Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 23:27

Dans ma jeunesse, mon univers érotique s'est grandement construit grâce à une série de romans extraordinaires: "Darling poupée du vice" d'esparbec. Une série de roman aux héroïnes délicieusement perverses, qu'elles soient soumises ou dominatrices. Une série de romans superbement illustrés par karla. Chaque dessin était une invitation au voyage! Une invitation à mobiliser son imagianaire!

 

Je vais donc vous faire redécouvrir ces superbes dessins! A vous de reconstruire les histoires qui pourraient aller avec!

 

Voici le dessin du 1er roman. Avouez que l'on aimerai avoir ces 2 obus dans les mains!

 

darling01.jpg

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Darling Poupée du Vice, d'Esparbec - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 31 janvier 2 31 /01 /Jan 17:18

Chapitre 6

 

Jane sursauta lorsqu'elle entendit la sonnerie du téléphone.  Entre l'humiliation qu'elle avait vécue à l'Université et celle qu'elle avait subie par son demi-frère, elle ne savait plus vraiment à quoi s'attendre.

 

Depuis son retour de chez Steve, la veille, elle était harcelée d'appels téléphoniques des amis de Dennis qui étaient présents, qui avaient pu la mater et la baiser à loisir! Tous les garçons ne souhaitaient que de la revoir pour à nouveau pouvoir se faire sucer et pouvoir la fourrer! Heureusement, les garçons se contentaient de lui demander si elle voulait bien sortir avec eux sans lui donner d'ordre explicite. Elle pouvait donc refuser sans problème.

 

Dennis avait au moins eu la décence de garder pour lui son point faible!

 

Mais le téléphone sonnait à nouveau.

 

"Bonjour" dit-elle en tremblant.

 

"Salut .. Jane?"

 

"Oui?"

 

"Salut Jane. C'est Dave St-James. Tu ne te souviens probablement pas de moi . . . ?"

 

"Non. Désolé.", répondit-elle.

 

"Oh," a déclaré Dave défait. «Nous étions dans les mêmes classes à l'école secondaire. Tu te souviens?"

 

Jane essaya de se rappeler. Ce nom semblait familier. Puis, elle se souvins! « Oh oui », dit-elle.

 

 «Davie, non? Nous étions dans la même classe en études anglaises et sociales.»

 

"Ouais," a dit Dave, en tressaillant, car il essayait d'oublier ce surnom. «Jane, j'ai pensé que nous pourrions sortir voir un film ou quelque chose .."

 

«Davie . . . », dit-elle.

 

«C'est Dave",corrigea t_il.

 

«Dave», dit-elle automatiquement. «Je ne me sens pas bien en ce moment, donc je ne pense pas que c'est une bonne idée. D'ailleurs, je ne vous connaissais pas très bien à l'époque . . ."

 

Voilà, se dit-elle. Réaffirmer sa volonté!

 

«Je suis désolé que tu ne te sente pas bien," a dit Dave. "Mais je sais que si tu sort, tu te sentira mieux. Maintenant, . . ."

 

«Écoutez, je ne veux rien avoir à faire avec vous! Vous étiez ennuyeux à l'école secondaire et vous l'êtes encore aujourd'hui! Adieu!"

 

Elle était sur le point de claquer le récepteur quand elle entendit: "Ne raccroche pas le téléphone!"

 

Son bras est resta figé en l'air. Peu importe ce qu'elle voulait faire, elle ne pouvait pas raccrocher le téléphone.

 

"Jane? Jane vous êtes toujours là? Répondez-moi!"

 

Elle a mis le récepteur  sur son oreille. "Ouais, je vous entends, salaud! Et quand je . . ."

 

"Tais-toi, dit-il. Puis, après une minute de silence, Dave a continué. "Maintenant, tu me tutoie! Je viens te chercher dans une heure. Porte quelque chose de très sexy. Tu appréciera beaucoup d'être avec moi, Jane. Si quelqu'un te demande où tu vas, réponds lui . . . Je vais passer du bon temps avec Dave St . James!, Tu as compris?"

 

« Oui . . . » dit-elle. Mais elle voulait en dire davantage. Beaucoup plus! «Oui, tu es un pourri , un bâtard! Et si je n'avais pas cette putain de chimie en moi qui a emportée mon putain de libre arbitre . . . je voudrais que toi et tous les autres gars qui m'ont baisé soient enculés de force comme des pédés! »

 

"Bon. Maintenant, quand je dis" au revoir "tu peux raccrocher le téléphone et te préparer. Compris?"

 

"Oui .."

 

«Bon. Je passe te prendre dans une heure. Bye!"

 

Elle claqua le téléphone en criant des obscénités.

 

« Sale merde! Et putain de Dennis qui a vendu la mèche! Salopard! »

 

Une heure plus tard, elle descendit l'escalier. Fidèle à la consigne de Dave, elle s'était douchée et habillée d'une blouse blanche sans manches et d'une mini-jupe en cuir noir, qui laissait nues ses jambes galbées. Elle s'était également chaussée se souliers noirs haut talons qu'elle détestait, mais savait particulièrement sexy.

 

"Jane?", l'interpella sa belle-mère lorsqu'elle arriva au pied de l'escalier. «Tu sors, ma chérie? »

 

«Oui, Je vais passer du bon temps avec Dave St . James!", répondit Jane avec enthousiasme, même si toutes les fibres de son être lui hurlaient le contraire.

 

"Oh!" dit sa belle-mère, choquée de cette révélation. "Eh bien . . . amuse-toi bien alors."

 

Jane a couru hors de la maison. Elle ne voulait pas que quelqu'un d'autre lui pose des questions et d'être obligée de répondre. Dave était déjà là à l'attendre dans sa vielle Plymouth Horizon.

 

Jane se souvenait de Dave comme un eunuque boudiné, un garçon qui la suivait partout comme un chiot malade d'amour. Bien sûr, elle ne voulait rien à voir avec un tel loser. Il était boutonneux et rachitique. Très peu de choses avaient changé depuis lors. Il était toujours rachitique, mais son acné était remplacé par un front dégarni. De toute façon, dans l'esprit de Jane, il était toujours un loser.

 

"Salut Jane," a déclaré Dave comme il se penchait pour lui donner un baiser.

Jane l'évita et se dirigea vers le côté passager de la voiture.

 

Dave a ouvert pour lui permettre de monter et elle se laissa tomber sur le siège. Elle a essayé de froncer les sourcils, mais parce que Dave lui a dit qu'elle allait beaucoup aimer d'être avec lui, elle garda le sourire et lui présenta l'illusion du contentement.

 

"Alors, où allons-nous?" dit-elle gaiement.

 

"Eh bien, je pensais qu'un film serait sympa . . . Que pense-tu?"

 

"Non!" dit-elle avec son sourire faux. "S'il te plaît .. un endroit tranquille .. ok? S'il te plaît? Ensuite, tu pourra faire ce que tu veux de moi. Je veux juste que cela se fasse discrètement!"

 

«Je ne crois pas Jane », répondit Dave avec le sourire. "Rappelle-toi ce que tu as dit à tes amies de moi à l'école secondaire? Tu as dit, je cite . . . Je ne voudrais pas sortir avec lui s'il était le dernier survivant sur Terre! Je préfère mourir que d'être vue avec lui! . . . Fin de citation. Tu ne pensais pas que j'avais entendu? Tu as certainement parlé assez fort à la cafétéria pour que chacun soit au courant à propos de mon béguin pour toi. Eh bien, je vais faire savoir à tous que toi et moi, nous sortons ensembles. Et le premier endroit où nous allons être vus est le Cineplex au centre commercial. "

 

«Non », dit-elle, toujours souriante. «Regarde, je suis désolée, ça va? J'ai été une chienne à l'époque, c'est vrai. Tu n'as pas besoin de me faire ça .. s'il te plaît! S'il te plaît .. Je vais ... je vais te  laisser me baiser par tous les trous!  Il suffit de ne pas me sortir en public comme ça! "

 

"Pourquoi ne pas me donner un avant-goût de ce qui est à venir?", dit Dave en tournant dans une ruelle et se garant. "Déboutonne ta blouse et laisse-moi voir ce qu'il y a en dessous."

 

«Oh mon dieu . . .", dit-elle. Une larme a commencé à couler alors qu'elle continuait de sourire en déboutonnant sa blouse afin de dévoiler sa poitrine enserrée dans un soutien-gorge de dentelle blanche.

 

"Permets-moi de te parler un peu de ce que j'ai vécu", a déclaré Dave en jetant un coup d'oeil à ses seins. "Que dirais-tu de tirer ta jupe vers le haut et de te frotter la moule à travers la culotte? Comme je le disais .. Oui, tu savais que j'étais amoureux de toi . . . Et tu le savais car tu m'as fait faire des choses bien stupides! J'ai porté tes livres pour toi, et même je t'ai aidé pour les questions sur lesquelles tu séchais. Rappelle-toi ces petits papiers ou tu me demandais les réponses à l'examen!"

 

Jane a commencé à gémir de plaisir en se frottant la vulve à travers sa culotte de dentelle, vulve qui commença à mouiller.

 

"Sais-tu avec combien de femmes j'ai été depuis?", lui a t-il demandé. "Trois. Et chacune d'elle était comme toi: une chienne gâtée qui pensait être le nombril du monde! Chacune d'entre-elles a sauté sur ma vie, c'est enroulée autour, et en fait un véritable enfer, tout comme toi toutes ces années! "

 

"MMMMMM ..." Jane a commencé à trembler  en sentant l'orgasme l'envahir.

 

"Arrête de te frotter », dit Dave. "Et reboutonne ta blouse»."

 

"Ce n'est pas de ma  faute si tu as été traité si mal. C'est ton problème, pas le mien."

 

«C'est là que tu as tort », dit-il avec un sourire. "Tu étais la première fille que j'ai aimé. Si tu m'avais traité avec respect et dignité et pas utilisée comme tu l'as fait, j'aurai pu avoir confiance en moi et demander aux autre jeunes filles de ne pas me traiter comme de la merde. Mais chaque fois que je trouve une belle femme, elle se révèle être juste comme toi: arrogante, égocentrique, et égoïste. Elles veulent se servir de moi pour ce que je peux leur donner, et lorsqu'elles l'obtiennent, elles me jettent aux ordures. Eh bien maintenant toi et moi, nous allons sortir, tout comme je l'ai voulu toutes ces années. . . et en plus, je te baiserai tout de même par tous les trous!"

 

Dave redémarra, roula quelques minutes et gara la voiture devant le Cineplex. L'ancien cinéma n'avait que deux films en cours de projection .. "USS Alabama" avec Denzel Washington et "Showgirls" avec Elisabeth Berkley. Jane devina rapidement ce que Dave allait l'emmener voir.

 

"Maintenant, voici les règles Jane", dit Dave une fois la voiture garée. "Tu ne pourra que chuchoter. Tu t-accrochera à moi comme si tu étais ma petite amie, et peu importe ce qui se passera, tu te montrera toujours volontaire et enjouée. Maintenant, nous allons voir notre film. "

 

Jane ne pouvait pas croire à quel point cette situation était humiliante pour elle, non seulement d'être vue avec un tel loser, mais aussi de sortir avec lui pour voir un film aussi nul que "Showgirls!" D'une certaine façon, elle saurait préférée passer une nouvelle soirée à se faire baiser encore et encore par  les amis de Dennis. Elle pria pour que personne ne la reconnaisse.

 

"Jane . . . Salut!"

 

Le pire arrivait.

 

Elle venait d'être repérée par Kelly et Keith. C'était des amis d'études secondaires. Kelly, avec son joli visage et les cheveux roux noués en queue de cheval, et Keith, le capitaine blond de l'équipe de football collégial. Le couple parfait . . .

 

"Oh non . . .", murmura Jane à voix basse. "S'il te plaît Dave, ne me laisse pas . . ."

 

"Salut," a déclaré Dave, saluant le couple à mesure qu'il approchait. Kelly n'arriva pas à cacher à quel point elle était rebutée de voir Jane au bras d'un loser comme Dave.

 

"Jane, cela fait un moment", a dit Kelly. "Comment vas-tu?"

 

«Très bien », dit-elle dans un murmure.

 

"Elle a un peu froid», a déclaré Dave avec un sourire. "Vous savez ce que c'est . . . un bain de minuit dans un lac froid fait parfois cet effet."

 

Kelly et Keith riaient, mais Jane ne pu que rougir de honte. "Eh bien, nous devons y aller. Notre film est sur le point de commencer et nous ne pouvons pas le manquer. Vous savez, Jane a toujours voulu voir Showgirls".

 

Les yeux de Jane sortirent de leurs orbites. "Non, je n'ai pas . . . !" murmurait-elle. Mais ils ne pouvaient l'entendre.

 

"Vraiment?" dit Kelly avec de grands yeux. "Eh bien, c'est bon de te voir Jane .. appelle-nous quand  . . ."

 

"Je vais ..", dit Jane à voix basse. Même si elle savait que Kelly ne voudrais plus lui parler.

 

 

Le film fut exactement ce qu'elle en attendait: un navet. Mais ce n'était pas pour le film que Dave l'avait amenée au cinéma.

 

Dave se pencha vers Jane. "Je veux que tu commence à te frotter à nouveau, mais sans jouir."

 

Jane a commencé à se branler. Dave ne se souciait plus du film, il admirait Jane jouer avec elle-même. Il pointa son entrejambe avec un doigt. "Tu sais ce qu'il faut faire », dit-il.

 

Jane secoua la tête.

 

"Ai-je vraiment besoin d'explication?".

 

Elle secoua la tête, et résignée, a penché sa tête vers l'entrejambe de Dave. Elle détacha sa ceinture, puis son pantalon, puis sortit sa queue de son slip. Elle n'était pas bien grosse, mais cela n'avait pas d'importance pour elle à ce point. Elle avait baisée et aspirée tous les types de bite dans un court laps de temps, et elle était encore accro au sperme, même si elle a obtenu se "dose" journalière de Dennis en se levant ce matin.

 

«Oh mon dieu, c'est très bien», murmura Dave lorsque Jane prit sa verge en bouche. "J'ai toujours voulu une pipe comme celle que tu me donnes . . ."

 

"SSHHHH!", leur lançaient des spectateurs.

 

Le cinéma était presque vide. Le film tirait sur sa fin. Mais il y avait tout de même quelques personnes: des hommes uniquement.

 

"Arrête de me sucer», lui dit-il. «Je veux que tu ailles voir tous les gars de la salle et que tu leur propose une pipe d'enfer! S'ils disent oui, tu leur donne le meilleur travail dont tu es capable."

 

"S'il te plaît, non, elle lui dit tout bas. S'il te plaît, ne me fais pas cela .."

 

Mais il était trop tard pour elle. Elle se leva de sa chaise et se dirigea vers l'homme le plus proche de son siège. Sans même y penser elle a chuchoté dans son oreille. "Je tiens à vous sucer  . . ."

 

Le gars de 42 ans n'a rien dit. Il a juste hoché la tête et pointé vers le bas à son entrejambe. Jane se mit à genoux et a ouvert son pantalon. Elle a sortie sa bite, un engin visiblement de belle taille, et la secoua pour la faire durcir, puis elle l'avala. Elle voulait sucer rapidement et en finir au plus vite, mais elle dû prendre son temps et lui donner le meilleur travail qu'elle pouvait faire.

 

Quelques minutes plus tard, elle sentit la verge se raidir, sur le point d'éjaculer. Elle pompa avec plus de force, travaillant tout spécialement le gland congestionné, puis aspira tout le sperme qui gicla dans sa bouche.

 

Elle  se dirigea vers l'homme à côté. Elle a chuchoté son offre à l'homme. Il n'a rien dit. Quand elle a répété son offre, l'homme secoua la tête. Jane a poussé un soupir de soulagement et se déplaça vers l'homme suivant.

 

Le troisième homme était un vieux monsieur. Peut-être dans la soixantaine avancée. Jane ne pouvait pas voir trop bien qui il était.

 

"S'il vous plaît ..", a t-elle chuchoté dans son oreille, «permettez-moi de vous sucer."

 

Puis, quand l'homme se tourna son cœur se serra. C'était Frank Rizzo, son professeur d'anglais au lycée!

 

Oh mon dieu, non, se dit-elle. S'il vous plaît, mon dieu, faîtes qu'il ne me reconnaisse pas. S'il vous plaît ..

 

Monsieur Rizzo sourit. "Bonjour Jane. J'ai bien entendu . . . vous me proposez une pipe?"

 

Jane rougit en hochant la tête.

 

"Voyons voir ce que vous savez faire."

 

Jane ne pouvait pas croire que c'était l'homme qui avait contribué à lui donner des conseils à l'école secondaire, et qui maintenant ouvrait sa braguette et sortait sa bite ridée à sucer! Elle pouvait se rappeler toutes les fois qu'il lui l'avait conseillée sur la façon d'entrer en Université. Tous les compliments qu'il lui a donné pour son travail.

 

"Oh oui . . . Jane . . .", murmura-t-il, en posant ses mains sur le dessus de sa tête.

 

Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il éjacule. Le goût était vicié, presque aussi vieux que lui. Jane voulait partir, mais il a saisi son bras.

 

« Appelez-moi bientôt », dit-il avec un sourire. "Nous parlerons . . . à propos de l'ancien temps .."

 

Jane, encore sous le choc, à tout simplement hoché la tête. Une nouvelle consigne. Une autre chose qu'elle aurait à faire.

 

Il n'y avait personne d'autre dans le cinéma. Elle retourna donc à son siège à côté de Dave. Le film était presque terminée.

 

"As-tu sucé beaucoup de gars?", demanda Dave.

 

«Deux », répondit-elle avec son sourire faux.

 

Dave ouvrit à nouveau son pantalon.

  

"Eh bien, montons le score à trois!"

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 21:14

Chapitre 2 : Premières soumissions

 

Laure ne dormit pas de la nuit. La pensée de ces horribles photos d’elle étalées à la vue de tous la mettait au supplice. Elle savait par avance qu’elle ferait tout ce que voudrait Orane. Tout plutôt que ce cauchemar. Et au fond elle tourbillonnait la pensée qu’elle méritait plus ou moins la situation dans la quelle elle se trouvait. Mais pourquoi avoir pris cette manie de se caresser les vendredis soir au Lycée ! Laure se méprisait. Encore heureux qu’Orane n’ait pu lire ses pensées à ce moment là. Oui, elle ferait tout pour qu’elle ne divulgue pas son secret. Et elle tremblait à cette pensée… Orane était la dernière personne à qui elle souhaitait être livrée pieds et poings liées.

Elle regarda encore une fois la pendule du salon. 11 h 30. Et Orane n’appelait toujours pas. Qu’attendait-elle donc ? Laure était tendue et nerveuse, littéralement tourmentée. Cette attente l’exaspérait. Et Orane le savait.

Elle appela à 18 H 00. Laure se rua sur le téléphone, et soupira de soulagement en entendant la voix d’Orane

- Bien, dit-elle sèchement, j’ai décidé de te donner une chance, par pure pitié. Sois chez moi dans un ¼ heure. Dis à tes parents que tu passeras la soirée chez moi, pour réviser. Je t’expliquerai ce que j’attends de toi en échange de ma discrétion..

Laure essaya de parler, mais Orane avait déjà raccroché. Alors, l’esprit vide, elle laissa à mot à ses parents, pris son scooter, et partit chez La jeune fille.

Elle sonna au portail de la maison d’Orane. Celle ci lui ouvrit peu après, et lui ordonna de la suivre. Orane conduisit Laure au salon, et s’assit dans un épais fauteuil de cuir. Elle portait une jupe légère, de fins escarpins à talons et un chemisier noir. Son maquillage étirait l’oblique de ses yeux. Elle était magnifique ainsi, et Laure se sentit mal à l’aise dans son pull sans forme et son jean moulant.

- Non, toi, tu restes debout, dit-elle brusquement lorsque Laure fit également mine de s’asseoir. Et tu écoutes ce que j’ai à dire.

Laure obéit en rougissant. Orane lui tendit une liasse de photos. C’était pire que tout ce qu’elle avait imaginé. On voyait tout. Son sexe ouvert, le clitoris dilaté, ses doigts rentrés à moitié dans sa chatte, l’autre main pinçant et étirant son téton. Mais le pire était l’air extasié qu’elle affichait, la bouche ouverte, la langue à demi sortie. Une vraie fille de porno…

- Joli, non ? Tu peux garder celles ci, si tu veux, j’en ai tiré d’autres, et j’ai les négatifs. Pour l’instant, je les garde pour ma collection privée. J’adore l’air de salope que tu as quand tu jouis…

Mortifiée, Laure ne releva pas l’insulte.

- En revanche, je veux bien ne les montrer à personne si, pour le reste de l’année scolaire, tu t’engages à être mon esclave dévouée et obéissante.

Laure déglutit avec peine. Il restait six mois avant le bac.

- Comment saurai-je que tu ne les montreras jamais ?

- Il faudra bien me faire confiance. Et je te confirai le négatif après le bac. Si tu refuses, sort immédiatement de chez moi. Si tu acceptes, tu te mets à genoux, les mains dans le dos. Tu as dix secondes.

- J’ai ta parole ? murmura Laure.

- 7 secondes.

Laure céda. Elle pouvait déjà gagner un sursis. Après elle aviserait. Ses genoux touchèrent le tapis, ses poignets se croisèrent dans son dos. Elle se livrait à Orane.

- Si tu savais depuis le temps que je rêve de cet instant, s’exclama-t-elle. Tu feras tout ce que je veux, tu seras mon jouet ! Sinon, tu sais ce qui t’attend, non?

- Oui, murmura Laure, les joues en feu…

- Alors je veux que tu le dises. Que tu dises « Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet d’Orane de Bréot. »

Laure répéta la phrase avec peine, en bredouillant.

- Plus fort, je n’entends rien

- Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot

- Encore, articule bien…

- Moi, Laure Clermont, déclare être l’esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot dit enfin Laure d’une voix forte et claire, en fixant Orane dans les yeux.

- Baisse le regard, garce. Quand nous serons seules, tu devras toujours baisser les yeux, compris !

- Oui fit-elle en s’exécutant

- Et tu devras aussi me vouvoyer, et tu m’appelleras Mademoiselle Orane, compris.

Laure n’avait jusqu’alors jamais connue pareille humiliation. Mais elle ne pouvait s’empêcher d’obéir, redoutant ce dont était capable le jolie asiatique. Au fond elle, elle était même reconnaissante envers le silence d’Orane, et redoutait de lui déplaire et qu’elle ne change d’avis.

- Oui Mademoiselle Orane dit-elle.

Orane fut étonnée de la soumission aussi rapide de Laure, d’habitude si fière. Son regard autrefois altier était à présent celui d’une biche apeurée. Elle était aussitôt rentrée dans le rôle du gibier. Orane se dit qu’il serait stupide de ne pas en profiter. Elle avait toujours rêvé d’être une maîtresse entourée d’esclaves, et le fait qu’il s’agisse de Laure rendait la situation encore plus agréable. Et encore plus excitante.

- Parfait. Mes parents seront absents ce week-end. Nous serons plus tranquilles. On dirait que ta vie va devenir bien différente, à présent, n’est ce pas ma petite Laure ?

- Oui, Mademoiselle Orane souffla Laure.

Orane était de plus en plus exaltée. L’instant était crucial. Elle devait maintenant définitivement asseoir sa suprématie.

- Maintenant, Laure, tu vas te déshabiller intégralement…

- Comment, mais … Laure ne s'attendait pas du tout à ça.

- Tu m’as très bien entendue ! Après tout, cela ne paraissait pas te gêner tant que ça hier. Allez hop, à poil ! Comme la traînée que tu es !

- Je ne …commença Laure.

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. En un éclair, Orane était sur elle, et lui balançait une gifle retentissante.

- Tu sais que ma patience est très limitée, Laure, ne m’oblige pas à répéter mes ordres. A moins que tu ne préfères arrêter là… Et en subir les conséquences.

- Non, pardon, je ne…pleura Laure.

Une seconde gifle, encore plus forte, lui renversa la tête en arrière.

- Pardon qui ?

- Pardon Mademoiselle Orane reprit Laure en se frottant la joue.

- Alors fit-elle en se rasseyant, c’est ta dernière chance. A poil !

En tremblant, Laure, totalement vaincue et soumise, fit passer son pull par-dessus sa tête. Puis, toujours à genoux, elle entreprit de défaire un à un les boutons de sa chemise. Elle fut bientôt en soutien gorge, rougissant de honte de se sentir si vulnérable devant Orane qui la dévorait des yeux. Elle lui apparut alors terriblement supérieure à elle-même, habillée, assise bien droit dans son fauteuil, alors qu’elle-même, à ses pieds, retirait un à un ses vêtements comme autant de relique de sa dignité perdue. Elle n’hésita qu’un instant avant de retirer son soutien gorge. A l’air libre, ses tétons se dressèrent soudainement, tandis qu’une chaleur sourde montait dans son ventre.

La situation était bien trop similaires à ses fantasmes secrets et refoulés. Elle se rendit compte avec horreur que cela l’excitait d’être humiliée de la sorte par sa rivale. Il ne fallait absolument pas qu’Orane s’en aperçoive. Baissant complètement la tête, elle se redressa afin d’ôter son jean.

- Non, non, les esclaves comme toi se déshabillent à genoux devant leur maîtresse. Par respect, tu comprends.

- Oui, Mademoiselle fit rapidement Laure en reprenant sa position initiale.

Orane se régalait de voir Laure se tortiller maladroitement pour enlever son jean moulant. Elle avait immédiatement senti le trouble de celle-ci, et s’en amusait énormément.

- C’est un plaisir de voir tes grosses loches se dandiner ! Allez, plus vite.

Laure se dépêcha alors, ses seins remuant plus avant alors qu’elle luttait pour s’extraire de son jean moulant. Elle y parvint finalement, et était à présent en slip de dentelle mauve et en socquettes blanches.

- J’ai dit intégralement à poil ! insista Orane, sans aucune pitié.

Et Laure obéit. Docilement. Révoltée par son abjecte soumission.

- Tu as la chatte très poilue, dis-moi. Non, te cache pas, met les mains sur la tête, oui voilà.

- Ecarte les jambes, plus que ça, bombe la poitrine.

Laure obéissait mécaniquement. Définitivement matée, elle écoutait les commentaires d’Orane, qui la détaillait comme une marchandise.

- Tu as vraiment tout d’une poufiasse, avec tes grosses loches et ta chatte poilue… Je me suis toujours demandé ce qu’on te trouvait. Tourne toi que je vois ton cul.

- Prosterne toi, la tête entre les bras, les fesses bien relevées.

Comme Laure n’obéissait pas assez vite à son goût, elle se leva pour lui assener quelques claques sur les fesses. Celle ci ne résista pas, et prit rapidement cette pose grotesque.

- Tu as un joli cul, je te l’accorde, dit-elle en appuyant la semelle de son escarpin à la naissance de la raie. Si tu ne veux pas le voir rougir, je te conseille d’obéir plus vite. Si je ne suis pas satisfaite de tes services, esclave, je pourrais ne plus te faire de faveur.

- J’ai compris, Mademoiselle.

- Ne bouge plus. Je vais te prendre tes vêtements, je te les rendrai plus tard, tu n’en auras pas besoin entre temps, OK.

- Comme vous désirez, Mademoiselle Orane.

Laure ne bougea pas d’un pouce, en entendant le pas d’Orane qui emmenait ses vêtements. Totalement abasourdie par le tournant qu’avait pris sa vie en moins de 24 heures. Celle ci revint peu après avoir les avoir enfermé au placard, une longue règle de plastique à la main..

- Allez, debout, et suis-moi

Orane la conduisit à la cuisine, et lui tendis un petit tablier blanc qui ne cachait rien de sa nudité et un bonnet de bonne, ainsi qu’une ridicule paires de claquettes rose vif.

- C’est à notre cuisinière, mais elle n’est pas le Week-end. Alors, c’est toi qui le remplaceras et qui seras ma bonniche, ok !

- Oui, Mademoiselle Orane.

- Oui, quoi ?

- Oui, je serai votre bonniche dit Laure en enfilant les accessoires.

- Alors, au boulot, j’ai promis à mes parents qu’ils trouveraient la maison nickel à leur retour. Tu vas nettoyer le carrelage, et tu as intérêt à ce qu’il brille, ordonna-t-elle en lui assenant un coup de règles sur la cuisse.

- Et pas de balai pour toi, tu passeras la serpillière à quatre pattes.

La règle lui cingla de nouveau la cuisse, plus fortement. Laure sursauta sous le coup de la douleur, et tomba à genoux.

- Tu as vingt minutes ajouta Orane. Tu me rejoindras ensuite au salon, en m’apportant un verre de vin. Si le sol n’est pas nickel à ce moment, je te fais rentrer chez toi à poil.

Laure resta seule dans la cuisine, la tête lui tournait… La cuisine lui paraissait immense.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Laure - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 20:50

Chers lecteurs et lectrices.

 

Vous venez de lire le dernier chapitre publié à ce jour de mes "malheurs".

 

Vous avez aimé? Vous imaginez déjà la suite de mon incarcération, de celle de ma mère et de la réeducation de ma soeur? Prenez la plume et envoyer vos récits pour publication! Ma mère, moi-même et ma pauvre soeur emmenée de force par ses féroces gardiennes sommes  prêtes à toutes les aventures! Lachez-vous!

 

4.jpg

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 20:48

Chapitre 6: Mère et soeur mises sous tutelle

 

Coupée du monde pendant un mois, je n'avais plus eu de nouvelle de ma mère, mon père et de ma soeur avant que ma perverse belle-soeur ne m'en donne pour me torturer. J'étais tout de même surprise de ne pas les voir me rendre visite dès l'autorisation des visites.

 

J'appris par la suite par  ma mère et ma soeur que c'était du au fait que ma condamnation avait déclenché une enquête de moralité de « routine » sur mes proches dont elles avaient fait les frais.

 

Trois semaines après mon incarcération, l'enquête terminée, elles furent convoquées devant le juge. La même femme qui m'avait condamnée sans pitié.

 

« Madame, Mademoiselle, après une incarcération d'une femme pour immoralité caractérisée, la législation impose dorénavant une enquête obligatoire sur les proches de la délinquante. Votre mari s'en sort plutôt bien, avec un simple avertissement pour défaut de surveillance, mais en ce qui vous concerne Madame, le rapport est accablant! »

 

Ma mère blémit. Ses pires craintes se concrétisaient. Elle était parfaitement consciente des dangers qu'elle courait avec la nouvelle législation. Elle pouvait être accusée de défaillance et être sanctionnée. Pensant avoir affaire à un homme, elle avait donc revêtue un petit tailleurs beige mettant en valeur son opulente poitrine, son cul rebondi aux larges hanches et ses cuisses bien pleines. En effet, âgée de 45 ans, ma mère était toujours une superbe femme qui attirait les regards de la gente masculine. Toujours pour faire bonne impression, ma soeur avait revêtu sa plus belle tenue d'école, et s'était mise en valeur par un maquillage discret. Ma mère avait juste veillé à raccourcir très légèrement la jupe plissée bleue marine et à resserrer le chemisier blanc de façon à dévoiler un peu des cuisses qui commençaient à promettre et à laisser deviner une poitrine déjà bien fournie. Bref, du haut de ses 18 ans, ma soeur ne pouvait pas ne pas émouvoir un juge même mal disposé! D'autant qu'avec sa peau de nacre, ses yeux verts et ses cheveux bruns, elle contrastait magnifiquement avec les cheveux blonds, les yeux bleus et la peau halée de ma mère. Comme « a mère me l'avouera plus tard: « s'il avait fallu faire une petite gâterie pour acheter un mâle en manque, nous n'aurions pas hésité une seconde! Cela n'aurait pas été cher payé!». Mais elles n'en eurent pas l'occasion!

 

« Danielle . . . je peux vous appeler Danielle? », demanda la juge avec le sourire.

 

Ma mère n'était évidemment pas en position de refuser quoi que ce soit et opina du chef.

 

« Bien. . . cette enquête fait en effet clairement apparaître que si votre fille Carole en était à cet état de déchéance morale c'est entièrement du fait de l'éducation déplorable qu'elle a reçue de votre part! »

 

« Je vous assure Mme Le Juge que ma fille n'avait jamais eu de problème avant sa condamnation », dit ma mère d'une toute petite voix.

 

« Le problème n'est pas là! Le problème est que l'éducation que vous avez dispensée est totalement à contre courant des principes nouveaux fixés pour l'éducation des femmes: vous avez fait preuve d'un laxisme total! Tous les témoignages le confirme! Même son petit ami, Luc, et sa meilleure amie, Emmanuelle, après avoir essayé de minimiser les faits ont du l'avouer! Jamais de punition corporelle! Pas un stage de rééducation! Comment vouliez vous en faire une femme respectable?! . . . Vous comprendrez donc que pour essayer de préserver votre seconde fille, je sois obligée de la placer dans un internat d'accueil! Je vous rassure: celui-ci est homologué par le ministère de la moralité et lui dispensera une éducation présentant toutes les garanties de conformité aux principes gouvernementaux! Votre fille sera ainsi placée dans une école spécialisée pour les jeunes filles dont l'éducation doit être surveillée! »

 

A ces annonces, ma soeur éclata en sanglots.

 

« Oh non Madame, je vous en supplie, je ne veux pas être séparée de ma mère! »

 

« Je suis désolée ma petite Janice, mais c'est inévitable. Je te rassure, régulièrement une inspectrice te rendra visite pour vérifier que l'on te dispense une éducation sans reproche! »

 

Ma mère était effondrée. Mais il fallait faire la part du feu, sauver ce qui pouvait l'être.

 

« Je comprends cette mesure de précaution », convint-elle. « je pourrai la voir selon quelle période? »

 

« Pas durant la durée du placement! Seulement une fois que l'école pourra garantir que son éducation n'a pas été vérolée! »

 

A nouveau ma mère accusa le coup.

 

Le juge lui présenta un document.

 

« Le placement peut-être prononcé d'office ou vous pouvez y consentir. Dans ce 2ème cas, cet acte de bonne volonté sera retenu à votre décharge évidemment! »

 

Résignée, ma mère signa, sans lire.

 

Le juge appuya sur une sonnette.

 

« Parfait, étant donné cet acte de contrition, je ne vous condamne pas à une peine ferme. Mais je suis contrainte de vous placer en détention préventive le temps du placement de votre fille, pour sa sécurité! J'espère seulement que ce placement ne se prolongera pas outre mesure, car évidemment en cas de défaut d'éducation constaté par l'école, les placements sont prolongé d'office! »

 

Deux femmes en uniforme entrèrent alors et se placèrent de chaque côté de ma mère.

 

Celle-ci devint blanche comme un linge et se releva comme un ressort.

 

« Ce n'est pas possible! », s'écria t-elle.

 

Les deux gardiennes lui saisirent les bras, les replia dans le dos et lui passèrent les menottes. Affolée, ma mère se débattit. Une des gardienne lui décocha une claque retentissante.

 

« On se calme salope! », hurla t-elle avant de la plaquer sur le bureau de la juge.

 

Une des gardienne la lâcha et revint avec une grande barre de métal qu'elle plaça sur les épaules de ma mère. Lui enlevant la paire de menotte, elle fixa ensuite ses poignets à la barre à l'aide de sangles de cuir attachées à la barre, pendant que sa collègue maintenait leur victime.

 

Elle prit une seconde barre à laquelle elle fixa ses chevilles. Puis une 3ème pour fixer les 2 barres précédentes. Enfin, lui fixant un collier de cuir autour du cou, elle rattacha celui-ci à la barre qui lui descendait dans le dos. Cela contraint ma mère à rejeter les épaules en arrière et fit ainsi encore plus ressortir ses seins.

 

« La malheureuse étouffe comme ça! », lança une des 2 femmes en constatant que la poitrine de ma mère était complètement comprimée par ses vêtements.

 

Sans prévenir, les 2 femmes se précipitèrent alors sur elle et lui arrachèrent son tailleur, son fin chemisier et son soutien gorge, mettant ainsi à l'air les seins de ma mère et dévoilant les larges aréoles pailles.

 

« Quelques jours de mitard vont te calmer pouffiasse! », lança une des gardiennes.

 

Ma mère éclata alors en sanglots, perdant toute dignité.

 

« Pitié, je vous en supplie, je suis totalement obscène comme cela . . . libérez moi, laissez moi me rhabiller, je serai calme! »

 

« Fallait y penser avant! », trancha une des gardiennes.

 

« Et puis ce qui choque avec une pute comme toi, c'est pas que tes  nibards soient à l'air, mais que t-ai le cul et la moule couverte! », lança l'autre.

 

Les 2 femmes se jetèrent à nouveau sur ma mère et lui arrachèrent jupe et string, dévoilant ses fesses et sa chatte totalement épilée en éclatant de rire.

 

L'une d'entre elles la saisit par la barre qui lui courrait dans le dos et la contraignit à sortir.

 

Pendant cette scène d'une violence inouïe, ma soeur éclata en sanglots violents, hurlant de toutes ses forces. A genoux, elles était secouée de spasmes violents.

 

« Alice, il n'appartient qu'a toi que ta mère soit libérée au plus vite! Dès la fin de la semaine, une inspectrice passera te voir afin de constater si tu es en état d'être remise à ta mère. A toi de montrer à  ton école que ta mère t-a dispensé une éducation correcte permettant de te confier à nouveau à elle! », commenta le juge.

 

« Je serai une fille sans reproches madame, totalement docile », commenta ma soeur entre deux sanglots.

 

Le juge sourit.

 

« Bien », dit-elle. « Devant tant de bonne volonté, je ne peux que faire un geste: je me ferai désigner inspectrice, comme cela si je constate que tu peux être libérée, je pourrais prononcer la décision de suite! »

 

« Oh merci Mme le juge », s'écria ma soeur. « Comment pourrais-je vous remercier? »

 

« Ne t-inquiète pas, on trouvera . . . », lança le juge sur un ton énigmatique, avec le sourire.

 

Et sur ce elle la releva et la fit sortir pour la livrer, au sens propre du mot, à sa nouvelle école.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs de Carole, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
  • Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
  • : femmes Histoires érotiques
  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés