a rien demandé de tel! »

- "Il me semble que le jeu ne fait que commencer!..... peut-être bien qu'on reviendra te voir avec quelques copains cet après-midi ....."

Cynthia gisait sans voix alors quel les deux jeunes disparaissaient de sa vue.

Elle se demandait ce que l'avenir lui réservait maintenant.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les infortunes de l'infirmière, par Coulybaca - Communauté : Soumissions féminines
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