Chapitre 6a Tammy fait du shopping centre commercial Partie 2 : nouvelles tenues
En sortant du magasin, Tammy portait les deux sacs pleins de nouvelles chaussures.
"Tantine, qu’est-ce qui va arriver à Kelli?", demanda-t-elle
"Elle va être mise à la place qui lui revient en devenant le jouet sexuel lesbien d'Amber.", répondit Gwynn d’un ton neutre.
Désemparée, Tammy arrêta de marcher et secoua lentement la tête.
Gwynn arrêté aussi, regarda l'adolescente désemparée et sourit.
"Tammy chérie, ne te sentent pas triste, au contraire, soit heureuse. Tu as aidé Kelli à connaitre son vrai moi de salope lesbienne. Maintenant elle va être beaucoup plus heureuse en lécheuse de chatte soumise d’Amber. ", expliqua Gwynn à sa nièce.
Gwynn saisit Tammy derrière le coude et la tira pour la faire avancer.
"Viens, nous avons de quoi nous occuper cet après-midi !"
Tammy trébucha en marchant, mais se rattrapa avant de tomber. Maintenant qu’elle avait les mains pleines avec les sacs, elle était terrorisée à l’idée qu’une brise soulève sa jupe minuscule de majorette et expose ainsi son cul nu aux passants. C’était déjà assez pénible d’avoir ses mamelons durs comme de la pierre. Ils pointaient comme des billes sur les pointes de ses seins, pointus et fiers. S’imaginer montrant son cul nu à quelqu'un la faisait rougir juste à y penser.
Gwynn conduisit Tammy dans le bas du centre commercial. La jeune adolescente avait du mal à suivre, mais sa tante la tenait fermement par un bras et l'a traînait sans lui laisser le temps de se reprendre. Gwynn conduisit Tammy à un magasin de vêtements pour adolescentes très populaire afin de lui trouver quelques nouvelles tenues.
Tammy était horrifiée alors qu'elles s’approchaient de la porte de la boutique : ses cousines l'attendaient devant. Elles étaient habillées avec leurs tenues de cheerleaders et faisaient mauvaise figure. Les bras croisés, Kari mâchait un chewing gum et Becky avait l’air renfrogné. Elles étaient évidemment contrariées d'avoir à être là.
"Alors maman, tu as trouvé de nouvelles chaussures à la petite gouine?", demanda Becky alors que Kari claquait une bulle.
"Oui, maintenant nous allons lui acheter de beaux vêtements.", répondit Gwynn.
Tammy se souvint alors soudain qu'elle ne portait pas de sous-vêtements. Comment allait-elle faire ? Peut-être, le magasin avait-il des vestiaires privés afin qu’elle soit à l'abri des regards indiscrets.
Elles sont entrées dans le magasin et se baladèrent dans les rayons pour regarder les vêtements. très Bien que très à la mode, tout semblait vraiment trop trash à Tammy. Elle n’était pas comme cela. Elle voulait juste une paire de jeans confortables et un sweat-shirt, mais ce magasin ne vendait que des vêtements « nouvelles tendances » très sexy : Short, petites jupes et chemises à la mode.
Elle ne voulait vraiment pas à porter tout ça.
Après avoir fait le tour de la boutique, Gwynn emmena Tammy aux vestiaires et en trouva un disponible. Gwynn fit entrer Tammy à l’intérieur de la cabine, et entra avec elle.
"Déshabille-toi, nous allons essayer quelques nouvelles tenues."
Tammy s’était enfoncée dans un coin de la cabine.
"S’ il te plaît, tante Gwynn"
"Allons, obéit ! Nous serons de retour avec quelques tenues pour les essayer sur toi . . . Maintenant. Tes Vêtements!"
Tammy secoua la tête et se blottit plus profondément dans le coin.
"Petite garce!" dit Gwynn, les dents serrées. Elle fit un pas vers Tammy et avant que l’adolescente puisse réagir elle gifla la jeune fille du revers de la main. Tammy hurla de douleur et tomba sur le sol de la petite pièce aux pieds de sa tante, stupéfaite. La force de la claque était telle qu’elle vit des étoiles et s’évanoui presque. Elle posa une main sur son visage en se soulevant à moitié sur le coude de son autre bras. Elle était trop choquée pour pleurer, trop choquée pour faire autre chose que rester là.
"Sale petite lesbienne!", dit Gwynn, bouillonnant de colère alors qu’elle dominait l’adolescente de toute sa hauteur, "je te prends pour faire des courses et j’achète tous ces beaux vêtements neufs, et c’est l'attitude que tu adopte!".
Gwynn recula alors, prit une inspiration tremblante, desserra les poings et les dents, prit un second souffle et se détendit visiblement. Elle se força à sourire et à poursuivre d'une voix calme: «Regarde ce que tu m’as fait faire petite ingrate ! Tes actions stupides m’ont fait perdre mon sang-froid ! Quand on sera à la maison, tu feras connaissance avec la canne !".
Elle attrapa la jeune fille par les cheveux et l'a força à se tenir au milieu de la cabine alors qu’elle hurlait de douleur
"Maintenant, à poil !". Elle fit claquer ses doigts et lui tendit la main.
Tammy sanglotait, les larmes coulaient sur ses joues et elle avait du mal à respirer entre ses sanglots.
«Snuff-unnnngh, sniff-unnngh, sniff-unnngh.", bredouillait-elle.
Mais elle ôta ses vêtements à contrecœur. Ce n’était d’ailleurs pas un grand effort vu ce qu’elle portait. Le petit débardeur glissa rapidement sur sa tête libérant ses seins lourds parfaits et la petite jupe glissa sur ses jambes dévoilant sa chatte. Elle remit chaque vêtement à sa tante qui les prit en regardant la jeune fille.
"C’est mieux. Maintenant, j’espère que tu as appris ta leçon. Je n’aime pas perdre mon sang-froid. Tu dois essayer d'être une meilleure nièce dans l'avenir et faire ce que ta tante te dit. Si tu ne comprends pas, je vais me fâcher à nouveau, et ça ira mal pour toi. Je veux dire VRAIMENT mal! Tu peux être une vraie petite garce ingrate parfois. Il est nécessaire que je t’enseigne les bonnes manières, pour ton propre bien."
Gwynn mit fin à la discussion et sortit, laissant Tammy nue dans le vestiaire, toujours prise de sanglots incontrôlables.
"Unnnngh, sniff-unnngh.".
Il lui fallut un certain temps pour calmer ses reniflements.
"Sn-sn-sniff, sn-sn-sn-sniff.".
Tammy s’assis sur un petit banc de métal, avec ses jambes repliées, serrées contre elle et ses bras croisés sur ses seins opulents. Recroquevillée dans cette position quasi fœtale dans le coin de la cabine, elle écoutait la sirupeuse musique pop pour ado qui passait dans les haut-parleurs du magasin.
Peu à peu, elle se calma et commença à se demander où sa tante et ses cousines étaient parties aussi longtemps. À contrecœur, elle se leva avec seulement des tongs aux pieds et se dirigea lentement vers la porte de la cabine. Elle ouvrit la porte, mais ne vit aucun signe de sa tante ou de ses cousines. Elle referma la porte, ne sachant quoi penser.
Elle finit par ouvrir la porte à nouveau.
Elle ne vit personne. Deux autres portes de cabines étaient fermées mais trois autres étaient ouvertes et vides. Tammy se décida alors à sortir de la cabine pour essayer de mieux voir dans le magasin.
Elle glissa sur les tongs pour être plus silencieuse, franchit doucement la porte, se retourna vers les deux portes fermées avec appréhension et se dirigea vers le magasin lui-même en regardant autour d’elle, inquiète. Dans la boutique, elle vit sa tante parler à 2 femmes. Elle la vit pointer le dressing du doigt et ensuite les trois femmes éclater de rire. Ses cousines déambulaient dans le magasin regardant les vêtements, chacune d'elles tenant plusieurs vêtements dans leurs bras.
Tammy ne savait pas quoi faire. Elle se tenait bout, immobile, nue, au niveau de la porte du dressing, regardant dehors. Elle se mordit la lèvre inférieure de consternation. Elle décida de retourner dans sa cabine.
Soudain, une voix se fit entendre derrière elle.
"Que faites-vous là?"
"Eek", s’exclama Tammy en se retournant et se retrouvant confronté à une vendeuse avec un badge accrochée à la poitrine : "Gretchen". Elle essaya de couvrir ses seins et sa chatte nue pour les dérober à la vue de la vendeuse mais elle se tenait trop près.
"Que faites-vous totalement nue ici?", reprit celle-ci en regardant Tammy avec désapprobation.
Tammy ne comprenait pas d’où sortait la femme. Elle ne réalisa pas qu’elle était dans une des cabines en attendant qu’elle sorte de la sienne.
"Je ... euh ... Je", bredouilla Tammy en reculant vers les cabines, tout en essayant de couvrir sa poitrine et sa chatte. Elle heurta un mur et sentit la froideur de la peinture sur son cul nu.
"C’est une conduite vraiment amorale !", déclara Gretchen, "Je vais aller appeler la sécurité du centre commercial, je suis sûre qu'ils appelleront la police et que vous serez arrêtée."
"Non ... je ... s’il vous plaît, je suis en attente ... pour ..."
"En attente? Nue ? En attente de quoi?"
Tammy était terrifiée et ne pouvait pas prononcer un mot. Elle balbutia : "ff-ou ... ff-pour ..". Elle arriva finalement à pointer le doigt vers Gwynn de l'autre côté du magasin.
"Avance!", ordonna dit la vendeuse en attrapant Tammy par l'oreille et en la traînant dans le magasin pour aller voir Gwynn.
"Owww, oowwweee, ssstoppp!", s’écria Tammy alors qu’elle était forcée de trotter nue derrière la vendeuse dans le magasin.
"Silence salope !", lança Gretchen en giflant le cul de Tammy.
SMACK !
"Silence ou je te sors du magasin et j’appelle la sécurité!"
La vendeuse tordait l’oreille de Tammy douloureusement. Tammy inspira entre ses dents, mais resta silencieuse, et Gretchen continua à traîner l'adolescente nue et impuissante dans le magasin jusqu'à se retrouver devant les trois femmes qui discutaient.
Gwynn roula des yeux en signe de gêne alors que les 2 femmes avec qui elle discutait et Gretchen regardaient la scène avec désapprobation. Tammy essaya de couvrir ses seins exposés avec son bras et sa chatte avec son autre main, mais devait laisser le reste de son corps nu exposé aux yeux de toutes. Les 3 femmes autour de Gwynn examinèrent Tammy de haut en bas avec des regards lubriques et voraces. Tammy eu peur en croisant le regard de ces femmes.
"Est-ce que c’est votre fille?", demanda Gretchen sur un ton autoritaire.
"Mon Dieu, NON!!", s’exclama Gwynn en faisant un geste de rejet vers Tammy. "Ma fille ? Non mon Dieu, c’est une chienne lesbienne, qui arrive malheureusement à être ma nièce!"
Gwynn posa une main sur sa hanche, leva un sourcil et regarda Tammy qui cherchait toujours désespérément à couvrir sa nudité vis-à-vis des quatre femmes rassemblées autour d'elle.
"Que fais-tu là? Je t’ai demandé d'attendre dans le dressing !".
Tammy ne pouvait pas répondre car la vendeuse tenait encore son oreille d'une main de fer et la douleur l'empêchait de parler. Gretchen tordit encore plus l’oreille.
"Réponds petite idiote!"
"Ahhhh, ow ow owee, je cherchais juste à te retrouver ma tante! S’il vous plait, arrêtez!", répondit Tammy suppliante.
"Je dois appeler la police madame.", déclara Gretchen.
"Oh vous ne pouvez pas faire cela", répliqua Gwynn. «Nous sommes ici pour acheter à Tammy toute une garde-robe de vêtements.".
Gwynn tendit la main et saisit le poignet de Tammy, prenant le contrôle de l'adolescente. Gretchen lâcha son oreille.
"Mais elle mérite certainement une punition pour ce comportement scandaleux !", ajouta Gwynn.
Gretchen dit : "hmmm, oui, je suppose que nous pouvons passer sur cette faute, tant qu'elle est puni comme elle le mérite."
Gwynn traîna la jeune fille derrière elle sur un banc dans le milieu de la boutique. Elle s’assit et amena l'adolescente nue sur ses genoux. Tammy tomba sur les genoux de sa tante, ses seins suspendus libres sur un côté des cuisses de sa tante.
SMACK! SMACK! SMACK!
"NOOOOONNNNNN! S’il vous plait! Ow owweee!", supplia Tammy alors que Gwynn commençait à lui claquer les fesses sans avertissement.
"Tais-toi petite gouine!"
SMACK! SMACK! SMACK!
Les seins rebondis de l’adolescente gigotaient contre le pantalon de soie de Gwynn avec chaque claque brutale sur les fesses.
Tammy savait maintenant qu’il ne servait à rien d’argumenter et commença à pleurer doucement, plus d'humiliation que de douleur.
"Mmmmm, mmmph, sniff, mmmmmmeeeee.".
"Tu n’es qu’une petite salope lesbienne en rut!"
SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!
"M’embarrasser ainsi devant mes amies!"
SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!
Gwynn arrêta de fesser la jeune fille et dit: "Salope comme tu es, je parie que tu es toute mouillée. Voyons ça !". Et elle glissa la main qui venait de fesser Tammy sur la chatte de la jeune fille.
"S’il te plaît, pas, pas ici tantine, s’il te plait", gémit Tammy en agitant son cul pour essayer d’échapper à la main de sa tante.
SMACK! SMACK!
"Tais-toi!", ordonna Gwynn alorsque qu’elle commençait à explorer les lèvres intimes de Tammy. Elle glissa ses doigts dans les plis du vagin et le trouva seulement légèrement humide. Mais Gwynn savait comment faire mouiller une femme, et ses doigts s’agitèrent de telle façon que la chatte commença à briller en s’humidifiant contre la volonté de Tammy. Assez en tout cas pour que Gwynn puisse retirer ses doigts poisseux triomphalement et les montrer aux femmes rassemblées autour des fesses maintenant rosées de l’adolescente.
"Regardez la petite perverse, elle mouille, alors même qu’elle se fait punir nue en public ! Mais nous n’avons pas le temps pour ces jeux maintenant!".
Smack!
"Maintenant . . . "
SMACK! SMACK!
" . . . je veux que tu t’excuse auprès de Madame de ton comportement obscène . . . ".
SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!
". . . puis tu retourneras à la cabine d’essayage et tu m’attendra !"
SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!
Et elle frappa de toutes ses forces pour pousser Tammy sur le sol d’une claque finale.
L’adolescente trébucha à ses pieds, essayant de se couvrir à nouveau ses parties intimes, mais elle se tourna vite vers la vendeuse et dit :"Je suis désolée."
«Je vais m’en contenter pour cette fois, mais je pense toujours que tu n’es qu’une petite salope dégoûtante pour parader nue de la sorte !", répondit Gretchen en fronçant les sourcils.
Tammy n’attendit pas son reste et trotta vers la cabine d’essayage.
Elle y revint sans autre incident et s’assis dans un coin dans une position presque fœtale à nouveau.
Quelques minutes après, la porte s’ouvrit et sa cousine Becky entra avec quelques chemises.
"Allez, la gouine, essaye ça !"
Dès lors Tammy se retrouva au centre d’un tourbillon. Les filles apportèrent des vêtements. Sa tante apporta des vêtements. Elle était déshabillée et habillée et dépouillée à nouveau. Gwynn demanda à Gretchen la vendeuse de lui venir en aide, et elles ramenèrent tenue après tenue pour que Tammy les essayent.
À un certain moment Tammy s’est retrouvée au milieu de la boutique en face d'un miroir à trois glaces, totalement nue. Ses mamelons étaient durs à cause de l'air frais dans le magasin, elle ne pouvait plus penser, sa tête lui tournait. Elle essaya de couvrir à la fois ses seins et son entrejambe, mais c’était sans espoir.
Les femmes choisissaient la tenue qu’elle allait porter pour la journée. Sa tante avait mis sur Tammy un chandail en cachemire blanc. Tammy enfila le chandail doux et le boutonna bouton après bouton.
"Eh bien mesdames, qu’en pensez-vous ? », demanda Gwynn à Gretchen, Becky et Kari. "marche et tourne sur toi-même Tammy afin que nous puissions obtenir une vue complète."
Tammy se mit à marcher lentement, exposant le chandail en cachemire qu’elle portait ainsi que son cul nu et chatte. Elle s’empressa d’obéir, elle ne voulait pas avoir une autre fessée. Elle vit ses deux cousines se moquer d'elle tranquillement. Les femmes rassemblées autour d’elle hochaient la tête et convenaient avec Gwynn que Tammy portait très bien le chandail.
Elles trouvèrent une belle jupe plissée bleu marine pour aller avec. Tammy remit ses socquettes blanches et ses baskets pour compléter sa tenue.
Gwynn passa en caisse et paya.
"Maintenant, Tammy, tu dois t’excuser auprès de Gretchen une fois de plus, et la remercier pour toute l'aide qu’elle a fourni pour t’aider à choisir tes nouveaux vêtements", dit Gwynn en saisissant le bras de Tammy d’une prise ferme et la tira pour faire face à la vendeuse.
"Je ... je suis désolée et je vous remercie."
"Hrrmm, soit, mais je pense toujours que tu es une salope de lesbienne!", répondit Gretchen.
Tammy a été toute penaude d'être ainsi insultée.
"Je sais Gretchen . . . ", répondit Gwynn. ". . . nous essayons de traiter sa déviance sexuelle. Tammy fait des efforts, mais c’est tellement difficile pour elle d’assumer d'être une nymphomane lesbienne. Elle ne peut vraiment pas s’empêcher de se comporter comme une salope."
Tammy baissa la tête et laissa pendre ses cheveux devant son visage, essayant de se cacher de l'humiliation et du mépris jetés sur elle par sa tante Gwynn.
"Maintenant", a déclaré Gwynn, "nous allons nous occuper des petites culottes ! Je sais que tu as pris l’habitude de ne pas en porter, mais on ne peut pas continuer comme ça ! ». Gwynn éclata de rire à nouveau devant l'inconfort supplémentaire de sa nièce.
"C’est parti ! Venez les filles !", lança Gwynn en sortant du magasin. Tammy, dans son nouveau chandail blanc et sa jupe plissée bleu portait plusieurs sacs remplis de vêtements neufs. Il y avait tant de nouvelles tenues que ses cousines devaient porter aussi des sacs. Elles étaient donc grincheuses, mais Gwynn avait insisté pour qu’elles aident "leur pauvre cousine".
Gwynn se dirigea vers « Fredericks », car ce magasin avait le plus grand choix de sous-vêtements coquins pour Tammy.
"Tu vas voir Tammy, ici, il n’y a pas de limite au choix !"
Gwynn circula dans le magasin comme s’il lui appartenait.
Une vendeuse assez âgée approcha et demanda: "Puis-je vous aider?"
"Oui, vous pouvez . . . cette jeune fille souhaite porter de la lingerie pour adulte. J’ai besoin de culottes, soutien-gorge, nuisette et de la lingerie."
Les fessées, la peine et l'humiliation avaient usées Tammy qui se laissa traiter comme une poupée, déshabiller et vêtir comme un jouet. Elle se tenait dans le dressing, nue. Sa tante s’assit sur une chaise et la vendeuse apporta différentes culottes, soutien-gorge et autres lingeries sexy pour qu’elle les essaye.
Une seconde elle se retrouva en string.
"Non", dit sa tante.
Puis elle se retrouva vêtue d’une culotte en dentelle.
"Oui, c’est délicieux.", commenta Gwynn.
Puis, d’un shorty court et soutien-gorge assorti.
"Oui."
Cela dura un certain temps, sa tante évaluant chaque pièce de vêtement que Tammy essayait.
A la fin, Tammy enfila un shorty moulant blanc en dentelle qui ne cachait rien de son intimité. Gwynn lui dit de s’habiller. Elles marchèrent jusqu'à la caisse enregistreuse et Gwynn paya tous les vêtements.
"Viens ici Tammy.", dit Gwynn.
Elle saisit une paire de ciseaux de la vendeuse, leva la petite jupe de Tammy et coupa l'étiquette de la culotte qu'elle avait sur elle.
"Ça fera 273 dollars.", dit la vendeuse
"Jeune fille, j’ai dépensé une petite fortune aujourd'hui pour t’équiper en belle jeune femme sexy. Je m’attends à ce que tu me montre ton plaisir pour toutes les belles choses que je t’ai acheté."
Tammy ne savait pas quoi dire. Abusée, molestée, endolorie, elle était brisée. Elle se tenait juste en face de sa tante incapable de dire quoi que ce soit.
Gwynn grimaça, " je vois que nous allons avoir à travailler sur toi pour t’enseigner les bonnes manières !"
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires