Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 23:36

Chapitre 5 : Sarah se retrouve les seins à l’air


"Ohhhh ... non, Madame la Directrice, je ne voulais pas! Je suis désolé, je suis désolé!" La pauvre en bavait. Elle allait avoir d’autres occasions de le faire ! Elle est cependant restée bien fléchis sur la chaise, les fesses dans sa jolie culotte blanche si joliment présentée.


"D'abord, tu va passer le reste de notre séance comme la luxurieuse  Jezebel que tu es, c'est-à-dire nue! ».


"Non!"

«Oh, oui! Et maintenant, lève-toi!"


Sarah obéit.


Elle a rapidement sauté hors de la chaise, en disant: «Jamais, jamais! Vous ne pouvez pas me faire ça ! »

Quand elle se fut calmée un peu, j'ai ajouté, «Sarah, ma chère, si tu voulais m’agacer pour aggraver ta punition par plaisir, et bien laisse-moi te dire que tu as réussi ! Tu as de façon flagrante et sans cesse défié mes commandements, et, peut-être le pire de tout, tu t-es odieusement livrée à tes bas instincts en t-excitant sexuellement lors d'une session disciplinaire. Cette dernière infraction est tout simplement impardonnable. "


Sarah était calme maintenant, intimidée encore, à l'écoute de chacun de mes mots.


«Grâce à ta liste impressionnante d’infractions, une liste non moins impressionnantes de sanctions sont programmées. Mais ton comportement abject me force à étendre et amplifier tes punitions. Je pense que je peux t-assurer que, après ton expérience ici aujourd'hui, tu ne pourras jamais plus faire preuve d'insubordination ou te laisser aller en ma présence. "


«Oh, je suis désolée! . . . Je serai sage! S'il vous plaît . . . vous me touchiez . . . et je ne pouvais pas empêcher ce qui est arrivé ! »


«Je suis désolé, Sarah, il n'y a aucune excuse pour se comporter comme une garce. Une vraie jeune fille sait se contenir ! Cependant, comme toujours, je te laisse la possibilité d’alléger ta peine en devenant obéissante. Vas-tu enfin maintenant commencer à suivre mes ordres sans discuter? »


"O. . . Oui, Madame la Directrice.", gémit ma pauvre victime.


«Bon!, Retire tes sous-vêtements à l'instant. Le soutien-gorge en premier."


"Oh! Oh, s'il vous plaît ... Je ferai tout ce que vous dites, mais, JE NE PEUX PAS faire ça! Je ne peux pas! », éclata la jeune fille, en larmes, en se tordant les mains.


Dans un accès de désespoir, elle tomba à genoux devant moi ", Mme Marks ... vous pouvez comprendre ... Je vais être obéissante mais je ne peux pas enlever mes sous-vêtements . . . Ce serait un péché! "


"Silence ma fille!"


Elle obéit, debout en tremblant et sanglotant en face de moi.


«Ma chérie, vos inquiétudes au sujet du péché sonnent un peu creux après la façon dont vous vous êtes livrée au plaisir sexuel sous mes doigts ! ».


En effet, la tache humide sur sa culotte était plus grande et plus évidente. Ce n'était probablement pas qu'elle a été de plus en plus excitée, elle était probablement au-delà de cette expérience maintenant. L’humidité avait eu simplement la chance de tremper à travers sa culotte. Néanmoins, la chère fille était mortifié de constater ce point.


"Vous avez deux secondes pour commencer à enlever votre soutien-gorge. Je ne plaisante pas."


Sarah était paralysée.


J'ai attendu pendant quelques secondes. Elle est restée paralysée.


Je me tournai vers mon bureau et  poussai le bouton qui convoquerait Ken et Sam. Sarah
savais ce que je faisais et a plaidé: «Non, Madame la Directrice! Pas eux!"


Il était trop tard. Les deux heureux adolescents entrèrent.


"Merci Ken, Sam, d'être venus. Maintenant, permettez-moi de vous signaler une manifestation certaine de l’état d’esprit de cette jeune fille". Et je montrai la tache humide dans l'entrejambe de Sarah.

 

 « Maintenant, les garçons ", ai-je dit:« Nous avons une coupable désobéissante à traiter. Enlevez moi ce soutien gorge pour commencer . . . Et inutile de prendre de gants, vous voyez bien que malgré ses cris la demoiselle éprouve un vif plaisir à la situation . . . que nous allons faire passer !"

Sarah a essayé de s'échapper, mais c'était sans espoir. Ils l’ont rapidement saisit, tout en la tenant fermement.

 

Sam fit sauter les crochets de son soutien-gorge de qualité industrielle.


Encore une fois Sarah était dans une situation désespérée. Elle a crié, «Je vais le faire! Arrêtez-les,
Mme Marks!"


"Ahem. Arrêtez-vous les garçons . . . Qu’est-ce-ce que tu dis, ma chérie? »


«Je ferai ce que vous voulez!"


"Et qu'est-ce que c'est?


«Je ... Je ... Oh, Dieu me pardonne !.... je vais enlever mes sous-vêtements."


«Eh bien! Commence donc!"


Sam et Ken lâchèrent à contrecœur la délicieuse adolescente, qui se tint là, ne sachant que faire.

«Eh bien, n’as-tu pas dis que tu allais retirer tes sous vêtements?"


"Oh, mais pas avec eux ici. Je vais le faire en face de vous, . . .  "


«Oh, Sarah, Sarah, quand vas-tu enfin apprendre? Bon, une fois de plus, je serai clémente. Puisque tu m’as forcé à faire appel à Sam et Ken, tu va enlever ton soutien-gorge devant eux, mais ils partiront ensuite et tu retireras alors ta culotte devant moi seulement ! »


"Ohh! Ohhh! ». La panique pure que je lu dans les yeux de Sarah n'a pas de prix !

 

« Allons Sarah ! A moins que tu ne préfère te faire retirer soutien-gorge et culotte par tes 2 amis ?"


Une nouvelle explosion de sanglots accompagna l’action d’obéissance de Sarah : elle enleva les bretelles de son soutien-gorge.


Ce fut un moment merveilleux. L'une des filles les plus timide et prude que j’ai  jamais rencontré était sur le point de livrer d’elle-même ses seins nus en face de sa directrice d’école et deux jeunes adolescents lubriques. C'était la dernière chose qu'elle voulait faire, mais elle n’avait pas le choix ! Cela a été une exquise agonie mentale pour elle et son visage d’adolescente innocente trahissait l’horreur qu’elle ressentait. Les crochets et les clips sautèrent les uns après les autres et le soutien-gorge a commencé à glisser. Résignée, Sarah laissa tomber le soutien-gorge sur le sol. Toutefois, elle a instantanément  couvert ses seins en repliant ses bras sur eux. L’opulence de ses seins faisait cependant que ceux-ci débordaient généreusement des bras. Pour une adolescente, Sarah avait tout simplement des seins hors du commun. Les yeux des deux garçons sortaient de leurs orbites.


«Je ne crois pas que t-avoir donné la permission de couvrir tes seins Sarah ! »


"N-non, Madame la Directrice. », répondit-elle d’une petite voix.


« Eh bien, alors ...?", lui dis-je très doucement, mais avec une connotation menaçante.


Sarah abaissa lentement ses bras à ses côtés, en dévoilant une paire de seins qui avait parfaitement le droit d'être considéré comme légendaire. Ils étaient très volumineux et lourds, avec de gros mamelons roses, mais ils avaient la fermeté merveilleuse et la désinvolture qui ne pouvait appartenir qu’à une jeune fille  de 17 ans. Ces magnifiques mamelles étaient complétées par une taille très fine et un ventre plat mis en valeur par des hanches bien charnues. Le corps de cette mijaurée était une invitation à la punition corporelle et à la perversité!


Sarah était mortifiée.

 

"Tes mamelles sont tout simplement énormes Sarah, je me demande comment tu réussi à tenir debout! ", ai-je commenté en riant.


En fait, j'étais très heureuse qu’elle soit dotée de tels seins ! J’avais très récemment mis au point un assez intéressant  dispositif de punition qui avait été conçu avec une grande fille à la poitrine plantureuse. J’allai pouvoir le tester sur Sarah!


«Sarah, puisque tu as encore obligé  Sam et Ken à se déplacer pour rien, tu vas rester sur place pendant qu'ils pétrissent tes seins. Ils leurs font visiblement beaucoup d’effet ! Cela les dédommagera un peu! »


"Ohhh! Non, non!". La pauvre fille a commencé à reculer.


"Sarah!".

La jeune beauté a cédé, laissant tristement les bras tomber à ses côtés. Mais je n'étais pas satisfaite.


«Les épaules en arrière, Sarah, le dos bien raide . . . offre tes mamelles de façon digne !"


Avec un frisson et un sanglot, Sarah rejeta ses épaules en arrière, ce qui projeta ses seins en avant, les faisant saillir encore plus.


J'ai hoché la tête aux garçons et ils se sont approchés de leur proie. Sarah réussi à rester en position comme chaque garçon saisit d'une de ses mamelles. Sarah soupira  à ce premier choc. Comme les deux adolescents ont commencé à pétrir et presser les masses de chairs elle a commencé haleter d'angoisse.


Très vite, les mamelons grossirent et devinrent plus épais. La tache humide se faisait encore plus grande sur la culotte. La jeune fille démarrait en dépit d'elle-même!


«Juste une minute les garçons. Je pense que notre jeune coquine est en train de céder à nouveau à ses pulsions indécentes ! . . . Regardez son entre-jambe! "


Tous, y compris le malheureux sujet de mon intervention, regarda vers le dit entre-jambes. Sarah, étouffée par la honte de ce qu'elle voyait, ne pu rien dire. Sam et Ken éclatèrent de rire. La culotte
était maintenant assez humide pour être  semi-transparente et laisser deviner les poils pubiens roux.


«Les garçons, vous voyez devant vous une salope sans pudeur, qui se livre à ses bas instincts devant des étrangers et en pleine punition ! . . . Pire encore, elle est totalement hypocrite ! Elle se prétend catholique pratiquante, trop pudique pour subir une fessée sur sa jupe, et porte des sous-vêtements de bonne sœur contraires au règlement ! Comme l'inspection de ses seins lui a donné l'excuse de ce relâchement, il est juste que ces seins subissent une réprimande immédiate ! Maintenant, à tour de rôle, je veux que chacun de vous donne sur le sein que vous avez en main une bonne claque. Peut-être cette thérapie est-elle la seule voie. Ken, commencez !"


Ken m'a souri, puis à Sam, puis à l’incrédule Sarah. Sans avertissement, il a ramené sa main et lui a donné une claque vigoureuse sur le côté du sein qu’il venait de relâcher. Le son était terriblement fort et la poitrine recula sous le choc. Sarah a crié, reculé et saisit alors sa poitrine insultée.

Juste assez fort pour couvrir son scandalisé "OH", je dis: «Sarah, reprends ta position ! »"

Une nouvelle plainte a accompagné son obéissance rapide. Elle commençait à apprendre! Un éclair  rouge, empreinte d'une main, était visible sur la chair auparavant blanche. Dès qu'elle retrouva sa posture, Sam décocha une claque encore plus violente sur l’autre sein. . . Il y avait mis tout son cœur ! Sarah a crié et a reculé à nouveau sous le choc.


J’ai  alors dit à Sam et Ken de se retirer pour le moment.

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Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 23:25

sasha2

 

Bonjour Chers lecteurs et lectrices.

 

Mme Marks a fait une petite pause dans sa punition pour me permettre de vous écrire ce mot.

 

Vous allez pouvoir lire maintenant le 5ème chapitre de mes mésaventures,

 

Les 4 premiers avaient été publiés sur un autre site. A partir de maintenant, vous allez lire des chapitres en première publication.

 

J'espère que vous allez les apprécier!

 

Mes fesses, et les autres parties intimes de mon corps ont suffisamment payées pour!

 

. . . mais n'allez pas dire à Mme Marks que je conteste ses punitions! Je sais que c'est entiérement mérité!

 

Bonne lecture.

 

Sarah

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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 18:43

Celà faisait longtemps que vous n'aviez pas eu votre petite photographie d'étudiante Thaï sexy, en voici donc 4 pour le prix d'une!

 

thaistudent-o.jpg

 

4 superbes paires de jambes! Un peu jeunes, je vous l'accorde, mais elles vont encore grandir!

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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 18:39

Chapitre 4 : Le gardien de nuit profite de cette aubaine.



-"Oh mon Dieu..... Oh oui..... Faites que je jouisse..... Je vous en prie, je veux jouir! ......."

Sam entendit ses cris avant même de parvenir à la porte du cabinet.

Sam était gardien d'immeuble, il surveillait plusieurs immeubles exécutant plusieurs rondes au cours de la nuit.

C'était un homme d'une stature peu ordinaire, il mesurait environ 1,90 m pour 110 kgs.

Il portait une profonde cicatrice sur la joue droite, c'était le genre de type qui généralement faisait peur aux femmes.

Et de fait il avait eu la masse de ses rapports sexuels avec des prostituées qu'il rencontrait lors de ses rondes de nuit.

Occasionnellement il en payait une pour l'accompagner dans un des bâ-timents, il avait ainsi baisé dans de nombreux bureaux.

Sam était peu aimé des autres salariés, il était fruste et antipathique et prétendait commander les gens qui l'entouraient.

Il trouva la porte du cabinet du docteur James grande ouverte, et entendit du bruit à l'intérieur.

Il sortit sa matraque, la seule arme que les gardiens avaient le droit de porter, et entra dans le cabinet.

Lorsqu'il entendit les plaintes de Cynthia, il s'arrêta pile, identifiant des râles amoureux émanant d'une salle d'examen.

Passant la tête dans l'embrasure de la porte il vit une femme s'agitant sur le corps d'une seconde qui se faisait les tétons par un troisième entièrement nue ; à cette vue sa bute se mit au garde-à-vous dans son caleçon.

Il observa la scène pendant plusieurs minutes alors que l'orgasme de Cynthia s'estompait.

Il reconnut Martina et la jeune infirmière, mais il ne savait pas qui était la troisième jeune femme.

Mais Sam était un salopard, il avait surpris les trois femmes dans une situation des plus compromettantes et était bien décidé à en profiter.

-"Par l'enfer, que se passe-t-il ici? ...." beugla-t-il en pénétrant dans la pièce.

Martina et Brandi se redressèrent comme des I tentant de cacher leurs charmes, Cynthia toujours sanglée sur la table d'examen gisait tous charmes livrés à la concupiscence de cet intrus.

-"S'il vous plait délivrez-moi...... Ces deux femmes me violaient! ....." pleurnichait misérablement Cynthia.

Martina et Brandi le regardait totalement paniquée.

-"Tu te faisais violer? ...... Il me semble bien que tu participais de tout ton cœur! ......." rétorqua Sam hilare.

Martina le regardait s'approcher d'elles. Elle voyait distinctement l'énorme bosse qui déformait l'avant de son pantalon, elle supposa qu'il devait être doté d'une bite d'une sacré dimension.

