Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 17:44

Chapitre 4: La poupée

 

Une heure plus tard, Orane sirotait un verre, confortablement installée dans le canapé de cuir du salon. Elle profitait du spectacle de Laure qui, accroupie, finissait le ménage en balayant le parquet à l’aide d’une pelle et d’une simple balayette.

 

Elle se disait qu’elle avait eu raison de lui interdire le balai. Cela obligeait Laure à se tenir à croupetons pour nettoyer le sol, posture qui tout en étant inconfortable et humiliante, exhibait de fort joli façon le cul encore rougi de sa victime. Elle avait parfaitement mené son jeu, profitant brillamment des tendances masochistes cachées de Laure qu’elle avait deviné devant son attitude soumise face à son chantage. Ce dernier n’avait d’ailleurs servi qu’à révéler cet aspect de sa personnalité. Comme il allait être plaisant de la posséder, pensait-elle, de l’avilir, d’obtenir d’elle tout ce qui me passe par la tête. Et de lui faire aimer ça. Laure était dorénavant son jouet, sa poupée de chair.

 

Cela lui donna une idée.

 

Elle fit tinter sa clochette d’étain, et comme convenu, Laure cessa immédiatement son travail pour se mettre à sa disposition. Après la fessée, Orane l’avait littéralement dressée aux positions qu’elle devait adopter lorsqu’on la sonnait, selon l’expression de sa maîtresse. A genoux, elle déposa deux longs baisers sur ses escarpins avant de se redresser, tête basse, les mains dans le dos, la poitrine tendue et les cuisses bien écartées :

 

- Votre esclave attend vos ordres, Mademoiselle

 

- J’ai envie de jouer un peu avec ma grosse poupée, dit-elle souriante en lui caressant la joue. Debout, suis-moi !

 

Laure suivit en silence Orane jusqu’à la vaste salle de bain, remplie de miroir. Là, sous ses ordres, elle retira son tablier et pris position nue sur le bidet. Orane sortit en lui recommandant en souriant de rester sage jusqu’à son retour. Domptée, Laure était encore sous le choc de l’orgasme violent qu’elle avait ressenti durant sa punition, et qui lui avait révélé sa nature masochiste. Elle appréhendait malgré tout ce qu’elle allait devoir subir. Les années de rivalité entre les deux jeunes filles avaient sans aucun doute exacerbé la nature sadique de la belle asiatique. Et Laure n’aura pas le choix, elle devra obéir aux moindres de ses caprices.

 

Orane revint avec deux cordes à sauter, qu’elle utilisa pour ligoter Laure au bidet, les bras fortement tirés en arrière, les cuisses largement écartées, les chevilles solidement attachées à la tuyauterie. La position était douloureuse, et dévoilait toute l’intimité de Laure. Orane tira une poupée Barbie dénudée de sa poche.

 

- Tu vois cette poupée, dit-elle, j’ai beaucoup joué avec quand j’étais gamine. Tu n’es rien d’autre qu’une version plus élaborée de cette poupée, maintenant. Avec cependant une légère différence, tu vois laquelle ?

 

- Non, Mademoiselle répondit Laure, décontenancée par cette question

 

- Allons réfléchis un peu, espèce de gourde, fit Orane en lui pinçant le téton, étirant cruellement son sein.

 

- Ouch, gémit Laure je ne sais pas, Mademoiselle, excusez ma stupidité.

 

Elle se rabaissait délibérément, essayant de plaire servilement à sa dominatrice pour faire cesser la douleur qui enflammait son téton.

 

- Erreur, petite conne ricana Orane en décrochant une pince à linge de l’étendoir et en la fixant sur le téton distendu de Laure. A chaque erreur, tu auras droit à une autre pince. Allons, j’attends, quelle est la différence entre cette Barbie et toi?

 

La douleur qui envahit le sein de Laure fut horrible, et elle ne put s’empêcher de crier, ce qui lui valut deux gifles bien appuyées.

 

- Silence ou je double la punition l’avertit Orane

 

Laure sut devant le regard mauvais de celle-ci qu’il était inutile de supplier. Elle devait jouer à ce jeu pervers.

 

- Elle… elle est blonde répondit-elle après une courte réflexion

 

- Erreur encore, tu es décidément bête à manger du foin. La prochaine est pour ton clito, je te préviens dit-elle en lui fixant une seconde pince sur l’autre téton.

 

Laure serra les dents en remuant dans ses liens. Elle essaya à nouveau de se concentrer malgré la souffrance qui lui enflammait la poitrine. Elle fixait l’objet de plastique nue que tenait Orane. Elle eut une idée, mais les mots ne purent sortir de sa bouche. Orane allait-elle réellement lui infliger ça ? Elle en mourrait de honte.

 

- Pas de réponse ? questionna-t-elle en approchant une pince de son sexe.

 

Laure réagit devant la menace et marmonna piteusement sa réponse :

 

- Elle… Enfin son…son sexe est épilé. Pas le mien.

 

- Bien, tu vois quand tu veux. Et comment pourrais-je arranger ça, à ton avis ?

 

- En… en me rasant…souffla Laure, les joues en feu. Oh! Pitié, Mademoiselle, vous n’allez pas faire ça ? Elle pleurait maintenant à chaudes larmes. Toutes les filles le verront sous les douches du vestiaire… Elles se moqueront de moi, tout le monde le saura… Pitié, vous aviez promis…

 

- Cesse immédiatement tes jérémiades, lui intima l’adolescente en lui pinçant fermement les joues entre le pouce et l’index. Inutile de pleurer, tu ne m’apitoieras pas. De plus, Je ne t’ai pas permis de prendre la parole.

 

Orane fouilla alors dans le panier à linge sale, en sortit une de ses culottes et l’enfonça profondément dans la bouche de Laure. Le bâillon de fortune avait une odeur forte et un goût âcre.

 

- Tu ne pensais tout de même pas continuer à te pavaner au Lycée comme si de rien n’était. Ton statut de « fille la plus populaire du bahut », c’est fini, je te rappelle. Préfères tu montrer ta chatte rasée ou les photos ? A moins que je ne te fesse cul nu devant toute la classe, jusqu’à ce que tu en jouisses comme la petite pute maso que tu es ?

 

Laure hocha la tête en tremblant. La culotte l’étouffait presque, et elle ne pouvait rien dire.

 

- Je pensais bien, poursuivi sa maîtresse, ton corps m’appartient maintenant, et j’en ferais ce que bon me semble. Pour te punir d’avoir discuté mes ordres, tu garderas les pinces sur tes pis de vache durant ton rasage.

 

Orane commença par dégarnir sa toison brune et dense à l’aide d’une petite paire de ciseaux. Elle prit ensuite sur le lavabo la crème à raser et le blaireau de son père. Le contact des poils de soie fit frissonner Laure. Le massage brutal de son sexe par les poils rudes et la douceur de la crème ranima le feu qui sommeillait dans son ventre. La douleur émanant des pinces à linges se faisait plus douce. Puis Orane commença à la raser à l'aide d'un rasoir jetable. Le contact du rasoir, amorti par la mousse, caressant sa peau, suscitait des sensations très agréables, surtout sur les parties les plus proches de ses lèvres. De temps à autres, Orane s'amusait à passer un doigt, ou bien le manche du rasoir, sur son clitoris, ce qui arrachait un gémissement à Laure. Lorsque le travail fut presque achevé, elle lui fit relever très haut le bassin. Elle se saisit de ses fesses en les écartant largement pour éliminer quelques poils situés plus bas, vers l’anus de sa jolie esclave. Cette opération prit une dizaine de minutes environ, à l'issue desquelles Orane la rinça en ouvrant le robinet d’eau froide du bidet. Laure sursauta au contact de l’eau glacée sur son sexe ouvert.

 

- Ne t’échauffes pas si vite, cochonne ! Alors, qu’en penses tu ? Moi, je te préfère ainsi, en grosse Barbie vicieuse.

 

Laure contemplait avec horreur son sexe rendu rouge par le feu du rasage. Elle ne s’était jamais sentie aussi impudique de toute sa vie, découvrant dans les miroirs son ventre complètement lisse, comme lorsqu’elle était enfant.

 

- Oui, c'est bien mieux comme ça, dit sa propriétaire. Je te trouve encore plus excitante comme ça. On voit beaucoup mieux tes lèvres, surtout lorsqu'elles sont bien gonflées comme c'est le cas maintenant. On va jouer un peu à présent. Je te vais te prouver que ton corps est à moi. Je suis sûre que tu vas adorer.

 

Orane lui ôta alors son bâillon, s'accroupit entre les cuisses ouvertes de la jeune fille et commença à la caresser, alternant ses doigts et sa langue. Laure n’osa pas protester face à cette caresse lesbienne imposée. Elle jouait avec les grandes lèvres, titillant ensuite le clitoris, enfonçant lentement ses doigts à l'intérieur du vagin de sa poupée, revenant ensuite à son bouton...

 

Elle lui détacha les jambes et fit basculer encore plus son bassin pour ouvrir plus largement ses fesses, et commença titiller et à lécher le petit trou. Sentir la langue forcer son anus, pendant que les doigts de sa Maîtresse s'activaient sur son sexe arrachait à Laure des gémissements de plaisir.

 

Ce n’était pas la première expérience saphique de la jeune asiatique, et elle était vraiment experte. Laure ne tarda pas à sentir le plaisir monter dans ses reins, malgré le fait qu’elle ne se soit jamais sentie attirée par les filles. Les miroirs lui renvoyaient son image, pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant sa chatte ouverte et mon anus au regard narquois d’Orane.

 

Orane saisit une poignée de la corde à sauter, assez épaisse et courte, et lui montra en souriant, avant d'obliger Laure à la lécher. Elle s'amusa quelques instants à le faire aller et venir dans sa bouche, tout en lui disant de l'imaginer en place entre ses fesses.

 

- Non, c’est trop gros, je vous en prie, ça va me faire mal, tenta d'argumenter Laure dès qu'Orane l’eut sortie de sa bouche

 

- Mais non, tu vas voir comme ça va rentrer facilement, répondit Orane.

 

Elle en posa doucement l'extrémité sur son anus trempé de ses propres secrétions. Elle appuya lentement, mais fortement, la poignée sur sa rosette, que Laure sentit s'ouvrir d'un coup pour avaler le gode improvisé. Orane l'avait bien dilatée de ses doigts, et elle ne ressentit presque pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration. C'était étrange... Laure n’avait jamais imaginé qu’elle pourrait ressentir un plaisir anal. Elle avait toujours trouvé cette pratique dégoûtante, et jamais elle n’avait imaginé subir cela lorsqu’elle se caressait. Elle appréciait pourtant malgré elle cette sensation persistante et stable d'être pénétrée, prise, au plus profond de soi.

 

Rapidement Orane recommença à la masturber, se concentrant désormais uniquement sur son sexe offert. Les sensations anales de Laure s'ajoutaient en les décuplant à celle que la jeune asiatique déclenchait en manipulant son sexe. Elle suçait son clitoris, tout en la pénétrant de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait l'amener au bord de la jouissance, haletante, pour s'arrêter juste avant qu’elle n’atteigne l'orgasme, l'abandonnant chaque fois plus frustrée pour recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait lui plaire au plus haut point. A chaque fois, son plaisir montait plus vite, mais les caresses d'Orane s'arrêtaient aussi chaque fois plus tôt, et ses gémissements de plaisir se transformaient en cris de frustration.

 

- Alors, tu aimes ce petit jeu, ma chère Laure? lui demanda Orane.

 

- Je... je n'en peux plus Mademoiselle, lui répondis Laure haletante... Je vous en prie laissez moi jouir… Je n’en peux plus

 

- Hmm... J'aime te voir ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée par ton désir. Car c’est ce que tu es au fond, Laure, une petite pute prête à tout pour jouir.

 

- Oh! oui, s’il vous plait, Mademoiselle, faites jouir votre pute…Par pitié

 

- Ah! tu reconnais enfin que ton corps est à moi

 

- Oh! Oui, Mademoiselle, mon corps est à vous. Vous pouvez me raser, m’humilier… Je vous appartiens…

 

- Soit, je consens à te laisser jouir. Mais cela ne sera pas si facile.

 

- Je ferais tout… tout… geignait Laure

 

- Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets attachés dans le dos ne te seraient pas d'une grande utilité, dit Orane en riant. Je vais te détacher du bidet, ce qui te permettra de bouger, mais tu garderas les poignets attachés dans le dos. Tu devras te finir devant moi comme ça, sur ma chaussure, comme une chienne en chaleur !

 

Orane lui délia un instant les poignets, avant de les serrer à nouveau à l’aide de la corde dont la poignée sortait comiquement du cul de Laure. Elle libera la jeune fille du gode et s’assit sur le rebord de la baignoire, le pied tendu. Toute honte bue, prête à tout pour éteindre le feu qui lui brûlait le bas ventre, Laure s'accroupis aux pieds de sa jeune Maîtresse, écartant largement ses cuisses. Elle se cambra pour que sa maîtresse puisse apercevoir les replis de son vagin. Orane glissa son pied entre les cuisses nues, contre la vulve ouverte et trempée de Laure.

 

- A toi maintenant, remue ton cul de chienne. Fait toi jouir, tu as ma permission

 

Laure commença alors un mouvement de va et vient avec son bassin sur l’escarpin, sa position obscène et avilissante la rabaissant au rang d’animal. Elle avait l’impression que son vagin se dilatait sous la pression du pied. Les boucles griffaient ses lèvres, lui arrachant des gémissements de plaisir. Laure continua ses va et vient, tout en luttant pour ne pas perdre l'équilibre. Ses mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais elle parvenait tout de même à se frotter sur la chaussure trempée de son suc, en maintenant un bon rythme qui l’emmena rapidement au bord de l'orgasme.

 

Les miroirs lui renvoyaient l'image d'une fille en rut, entravée, se frottant frénétiquement le sexe sur la chaussure d’une des camarades de classe. Elle sentait le regard d’Orane sur elle, la ravalant au rang de chienne en chaleur se frottant contre les jambes de sa Maîtresse, prête à tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte lui permit d'atteindre un orgasme exceptionnel, Laure eut littéralement l'impression d'une explosion au moment ou elle jouissait, s'entendant hurler comme jamais auparavant. Elle s'écroula ensuite sur le sol, trempée, épuisée mais enfin comblée.

 

- Eh bien, on dirait que c'était une question de vie ou de mort, reprit sa propriétaire après quelques minutes... Pour un orgasme, c'en était un... Je pense que la démonstration est suffisante. C’était un jour important pour toi, aujourd’hui, Laure. C’était ton premier jour d’esclave.

 

Laure, sonnée, ne répondit pas. Orane sortit un instant afin de chercher ses habits.

 

- Tu peux te rhabiller, reprit la jeune fille en souriant. Je crois que c'est assez pour une première prise de contact, tu peux rentrer chez toi. Je te téléphonerai demain pour te donner des instructions concernant la conduite que tu adopteras dorénavant au Lycée. La prochaine fois, nous passerons à des choses plus sérieuses... rajouta-t-elle en souriant de façon énigmatique.

 

 

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Vendredi 10 février 5 10 /02 /Fév 17:35

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La série Darling, ce n'était pas que la jeune, belle et perverse Darling! C'était toute une galerie de personnages tous plus pervers et détraqués les uns que les autres! Et notamment une magnifique galerie de personnages féminins qui assumaient leurs fantasmes de dominations ou de soumissions sans complexes!

