Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 21:17

 Sally Mist est entrée dans sa maison après un bon jogging pour terminer sa matinée. Elle était exténuée. La sueur coulait sur son front et avait trempée sa tenue de sport moulante. En entrant chez elle, elle n'en cru pas ses yeux.


Là, assis dans son fauteuil, complètement nu, Brian, le jardinier du campus, se faisait sucer par une blondasse genre Bimbo.


 «Que se passe t-il ici?", s'écria t-elle


 Brian sursauta et totalement paniqué, se rhabilla.

 

 "Je peux tout vous expliquer Sally. Nous étions juste en train de s'amuser un peu. ".


La jeune fille aux pieds de Brian aussi se leva et Sally n'en cru à nouveau pas ses yeux. Jane. Cette salope de Jane ! La  personne qui a elle seule avait causé à Sally plus de problèmes que tous les autres étudiants sur le campus. Un large sourire se dessina sur les lèvres de Sally.


«Il m'a violée. Lui, et le doyen, et les bibliothécaires ! Il faut tous les arrêter dès maintenant! ", a crié Jane à Sally.


«Je ne l'ai pas violée. Elle aimait tout cela! . . . Elle n'a pas arrêté de jouir comme une dératée !", s'est défendu Brian.


«L'accusation de viol est une chose sérieuse !", dit Sally, le sourire toujours sur son visage. « Jane, expliquez moi ce qui s'est passé, en détail ! »


Jane, toujours nue, a rapidement tout dit à Sally sur le médicament qui lui avait enlevé son libre arbitre.


"Est-ce vrai Brian ?" a demandé Sally.


"Je pense que oui, Miss Mist, elle a fait tout ce que je lui ai demandé.", a répondu Brian, les yeux vers le sol.


"Très bien Brian, sortez de ma maison. Ne dite pas un mot de tout cela à personne. Vous avez eu votre part du gâteau. Je la prends en main à partir de maintenant. ", lui a dit Sally.

"Oui madame!", répondit Brian en sortant sans demander son reste.

 

Sally éclata de rire.


"Oh Jane, Jane, Jane. Asseyez-vous dans mon fauteuil et jouez avec votre chatte ! Je veux voir les doigts se déplaçant dans et hors de votre trou! ", dit Sally.


La main droite Jane s'est rapidement déplacée vers sa chatte,  3 doigts s'enfoncèrent dans son trou et commencèrent  à entrer et sortir. Sa mouille commença à s'écouler sur son poignet.


"S'il vous plaît, je veux que ces personnes soient arrêtées. Ils n'ont aucun droit de me faire ça! ",

 

"Pas le droit? Vous osez me parler de droits!", a déclaré Sally à Jane. «Vous m'avez fait des problèmes plus que tout autre étudiant sur ce campus. 215 plaintes contre des étudiants de sexe masculin et le personnel de cette université en un semestre seulement! Nous sommes maintenant classés comme le pire des campus de l'état en raison de votre nombre de plaintes et avons perdu tous nos fonds fédéraux pour le service de sécurité, ce qui a causé la perte de 8 agents  pour protéger les étudiants qui en ont vraiment besoin. J'ai perdu 15 points de mérite à mon dossier en raison des plaintes que vous avez déposées puis représentées au contrôleur de sécurité de l'Etat. Moi qui avec à peine 26 ans avait le meilleur score des Universités ! Le local de la police ne réponds plus à mes appels à l'aide en pensant que  c'est juste une autre fausse alarme de votre part. Ma chère, ne me parlez pas de droits. Après tout, comme Brian l'a dit, personne ne vous a contrainte ou violentée, vous n'avez fait qu'obéir de votre plein grès ! »

«Vous allez payer aussi  pour ça! ", cria Jane


"Ne criez pas ma chère, vous pouvez parler, mais ne criez pas . . . en outre, à partir de maintenant vous ne jouirez plus lorsque vous entendrez le mot  « con », mais seulement lorsque je vous le dirai", lui ordonna Sally.


Jane ne pouvait pas le croire. Ses doigts se déplaçaient dans et hors de sa chatte qui devenait de plus en plus chaude et lubrifiée. Son clitoris durcit. Son visage et sa poitrine passaient au rouge vif.


«Jane», dit Sally, "Vous pouvez arrêter de vous fouiller la moule ! Vous avez vraiment l’air d’une pute ! Allez à l'étage prendre une douche. Une douche bien froide . . . glacée en fait. Et puis peignez bien vos cheveux soigneusement et agenouillez-vous dans la salle de bain, mains sur la tête et attendez-moi. Et n'oubliez pas de bien nettoyer votre chatte! Et vite. ".


Sally admira les fesses et les seins rebondis de Jane bien exposés à sa vue pendant que cette dernière montait l'escalier et entrait dans la salle de bains.


« Putain que c'est bon d'avoir cette garce à ma botte ! », pensa Sally.


Elle se dirigea vers son téléphone et composa un numéro.

"Bonjour, Brad. C'est Sally. Vous n'allez pas me croire, mais j'ai cette chienne de Jane chez moi, prête et disposée à faire tout ce que je lui dis ! Ecoutez, venez avec votre caméra vidéo et persuadez
Rod de venir ici rapidement. . . Ouais, vous pouvez venir avec une autre personne si vous le voulez !".

Sally entendit la douche à l'étage. Souriante, elle gravit les marches à son tour.

Jane fit couler l'eau froide comme Sally l'avait ordonné. Ses mamelons s'érigèrent au contact de l'eau.

 

« Ils paieront tous ! », pensa t-elle.


Ses mains saisirent le savon, et elle commença à frictionner son corps, à laver toutes les parties de son corps, à écarter les lèvres de sa chatte et la laver en profondeur. Elle ferma l'eau et sortit,
saisissant une serviette pour se sécher. Elle a alors saisit un peigne et a commencé à se peigner les cheveux. Elle se mit enfin à genoux, mains sur la tête, juste à temps pour voir Sally pousser la porte et la regarder.


«Je vais vous faire aller en prison pour cela!", lança Jane.


Sally sourit en enlevant son short de jogging puis sa culotte, exposant ainsi sa toison pubienne noire.

"Saviez-vous que je suis bisexuelle Jane . . . ?", demanda Sally.


«Oh non . . . », dit Jane, la voix tremblante.


"Maintenant, mettez  vos mains derrière la nuque et détendez-vous un peu en inclinant la tête vers l'arrière de façon à ce que je puisse poser ma chatte sur vos lèvres délicieuses ! »


En disant cela, Sally frotta sa chatte avec la main droite et sa mouille commença à couler. De sa main gauche, elle se frottait les seins à travers son maillot.


«Non, s'il vous plaît ne me faites pas cela, s'il vous plaît!", supplia Jane, tout en inclinant la tête vers l'arrière.

"Relax Jane . . . ça va vous plaire", déclara Sally alors qu'elle plaçait sa chatte sur la bouche de Jane. Elle saisit les cheveux de Jane et plaqua le visage de celle-ci sur sa moule.

«Maintenant, Jane, rappelez-vous, de votre dépendance à la mouille ! Je veux que que vous tiriez la langue dans mon trou, puis me léchiez  mon clito, et recommenciez jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter! »


La langue de Jane entra en action, s'enfonçant profondément dans l'anus de Sally puis léchant sa vulve, titillant son clitoris, puis s'enfonçant dans son trou, aspirant tout son jus. Son nez était
chatouillé par les poils pubiens de la jeune femme, l'odeur extrêmement salée, musquée
presque suffocante la prenait aux narines.

 

« Elle aurait fait mieux de prendre aussi une douche après son jogging », se dit Jane.


Prise par le plaisir, Sally plaqua encore plus fortement la bouche de Jane contre sa chatte.  Elle se rapprochait de l'orgasme, la langue de Jane la rendait folle de désir, . . . dans et hors de son trou, autour de son clitoris, puis de nouveau en elle, elle était d'une agilité diabolique !

 

Sally gémit bruyamment, oscillant sur langue infernale.

L'orgasme lui saisit son corps, ses mains plaquant le visage de Jane contre sa chatte. La jeune fille ne pouvait plus respirer.

 

Vidée, elle a relâcha Jane.


Jane, bien obéissante a continué à lécher jusqu'à la dernière goutte.


"Vous pouvez arrêtez maintenant Jane.", dit Sally.


"Levez-vous et lavez votre visage. Ensuite, nous allons passer dans la chambre pour plus de plaisir. ", lui ajouta Sally.


«Je vais vous faire condamner!", a menacée Jane comme elle se levait et se mit à se laver le visage.


"Bien sûr Jane, bien sûr. Quand nous aurons fini avec vous, non seulement vous aurez perdu votre libre arbitre, mais en plus, vous ne menacerez jamais plus quiconque à nouveau! ", a déclaré Sally.


"Nous? Quel voulez-vous dire?", a demandé Jane, la panique dans la voix.

 

"Vous verrez plus tard. Pour le moment, suivez-moi dans la chambre." ordonna Sally.


Jane est entré dans la chambre à coucher,


«Allongez-vous sur le lit, écartez bien vos cuisses et jouez avec votre moule et votre clitos ! Utilisez une main sur vos seins et une pour votre chatte, et bien entendu, n'oubliez pas de nettoyer vos mains de temps en temps avec votre bouche. Et je veux vous voir sourire, je veux vous voir vous amuser!", lui commanda Sally.

 

«Salope», lança Jane en s'allongea sur le lit.


Alors que Jane obéissait contrainte et forcée aux ordre de Sally, un éclair attira son attention . Elle regarda au dessus du rebord du lit et vit Sally la photographier avec  un Polaroid. Un gémissement sourd s'échappa de ses lèvres alors que le flash crépita à nouveau, capturant sa bouche engloutissant sa main.


« Utilisez ceci à la place de vos doigts!", dit Sally, en lançant un énorme gode noir sur le lit à côté de Jane.

 

"Utilisez le dans votre chatte, puis sucez le sur toute la longueur !".


« Mon Dieu », gémit Jane, « combien de temps mon calvaire va-il durer?


Jane saisit le gode de la main droite, le plaça à l'entrée de son vagin et l'enfonça dans son conduit. Elle fit entrer la moitié de l'engin.


«Mettez toute la longueur!", dit Sally.


«C'est trop grands!", protesta Jane. Mais, tout en protestant, elle obéi à l'ordre reçu et enfonça le gode en hurlant.

 

Sally photographiait avec attention.

 

Jane commença son va et vient. Au début avec lenteur, puis de plus en plus rapide.


Son autre main pétrissait ses seins avec force. Les mamelles étaient maintenant rouges et gonflées par les mauvais traitements.


Jane continua à s'exciter ainsi pendant quinze minutes, sous les flash photos réguliers.
Enfin, la sonnette de la porte retentit.


«Eh bien, voilà Brad, le chef de la sécurité. Vous me souvenez  de lui Jane ? Vous lui avait causé plus de problèmes encore que vous m'en avez causé !. Il est venu avec quelques amis pour vous. Ne bougez pas de là, je serai bientôt de retour. Continuez comme cela !, lui a dit Sally.


"S'il vous plaît, relâchez moi Sally, je promets que je ne vous causerez plus de problèmes! ", a plaidé Jane.


"Oh, je sais que vous n'en causerez plus Jane !.", a déclaré Sally si doucement qu’elle envoya des frissons dans le dos Jane.
Jane entendit discuter. Elle reconnu la voix de Brad, le chef de la sécurité du campus, celle de Rod, l'adjoint de Sally, et celle de Deborah, la secrétaire du doyen.

 

Les voix se firent ensuite plus fortes, comme elles se rapprochaient de la chambre à coucher.


La porte s'ouvrit au moment où Jane plongeait le gode profondément dans sa chatte, puis le retirait de son trou pour le mettre dans sa  bouche grande ouverte.

 

"Si je ne le voyais pas de mes propres yeux, je ne pourrai pas y croire ! », s'exclama Brad lui en regardant Jane pousser le gode dans sa gorge et le nettoyer de ses sécrétions puis l'enfourner à l'intérieur sa chatte.


"S'il vous plaît, aidez-moi!", supplia Jane.


Les 3 arrivants éclatèrent de rire.


« Jane, vous pouvez arrêter de jouer avec vous-même maintenant, je veux que vous vous reposiez pour plus tard! ", ordonna Sally.


"Qu'allez-vous faire de moi?", demanda Jane. "Je vous poursuivrai tous pour ça! ".

"C'est chiant à la fin.", répondit Brad.


"Ouais, quelle conne, elle n'a pas le bon sens de la fermer !", déclara Deborah.


Jane constata avec horreur que les hommes commençaient à placer des lumières dans la chambre à coucher, les disposant dans chaque coin de la pièce pour débarrasser celle-ci de toutes les ombres, et mettaient en place une caméra sur un trépied à côté du lit.


Deborah sortit quelque chose d'un grand sac de plastique et le mit sous le lit.


"Qu'est-ce que c'est?", demanda Jane.


"Venez en dehors de la chambre avec moi Jane, et je vais vous expliquer ce que qui se passe ici, et ce que vous devrez dire et faire.", dit Sally à Jane.


Jane se leva, remarquant qu'elle avait en main une nuisette noire. En arrivant à l'extérieur de la chambre, elle vit les amis de Sally poursuivre leurs efforts précipités pour préparer la chambre.

 

Après avoir donnée ses consignes à Jane, Sally revint dans la chambre, laissant la jeune fille dans le couloir.


Sally se dirigea vers la commode à côté du lit et mit le grand gode noir sur la commode, en compagnie d'un autre de couleur chair de la même taille.


«Eh bien, cela devrait faire l'affaire. Est-ce que la caméra est OK Rod?", demanda Brad.


"En parfait état, avec de la bobine à revendre!", répondit Rod.


"Ok . . . et n'oubliez pas . . .  pas de voix ou de bruits, et restez en dehors du champ de la caméra. Je ne veux pas qu'une preuve de notre participation revienne nous hanter . . . ", a déclaré Brad.

 

« OK, Jane . . . ACTION! ", cria Rod.


Tout le monde était debout contre le mur maintenant, à l'exception Rod, qui avait sa caméra vidéo pointée vers la porte, attendant que Jane apparaisse.


Jane entra par la porte et resta un moment fixe devant l'entrée de la chambre.


Un large sourire sur les lèvres, sa main droite se déplaça vers le bas de son ventre pour frotter sa chatte à travers la nuisette noire que Sally lui avait demandé de porter. La nuisette, totalement transparente, ne lui arrivait qu'au quart de cuisse et laissait ses bras et ses seins nus jusqu'aux aréoles. Sa main gauche se dirigea vers ses seins et se mit à mes malaxer également à travers la nuisette. Ses mamelons s'érigèrent.


«Mon Dieu, que je suis excitée !" déclama Jane à haute voix. «J'ai besoin d'un homme pour me baiser. Je lui sucerai bien la queue et il me ramonerait bien à fonds par tous les trous !. Mais je suis une telle salope que personne ne me veut me baiser. Tous les mâles ont trop peur de chopper une maladie ! Il va falloir que je me débrouille toute seule, comme d'habitude !".


Sur ce, elle se dirigea vers la table de nuit, et se tournant face à Rod et à sa caméra, elle tendit la main et saisit le grand gode noir. Ouvrant la bouche, elle poussa le godemiché dans sa gorge, l'enfournant en totalité à l'intérieur d'elle puis le retira en s'assurant que la caméra la filme bien. Elle lécha le gode tout le long de sa longueur.


Pendant cinq minutes, elle resta ainsi à sucer le gode sous l'oeil de la caméra. Rod zoomait de temps à autre afin de bien saisir la scène sur le vif.


Jane se dirigea ensuite vers le lit, et se coucha, toujours en suçant le gode, ses jambes largement écartées pour que son autre main puisse « chauffer » sa chatte avec trois doigts qui allaient et venaient dans son trou chaud.


Jane prit ensuite le gode en main et le fit passer de sa gorge à sa chatte. Elle enfila tout le gode dans son trou bien lubrifié sans aucune difficulté, malgré sa taille et son épaisseur.


«Oui, ô mon Dieu, OUIIIIIIII!", s'est écriée Jane en commençant à faire aller et venir l'engin dans sa chatte.


De sa main libre, elle saisit le second gode resté sur la table de chevet, et le mit dans sa bouche.


Jane ne pouvais pas croire à ce qu'elle faisait, elle ne pouvait croire ce que Sally lui avait dit de faire sous l'oeil de la caméra afin d'avoir une preuve permanente de « sa dépravation ». D'une façon ou d'une autre, elle allait devoir récupérer ce film abject, mais comment?


Au bout de 5 minutes, Jane retira les 2 godes de ses 2 orifices.

 

« Allez mon joli », dit-elle en gardant le gode noir en main, « mon trou du cul te réclame ! ».


Saisissant l'engin à 2 mains, elle le plaça devant son anus et poussa de toutes ses forces. Sa raie bien lubrifiée par la mouille qui avait coulée laissa entrer le gode, non sans difficultés

 

Jane eu l'impression que ses intestins se retournaient.


"AHHHHRRRRRR !!!", s'écria t-elle. Mon Dieu, pensait-elle, il va me déchirer!

Une fois l'engin totalement entré et bien bloqué, Jane prit en main le second gode et s'embrocha la chatte avec.


«Oui, que c'est bon !!!", hurla t-elle à la caméra en pensant le contraire.


Jane commença à forcer les deux godes dans et hors de ses trous. Quand le noir plongeait dans son cul, l'autre sortait de sa chatte et vice versa. Jane gémissait bruyamment pour la caméra.


Après 10 minutes de ce rythme d'enfer, Jane s'écria « Putain, c’est bon, mais serait encore meilleur avec un vrai mâle ! »".

Elle sauta hors du lit, les deux godes maintenant fichés dans ses orifices, jeta sa nuisette au sol, et s'agenouilla à côté du lit. »


Rod continuait de filmer.


Jane se releva avec dans les mains le paquet que Deborah avait déposé.

 

En le posant sur le lit, elle pouvait maintenant constater que c'était une poupée gonflable en plastique avec un pénis de 25 centimètres.


"N'ayant pas de mâle sous la main, j'ai encore besoin de toi Johnny!", dit Jane.

 

Elle se pencha alors vers la poupée pour la gonfler. Elle aspirait les goulées d'air afin de les injecter dans la poupée gonflable, tout en se ramonant les orifices en faisant aller et venir les deux godes dans sa chatte et son anus.

 

La poupée totalement gonflée, Jane se leva en enlevant les deux godes de son corps et de les déposant sur la table de nuit.


"Une petite gâterie Johnny?", fit mine de demander Jane à l'homme en plastique. «Bien sûr, faites!", se répondit-elle.


Sur ce, elle avala la virilité en plastique jusqu'au fond de sa gorge. Sa bouche glissa de haut en bas sur sa bite de plastique pendant que sa main droite frictionnait sa chatte, et que sa main gauche malaxait ses seins.


"Baise-moi Johnny!", s'écria Jane en se levant et en plaçant sa chatte au dessus de la bite artificielle.


Jane a poussé la bite dans sa chatte, puis commença à la faire aller et venir à l'intérieur d'elle. Pendant dix minutes, elle baisa son amant de plastique, sa chatte s'empalant sur le pénis comme s'il était une véritable verge.


"Comment Johnny, vous voulez baiser mon cul? Vous ne doutez de rien ! . . . Mais c'est vrai que je suis tellement salope ! ", s'exclama Jane.

 

En son fort intérieur, elle n'arrivait pas à croire qu'elle allait vraiment le faire!


Elle retira le phallus en plastique de sa chatte, le plaça devant la rondelle ridée de son anus et poussa pour qu'il entre dans son orifice.


"AHHHHHHHHHHH! OUI Johnny, OUI", s'est écriée Jane pendant que la bite de plastique forçait ses chairs intimes.

 

Elle approchait peu à peu de l’orgasme, Sally lui ayant ordonné de jouir 5 minutes après avoir commencé à se sodomiser.

 

« Je viens Jonny . . . je viens . . . OUUIII ! », cria t-elle, toujours pour obtempérer aux ordres de Sally, tout en enfonçant le pénis de plastique au plus profonds d’elle.

 

 «C'était génial Johnny.", dit-elle en embrassant la poupée  à plusieurs reprises sur les lèvres.

 

 «Maintenant laissez-moi vous nettoyer."

Elle approcha alors sa bouche de la verge artificielle couverte de ses excréments et la prit en bouche. A l’odeur, Jane en vomit presque de dégoût.  Mais Sally lui avait ordonné de ne pas vomir et elle ne le fit donc pas.

 

Elle fixa Rod dans les yeux, un sourire sur ses lèvres, tout en continuant de lécher la merde de la bite en plastique, tout en en priant que personne ne voit jamais ce film immonde.

 

Après avoir nettoyé la bite de plastique, elle saisit le gode qui avait labouré son anus et le récura aussi de fonds en comble en léchant consciencieusement les  traces brunes qui le couvrait. Puis, elle nettoya aussi l’autre gode.

 

Elle les reposa sur la table de chevet, puis s’allongea à côté de la poupée gonflable, lui roula un baiser langoureux en fourrageant la bouche de la poupée de sa langue tout en caressant son pénis.

 

 «Bonsoir Johnny", dit Jane,  «Merci beaucoup pour cette baise merveilleuse! ".


 Rod filma Jane allongée  à côté de la poupée 1 minute de plus, puis éteint la caméra.


«Ça y est les gars, nous pouvons tous respirer à nouveau et  parler", dit-il.


"Jane, tu as été parfaite ! Une véritable actrice porno ! », commenta Sally.

 

 « Salauds, vous êtes des chiens ! », hurla Jane. «Je vais vous faire aller en taule pour cela, je le jure. Je trouverai un flic honnête pour m’aider ! ».


