Autoritaire, belle, sculpturale, hautaine , dominatrice . . . L'actrice porno Tera Patrick serait parfaite pour incarner la très sévère Directrice de La punition de Sarah, non?
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Autoritaire, belle, sculpturale, hautaine , dominatrice . . . L'actrice porno Tera Patrick serait parfaite pour incarner la très sévère Directrice de La punition de Sarah, non?
Chapitre 1 : Dans le bureau de la Directrice
Une de mes expériences les plus mémorables en matière de punition fût celle que j’ai administré à Sarah McCluskey, qui à l'époque était une étudiante fraîchement transférée d'un autre
établissement. Une école religieuse catholique réputée pour sa discipline et ses principes éducatifs particulièrement rigides.
Sarah était un véritable petit « bonbon », une fille sans prétention, bon élève et sans aucun problème de comportement. Elle eu simplement la malchance de ne pas être au courant de certaine règles de l'école, certes assez nombreuses, rigoureuses, et à vrai dire complexifiées à loisir, et peut-être plus important, de ne pas avoir répondu favorablement aux avances pressantes d'un de nos jeunes instructeurs de sexe masculin troublé par ses charmes.
Ma philosophie en matière d'éducation des jeunes filles est simple: une jeune fille fera toujours son bénéfice d'un peu de discipline, même si elle n'a pas commise de faute particulière. Je dirai
même, surtout si elle n’a pas commise de faute particulière ! Après tout, toutes les filles sont fautives à un moment ou l'autre, en acte ou en pensée. Et il serait injuste de ne punir que
celles qui se font prendre! Sarah devait donc être punie pour les fautes dont elle était accusée, mais aussi pour celles qui n’avaient pas été découvertes! En plus, je soutiens que toute élève
punie doit subir sa punition sans réserves, en faisant preuve de la plus absolue obéissance. Cette soumission est la manifestation que l’élève a intériorisé la nécessité de la punition. Quelle la
considère comme juste ou non. Cette totale soumission est évidemment d’autant plus importante lorsque l’élève n’a pas véritablement commis de faute !
Au début de chaque année, les filles de notre école reçoivent chacune un exemplaire des règles de l'établissement. C'est une liste assez longue, et les jeunes filles apprennent vite qu'il est
dans leur propre intérêt à l'étudier de très près. Même alors, il est impossible d'éviter de contrevenir un jour ou l'autre au règlement intérieur. Les filles transférées en cours d'année
reçoivent une copie du document. L'instructeur chargé du suivi de leur classe doit veiller à leur en transmettre une. Pour le malheur de Sarah, l'instructeur en question était celui que j'ai
mentionné plus haut, et pour se venger, il ne transmit pas l'exemplaire du règlement.
Le résultat fut que, après deux semaines, Sarah réussit à amasser une véritable collection de contraventions aux règles de l'institution. Pourquoi les choses ont-elles ainsi dérivées pendant deux
semaines? Je dois supposer que notre instructeur aux pulsions bafouées voulait que sa vengeance soit particulièrement cuisante. Je n’allai pas le décevoir : elle allait l'être!
En tout cas, lorsque notre malheureuse Sarah entra dans mon bureau pour honorer son rendez-vous, j'avais devant moi l'un des pires dossiers de que j'avais vu dans ma carrière. Je l'examinai
quelques instants seulement avant son arrivée et je savais que ce serait un vrai défi de s'assurer que la jeune Sarah soit vraiment punie avec toute la rigueur qu’elle méritait tout en l’amenant
à accepter cette punition comme nécessaire.
Mon excitation redoubla quand la coupable est entrée dans mon bureau sur mon ordre. La jeune fille était vraiment l'incarnation de la beauté et de l'innocence. D’origine irlandaise par sa mère,
c’était une vraie rousse à la peau blanche couverte de taches de rousseur sur tout le corps. Cependant ses traits étaient d'une délicatesse que j'ai rarement trouvée chez les filles aux cheveux
roux. Ses yeux étaient d'un bleu profond, ses lèvres étaient rouges et pleines. Elle avait des manières agréablement humbles et elle avait un air plus innocent et réservé que ce à quoi l'on
s'attendait de la part d'une jeune fille de 17 ans.
Son uniforme scolaire réglementaire moulait sa taille au plus près. La veste tombait de chaque côté des seins que l'on devinait somptueux et qui poussaient contre le tissu blanc, bien repassé, de
la chemise. La cravate rouge rayée passait entre les deux globes de chairs, soulignant encore leur volume. Sa jupe plissée lui tombait à mi cuisses et dévoilait ainsi de grandes jambes
superbement galbées.
Sarah venait clairement de pleurer. Ses yeux étaient rouges et il y avait des traces de ses larmes sur ses belles joues. Elle faisait de son mieux pour réprimer les larmes résiduelles, mais ne
pouvait s'empêcher de sangloter.
Elle entra, ferma la porte, puis hésita, ne sachant que faire. Elle était visiblement impressionnée par la solennité de l’accueil. Il faut dire qu’assise derrière mon bureau, habillée comme d’habitude de façon assez stricte avec une jupe marron qui me tombait à mi-cuisses et d’une veste assortie et d’une chemise blanche, j’impressionnai facilement. Ma peau mate, mes cheveux noirs rehaussés d’un chignon, mes lunettes fines, n’aidaient pas à me rendre plus affable. Du haut de mes 40 ans, j’étais pourtant encore assez belle.
«Viens ici, ma jolie », dis-je d'une voix aussi amicale que possible.
« Prends un siège », ajoutais-je en indiquant une chaise devant mon bureau.
Elle semblait reconnaissante envers moi. Elle a rapidement glissé vers l'avant et assis son postérieur sur le bord de la chaise. Il était évident que la pauvre fille avait besoin de réconfort en
ce moment de crise. Peut-être qu'elle espérait que je sois de quelque façon cette source de réconfort,
même si elle n'avait vraiment pas d'autre raison de le penser hormis le fait que je lui parlais d'une manière conviviale.
«Sarah McCluskey?"
«Oui Madame."
« Madame la Directrice, je te prie », ai-je de suite corrigé.
«Sais-tu pourquoi tu es ici?"
«Oh, oui . . . Madame la Directrice, mais, vous voyez . . . je ne connaissais pas toutes ces règles. Vous voyez, on ne m'a pas donné le règlement et ... "
«Bien sûr, je comprends, mais les règles sont les règles, et elle doivent être respectées. Nul n’est censé ignorer la loi ! Il n'y a aucune échappatoire possible. N’es-tu pas d'accord? "
«Oh, oui Madame la Directrice, mais je ne les connaissais pas! Je n'aurai jamais volontairement violé les règles de l'école!"
«Eh bien, je l'espère. Cela aggraverait encore ta situation ! Hmmm ... oui, c'est une situation bien malheureuse. Je rappellerai à l’ordre l’instructeur concerné. Mais tu vois, mes mains
sont liées, pour ainsi dire. Je ne peux pas juger de la question qui m'est envoyée. C’est ton instructeur qu’il fallait essayer de persuader de ne pas transmettre ton dossier . . . ». Il n’y
avait pas de formulation plus claire pour lui faire comprendre que la prochaine fois elle devait accepter de passer à la casserole . . . ce qui ne la dispenserait pas de punition, mais cela il
était inutile de le préciser pour l’instant !
« Je ne peux que remplir mes fonctions », repris-je. « Cependant, permet-moi de te donner un conseil. Je te conseille de m'obéir instantanément et complètement, sans hésiter, peu importe ce que je pourrais te dire de faire. Sinon, tu ne feras qu'aggraver la punition. Comprends-tu? "
Dès que j'eu prononcé les mots ci-dessus d'une voix maternelle, la pauvre Sarah fut déchirée entre la terreur et les conséquences sinistres de ce que je disais et l'espoir, contre toute
espérance, qu'elle pouvait me pousser vers la clémence. Elle fit un signe de tête affirmatif avec empressement.
"Bien. Maintenant, as-tu déjà reçu des punitions corporelles?"
Son teint déjà naturellement pâle devint plus blanc encore: "Non, Madame la Directrice." dit-elle doucement.
Son institution religieuse ne pratiquait en effet que les punitions morales ! Les institutions religieuses ne sont plus ce qu’elles étaient.
«Et les autres filles t-ont donné une idée de ce à quoi tu peut-attendre? »
"Non, Madame la Directrice, sauf que certaines ont ri et m'ont dit que je serais une fille beaucoup, beaucoup plus sage après."
Elle a réussi à émettre un faible sourire. C'était un charmant sourire.
«Et bien Sarah, tout cela est regrettable, car tu as violé un grand nombre de règles de cet établissement. J'ai le regret de t-informer que la punition sera assez sévère. "
Sarah reprit son souffle: «Oh! Oh, s'il vous plaît, non, Madame la Directrice!"
La Punition de Sarah est à l'origine un texte anglais de "Max Smart" publié sur BDSM Library. L'auteur est un grand amateur de corrections sévères, et même très sévères: âmes sensibles s'abstenir!. Dans le genre, je n'ai jamais trouvé mieux.
Comme pour L'humiliation de Jane, je ne me suis pas contenté de traduire, mais j'ai adapté le texte. Le Directeur est devenu une Directrice. J'ai "ajusté" de ci, de là, afin de permettre une suite de ma main. Je dis bien de ma main, car le texte se lit, se traduit, et s'écrit véritablement d'une seule main!
Vous trouverez le texte d'origine à l'adresse suivante:
http://www.bdsmlibrary.com/stories/story.php?storyid=1869
Bonne lecture
Jane voulait devenir « quelqu'un ». Agée de 24 ans, elle était déterminée à réussir ses études de droit et à devenir avocate d'entreprise. Rien d'autre ne comptait pour elle. Les autres personnes n'étaient que des pions et des marionnettes qui n'existaient que pour l'aider à atteindre son but. Sa très grande beauté même n'était qu'un simple outil qu'elle utilisait pour obtenir, surtout des hommes, des avantages dans sa progression. Et belle, elle l'était: grande, blonde, la peau blanche, les yeux verts et la poitrine opulente, les fesses charnues, les cuisses pleines, elle faisait tourner toutes les têtes!
Malheureusement pour Jane, le destin était en train de tourner.
Jane était comme un démon pour le personnel de la bibliothèque de l'école. Elle faisait des demandes impossibles que le personnel de la bibliothèque avait le plus grand mal à satisfaire, et en
retour traitait ses interlocuteurs avec le plus grand mépris. Après six mois de ce traitement, le personnel était prêt à riposter par la vengeance.
«Où sont les livres que j'ai demandé?, s'écria Jane, "Comment vais-je passer mon examen si je n'ai pas mes livres? "
Le jeune homme qui faisait l'objet de son attaque, Tom, resta calme et serein.
«J'ai mis vos livres de côté Melle, dans une cabine spéciale," déclara t-il. «Je ne voulai pas que quelqu'un d'autre mette la main sur vos livres. Venez avec moi, et je vais vous montrer où ils
sont. "
Tom conduisit Jane dans une petite pièce à l'arrière de la bibliothèque. Sur le bureau étaient posés le livres qu'elle avait demandé.
"Je pense que vous verrez que c'est un endroit beaucoup plus propice à l'étude », dit Tom, "Vous n'aurez pas beaucoup de distractions ici."
"Je ne sais pas pourquoi vous n'avez pas juste dit que les livres étaient ici !, dit Jane, "Maintenant fichez le camp d'ici! Comment voulez-vous que je puisse étudier dans le calme? "
"Désolé Melle », dit Tom en fermant la porte.
Tom quitta la pièce et alla dans la buanderie adjacente. À partir de celle-ci, il pouvait voir Jane par l'évent. Il sortit un petit flacon de sa chemise, puis sortit d'une cache un masque à
oxygène. Il brisa la bouteille sur le côté du mur, à côté de l'évent. Au contact de l'air, le contenu de la bouteille se transforma en fumée qui s'infiltra à travers l'évent dans le pièce où Jane
étudiait.
"Qu'est-ce qui se passe?", déclara Jane lorsqu'elle remarqua la fumée qui traversait l'évent . . . juste avant de s'évanouir !
Jane se réveilla quelques heures plus tard. Lorsqu'elle leva les yeux, elle vit Tom.
« Vous semblez vous être assoupie . . . la bibliothèque est fermée depuis plus d'une heure », dit Tom.
«Assoupie?", a déclaré Jane, «Il y avait une sorte de fumée ici, je . . . vais poursuivre tout le personnel de la bibliothèque pour ça! "
«Je ne pense pas que vous allez me poursuivre, ou qui que ce soit d'autre d'ailleurs Jane », dit Tom. "Ce n'était pas de la fumée ordinaire. C'était un puissant médicament qui a neutralisé
cette partie de votre cerveau que vous pourriez appeler votre «Libre arbitre». A partir de maintenant, vous serez à la merci de n'importe qui et de tout le monde !. Vous ferez tout ce que
l'on vous demandera de faire, . . .quoique cela soit!"
«Qu'est-ce que vous racontez? », demanda Jane. Je me sens un peu groggy, mais je suis en pleine possession de mes capacités. Je vais de vous signaler à la bibliothécaire en chef. "
"Je vois que je vais devoir démontrer les effets complets de cette drogue », dit Tom. "Debout!"
Bien qu'elle n'ait pas voulu suivre les ordres de Tom, Jane se leva.
«J'étais sur le point de me lever et de partir de toute façon, dit Jane, en essayant de cacher le fait qu'elle ne pouvait pas résister à la demande de Tom.
"Oh, vous partirez bientôt d'ici," dit Tom, "mais probablement pas de la façon que vous prévoyez. Déshabillez-vous, Jane. "
«Quoi! Vous êtes fou!", déclara Jane.
Mais, tout en parlant, elle commença à déboutonner son chemisier.
"Si vous pensez que je vais croire à votre histoire, vous êtes ravagé! ", déclara Jane, en enlevant son chemisier et en laissant tomber sa jupe à ses pieds.
«Vous voulez me faire croire que je n'ai plus le contrôle de moi-même? Quelle rigolade! ", déclara Jane tout en défaisant son soutien-gorge et en mettant ainsi ses lourds seins blancs à l'air,
exposant à la vue de Tom ses larges aréoles roses et ses grosses tétines qui pointaient facilement.
«Il y a autant de chances de me voir enlever mes vêtements que je folâtre nue à travers le campus », déclara t-elle en faisant glisser sa culotte et en mettant à nu sa chatte aux poils blonds
épars qui masquaient difficilement ses grosses lèvres roses.
«Je suppose que votre esprit ne sait pas pas encore ce que votre corps a fait », dit Tom le sourire aux lèvres. "Belle paire de miches que vous avez là Jane !».
«Comment diable pouvez-vous savoir? », dit Jane.
À ce moment, Jane baissa les yeux avec horreur et découvrit sa nudité.
"Oh mon Dieu, qu'avez vous fait?!", déclara Jane alors qu'elle tentait de se couvrir les seins et la chatte.
"Moi, je n'ai rien fait", a déclaré Tom. "Vous avez enlevé vos vêtements toute seule . . . de votre plein grès !. Placez vos bras à vos côtés et arrêtez d'essayer de vous couvrir comme ça.
En fait, pourquoi ne pas faire un demi-tour pour moi et ainsi me permettre de mieux admirer votre cul?. "
"Salaud!", à lancé Jane tout en tournant lentement pour donner à Tom une meilleure vue de son corps. «Pourquoi fais-je cela?"
"Vous me semblez un peu plus ouverte aux suggestions que d'habitude », dit en riant Tom. "Allez, retournons dans la partie principale de la bibliothèque, il y a des personnes qui attendent
de vous voir. "
«Que voulez-vous dire pervers?», a déclaré Jane, tout en ne pouvant s'empêcher de suivre Tom dans la section principale de la bibliothèque, où environ 10 personnes étaient assises attendant son
arrivée. Quand Jane arriva, elle fut accueillie par les huées, hurlements et sifflements.
«Ça marche!", à déclaré Sam, un autre membre du personnel de la bibliothèque, je ne peux pas croire que ce truc a vraiment fonctionné! "
«Vous êtes morts!", a crié Jane. "Attendez que la bibliothécaire en chef découvre cela! "
"Mais je le sais déjà, ma chère, dit Sarah, la bibliothécaire en chef de l'école. «J'ai subi vos accès de colère trop longtemps. Un de mes amis tente de mettre au point un médicament qui aidera
les gens à profiter davantage de la psychothérapie. Le seul problème avec ce médicament est qu'il semble avoir un effet secondaire permanent si de fortes doses sont administrées. Si la posologie
est assez forte, le médicament détruit la partie du cerveau qui contrôle le libre arbitre. Tout le reste de la personnalité reste identique mais elle devient très sensibles à faire tout ce qu'on
demande d'elle. Si mon ami a vu juste, vous êtes maintenant à la merci de tout le monde et n'importe qui peut vous demande de faire ce que bon lui semble . . . Testons de suite! Pourquoi ne pas
nous donner un petit spectacle ?. Je veux que vous vous branliez devant nous !"
«C'est tout un tas de bêtises!", à déclaré Jane, alors que sa main s'égarait vers son pubis. "Vous ne pouvez pas faire ce genre de chose!"
« Pourquoi ne pas vous allonger sur la table . . . en écartant bien les jambes afin que chacun puisse regarder comme vous vous secouez le clito? "
«Mon Dieu, ceci est trop humiliant", sanglotait Jane. "S'il vous plaît me faites pas faire cela devant tous ces gens. "
Jane se mit à frotter son clitoris de plus en plus vite avec une main, et à presser ses seins avec son autre main.
«Non, non .. je m'arrête, je vais jouir! S'il vous plaît, s'il vous plaît . . . pas plus", a déclaré
Jane alors que son corps a commencé à entrer dans les convulsions de son orgasme. «Salauds! Je vous ferez regrettez ces horreurs au centuple!"
«Comme vous regrettez d'avoir traité tout le monde ici comme de la merde? », demanda Sarah.
"Très bien, vous pouvez arrêter maintenant, j'ai d'autres choses que je veux essayer de toute façon. "
"D'autres choses?!, s'écria Jane," Non, s'il vous plaît, je suis désolé je vais être plus agréable à l'avenir. "
"Un peu tard pour cela Jane !», dit Sarah. "Il n'y a pas d'antidote à la drogue que vous avez ingérée. Je crains que nous ne pouvions pas changer ce que vous êtes devenue, même si nous le
voulions. . . Mais heureusement, personne ici ne le veux ! Quelqu'un d'autre veut suggérer quelque chose à l'esprit de Jane? "
"J'ai une idée", a déclaré Sam. "Je pense que vous avez besoin d'un changement de régime. . .
A partir de maintenant, vous serez accros au sperme. . . On dit que le meilleur moment pour commencer un nouveau régime est de suite. Pourquoi ne pas goûter à ma bite, Jane? ».
Les larmes se précipitant sur son visage, Jane s'approcha de Sam,défit sa fermeture éclair et sortit sa queue. Elle le prit dans sa bouche et commença à le sucer.
"Prends ton temps, et attention à tes dents! », dit Sam. "Dans le cas contraire, nous allons faire de toi une prostituée! »
"S'il vous plaît, s'il vous plaît, giclez dans ma bouche, . . . j'ai besoin d'avoir votre sperme », dit Jane conformément à la suggestion de Sam.
"OK, Jane, ça vient », dit Sam, en éjaculant dans sa bouche. Puis, elle se précipita pour lécher une tache de sperme qui avait raté sa bouche et a atterri sur le plancher de la
bibliothèque.
«Ca a bon goût, hein? », dit en riant Sam:« Eh bien, si vous êtes gentille avec moi, vous
pourrez venir à moi pour une dose à n'importe quel moment. "
«Eh bien jeune fille, je pense que nous avons suffisamment de plaisir pour cette nuit», dit Sarah, "Mais avant de vous quitter, je veux vous donner un présent que j'ai fait pour vous. A partir de
maintenant, vous le porterez tous les jours. "
Elle rit en tendant un T-shirt rose flashy qui avait, «Vos désirs sont des . . . ordres "écrit sur le devant.
"Mettez votre nouveau T-shirt et votre jupe et rentrez chez vous", a déclaré Sarah. « J'espère pour vous que vous vous habituerez à votre nouveau style de vie bientôt ! "
"J'ai dit que votre t-shirt et une jupe!", à déclaré Sarah, avant que Jane ne commence à enfiler sa culotte. "Laissez vos sous-vêtements ici . . . vous n'en aurez plus besoin
maintenant !."
« Je vais tous vous dénoncez ", a déclaré Jane," Et... je me vengerai de vous tous. "
"Nous verrons, ma chère, . . . nous verrons, dit en riant Sarah.
L'humiliation de Jane est le 1er récit érotique en anglais que j'ai adapté en français. Plus qu'un récit, c'est d'ailleurs une série de récits qui se suivent écrits par des personnes différentes. Je parle d'adaptation, car je ne l'ai pas simplement traduit, mais aussi retravaillé, certains thèmes étant à mon goût, mais d'autres non.
Vous trouverez les récits originaux à l'adresse suivante:
http://www1.asstr.org/~mcstories/HumiliationOfJane/index.html
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|