 

Quelques portraits à titre d'exemple:

 

Darling : Collégienne vicieuse et hypocrite. Elle rêve de faire un riche mariage, mais sa sexualité dévorante et ses penchants pervers en font la proie facile de tous les obsédés (des deux sexes) dont ses charmes précoces attirent le regard.

 

Les deux Jack : Dangereux obsédés sexuels, deux immondes crapules, véritables rebuts de l’espèce humaine, jacasseurs et ricanants, qui n’aiment rien tant qu’en faire baver à la gent féminine... Rassurez-vous, ces ignobles lascars seront punis comme ils le méritent !

 

L’Institutrice de Poulson City : Une victime des deux violeurs. Mais victime, comment dire, très intéressée par ce qui lui arrive et qui brise la tiédeur de sa vie conjugale... Figurez-vous qu’elle n’avait encore jamais fait ça « par-derrière ». Oubli qui sera vite réparé... et devant son mari, en plus !

 

Luke-La-Main-Chaude : Cousin de Ptit Jack.

 

Le shérif Prentiss : Épaisse brute macho, très porté sur les femmes des autres, n’hésite pas à se servir des prestiges du pouvoir pour assouvir ses instincts les plus bestiaux. Il n’a qu’une faiblesse : sa fille Mary, à qui l’attache une passion incestueuse et honteuse. (Il va souvent l’aider à faire sa toilette intime dans la salle de bains quand sa femme dort).

 

Softball : Surnom Soft balls (Couilles-molles). Adjoint du shérif. Cocu notoire. Comme il a les couilles molles, sa femme se console avec tous ceux qui en ont de dures...

 

Sam Parson : Barman, obsédé sexuel, un des initiateurs de Darling. À condition de tout voir, il aime bien faire baiser sa femme, Lou, par les clients de son bar (surtout si elle les déteste, ça rend la chose beaucoup plus amusante.)

 

Lou Parson : Épouse du précédent. Femme hypocrite et masochiste, possède un gros derrière et de gros nichons. Devient toute rouge (et mouille comme une fontaine) chaque fois que son mari la déshabille pour les montrer (et les offrir) à d’autres hommes.

 

Sigmund-de-Pigalle : Violoncelliste bossu, vendeur à domicile de lingerie coquine et d’ouvrages défendus. Il aime beaucoup lécher les dames esseulées... après leur avoir fait boire un élixir aphrodisiaque de sa fabrication (il ne se contente pas de les lécher, soit dit en passant).

 

Jo Rabitt, dit Bunny-la-Rafale : Autre adjoint du shérif. A des problèmes d’éjaculation précoce.

 

Zizi Softball, surnommée « C’est-pas-d’refus » : Épouse de Softball. Comme son mari a des couilles molles, elle se console avec les hommes qui ont des couilles dures.

 

Betty Rabbit : Épouse de Jo Rabitt. Recherche assidûment la compagnie des hommes qui n’ont pas de problèmes d’éjaculation précoce.

 

Martha Mac Manus : Copine de classe de Darling et de Mary Prentiss, la fille du shérif. Fille riche, autoritaire, vicieuse. Elle fait faire de la gymnastique toute nue à Mary devant ses amis, et l’oblige à sucer son frère Fred.

 

Fred Mac Manus : Frère de la précédente. Fiancé de Carolyn Simmons, autre fille riche, copine de classe de Martha, Mary et Darling.

 

Junior Prentiss : Fils du shérif, frère de Mary. Junior est un petit garçon vicieux et sans scrupule. Il oblige sa soeur à le sucer et à se faire enculer par lui, sous la menace de rapporter à leur père ce qu’elle fait avec Martha.

 

Madame Lydia : Quadragénaire aux formes opulentes. Gouvernante de Darling. Femme dépravée, cérébrale, sans scrupules.

 

William Parson : Fils de Sam et Lou Parson. Jeune garçon vicieux. Aussi travaillé par le sexe que ses parents. Aime beaucoup voir papa punir maman. A des fantasmes nécrophiles. Est fasciné par les formes opulentes de Madame Lydia.

 

Mary Prentiss : Camarade de classe et ennemie jurée de Darling. Elle rêve de lui faire subir les pires avanies. Va-t-elle y arriver ?

 

Robinson : Coiffeur pour hommes dont la boutique est située en face du collège de Darling. Robinson est une mauvaise langue et un voyeur...

 

Rosemblaum : Vieillard lubrique, marchand de liqueurs, client fidèle du précédent dont il adore entendre les ragots.

 

Schmielke : Neveu du précédent. Adolescent au visage ingrat, déteste les femmes... et ne peut s’en passer. Il a été un de ceux qui ont initié Darling au vice.

 

Le pasteur Bergman : Homme austère, a déclaré la guerre au « vice ». Il donne très souvent la fessée à cul nu à ses pénitentes. Mais la perverse Betty Perkins lui tient la dragée haute. Elle aime beaucoup se mettre au premier rang quand il fait ses sermons. Et figurez-vous qu’elle oublie de mettre sa culotte... Or, cet insolite pasteur a décidé de prendre en main l’éducation de Darling, pour la guérir de ses « mauvais penchants ». Ça promet !