Cynthia voulait à toute fin être libérée de ses entraves.

-"Détachez-moi espèce de fils de pute! ......"

Sam la regarda en ricanant.

-"Bien, bien..... Si tu crois me faire peur en affichant cette attitude..... Je sens que tu as besoin d'une petite leçon ma chérie! ......".

Il entreprit de se débarrasser de son pantalon, Cynthia crut mourir d'horreur à la vue de sa grosse bite d'au moins une trentaine de centimètres.

Elle ne voulait surtout pas se faire à nouveau baiser et encore moins par cet enculé.

-"Dites les deux petites dames que diriez vous de préparer ma bite? ....." dit-il pointant sa matraque sur Brandi et Martina.

Les deux lesbiennes n'avaient aucune envie de faire quoi que ce soit avec lui, non seulement c'était un homme, mais de plus elle le trouvait particulièrement antipathique et dégoûtant.

Sam sentit leur hésitation.

-"Mes jolies petites dames j'ai décidé de vous baiser toutes trois cette nuit...... Mais je veux surtout me faire cette petite salope d'infirmière....... Si vous coopérez toutes les deux docilement je veillerai à ce que personne ne sache rien de tout ceci et vous pourrez garder vos boulots! ......"

-"Je crois qu'il nous tient bien... Il ne nous reste qu'à lui obéir" constata amèrement Martina.

Elles tombèrent toutes deux à genoux et se mirent à sucer tour à tour la grosse bite de Sam.

Sam leur dictait ses instructions, pendant que l'une le suçait, l'autre de-vait lui lécher les burnes.

Quelques minutes plus tard, il se redressa et approcha de la table d'examen se postant face à son visage.

Il la força à baisser la tête et enfourna son épaisse bite dans sa bouche.

Cynthia pensa étouffer alors que la grosse mentule frayait son passage dans gorge.

-"Léche là! ...." ordonna-t-il à Brandi désignant du doigt l'entre-cuisse de Cynthia.

Cynthia sentit tout de suite la langue habile lui titiller le clito, elle était tout de suite sur le point de jouir.

Sam se mit à la baiser en bouche sans aucune pitié, lui agrippant les ni-chons de ses mains calleuses pour s'enfoncer plus profondément dans sa gorge.

Cynthia succombait à un nouvel orgasme sous la langue agile de Brandi, à cet instant même la bite de son agresseur vomit un flot de foutre dans sa gorge asservie.

C'est avec d'énormes regrets qu'il extirpa sa flamberge de sa bouche.

Il ordonna aux deux gouines de s'approcher et de s'appuyer sur la table cote à cote.

Il choisit de baiser Brandi en premier et plongea son énorme bite dans sa petite chatte frémissante de dégoût.

Brandi n'avait jamais accueilli de chose aussi large dans son con.

Lorsqu'il entreprit de la labourer, elle le sentit grossir encore et encore, elle sut alors qu'il avait à nouveau déployé ses trente centimètres de long.

Quelques minutes plus tard elle succombait à son tour à un orgasme inattendu et s'effondrait sur la table, il se retira alors d'elle s'enfonçant cette fois ci dans la chatte de Martina.

La gouine s'était jurée de ne jamais plus permettre à un homme de la posséder comme au temps de son adolescence.

Elle méprisait cet ignoble bâtard qui fourrait sa grosse bite dans sa chatte récalcitrante, mais bientôt elle le supplia d'avoir pitié alors qu'il pilonnait de plus en plus vigoureusement sa moule meurtrie.

Martina frissonna de tous ses membres en réalisant qu'elle était sur le point de jouir sous ses rudes assauts.

Sam comprit que la jolie petite gouine allait jouir, il prenait un grand plaisir à la faire jouir en dépit de sa volonté initiale de supporter passivement cette épreuve.

Puis il contourna la table et s'installa entre les cuisses de Cynthia.

Il ordonna aux deux gouines de se disposer de chaque coté de son torse, elle pourrait ainsi s'occuper de ses nichons pendant qu'il la baise-rait à couilles rabattues.

Cynthia ferma les yeux alors que Sam plongeait en elle, elle se mit à haleter lorsque les deux gouines lui mâchouillèrent les tétons.

Il la labourait aussi profondément qu'il le pouvait, heurtant à chaque coup d'estoc le col de son utérus, il la baisait âprement.

Cynthia criait à chaque coup de boutoir tant la douleur des profondes pénétrations était intense.

Une fois de plus son corps répondit aux assauts lubriques qu'elle endurait.

Les titillements des deux bouches féminines lui travaillant les mamelons et l'épaisse queue s'agitant au cœur de son intimité c'était plus qu'elle n'en pouvait supporter, elle commença à gémir sourdement, un orgasme fulgurant la terrassa alors, elle jouissait encore et encore sous les caresses de ses trois suborneurs.

Il grogna à son tour et se planta plus profondément encore dans son fourreau dilaté la ramonant de plus belle avant d'exploser au fin fond de son utérus, le tapissant de son épaisse crème.

Lorsqu'il s'extirpa de sa chatte distendue, Cynthia gisait frissonnant de tous ses membres sur la table d'examen, son cœur battait la chamade.

Elle détestait cette nuit mais elle savait que jamais elle ne s'était sentie aussi satisfaite sexuellement.

Bien qu'elle ait subi ces rapports contre sa volonté, elle savait que jamais elle n'oublierait cette béatitude inespérée.

Sam ordonna à Martina et Brandi de se rhabiller avant de partir, s'assurant que désormais elles lui obéiraient servilement chaque fois qu'il l'exigerait.

Les deux filles partirent satisfaites de s'être envoyées la jolie infirmière, même si cela entraînait de futures rencontres avec le libidineux gardien de nuit, car elles étaient certaines de pouvoir se refaire l'infirmière dès qu'elles le souhaiteraient!.

Martina considérait que c'était le prix qu'elles devaient payer pour avoir profité des charmes de Cynthia, prix qu'elle acquitterait servilement selon les vœux de Sam.

Brandi pensait que tout était au mieux dans le meilleur des mondes.

Non seulement elle pourrait continuer à se gouiner avec Martina mais elle pourrait jouer aussi profiter des plaisirs que procurait une énorme bite.

Une fois les deux lesbiennes parties Sam se rhabilla et délivra Cynthia, il lui expliqua que si elle révélait à qui que ce soit ce qui venait de se passer, il répéterait partout comment il les avait surprises toutes trois se gouinant et qu'il n'avait fait que se joindre à leurs jeux.

Il ajouta qu'il était sur que Martina et Brandi corroboreraient ses dire.

Cynthia savait qu'il disait vrai, elle s'en souciait peu en cet instant, elle sortait de la plus agréable nuit qu'elle ait jamais vécue, elle en avait bien trop joui pour s'en plaindre.

Il n'y avait aucun risque qu'elle s'en plaigne auprès de qui que ce soit.

Elle se rhabilla de son mieux et empoigna son sac.

Elle réalisa alors qu'un de ses agresseurs lui avait dérobé son argent, mais elle s'en foutait.

Elle sortit du cabinet ses clefs de voiture en main.

Elle croisa Sam dans le hall et ignora ses commentaires sarcastiques, elle prit l'ascenseur quitta le bâtiment et regagna la sécurité de son domicile.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les infortunes de l'infirmière, par Coulybaca - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 22 janvier 7 22 /01 /Jan 22:46

 

"OK, Jane. Tu va déguster salope !  Il n'y a pas de mots pour décrire ce que tu va endurer pour toutes les merdes que tu m'a fait subir depuis ces années ! »

Dennis souriait jusqu'aux oreilles. C'était fantastique! Il venait de terminer l'interrogatoire de Jane
qui venait de lui décrire par le menu son histoire incroyable, avec tous les délicieux détails des traitements dont elle avait été victime.


Tout avait commencé innocemment. Il avait simplement demandé à « soeur » aînée ce qu'elle faisait à la maison à cette heure de la journée. Enfin, sa sœur ainée par alliance, puisque la mère de Dennis s'était remariée avec le père de Jane il y a à peine 3 ans.

 

Jane l'avait vu en entrant et avait essayé d'éviter son « frêre ». Elle savait qu'elle ne pourrait résister à une question directe. La drogue à laquelle elle avait été exposée par le personnel de la bibliothèque de l'école la contraindrait à raconter dans les moindres détails les ignominies dont elle avait été la victime et ce morveux d'à peine 17 ans n'hésiterait pas à en profiter !.

"Premièrement, je veux que tu enlève tous tes vêtements! », dit Dennis en souriant et en se léchant les lèvres.


«Allons, Dennis . . . je suis ta sœur. N'aimerait-tu pas plutôt regarder d'autres filles? »

 

Mais tout en parlant, Jane ne pu empêcher ses mains d'immédiatement commencer à défaire les boutons de sa blouse.

   
Jane vit le regards concupiscents de Dennis, mais n'a  pu s'empêcher d'obéir à son ordre.


"Ce n'est pas drôle, Dennis, je vais te tuer, petit merdeux! Ordonne-moi de m'arrêter! "


"Bien-sûr que non Jane !. En fait, tu va faire un stiptease pour moi!"

 

Dennis tourna la stéréo à fonds dans le salon et s'assit dans le grand fauteuil sur une chaise.

 

Personne n'était à la maison sauf lui et Jane. Il éclata de rire en voyant le visage de celle-ci virer à l'écarlate.


«Pas ici, dans la salle de séjour, Dennis! S'il te plaît!"


"Mais si, ici c'est très bien ! Fais un strip lent et sensuel ! Fais moi démarrer ! . Ne sois pas timide! "

 

Dennis se leva et se dirigea vers la grande baie vitrée. Il ouvrit les stores verticaux, puis fit de même pour les deux fenêtres sur l'autre mur. Il ouvrit ensuite la baie vitrée et retourna s'assoir sur la chaise.

 

Jane avait enlevée sa chemise et la balançait par dessus sa tête. Elle la jeta vers Dennis, puis elle lança ses chaussures en l'air. Elle déboutonna son jean et a commencé lentement à le baisser, tout en  se balançant et en tournoyant.

 

"Que fais-tu, petit monstre! Ferme les stores! Quelqu'un pourrait me voir! "
"Ah oui? Eh bien, pourquoi ne pas simplement aller à l'extérieur en plein milieu de la rue pour finir ton strip-tease! ".


« Non! S'il te plaît! Je-Je suis désolée. Vraiment! »

 

Jane avait déjà commencée à  clopiner vers la baie vitrée ouverte, le jardin donnant sur la rue.


«D'accord, reste ici, mais il vaut mieux être très gentille avec moi pour changer ou tu vas le regretter. Maintenant, continue . . . ».


Jane gémit et a continué, poussant son jeans jusqu'aux chevilles. Elle dégagea ses jambes, puis d'un coups de pied sur le côté de la chambre elle rejeta le vêtement au loin tout en se déhanchant au son de la musique. Elle dégrafa son soutien-gorge. En tirant les sangles, elle garda les bras sur ses seins opulents. Dennis se pencha en avant et lorgna dessus lorsqu'elle baissa les bras, exposant ses deux lourds obus aux larges aréoles roses.


Dennis frappa dans ses mains et cria: «Fais passer ta langue entre tes lèvres et malaxe tes grosses mamelles !"


En dépit d'elle-même, Jane se lécha les lèvres tout en regardant Dennis qui la matait, les yeux exorbités. Elle se mit à se malaxer furieusement les seins et lorsque ses tétines furent dures, elle
commença à baisser sa culotte.


"S'il te plaît, Dennis!" implora t-elle. "Ce n'est pas juste. Tu as eu ta vengeance, maintenant laisse-moi me rhabiller. "


«Tu plaisante! Pour toutes les merdes que tu as faite à mon détriment depuis 3 ans, je devrais te faire faire le poirier à poil au milieu du jardin en rameutant les voisins ! En plus, un tas de gars de mon âge tueraient pour avoir une fille à leurs ordres. Et ce n'est pas parce que tu es ma « sœur » que tu n'est pas une fille !. Je vais avoir énormément de plaisir à te faire faire les pires cochonneries ! Ca va être cool! "


Jane leva ses pieds un à un pour enlever sa culotte. Elle la jeta dans la pièce et se retrouva nue !


"OK, tu peux arrêter de danser", lui dit Dennis. "Allonge-toi sur le sol, sur le dos, jambes bien écartées, aussi largement que possible, puis frotte tes seins et supplie moi de te baiser! »


«Je vais te faire payer pour cela, je le promets!", cracha Jane en s'allongeant sur le sol. Ecartant ses jambes, elle se mit à se pétrir les seins, et supplia son Dennis de la « baiser ».


Dennis profitait de la vue à plein. "Ah ouais, et ne jouit que lorsque je te le dirait ! Ajouta t-il en riant.

 

Baissant son pantalon et son slip, le garçon dévoila une érection d'au moins 20 cm !.


« Mais avant de te ramonner la cheminée, je vais te donner la féssée que tu mérite ! . . . A 4 pattes ! », ordonna t-il.


Jane arrêta de se pétrir les seins.  Elle se leva et se mit en position.


«Demande-moi de tedonner la fessée, Jane ».


"S'il te plaît, donne-moi la fessée Dennis."


Dennis décocha une claque retentissante au cul blanc de Jane qui rougit de suite.

 

«Demande-moi de façon plus agréable. Dis-moi que tu es désolée pour toutes les fois ou tu m'a causé des ennuis. Dis-moi que veux être punie pour  de toutes mes conneries que tu as dénoncé à maman. Dis-moi que tu es désolée, et que je batte ton cul encore et encore! "


Dennis commença à corriger le cul sans défense alors que Jane  le suppliait de la punir. Entre 2 excuses, elle sanglotait !. Ses fesses passaient du blanc au rose. Dennis pouvait voir ses empreintes de mains s'imprimer sur la peau fragile de blonde. Plus elle se tortillait, plus il frappait de bon cœur.  Après au moins 50 gifles, il s'arrêta et agita sa main droite pour la rafraîchir. Jane sanglotait mais continuait toujours de mendier son pardon. Il la repoussa du pied et elle tomba sur le plancher

"OK Jane. Tu va monter à 4 pattes dans la chambre de Papa et Maman et te branler comme la dernière des salopes que tu es! Mais sans jouir ! Pendant 5 minute ! Puis revenir à 4 pattes !»


Jane sanglota et commença à se diriger à 4 pattes vers l'escalier.

 

Dennis ria aux éclats et alla chercher la caméra vidéo.


Environ 5minutes plus tard, Jane apparut de nouveau au sommet de l'escalier. Elle descendit les marches à 4 pattes, seins ballottant sous elle.

 

Dennis avait la caméra vidéo en main et filmait la scène, insistant sur les seins secoués en tous sens et les fesses encore rouges de la raclée reçue.

 

Le visage de la jeune fille était baigné de larmes et ses dents claquaient.


Dennis abaissa la caméra et sourit à sa sœur.


Il allait enseigner à cette chienne une leçon d'humilité.


«Allonge-toi sur le dos . . .  Maintenant, soulève tes fesses aussi loin que tu le peux et ta tête aussi. Je veux que tu essaye de lécher ta propre chatte! Je sais que tu ne peut pas l'atteindre, mais je veux que tu essaye de t-en rapprocher le plus possible. Tire la langue et essaye de la lécher, en gémissant beaucoup "


  Dennis mis l'appareil à nouveau en marche et filma sa sœur se contorsionnant lascivement pour essayer de lécher sa propre chatte. Elle tirait ses cuisses aussi haut qu'elle le pouvait. Dennis fut surpris qu'elle réussisse presqu'à se lécher  les lèvres vaginales ! Sa langue était seulement à six centimètres de sa chatte !. L'intérieur des cuisses de Jane brillaient de mouille et il était évident que la fille était excitée au dernier stade. Elle tremblait de tous ses membres.


"S'il te plaît, Dennis, je suis bout. Je ne peux pas forcer plus ! Je suis tellement excitée que si je ne jouit pas je crois que je vais mourir. Assez ! S'il te plaît! "


  "Non, Jane. Je viens juste de commencer avec toi. Nous avons un long chemin à faire ! Je ne sais pas ce qu'ils t-ont fait à la fac, mais au cas ou la drogue venait à s'estomper, cette vidéo va être mon
assurance que tu fera toujours ce que je veux! Tu vas faire ce que je te dirai de faire pour le reste de ta vie! . . . Mes-toi les doigts dans la chatte et masturbe toi ! . . . Ecarte toi les fesses pour la caméra et dit-moi que tu veux ma grosse bite dans le cul ! »


"Pitié, Dennis! Mes-moi ta grosse bite dans le cul ......"

 

Jane était pratiquement prise de convulsions sur le tapis. Dennis la filma en train de se branler et de supplier pendant une dizaine de minutes puis posa l'appareil photo et pris le téléphone en main.

"Salut Steve. Dennis. Tes parents sont bien absents jusqu'à dimanche? Ouais, je sais. Surprise partie! Appelle certains de tes amis  . . . Je viens te rendre visite avec ma sœur . . . Ouais, je sais que c'est un trou du cul, mais elle va se réveller sous un autre jour, je te le promets ! Tu ne vas pas le croire! OK, au revoir. "


Dennis raccrocha le téléphone et lorgna sur sa sœur pathétique.


Jane l'avait surpris une fois en train de se branler avec un magazine Hustler en  main. Il pensait que la maison était vide et a été se coucher au lit nu après avoir pris une douche. En le surprenant, elle se mit à rire à gorge déployée. Le pire était qu'elle l'avait dénoncé à leurs parents en leur donnant le magazine! Quelle merde! Dennis avait enfin l'occasion de se venger !


Dennis ordonna à Jane de s'arrêter, de sortir dans le jardin sans récriminer et d'entrer dans la niche du chien tout en laissant son cul sortir de la niche. Heureusement pour elle, le chien était en balade.

 

« Une fois en position, branle-toi de nouveau comme la dernière des salopes! ».


Avec un mélange de peur et de haine dans les yeux, Jane le foudroya du regard puis a commencé à ramper à travers la cuisine vers la baie vitrée. Elle rampa ensuite sur la pelouse fraîche et se diriga vers la niche.

Dennis éclata de rire en voyant son cul rose qui sortait de l'ouverture de la niche.


Il se fit un sandwich et se servit un verre de lait et s'assit sur le porche et la regarda se branler. 

 

Après une dizaine de minutes, il se leva.


«Comment vas-tu, Jane? ».


«Pitié, Dennis. Pas ici, dans la cour. S'il te plaît!"


"Sors de là, Jane."

 

Il sourit et se pencha afin de mettre le collier du chien autour du cou de Jane. Il tira sur la laisse afin de faire sortir Jane.


«Alors, tu as peur d'être vue, hein?  . . . Monte sur le toit de la niche. . . Voilà  . . .  Non, dans l'autre sens. Une jambe de chaque côté du toit . . . ton visage vers la maison de façon à ne pas voir si quelqu'un te regarde de la cour  ou non. "


Il attacha la laisse sur le côté de la niche, se redressa et pinça le cul de Jane à quelques reprises.

« Colle ta poitrine contre le toit de la niche ! . . . Oui, comme ça, un nichon de chaque côté . . . Creuse bien le dos !  . . . Cul bien en l'air ! . . . Et masturbe toi avec la main droite, mais sans jouir ! »

 

Le corps de Jane fut rapidement au bord du plaisir malgré la honte et la crainte d'être vue par un voisin.

 

Pendant que Jane se masturbait avec énergie, Dennis lui décochait de grandes claques sur les fesses.

 

« Bien Jane ! Continue jusqu'à ce que je te dise d'arrêter. Aboie comme la bonne chienne que tu es aussi ! »

 

« Woof! Woof ! », s'écria Jane, morte de honte, mais ne pouvant faire autrement que d'obéir.

 

Dennis éclata de rire tout en continuant de lui claquer les fesses, maintenant passées au rouge vif.

 

Le supplice de Jane dura un bon quart d'heure. Ses lèvres vaginales étaient enflées et trempées de plaisir, mais elle ne pouvait jouir. Ses gros seins pendaient et tremblotaient de chaque côté du toit. Ses fesses étaient passées au pourpre et lui faisaient extrêmement mal. Douleur et plaisir retenu étaient tellement mêles qu'elle se sentait sur le point de s'évanouir.

 

Dennis cessa brutalement de la fesser et reprit sa caméra vidéo pour refaire quelque minutes de film.

« Pité Dennis ! », supplia alors Jane, « je ferai ce que tu veux, mais ordonne moi de jouir et d'arrêter! . . . pitié »

 

« Pas tout de suite ma belle ! Mais tu peux arrêter de te branler et descendre en restant à 4 pattes . . . la position te va si bien ! »

 

Jane descendue de la niche, Dennis reprit la laisse en main et la ramena à la maison.


Une fois à l'intérieur, il se tint devant elle et a lentement commencé à enlever son pantalon. Jane savait ce qui allait arriver et elle a commencé à sangloter. Dennis tira son slip sur ses chevilles et se tint devant elle, la queue à la verticale !


«Je pense que tu sais  ce qu'il faut faire avec cette partie de mon anatomie, Jane. Donne-moi une bonne pipe ma  jolie ! »


Jane releva la tête jusqu'à ce qu'elle soit seulement à un centimètre de la pointe de la queue. Elle renifla un peu et colla le bout de sa langue sur le gland. Dennis frémit un peu pour commencer, mais brutalement la bouche de Jane aspira à sa verge en entier. Il en eu les genoux coupés ! Il s'assit sur la chaise et Jane rampa pour se rapprocher et reprit la queue à nouveau en bouche. Elle se mit à sucer comme une forcenée tout en lécahnt le gland avec sa langue. Dennis la saisit par les cheveux et se mit à respirer par saccades. C'éatait la 1ere fois qu'il était sucé de la sorte !


Jane méprisait ce qu'elle faisait,mais ne pu s'empêcher de donner le meilleur d'elle même. Elle éprouva même un peu de fierté perverse d'être en mesure de faire trembler et haleter ce morveux de Dennis. Elle utilisa une main pour caresser les boules du garçon tandis que sa bouche continuait de siphonner la queue. Sa tête pistonnait d'avant en arrière avec énergie. Les yeux de Dennis étaient fermés par l'extase.


Enfin elle  sentit la verge se raidir. Elle accéléra encore le rytme  et Dennis ne pu s'empêcher de cracher son sperme au fonds de sa gorge à grosses giclées. Elle tenta d'avaler tout le liquide. Quand Dennis eu enfin terminé de se vider les bourses, il ouvrit les yeux et regarda à ses pieds.


Il constata que du sperme maculait ses cuisses et le sol.


«C'était génial Jane! Tu es un véritable aspirateur à bite ! Tu vas devoir me faire ça tous les jours! Mmmmmmmmmm! ", commenta Dennis en se léchant es lèvres.

 

« Termine ton travail en léchant tout ce sperme ma salope ! »

 

Brisée, Jane obtempéra en lui léchant les cuisses puis le carrelage.


Une fois qu'elle eu terminée, il la repoussa en arrière, puis se leva et regarda sa montre.


"Nous devons faire vite, Jane. Nous sommes censés être à la maison de Steve dans une quinzaine de minutes ! »

Dennis enfila ses sous vêtements puis ses vêtements et dit à Jane de s'habiller.

 

« Va mettre ton tailleur crème qui te va si bien . . . sans rien dessous ! . . . et tes souliers blancs à haut talons ! »

 

Jane monta dans sa chambre et redescendit au bout de quelques minutes.

 

Elle était vêtue d'une magnifique veste crème au large décolleté en V qui dévoilait largement son opulente poitrine, et d'une mini jupe qui lui tombait à mi cuisses. Ses souliers blancs à hauts talons de 5 cm rehaussaient sa cambrure et l'obligeait à redresser encore ses seins qui faisaient figure d'obus !

 

« Dennis, pitié, je ne peut pas sortir comme cela ! »

 

« Mais si, mais si ! », dit Dennis en riant. A chaque fois qu'il avait vu Jane dans cette tenue, il l'avait imaginé sans rien dessous. Voilà qui était fait !

 

« Mais je comprends ta détresse ! . . . cette mini jupe trop longue dénature la tenue ! Tu la fera raccourcir pour qu'elle t-arrive au quart de cuisse ! », ordonna t-il en éclatant de rire

 

Ceci dit, il décrocha la laisse, mais laissa le collier de chien au cou de Jane.


  "Allons Jane. Steve et ses amis nous attendent ! Tu va leur faire un effet bœuf !"


Ils quittèrent la maison. Dennis souriait avec malice en constatant les joues de Jane virer au rouge.

 

« Balance mieux du cul ! », lui susurra t-il à l'oreille.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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