Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 22:39

Jane sortit du bureau du doyen effondrée, confuse quant à ce qu'elle devait faire. « Je dois obtenir un antidote à la drogue », se dit-elle. Mais où et comment? Personne dans le laboratoire de science ne l'aiderait. Tous les étudiants et les chercheurs la détestait aussi. Puis, elle se souvint que la bibliothécaire en chef avait dit qu'il n'y avait pas d'antidote (Oh mon Dieu, s'il vous plaît pas!).

Sally Mist, l'adjointe au chef de sécurité du campus pourrait l'aider! C'était une femme comme elle, pensa Jane. Elle va m'aider et arrêter ceux qui mont  droguée de forcé et demandera au laboratoire scientifique de m'aider!


Jane  courut tout le chemin jusqu'à  la maison de Sally, espérant la retrouver chez elle.
Haletante, à peine capable de respirer, Jane sonna à la porte et
attendit. Deux secondes se sont écoulées, elle sonna de nouveau, puis de nouveau, et à nouveau, enfin tout en maintenant enfoncée la touche.


Quand la porte s'ouvrit, Jane cria de surprise.
Elle regarda la porte s'attendant à voir Sally, mais vit Brian, le jardinier du campus.


«Que voulez-vous?" a demandé à Brian, regardant Jane, éberlué à la vue du T-shirt moulant, de son inscription et visiblement de l'absence de soutien-gorge, une lueur de convoitise montrant à ses yeux.


«J'ai besoin de parler à Sally immédiatement!" cria Jane à l'homme, tandis que ses yeux se baissaient vers le bas, vers l'entrejambe du jardinier, sa bouche commençant à se remplir de salive!


"Elle n'est pas là, revenez dans quelques heures, elle devrait être de retour d'ici là. ".


Jane entra et s'assit dans un fauteuil dans le salon.

 

«Je vais juste attendre ». dit-elle.


«J'ai assez joué!", répondit Brian  «J'ai du travail à faire à l'extérieur! «  Maintenant levez-vous
de cette chaise! ".


Jane a bondi de sa chaise à ses paroles, en disant: «Je ne peut pas rester de toute façon! »


Quel est le problème avec cette garce?, pensa Brian. Elle dit qu'elle va attendre, mais saute comme un chat échaudé quand je lui ai dit de se lever. Cette salope ne fait jamais ce qu'on lui dit de faire, en particulier lorsque c'est un homme qui lui  demande!


"Qu'est-ce qui se passe Jane?"  demanda t-il.


Devant cette question directe, Jane ne pu s'empêcher de rapidement lui raconter toute l'histoire, non pas parce qu'elle le voulait, mais parce que la drogue ne lui donnait pas le choix: elle devait faire ce que l'on lui demandait de faire!


Comme elle parlait, un sourire rapace a commencé à se former sur le visage de Brian, qui se transforma en un grand sourire carnassier. Salope, pensait-il, si c'est vrai, on va se payer une bonne tranche de plaisir aujourd'hui!


Jane, réalisant le danger où elle était, fit mine de partir.


«Dites à Sally je passerais plus tard." dit-elle.


"Stop!." ordonna Brian.


Jane s'arrêta net.


«Vous allez le regretter. Je vais vous faire jeter en prison, aussi!" s'écria Jane, les larmes commençant à couler sur son visage.


"Tais-toi et arrête de pleurer, maintenant!" répondit-il.

 

Immédiatement, Jane se tu et arrêta de pleurer.


C'est très bien, pensa Brian, maintenant, on va se faire plaisir!


Brian se dirigea vers la chaise et s'assit. «Maintenant, salope, enlève le peu de vêtement que tu as sur le dos et commence à jouer avec avec ta petite chatte!. Je veux que tu frotte tes doigts sur ton clito et tes lèvres mais en t-arrêtant au moment de jouir!.


Jane se déshabilla rapidement. Sa main gauche a commencé à frotter son minou. Un gémissement sourd s'échappa de ses lèvres dès que sa main a commencé à frotter sur sa chatte. D'abord, elle a commencé à masser le clitoris avec sa paume, puis glissa un doigt dans son canal chaud et humide, puis deux, et enfin trois doigts. Ses hanches ont commencé un va et vient rythmé, sa main se déplaçant dans et hors de sa chatte. Elle était sur le point de venir maintenant, ses seins chaud et durs. Elle se plaignait fort, la tête renversée en arrière et balançant doucement son corps. Ses doigts se déplaçaient de plus en plus vite, essayant de libérer la tension, mais incapable de la mener tout à fait  à l'orgasme. Ses joues étaient rouges, sa poitrine en feu, comme elle essayait  encore et encore, mais elle ne pouvait pas jouir à cause des ordres de Brian.


Brian regardait, les yeux exorbités, en état de choc.


«Maintenant, Jane », dit-il,"en plus d'être accro au sperme, tu sera aussi obsédée par la mouille! Et si tu n'arrive pas à brouter au moins une chatte dans la journée, je t-ordonne de te branler et de boire ta propre mouille au moins une fois par jour! Maintenant, tu peut lécher tes doigts en guise d'apéritif! ".


Les doigts de la main gauche de Jane sortirent de  sa chatte et se rendirent directement dans sa bouche.


Elle les suça avidement, en essayant d'avaler tout son jus! Son autre main se déplaça vers  sa chatte, et plongea dedans. Puis, les doigts enduits de mouille de la main droite passèrent à sa bouche pendant que la main gauche fouillait à nouveau son sexe, et ainsi de suite.

 

Brian éclata de rire.


«Jane», dit-il: "Arrête de boire ta mouille!. A 4 pattes et  rampe jusqu'ici me sucer la bite! ".

 

Jane tomba à genoux et a commença à ramper vers Brian, ses seins lourds s'agitant d'avant en arrière sous elle. Elle s'est vue enlever ses vêtements tandis que Brian la regardait se déshabiller, son érection grandissant progressivement. Elle se dirigea vers le pénis tendu, ouvrit la bouche largement et fit glisser ses lèvres douces sur le gland! Il avait un goût salé, rassis. Sa bouche allait et venait sur la pine avec furie.


"C'est terrible Jane . Utilise ta langue pour lécher mes bourses pendant que tu suce . . . et prends tout l'engin dans la gorge! ", hurla Brian.


Jane happa la verge qui buta au fond de sa gorge et poursuivit encore son chemin vers le bas. Elle a commença à étouffer, mais ne put s'empêcher d'engloutir toute la verge. Complétement possédée, elle entama un va et vient effréné.


Brian savait qu'il était sur le point de gicler. Il se retint. Enfin, il n'en pu plus et il se vida les bourses en enfonçant sa bite dans la gorge de Jane jusqu'à la garde !. Jane avala tout son sperme et continua ensuite en léchant la verge pour avaler chaque goutte de sperme. Jane ne pouvait pas en laisser une goutte !

 

Brian regarda Jane, "Continue à me pomper ma belle !".


Jane ouvrit la bouche, reprenant le membre en elle. Sa langue tournoya autour du gland, puis s'enroula sur la tige tel un serpent.


"Ok Jane", dit Brian «L'amour ne doit pas être à sens unique !. Ainsi, à partir de maintenant, toutes les fois que je dis le mot con, tu aura un orgasme, un orgasme géant, puissant, à te casser les jambes ! ".


Brian se laissa pomper, admirant les seins blanc, laiteux, les aréoles roses et les tétines bandées. "Con", dit-il.


"OHHHHHHHHHHHHHHH!", gémit Jane, secouée par un orgasme démentiel, qui la secoua si fort qu'elle du agripper les cuisses de Brian pour ne pas s'affaller.


"Con, con, con, con, con, con." s'exclama Brian


"Awwwwwwwww, Ohhhhhh!", s'écria Jane, encore et encore. Cinq fois . . . elle tremblait pour chaque orgasme  . . . elle était comme prise de spasmes !. La verge a glissé de sa bouche, sa langue
la relacha, en essayant de reprendre la pine luisante.


Mon Dieu, pensa Jane . . . que suis-je en train de devenir ?. Je ne veux pas obéir, mais je ne peux pas arrêter. Je n'ai aucun contrôle de mon corps ou de mes émotions.


Malgré le rouleau compresseur des orgasmes, elle recommença à sucer la verge de Brian, la reprenant jusqu'au fonds de la gueule !


Bientôt ses efforts furent récompensés. La verge se retendit.


"Ok Jane", a déclaré Brian "arrête de sucer maintenant. Allonge-toi sur le sol, sur le dos, les jambes bien écartées, offerte, prête à être baisée comme la salope que tu es !. Je veux voir tes doigts s'occuper à nouveau de ta chatte. ".


Jane s'exécuta.


Brian s'approcha d'elle, lui saisit les seins et se mit à les pétrir avec délices. Il se mit à sucer les mamelons et les tétines et à embrasser sa victime à pleine bouche.


Brian prit sa verge en main, la plaça à l'entrée du vagin et pénétra la jeune fille. Lui saisissant les cuisses, il se mit à la labourer avec force.

 

Jamais Jane n'avait été pénétrée par une bite d'adulte aussi grosse ! Elle était remplie . . . comblée !
La chatte étroite de Jane enveloppait la verge de Brian comme un gant.

Jane a rapidement répondu aux mouvements de Brian poussant sa virilité encore plus profondément à l'intérieur d'elle.

Brian se sentait prêt à jouir. Il agrippa les 2 seins, les serra fort  et a cria «con! » tout en sentant son l'orgasme monter.

Quand il prit ses seins en mains, Jane a commencé à hurlé de douleur. Lorsqu'elle a entendu le mot "con", l' orgasme déferla à travers son corps. Empalée à fond sur son membre énorme, elle ne pouvait que s'abandonner

Son orgasme dura à n'en plus finir.

Brian finit aussi par jouir en se vidant dans son vagin.


Brian se leva lentement, en regardant Jane, ses jambes encore écartées, prête à être baisée à nouveau. Ses mamelons étaient encore érigés, bien droit.


Brian constata que son sperme commençait à s'écouler de la chatte de Jane.


«Jane», dit-il: «mon sperme et ta mouille sont en train de s'écouler de ton trou ! Une accro comme  toi ne peut admettre ça !

Les mains de Jane descendirent sur sa chatte, puis dans sa chatte. Ses doigts s'enduisirent de sperme et de mouille. La jeune fille porta une main à sa bouche et lécha les liquide. Puis elle conduisit la seconde main et fit de même pendant que la main précédente retournait à sa chatte.


Brian la regarda faire pendant quinze minutes. La jeune fille se nettoya ainsi totalement l'orifice.


«Jane», ajouta Brian: «Il y a encore du sperme sur ma bite !. Pourquoi ne pas venir ici et la nettoyez en utilisant seulement ta la langue ? ".


Jane se leva sur ses genoux et se dirigea vers Brian, les jambes allongées, la tête plongeant vers le bas à son entrejambe.

Sa langue courut sur la verge molle et les couilles

Sous l'action de la jeune fille, la verge se redressait à nouveau !

 

« Tu es vraiment une superbe lécheuse de bite ! . . . On va pouvoir remettre les plats ! », s'exclama Brian.


Un sourd gémissement de désespoir et de la luxure s'échappa des lèvres de Jane avant d'avaler la bite de Brian jusqu'au fonds de sa gorge.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 00:14

 

Chapitre 3: Au parloir

 

 

1ère visite

 

Un mois s’est écoulé.

Un mois de brimades, de contraintes, de frustrations surtout. Des le début de mon incarcération j’avais été mis au régime le plus dur, celui réservé aux jeunes femmes rebelles, afin de les soumettre définitivement. J’étais menottée jour et nuit. Le jour les chaînes qui m’entravaient étaient assez longues pour me permettre de travailler. Mais la nuit, j’étais menottée dans le dos, et de plus, enchaînée par le cou au montant métallique de mon lit, ceci afin que je ne puisse me retourner à plat ventre. Le but était évidemment que je ne puisse me procurer aucune caresse, même en me frottant contre les couvertures…

Depuis un mois, j’étais donc dans l’abstinence totale, privée de la moindre douceur, du moindre câlin, me fussent-t-ils procuré par moi même.
Privée de plaisir, mais pas de tentations.
Douze heures par jour, je devais, avec mes compagnes d’infortune, manipuler des godemichés, vibromasseurs et autres phallus destinés à la vente par correspondance. Ces objets m’obsédaient littéralement, tellement j’avais envie d’en profiter. Il y avait aussi cet aphrodisiaque qui était mêlé à notre nourriture et dont les doses étaient doublées pour celles qui étaient au régime spécial, comme moi. Il y avait enfin les attouchements fréquents que les gardiennes me prodiguaient, sans vraiment s’en cacher. C’était le soir surtout, ou après la douche, que j’étais la proie facile de leur lubricité. Entravée, contrainte au silence, je ne pouvais que subir leur caresses impudiques, qu’elles prenaient soin toutefois d’arrêter des qu’elles sentaient mon plaisir devenir trop fort. C’était un véritable supplice qui durait ensuite toute la nuit, me tenant éveillée des heures, le corps en feu, torturée par un désir qu’il m’était impossible d’assouvir.

Un matin, une gardienne m’apprit qu’à midi, j’aurai « un parloir ». Pour la première fois depuis mon arrivée à la prison j’allais donc avoir une visite.
« Fais-toi belle pour la circonstance » me dit sentencieusement la gardienne. Je fus exceptionnellement dispensé d’atelier ce matin là. Après une douche et un rasage soigneux du pubis, comme l’exigeait le règlement, je fus autorisée à mettre mes vêtements « civils », ceux que je portais en arrivant ici.

Je retrouvais donc avec plaisir mon petit chemisier blanc. Comme je cherchais mon soutien gorge, la gardienne me dit ironiquement qu’il avait disparu… C’est donc sur ma poitrine nue que je boutonnais soigneusement mon chemisier. Mes seins pointaient sous la soie légère à demi transparente, et je me sentais assez impudique, mais je n’avais pas le choix. Puis j’enfilais ma jupe. Ma petite culotte avait aussi mystérieusement disparue, et je dus l’enfiler à même la peau. Et j’eu encore la surprise de constater qu’on l’avait, par un grand ourlet, raccourcie de quinze bons centimètres, ce qui la ramenait à mi cuisse…Certes, bien des jeunes femmes sont habillées ainsi. Mais dans cette prison, après un mois d’un uniforme assez insipide, je me sentais tout d’un coup séduisante et désirable, et je commençais à être bizarrement excitée.

Mais la gardienne n’en avait pas fini avec les préparatifs. Contrairement à d’habitude, où j’étais simplement menottée, elle me lia les avants bras très serrés dans le dos à l’aide d’une corde. Puis, elle dégrafa mon chemisier pour laisser apparaître mes seins. Elle passa plusieurs fois les liens autour de mon buste, par dessus et en dessous des seins, et avec ce qui restait de corde, le passant sur les épaules, elle sépara ma poitrine. Enfin elle enserra étroitement ma taille à l’aide d’une autre corde.

Pourquoi me ligotait-on de la sorte ? J’eu rapidement la réponse :
« Ce n’est pas parce que tu n’as plus (provisoirement, me fut-il précisé) d’uniforme qu’il faut te sentir libre. Tu subis une peine, ne l’oublie pas ! »

Mais pouvais-je l’oublier ?

C’était donc une humiliation supplémentaire. Et destiné à m’exciter davantage, car comment pouvais-je rester insensible d’être ainsi offerte, les seins nus comprimés, dressés, offerts, étroitement prisonnière de la corde, sans culotte sous une jupe très courte ? J’ai du traverser ainsi tout l’atelier sous les regards de mes compagnes, et après un long couloir, arriver enfin au parloir. J’ignorais toujours de qui j’allais avoir la visite, et intérieurement je priais pour que ce ne sois pas quelqu’un de ma famille. Vous imaginez ma belle mère, mon père ou mon frère me voyant ainsi ? Je ne m’en remettrai jamais !

La gardienne me fit mettre à genoux tout contre le grillage qui séparait les détenues des visiteurs et je du attendre, silencieuse et immobile. Mais une chaleur honteuse avait envahie mon ventre. Je sentais mes grandes lèvres se décoller d’elles même, et une humidité tiède envahir mon sexe.

Et ce fut le choc.

Je vis apparaître devinez qui ? Mais oui, Luc, mon amant, celui par qui tout avait commencé, qui m’avait provoqué par ce pari stupide. Oh qu’il était beau, dans sa chemise ouverte sur son torse musclé, le visage bronzé, le jean moulant, légèrement protubérant au niveau du sexe. Une bouffée de chaleur m’envahit.

« Comment vas-tu ?

Que lui dire sinon que j’avais envie de lui, de sa queue, qu’il me baise, que j’avais envie à en crever, et maintenant encore plus…Je me tournais vers la gardienne :

« Pouvez vous nous laisser seuls s’il vous plait ?

Je voulais lui faire des confidences, lui dire des mots d’amour, avoir, puisque je ne pouvais pas le toucher, un échange de tendresse verbale, lui dire que je l’attendais…

« Impossible, c’est interdit par le règlement, et dépêche toi car il ne reste que dix minutes.

Je fixais Luc intensément, je buvais son image, et je mouillais, je mouillais de plus en plus…

« Et bien puisque tu as perdu ta langue, je vais parler un peu de moi. Tu comprends bien que depuis un mois je ne peux pas vivre seul. C’est toi qui est punie, pas moi. Quand Emmanuelle m’a demandé de venir vivre chez moi, j’ai accepté, et depuis on est hyper heureux ensemble !

« Emmanuelle…ma meilleure amie ?

« Et oui, et je peux te dire qu’elle baise vachement bien ! Elle accepte tout . . . presque aussi salope que toi au lit !

« Emmanuelle…mais c’est pas possible…mon amie d’enfance, je…tu me trompes avec elle…

 

« Ecoute tu connais mes besoins. Il me faut un trou. Emmanuelle ou toi c’est kif kif !

Quelle nouvelle humiliation…Quelle nouvelle honte…Je ne pouvais détacher mon regard de la bosse qui grossissait son pantalon à vue d’œil au niveau de l’entrejambe. Ma parole, il bandait !

« D’ailleurs, reprit il, quand je te vois comme ça, ligotée, seins nus, sage depuis un mois, ça me fout une de ces triques…

« Sage, sage, pas tant que cela interrompit la gardienne.
Et sournoisement elle souleva le devant da ma jupe en le coinçant sous la corde pour que je reste le ventre dénudé. Evidemment mon sexe apparu, lisse, lèvres ouvertes, ruisselant, trahissant trop bien le désir intense qui me consumait.

« Ah la salope ! fit Luc, en dégrafant sa ceinture et en sortant son sexe turgescent. Il s’approcha du grillage à le toucher. Et dire que je ne pouvais même pas le prendre en bouche, le sucer comme naguère…

Il commença à se branler consciencieusement, sans me quitter des yeux. Inconsciemment j’ouvrais la bouche, je bougeais la langue comme s’il était en moi, mais je pompais que du vide et j’en pleurais de frustration. Peu à peu il s’excita, la pression montait, il se laissait emporter par le rythme, je pouvais suivre sur son visage la lente montée du plaisir. Et brusquement, il explosa, sa queue contre les grilles, le foutre gicla en longues rasades visqueuses qui m’atterrirent sur le visage. Je fermais les yeux pour ne pas être aveuglée, mais son jet puissant atteignait mes joues, mon nez, mes lèvres que j’entrouvris aussitôt. Il semblait ne pas devoir s’arrêter, il éclaboussa ma gorge, et les gouttes chaudes coulèrent sur mes seins tendu à craquer et dont les aréoles congestionnées me faisait de plus en plus mal. Après un ultime jet sur les seins il se détendit.

« Aaaaahhhh la salope ! que c’est bon…. oh putain que c’est bon …

J’étais moi même pantelante, bouleversée, brisée d’avoir vu de si près jouir mon amant, sans la moindre participation.

 

« C’est l’heure rappela la gardienne, implacable comme toujours

« Allez, salut Carole, il faut que j’y aille. Emmanuelle va m’attendre, on doit partir pour un week end en amoureux en Provence. On pensera à toi en faisant l’amour !

Et je restais là, mais cette fois de grosses larmes se mêlaient au sperme qui commençait à sécher sur mes joues.

 

« C’est trop tard pour aller déjeuner, fit la gardienne, mais tu n’auras pas tout perdu : lèche la grille, qu’il n’y ait plus une seule trace de ce dégueulasse.
Et pendant un quart d’heure je du avec ma langue nettoyer cette maudite grille, cul toujours découvert, jusqu’à la laisser nette.

2ème visite

 

Après avoir terminé ma tâche, je pensai naïvement être ramenée à l’atelier, mais il n’en fût rien.

 

« A genoux face à au grillage ! », ordonna l’implacable gardienne.

 

Une fois en position, celle-ci replaça ensuite bien ma jupe sous les cordages qui cerclaient mon ventre, de façon à bien découvrir mon cul et ma vulve glabre encore suintante.

 

«Tiens-toi bien droite ! », lança ma gardienne.

 

Je pleurai en silence.

 

« Pitié implorai-je . . . . ce ne peux être qu’un membre de ma famille qui va me rendre visite . . . je ne peux pas me montrer comme ça . . . . je ferais tout ce que vous voulez . . . sans que personne n’en sache rien . . . tout !».

 

« Parce que tu peux faire autrement ? », répondit ma tortionnaire en ricanant. « N’empêche que c’est une tentative de corruption caractérisée . . . ce sera répété en haut lieu ! ».

 

Sur ce, une porte s’ouvrit, et je vis apparaître . . . . Emmanuelle !

 

Cette belle blonde était habillée d’un superbe tailleur blanc BCBG à la jupe plutôt courte qui couvrait ses jambes au quart des cuisses et à la veste au décolleté plongeant qui offrait une bonne partie de ses seins généreux au regard. Face à cette femme dans la pleine possession de ses moyens, alors que j’étais agenouillée, seins, cul et chatte à l’air, la honte me submergea.

 

« Ma pauvre Carole, on te traite vraiment comme une chienne ici ! », me lança t-elle. « Il faut dire que ce n’était pas très malin de ta part de voler des sous vêtements ! Aussi cochons en plus. . . .Avoue que quelque part tu l’a bien mérité . . . voire que tu le cherchais un petit peu !, surtout avec les dernières lois votés pour lutter contre l'immoralité féminine!».

 

Son ton compassionnel sonnait faux. Je sentais bien que sous ce vernis, elle se réjouissait de ce qui m’arrivait. Et dire que depuis le lycée, j’ai pensé que c’était ma meilleure amie !

 

« Tu couche avec Luc . . . », dis-je entre deux sanglots.

 

« Pas seulement, je vis avec lui ! Il va me tuer ! C’est un baiseur inépuisable ! », me répondit-elle le sourire aux lèvres.

 

« Toi, me faire ça . . .Ma meilleure amie ! »

 

« Et c’est parce que je suis ta meilleure amie que je me suis mise avec Luc, Caro ! Si je ne m’étais pas mise avec lui, il aurait sans aucun doute cherché à se vider dans n’importe quel trou ! Tu devrais être contente que sa queue soit en de bonnes mains ! »

 

« Garce ! Trainée ! Hypocrite ! », hurlai-je.

 

De suite, je sentis une main me saisir les par les cheveux et me plaquer le visage et les seins contre le grillage.

 

Sans prévenir, mes fesses se firent mordre par une baguette ou une cravache.

 

La douleur était fulgurante. Atroce.

 

« Salope ! Tu es donc capable de tout ! Insulter de la sorte une de tes rares amies qui prends sur son temps pour te rendre visite ! Demande pardon ! Tant qu’elle ne te pardonnera pas, je continuerai à te cravacher le cul . . . jusqu’au sang s’il le faut. », hurlai la gardienne.

 

Et effectivement, les coups pleuvaient drus, sans répit. Mais étrangement, à la douleur commençait à se mêler le plaisir. Ecrasés sur le grillage, mes seins et surtout mes tétons étaient excités par le frottement. Dans l’état d’excitation quasi permanent qui était le mien depuis mon entrée dans cette prison, et après la visite de Luc, cela suffit à me faire mouiller d’abondance.

 

« Pardonne-moi Emmanuelle ! Pardon ! Pitié », implorais-je pour échapper à la correction.

 

A travers mes larmes, je vis celle que je considérai comme ma meilleure amie les mains sur les hanches, sourire.

 

« Mais bien entendu que je te pardonne Caro, mais à une condition : que toi aussi tu me pardonne de m’être mise avec Luc ! »

 

« Oui . . . je te pardonne Caro, mais pitié ! »

 

Comme Emmanuelle ne m’avait pas encore formellement pardonnée, les coups continuaient de pleuvoir, implacables.

 

« Je peux vraiment le baiser comme je veux ? », insista sadiquement Emmanuelle.

 

« Oui, oui ! Baise-le ! Fais ce qu’il veut ! Il est à toi ! »

 

« C’est gentil. Je te pardonne aussi alors ! », consentit enfin à dire Emmanuelle.

 

La gardienne arrêta de me cingler le cul et les cuisses. Il était temps. Quelques coups de plus et j’allai jouir devant elle !

 

« Je comprends que la rigueur la plus stricte est nécessaire pour faire revenir mon amie dans le droit chemin, mais j’espère que son moment d’égarement ne va pas entraîner des sanctions à son égard ! Je ne voudrais pas être, même indirectement la cause d’un durcissement de son régime pénitentiaire, déjà bien lourd ! », déclara Emmanuelle à la gardienne qui ne m’avait toujours pas lâché les cheveux.

 

« Vous êtes trop bonne avec cette chienne Madame », répondit celle-ci. « Mais nous en sommes au 2ème dérapage de la journée puisque Melle s’est déjà rendue coupable d’une tentative de corruption. Je ne peux pas fermer les yeux. Je crains fort que Madame la Directrice, qui est pourtant l’indulgence personnifiée, n’apprécie guerre ! »

 

Emmanuelle soupira.

 

« Je m’en remets donc au sens de la justice de Mme la Directrice ! Mais, vu ce que j’ai entendu sur ce qui ce passe en prison, vous lui transmettrez une requête de ma part : surtout qu’elle veille à ce que les autres détenues ne s’en prennent pas à . . . l’anus de Caro ! Elle a toujours été très sensible de l’anus ! Elle refusait d’ailleurs même que son amant ne la pénètre par là ! »

 

Mon cœur rata un battement. En déclarant cela, elle criait pratiquement sur les toits de me défoncer le cul.

 

« Je ne manquerais pas de transmettre cette information importante à Madame la Directrice ! », conclut la gardienne, sur un ton rigolard.

 

Et sur ce, Emmanuelle prit la direction de la sortie en me lançant : « Bye Caro, il faut que je rejoigne Luc pour finir de préparer notre départ ! »

 

Une fois Emmanuelle sortie, la gardienne ma susurra à l’oreille : « Et bien, on sait maintenant enfin par ou te prendre pour te calmer ma salope ! »

 

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Jeudi 5 janvier 4 05 /01 /Jan 20:05

Chers lecterus, chères lectrices.

 

Vous attendez avec impatience la suite des mésaventures carcérales de Carole. Votre patience va être récompensée: le 3ème chapitre les contants va être publié demain!

 

Je vous quitte de suite: j'ai du pain sur la planche avec une des petites garces qui sont confiées à ma garde!

 

3.jpg

 

 

Nous vous parraissons peut-être sévères, mais n'oublions pas que c'est pour son bien!

 

Gertrude

 

Gardienne

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Jeudi 5 janvier 4 05 /01 /Jan 20:02

     Jean est réveillé. Je lui tends mes croissants et l'embrasse avec fougue car mes divers périples de la matinée m'ont échauffée...

     Lui aussi est de bonne humeur. Il m'enfourche donc immédiatement, ainsi qu'il le fait habituellement (il faut dire que mon Jean ne connaît absolument pas les préliminaires...). Il s'enfonce en moi avec facilité et me couvre de baiser dans le cou et sur le visage. Puis il entreprend deux ou trois mouvements de piston, au terme desquels il se vide en une saccade courte mais intense. Puis il débande rapidement, se retourne et se rendort. Je l'admire encore un petit peu dans la lumière du matin (à travers la tente, cela donne une teinte orangé du meilleur effet), lui caresse le front puis le dos jusqu'aux fesses. Je suis heureuse de lui avoir donné de la joie et de m'être offerte à lui. En quelque sorte, c'est une vengeance sur les autres, qui, s'ils m'ont caressée, n'ont pas eu droit de se déverser en moi. Je ne suis le réceptacle que du sperme de mon mari ! Seul lui a le droit de me posséder complètement. Les autres n'ont qu'en ersatz ! Cette pensée me réconforte !

     Je me laisse aussi aller à une légère somnolence, lorsque la fermeture à glissière de la tente s'ouvre tirée par une main extérieure. Un visage d'un garçon que j'avais déjà vu apparaît. Il me fait " Pssssit, psitt ! ". Je lui fais signe de ne pas faire de bruit car mon mari dort. Toujours par signe, il me fait comprendre que je dois sortir de la tente. Pour ne pas entrer en conversation et risquer de réveiller Jean, j'obtempère rapidement.

     Lorsque je suis dehors, debout, je me rends compte que le sperme de Jean coule un peu sur mes cuisses. Mais je ne peux pas les essuyer, car un groupe de trois adolescents m'observe. Je leur demande la raison de leur appel. Ils me répondent qu'ils veulent profiter du sommeil de leurs parents pour me " connaître " mieux. Doux euphémisme pour dire " caresser ". Mais mon engagement est ferme : je dois leur donner satisfaction. Ils m'entraînent alors dans la forêt toute proche pour " être tranquilles ". Je les suis sans discuter, mais je suis toujours gênée par le sperme de Jean qui continue à couler à chaque pas. Lorsque nous sommes arrivés dans une petite clairière, un des garçons voit le liquide qui me maculer les jambes. Il me demande ce que c'est. Je lui dis la vérité sans ambages. Ils me répondent alors qu'eux aussi auraient aimé me " farcir " de leurs propres jus. Mais je ne leurs laisse pas d'espoir : " Vous pouvez me caresser autant que vous voulez, mais je refuse d'être pénétrée par un autre que mon mari " !

     Déçus de ce demi-échec, ils se rattrapent rapidement sur les caresses, y compris intimes, qu'ils me prodiguent avec d'ailleurs fort peu de délicatesse. Leurs manques d'expériences est flagrants. D'ailleurs ils m'avouent être tous puceaux, ce qui ne m'étonne pas. Avec gentillesse, je tente alors de les éduquer un petit peu. Ils acceptent de bonne grâce ce cours de travaux pratiques improvisés. Chacun à leur tour, ils apprennent à m'effleurer le creux des reins avec le bout de leurs doigts. Lorsqu'ils commencent à éveiller en moi quelques pulsions, je les fais passer à d'autres parties : le contour des seins, les mamelons, l'intérieur des cuisses... Ils apprennent vite. Au bout d'une bonne heure, je me laisse aller, sous leurs doigts et commence à mouiller abondamment (et pourtant je ne leurs ai pas fait " travailler " mon sexe, de peur de ne plus pouvoir me contrôler). Je me tortille sur un lit de mousse et d'herbe, les yeux mi-clos, à la recherche des meilleures sensations... A trois, ils ne me laissent pas beaucoup de répit : lorsque le premier effleure mes mamelons, un autre travaille l'intérieur de mes cuisses, et le troisième fait descendre quelques brins d'herbe le long de ma colonne vertébrale...

     Malheureusement, je ne suis pas seule à m'échauffer : mes trois puceaux, ne souhaitant plus le rester, ont ôtés leurs habits, sans que je m'en rende compte... Trois magnifiques érections me fait maintenant face. Lorsque je rouvre les yeux, je sens le danger de cette situation. Que faire ? Si je leurs dis d'arrêter maintenant, ils sont capables, dans leurs déceptions, de s'attribuer ce qu'ils peuvent légitimement prendre pour leurs dus : moi. Or, même nue et échauffée, je me refuse d'offrir mon orifice reproducteur à quiconque hormis mon mari... Il me reste la possibilité de les sucer à tour de rôle. Mais si je connais théoriquement cette pratique, je ne l'ai jamais réalisée dans les faits. De plus, j'ai peur de devoir avaler tous ce sperme accumulé... Il me restait aussi la possibilité de me retourner et d'offrir ma " voie étroite ", elle aussi pucelle. Je me refuse également à cette éventualité. J'ai alors l'idée de les faire se masturber ensemble, afin que les bourses vides, ils me laissent enfin m'échapper.

     Je prends alors l'initiative et dit : " Maintenant que vous avez caressé une femme, montrez moi ce que vous savez faire sur vos propres queues ". Tout excités, ils ne se le font pas dire deux fois : chacun entoure sa hampe de sa main, et un ballet d'aller retour se met en marche. Le plus âgé (que je trouve aussi le plus mignon : brun avec des yeux verts, musclé mais sans plus...) me dit cependant : " puis-je m'enfoncer en toi une fois uniquement pour voir ce que cela fait, et je continuerais à me masturber après ? ". Je refuse, bien sûr. Mais l'idée fait son chemin dans sa tête. Comprenant encore une fois le danger, je tente de me dégager en refermant mes cuisses, qui involontairement se sont ouvertes à la vue de leurs tiges en érections. Mais mon beau brun s'est subrepticement placé à genou entre mes jambes et je ne peux pas me reculer car un autre est placé à genou aussi entre ma tête et mes épaules. Réalisant la situation, je bredouille des mots inintelligibles. Il en profite pour s'allonger sur moi, présentant son bâton de joie au garde à vous à l'entrée de ma grotte. La situation est presque désespérée (ou espérée ?) mais heureusement pour moi, son inexpérience lui joue un tour : se présentant trop bas, il ne trouve pas mon trou. Et son excitation étant au comble, il ne peut se retenir plus longtemps : il éjacule sur ma moule glabre, et se relevant, un second jet atterri sur mon ventre, suivi d'un troisième sur mon visage et dans mes cheveux. La déception se peint sur son visage, que je trouve très beau. Je le console aussitôt : " Ce n'est pas grave, tu sais. Tu ne m'a pas pénétrée, mais tu m'as éjaculé dessus, et de quelle manière ! Je n'avais jamais vu autant de sperme à la fois. Toutes mes félicitations ! " A ses mots, son visage s'éclaire. Il me remercie de ma gentillesse. Pendant ce temps, ses deux compères continuent leurs va et vient.

     Alors que je pensai qu’ils allaient m’éjaculer dessus, un des deux compères fût plus vif que le premier : il me saisi derrière la nuque et me présente son braquemard devant la bouche. « Suce ma jolie, j’en ai trop envie ! ». L’heure passée à ma faire tripoter par les trois garçons, l’attaque ratée du premier d’entre eux, l’odeur musquée de la pine de celui-ci ont fini par me faire tourner la tête. Sans réfléchir, je prends la verge en bouche et je me mets à pomper avec énergie. Ma première pipe ! Mais je lèche et suce avec application, tout en malaxant les couilles du puceau.

     Tout à mon ouvrage, je ne suis pas consciente que le troisième larron passe derrière mon dos. Complètement partie, je ne réagis toujours pas lorsqu’il saisit mes fesses à pleine mains et se met à les pétrir comme du bon pain. Au contraire, je me cambre d’instinct en écartant les cuisses pour mieux m’offrir. Le saligaud devait avoir vue non seulement sur mon cul, mon anus, mais aussi ma moule !

     Le garçon que je pompe comme une damnée ne peut résister longtemps à ce traitement de choc et finit par me gicler en pleine bouche. J’avale tout le liquide sans dégout, contrairement à mes craintes, bien au contraire !

     C’est ce moment précis que choisit le troisième larron pour placer son gland sur ma pastille et me l’enfoncer d’un coup sec dans l’anus !

     N’ayant rien vue arriver, la surprise est totale ! La douleur fulgurante ! Tout mon corps se crispe. Je pousse un feulement de bête à l’agonie. J’essaye de me dégager, mais les deux complices du garçon me forcent à rester à quatre pattes en me maintenant par les épaules.

     Le troisième puceau, qui ne l’est plus, commence son va et vient de suite en me calottant les fesses à toute volée. « Ah salope, tu la sens passer ! », hurle t-il. Et effectivement, je la sentais passer ! Heureusement qu’il avait la pine la plus longue et la plus fine du groupe ! Mais après la douleur, vint . . . le plaisir ! Et après les hurlements de douleur, succédèrent les cris de jouissances. Cela n’échappa pas aux deux garçons qui me maintenaient au sol. Ils relâchèrent leur emprise afin de se mettre à me tripoter les nichons tout en aidant leur ami à me calotter les fesses. Excité comme un bouc, mon violeur ne tint cependant pas la distance et se vida derechef dans mes intestins. Heureusement d’ailleurs, car cela aurait donné aux deux autres le temps de recharger, et qui sait ce qui serait arrivé ?

     Ils m'aident à me relever et se rhabillent tout en me remerciant, un peu honteux, et s'éloignent. Ils veulent bien sûr renouveler l'opération plus tard, ce qui me fait un peu envie, mais m'effraye tout de même un peu car comment leurs refuser l'entrée de mon sexe maintenant ?

     Mais l'urgent est pour moi de me laver : comment faire pour aller jusqu'aux douches discrètement, ou comment me débarrasser de ce sperme qui me recouvre et me remplit sans attirer l'attention ? Je décide de faire le tour du camping par la lisière du bois pour arriver aux douches par l'arrière. Ce que je fais, soulagée de n'avoir rencontré personne... jusqu'aux douches ! En effet, il est maintenant 10 h du matin, et les douches fonctionnent à plein régime... J'attends donc patiemment que le lieu soit plus calme.

     A un moment, je m'aperçois qu'une cabine est libre. Je prends donc mon courage à deux mains et sort du couvert pour me précipiter vers elle. Mais au moment de fermer le loquet, je comprends pourquoi elle n'intéresse personne : elle ne ferme plus de l'intérieur ! Je devrais ressortir, mais les autres cabines sont toutes prises et après tout, tout le camping m'a déjà vu nue : me cacher ne rime donc à rien. Je me coule donc tout de même sous une douche bienfaisante. Un savon, oublié là, me sert pour me nettoyer soigneusement. Alors que je me frotte énergiquement, la porte s'ouvre brusquement : l'homme " à tout faire " du camping vient avec sa trousse à outil effectuer la réparation ! Tout d'abord, par habitude, il s'excuse et esquisse un mouvement vers la sortie. Mais m'ayant reconnue, il se retourne et me dit bonjour. Puis il ajoute " Je viens réparer le loquet. Comme de toute façon, vous êtes comme ça tout le temps, je ne pense pas que cela vous gêne si je fais le travail pendant votre douche ? ". Puis, sans attendre la réponse, il commence à sortir ses outils et à dévisser la serrure...

     Ne pouvant faire autrement, j'en prends donc mon parti. Mais pendant qu'il s'affaire, il bloque la sortie... Je restais donc sous la douche. Heureusement pour moi, il a rapidement terminé. Il me montre la réparation en faisant fonctionner la serrure après avoir rangé ses outils. De mon côté, j'ai arrêté l'eau et j'attends qu'il me laisse passer. Mais il ne se décide pas à sortir : il ferme le loquet et me fait face en me disant : " Après l'effort, le réconfort ! Approche-toi, ma belle ! ". Encore une fois, les caresses reprennent ! Il ne me reste plus qu'à me laisser faire, ce que je fais non sans répugnance car l'homme n'est absolument pas à mon goût : la soixantaine, un peu sale, avec des dents noires et une haleine horrible !

     Tout d'abord, il m'empoigne la poitrine et martyrise mes seins en me disant " tu aime ça, hein ? ". Je préfère ne pas répondre. Cependant, je lâche plusieurs fois des petits cris de douleurs, qui manifestement le réjouissent. Puis il met sa main sur mon sexe et me malaxe à nouveau. Lorsqu'il a repéré mes grande lèvres, il les pince jusqu'à que je crie, puis relâche et recommence une bonne dizaine de fois, cependant que de son autre main, il balade son index autour de ma rondelle. Je ne sais pas quoi faire : d'un côté, il est de mon devoir de remplir mes engagements, mais d'un autre côté, jamais je n'ai subi pareil outrage et j'aurais donné une grosse somme pour qu'il s'arrête. Je tente tout de même de la calmer par quelques paroles " Doucement, vous n'êtes pas obligé de me faire mal ! " Dit dans un sourire, cette phrase fait un peu d'effet, puisqu'il relâche son pincement. Mais ces " caresses " se font de plus en plus précises : l'index de sa main gauche commence à tester l'élasticité de mon anus cependant que les pincements de mes lèvres deviennent moins longues, mais plus régulières. Résultat : des picotements de début de plaisir commencent à monter malgré la répugnance que l'homme m'inspire. Bien sûr, il s'en rend compte, et commence avec ses mains à donner à mon bassin un mouvement de va et vient lent et suggestif au rythme de ses singulières caresses. Au bout d'une dizaine de minutes de ce traitement, mon sexe n'est plus douloureux et coule doucement de mon liquide intime. De mes yeux mi-clos, je vois le va et vient de ma poitrine vers celle de l'homme. A chaque fois, mes tétons frappent le tissu de sa chemise et s'érigent encore davantage. Les jambes écartées pour goûter encore plus aux caresses, je m'offre sans retenue.

     Soudain, son index gauche force mon anneau. Après le travail préparatoire réalisé depuis plusieurs minutes et la toute récente pénétration, l'introduction est aisée, et son doigt me pénètre les fesses jusqu'à la garde en une seule poussée. Un sanglot de joie me fait tressaillir. Côté pile, les choses évoluent aussi : son index de la main droite est également à la porte de ma vulve...et finit par y entrer gaillardement. Le vicelard me pistonne alors avec les deux doigts. Révulsée de honte et de rage, je ne peux cependant pas résister au plaisir et je me cambre pour mieux m’offrir. Mon anus palpite. J’ai trop envie de me faire reprendre par cet orifice ! Dans un état second, je ne peux me retenir de lancer : « mettez-moi la pine dans le cul ! ».

     Le vieux pervers ne se fait pas prier. En un tour de main sa verge se retrouve à l’air, gland posé sur mon trou de balle et il se met à me l’enfoncer dans les intestins. J’en ai le souffle coupé. J’ai l’impression que mon cul va se déchirer en deux. La verge du vieux était visiblement bien plus noueuse que celle du petit jeune. Mais elle entre n définitive jusqu’à la arde ! J’en ai le souffle coupé et ne peux même pas crier. Il se met alors à me ramoner avec force, claquant ses cuisses contre les miennes tout en me calottant les fesses. Décidément, cela doit être un réflexe Pavlovien chez les hommes de calotter les fesses de la fille qu’il encule ! Subliminalement encore consciente que je suis dans les toilettes du camping, je me retiens de crier. Le vieux pervers finit enfin par me remplir les intestins de son foutre. Heureusement, car mon corps tremble de partout. Une minute de plus et je tournai de l’œil.

     Restant à quatre pattes, je reprends mon souffle peu à peu. Et c’est alors que j’émerge que je me rends compte qu’une foule d’estivants, hommes et femmes,  s’est agglutiné autour du cabinet et me reluquait sans vergogne. Il faut dire que le spectacle que j’offrais était positivement obscène : mamelles pendantes, vulve béante et dégoulinante, cul dégorgeant de foutre.

     Encore flageolante, je me relève. J’entends les commentaires grossiers : « la pute . . . c’est une chienne en chaleur . . . elle aime ça . . . elle en veut encore . . . il n’y a que les pingouins qui ne lui sont pas passé dessus . . . ».

     J’éclate en sanglots et me mets à courir à en perdre haleine. Je fuis donc sous les quolibets.

     Arrivé à la tente, je constate que  Jean n'y est plus. Cela me permet de sauver la face.  Il m'a laissé un mot : " je suis à la plage ". Il ne me reste plus qu’à me nettoyer, me refaire une beauté et à le rejoindre...

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 4 janvier 3 04 /01 /Jan 20:33

Bonjour Chers lecteurs et lectrices.

 

Je ne peux pas m'attarder, car "mon Jean" a l'intention de me rendre les honneurs et je me suis déjà mise en position.

 

Je sais que vous êtes impatients de connaître la suite de mes aventures.

 

Le 3eme chapitre sera donc publié demain!

 

Lilly15.jpg

 

Bisous.

 

Coralie

 

Votre Miss Camping préférée.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fesses Book - Communauté : Soumissions féminines
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