 

Un éleveur de porcs : Aussi cochon que ceux qu’il élève.

 

Betty Perkins : Secrétaire de l’avocat Mac Manus. Esclave avec son maître, Betty est une dominatrice avec les femmes qui tombent en son pouvoir. Elle se définit elle-même comme « une chienne authentique ».

Rosamond Patterson : Jeune masochiste bien en chair, soumise à la précédente. Betty a décidé de la « former » pour son patron Mac Manus... et pour commencer de lui faire raser le sexe... par un coiffeur pour hommes (devant les autres clients, bien sûr !)

 

Marge : Institutrice, ancienne dévergondée qui vient de se remarier et craint que son passé tumultueux ne parvienne aux oreilles de son mari Harry-le-scieur qui est jaloux comme un tigre. Et voilà que Sigmund, affreux bossu, vient la menacer de révéler ses anciennes frasques à celui-ci... si elle ne cède pas à ses caprices.

 

Harry-le-scieur : Époux de Marge. En apparence, il est très amoureux d’elle. Et très jaloux. Mais les apparences sont souvent trompeuses. Et les jaloux parfois très complaisants ! Quand il joue au poker avec ses amis, Harry attache sa femme sur son lit, toute nue, cuisses ouvertes, les yeux bandés. Curieuse habitude, non ?

 

Julius, Red, Bob, Linda : Quatre élèves de Margie. Les perpétuels punis... Ces affreux garnements rêvent de se venger de l’institutrice qui les brime. Grâce à ses « pouvoirs spéciaux », Sigmund va-t-il réaliser leurs rêves ?

 

Bob Picart : Ancien sportif, la trentaine, féru de Lolitas, ce qui lui a valu plusieurs séjours en prison. Aime beaucoup faire faire de la gymnastique toutes nues à ses jeunes protégées, et les prendre en photo.

 

Harvey : Contremaître, oncle trop aimant de la petite Linda... Il fait parti du cercle d’amis qu’Harry autorise à monter conter fleurette à sa femme, dans la chambre où elle repose, nue, les yeux bandés, attachée sur son lit. (Avec un coussin sous les fesses.)

 

Marjorie Prentiss : Mère de Mary. A un penchant pour la bouteille. Et pendant qu’elle dort, son mari aide leur fille à faire sa toilette intime...

 

Jeremy et Jonas, les cousins pervers : Cousins de Mary, ce sont en apparence deux effroyables bigots. Mais ils vont vite ôter leurs masques... Figurez-vous qu’ils ont entendu parler de Darling !

 

Junior Prentiss : Frère de Mary, ce gamin à la sexualité compliquée mange à plusieurs râteliers. Homme avec les femmes, il se fait volontiers femme avec les hommes.

 

La vertueuse Hepzibah : Soeur des cousins pervers. Ils abusent odieusement d’elle pendant son sommeil. Et cela, depuis des années... (Grâce à l’élixir que leur vend Sigmund-de-Pigalle).

 

Schmoelbrek : Avocat marron (et scatophage), ce pervers sexuel collectionne les timbres et se sert sans scrupules, pour ses « échanges », de sa nièce Linda. Ancien patron de Rosamond, il voue une haine féroce à celui qui l’en a dépossédé, le brillant et sadique Mac Manus...

 

Linda : Nièce du précédent, fausse oie blanche, vicieuse et vénale. Jouant à la demeurée mentale, elle prête cyniquement ses appas juvéniles aux collectionneurs qui font des échanges avec son oncle.

 

Pritchard : Vieux philatéliste. Foster : Autre collectionneur. Deux obsédés sexuels qu’intéressent beaucoup les charmes acides de la précédente. Le premier va même jusqu’à lui faire faire son pipi dans le bac à sciure de son chat ! Vous avouerez qu’il faut être tordu...

 

Sneaky, Mister President, Tom : Trois amis de Bob Picart, aussi pervers, ricanants, débiles, sadiques et vicelards que lui (ce qui n’est pas peu dire !) La fille du shérif va l’apprendre à ses dépens...

 

Laggerty : Un quincaillier. Encore un obsédé : voyeur, branleur... Et voilà qu’on lui livre à domicile, pour qu’il la décadenasse, l’altière Betty Perkins !

 

Mac Manus : riche avocat pervers et cérébral, sadique distingué, très imaginatif, père de Martha, patron et « propriétaire » de Betty et Rosamond.

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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 20:31

darling07

 

 

Le titre parle encore de lui-même: la pauvre Darling va devoir affronter 2 cambrioleurs particulièrement lubriques!

 

Mais, bon . . . il faut aussi se mettre à leur place quand on regarde la couverture!

 

 

 

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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 20:29

Chapitre 7

 

Juste avant la fin du film, Dave éjacula dans la bouche de Jane. La jeune fille avala le foutre du garçon et se nettoya rapidement pendant que Dave refermait son pantalon.

 

"C'était bien," a dit Dave. «As-tu pris du plaisir? »

 

«N.», a commencé à chuchoter le jeune fille, mais en répondant "Oui Dave, j’ai vécu un moment merveilleux !"

 

«Bon, dit-il en souriant. "Allons ! La nuit est loin d'être terminée."

 

Jane se colla étroitement à Dave en sortant du cinéma. Elle était gênée, il l'avait contrainte à sucer les hommes venus regarder le film, et voulait désespérément ne pas être vu avec lui. Elle avait mis des années à se créer une réputation en tant que femme irréprochable. Maintenant, à cause de ce produit chimique stupide, elle était en train de se faire une réputation de salope prête à tout pour se faire baiser, y compris sortir avec des types comme Dave ! Tout le monde se servait d’elle : d'abord les employés de la Bibliothèque de droit, puis le doyen, puis le service de sécurité, puis son propre demi-frère, et maintenant le petit ver sur qui elle avait l'habitude de marcher à l'école secondaire. Qui serait le prochain?

 

Une fois dans la voiture, Jane demanda si elle pouvait parler normalement. Dave hocha la tête.

 

"Comment as-tu su ?" demanda t-elle.

 

« À propos de toi? . . . Eh bien, tu l’ignore peut-être, mais j’ai quelques amis à l’Université. L'un d'eux travaille à la bibliothèque et m'a parlé de ce qu'ils ont fait de toi. »

 

"Alors tu en as conclu que tu allais pouvoir avoir ta petite revanche sur moi ! », dit-elle, en faisant la moue.

 

Dave sourit à pleines dents, ce qui eu le don d’exaspérer Jane.

 

« Salaud ! Tu n’as donc pas de conscience . . . ! »

 

« La ferme ! », ordonna Dave.

 

Instantanément les mâchoires de Jane se serrèrent et Dave quitta le parking et se dirigea vers l'autoroute.

 

« Tu n’es qu’une petite garce qui a toujours obtenue tout ce qu’elle a voulu . . . qui passe son temps à écraser ceux qui croisent son chemin pour avancer ! »

 

Jane commença à gémir.

 

 «Mais je ne suis vraiment pas un mauvais gars. Pas vraiment. Mais il ne sera pas dit que je ne profiterai pas à fonds de l’occasion qui m’est donnée ! . . . Maintenant, je veux que tu me dises tout ce que l’on t-a commandé de faire."

 

Jane renifla et lui dit tout.

Au moment où elle termina sa confession, Dave s’arrêta au motel local.

 

«As-tu une carte de crédit?", demanda Dave.

 

"Oui, mais ..."

 

« Tu va payer pour la chambre », dit-il.

 

Jane ne résista pas. Elle savait que la nuit était loin d'être terminée.

 

Dave escorta Jane dans la chambre d'hôtel. La chambre était petite et spartiate. Il y avait une TV / radio reliée au cable.

 

«Pourquoi ne m’as-tu pas conduite chez toi pour me prendre? »,  lui demanda t-elle.

 

Dave accrocha le carton "Ne pas déranger" sur la porte.

 

«Pourquoi ici?"

 

"Je préfère ne pas te le dire," fut sa réponse.

 

"Donc, je n'aurais pas à voir le genre de trou ou tu vis?", a-t-elle demandé malicieusement.

 

« C'est une interprétation . . . », répondit Dave.

 

«Ici, nous pouvons être aussi bruyants que nous voulons l’être . . . et nous ne dormirons pas beaucoup ce soir, c'est certain."

 

Jane jeta son sac sur la table et a lança ses chaussures au loin. «Alors quoi maintenant, Dave? Tu bande, je suce, je baise . . . tu me la mets dans ma bouche, dans mon cul, en moi, sur moi, autour de moi . . . je me masturbe, tu me masturbe, je te branle . . . J’ai baisé au moins cinquante gars depuis quelques jours. Ma chatte est devenue un garage à bite! Mon cul est si élargit qu'il siffle si le vent souffle! Qu'est-ce qu’il me reste à subir? Huh? "

 

Jane se tenait là, avec sa chemise qu’elle venait de déboutonner au sol, ses seins dans son soutien-gorge, parfaitement visibles. Dave Saint-James était là tout simplement avec le regard désemparé que Jane connaissait bien. Elle avait finalement repris le contrôle de la situation. Il ne savait pas comment répondre à son audace!

 

Puis il sourit.

 

« Enlève tout », dit-il.

 

Elle soupira. « Oh, OK . . . ».

 

Elle a enlevé sa mini-jupe, ses bas, ses porte-jarretelles, puis finalement son soutien-gorge et sa culotte, nonchalamment, comme si elle était seule dans sa propre chambre.

 

"Voilà!" dit-elle, en se frottant les seins. «Que dois-je faire maintenant?"

 

"Maintenant, sort dehors."

 

"QU'EST-CE?" s'écriait-elle en se dirigeant vers la porte.

 

"Baise le premier gars que tu rencontreras après avoir ouvert la porte, peu importe qui il est. Baise-le comme tu n’as jamais baisé personne avant."

 

« S'il te plaît », dit-elle, alors que sa main tremblait sur la poignée de porte," ne fais pas cela . . ."

 

« Ferme les yeux », dit-il.

 

En fermant les yeux, sa main tourna la poignée  et ouvrit la porte. Elle a commencé à marcher nue dans le parking. Vers quel genre de problème allait-elle s'engager?

 

« S'IL TE PLAÎT », supplia t-elle!

 

«Retourne-toi et ouvre les yeux."

 

Jane obtempéra et vit Dave dans la chambre.

 

« Rentre me prouver que tu es une bonne salope ! »

 

Instantanément, Jane entra en refermant la porte derrière elle et alla directement à la fermeture éclair du pantalon de Dave.

 

«Oh mon dieu », a t-elle murmuré, en prenant sa bite en main. « Je croyais que tu allais vraiment le faire! "

 

Elle a pris sa queue avec avidité dans sa bouche, en faisant des sons obscènes de siphonage en aspirant la verge.

 

"Oh la la ouais!", dit Dave avec satisfaction. "C'était juste un avertissement . . . Je pourrais t-ordonner de sortir à tout moment . . .  oh yeah . . .  alors . . . il ne faut pas l'oublier."

 

Jane continua à sucer la bite, tandis que ses mains ôtaient le pantalon. Puis, empaumant le cul de Dave, Jane se mit à le sucer comme une forcenée jusqu’à ce qu'il se vide les couilles dans sa bouche.

 

Puis, sans attendre,  Jane a commencé à frotter ses seins contre la bite.

 

Avec sa queue qui coulissait entre les seins chauds de la jeune fille, il n'a pas fallu longtemps à Dave pour durcir à nouveau. Une fois qu’il fut à point, elle s'est emparée du sexe et l’a conduit dans sa chatte humide.

 

"Ooohhhh ... YEAAHHHHHHHH!", s’exclama Dave avec joie.

 

Il n'a pas eu besoin de plus d'encouragement, et commença à lentement pistonner la chatte de la belle.

 

Jane, elle, ne voulait trouver qu’un moyen de retrouver son libre arbitre afin de pouvoir dire à tous ces tourmenteurs d’aller se faire foutre!

 

"Jouit . . . pour moi ..." dit Dave dans un gémissement.

 

Jane cria en jouissant. Tout son corps tremblait.

« Encore une fois . . . », dit Dave. "Jouit salope ...!"

 

Jane continua à se vider. Elle ne pouvait plus penser. Rien ne comptait plus. Juste sa chatte et la bite qui la remplissait.

 

Il n'a pas fallu longtemps à Dave pour aussi se vider à l'intérieur de Jane.

 

Jane perdit la notion du temps. Elle sentit Dave introduire sa queue en elle, mais cette fois par derrière. Mais cela n’avait pas d'importance. Seule comptait la jouissance qui reprenait . . .

 

Dave n'était en effet pas resté dans sa chatte bien longtemps, alors que  son cul était aussi facilement accessible! Il pénétra l’anus avec une facilité déconcertante. La jeune fille ne lui avait pas mentie : son trou de balle s’était bien élargit !

 

"Jane, OHHH . . .", grogna t-il. "Ton cul . . . est merveilleux! . . . un vrai vagin !"

 

"OOOOHHH! ..",  dit-elle d'une voix cassée entre 2 orgasmes,"P-s'il te plaît! IIIEEEEEEEEEE !!... j'ai besoin de rr-RESPPPPPPPPPPPPPPPPPPP !!!!"

 

"Oh ... Pas encore ... PRESQUE !!!.... UUNNNGGHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!"

 

Dave frissonna, puis sa queue éclata à nouveau, cette fois dans le cul de Jane. L’adolescente ne pouvait pas le sentir jouir cette fois. Elle était continuellement en train de jouir elle-même depuis si longtemps, et si fort, qu'elle ne pouvait plus rien sentir.

 

« Stop », dit Dave, en retirant sa bite de son cul.

 

Pendant une minute, elle a pensé qu'elle ne s'arrêterait pas de jouir malgré l’ordre. Elle pouvait à peine l'entendre. Son corps entier était douloureux.

 

"Tu es un . . . bâtard . . .", dit-elle d'une voix rauque. "Tu . . . aurait pu me tuer"

 

Mais avant que Dave ait pu répondre, elle tomba de sommeil.

 

Quand elle se réveilla, il était de 2 heures trente du matin.

 

"Hein?" dit-elle, encore un peu dans le brouillard. ".  . Quoi?"

 

Elle était couchée à plat ventre sur le lit, encore nue. Les cuisses écartées. Elle a regardé autour d’elle et a trouvé Dave assis sur une petite chaise, regardant un film porno à la télé. Il était toujours vêtu de ses sous-vêtements.

 

«Je suppose que je ne t'ai pas tué », dit-il avec un sourire.

 

«Espèce de salaud », dit-elle en se levant, grimaçant de douleur.

 

«Pourquoi as-tu fait ça?"

 

« Parce que je le peux », dit-il en la regardant dans les yeux.

 

Jane alla aux toilettes. Dave pouvait entendre la chasse d'eau entre les "OHH" et "AHH" du film porno. Puis il entendit la douche. Il se leva et entra dans la salle de bains.

 

Jane a été surprise lorsque le rideau de douche fut tiré vers l'arrière.

 

"HEY!" dit-elle. «Je vais prendre une douche!"

 

"Alors?" dit-il en fermant le couvercle des toilettes et en s'asseyant dessus. «Je ne t-en empêche pas ! »

 

« Pervers », dit-elle, en continuant à se laver avec le savon miniature de l’hôtel

 

"Joue avec ta chatte ! », ordonna t-il.

 

Les mains de Jane allèrent automatiquement à son clitoris et le frottèrent lentement.

 

"Oooooohh … salaud! Laisse-moi jouir pour ..."

 

Elle se mit ensuite à se pétrir les seins avec une main tout en se secouant la chatte de l’autre.

 

"Tu aimes ça hein cochon ! . . . Allez, branle-toi ! »

 

Dave se déshabilla et entra dans la douche.

 

« Donne-moi le savon », dit-il en refermant le rideau de douche derrière lui.

 

"Cesse de jouer avec ta chatte et lave moi."

 

Elle obéit, plaçant ses mains savonneuses sur sa poitrine velue et commença à masser son tourmenteur.

 

« Tu aimes ça? » dit-elle en essayant de paraître aussi salope qu’elle le pouvait.

 

« C’est ce que tu voulais faire avec moi à l’école ? »

 

Elle abaissa sa main droite vers la bite de Dave et la prit en main, la masturbant doucement.

 

« Que dirais-tu de me baiser? Ouais … en me prenant en levrette … ou, mieux encore, dans mon cul? Hmm? »

 

Mais au lieu de se la refaire, Dave se mit à lui masser les seins avec ses mains et à l’enduire de savon.

 

 «Tu vas voir salope, tu vas adorer ! »

 

Jane ne pouvait pas s'empêcher d’aimer ce que lui faisait Dave. La sensation de ses mains sur son corps, l'eau chaude, le savon …elle n'avait jamais ressenti une telle tendresse avant. La plupart des gars avec qui elle avait eu des rapports, l’avait juste baisée. Même ses vrais petits amis, avant qu’elle ne perde son libre arbitre, ne voulaient que se vider les couilles ! Elle couinait de plaisir sous les caresses.

 

« C’est bon ? »

 

Elle hésita. Elle se sentai bien, mais elle ne voulait pas se sentir bien. Et surtout elle ne voulait pas qu'il le sache.

 

« Sois honnête », dit-il.

 

«Oui », dit-elle automatiquement.

 

Les mains de Dave gravitaient vers son clitoris, qu’il se mit à masser doucement.

 

"Ooohh .. non .. Dave .. ne ... NNNHHHH .... P-s'il te plaît ... Oh lala ..."

 

Elle sentit son corps contre le sien. Elle s'appuya contre le mur de la douche, l'eau chaude dégoulinant sur son corps, croulant sous le plaisir que Dave St-James lui procurait avec ses mains.

 

"Ooohhhh ... OH! ... Mmmmm ... s'il te plaît ... ne t'arrête pas ... Je veux ... Je veux ... jouir OOHHHHHHH !!!!!"

 

Les doigts de Dave continuèrent de la branler avec douceur pendant quelques minutes, l'amenant lentement à son paroxysme. Son corps tremblait, et toute force avait quitté son corps. Seul le mur de la douche et le corps chaud et humide Dave la maintenait debout.

 

« OOh, Dave ! C’est trop bon . . . trop gentil ! »

 

Puis, reprenant ses esprits : « C’était super ! Mais pourquoi ne pas te trouver une fille qui veut être avec toi, je veux dire VRAIMENT avec toi, pas sous la contrainte. »

 

«Peut-être plus tard», dit-il en reprenant ses seins à pleines mains et en se remettant à les pétrir de plus belle. "Mais maintenant tu as besoin d'un ami ..."

 

«J'ai des amis ! », s’exclama Jane.

 

"Non. Tu as des profiteurs ! Les gens qui pensent que tu es une salope ! Et qui profite de toi ! »

 

 "Et tu penses qu’il peut en être autrement?"

 

Il sourit.

 

 «Étant donné ma chance, oui."

 

Effectivement, pensa t-elle. Tout le monde voulait abuser d’elle ! Sa famille, ses amis, ses professeurs, les étudiants, les inconnus . . .

 

"Oh, d'accord ... Et maintenant?"

 

«Maintenant », dit-il, « nous allons baiser. Ensuite, nous verrons comment supprimer certaines de tes commandes !"

 

Jane sourit. Pour la première fois depuis longtemps, quelqu'un voulait enfin en mesure de lui venir en aide.

 

Dave lui affirmait qu’il pouvait annuler la majorité des consignes implantées dans son esprit. Elle voulait lui faire confiance.

Dave lui assura pouvoir la libérer pour la semaine prochaine.

 

Malheureusement, il dû aller à une conférence au Canada non prévue le lendemain, et ne pourrait être de retour avant la semaine suivante.

 

Il allait falloir patienter. Et subir . . .

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 9 février 4 09 /02 /Fév 20:22

Chers lecteurs et lectrices.

 

Votre fidélité à cette superbe histoire va être récompensée! Vous allez pouvoir lire le chapitre 7, chapitre jusqu'alors publié sur aucun autre site!

 

Comme je n'ai plus de chapitre traduit en stock, mais que je dois traduire les chapitres suivants, ne vous étonnez pas d'un ralentissement des cadences de publications!

 

Perversement votre!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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