 «Eh bien, peut-être, mais pas dans cette ville !. Tu as pissé à la raie de tout le monde ! Et si tu porte plainte, on diffuse ce film auprès des étudiants et on le met sur internet ! Tu saisit ? », contra Sally.

 

« Je dois m’absenter un gros quart d’heure : nettoyer tout ça pendant mon absence », lança Sally.

 

« Bien sûr Sally, pas de problème.", a déclaré Rod.


Sally a quitté la chambre et on entendit claquer la porte d’entrée.


"Vous savez, je ne peux pas parler pour vous les gars, mais cette garce m’a bien allumée ! Je pense que je vais la tester pendant que vous nettoyez la chambre » dit Deborah en regardant Jane.


"Pas de problème", déclara Brad, "mais laisse lui suffisamment d'énergie pour nous, parce qu’elle m’a filé une sacrée trique aussi ! ».


Deborah enleva rapidement ses vêtements. Du haut de ses 30 années, elle était toujours en excellente forme. Ses gros grands seins blancs pointaient encore fiérement comme 2 obus.


«S'il vous plaît pas, s'il vous plaît, laissez-moi aller!", supplia Jane.


"Allons, je ne suis pas du genre à laisser filer une bonne chienne sans en profiter ! » a déclaré Deborah. «Maintenant, viens ici et suce mes seins."

 

Jane se leva et se dirigea vers Deborah, ouvrit la bouche et prit le mamelon gauche en bouche. Il était si grand qu’elle pouvait à peine contenir le mamelon entier dans sa bouche.


«Utilise tes mains pour jouer avec mes seins . . . », ordonna Deborah.

 

Les mains de Jane s'approchèrent des deux mamelles et les pétrirent avec énergie, pendant que sa bouche suçait un mamelon, puis l’autre.


«Allonge-toi sur le lit Jane. Je vais m'asseoir sur ton visage pour te permettre de me bouffer la moule. "


« Oh mon Dieu, s'il vous plaît faites que ce calvaire s’arrête ! », pensa Jane, en obéissant.

 

Deborah ramena sur le corps de Jane, frottant sa chatte humide sur ses seins, telle une limace, pour finir sur sa bouche.


«Maintenant, Jane », a déclaré Deborah «mange ma chatte et suce mon jus jusqu'à ce que je te dise d'arrêter! ".


 La langue de Jane lapa la chatte offerte, monta dans le nid d'amour tout chaud, bu autant de mouille gluante qu'elle pouvait trouver, puis se déplaça le long de la fissure, frappant son clitoris et le suçant avant de revenir vers le bas. Elle aimait le goût de la mouille, elle en était accro. Elle voulu aller jusqu'à la dernière goutte. 

 

Deborah jouit rapidement, poussant sa chatte dans la bouche de Jane, y resta tant que Jane  continua à la brouter.


«Les garçons, je retourne au bureau.", a déclaré Deborah après s’être rhabillée, un grand sourire sur son visage.


 "Nous arrivons dans peu de temps !", lança Brad.


Rod et Brad étaient assis côte à côte sur le lit.


 «Jane», lança Brad. «Je comprends que vous êtes accros au jus, alors nous allons t-aider. Viens ici t-agenouiller devant nous et pompe nous la bite! ".


Jane se dirigea vers eux, à genoux. D’une main, elle saisi la verge de Rod et la prit en bouche. Elle le pompa avec énergie jusqu'à jouissance. 


Puis elle passa au sexe de Brad. Sa bouche montait et descendait pendant que sa main jouait avec ses boules. Brad ne tarda pas à se vider les bourses.


Rod se leva, prit l'équipement vidéo et quitta la maison.


Brad regarda Jane pour une seconde, à genoux sur le plancher, sucer jusqu'à la dernière goutte de sperme.

 

 "Ok Jane", dit Brad. « Habille toi et sort de cette maison. Que je n’entende pas parler d’une plainte auprès de qui que ce soit ! Compris ? »

 

 "Oui, je le sais.", dit Jane en pleurant.

 

Jane s’habilla sans trainer et sortit par la porte d'entrée.

 

Mais qu'est-ce que je fais maintenant ?, pensa Jane. Personne ne veut m’aider, personne ne m'aime. Si seulement mon père, le sénateur, était ici, il saurait quoi faire!


Dieu, Jane pensée, quelle bêtise! Ses parents, son puissant Papa va s'occuper de ça!


30 minutes plus tard Jane était à la maison.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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