L'humiliation de Jane, par Alexis

Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 21:17

 Sally Mist est entrée dans sa maison après un bon jogging pour terminer sa matinée. Elle était exténuée. La sueur coulait sur son front et avait trempée sa tenue de sport moulante. En entrant chez elle, elle n'en cru pas ses yeux.


Là, assis dans son fauteuil, complètement nu, Brian, le jardinier du campus, se faisait sucer par une blondasse genre Bimbo.


 «Que se passe t-il ici?", s'écria t-elle


 Brian sursauta et totalement paniqué, se rhabilla.

 

 "Je peux tout vous expliquer Sally. Nous étions juste en train de s'amuser un peu. ".


La jeune fille aux pieds de Brian aussi se leva et Sally n'en cru à nouveau pas ses yeux. Jane. Cette salope de Jane ! La  personne qui a elle seule avait causé à Sally plus de problèmes que tous les autres étudiants sur le campus. Un large sourire se dessina sur les lèvres de Sally.


«Il m'a violée. Lui, et le doyen, et les bibliothécaires ! Il faut tous les arrêter dès maintenant! ", a crié Jane à Sally.


«Je ne l'ai pas violée. Elle aimait tout cela! . . . Elle n'a pas arrêté de jouir comme une dératée !", s'est défendu Brian.


«L'accusation de viol est une chose sérieuse !", dit Sally, le sourire toujours sur son visage. « Jane, expliquez moi ce qui s'est passé, en détail ! »


Jane, toujours nue, a rapidement tout dit à Sally sur le médicament qui lui avait enlevé son libre arbitre.


"Est-ce vrai Brian ?" a demandé Sally.


"Je pense que oui, Miss Mist, elle a fait tout ce que je lui ai demandé.", a répondu Brian, les yeux vers le sol.


"Très bien Brian, sortez de ma maison. Ne dite pas un mot de tout cela à personne. Vous avez eu votre part du gâteau. Je la prends en main à partir de maintenant. ", lui a dit Sally.

"Oui madame!", répondit Brian en sortant sans demander son reste.

 

Sally éclata de rire.


"Oh Jane, Jane, Jane. Asseyez-vous dans mon fauteuil et jouez avec votre chatte ! Je veux voir les doigts se déplaçant dans et hors de votre trou! ", dit Sally.


La main droite Jane s'est rapidement déplacée vers sa chatte,  3 doigts s'enfoncèrent dans son trou et commencèrent  à entrer et sortir. Sa mouille commença à s'écouler sur son poignet.


"S'il vous plaît, je veux que ces personnes soient arrêtées. Ils n'ont aucun droit de me faire ça! ",

 

"Pas le droit? Vous osez me parler de droits!", a déclaré Sally à Jane. «Vous m'avez fait des problèmes plus que tout autre étudiant sur ce campus. 215 plaintes contre des étudiants de sexe masculin et le personnel de cette université en un semestre seulement! Nous sommes maintenant classés comme le pire des campus de l'état en raison de votre nombre de plaintes et avons perdu tous nos fonds fédéraux pour le service de sécurité, ce qui a causé la perte de 8 agents  pour protéger les étudiants qui en ont vraiment besoin. J'ai perdu 15 points de mérite à mon dossier en raison des plaintes que vous avez déposées puis représentées au contrôleur de sécurité de l'Etat. Moi qui avec à peine 26 ans avait le meilleur score des Universités ! Le local de la police ne réponds plus à mes appels à l'aide en pensant que  c'est juste une autre fausse alarme de votre part. Ma chère, ne me parlez pas de droits. Après tout, comme Brian l'a dit, personne ne vous a contrainte ou violentée, vous n'avez fait qu'obéir de votre plein grès ! »

«Vous allez payer aussi  pour ça! ", cria Jane


"Ne criez pas ma chère, vous pouvez parler, mais ne criez pas . . . en outre, à partir de maintenant vous ne jouirez plus lorsque vous entendrez le mot  « con », mais seulement lorsque je vous le dirai", lui ordonna Sally.


Jane ne pouvait pas le croire. Ses doigts se déplaçaient dans et hors de sa chatte qui devenait de plus en plus chaude et lubrifiée. Son clitoris durcit. Son visage et sa poitrine passaient au rouge vif.


«Jane», dit Sally, "Vous pouvez arrêter de vous fouiller la moule ! Vous avez vraiment l’air d’une pute ! Allez à l'étage prendre une douche. Une douche bien froide . . . glacée en fait. Et puis peignez bien vos cheveux soigneusement et agenouillez-vous dans la salle de bain, mains sur la tête et attendez-moi. Et n'oubliez pas de bien nettoyer votre chatte! Et vite. ".


Sally admira les fesses et les seins rebondis de Jane bien exposés à sa vue pendant que cette dernière montait l'escalier et entrait dans la salle de bains.


« Putain que c'est bon d'avoir cette garce à ma botte ! », pensa Sally.


Elle se dirigea vers son téléphone et composa un numéro.

"Bonjour, Brad. C'est Sally. Vous n'allez pas me croire, mais j'ai cette chienne de Jane chez moi, prête et disposée à faire tout ce que je lui dis ! Ecoutez, venez avec votre caméra vidéo et persuadez
Rod de venir ici rapidement. . . Ouais, vous pouvez venir avec une autre personne si vous le voulez !".

Sally entendit la douche à l'étage. Souriante, elle gravit les marches à son tour.

Jane fit couler l'eau froide comme Sally l'avait ordonné. Ses mamelons s'érigèrent au contact de l'eau.

 

« Ils paieront tous ! », pensa t-elle.


Ses mains saisirent le savon, et elle commença à frictionner son corps, à laver toutes les parties de son corps, à écarter les lèvres de sa chatte et la laver en profondeur. Elle ferma l'eau et sortit,
saisissant une serviette pour se sécher. Elle a alors saisit un peigne et a commencé à se peigner les cheveux. Elle se mit enfin à genoux, mains sur la tête, juste à temps pour voir Sally pousser la porte et la regarder.


«Je vais vous faire aller en prison pour cela!", lança Jane.


Sally sourit en enlevant son short de jogging puis sa culotte, exposant ainsi sa toison pubienne noire.

"Saviez-vous que je suis bisexuelle Jane . . . ?", demanda Sally.


«Oh non . . . », dit Jane, la voix tremblante.


"Maintenant, mettez  vos mains derrière la nuque et détendez-vous un peu en inclinant la tête vers l'arrière de façon à ce que je puisse poser ma chatte sur vos lèvres délicieuses ! »


En disant cela, Sally frotta sa chatte avec la main droite et sa mouille commença à couler. De sa main gauche, elle se frottait les seins à travers son maillot.


«Non, s'il vous plaît ne me faites pas cela, s'il vous plaît!", supplia Jane, tout en inclinant la tête vers l'arrière.

"Relax Jane . . . ça va vous plaire", déclara Sally alors qu'elle plaçait sa chatte sur la bouche de Jane. Elle saisit les cheveux de Jane et plaqua le visage de celle-ci sur sa moule.

«Maintenant, Jane, rappelez-vous, de votre dépendance à la mouille ! Je veux que que vous tiriez la langue dans mon trou, puis me léchiez  mon clito, et recommenciez jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter! »


La langue de Jane entra en action, s'enfonçant profondément dans l'anus de Sally puis léchant sa vulve, titillant son clitoris, puis s'enfonçant dans son trou, aspirant tout son jus. Son nez était
chatouillé par les poils pubiens de la jeune femme, l'odeur extrêmement salée, musquée
presque suffocante la prenait aux narines.

 

« Elle aurait fait mieux de prendre aussi une douche après son jogging », se dit Jane.


Prise par le plaisir, Sally plaqua encore plus fortement la bouche de Jane contre sa chatte.  Elle se rapprochait de l'orgasme, la langue de Jane la rendait folle de désir, . . . dans et hors de son trou, autour de son clitoris, puis de nouveau en elle, elle était d'une agilité diabolique !

 

Sally gémit bruyamment, oscillant sur langue infernale.

L'orgasme lui saisit son corps, ses mains plaquant le visage de Jane contre sa chatte. La jeune fille ne pouvait plus respirer.

 

Vidée, elle a relâcha Jane.


Jane, bien obéissante a continué à lécher jusqu'à la dernière goutte.


"Vous pouvez arrêtez maintenant Jane.", dit Sally.


"Levez-vous et lavez votre visage. Ensuite, nous allons passer dans la chambre pour plus de plaisir. ", lui ajouta Sally.


«Je vais vous faire condamner!", a menacée Jane comme elle se levait et se mit à se laver le visage.


"Bien sûr Jane, bien sûr. Quand nous aurons fini avec vous, non seulement vous aurez perdu votre libre arbitre, mais en plus, vous ne menacerez jamais plus quiconque à nouveau! ", a déclaré Sally.


"Nous? Quel voulez-vous dire?", a demandé Jane, la panique dans la voix.

 

"Vous verrez plus tard. Pour le moment, suivez-moi dans la chambre." ordonna Sally.


Jane est entré dans la chambre à coucher,


«Allongez-vous sur le lit, écartez bien vos cuisses et jouez avec votre moule et votre clitos ! Utilisez une main sur vos seins et une pour votre chatte, et bien entendu, n'oubliez pas de nettoyer vos mains de temps en temps avec votre bouche. Et je veux vous voir sourire, je veux vous voir vous amuser!", lui commanda Sally.

 

«Salope», lança Jane en s'allongea sur le lit.


Alors que Jane obéissait contrainte et forcée aux ordre de Sally, un éclair attira son attention . Elle regarda au dessus du rebord du lit et vit Sally la photographier avec  un Polaroid. Un gémissement sourd s'échappa de ses lèvres alors que le flash crépita à nouveau, capturant sa bouche engloutissant sa main.


« Utilisez ceci à la place de vos doigts!", dit Sally, en lançant un énorme gode noir sur le lit à côté de Jane.

 

"Utilisez le dans votre chatte, puis sucez le sur toute la longueur !".


« Mon Dieu », gémit Jane, « combien de temps mon calvaire va-il durer?


Jane saisit le gode de la main droite, le plaça à l'entrée de son vagin et l'enfonça dans son conduit. Elle fit entrer la moitié de l'engin.


«Mettez toute la longueur!", dit Sally.


«C'est trop grands!", protesta Jane. Mais, tout en protestant, elle obéi à l'ordre reçu et enfonça le gode en hurlant.

 

Sally photographiait avec attention.

 

Jane commença son va et vient. Au début avec lenteur, puis de plus en plus rapide.


Son autre main pétrissait ses seins avec force. Les mamelles étaient maintenant rouges et gonflées par les mauvais traitements.


Jane continua à s'exciter ainsi pendant quinze minutes, sous les flash photos réguliers.
Enfin, la sonnette de la porte retentit.


«Eh bien, voilà Brad, le chef de la sécurité. Vous me souvenez  de lui Jane ? Vous lui avait causé plus de problèmes encore que vous m'en avez causé !. Il est venu avec quelques amis pour vous. Ne bougez pas de là, je serai bientôt de retour. Continuez comme cela !, lui a dit Sally.


"S'il vous plaît, relâchez moi Sally, je promets que je ne vous causerez plus de problèmes! ", a plaidé Jane.


"Oh, je sais que vous n'en causerez plus Jane !.", a déclaré Sally si doucement qu’elle envoya des frissons dans le dos Jane.
Jane entendit discuter. Elle reconnu la voix de Brad, le chef de la sécurité du campus, celle de Rod, l'adjoint de Sally, et celle de Deborah, la secrétaire du doyen.

 

Les voix se firent ensuite plus fortes, comme elles se rapprochaient de la chambre à coucher.


La porte s'ouvrit au moment où Jane plongeait le gode profondément dans sa chatte, puis le retirait de son trou pour le mettre dans sa  bouche grande ouverte.

 

"Si je ne le voyais pas de mes propres yeux, je ne pourrai pas y croire ! », s'exclama Brad lui en regardant Jane pousser le gode dans sa gorge et le nettoyer de ses sécrétions puis l'enfourner à l'intérieur sa chatte.


"S'il vous plaît, aidez-moi!", supplia Jane.


Les 3 arrivants éclatèrent de rire.


« Jane, vous pouvez arrêter de jouer avec vous-même maintenant, je veux que vous vous reposiez pour plus tard! ", ordonna Sally.


"Qu'allez-vous faire de moi?", demanda Jane. "Je vous poursuivrai tous pour ça! ".

"C'est chiant à la fin.", répondit Brad.


"Ouais, quelle conne, elle n'a pas le bon sens de la fermer !", déclara Deborah.


Jane constata avec horreur que les hommes commençaient à placer des lumières dans la chambre à coucher, les disposant dans chaque coin de la pièce pour débarrasser celle-ci de toutes les ombres, et mettaient en place une caméra sur un trépied à côté du lit.


Deborah sortit quelque chose d'un grand sac de plastique et le mit sous le lit.


"Qu'est-ce que c'est?", demanda Jane.


"Venez en dehors de la chambre avec moi Jane, et je vais vous expliquer ce que qui se passe ici, et ce que vous devrez dire et faire.", dit Sally à Jane.


Jane se leva, remarquant qu'elle avait en main une nuisette noire. En arrivant à l'extérieur de la chambre, elle vit les amis de Sally poursuivre leurs efforts précipités pour préparer la chambre.

 

Après avoir donnée ses consignes à Jane, Sally revint dans la chambre, laissant la jeune fille dans le couloir.


Sally se dirigea vers la commode à côté du lit et mit le grand gode noir sur la commode, en compagnie d'un autre de couleur chair de la même taille.


«Eh bien, cela devrait faire l'affaire. Est-ce que la caméra est OK Rod?", demanda Brad.


"En parfait état, avec de la bobine à revendre!", répondit Rod.


"Ok . . . et n'oubliez pas . . .  pas de voix ou de bruits, et restez en dehors du champ de la caméra. Je ne veux pas qu'une preuve de notre participation revienne nous hanter . . . ", a déclaré Brad.

 

« OK, Jane . . . ACTION! ", cria Rod.


Tout le monde était debout contre le mur maintenant, à l'exception Rod, qui avait sa caméra vidéo pointée vers la porte, attendant que Jane apparaisse.


Jane entra par la porte et resta un moment fixe devant l'entrée de la chambre.


Un large sourire sur les lèvres, sa main droite se déplaça vers le bas de son ventre pour frotter sa chatte à travers la nuisette noire que Sally lui avait demandé de porter. La nuisette, totalement transparente, ne lui arrivait qu'au quart de cuisse et laissait ses bras et ses seins nus jusqu'aux aréoles. Sa main gauche se dirigea vers ses seins et se mit à mes malaxer également à travers la nuisette. Ses mamelons s'érigèrent.


«Mon Dieu, que je suis excitée !" déclama Jane à haute voix. «J'ai besoin d'un homme pour me baiser. Je lui sucerai bien la queue et il me ramonerait bien à fonds par tous les trous !. Mais je suis une telle salope que personne ne me veut me baiser. Tous les mâles ont trop peur de chopper une maladie ! Il va falloir que je me débrouille toute seule, comme d'habitude !".


Sur ce, elle se dirigea vers la table de nuit, et se tournant face à Rod et à sa caméra, elle tendit la main et saisit le grand gode noir. Ouvrant la bouche, elle poussa le godemiché dans sa gorge, l'enfournant en totalité à l'intérieur d'elle puis le retira en s'assurant que la caméra la filme bien. Elle lécha le gode tout le long de sa longueur.


Pendant cinq minutes, elle resta ainsi à sucer le gode sous l'oeil de la caméra. Rod zoomait de temps à autre afin de bien saisir la scène sur le vif.


Jane se dirigea ensuite vers le lit, et se coucha, toujours en suçant le gode, ses jambes largement écartées pour que son autre main puisse « chauffer » sa chatte avec trois doigts qui allaient et venaient dans son trou chaud.


Jane prit ensuite le gode en main et le fit passer de sa gorge à sa chatte. Elle enfila tout le gode dans son trou bien lubrifié sans aucune difficulté, malgré sa taille et son épaisseur.


«Oui, ô mon Dieu, OUIIIIIIII!", s'est écriée Jane en commençant à faire aller et venir l'engin dans sa chatte.


De sa main libre, elle saisit le second gode resté sur la table de chevet, et le mit dans sa bouche.


Jane ne pouvais pas croire à ce qu'elle faisait, elle ne pouvait croire ce que Sally lui avait dit de faire sous l'oeil de la caméra afin d'avoir une preuve permanente de « sa dépravation ». D'une façon ou d'une autre, elle allait devoir récupérer ce film abject, mais comment?


Au bout de 5 minutes, Jane retira les 2 godes de ses 2 orifices.

 

« Allez mon joli », dit-elle en gardant le gode noir en main, « mon trou du cul te réclame ! ».


Saisissant l'engin à 2 mains, elle le plaça devant son anus et poussa de toutes ses forces. Sa raie bien lubrifiée par la mouille qui avait coulée laissa entrer le gode, non sans difficultés

 

Jane eu l'impression que ses intestins se retournaient.


"AHHHHRRRRRR !!!", s'écria t-elle. Mon Dieu, pensait-elle, il va me déchirer!

Une fois l'engin totalement entré et bien bloqué, Jane prit en main le second gode et s'embrocha la chatte avec.


«Oui, que c'est bon !!!", hurla t-elle à la caméra en pensant le contraire.


Jane commença à forcer les deux godes dans et hors de ses trous. Quand le noir plongeait dans son cul, l'autre sortait de sa chatte et vice versa. Jane gémissait bruyamment pour la caméra.


Après 10 minutes de ce rythme d'enfer, Jane s'écria « Putain, c’est bon, mais serait encore meilleur avec un vrai mâle ! »".

Elle sauta hors du lit, les deux godes maintenant fichés dans ses orifices, jeta sa nuisette au sol, et s'agenouilla à côté du lit. »


Rod continuait de filmer.


Jane se releva avec dans les mains le paquet que Deborah avait déposé.

 

En le posant sur le lit, elle pouvait maintenant constater que c'était une poupée gonflable en plastique avec un pénis de 25 centimètres.


"N'ayant pas de mâle sous la main, j'ai encore besoin de toi Johnny!", dit Jane.

 

Elle se pencha alors vers la poupée pour la gonfler. Elle aspirait les goulées d'air afin de les injecter dans la poupée gonflable, tout en se ramonant les orifices en faisant aller et venir les deux godes dans sa chatte et son anus.

 

La poupée totalement gonflée, Jane se leva en enlevant les deux godes de son corps et de les déposant sur la table de nuit.


"Une petite gâterie Johnny?", fit mine de demander Jane à l'homme en plastique. «Bien sûr, faites!", se répondit-elle.


Sur ce, elle avala la virilité en plastique jusqu'au fond de sa gorge. Sa bouche glissa de haut en bas sur sa bite de plastique pendant que sa main droite frictionnait sa chatte, et que sa main gauche malaxait ses seins.


"Baise-moi Johnny!", s'écria Jane en se levant et en plaçant sa chatte au dessus de la bite artificielle.


Jane a poussé la bite dans sa chatte, puis commença à la faire aller et venir à l'intérieur d'elle. Pendant dix minutes, elle baisa son amant de plastique, sa chatte s'empalant sur le pénis comme s'il était une véritable verge.


"Comment Johnny, vous voulez baiser mon cul? Vous ne doutez de rien ! . . . Mais c'est vrai que je suis tellement salope ! ", s'exclama Jane.

 

En son fort intérieur, elle n'arrivait pas à croire qu'elle allait vraiment le faire!


Elle retira le phallus en plastique de sa chatte, le plaça devant la rondelle ridée de son anus et poussa pour qu'il entre dans son orifice.


"AHHHHHHHHHHH! OUI Johnny, OUI", s'est écriée Jane pendant que la bite de plastique forçait ses chairs intimes.

 

Elle approchait peu à peu de l’orgasme, Sally lui ayant ordonné de jouir 5 minutes après avoir commencé à se sodomiser.

 

« Je viens Jonny . . . je viens . . . OUUIII ! », cria t-elle, toujours pour obtempérer aux ordres de Sally, tout en enfonçant le pénis de plastique au plus profonds d’elle.

 

 «C'était génial Johnny.", dit-elle en embrassant la poupée  à plusieurs reprises sur les lèvres.

 

 «Maintenant laissez-moi vous nettoyer."

Elle approcha alors sa bouche de la verge artificielle couverte de ses excréments et la prit en bouche. A l’odeur, Jane en vomit presque de dégoût.  Mais Sally lui avait ordonné de ne pas vomir et elle ne le fit donc pas.

 

Elle fixa Rod dans les yeux, un sourire sur ses lèvres, tout en continuant de lécher la merde de la bite en plastique, tout en en priant que personne ne voit jamais ce film immonde.

 

Après avoir nettoyé la bite de plastique, elle saisit le gode qui avait labouré son anus et le récura aussi de fonds en comble en léchant consciencieusement les  traces brunes qui le couvrait. Puis, elle nettoya aussi l’autre gode.

 

Elle les reposa sur la table de chevet, puis s’allongea à côté de la poupée gonflable, lui roula un baiser langoureux en fourrageant la bouche de la poupée de sa langue tout en caressant son pénis.

 

 «Bonsoir Johnny", dit Jane,  «Merci beaucoup pour cette baise merveilleuse! ".


 Rod filma Jane allongée  à côté de la poupée 1 minute de plus, puis éteint la caméra.


«Ça y est les gars, nous pouvons tous respirer à nouveau et  parler", dit-il.


"Jane, tu as été parfaite ! Une véritable actrice porno ! », commenta Sally.

 

 « Salauds, vous êtes des chiens ! », hurla Jane. «Je vais vous faire aller en taule pour cela, je le jure. Je trouverai un flic honnête pour m’aider ! ».


 «Eh bien, peut-être, mais pas dans cette ville !. Tu as pissé à la raie de tout le monde ! Et si tu porte plainte, on diffuse ce film auprès des étudiants et on le met sur internet ! Tu saisit ? », contra Sally.

 

« Je dois m’absenter un gros quart d’heure : nettoyer tout ça pendant mon absence », lança Sally.

 

« Bien sûr Sally, pas de problème.", a déclaré Rod.


Sally a quitté la chambre et on entendit claquer la porte d’entrée.


"Vous savez, je ne peux pas parler pour vous les gars, mais cette garce m’a bien allumée ! Je pense que je vais la tester pendant que vous nettoyez la chambre » dit Deborah en regardant Jane.


"Pas de problème", déclara Brad, "mais laisse lui suffisamment d'énergie pour nous, parce qu’elle m’a filé une sacrée trique aussi ! ».


Deborah enleva rapidement ses vêtements. Du haut de ses 30 années, elle était toujours en excellente forme. Ses gros grands seins blancs pointaient encore fiérement comme 2 obus.


«S'il vous plaît pas, s'il vous plaît, laissez-moi aller!", supplia Jane.


"Allons, je ne suis pas du genre à laisser filer une bonne chienne sans en profiter ! » a déclaré Deborah. «Maintenant, viens ici et suce mes seins."

 

Jane se leva et se dirigea vers Deborah, ouvrit la bouche et prit le mamelon gauche en bouche. Il était si grand qu’elle pouvait à peine contenir le mamelon entier dans sa bouche.


«Utilise tes mains pour jouer avec mes seins . . . », ordonna Deborah.

 

Les mains de Jane s'approchèrent des deux mamelles et les pétrirent avec énergie, pendant que sa bouche suçait un mamelon, puis l’autre.


«Allonge-toi sur le lit Jane. Je vais m'asseoir sur ton visage pour te permettre de me bouffer la moule. "


« Oh mon Dieu, s'il vous plaît faites que ce calvaire s’arrête ! », pensa Jane, en obéissant.

 

Deborah ramena sur le corps de Jane, frottant sa chatte humide sur ses seins, telle une limace, pour finir sur sa bouche.


«Maintenant, Jane », a déclaré Deborah «mange ma chatte et suce mon jus jusqu'à ce que je te dise d'arrêter! ".


 La langue de Jane lapa la chatte offerte, monta dans le nid d'amour tout chaud, bu autant de mouille gluante qu'elle pouvait trouver, puis se déplaça le long de la fissure, frappant son clitoris et le suçant avant de revenir vers le bas. Elle aimait le goût de la mouille, elle en était accro. Elle voulu aller jusqu'à la dernière goutte. 

 

Deborah jouit rapidement, poussant sa chatte dans la bouche de Jane, y resta tant que Jane  continua à la brouter.


«Les garçons, je retourne au bureau.", a déclaré Deborah après s’être rhabillée, un grand sourire sur son visage.


 "Nous arrivons dans peu de temps !", lança Brad.


Rod et Brad étaient assis côte à côte sur le lit.


 «Jane», lança Brad. «Je comprends que vous êtes accros au jus, alors nous allons t-aider. Viens ici t-agenouiller devant nous et pompe nous la bite! ".


Jane se dirigea vers eux, à genoux. D’une main, elle saisi la verge de Rod et la prit en bouche. Elle le pompa avec énergie jusqu'à jouissance. 


Puis elle passa au sexe de Brad. Sa bouche montait et descendait pendant que sa main jouait avec ses boules. Brad ne tarda pas à se vider les bourses.


Rod se leva, prit l'équipement vidéo et quitta la maison.


Brad regarda Jane pour une seconde, à genoux sur le plancher, sucer jusqu'à la dernière goutte de sperme.

 

 "Ok Jane", dit Brad. « Habille toi et sort de cette maison. Que je n’entende pas parler d’une plainte auprès de qui que ce soit ! Compris ? »

 

 "Oui, je le sais.", dit Jane en pleurant.

 

Jane s’habilla sans trainer et sortit par la porte d'entrée.

 

Mais qu'est-ce que je fais maintenant ?, pensa Jane. Personne ne veut m’aider, personne ne m'aime. Si seulement mon père, le sénateur, était ici, il saurait quoi faire!


Dieu, Jane pensée, quelle bêtise! Ses parents, son puissant Papa va s'occuper de ça!


30 minutes plus tard Jane était à la maison.

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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 22:39

Jane sortit du bureau du doyen effondrée, confuse quant à ce qu'elle devait faire. « Je dois obtenir un antidote à la drogue », se dit-elle. Mais où et comment? Personne dans le laboratoire de science ne l'aiderait. Tous les étudiants et les chercheurs la détestait aussi. Puis, elle se souvint que la bibliothécaire en chef avait dit qu'il n'y avait pas d'antidote (Oh mon Dieu, s'il vous plaît pas!).

Sally Mist, l'adjointe au chef de sécurité du campus pourrait l'aider! C'était une femme comme elle, pensa Jane. Elle va m'aider et arrêter ceux qui mont  droguée de forcé et demandera au laboratoire scientifique de m'aider!


Jane  courut tout le chemin jusqu'à  la maison de Sally, espérant la retrouver chez elle.
Haletante, à peine capable de respirer, Jane sonna à la porte et
attendit. Deux secondes se sont écoulées, elle sonna de nouveau, puis de nouveau, et à nouveau, enfin tout en maintenant enfoncée la touche.


Quand la porte s'ouvrit, Jane cria de surprise.
Elle regarda la porte s'attendant à voir Sally, mais vit Brian, le jardinier du campus.


«Que voulez-vous?" a demandé à Brian, regardant Jane, éberlué à la vue du T-shirt moulant, de son inscription et visiblement de l'absence de soutien-gorge, une lueur de convoitise montrant à ses yeux.


«J'ai besoin de parler à Sally immédiatement!" cria Jane à l'homme, tandis que ses yeux se baissaient vers le bas, vers l'entrejambe du jardinier, sa bouche commençant à se remplir de salive!


"Elle n'est pas là, revenez dans quelques heures, elle devrait être de retour d'ici là. ".


Jane entra et s'assit dans un fauteuil dans le salon.

 

«Je vais juste attendre ». dit-elle.


«J'ai assez joué!", répondit Brian  «J'ai du travail à faire à l'extérieur! «  Maintenant levez-vous
de cette chaise! ".


Jane a bondi de sa chaise à ses paroles, en disant: «Je ne peut pas rester de toute façon! »


Quel est le problème avec cette garce?, pensa Brian. Elle dit qu'elle va attendre, mais saute comme un chat échaudé quand je lui ai dit de se lever. Cette salope ne fait jamais ce qu'on lui dit de faire, en particulier lorsque c'est un homme qui lui  demande!


"Qu'est-ce qui se passe Jane?"  demanda t-il.


Devant cette question directe, Jane ne pu s'empêcher de rapidement lui raconter toute l'histoire, non pas parce qu'elle le voulait, mais parce que la drogue ne lui donnait pas le choix: elle devait faire ce que l'on lui demandait de faire!


Comme elle parlait, un sourire rapace a commencé à se former sur le visage de Brian, qui se transforma en un grand sourire carnassier. Salope, pensait-il, si c'est vrai, on va se payer une bonne tranche de plaisir aujourd'hui!


Jane, réalisant le danger où elle était, fit mine de partir.


«Dites à Sally je passerais plus tard." dit-elle.


"Stop!." ordonna Brian.


Jane s'arrêta net.


«Vous allez le regretter. Je vais vous faire jeter en prison, aussi!" s'écria Jane, les larmes commençant à couler sur son visage.


"Tais-toi et arrête de pleurer, maintenant!" répondit-il.

 

Immédiatement, Jane se tu et arrêta de pleurer.


C'est très bien, pensa Brian, maintenant, on va se faire plaisir!


Brian se dirigea vers la chaise et s'assit. «Maintenant, salope, enlève le peu de vêtement que tu as sur le dos et commence à jouer avec avec ta petite chatte!. Je veux que tu frotte tes doigts sur ton clito et tes lèvres mais en t-arrêtant au moment de jouir!.


Jane se déshabilla rapidement. Sa main gauche a commencé à frotter son minou. Un gémissement sourd s'échappa de ses lèvres dès que sa main a commencé à frotter sur sa chatte. D'abord, elle a commencé à masser le clitoris avec sa paume, puis glissa un doigt dans son canal chaud et humide, puis deux, et enfin trois doigts. Ses hanches ont commencé un va et vient rythmé, sa main se déplaçant dans et hors de sa chatte. Elle était sur le point de venir maintenant, ses seins chaud et durs. Elle se plaignait fort, la tête renversée en arrière et balançant doucement son corps. Ses doigts se déplaçaient de plus en plus vite, essayant de libérer la tension, mais incapable de la mener tout à fait  à l'orgasme. Ses joues étaient rouges, sa poitrine en feu, comme elle essayait  encore et encore, mais elle ne pouvait pas jouir à cause des ordres de Brian.


Brian regardait, les yeux exorbités, en état de choc.


«Maintenant, Jane », dit-il,"en plus d'être accro au sperme, tu sera aussi obsédée par la mouille! Et si tu n'arrive pas à brouter au moins une chatte dans la journée, je t-ordonne de te branler et de boire ta propre mouille au moins une fois par jour! Maintenant, tu peut lécher tes doigts en guise d'apéritif! ".


Les doigts de la main gauche de Jane sortirent de  sa chatte et se rendirent directement dans sa bouche.


Elle les suça avidement, en essayant d'avaler tout son jus! Son autre main se déplaça vers  sa chatte, et plongea dedans. Puis, les doigts enduits de mouille de la main droite passèrent à sa bouche pendant que la main gauche fouillait à nouveau son sexe, et ainsi de suite.

 

Brian éclata de rire.


«Jane», dit-il: "Arrête de boire ta mouille!. A 4 pattes et  rampe jusqu'ici me sucer la bite! ".

 

Jane tomba à genoux et a commença à ramper vers Brian, ses seins lourds s'agitant d'avant en arrière sous elle. Elle s'est vue enlever ses vêtements tandis que Brian la regardait se déshabiller, son érection grandissant progressivement. Elle se dirigea vers le pénis tendu, ouvrit la bouche largement et fit glisser ses lèvres douces sur le gland! Il avait un goût salé, rassis. Sa bouche allait et venait sur la pine avec furie.


"C'est terrible Jane . Utilise ta langue pour lécher mes bourses pendant que tu suce . . . et prends tout l'engin dans la gorge! ", hurla Brian.


Jane happa la verge qui buta au fond de sa gorge et poursuivit encore son chemin vers le bas. Elle a commença à étouffer, mais ne put s'empêcher d'engloutir toute la verge. Complétement possédée, elle entama un va et vient effréné.


Brian savait qu'il était sur le point de gicler. Il se retint. Enfin, il n'en pu plus et il se vida les bourses en enfonçant sa bite dans la gorge de Jane jusqu'à la garde !. Jane avala tout son sperme et continua ensuite en léchant la verge pour avaler chaque goutte de sperme. Jane ne pouvait pas en laisser une goutte !

 

Brian regarda Jane, "Continue à me pomper ma belle !".


Jane ouvrit la bouche, reprenant le membre en elle. Sa langue tournoya autour du gland, puis s'enroula sur la tige tel un serpent.


"Ok Jane", dit Brian «L'amour ne doit pas être à sens unique !. Ainsi, à partir de maintenant, toutes les fois que je dis le mot con, tu aura un orgasme, un orgasme géant, puissant, à te casser les jambes ! ".


Brian se laissa pomper, admirant les seins blanc, laiteux, les aréoles roses et les tétines bandées. "Con", dit-il.


"OHHHHHHHHHHHHHHH!", gémit Jane, secouée par un orgasme démentiel, qui la secoua si fort qu'elle du agripper les cuisses de Brian pour ne pas s'affaller.


"Con, con, con, con, con, con." s'exclama Brian


"Awwwwwwwww, Ohhhhhh!", s'écria Jane, encore et encore. Cinq fois . . . elle tremblait pour chaque orgasme  . . . elle était comme prise de spasmes !. La verge a glissé de sa bouche, sa langue
la relacha, en essayant de reprendre la pine luisante.


Mon Dieu, pensa Jane . . . que suis-je en train de devenir ?. Je ne veux pas obéir, mais je ne peux pas arrêter. Je n'ai aucun contrôle de mon corps ou de mes émotions.


Malgré le rouleau compresseur des orgasmes, elle recommença à sucer la verge de Brian, la reprenant jusqu'au fonds de la gueule !


Bientôt ses efforts furent récompensés. La verge se retendit.


"Ok Jane", a déclaré Brian "arrête de sucer maintenant. Allonge-toi sur le sol, sur le dos, les jambes bien écartées, offerte, prête à être baisée comme la salope que tu es !. Je veux voir tes doigts s'occuper à nouveau de ta chatte. ".


Jane s'exécuta.


Brian s'approcha d'elle, lui saisit les seins et se mit à les pétrir avec délices. Il se mit à sucer les mamelons et les tétines et à embrasser sa victime à pleine bouche.


Brian prit sa verge en main, la plaça à l'entrée du vagin et pénétra la jeune fille. Lui saisissant les cuisses, il se mit à la labourer avec force.

 

Jamais Jane n'avait été pénétrée par une bite d'adulte aussi grosse ! Elle était remplie . . . comblée !
La chatte étroite de Jane enveloppait la verge de Brian comme un gant.

Jane a rapidement répondu aux mouvements de Brian poussant sa virilité encore plus profondément à l'intérieur d'elle.

Brian se sentait prêt à jouir. Il agrippa les 2 seins, les serra fort  et a cria «con! » tout en sentant son l'orgasme monter.

Quand il prit ses seins en mains, Jane a commencé à hurlé de douleur. Lorsqu'elle a entendu le mot "con", l' orgasme déferla à travers son corps. Empalée à fond sur son membre énorme, elle ne pouvait que s'abandonner

Son orgasme dura à n'en plus finir.

Brian finit aussi par jouir en se vidant dans son vagin.


Brian se leva lentement, en regardant Jane, ses jambes encore écartées, prête à être baisée à nouveau. Ses mamelons étaient encore érigés, bien droit.


Brian constata que son sperme commençait à s'écouler de la chatte de Jane.


«Jane», dit-il: «mon sperme et ta mouille sont en train de s'écouler de ton trou ! Une accro comme  toi ne peut admettre ça !

Les mains de Jane descendirent sur sa chatte, puis dans sa chatte. Ses doigts s'enduisirent de sperme et de mouille. La jeune fille porta une main à sa bouche et lécha les liquide. Puis elle conduisit la seconde main et fit de même pendant que la main précédente retournait à sa chatte.


Brian la regarda faire pendant quinze minutes. La jeune fille se nettoya ainsi totalement l'orifice.


«Jane», ajouta Brian: «Il y a encore du sperme sur ma bite !. Pourquoi ne pas venir ici et la nettoyez en utilisant seulement ta la langue ? ".


Jane se leva sur ses genoux et se dirigea vers Brian, les jambes allongées, la tête plongeant vers le bas à son entrejambe.

Sa langue courut sur la verge molle et les couilles

Sous l'action de la jeune fille, la verge se redressait à nouveau !

 

« Tu es vraiment une superbe lécheuse de bite ! . . . On va pouvoir remettre les plats ! », s'exclama Brian.


Un sourd gémissement de désespoir et de la luxure s'échappa des lèvres de Jane avant d'avaler la bite de Brian jusqu'au fonds de sa gorge.

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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 20:23

Jane se réveilla le lendemain matin et pensa que les horreurs de la veille était tout juste un mauvais rêve.

Elle quitta la douche et commença à enfiler ses vêtements. Elle recula, recevant un choc quand elle  regarda dans le miroir et vit les mots écrits sur le Tee-shirt: «Vous désirs sont des ordres ..."

"Oh mon dieu!», pensa Jane. « Peut-être que ce n'était pas un rêve, après tout. . . Ces salauds vont
payer pour ce qu'ils ont fait! ».

 

Jane quitta sa chambre, avec l'intention de dénoncer les événements de la nuit au doyen. Elle marcha sur le campus et fit irruption dans le bureau du doyen.

"Puis-je vous aider mademoiselle?", lui demanda une secrétaire d'âge moyen.

«Où est le doyen?", demanda Jane: «J'ai été drogué et attaqué par les personnels de la bibliothèque la nuit dernière"

"Oh mon Dieu, dit la secrétaire,« C'est terrible, je ne peux pas imaginer l'un des employés de la bibliothèque faire quelque chose comme ça. Je vais voir si M. Le doyen peut vous voir. "

La secrétaire appela le doyen.

"Il peut vous voir maintenant", dit le secrétaire. "Il suffit de passer cette porte. "

Jane entra dans le bureau du doyen, et dit: "M. Johnson, j'ai été droguée et agressée sexuellement par le personnel de la bibliothèque toute la nuit! "

Le doyen regarda Jane avec scepticisme et lui dit: "Cela semble un peu difficile à croire, Melle. Comment ont-ils pu vous droguer?"

Jane relata les événements de la veille au Doyen.

« Ainsi, selon ce qu'ils vous ont dit hier soir, vous êtes maintenant accro au sperme, et vous ne pouvez plus contrôler vos propres actions? ", a demandé le doyen.

"Oui, mais je pense qu'ils m'ont drogué avec quelque chose qui a touché ma capacité de jugement, hier soir, je suis certaine qu'il est impossible de détruire mon libre arbitre comme ça, définitivement."

Le doyen sourit et dit: "Je suis d'accord, il semble extrêmement improbable que le médicament pourrait avoir un tel effet à long terme. Un tel médicament, s'il existait vous rendrait totalement vulnérable aux caprices des autres. J'ai une question. Pourquoi portez-vous le T-shirt que l'on vous a donné? Si quelque chose comme ça m'était arrivé à moi, il n'y aurait eu aucun moyen pour me le faire porter. "

Jane baissa les yeux et a remarqua qu'elle portait encore le T-shirt arborant les mots: «Vous désirs sont des ordres ..."

«Je.. je. .. Je ne suis vraiment pas sûre», balbutia Jane. "

Le doyen se frotta le menton et dit:  «Eh bien Jane, il y a probablement qu'un seul moyen de voir si le médicament a une incidence sur votre capacité à résister à d'autres souhaits. "

«Que voulez-vous dire?", demanda Jane.

«Eh bien, pourquoi ne pas venir ici et s'asseoir sur mes genoux?", a demandé à le  doyen.

"Quoi?", cria Jane. "Vous êtes un vieil homme lubrique! Comment osez-vous même suggérer cela?"

Mais en criant, Jane se leva et s'assit sur les genoux de l'homme.

« Eh bien », dit le doyen," Il pourrait y avoir quelque chose de vrai en fin de compte!. ". Et sur ce, il commença à caresser les cheveux de Jane et lui dit:" En fait, si le médicament vous fait ce qu'ils vous ont dit, vous êtes probablement prête pour une autre rasade de sperme. "Le doyen sourit et dit:" Je serais heureux de vous aider à prendre votre dose ma chère »

«Non, non, non", cria Jane," Cela ne peut pas se passer ainsi! ". Mais tout en criant, elle  défit la glissière du doyen, passa sa main dans son pantalon et en tira son pénis en érection. Elle se mit ensuite a le sucer avec abandon.

"Oh Dieu ....," s'écria Jane,« Pourquoi je ne peux pas arrêter de le faire? Je suis prête à boire votre sperme. S'il vous plaît jutez en moi », a t elle suppliée.

Le doyen se mit à gémir suite au pompage forcené de Jane sur son pénis. «J'ai une meilleure idée, dit-il, "Enlevez tous vos vêtements, et couchez vous sur mon bureau. "

«Non, s'il vous plaît ne me violez pas!», a déclaré Jane.

«Le viol?", a déclaré le doyen, «Ce n'est pas un viol. Je ne  vous force pas  à faire quoi que ce soit. Je vous ai demandé de me sucer, et vous le faites. Deux adultes consentants peuvent s'amuser un peu. "

"S'amuser?", sanglotait Jane, en finissant d'enlever ses vêtements. "Ce n'est pas amusant, et peu importe ce que vous dites, c'est toujours un viol. Vous savez que je ne peux pas m'en empêcher. "

"J'ai entendu dire ça de toutes les femmes», ricana le doyen, comme il saisit les fesses de Jane à pleines mains, la  tirant vers lui afin d'insérer sa bite en elle. « Le nombre de salopes qui criaient non en pensant oui pour sauver la face! »

"Vous êtes vraiment une bonne baiseuse », dit le doyen, comme les larmes coulaient sur le visage de
Jane. « Je veux que vous jouissiez pour moi Jane. Je veux vous voir avoir un orgasme!

A ces mots, les ondulations de plaisir ont commencé à circuler dans le corps de Jane. Peu à peu, elle  bascula dans l'orgasme.

"S'il vous plaît laissez-moi arrêter", a crié Jane, "je. .. je. Je ne peux pas prendre beaucoup plus . . . "

Encore excitée par le doyen, Jane se contorsionna encore, et quelque minutes plus tard, il éjacula dans sa chatte.

"Vous pouvez arrêter de jouir dit le doyen, en tirant un mouchoir et en s'essuyant le front. "Je n'ai pas eu un aussi bon entraînement depuis des années », dit-il en riant.

Jane était épuisé par l'ampleur de son propre orgasme. Le sperme du  doyen a commencé à suinter de sa chatte sur le bureau.

"Ma chère, » dit le doyen,« Vous devez encore avoir soif de sperme, n'est-ce pas.?"

Le doyen remis à Jane sa tasse de café et dit: «Ici, asseyez-vous et remplissez cette tasse avec le reste de mon jus. "

Jane se leva et se mit à remplir la tasse avec le jus qui coulait de sa chatte.

"Allez Jane", dit en riant le doyen, comme Jane buvait avidement la tasse, "Jusqu'à la dernière goutte, hein?"

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Mercredi 28 décembre 3 28 /12 /Déc 22:27

Jane voulait devenir « quelqu'un ». Agée de 24 ans, elle était déterminée à réussir ses études de droit et à devenir avocate d'entreprise. Rien d'autre ne comptait pour elle. Les autres personnes n'étaient que des pions et des marionnettes qui n'existaient que pour l'aider à atteindre son but. Sa très grande beauté même n'était qu'un simple outil qu'elle utilisait pour obtenir, surtout des hommes, des avantages dans sa progression. Et belle, elle l'était: grande, blonde, la peau blanche, les yeux verts et la poitrine opulente, les fesses charnues, les cuisses pleines, elle faisait tourner toutes les têtes!

 

Malheureusement pour Jane, le destin était en train de tourner.

Jane était comme un démon pour le personnel de la bibliothèque de l'école. Elle faisait des demandes impossibles que le personnel de la bibliothèque avait le plus grand mal à satisfaire, et en retour traitait ses interlocuteurs avec le plus grand mépris. Après six mois de ce traitement, le personnel était prêt à riposter par la vengeance.

«Où sont les livres que j'ai demandé?, s'écria Jane, "Comment vais-je passer mon examen si je n'ai pas mes livres? "

Le jeune homme qui faisait l'objet de son attaque, Tom, resta calme et serein.

«J'ai mis vos livres de côté Melle, dans une cabine spéciale," déclara t-il. «Je ne voulai pas que quelqu'un d'autre mette la main sur vos livres. Venez avec moi, et je vais vous montrer où ils sont. "

Tom conduisit Jane dans une petite pièce à l'arrière de la bibliothèque. Sur le bureau étaient posés le livres qu'elle avait demandé.

"Je pense que vous verrez que c'est un endroit beaucoup plus propice à l'étude », dit Tom, "Vous n'aurez pas beaucoup de distractions ici."

"Je ne sais pas pourquoi vous n'avez pas juste dit que les livres étaient ici !, dit Jane, "Maintenant fichez le camp d'ici! Comment voulez-vous que je puisse étudier dans le calme? "

"Désolé Melle », dit Tom en fermant la porte.

Tom quitta la pièce et alla dans la buanderie adjacente. À partir de celle-ci, il pouvait voir Jane par l'évent. Il sortit un petit flacon de sa chemise, puis sortit d'une cache un masque à oxygène. Il brisa la bouteille sur le côté du mur, à côté de l'évent. Au contact de l'air, le contenu de la bouteille se transforma en fumée qui s'infiltra à travers l'évent dans le pièce où Jane étudiait.

"Qu'est-ce qui se passe?", déclara Jane lorsqu'elle remarqua la fumée qui traversait l'évent . . . juste avant de s'évanouir !

Jane se réveilla quelques heures plus tard. Lorsqu'elle leva les yeux, elle vit Tom.

« Vous semblez vous être assoupie . . . la bibliothèque est fermée depuis plus d'une heure », dit Tom.

«Assoupie?", a déclaré Jane, «Il y avait une sorte de fumée ici, je . . . vais poursuivre tout le personnel de la bibliothèque pour ça! "

«Je ne pense pas que vous allez me poursuivre, ou qui que ce soit d'autre d'ailleurs Jane », dit Tom. "Ce n'était pas de la fumée ordinaire. C'était un puissant médicament qui a neutralisé cette partie de votre cerveau que vous pourriez appeler votre «Libre arbitre». A partir de maintenant, vous serez à la merci de n'importe qui et de tout le monde !. Vous ferez tout ce que l'on vous demandera de faire, . . .quoique cela soit!"

«Qu'est-ce que vous racontez? », demanda Jane. Je me sens un peu groggy, mais je suis en pleine possession de mes capacités. Je vais de vous signaler à la bibliothécaire en chef. "

"Je vois que je vais devoir démontrer les effets complets de cette drogue », dit Tom. "Debout!"

Bien qu'elle n'ait pas voulu suivre les ordres de Tom, Jane se leva.

«J'étais sur le point de me lever et de partir de toute façon, dit Jane, en essayant de cacher le fait qu'elle ne pouvait pas résister à la demande de Tom.

"Oh, vous partirez bientôt d'ici," dit Tom, "mais probablement pas de la façon que vous prévoyez. Déshabillez-vous, Jane. "

«Quoi! Vous êtes fou!", déclara Jane.

Mais, tout en parlant, elle commença à déboutonner son chemisier.

"Si vous pensez que je vais croire à votre histoire, vous êtes ravagé! ", déclara Jane, en enlevant son chemisier et en laissant tomber sa jupe à ses pieds.

«Vous voulez me faire croire que je n'ai plus le contrôle de moi-même? Quelle rigolade! ", déclara Jane tout en défaisant son soutien-gorge et en mettant ainsi ses lourds seins blancs à l'air, exposant à la vue de Tom ses larges aréoles roses et ses grosses tétines qui pointaient facilement.

«Il y a autant de chances de me voir enlever mes vêtements que je folâtre nue à travers le campus », déclara t-elle en faisant glisser sa culotte et en mettant à nu sa chatte aux poils blonds épars qui masquaient difficilement ses grosses lèvres roses.

«Je suppose que votre esprit ne sait pas pas encore ce que votre corps a fait », dit Tom le sourire aux lèvres. "Belle paire de miches que vous avez là Jane !».

«Comment diable pouvez-vous savoir? », dit Jane.

À ce moment, Jane baissa les yeux avec horreur et découvrit sa nudité.

"Oh mon Dieu, qu'avez vous fait?!", déclara Jane alors qu'elle tentait de se couvrir les seins et la chatte.

"Moi, je n'ai rien fait", a déclaré Tom. "Vous avez enlevé vos vêtements toute seule . . . de votre plein grès !. Placez vos bras à vos côtés et arrêtez d'essayer de vous couvrir comme ça. En fait, pourquoi ne pas faire un demi-tour pour moi et ainsi me permettre de mieux admirer votre cul?. "

"Salaud!", à lancé Jane tout en tournant lentement pour donner à Tom une meilleure vue de son corps. «Pourquoi fais-je cela?"

"Vous me semblez un peu plus ouverte aux suggestions que d'habitude », dit en riant Tom. "Allez, retournons dans la partie principale de la bibliothèque, il y a des personnes qui attendent de vous voir. "

«Que voulez-vous dire pervers?», a déclaré Jane, tout en ne pouvant s'empêcher de suivre Tom dans la section principale de la bibliothèque, où environ 10 personnes étaient assises attendant son arrivée. Quand Jane arriva, elle fut accueillie par les huées, hurlements et sifflements.

«Ça marche!", à déclaré Sam, un autre membre du personnel de la bibliothèque, je ne peux pas croire que ce truc a vraiment fonctionné! "

«Vous êtes morts!", a crié Jane. "Attendez que la bibliothécaire en chef découvre cela! "

"Mais je le sais déjà, ma chère, dit Sarah, la bibliothécaire en chef de l'école. «J'ai subi vos accès de colère trop longtemps. Un de mes amis tente de mettre au point un médicament qui aidera les gens à profiter davantage de la psychothérapie. Le seul problème avec ce médicament est qu'il semble avoir un effet secondaire permanent si de fortes doses sont administrées. Si la posologie est assez forte, le médicament détruit la partie du cerveau qui contrôle le libre arbitre. Tout le reste de la personnalité reste identique mais elle devient très sensibles à faire tout ce qu'on demande d'elle. Si mon ami a vu juste, vous êtes maintenant à la merci de tout le monde et n'importe qui peut vous demande de faire ce que bon lui semble . . . Testons de suite! Pourquoi ne pas nous donner un petit spectacle ?. Je veux que vous vous branliez devant nous !"

«C'est tout un tas de bêtises!", à déclaré Jane, alors que sa main s'égarait vers son pubis. "Vous ne pouvez pas faire ce genre de chose!"

« Pourquoi ne pas vous allonger sur la table . . . en écartant bien les jambes afin que chacun puisse regarder comme vous vous secouez le clito? "

«Mon Dieu, ceci est trop humiliant", sanglotait Jane. "S'il vous plaît me faites pas faire cela devant tous ces gens. "

Jane se mit à frotter son clitoris de plus en plus vite avec une main, et à presser ses seins avec son autre main.

«Non, non .. je m'arrête, je vais jouir! S'il vous plaît, s'il vous plaît . . . pas plus", a déclaré
Jane alors que son corps a commencé à entrer dans les convulsions de son orgasme. «Salauds! Je vous ferez regrettez ces horreurs au centuple!"

«Comme vous regrettez d'avoir traité tout le monde ici comme de la merde? », demanda Sarah.
"Très bien, vous pouvez arrêter maintenant, j'ai d'autres choses que je veux essayer de toute façon. "

"D'autres choses?!, s'écria Jane," Non, s'il vous plaît, je suis désolé je vais être plus agréable à l'avenir. "

"Un peu tard pour cela Jane !», dit Sarah. "Il n'y a pas d'antidote à la drogue que vous avez ingérée. Je crains que nous ne pouvions pas changer ce que vous êtes devenue, même si nous le voulions. . . Mais heureusement, personne ici ne le veux ! Quelqu'un d'autre veut suggérer quelque chose à l'esprit de Jane? "

"J'ai une idée", a déclaré Sam. "Je pense que vous avez besoin d'un changement de régime. . .
A partir de maintenant, vous serez accros au sperme. . . On dit que le meilleur moment pour commencer un nouveau régime est de suite. Pourquoi ne pas goûter à ma bite, Jane? ».

Les larmes se précipitant sur son visage, Jane s'approcha de Sam,défit sa fermeture éclair et sortit sa queue. Elle le prit dans sa bouche et commença à le sucer.

"Prends ton temps, et attention à tes dents! », dit Sam. "Dans le cas contraire, nous allons faire de toi une prostituée! »

"S'il vous plaît, s'il vous plaît, giclez dans ma bouche, . . . j'ai besoin d'avoir votre sperme », dit Jane conformément à la suggestion de Sam.

"OK, Jane, ça vient », dit Sam, en éjaculant dans sa bouche. Puis, elle se précipita pour lécher une tache de sperme qui avait raté sa bouche et a atterri sur le plancher de la bibliothèque.

«Ca a bon goût, hein? », dit en riant Sam:« Eh bien, si vous êtes gentille avec moi, vous
pourrez venir à moi pour une dose à n'importe quel moment. "

«Eh bien jeune fille, je pense que nous avons suffisamment de plaisir pour cette nuit», dit Sarah, "Mais avant de vous quitter, je veux vous donner un présent que j'ai fait pour vous. A partir de maintenant, vous le porterez tous les jours. "

Elle rit en tendant un T-shirt rose flashy qui avait, «Vos désirs sont des . . . ordres "écrit sur le devant.

"Mettez votre nouveau T-shirt et votre jupe et rentrez chez vous", a déclaré Sarah. « J'espère pour vous que vous vous habituerez à votre nouveau style de vie bientôt ! "

"J'ai dit que votre t-shirt et une jupe!", à déclaré Sarah, avant que Jane ne commence à enfiler sa culotte. "Laissez vos sous-vêtements ici . . . vous n'en aurez plus besoin maintenant !."

« Je vais tous vous dénoncez ", a déclaré Jane," Et... je me vengerai de vous tous. "

"Nous verrons, ma chère, . . . nous verrons, dit en riant Sarah.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'humiliation de Jane, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 28 décembre 3 28 /12 /Déc 21:53

L'humiliation de Jane est le 1er récit érotique en anglais que j'ai adapté en français. Plus qu'un récit, c'est d'ailleurs une série de récits  qui se suivent écrits par des personnes différentes. Je parle d'adaptation, car je ne l'ai pas simplement traduit, mais aussi retravaillé, certains thèmes étant à mon goût, mais d'autres non.

 

Vous trouverez les récits originaux à l'adresse suivante:

 

http://www1.asstr.org/~mcstories/HumiliationOfJane/index.html

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