Mercredi 4 janvier 3 04 /01 /Jan 20:24

Chapitre 2 : Veste et chemise tombent au sol


C'est avec un sourire sur les lèvres que je me tournai vers les portes de l'armoire murale derrière
moi. Lorsque  les portes se sont ouvertes, les yeux innocents de Sarah s'écarquillèrent à la vue d'un tableau impressionnant de cannes, de sangles, de pagaies et de fouets.


«Es-tu familière avec ces objets, Sarah? », ai-je demandé à la pauvre adolescente, qui recommença à sangloter de plus belle.


"N-non, Madame la Directrice . . . je crois que je sais à . . . à quoi servent certains d'entre eux. Mais, vous . . . ne peut pas ... pas ... "


Je me taisais, et Sarah a trouvé le courage de me poser une question qui faisait souffrir son jeune esprit.


«Madame la Directrice, . . . je  . . . demande . . . quelle partie du corps allez-vous punir?"


Avec un rire facile, j'ai répondu: "Plusieurs parties sont possibles, ma chérie, mais la plupart du temps, c'est la partie sur laquelle tu t-assois! »


Rougissant, elle a lancé: «Ohhhh non! Oh, non! Oh, je ne peux pas Madame la Directrice . . .  vous ne pouvez pas! Je veux dire . . .  Je suis catholique. Fervente catholique. Pratiquante. Vous ne pouvez pas me frapper sur les parties intimes de mon corps. Je suis désolée, mais ce n'est pas possible! Ce serait un péché de le permettre. Il suffira d'appliquer une autre punition. Ou, ou, je vais devoir quitter l'école. Je suis désolée, Madame la Directrice! Je vais appeler mes parents maintenant! "


Et l'impétueuse se leva et courut à la porte. Bien sûr, je l'avais verrouillée de mon bureau.


"Laissez-moi sortir! Vous ne pouvez pas me retenir! Mon père va vous poursuivre en justice!"


J'ai été subjugué par la façon dont elle avait l'air belle avec ses longs cheveux roux légèrement en bataille et le désarroi qui marquait son visage.

 

"Sarah", lui dis-je  froidement: «reviens t'asseoir. Maintenant".


La plupart des filles obéissent quand j'utilise ce ton de voix et Sarah n'a pas fait exception. Quand
en grande détresse, la jeune fille fut nouveau assise, je lui ai donné une lettre. Elle était de
son père et était adressée au directeur de l'école. Son contenu a été le coup de grâce de la pauvre fille, et je la regardais, amusée, lire les paroles de son père, la condamnant à la honte, l'humiliation et la douleur. Dans la lettre, le père de Sarah accordait explicitement à l'école le droit d'utiliser  « tous les moyens de discipline les plus stricts, y compris corporels », que je jugeai nécessaire. Le document était obligatoire pour toute inscription.


Elle fut étourdie pendant quelques instants. Puis, fondant en larmes, la jeune fille tomba à genoux devant le bureau et me supplia: "Oh, Madame la Directrice, s'il vous plaît ne le faites pas pour moi. Punissez moi de quelque autre manière - pas sur mon . . . oh, je ne peux pas . . . »


"Retourne t-assoir ma fille!"


Elle obéit, en continuant de pleurer amèrement.


«Maintenant, rappelle-toi ce que j'ai dit au sujet de m'obéir instantanément et complètement, et dis- moi exactement quelle partie de ton corps as-tu le plus peur de me voir punir. Répons, maintenant! "


Intimidée, la pauvre répondit: "On ... sur mon ... mon postérieur, Madame la Directrice. Pas là,  s'il vous plaît! Je ne peux pas permettre cela ».


En riant, je lui répondis: «Ma fille, ma fille, ton postérieur va être puni, exceptionnellement punis même, et tu n’as  rien à dire sur la question. Est-ce clair ? . . . Bien. Maintenant, tu as ton  mot à dire sur le fait de savoir si oui ou non tu va être passible de sanctions supplémentaires. Ce n'est tout simplement qu'en étant instantanément et totalement obéissante que tu pourras échapper à des aggravations de tes punitions, déjà particulièrement lourdes ! »


Bouleversée par les sanglots, Sarah a réussi à parler: «Oui, Madame la Directrice ... Oh, s'il vous plaît, ayez pitié de moi! "

 

« Allons Sarah, ma pitié t’est toute acquise ! Et dans la limite ou mon devoir pourra être remplis, tu pourras bien entendu compter sur ma clémence! »


Ensuite, après une lutte intense, apparemment, Sarah réussit à reprendre la parole.

 

« Mme Marks, je ne pourrai jamais vous laisser volontairement me punir et donc voir cette partie de mon corps . . . ma pudeur catholique le défend. Le seul moyen qui permettra d'y arriver, c'est par la force. Je vais vous résister, Madame la Directrice. Ainsi, mon honneur sera sauf."


J'ai été très impressionné. Il y avait là une jeune fille digne d'un défi! Vous vous demandez si
j'allai céder aux demandes courageuses de Sarah ? Bien sûr que non! J'étais  encore plus déterminée à ce que Sarah subisse sa punition dans la plus grande humiliation et inconfort possible. Sa «pudeur catholique» allait recevoir un choc!


Après quelques secondes, j'ai répondu calmement: «Sarah, tu as le choix entre te soumettre volontairement ou involontairement. Ce que tu n’as pas, c'est la  capacité à échapper au châtiment mérité qui t-attends. Si tu choisis de résister ... libre à toi. Mais tu devras en payer le prix. Mais si cela te permets d’avoir la conscience tranquille vis-à-vis de ta religion . . . Eh bien, permets-moi de proposer quelques possibilités hypothétiques. Disons que je t-ordonne de te pencher sur mon
bureau pour que je puisse te donner une bonne dose de coups de sangle sur ta jupe. Souhaites-tu obéir? » 


Sarah rougit, mais ses yeux brillaient de colère: «Non Madame la Directrice, je ne peux pas, mon code moral l'interdit! "


«C'est bien. Maintenant, disons que si tu résiste tu sera forcée de prendre cette position, soit par moi ou, si nécessaire, avec l'aide de l'un ou les deux de mes jeunes assistants masculins et que tu devra ensuite recevoir ta correction les fesses à l’air, devant ces jeunes hommes. Je pense que ce serait un outrage moral beaucoup plus grand pour ta pudeur, n'est-ce pas? Dis-moi, que ferais-tu dans cette situation? "


Sarah était abasourdie. Apparemment, elle n'avait même jamais envisagé l'idée que ses fesses pourraient être corrigées à nu.


" Madame la Directrice, vous ne pouvez pas me faire peur avec ces menaces. Je sais que cette école ne permettrait jamais une indécence aussi diabolique, et vous êtes une femme horrible à simplement penser ce genre de choses! "


"Je vois. Je pense qu'il est temps de te démontrer que je suis bluffe pas."


J'ai poussé un bouton sur mon bureau et tout de suite derrière moi une porte s'est ouverte. Entrèrent
deux beaux adolescents  bien bâtis. Sarah en eu le souffle coupé! Elle semblait presque prête à s'évanouir. Tout ce qu'elle pouvait faire était de regarder avec incrédulité ces deux garçons, qui avec empressement avaient déjà évalués les charmes féminins opulents de Sarah et devinés qu’ils allaient vivre de bien agréables moments.


J'ai dit: «Sarah, s'il te plaît, salue Sam et Ken. Ce sont mes assistants à temps partiel de l'école de garçons de l'autre côté de la route. Ils travaillent pour moi depuis plus d'un an, maintenant, et ils ont beaucoup d'expérience dans l'aide à m'apporter pour m'aider à convaincre les jeunes filles réticentes que toute résistance est futile. Inutile de dire que ces garçons aiment tout particulièrement leur  emploi et seront très heureux de t-enlever jupe et culotte et de t-attacher si nécessaire afin que je te corrige comme tu le mérite! . . . Evidemment dans une telle situation, je ne peux garantir qu’en empêchant de te débattre leurs mains ne s’égarent par mégarde sur des parties plus intimes de ton corps !» "


Je me suis arrêté quelques secondes pour permettre à Sarah de mieux apprécier sa situation.


J'ai continué: «Maintenant, Sarah. Une dernière fois. Veux-tu me promettre de te conformer à
tout ce que je te commande et accepter ta sévère, très sévère, mais méritée, punition, ou Ken et Sam auront toute licence pour te mettre . . . en condition?


Sarah a été incapable de répondre au premier abord. Elle me  jeta un regard éperdu et, quand elle a vu que je ne répondais pas, elle regarda à nouveau les jeunes garçons.


"Non, je ne peux pas! Je ne peux pas, je ne peux pas vous laisser faire n'importe quoi de moi, c'est indécent! ", finit-elle par dire.


« Eh bien, comme tu le souhaite. . . Ken, Sam, enlevez sa veste et sa chemise».


Avant que Sarah puisse faire quoique ce soit, les deux jeunes gens furent sur elle. Ils la saisirent tous les deux fermement. Très vite, la veste de la jeune fille, puis sa cravate et sa chemise se retrouvèrent au sol, en dépit d'une lutte furieuse et passionnée et moult cris au secours.

 

Tout ce que Sarah pu  faire était de tenir ses bras et ses mains devant ses seins dans une tentative futile pour protéger sa pudeur.


Avant qu'elle ait fait cela, j'eu le temps d'en avoir  plein la vue. Sarah ne portait pas le soutien-gorge réglementaire de l'école que j’avais personnellement crée. A dire vrai, c’était plus un ensemble de lacets et de froufrous, qui laissait notamment libre aux regards les mamelons et les tétons, qu'un soutien-gorge d'adolescente!


Non, Sarah portait l'un de ses soutien-gorge totalement enveloppant, protégeant totalement ses seins et qui étaient tombé en désuétude avec l'avènement des années soixante. Et quel travail elle devait avoir à envelopper ses seins : ils semblaient être vraiment prodigieux!


Pleurant à chaudes larmes, la jeune fille se tourna vers moi démoralisée.

 

« Je suis désolé, Madame la Directrice! S'il vous plaît, s'il vous plaît laissez-moi récupérer mes affaires. Je ... Je ... vais faire ce que vous demandez! Je vais être obéissante! Je ne peux pas être vue comme ça! Surtout pas des garçons. Oh, faites les  sortir, s'il vous plaît! "

 

Sarah ne pouvait visiblement pas passer à côté des regards de convoitise  de ses deux nouveaux  jeunes « amis ».


« Oui, bien », me disais-je, « nous allons voir ».

 

« Ken, Sam, vous pouvez allez maintenant, mais prenez votre butin avec vous."


De toute évidence déçus, mes deux assistants sont repartis, mais Sarah fut loin d'être soulagée en constatant qu'ils prenaient ses vêtements avec eux.


«Nooon! Oh, non! Cria t-elle, incapable de penser quoi faire d'autre en voyant ses vêtements partir.


«Maintenant, Sarah, tu  crois toujours que je  bluffe? » J'ai souri en lorgnant sans vergogne ses seins qui me rappelaient les cônes de deux missiles pintant mon nez. Ma vulve commençait à fondre de plaisir !


Fixant le sol, la jeune fille choquée dit: «Non, Madame la Directrice. S'il vous plaît, pourrais-je me rhabiller si je vous promets de vous obéir? "


«Je suis désolé, ma fille, mais il est trop tard pour cela. D’autant plus qu’il faut ajouter à la liste te tes infractions le non respect du port du soutien-gorge réglementaire ! Et si tu n'aime pas montrer tes seins, souviens-toi simplement que tu n'as que toi à blâmer et à examiner comment tu pourrais éviter de nouveaux embarras. "

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 21:11

Chers lecteurs, chères lectrice.

 

Mon récit narrant la punition de Melle Sarah Mc Cluskey vous a particulièrement intéressé.

 

J'ai donc le plaisir de vous annoncer la suite de cette édifiante punition pour demain.

 

Lisez avec attention et n'hésitez pas à mettre en pratique sur les jeunes filles, jeunes femmes, et femmes récalcitrantes qui ne demandent que cela!

 

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Madame Marks

Directrice.

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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 21:09

Chapitre 1: Cynthia en péril.

- "Par l'enfer, je me suis bien fait piéger!....." cracha Cynthia en claquant le téléphone sur son support.

On était au lendemain de "Thanksgiving" et le docteur James avait décidé, à la dernière minute de s'accorder un congé.

Il aurait pu le décider quelques semaines plus tôt, mais n'en avait rien fait, il n'y avait donc personne de programmé pour assurer la permanence.

C'est pour cette raison que Cynthia était au bureau le lendemain de "Thanksgiving", elle était la seule personne disponible du service.

A peine avait-elle pris place à son bureau, qu'elle reçut un message du docteur James. Il l'informait qu'il ne viendrait pas, il n'avait que 6 patients de programmé, elle l'excuserait auprès d'eux.

Elle devait les appeler pour reporter leurs rendez-vous. Pour l'instant elle avait réussi à en annuler 5, mais elle ne parvenait pas à joindre le sixième patient.

Il semblerait que la secrétaire avait écrit un numéro de téléphone erroné sur sa fiche, celui indiqué n'était pas en service.

Il s'agissait d'un nouveau malade qui venait consulter pour la première fois.

Sa fiche indiquait qu'il s'appelait Eric Johnson, il avait pris son rendez-vous le mercredi matin alors qu'il se sentait mal.

Il avait rendez-vous à 13 heures, Cynthia supposait donc qu'elle devrait attendre sa venue pour lui fixer un nouveau rendez-vous avant de quitter son bureau.

- "Encore une journée de foutue!...." pensait-elle en son fort intérieur.

Cynthia avait 21 ans et travaillait pour le docteur James depuis six mois.

C'était son premier boulot en tant qu'infirmière.

Bien sûr elle n'était pas diplômée, mais en cours de formation.

Le docteur James l'avait engagée pour lui permettre de suivre une formation en cours d'emploi.

Du fait de son boulot et de ses cours, sa vie sociale était réduite à sa plus simple expression.

Elle vivait seule et aurait aimé profiter de l'opportunité de "Thanksgiving" pour rendre visite à ses parents, elle avait du y renoncer à cause de cet enculé de docteur James.

Cynthia était une ravissante jeune femme: assez grande, elle avait de superbes cheveux blonds, un visage avenant, des yeux bleus clairs et des lèvres purpurines.

Son seul regret était d'avoir qu'une petite poitrine au vu de celles de ses collègues.

Elle disposait de beaucoup de temps avant l'arrivée de ce monsieur Johnson qui avait rendez-vous à 13 heures, aussi cherchait-elle des choses à faire.

Elle était le seul bureau ouvert dans tout le bâtiment et devoir laisser la porte au rez-de-chaussée ouverte l'ennuyait considérablement: elle se sentait vulnérable.

Elle gagna une pièce adjacente où elle trouva une pile de magazines pornographiques.

Le docteur James avait en charge des couples dans lesquels le mari souffrait d'impuissance.

Il avait donc besoin, dans son boulot de stimulants visuels qui amenaient les patients à se branler dans ce petit cabinet de toilette pour fournir un échantillon de leur sperme.

Cynthia avait souvent recueilli les fioles contenant les éjaculations de patients qui s'étaient masturbé dans cette petite pièce, cela ne la dérangeait même plus.

En fait voir leur visage afficher une grimace penaude la faisait bien rigoler, tout comme ses collègues.

Cynthia se mit à feuilleter les magazines, se demandant combien d'hommes avaient éjaculé en visionnant ces images.

Elle se polarisa sur des images de couple en train de forniquer: aucun doute c'était les images le plus pornographiques qu'elle ait jamais vu.

Cynthia était captivée par le sexe des hommes figurant sur ces photos: ils étaient dotés de bites largement au dessus de la moyenne, bien plus grosses que les six chibres qu'elle avait essayé à ce jour.

Elle sentait sa chatte s'humidifier à la vue de ces images obscènes.

Elle jeta un oeil sur l'horloge, midi était passé depuis quelques minutes, elle disposait d'une bonne demie heure avant que monsieur Johnson n'arrive, elle se dirigea d'un pas rageur dans une des salles d'examen, s'assit sur la table d'auscultation et se mit à lire la courte histoire qui accompagnait les images.

Quelques secondes plus tard pantalon et petite culotte enlevés, elle était étendue à plat dos sur la table d'examen.

A la vue des étriers elle réalisa qu'elle était étendue sur un lit d'examen gynécologique.

Cela faisait presque 1 an qu'elle n'avait plus eu de bonne grosse bite dans sa petite chatte frustrée.

Très excitée elle mit ses pieds dans les étriers et se mit à se doigter âprement tout en reprenant la lecture de la courte histoire.

Elle s'imaginait ce que monsieur James pourrait bien penser s'il entrait dans la salle d'examen et la trouvait se branlant sur une table d'examen, peut-être bien qu'il ôterait son pantalon et lui sauterait dessus pour la baiser avec vigueur.

Alors que Cynthia développait son fantasme, elle n'entendit pas la porte d'entrée s'ouvrir. Eric Johnson était arrivé plus tôt que prévu.

Cet homme de 38 ans était grand, il avait les cheveux bruns et une corpulence moyenne.

Il se dirigea vers le bureau d'accueil et ne vit personne, il allait appeler lorsqu'il entendit des gémissements sourds provenant d'une pièce dans son dos.

Son premier réflexe fut de se ruer dans la pièce pensant qu'il s'agissait de gémissements d'une femme blessée, mais il réfléchit et décida de vérifier ce qu'il en était auparavant.

Avec moult précautions il se dirigea vers la chambre d'ou semblaient provenir les miaulements.

La porte de la sale était entrebâillée, il se posta silencieusement devant la fente et vit un spectacle qui le ravit.

Une infirmière était allongée sur le lit cuisses grandes écartées, elle se masturbait allégrement, elle était si captivée par le magazine qu'elle lisait qu'elle n'avait même pas senti qu'on la regardait.

Eric n'en croyait pas sa bonne fortune, il sentit sa bite se mettre au garde à vous dans son caleçon alors qu'il matait la jeune femme qui se gamahuchait.

Il sut d'instinct qu'il pouvait facilement se faire la petite garce et avant de changer d'idée il se mit en action.

Il pénétra dans la pièce

- "Eh bien, c'est du joli!....."

Cynthia sursauta violemment, elle voulut se cacher mais se retrouvait cuisses largement écartées sous les yeux d'un étranger qui la reluquait avec avidité.

Humiliée elle réalisait que cet accident pouvait bien lui coûter son boulot si cela revenait aux oreilles du docteur James.

Elle retira ses pieds des étriers, s'excusant, confuse, mais à sa grande surprise, l'inconnu se rua sur elle et la repoussa en position initiale.

- "Je préfère te voir ainsi offerte!....." rugit il alors qu'elle commençait à protester.

Comme elle se débattait, Eric attrapa quelques sangles qui servaient à immobiliser les patients qu'on examinait.

Il saisit les sangles et s'en servit pour lier les poignets de Cynthia ensembles.

Elle se mit à hurler

- "A l'aide ... Au secours!.....", mais Eric savait pertinemment qu'il n'y avait qu'eux deux dans le bâtiment, il n'avait rien à craindre, elle n'ameuterait personne.

Ses poignets lié ensembles, il les tira en arrière au dessus de sa tête et les ancra sur l'armature de la table d’examen.

Cynthia avait roulé sur la table au cours de ces manœuvres: il dut l'immobiliser de force pour amarrer sa cheville dans l'étrier droit, puis il fit de même avec sa cheville gauche.

Cynthia était maintenant attachée sur la table d'examens, cuisses grandes ouvertes, offerte à sa convoitise.

Comme elle protestait, il attrapa sa petite culotte qui gisait au sol, la roula en boule et la lui fourra dans la bouche, puis il la fixa avec une bande de sparadrap pour la bâillonner.

Satisfait de ses manœuvres, Eric recula d'un pas pour contempler sa proie sans défense.

Cynthia se sentait totalement livrée à sa concupiscence, sa posture offrait à sa vue l'intégralité de ses appâts génitaux.

Pire encore il était évident qu'elle était trempée de cyprine à la suite de son doigtage frénétique.

Eric jeta un oeil sur son badge.

- "Très bien Cynthia, il semblerait bien que tu te comportais comme une sale gamine!..... C'est vraiment mon jour de chance!....."

Déjà sa main courait sur sa poitrine, il déboutonna sa blouse exposant le soutien-gorge de dentelle qui couvrait ses nibards.

Ayant trouvé un scalpel, il l'utilisa pour couper les bretelles du soutien-gorge et le lui enleva prestement.

Ses tétons dardèrent immédiatement sous la concordance de l'excitation et de la fraîcheur de la pièce.

Eric commença à les triturer entre pouce et index, puis se pencha pour les mâchouiller, ils se dressèrent encore plus sous ses caresses habiles.

Des fourmillements électriques naissaient dans ses mamelons se diffusant dans tout son corps, elle comprit alors qu'en dépit de sa peur son corps tout entier était follement excité à la suite de son âpre masturbation.

Lorsque ses mains glissèrent sur son ventre et coururent dans sa toison dorée pour atteindre sa foufoune détrempée, elle sentit avec une extrême confusion son corps réagir à ses attouchements salaces.

Elle ne voulait pas que cet homme la touche, mais ses doigts lui faisaient tant de bien, il glissa un doigt dans sa chatte et la trouva inondée de ses secrétions intimes, il entreprit alors de lui masser le clito du pouce, Cynthia criait dans son bâillon, mais surtout dans une vaine tentative pour cacher son émoi grandissant.

Eric se recula et fit le tour du lit contemplant avec avidité ses charmes livrés à sa discrétion, puis il se posta entre ses cuises se régalant à la vue de ses babines gonflées, il se pencha sur son entrecuisse et entreprit de lui brouter le gazon, il plongeait sa langue dans ses muqueuses parcourant ses babines avant de mordiller son clito et de reprendre le même chemin.

Cynthia défaillait, choquée de réaliser qu'elle s'arquait sur les talons, pour lui offrir un meilleur accès à sa féminité embrasée.

Son corps réclamait désespérément sa jouissance. Peu lui importait à cet instant d'être violée.

Eric introduisit un doigt fureteur dans son fourreau détrempé, puis un second, un troisième ..... Il la gamahuchait furieusement trois doigts dans la chatte tandis qu'il mâchouillait délicieusement son clito.

La tête de Cynthia roulait de droite à gauche alors qu'un orgasme dévastateur montait de ses reins.

A l'instant même ou la vague de plaisir allait déferler, Eric extirpa ses doigts de sa chatte ruisselante et cessa toutes manœuvres lubriques.

Cynthia tendait les cuises, s'arc-boutant sur les talons pour l'engager à poursuivre, elle était trop prête de jouir pour s'arrêter en si bon chemin, elle le supplia au travers de son bâillon de continuer ses caresses envoûtantes, mais Eric se contentait de la couver du regard.

- "Veux-tu que je continue ma petite Cynthia?...." lui demanda-t-il d'une voix rauque.

Elle ne savait pas quoi faire, quoi dire, d'un coté elle voulait que tout cela s'arrête, qu'il la libère et qu'il parte, mais d'un autre coté son corps réclamait l'assouvissement de ses appétits lubriques.

Elle le regardait se dévêtir, lorsqu'il enleva pantalon et caleçon sa grosse bite d’une bonne vingtaine de centimètre focalisa ses regards.

Elle ne voulait pas se faire baiser, tout au moins en était-elle convaincue, mais à cet instant elle savait que sa chatte accueillerait volontiers son épaisse bite dans sa cramouille toute moite.

De la main gauche Eric se mit à lui caresser ses nibards, empaumant le nichon, triturant le mamelon.

Des myriades d'étincelles couraient le long de sa colonne vertébrale, se diffusant dans tout son corps. De l'autre main il lui libéra la bouche ôtant la petite culotte qui lui servait de bâillon.

- "Veux-tu que je continue Cynthia?...." l'interrogea-t-il suavement.

Elle secouait négativement la tête, mais ses yeux la trahissaient. Elle avait peur d'ouvrir la bouche quelque fois qu'en surgisse la vérité.

- "Je veux bien continuer, mais uniquement si tu aimes ça!...." ajouta-t-il.

Il pressa un bouton de commande et la tête de la table s'abaissa jusqu'à ce que son visage soit à hauteur de sa taille.

Il se posta face à ses lèvres lui intimant :

- "Et maintenant suce moi!......."

Cynthia refusa.

Du coup Eric se pencha en avant et serra durement son petit clito dardé entre ses doigts.

Cynthia rugit de douleur.

- "J'e t'ai demandé de me sucer!...." répéta-t-il imperturbablement.

Elle ouvrit lentement les mâchoires et l'emboucha.

Il enfourna sa bite dans sa bouche jusqu'à ce que ses couilles velues reposent contre son menton.

Elle se mit à sucer docilement la bite qui s'engouffrait jusque dans sa gorge et il se mit à coulisser lentement entre ses babines gonflées, tout en continuant à lui malaxer âprement les miches.

Cynthia sentait son gland franchir ses amygdales, sa luette et s'aventurer dans sa gorge à chaque coup de boutoir.

Elle avait appris à faire des gorges profondes alors qu'elle était encore au lycée, mais jamais elle n'avait eu de bite excédant 12 à 15 cm en bouche.

Eric savourait le plaisir de fourrer sa bite dans la bouche de la jeune infirmière dévouée.

Il augmenta le rythme de ses allées et venues se montrant un peu plus brutal.

A chaque coup de boutoir, ses couilles heurtaient son joli petit nez, elle sentit soudain que sa bite enflait encore, elle sut dès ce moment qu'il ne tarderait plus à se vider les couilles au fin fond de sa gorge.

Eric gémit et augmenta encore le rythme de ses coups de boutoir, puis, dans la foulée il vomit des torrents de foutre dans sa gorge.

Elle sentait son épaisse crème virile lui inonder la bouche, elle avait le choix entre avaler son foutre ou étouffer, elle s'empressa de déglutir alors qu'il continuait à projeter se semence dans sa gorge.

Puis il se retira lui envoyant les derniers maigres jets sur le visage.

- "C'était drôlement bon!...." la félicita-t-il remettant la table dans sa position initiale.

Cynthia se sentait légèrement dégoûtée. Elle avait toujours le goût de son foutre en bouche, sa chatte fourmillait toujours autant, son envie de se faire sauter ne faisait qu'augmenter, elle espérait qu'il allait maintenant s'occuper de sa chatoune et qu'il la ferait défaillir de plaisir sous ses assauts.

Les mains d'Eric couraient sur tout son corps, il palpait ses aréoles, testait la fermeté de son ventre, s'aventurait dans sa toison dorée pour dénicher sa fentine inondée de cyprine, mais il contournait toujours son petit clito affolé.

Cynthia était folle du désir de se faire baiser et il continuait à embraser ses sens.

Enfin il se pencha sur elle et donna une chiquenaude sur son petit haricot dardé déclenchant l'inondation de sa cramouille.

Il se posta entre ses cuisses, elle put voir que sa bite avait repris de la vigueur. Elle avait grand mal à s'empêcher de le supplier de la sauter, de plonger sa grosse bite dans sa petite foufoune enfiévrée.

Lorsqu'il s'approcha elle laissa retomber sa tête en arrière guettant l'instant où il s'enfoncerait en elle.

Il frotta son gland entre ses babines, lentement puis se retira Cynthia tentait en vain de le retenir entre ses cuisses

- "Tu veux que je te baise maintenant?......" la taquina Eric hilare.

- "Alors demande le moi!....."

- "Oui, fourrez moi!.....;." Cynthia avait peine à croire que c'était sa voix demandai à être baisée.

Eric s'avança encore introduisant son gland entre ses babines avides. Déjà Cynthia roulait des hanches pour happer son pénis. Il se pressa à l'orée de sa foufoune.

Après ce qui lui sembla durer une éternité, il s'enfouit enfin progressivement dans sa petite chatoune, elle allait enfin jouir!.....

Il la laboura quelques secondes et sortit prestement de sa cramouille.

- "Nonnnnnnnnnnn ...." le supplia Cynthia frustrée.

- "Oh je vais te baiser ma jolie!...... Mais pas dans ta chatoune!...."

Cynthia entendit ronronner le moteur de levage de la table d'examen, puis elle senti le siège descendre sous ses fesses.

Les chevilles liées dans les étriers elle se retrouva rapidement le cul surplombant la table de quelques centimètres et c'est alors qu'elle senti Eric pointer son gland contre son petit oeillet affolé.

- "Oh mon Dieu non ......" balbutia Cynthia.

- "S'il vous plait ..... Pas dans le cul ..... Je ne l'ai jamais fait!....." elle avait essayé une seule fois la sodomie, mais la douleur dès que le gland de son petit ami d'alors avait franchi le premier sphincter l'avait dissuadée de poursuivre plus loin la chose.

Elle serrait étroitement les fesses mais se rendit bien vite compte que la cyprine dégorgeant de sa chatte inondée avait coulé sur son anus ce qui facilitait son effraction par la pine d'Eric, et comme de plus il avait trempé son gland dans sa foufoune histoire de la lubrifier pour lui faciliter le passage!.....

Il pressait maintenant fortement son gland contre sa minuscule ouverture. Cynthia balançait des hanches cherchant à lui échapper et continuait de le supplier de ne pas l'enculer.

Elle le suppliait de la prendre par la chatte à la place mais il refusait de changer ses plans.

Doucement mais sûrement il commença à forcer son anus récalcitrant.

Plus elle cherchait à résister, plus elle sentait qu'elle perdait cette bataille pour conserver son pucelage anal.

D'un brusque coup de boutoir il franchit l'anneau resserré. Elle hurla immédiatement de douleur.

Ses hurlements s'accrurent alors qu'Eric enfouissant de plus en plus profondément son épaisse bite dans ses entrailles crispées.

Sans aucune pitié, il entreprit alors des vas et viens douloureux dans son boyau meurtri.

Cynthia pensait que la douleur n'aurait pas été plus intense si on l'avait embrochée sur un pal gigantesque.

Il lui semblait que quelqu'un venait de lui enfoncer une batte de base-ball dans le cul. Eric continuait à labourer son trou du cul doucement, lascivement.

Ses cris continuèrent le temps que son anus s'adapte à la conformation de son agresseur, mais si la douleur diminuait, elle subsistait encore de façon cuisante.

Cynthia pensait qu'elle aurait du s'évanouir tant la douleur était intense, mais il n'en fut rien. Eric continuait à lui marteler le fion encore et encore et encore ......

Gardant le rythme de sa chevauchée il lui grimaçait des sourires railleurs tout en la fourrant par le trou du cul.

Après plusieurs minutes de ce traitement il grogna avec extase, puis il se vida les couilles dans ses entrailles tout en continuant à lui pilonner énergiquement le fondement.

Lorsqu'il cessa enfin, Cynthia respirait avec difficulté, elle resta étendue aussi sereine que possible en sentant son épaisse queue glisser lentement hors de son anus béant.

Puis il extirpa brusquement sa bite avec un "plop" sonore. Il lui semblait que ses muqueuses se retroussaient accompagnant le retrait de sa bite.

Eric baissa la tête et se remit à laper son petit minou.

Progressivement Cynthia oublia la douleur irradiant de son petit cul et se remit à apprécier ses caresses langoureuses.

Eric continuait la rapprochant de plus en plus d'un nouvel orgasme, mais à chaque fois qu'elle était prête à exploser, il interrompait ses caresses. Cynthia ne pensait pas pouvoir endurer plus de frustrations, elle le suppliait de la faire jouir.

Soudain Eric réalisa que sa bite avait repris une raideur de bon aloi, il se plaça sur le coté de la table d'examen et pointa sa bite sur le visage de Cynthia.

- "Si tu me suces de tout ton cœur, je te fourrerai ma bite dans la chatte pour te faire jouir!...."

Cynthia aurait fait n'importe quoi pour qu'il la fasse enfin jouir.

Elle emboucha sa queue qui sortait de son trou du cul et se mit à la sucer avidement, la faisant grossir dans sa bouche.

Dès qu'il fut prêt, Eric la repoussa et retourna se positionner entre ses cuisses, il utilisa de nouveau sa grosse bite pour accroître son excitation.

Puis il se planta profondément dans sa cramouille affamée.

- "Oh oui ..... " cria-t-elle alors qu'il entreprenait de la baiser en profondeur.

Il ne fallut que quelques instants pour qu'elle sente monter un orgasme dévastateur, elle hurla alors que l'extase la terrassait toute entière.

Eric continuait à la baiser imperturbablement, mais lorsque son orgasme se dissipa, Cynthia se sentit honteuse et dégoûtée de ce qui venait de se passer.

Elle se rappelait qu'il ne s'agissait de rien de moins qu'un viol.

Et son corps avait répondu aux assauts de son pervers agresseur : non seulement elle avait participé, mais elle avait supplié son assaillant de la faire jouir.

Mais sa culpabilité fut de courte durée, déjà un nouvel orgasme la submergeait. Eric la pilonnait toujours, une fois encore le corps de Cynthia la trahit.

Quelques instants plus tard, son troisième orgasme déferlait bien plus intense que les deux autres réunis.

Elle priât pour que son violeur en finisse rapidement, elle n'était pas sûre de pouvoir endurer encore plus de plaisir.

Mais Eric continuait à la marteler de sa bite épaisse et quelques minutes plus tard, Cynthia criait de nouveau succombant au plus puissant des orgasmes qu'elle ait jamais ressenti.

Son corps tremblait de partout, elle rebondissait d'orgasme en orgasme sous les puissants coups de boutoir d'Eric.

Elle était totalement perdue dans un monde d'extase, elle ne ressentit plus que du plaisir.

Puis elle sentit qu'Eric éjaculait au fin fond de son utérus.

Il continua à la labourer jusqu'à disparition de sa jouissance et il se redressa alors et entreprit de se rhabiller.

- "Ouais ouais, ...... C'était sûrement bien meilleur que tous les médicaments qu'auraient pu me prescrire Monsieur James!..." ricana-t-il en se rhabillant.

Cynthia cherchait à reprendre haleine.

Son cœur battait à une vitesse folle, à craindre un arrêt cardiaque.

Sa chatte était si engorgée qu'elle sentait le foutre et la cyprine mélés s'écouler dans son entre fesse lui poissant la raie culière.

Elle secoua la tête cherchant à reprendre ses esprits.

Elle venait d'être victime d'un viol, mais cet homme avait satisfait ses appétits bien plus que personne jusqu'ici n'avait su le faire.

Elle savait qu'elle devrait haïr ce qui venait de lui arriver, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser tout différemment, elle rêvait déjà de revoir cet homme qui l'avait si bien fait jouir.

Elle revint à elle au moment ou Eric gagnait la porte.

- "Ou allez vous?..." l'interrogea-t-elle inquiète de le voir partir.

- "J'ai fini!...." lui répondit-il "Je dois te quitter maintenant!....."

- "Vous ne me détachez pas?....."

- "Et pourquoi donc? Je suis certain qu'il y a bien quelqu'un qui va venir et qui s'en chargera!......Et ce serait inhumain de le priver de ce plaisir!" lui rétorqua-t-il en sortant.

Cynthia l'appela, le suppliant de revenir la libérer.

Mais elle n'obtint aucune réponse.

Elle restait ligotée et entièrement exposée à la vue du premier qui entrerait dans la pièce.

Elle se demandait combien cela allait prendre de temps avant que l'on vienne et qu'on la libère de ses entraves.

Elle réalisa alors qu'elle aurait bien du mal à supporter l'avanie de se voir découverte dans une aussi humiliante position par ses collègues.

Mais Cynthia ne pouvait rien faire elle était piégée et ne pouvait qu'attendre et subir son destin.

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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 20:59

Pour vous remercier de votre fidélité déjà soutenue à mon blog à peine naissant, voici un second texte publié pour cette journée. Ce texte est un récit en 6 chapitres, à l'origine en langue anglaise (d'un auteur publiant sous le pseudo de Pas). Il a été traduit et publié sur plusieurs sites par Coulybaca.

 

Je tiens à profiter de ce post pour remercier cet auteur de ses traductions de textes extrordinaires. Je vous ferai sans doute redécouvrir plusieurs de ses traductions de choc. Comme nous, Coulybaca aime visiblement les femmes et jeunes filles très soumises et aimant ça!

 

Voici donc le 1er Chapitre de "Les infortunes de l'infirmière", contenant notamment une scène de sodomie d'anthologie!

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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 20:23

Jane se réveilla le lendemain matin et pensa que les horreurs de la veille était tout juste un mauvais rêve.

Elle quitta la douche et commença à enfiler ses vêtements. Elle recula, recevant un choc quand elle  regarda dans le miroir et vit les mots écrits sur le Tee-shirt: «Vous désirs sont des ordres ..."

"Oh mon dieu!», pensa Jane. « Peut-être que ce n'était pas un rêve, après tout. . . Ces salauds vont
payer pour ce qu'ils ont fait! ».

 

Jane quitta sa chambre, avec l'intention de dénoncer les événements de la nuit au doyen. Elle marcha sur le campus et fit irruption dans le bureau du doyen.

"Puis-je vous aider mademoiselle?", lui demanda une secrétaire d'âge moyen.

«Où est le doyen?", demanda Jane: «J'ai été drogué et attaqué par les personnels de la bibliothèque la nuit dernière"

"Oh mon Dieu, dit la secrétaire,« C'est terrible, je ne peux pas imaginer l'un des employés de la bibliothèque faire quelque chose comme ça. Je vais voir si M. Le doyen peut vous voir. "

La secrétaire appela le doyen.

"Il peut vous voir maintenant", dit le secrétaire. "Il suffit de passer cette porte. "

Jane entra dans le bureau du doyen, et dit: "M. Johnson, j'ai été droguée et agressée sexuellement par le personnel de la bibliothèque toute la nuit! "

Le doyen regarda Jane avec scepticisme et lui dit: "Cela semble un peu difficile à croire, Melle. Comment ont-ils pu vous droguer?"

Jane relata les événements de la veille au Doyen.

« Ainsi, selon ce qu'ils vous ont dit hier soir, vous êtes maintenant accro au sperme, et vous ne pouvez plus contrôler vos propres actions? ", a demandé le doyen.

"Oui, mais je pense qu'ils m'ont drogué avec quelque chose qui a touché ma capacité de jugement, hier soir, je suis certaine qu'il est impossible de détruire mon libre arbitre comme ça, définitivement."

Le doyen sourit et dit: "Je suis d'accord, il semble extrêmement improbable que le médicament pourrait avoir un tel effet à long terme. Un tel médicament, s'il existait vous rendrait totalement vulnérable aux caprices des autres. J'ai une question. Pourquoi portez-vous le T-shirt que l'on vous a donné? Si quelque chose comme ça m'était arrivé à moi, il n'y aurait eu aucun moyen pour me le faire porter. "

Jane baissa les yeux et a remarqua qu'elle portait encore le T-shirt arborant les mots: «Vous désirs sont des ordres ..."

«Je.. je. .. Je ne suis vraiment pas sûre», balbutia Jane. "

Le doyen se frotta le menton et dit:  «Eh bien Jane, il y a probablement qu'un seul moyen de voir si le médicament a une incidence sur votre capacité à résister à d'autres souhaits. "

«Que voulez-vous dire?", demanda Jane.

«Eh bien, pourquoi ne pas venir ici et s'asseoir sur mes genoux?", a demandé à le  doyen.

"Quoi?", cria Jane. "Vous êtes un vieil homme lubrique! Comment osez-vous même suggérer cela?"

Mais en criant, Jane se leva et s'assit sur les genoux de l'homme.

« Eh bien », dit le doyen," Il pourrait y avoir quelque chose de vrai en fin de compte!. ". Et sur ce, il commença à caresser les cheveux de Jane et lui dit:" En fait, si le médicament vous fait ce qu'ils vous ont dit, vous êtes probablement prête pour une autre rasade de sperme. "Le doyen sourit et dit:" Je serais heureux de vous aider à prendre votre dose ma chère »

«Non, non, non", cria Jane," Cela ne peut pas se passer ainsi! ". Mais tout en criant, elle  défit la glissière du doyen, passa sa main dans son pantalon et en tira son pénis en érection. Elle se mit ensuite a le sucer avec abandon.

"Oh Dieu ....," s'écria Jane,« Pourquoi je ne peux pas arrêter de le faire? Je suis prête à boire votre sperme. S'il vous plaît jutez en moi », a t elle suppliée.

Le doyen se mit à gémir suite au pompage forcené de Jane sur son pénis. «J'ai une meilleure idée, dit-il, "Enlevez tous vos vêtements, et couchez vous sur mon bureau. "

«Non, s'il vous plaît ne me violez pas!», a déclaré Jane.

«Le viol?", a déclaré le doyen, «Ce n'est pas un viol. Je ne  vous force pas  à faire quoi que ce soit. Je vous ai demandé de me sucer, et vous le faites. Deux adultes consentants peuvent s'amuser un peu. "

"S'amuser?", sanglotait Jane, en finissant d'enlever ses vêtements. "Ce n'est pas amusant, et peu importe ce que vous dites, c'est toujours un viol. Vous savez que je ne peux pas m'en empêcher. "

"J'ai entendu dire ça de toutes les femmes», ricana le doyen, comme il saisit les fesses de Jane à pleines mains, la  tirant vers lui afin d'insérer sa bite en elle. « Le nombre de salopes qui criaient non en pensant oui pour sauver la face! »

"Vous êtes vraiment une bonne baiseuse », dit le doyen, comme les larmes coulaient sur le visage de
Jane. « Je veux que vous jouissiez pour moi Jane. Je veux vous voir avoir un orgasme!

A ces mots, les ondulations de plaisir ont commencé à circuler dans le corps de Jane. Peu à peu, elle  bascula dans l'orgasme.

"S'il vous plaît laissez-moi arrêter", a crié Jane, "je. .. je. Je ne peux pas prendre beaucoup plus . . . "

Encore excitée par le doyen, Jane se contorsionna encore, et quelque minutes plus tard, il éjacula dans sa chatte.

"Vous pouvez arrêter de jouir dit le doyen, en tirant un mouchoir et en s'essuyant le front. "Je n'ai pas eu un aussi bon entraînement depuis des années », dit-il en riant.

Jane était épuisé par l'ampleur de son propre orgasme. Le sperme du  doyen a commencé à suinter de sa chatte sur le bureau.

"Ma chère, » dit le doyen,« Vous devez encore avoir soif de sperme, n'est-ce pas.?"

Le doyen remis à Jane sa tasse de café et dit: «Ici, asseyez-vous et remplissez cette tasse avec le reste de mon jus. "

Jane se leva et se mit à remplir la tasse avec le jus qui coulait de sa chatte.

"Allez Jane", dit en riant le doyen, comme Jane buvait avidement la tasse, "Jusqu'à la dernière goutte, hein?"

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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