Tammy et Gwynn, par Annie The Slick

Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 22:27

Le site "Understories" sur lequel Annie The Slick publiait maintenant son histoire "Tammy et Gwynn" a été hacké. Il ne fonctionne actuellement plus. Les fidèles de cette série sont donc privés de la suite par des crétins finis!

Heureusement pour nous francophones, Annie a eu la gentillesse de m'envoyer en primeur le chapitre 5 de sa série.

Vous allez donc le découvrir en avant garde, avant sa publication en langue anglaise!

Merci mille fois Annie!

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Jeudi 15 janvier 4 15 /01 /Jan 21:51

Interlude 4 – L’asile

Samantha a été conduite à nouveau dans la salle d'entrevue, toujours nue, en camisole et avec un baillon-anneau dans la bouche. Sa bave coulait de sa bouche de façon incontrôlable. Ses yeux reflétaient le cocktail de médicaments, d'amphétamines et d'hallucinogènes dont elle était gavée quotidiennement.

La réalité pour elle était maintenant composée de chatte, de culs et de seins . . . . . de douleur et de baise.

Les deux infirmières la déposèrent sans ménagement au milieu de la pièce

Elle s’agenouilla avec difficulté et leva les yeux vers le bureau du Dr Zanier, regardant entre ses cheveux gras et emmêlés.

GWYNN !

Sa sœur était là! Debout dans un costume de soie grise parfait, avec une coiffure élégante, sure d’elle.

Samantha hurla de rage.

"UUUHHNNNNFFFFF !!", cria t-elle en vain, étouffée par le bâillon-bouche vicieux coincé dans sa bouche.

Gwynn a juste souri, "Bonjour Sam."

Le Dr Zanier regarda une soeur puis l'autre et laissa échapper une longue expiration de fumée de cigarette dans la pièce.

Samantha essaya de se débattre dans sa camisole de force. Agitant les bras et secouant la tête. Le Dr Zanier hocha la tête vers l'une des infirmières. La femme forte balança un coup de pieds dans l'estomac de Samantha. Samantha grogna et se s’effondra sur le sol.

Le médecin écrasa sa cigarette et se leva.

"Heureuse que vous ayez pu venir Mlle Panzer. Je suis très heureuse de cette nouvelle technologie : votre sœur sera la premier à l’expérimenter."

Elle se dirigea vers le placard, l'ouvrit et en sortit une grande serviette noire.

«C’est une aide à la formation" dit-elle. "Il y a trois morceaux". Samantha cessa de pleurer et essaya de voir le dispositif.

Le médecin sortit d’abord une paire de lunettes avec des écouteurs connectés. «Ce sont des lunettes qui émettent une séquence de lumière hypnotique et un clip vidéo."

Elle le posa sur son bureau et sorti l'élément suivant. «C’est l'unité de commande. Sans fil et qui permet d'adapter le programme approprié pour notre patiente.".

Puis elle sortit le dernier point : "la ceinture de chasteté de formation brevetée."

Elle tenait fièrement l’objet devant Gwynn et Samantha. Les yeux de Samantha s’écarquillèrent sous le choc et la peur. Elle n’allait pas lui faire porter ce truc?!

Il était noir et brillant. Cela ressemblait à une culotte en plastique avec des électrodes et des tubes qui tapissaient l'intérieur. Il ressemblait à un dispositif de torture d’un film de science-fiction.

"Comme vous pouvez voir la fabrication est de la plus haute qualité. Nous avons mis l'accent sur la stimulation électrique du clitoris du sujet, cela peut provoquer une vibration de choc ou pulsée. Il y a aussi un dispositif de pénétration vaginale rétractable et l'élément de pénétration anale correspondant. Ceux-ci peuvent être réglés sur un rythme ou désactivés ou simplement insérés avec leur propre système de vibration".

Le docteur sourit

"J’ai un programme par défaut qui alterne entre un programme de sommeil de 2 heures suivit par une routine d'hypnose de 20 minutes et une routine de stimulation de 45 minutes puis 2 heures de sommeil à nouveau. Ça se répète toute la nuit. La patiente doit avoir une bonne nuit de sommeil et en même temps renforcer son identité sexuelle de lesbienne dépravée. Naturellement pour Samantha nous prévoyons aussi de projeter une grande sélection de vidéos de pornographie lesbiennes déviantes pour la période de stimulation dans sa routine de sommeil. Cet appareil doit être utilisé pour pousser ses limites, de sorte que le sexe lesbien régulier sera considéré comme naturel. "

Le médecin sourit à nouveau.

"Nous allons mettre en place un cycle de servitude dure, douloureuse, avec jeu anal, trombe d'eau, insertions de gros volumes dans les orifices, double pénétration de godemichets, vidéos de scènes BDSM, etc. Le sexe lesbien doit tout simplement devenir banal et sans intérêt pour elle."

Les yeux de Samantha s’agrandirent encore plus.

"Pouvez-vous me montrer comment cela fonctionne Docteur ?"

"Bien sûr."

Elle se dirigea vers Samantha. Les infirmières la saisirent d’une prise ferme sur ses bras. Le Dr Zanier défit la sangle inférieure de la camisole et inséra les appendices de la culotte.

"Elle est auto lubrificatrice ainsi pour une insertion facile.". Elle fit pénétrer un appendice dans l'entrejambe de Samantha. Samantha était totalement impuissante alors que le premier gode pénétra son vagin, glissant à fond, soyeux. Elle dû admettre que, dans son état d’excitation sexuelle accrue c’était bon d'être pénétrée par une bite, même fausse.

Le Dr Zanier passa derrière la blonde débraillée et plaça le gode anal sans trop d’effort

Le docteur baissa les yeux et disposa avec soin le vibro sur le clitoris de Samantha puis tira la ceinture de chasteté et les sangles jusqu'à ce que tout soit très serré.

Elle se leva et mis les lunettes et le casque sur sa victime: le monde de Samantha est devenu sombre et calme.

Et puis d’un seul coup, elle sentit les godes commencer à vibrer et les lunettes à montrer une vidéo d'une femme vêtue de latex fouetter une autre femme nue. Les cris remplirent ses oreilles alors que la femme nue était implacablement punie

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Le Docteur et Gwynn regardèrent la femme bavant et se contorsionnant à leurs pieds.

Gwynn sourit de plaisir et dit, "C’est un excellent exercice docteur, combien de temps allez-vous l'utiliser ?"

"Oh, elle sera dans cette configuration toute la nuit pendant 10 heures.".

"Excellent, dans quelques semaines, je vous rends visite avec Tammy."

"Oui, Samantha sera alors prête à mendier sa chatte à sa propre fille."

Samantha lança une jambe de façon incontrôlée et a frappa la chaise de métal à ses côtés.

"Oh mon Dieu," dit Gwynn en éclatant de rire à la vue de sa sœur qui tremblait sous les coups de la machine à baiser.

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Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 20:59

Chapitre 4 - Tammy consulte une psychiatre.

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La tante « aimante » de Tammy, Gwynn, est si inquiète des goûts lesbiens  dépravés de sa nièce qu'elle consulte le Dr Vokley pour une évaluation approfondie. Bien sûr, son plan est en fait d’encore pousser plus loin l’assujettissement de sa jeune nièce

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"Entre Gwynn, Je suis certaine nous allons pouvoir l’aider à gérer sa nymphomanie lesbienne. ", déclara le Dr Vokley.

Gwynn, tenant Tammy étroitement par le bras, avec force, serra la main de son amie psychiatre.

Tammy était dans une petite robe rouge qui lui collait au corps comme une seconde peau, laissait ses bras nus et lui tombait au ras des fesses, exhibant ses jeunes jambes minces, et laissant deviner sa jeune chatte. Elle ne portait pas de soutien-gorge et la robe moulait parfaitement ses gros seins qui bougeaient librement sous le tissu, laissant deviner ses mamelons. Elle portait seulement un string  rouge minuscule et une paire de baskets blanche.

"Mon Dieu! Quelle superbe jeune fille ! Des seins magnifiques ! Et quelles cuisses ! Je suis désolée pour tous les hommes qui n’auront jamais l’occasion de découvrir ses appâts féminins plantureux ! C’est bien triste de penser qu'elle ne profitera probablement jamais des relations sexuelles avec un homme, qu’elle ne sentira jamais un pénis bien dur pénétrer son vagin. ", commenta le docteur en évaluant Tammy du regard.

Tammy gardait les yeux baissés. Elle était face à elle deux femmes adultes qui discutaient comme si elle n’était même pas là. Le médecin était vêtu d'un pantalon en soie bleue marine avec des souliers talons très pointus assortis et un chemisier bleu clair avec des perles. Elle avait l'air impeccable avec une coupe de cheveux élaborée et une paire de lunettes élégante et de style professionnel

Les deux femmes étaient incroyablement intimidantes pour Tammy qui se sentait petite et nue devant ces deux femmes fortes et décidées.

"Attention chère amie ! Toutes ses flatteries sur son physique, venant d’une aussi belle femme que toi vont exciter notre petite Tammy", déclara Gwynn, échangeant un petit rire léger avec le docteur.

"Je te remercie  Sandra, je espère que tu pourras l'aider . . . au moins l'aider à vivre avec sa dépravation.", continua Gwynn

«Je suis certaine que oui !, J’ai contribué à aider beaucoup de filles à venir à bout de leur lesbianisme ou à défaut à les aider à vivre avec leur affliction.".

Le docteur tendit le bras, saisit l'autre bras de la jeune fille et les deux femmes conduisirent Tammy dans le cabinet

Les deux femmes dominaient la jeune fille d’une tête et dans leurs tenues élégantes représentaient une expérience intimidante pour Tammy. Elle du pratiquement courir pour suivre les deux femmes.

"Quand a-t-elle eu son dernier rapport sexuel? ", demanda nonchalamment le docteur.

"Eh bien, hmmm, Tammy quand était-ce?", demanda Gwynn en baissant les yeux vers sa petite nièce qui la regarda avec de grands yeux, incrédule qu'une telle question soit posée avec tant de désinvolture.

Gwynn continua sans attendre une réponse : "Je suis désolée Sandra mais tu veux dire la dernière fois qu'elle a eu un orgasme ou la dernière fois qu'elle a fait jouir une femme?"

Les deux femmes assirent Tammy sur une chaise et se placèrent chacune d’un côté de la jeune fille. Elles continuèrent à discuter, la jeune fille entre elle, la regardant avec des sourcils plissés comme si elle était un spécimen étrange, un peu répugnant.

"Les deux, bien que la dernière fois qu'elle ait eu un orgasme est plus important, car cela aura une incidence sur mon évaluation.", dit le docteur.

"Eh bien, elle m'a fait jouir ce matin lorsqu’elle s’est réveillée, mais au petit déjeuner, ma fille, Becky, s’est fait bouffer la chatte à table au petit déjeuner. La petite coquine. Je suis désolée de dire ce que je pense mais Tammy a sans doute plus appréciée ce 1er service que son petit dej !".

Les deux femmes éclatèrent de rire.

Tammy s’écrasa sur son siège, gêné que les deux femmes parlaient d'elle et de sa vie sexuelle comme si elle n’était même pas là.

"C’est donc il y a environ une heure qu'elle a fait jouir une femme, en fait une fille. Quant à son propre plaisir, j’ai aidé la pauvre fille à jouir dans la douche le matin. Je fais cela comme un devoir depuis plusieurs jours. En aparté, j’ai trouvé qu'elle était très réceptive de l’anus ! Elle est capable de jouir rien qu’en se faisant doigter le cul ! Elle semble obsédée par son anus. Elle pourrait être encore plus dépravée que nous l’avions d'abord soupçonnée !"

"Wow, c’est très inhabituel. Orgasme par stimulation anale? Vraiment? C’est exceptionnellement dépravé !"

"Oui, il faut lui mettre deux doigts dans le cul, mais elle a bien joui en étant seulement stimulée par le cul !. J’ai presque envie de la prendre dans le cul avec un gode ceinture pour voir comment elle jouit !".

"Oui, bonne idée ! Je suis d'accord, Tu devrais étudier ça de près !"

Les 2 femmes rirent à nouveau.

Tammy n’avait aucune idée ce qu'était un gode ceinture, mais elle devinait que cela devait être très déplaisant si sa tante pensait que ce serait amusant pour elle ! Tammy recula dans de peur sur sa chaise. Que pouvait être un gode ceinture?

"Je crois qu'elle s’est bien masturbée aussi", déclara Gwynn alors qu'elle regardait ostensiblement Tammy, "Tu t’es doigtée une ou deux fois aujourd'hui Tammy?"

Tammy leva les yeux, surprise dans ses réflexions, déglutit et répondit: "Deux fois tantine."

"À quand remonte la dernière fois?"

"Tu me l’as fait faire juste avant notre départ tantine."

"Oh oui, c’est vrai, j’oubliai.", dit- elle en souriant. Puis se tournant vers le docteur, elle ajouta : "Elle se masturbe si souvent que je perds le compte."

"Oh mon Dieu, elle a vraiment un problème. Ca fait 2 orgasmes et deux chattes léchées avant 10 heures ".

"Oui, elle aurait eu un autre orgasme sur le chemin aussi, mais j’ai remarqué qu'elle avait sa main dans sa culotte", ajouta  Gwynn en oubliant de préciser que c’était elle qui avait ordonné à Tammy de jouer sa chatte. «J’espère que je n’aurai pas à la mettre dans le même établissement que sa mère. Ce serait une honte."

"Oui, sa pauvre mère, un cas désespéré.", soupira le médecin. "A-t-elle vraiment violé ces trois filles du quartier?"

"Ooh Sandra, nous essayons de ne pas en parler devant Tammy."

"Oh désolée, mais tu sais combien ce qui s’est passé était horrible ! Trois pauvres filles entravées et baisées au gode ceinture dans leurs petits anus . . . "

"S’ il te plaît Sandra, j’essaye d’oublier ces événements obscènes. Ces filles ont été terriblement blessées par la mère perturbée de Tammy. Au moins, maintenant elle reçoit un traitement pour ses problèmes".

"Oui bien sûr, et ce n’est pas comme si ce était la pire chose qu'elle ait faite."

"Oui, oui, bien sûr, revenons à notre petite Tammy. Pense-tu que tu seras en mesure de l’aider ? Je veux dire, je sais que c’est évidemment trop tard pour faire d’elle une hétéro normale, mais au moins pense-tu que tu pourras l'aider à accepter ses mœurs contre nature ? Je la sens si confuse et malheureuse. Je crois que la pauvre Tammy  a besoin d'apprendre à vraiment aimer les femmes !".

"Oui, oh oui. Il faudra de nombreuses visites et de nombreux traitements cependant. Tu as franchi la première étape en venant. Si tu veux bien nous excuser Gwynn, j’ai besoin de voir Tammy en privé. Nous devons renforcer la confiance entre nous. C’est une séance d'une heure, donc tu peux revenir à 11 heure."

"Ok Sandra. Je te verrai ensuite. ", répondit Gwynn en se penchant, saisissant les bras de Tammy, en tirant la fille vers elle avec force et en l’embrassant à pleine bouche, lui fourrant la langue dans la bouche. Gwynn rompit le baiser, laissa retomber la jeune fille qui s’affala  stupéfaite sur son siège.

Gwynn fit un clin d'œil au Docteur Vokley.

"Rendez-vous dans une heure."

Et elle sortit du cabinet.

Le docteur s’assit sur le bord de son bureau.

"Tammy, installons nous de façon un peu plus confortable. J’aimerais que tu m’appelle Sandra à la place de Docteur. Cela devrait t’aider. "

Tammy leva les yeux sous sa frange. Elle était désemparée et épuisée par ses journées et nuits d'expériences humiliantes. Elle hocha la tête en silence.

"Eh bien, nous allons commencer. S’il te plaît, allonge-toi sur le canapé. ", dit la psychiatre en montrant un canapé en cuir.

Tammy se leva, s’approcha et s’allongea. Sandra posa une chaise à côté de Tammy et s’assit.

"Maintenant Tammy, nous allons avoir une discussion préliminaire et ensuite je faire une certaine évaluation visuelle."

«D'abord, qu'est-ce que tu aimes le plus chez une fille?"

"Je ... Je ne sais pas."

"Eh bien ma chérie, tu me permets de t’appeler comme ça ?, C’est pour te mettre à l’aise."

"Eh bien ..."

"Bon, alors ma chérie, as-tu d’abord tendance à regarder les seins d'une fille ou préfère tu vérifier d'abord le cul?"

"Je ... je ... ", balbutia Tammy.

"De ce que ta tante dit au sujet de ta fixation anale, je m’attends à ce que tu vérifies d'abord le cul d'une autre fille, non?"

"Non ..."

"Tu ne sais pas te décider? Tu les aime tous les deux également? ".

Le médecin prit note.

"Non, non, je n’aime pas non plus.", lâcha Tammy.

"Vraiment ?", déclara la psychiatre. "Quelque chose d'autre alors? L’entrejambe? Le visage ?".

«Je ...»

"Hmmm, confuse, je vais juste dire « tout » alors.". Et elle écrit quelque chose sur son bloc-notes.

"Ok. Question suivante, préfères-tu avoir des rapports sexuels avec une femme en pleine maturité avec de beaux gros seins ou une fille avec un corps musclé et les seins en développement?"

"Je ... je ne sais pas ..."

"Eh bien chérie, tu es jeune, je pensais que ce serait probablement une femme plus âgée, qui pourrait te montrer comment faire plaisir à une autre femme, c’est ça?"

"Je ... Je suppose que je .. ". Tammy  ne savait pas quoi dire.

"Bon, femme d'âge mûr", marqua la psychiatre.

"Je ne voulais pas ..."

"Tammy, tu dois me faire confiance, mon expérience me permet de comprendre tes réponses subconscientes autant que tes réponses conscientes. Il est clair que tu es attirée par l’expérience des femmes plus matures.

Le Docteur Vokley tendit la main, toucha le bras de Tammy et sourit.

"Je peux comprendre ce que tu ressent. Une femme mûre a beaucoup plus d'expérience pour comprendre comment satisfaire sexuellement une jeune fille. Une jeune fille peut donner aussi beaucoup de plaisir, mais une femme plus âgée peut être tellement plus satisfaisante". Elle tapota le bras de la jeune fille d'un ton apaisant.

Tammy eut un geste de recul instinctif

"As-tu plus de plaisir à faire un cunnilingus ou un anulingus? ", enchaina la psychiatre

Sous le choc de la question, Tammy avait la bouche ouverte.

"Hmmm? Chérie,  je t’ai posé une question ! Tu aimes plus quand une femme lèche ton vagin ou quand une femme lèche ton anus? "

Tammy secoua la tête en signe d'incrédulité.

"Je vois . . . c’est très proche, c’est égal ?"

"Non",  répondit Tammy, en secouant la tête.

"Ahh bon, la chatte alors?"

«Non», dit-elle encore.

"Bon !". Le médecin nota sur sa feuille, "Anulingus. Très intéressant, tu fais bien une fixation anale."

"Attendez, je veux dire que je n’aime pas ça, c’est juste que je suis impuissante, je peux pas l’empêcher ! "

«Je sais chérie, tu ne peux pas t’empêcher d’aimer ! Tu es impuissante."

"Non, je ..."

«C’est bon, je suppose que c’est ce qu’il fallait s’attendre vu ce qu’a fait ta mère. Nous allons continuer, l'heure file vite et j’ai besoin de te poser quelques questions. Restons sur le sujet de ta fixation anale : tu aimes jouer avec l’anus avec les doigts ou la langue ? ... Oh pourquoi je te pose cette question ? Je suis certaine que tu préfères la langue, il n'y a rien de plus excitant que la langue d'une autre femme dans le cul non?"

"Non docteur, je n’aime pas."

"Ah bon?"

«Je n’aime pas ça, elles me le font faire."

"Je pense que tu es un peu sévère chérie. Ta tante et tes cousines ne font cela pour t’aider, elles veulent que tu sois heureuse."

"Non, elles abusent de moi !"

La colère et la frustration de Tammy explosaient

SLAP!

La psychiatre gifla Tammy au visage avec violence. Tammy posa une main sur sa joue et regarda le docteur avec de la peur dans les yeux. Les larmes coulèrent.

"Comment oses-tu parler de ta tante et bienfaitrice comme ça ? Elle ne veut que le meilleur pour toi. Tu as été diagnostiquée comme étant lesbienne et elle veut que tu sois entièrement prise en charge et aidée à assumer tes préférences sexuelles. Maintenant, je ne veux plus entendre de tels propos injurieux.". Et elle tapota doucement à nouveau la joue de la jeune fille pour renforcer ses propos.

"Où en étions-nous, ah oui, langue et trou du cul. Alors tu aimes sentir une langue sur ton trou du cul non?"

"Oui docteur », dit Tammy en frottant sa joue.

"Bon, bon, nous avons fait une percée. Une autre question : préfères-tu lécher la chatte d'une femme ou son cul ou est-ce très difficile pour toi de décider entre les deux? "

"Il ... je ... ce est très difficile ... Je ne sais pas."

"Ça viendra avec l’expérience chérie ! Il faudra pratiquer pour te faire une idée !», dit la psychiatre en souriant à l'adolescente impuissante.

"Autre sujet : aimes-tu été ligotée? As-tu eu des expériences fétiches ou bondage? "

"Aucune docteur."

"Mais je vois que cela t’excite. Tu veux que ta tante et tes cousines intègrent plus de contrainte dans leurs relations sexuelles? Te ligoter et te faire faire des choses contre ta volonté? Ca augmentera ton plaisir? "

Tammy a été lente à répondre, mais, de peur de se faire frapper, finalement dit calmement : "Oui docteur."

"OK, dernière question, quand tu te masturbe, penses-tu à ta tante ou à l'une de tes cousines ou une autre femme?"

Tammy répondit humblement encore, "Ma tante"

"Et dans ton imaginaire, imagine-tu qu’elle te lèche ou que tu la lèche?"

"Je lui fais."

"Excellent ! C’est assez de questions ! On passe à l'évaluation visuelle ".

La psychiatre remis à la jeune fille un iPad et l’alluma.

"Je vais te présenter 2 femmes nues et tu devras choisir celle qui t’excite le plus."

Tammy regarda l'écran de l'iPad, et vit deux images de femmes. Elles étaient debout, nue, une blonde, une brune.

"Il suffit de cliquer sur la fille que tu trouves la plus excitante."

Tammy regarda les deux images obscènes et tapa sur une au hasard.

L'écran changea et montra deux nouvelles femmes. Cette fois, elles étaient tous les deux en culotte de dentelle blanche qui ne cachaient rien de leurs chattes

Tammy frappa à nouveau.

L'écran passa à 2 autres femmes à nouveau, cette fois en T-shirts moulant.

Les suivantes furent nues à nouveau, puis en bikini, puis en lingerie, nues, nues, en culottes ...

Tammy tapait au hasard

Suivirent ensuite une série de gros plans: seins, chattes, culs. Les images devenaient floues pour la jeune fille.

Soudain, le défilement s’arrêta.

"Excellent chérie. Maintenant, nous allons inspecter ton niveau d'excitation. "

Le Docteur,  sans ménagement se pencha et porta sa main à l'entrejambe de Tammy.

Paniquée, la jeune fille repoussé la main.

"Nooon, non."

"Chérie! J’ai besoin de faire une enquête clinique sur le niveau d'humidité de ta chatte pour évaluer correctement ton degré de dépravation homosexuel. "

La psychiatre gifla les mains de Tammy.

Tammy serra ses jambes, luttant contre l’intromission.

"Nooon!", cria-t-elle à nouveau.

Le Docteur Vokley se leva et gifla Tammy au visage, d'abord dans un sens puis l'autre.

"Arrête ça! Ta tante paie un bon prix pour cette évaluation psychologique de tes  tendances, j’ai besoin de voir comment ces stimulations t’affectent."

Tammy secoua la tête mais cessa de se battre après la gifle. Elle pleurnichait et couinait.

Le médecin se rassit, puis passa sa main entre les jambes encore serrées, avança jusqu'au vagin de l'adolescente, et glissa son index expert dans la petite culotte et directement entre les lèvres intimes de la jeune fille. Elles étaient humides.

"Ooooh, vilaine fille ! Ta chatte est humide."

La psychiatre pénétra alors franchement dans le vagin jusqu’à la 3eme phalange. Puis sorti.

Elle a écrit quelques notes : "De toute évidence très excitée."

"Allez, nouvelle série de photos. Dans cette série tu devras dire quelle paire de lesbiennes tu préfères. Il y aura deux images côte à côte, il suffit de cliquer sur celle qui est plus sexy pour toi ".

Elle tendit l'iPad à la jeune fille assise sur le canapé.

"Commence."

Tammy regarda la tablette et dû choisir entre deux filles qui se faisaient un baiser passionné  ou deux autres filles. Pour elle, il n’y avait pas de différence. Elle choisit au hasard.

Le Dr Vokley passa sa main entre ses cuisses à nouveau, directement jusqu'à son vagin une fois de plus et inséra son doigt rapidement dans sa chatte.

Tammy s’arrêta et secoua la tête à nouveau docilement, les larmes coulèrent encore sur ses joues.

«J’ai besoin de contrôler ton excitation sexuelle chérie, poursuis l'évaluation comme si de rien."

Tammy a continua.

Le « bon docteur » commença à déplacer lentement son doigt dans et hors de la chatte de la jeune fille.

Tammy essaya de se concentrer sur les photos iPad, qui montraient deux femmes ensembles dans des situations de bondage. Tammy plia ses jambes et ouvrit son entrejambe. Le Dr Vokley glissa un deuxième doigt et a continua à doigter la jeune adolescente.

Tammy avait oublié l'iPad, il pendait mollement dans sa main alors qu’elle se perdait dans les caresses de son thérapeute. Elle regarda de nouveau l'écran et a vu deux  écolières s’embrasser avec passion. Elle en choisi une au hasard alors que son orgasme approchait.

Ses jambes s’écartaient encore, quasi contre sa volonté. Elle jeta sa tête en arrière lorsque l’orgasme la submergea.

Le Docteur Vokley arrêta de baise la jeune fille et sortit ses doigts.

"Très bien Tammy. Cette discussion a été très utile.

"Elle se leva."

"Mais tu m’as bien excitée aussi et je pense qu'il convient que tu résolve le problème que tu as créé, non?"

Le docteur déboucla son pantalon de soie et le laissa tomber lâchement au sol. Elle tira sa culotte jusqu'aux chevilles révélant une chatte aux poils bien taillés : un petit triangle de poils pubiens blonds. Le Docteur se tourna vers Tammy sur le canapé, ouvrit légèrement ses jambes et montra sa chatte à la jeune fille.

"Aimes-tu ma chatte Tammy? Tu peux comparer maintenant !"

Tammy se lécha les lèvres de confusion.

"Oooh merci, je vois que tu êtes prête. Maintenant, il suffit de te pencher en arrière sur le canapé." ; Elle fit un pas jusqu'au canapé, mit son index sur le front de Tammy et poussa la tête de l'adolescente afin qu’elle se couche.

"Maintenant, il suffit d'y rester.".

Elle plaça alors sa chatte au-dessus de la tête de l’adolescente.

"Maintenant commence à lécher ma chatte chérie comme la bonne petite lesbienne que tu es »

Tammy était encore dans un état second alors que la chatte de la Doctoresse étouffa sa bouche. Par réflexe, elle commença à la lui lécher. Le médecin attrapa les cheveux de l'adolescente avec les deux mains et commencé à frotter son sexe sur le visage de la jeune fille. Tammy essaya de lécher mais la psychiatre frottait tellement vite qu'elle ne pouvait pas suivre. Elle a commencé à gémir en signe de protestation.

Le Docteur Vokley tira le visage de la jeune encore plus profondément dans sa chatte, en saisissant ses cheveux plus fermement, enlaçant ses doigts à travers les mèches blondes. Tammy étouffait entre les cuisses du médecin, son nez et sa bouche complètement couverts et étouffés. Elle commença à frapper les fesses du Docteur Vokley faiblement, mais elle était irrémédiablement prise au piège.

Tammy se tortillait, mais le médecin ignorait ses protestations et tenait la jeune fille par les cheveux en jouissant dans la bouche de la jeune blonde. Tammy commença  à voir des étoiles et était sur le point de s’évanouir lorsque le médecin a finalement laissé échapper un long soupir frémissant et détendue son emprise.

La position de Tammy ne s’arrangea pas pour autant : la psychiatre s’affala sur le visage de Tammy de tout son poids. Assise entièrement sur le visage de Tammy, sa chatte déversait ses sécrétions dans la bouche ouverte de l’adolescente.

Une fois vidée, la doctoresse  se releva enfin

Tammy respira à pleine bouche. De longs filets de mouille pendaient de sa bouche à la chatte de la doctoresse.

"Wooo, merci chérie. "

La psychiatre se dirigea vers son bureau, prit un verre d'eau et but une longue gorgée, puis appuya sur l'interphone.

"Dahlia, pouvez-vous apporter une serviette s’il vous plaît?"

"Oui docteur", répondit celle-ci.

Le médecin se retourna vers Tammy en prenant une autre boisson, ses jambes, fesses et chatte à l’air, mais apparemment indifférente à ce sujet.

"Merci encore chérie, tu es une excellente bouffeuse de chatte !"

Le secrétaire du médecin vint avec une serviette. Tammy n’était encore qu'à moitié consciente, ses jambes encore écartées, sa culotte de travers, son visage luisant de mouille. La secrétaire remis la serviette au docteur en regardant l'adolescente sur le canapé.

«Je vois que votre consultation s’est bien déroulée docteur."

"Oui, très bien,", dit le Docteur Vokley en prenant la serviette de sa secrétaire et s’essuyant son front, puis après avoir écartée  les jambes et s’essuyant le vagin.

"Pouvez-vous me remettre ma culotte Dahlia?"

La secrétaire ramassa pantalon et culotte et rhabilla la psychiatre.

"Merci Dahlia, je sonnerai si j’ai besoin de quelque chose d’autre."

Le secrétaire hocha brièvement la tête et sortit.

Le docteur sourit méchamment à l'adolescente sur le canapé et dit: «Maintenant, revenons à une enquête plus poussée.» Elle prit une gorgée, puis ramassa la télécommande du téléviseur.

"Maintenant, nous allons examiner tes relations sexuelles avec certaines de tes amantes ...."

******

Lorsque Gwynn revint, Tammy était recroquevillée en position fœtale sur le canapé, pleurant de façon incontrôlable.

UNH-sniff, sniff-UNH, UNH-sniff

Elle ne pouvait pas contrôler ses sanglots et respirait de façon saccadée.

"Mon Dieu ! Ma petite lesbienne chérie se sent mal ?», demanda Gwynn en s’asseyant dans le fauteuil en face du bureau du docteur Vokley.

"Ça va aller ! J’ai bien réussi à cerner ses pulsions et perversions. Elle a eu 3 orgasmes pendant mon évaluation de routine de ces tendances lesbiennes. On a travaillées dur et forcément ça a été un choc pour elle !".

"Excellent", dit Gwynn en regarda sa nièce en sanglots et en souriant sans remords.

"Je suppose qu'elle aura besoin d'autres traitements."

"Oh oui, ce ne est que le début ! Le chemin sera long et tortueux pour Tammy si nous voulons qu’elle arrive à maitriser son comportement d’homosexuelle perverse. Très long et très tortueux. Nous aurons besoin de quelques séances intenses. S’il te plaît, planifie un rendez-vous hebdomadaire avec ma secrétaire ".

"Ok Sandra."

"En outre, la prescription de son gynécologue est malheureusement insuffisante. Pour traiter correctement sa maladie, elle devra vraiment être tenue éveillée pendant une période beaucoup plus large de temps chaque jour, elle a aussi besoin de plus d'orgasmes, beaucoup plus et devraient avoir un accès beaucoup plus libre à plus de chattes, pratiquer le cunnilingus et autres plaisirs entre femmes autant que possible ".

"Oh mon Dieu !"

"De plus, tu ne dois pas reculer devant le respect strict et rigide de ses prescriptions. Tammy est visiblement une fille qui a besoin d’être prise en main, qui a besoin de discipline".

"Eh bien Sandra, nous avons déjà dû lui donner la fessée."

"Excellent, c’est un bon début. Mais je t’encourage à acheter une belle canne ou encore mieux un fouet raide et l’utiliser fréquemment, dès que de besoin. Tout non-respect, même mineur, de ses prescriptions doit être sévèrement puni. Tu es responsable de son éducation et tu dois t’assurer que ses tendances lesbiennes sont pleinement encouragées, ce qui comprend la réduction et la prévention de tendances hétérosexuelles qui pourraient se glisser. Son bonheur à long terme dépend de tes conseils et de ta fermeté."

«Je comprends Sandra, nous nous assurerons qu’elle respecte ses prescriptions à la lettre, ou nous serons intraitables".

"En outre, elle doit avoir le maximum d’occasion d’être en compagnie de femmes, de voir leurs corps, leurs attributs. Il faut lui donner l'occasion de voir des femmes nues autant que possible."

«Nous le faisons déjà Sandra. Moi et mes filles nous passons notre journée à la maison habillée sexe juste pour notre petite lesbienne."

"Bon, eh bien j’encourage cela. Assure-toi qu'elle se masturbe au moins quatre fois par jour. Elle devrait être sous observation pendant ces séances de masturbation, je te recommande de mettre en place une caméra dans sa chambre. "

"Ok Sandra.", répondit Gwynn avec le sourire

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Vendredi 9 janvier 5 09 /01 /Jan 23:43

Interlude 3 – L’asile

 

Samantha était assise sur une petite chaise en plastique devant le Docteur Zanier. Elle était nue enserrée dans une camisole de force, avec ses bras étroitement liés dans la toile épaisse et rugueuse. Une sangle serrée courait sur son entrejambe, maintenant un gode vibrant coincé dans sa chatte. Un plug en inox gros format était fiché dans son cul.

Elle ne pouvait pas prononcer un mot car sa bouche était entravée par un baillon-anneau. Sa bouche étant ainsi maintenue ouverte en permanence, Samantha bavait constamment sur son menton et sur la toile blanche de la camisole de force.

Le ciment sous ses pieds nus était froid. Les injections de ce matin l'avaient frappée comme huit tasses de café et trois verres de tequila et ses intestins dansaient la java. Elle était désorientée et avait le vertige lorsqu’elle bougeait la tête. Écouter les gens parler lui était difficile car elle avait du mal à se concentrer. Le bourdonnement du gode vibrant dans sa chatte l’excitait en permanence. Elle avait des visions de femmes nues, de chattes, de seins, de femmes humiliées et battues, de fouets et de femmes qui baisaient avec des godes.

Elle secoua la tête et essaya de se concentrer sur l’instant présent. Elle pensait à sa fille Tammy, sa douce et fragile Tammy. Elle reprit le contrôle d’elle-même. Elle ne savait pas combien de temps elle pourrait sauvegarder sa santé mentale.

Le Docteur Zanier finit d'écrire une note dans le dossier de Samantha. Le grattement de la plume était le seul autre bruit dans la salle en plus du bourdonnement du vibreur dans la chatte de Samantha.

Le Docteur finit par lever les yeux sur sa patiente.

"Samantha. Je suis heureuse de tes progrès jusqu'à présent. Dans mon système, je te considère maintenant classée au niveau 2. Nous allons continuer de te faire progresser au cours des prochaines semaines jusqu'au niveau 10. Tu seras devenue une ardoise vierge que je pourrai reprogrammer comme je le veux".

Elle sourit.

"Il n'y a aucune raison de te cacher tes traitements à venir! Tu vas être brisée et reformée comme une femelle soumise. Ne t’inquiète pas, nous excellons dans ce que nous faisons ! ".

"Notre prochaine étape est de supprimer tous tes béquilles mentales qui empêchent la pleine efficacité de notre reprogrammation. Par exemple, nous savons que tu utilises ta fille comme une béquille et notre plan est de briser cette béquille via une série d'exercices. À la fin de ton programme, tu vas mendier à ta fille le privilège d’avoir des relations sexuelles avec toi !".

Samantha compris peu à peu les propos du Docteur Zanier, "... mendier à ta fille le privilège d’avoir des relations sexuelles ... mendier à ta fille ...» Elle aurait juré qu'il y avait un écho dans la salle. Elle secoua la tête pour essayer de dire non au médecin.

"C’est inévitable. La date est même prévue ! Elle se rendra chez nous dans trois semaines. A cette date, tu seras brisée et prête à tout ".

Samantha secoua faiblement de nouveau la tête.

Le Docteur Zanier sourit: «Oui, je sais, tu n’es pas d'accord avec moi. Mais laisse-moi t’assurer que nous avons diligemment perfectionné nos méthodes et notre utilisation de stupéfiants et d’hallucinogènes couplée à de fortes contraintes physiques, à la fois douces et brutales, fera de toi rien de plus qu'un objet avec lequel on pourra jouer librement.".

Samantha fut prise de vertige et commença à tomber de la chaise. Une des infirmières, postée à côté d’elle la retint et la replaça sur sa chaise.

"J’ai reçu un mail de ta sœur. Elle a même envoyé des photos de ta fille. J’ai pensé que tu aimerais les voir.". Elle alluma un projecteur qui afficha les photos contre le mur blanc sur sa droite en grand format.

"Ta sœur prends des nouvelles de l'état de ta reprogrammation, et je lui ait annoncé tous les progrès que tu as déjà fait. Et puis elle a envoyé une belle série de photos de ta fille. "

Flick

La première photo s’afficha. Samantha vit sa fille, habillée en lingerie sexy, une petite nuisette rose.

Flick

Image suivante. Tammy embrasse sa cousine Becky, à pleine bouche.

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Tammy suce un sein - la poitrine de Gwynn.

Samantha réalise ce qu’elle voit. Elle éprouve un choc violent.

Elle essaye de dire non dans le bâillon-anneau : "mmmmmmmmmm», et lutta pour se lever, mais l’infirmière la maintint sur la chaise.

"Oui, oui OUI! doublement oui. Cela fait partie de la formation, le lesbianisme forcée de ta fille est un levier supplémentaire que nous allons utiliser sur ta psyché. Elle va suivre tes traces. Ta sœur est en train de la dresser le mieux qu’elle peut et lorsqu’elle sera arrivée à ses limites, elle sera traitée ici. "

Flick

Tammy à genoux en train de lécher la chatte de Gwynn.

"Mmmmm ... .mmmmmm ... mmmmmm", a poursuivi Samantha alors que les larmes commençaient à couler de ses yeux. Elle secoua la tête faiblement.

Flick.

Tammy mange une autre chatte.

Samantha a commencé à sangloter devant l'horreur abjecte des scènes qu’on lui projetait et la ruine de sa vie et de celle de sa fille.  Un désespoir noir l'enveloppait.

Flick.

Tammy regardant l’appareil qui la prenait en photo, trempée et dégoulinante d’une éjaculation féminine, avec des yeux vides, désespérés. Samantha regarda en arrière, impuissante et anéantie.

"C’est tout ! Tu as tout vu !"

Les deux infirmières soulevèrent Samantha et la trainèrent, en pleurs, hors du bureau.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Tammy et Gwynn, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 8 janvier 4 08 /01 /Jan 21:10

Chapitre 3b – Réunion avec la direction de l’école : Tammy est confiée aux bons soins de la direction de son école.

Après être arrivées, au lieu de descendre Tammy en face de l'école, comme d'habitude, sa tante se gara sur une place de stationnement visiteurs

«Tammy . . . », commença sa tante en se tournant vers elle.

Tammy apeurée saisit les bras du siège avant de la voiture en regardant sa tante.

"Tammy, nous allons aller ensemble à l’école car nous avons une réunion avec la direction. Tu fais exactement ce que je te dis de faire !». Elle se pencha plus près de sa petite nièce et ajouta " exactement ce que je dis, et rien de plus ! Ou je te le fais payer chèrement quand nous rentrons à la maison! compris? "

Tammy était trop choquée pour dire quoi que ce soit et hocha simplement la tête.

Gwynn sourit d’un sourire mauvais en regardant la fille hocher la tête de haut en bas.

«Hein? Tu ne sais plus parler? Un adolescente bien élevée aurait répondue ‘Oui Madame!’"

"Ouuii MammmmMm."

"Bonne fille !" Et avec cela Gwynn laissa sortir Tammy de voiture. Elle descendit aussi à  côté de la jeune fille, prit sa main et la conduisit dans l'école.

"Allez ! En avant. Il faut qu’on discute avec ta Directrice."

Tammy était choquée et son estomac noueux.

Qu’est-ce que Gwynn va faire, oh mon dieu, elle ne va pas parler de l'homosexualité avec la directrice?, se demanda-t-elle

Tammy secoua la tête faiblement, alors que sa tante la forçait à suivre en tenant sa main fermement.

Pas pour la première fois et certainement pas pour la dernière fois, Tammy souhaita que sa mère soit avec elle.

Gwynn conduisit sa nièce dans l'école puis dans le bureau de la directrice. Il y avait déjà un groupe de cinq femmes assises à les attendre. Elles regardèrent Gwynn entrer et trainer une Tammy terrifiée dans la pièce. La Directrice, Mlle Stirn, était assise à la tête de la table de réunion. A 38 ans, elle était une assez jeune femme pour ce poste, avec une coiffure bien tirée vers l'arrière et des lunettes argentées à la mode. Elle était très belle dans son style assez strict.

Gwynn s’assis sur la chaise à l'extrémité opposée de la table. Tammy réalisa qu'il n'y avait plus de siège pour elle et elle dû se tenir à côté de sa tante. Elle se sentait plus comme un sujet de discussion que comme une participante de la réunion.

Mlle Stirn prit la direction de la réunion de suite en introduisant chaque participante à Gwynn et Tammy.

Avec elle, était présentes l'infirmière de l'école, Mlle Pleasance, une rousse avec des seins un peu trop grands pour elle, en blouse blanche. La conseillère scolaire Miss Jones, une femme noire qui ressemblait à une athlète, ses bras nus exhibant ses muscles, belle dans son style de sportive. La secrétaire de l'école, une petite femme timide nommée Joan et la directrice adjointe de l'école, Mme Watson, une femme plus âgée avec un visage doux.

Après les présentations, Gwynn commença la discussion.

«Merci de nous recevoir avec un délai si bref, mais j’ai senti qu'il était important de mettre en règle ma nièce avec l'école pour prévenir toute discrimination", a déclaré Gwynn.

Oh non, elle ne va pas, elle ne peut pas, pensa Tammy.

Elle a essayé de penser ce qu'elle pouvait faire pour arrêter sa tante, mais elle était piégée. Sa lèvre inférieure se mit à trembler.

«Je comprends, l’Ecole Sainte Mary de la Chasteté s’intéresse à tous ses étudiantes, peu importe de ce qu’elles peuvent être atteintes. Est-ce un problème d'apprentissage? Un problème de santé? "

Tammy secoua la tête doucement et pensa : ne pas, s’il vous plaît, ne pas, s’il vous plaît ne dites pas que je suis une lesbienne.

"Non Mlle Stirn, voyez-vous, et je trouve qu'il est très difficile pour moi de l’admettre," commença à dire Gwynn en faisant une pause, profitant pleinement de l'humiliation qu'elle infligeait à sa nièce, "vous voyez ... Je trouve cela très dur."

"Allez, nous sommes là pour l'aider quel que soit son affliction."

«Je sais, c’est juste que j" ai eu affaire ... ". Gwynn s’arrêta et demanda : " Je suis désolée, puis-je avoir un mouchoir?"

L'infirmière lui tendit une boîte de mouchoirs en papier. Gwynn sécha les larmes de crocodile que l’excitation sexuelle et le plaisir provoquaient devant l’humiliation abjecte de sa nièce.

"Vous voyez,", a-t-elle enfin continuée, "elle aime les filles, elle est une lesbienne confirmée."

«Oh non!», s’écria la directrice avant de pouvoir se rattraper. Les autres femmes, en état de choc, en eurent le souffle coupé.

Gwynn laissa sa tête tomber en signe de honte, "je sais ... toute la famille est dévastée par cette déviance, mais nous n’avons pas été trop surpris en fait . . ., comme sa mère, ma sœur, est une lesbienne confirmée ainsi. Donc vous voyez pourquoi c’est si difficile pour moi . . . ma sœur et ma nièce sont toutes les deux gay ".

«Je suis tellement désolée pour vous Mme Panzer», a déclaré Mlle Stirn, "Bien entendu, nous allons faire tout ce que nous pouvons pour tenir compte de sa préférence sexuelle. Comment a-t-elle été diagnostiquée? "

Tammy sentit les larmes commencer à venir. Alors qu’elle était debout à côté de sa tante dans le bureau de la directrice avec la directrice, l’infirmière de l'école, la secrétaire, la conseillère scolaire et la directrice adjointe, sa tante a commencé à raconter sa visite de la veille chez la gynécologue. C’était terriblement humiliant. Sa tante n’oublia aucuns détails.

"Les doutes ont commencés au début de l'examen gynécologique de routine. Nous avons remarqué que même sous un examen des seins de routine ses mamelons durcissaient à cause de l'excitation. Cela nous a inquiété et le médecin a décidé d’approfondir ".

«Je vois.», dit la directrice. L'infirmière et la conseillère prenaient des notes pendant la discussion. Tammy baissa la tête et a essayé de se dire que c’était un cauchemar, qu’elle n’était pas là.

"Mais ce n’était certainement pas assez pour un diagnostic clinique.", continua Mlle Stirn.

"Bien sûr que non. Lors de l'examen, nous avons tout d’abord été soulagées de constater qu'elle n’était pas infectée par une maladie sexuellement transmissible perceptible et le docteur a réussi à localiser son hymen, de sorte que nous savons qu'elle est encore vierge, ce qui est un soulagement ".

"Ouf, c’est bien.", dit l'infirmière. La conseillère hocha la tête pour approuver.

Gwynn a poursuivi: «Mais au cours de l'inspection, Tammy a continué à être de plus en plus excitée. Et finalement, elle a eu un orgasme à cause des attouchements du médecin ".

"Oh non ! Est-ce que la gynécologue est belle? "

"Oui, c’est une très belle femme. Cela peut avoir joué. "

"Avez-vous reçu un deuxième avis?", demanda à l'infirmière?

"Non, je pensais que c’était tout à fait concluant, mais maintenant que vous le dites, confirmer ses tendances serait plus sûr. Seriez-vous capable de faire cela? "

"Oui, je pourrais le faire ce matin, il serait bon d'obtenir une confirmation avant d'aller plus loin. Il y a peut-être eu un concours de circonstances.

"C’est la sagesse même !  Rejoignons le cabinet de Mlle Pleasance. ", déclara Mlle Stirn.

Le groupe de cinq femmes et Gwynn se leva. Gwynn saisit le bras de Tammy et traîna la petite fille avec le groupe de femmes dans le couloir, jusqu’au bureau de l'infirmière.

Tammy traînait à côté de sa tante, en sautant alternativement sur un pied puis sur l’autre. Elle leva les yeux vers Gwynn et supplia d'une voix calme, "Non ma tante, s’il vous plaît  . . ."

Gwynn fronça les sourcils, «du calme ma fille, ce n’est certainement pas ma faute si tu es dans cette situation." Tammy avait trop peur pour discuter avec sa tante. Si son cerveau pouvait sortir de l'état de terreur et d’humiliation dans lequel il était, elle aurait réalisé que presque chaque mot de sa tante était un mensonge.

Et Gwynn jubilait.

Elles entrèrent toutes dans le bureau de l'infirmière, et Mlle Pleasance fit signe à l'adolescente d'entrer dans la salle d'examen. Gwynn poussa Tammy d’une claque légère sur les fesses, pas trop forte pour sembler inopportune.

Tammy comprit le message de Gwynn : elle devait obéir ou la peine serait imminente.

L'infirmière ferma la porte et Tammy fut légèrement soulagée que les autres femmes étaient restées à l’extérieur.

Elle saisit sa chance et a chuchoté, "s’il vous plaît, aidez-moi."

L’infirmière Pleasance sourit, «Je suis en train de t’aider en ce moment."

"Non, non, non, s’il vous plaît, aider moi, je ne suis pas une lesbienne." Elle continuait de chuchoter désespérément, «Ma tante me force à faire ce genre de choses, ce sont des mensonges."

"Mme Panzer ?! Je ne le crois pas une minute ! Une femme si honorable ! Si importante ! Déshabille-toi !"

"Je ne suis pas lesbienne!"

«Je sais que tu dois encore avoir du mal avec tes sentiments, disons simplement que nous allons vérifier et nous assurer que tu ne l’es pas. Nous sommes toutes là pour t’aider. Maintenant ... enlève ta chemise, ta jupe, et le reste!", ajouta l’infirmière tout en claquant des doigts.

"S’il vous plaît.", dit  Tammy, les lèvres tremblantes et les yeux commençant à mouiller.

«C’est ça!» L'infirmière alla à la porte, «Je dois dire à ta tante et mes collègues de venir ici pour m’aider . . . "

"Non, non, non, S’il vous plaît  . . ., je vais le faire, je serai obéissante, ne le dites pas à ma tante.», supplia Tammy, terrorisée à l’idée que sa réticence entraînerait une punition. Et Tammy commença à déboutonner son chemisier avec des doigts tremblants.

L’Infirmière Pleasance ouvrit tout de même la porte et passa la tête.

« Désolée, Mme Panzer, mais votre nièce prétend que vous mentez et refuse de se déshabiller. Je pense que vous devriez toutes venir et m’aider. Apportez deux chaises supplémentaires, comme je n’ai que deux chaises dans mon cabinet.

Tammy était dévastée, elle savait qu'elle était en difficulté et commença à se dévêtir sans tarder, tandis que les femmes s’asseyaient.

Tammy enleva son chemisier qu’elle glissa de ses épaules révélant son soutien-gorge blanc.

L'infirmière lui tendit la main et Tammy lui donna la chemise.

"La jupe !"

Tammy déboutonna sa jupe et la laissa tomber sur le sol. L’infirmière prit le vêtement.

"Le soutien-gorge », dit-elle en claquant des doigts.

Tammy jeta un coup d'œil à l’air renfrogné de sa tante et détacha son soutien-gorge libérant ses seins lourds parfaitement galbés. Elle remit son soutien-gorge à l'infirmière.

"Culotte."

Tammy hésita une seconde puis baissa la tête, et obéit

"Elle a toujours été très pudique. . . elle doit être très gênée», dit sa tante d'une voix faible mais parfaitement audible.

Tammy passa  ses pouces dans sa culotte et la tira jusqu'à ses chevilles. Elle se redressa, son visage rougissant de se retrouver nue debout devant toutes ces femmes. Elle ne portait plus que ses chaussettes et des chaussures en cuir verni. L'air froid lui donna la chair de poule et en baissant les yeux elle vit ses mamelons la trahir à nouveau en pointant tout durs, que ce soit à cause de la fraîcheur ou de l'embarras que lui causait sa situation.

"Allonge-toi sur la table d'examen."

Tammy alla vers la table d'examen couverte d’une feuille de papier blanc. Elle gardait les jambes bien fermées.

"Glisse ta tête au bord."

Tammy passa un bras sur ses yeux et essaya d'imaginer qu'elle était ailleurs alors qu’elle glissait jusqu'au bord de la table.

L'infirmière sortit une paire d'étriers de gynécologue du placard et les plaça dans des fentes sur le bord de la table.

"Maintenant, mets les pieds dans les étriers.", dit-elle en sortant des gants en latex d’une boite.

Tammy, hésitante mit ses pieds dans les étriers et l'infirmière les bloqua immédiatement avec des bandes velcro attachés aux montants. L’Infirmière Pleasance saisit alors Tammy par la main gauche et tira son bas pour le fixer avec un type similaire de sangle situé sous la table. Tammy était si confuse qu'elle ne régit pas Le temps qu’elle se rende compte, son poignet droit était attaché ainsi.

Tammy regarda l'infirmière et plaida, "Vous n’avez pas à faire cela, je ne suis pas une lesbienne."

L’infirmière mit un gant dans un claquement retentissant.

"Silence Tammy, tu es trop jeune pour savoir ce que sont tes tendances sexuelles, laisse les professionnels t’étudier et décider".

L'infirmière tira un tabouret entre ses jambes et se plaça entre celles de Tammy en s’asseyant.

"Tammy, tu as un très joli vagin.".

Tammy se tût.

"Quoi ?!, es-tu grossière en en plus d'être gay? "

Tammy ne savait pas quoi dire, elle ne voulait rien dire.

Gwynn jubilait. Visiblement, même si elle souhaitait un second examen, l’infirmière avait déjà son opinion de faite sur les mœurs de l’adolescente !

«Je m’attendais à ce que lorsqu’une fille est complimentée pour sa jolie chatte, elle dirait merci?!"

"Oui madame. Je vous remercie. "

Gloria Panzer se frotta les cuisses de plaisir. Elle adorait la façon dont sa morveuse de nièce était piégée et contrainte de répondre.

"C’est mieux, maintenant nous allons voir ce qu’il en est de ce lesbianisme, OK?"

L'infirmière avança les doigts de sa main droite jusqu'au vagin de Tammy, plaçant doucement un doigt sur le clitoris. Tammy sursauta au contact et laissa échapper un «eeek".

"Oooh, tu es très sensible au toucher d'une femme." dit l'infirmière en souriant méchamment, l’air entendue "Cela va être amusant." Il y eu de petits rires et des murmures derrière elle.

L’infirmière  glissa son doigt vers le bas la chatte de Tammy qui senti le latex froid comme une lame de métal sur sa partie la plus intime d’elle-même. Elle a combattu l'excitation qui commençait à monter en elle : l'exposition en face de cette femme, l'humiliation qu’elle subissait, la perversité de la situation faisaient leur œuvre.

L’infirmière Pleasance commença à lui masser le clitoris doucement avec une main puis avança sa main gauche et a étendu son doigt du milieu pour le faire entrer dans la chatte de Tammy.

Elle commença à essayer de forcer dans le vagin.

"Mon Dieu ! Tu es toujours un peu sèche"

L'infirmière regarda à sa gauche et s’adressa à la directrice adjointe, Mme Dahlia Watson.

"Pourriez-vous venir m’aidez une seconde? ".

Mme Watson sourit et s’approcha de la table d'examen. " Que dois-je faire ? ?, a-t-elle demandé.

L'infirmière se leva, appuya sur un bouton et Tammy sentit son corps basculer en arrière. Il y eut une légère pause, puis le mouvement reprit. Tammy était maintenant tête vers le bas, à hauteur des genoux de Mme Watsons, juste en dessous de sa jupe bleue.

"II faudrait vous rapprocher et enfourcher le visage de Tammy", dit l’infirmière Pleasance en bougeant son tabouret pour se retrouver sur le côté droit de la jeune fille.

"S’il vous plait, relevez votre jupe légèrement, pour que je puisse bien placer ma patiente", dit l’infirmière.

Dahlia releva sa jupe et l'infirmière poussa un autre bouton. La tête de Tammy se releva entre les cuisses de Mme Watson. Tammy sentait la douceur des cuisses de la femme sur ses joues et soudain son nez butta contre la culotte de soie humide. Tammy tourna la tête sur les côtés pour se dégager mais elle ne le pouvait pas !

Excités, les mamelons de Mme Watson durcirent et se dressèrent. Elle était une femme mariée et hétérosexuelle, mais cette situation l'avait prise au dépourvue et très excitée. Sa mouille coulait en abondance d’autant qu’elle sentait le nez de Tammy frotter son clitoris. Instinctivement, elle contracta les cuisses ce qui permet une sensation accrue des frottements de Tammy.

L’Infirmière Pleasance mit sa main droite sur la vulve de Tammy et a commencé à frotter doucement.

"Voir et sentir les organes génitaux d’une femme a un effet imparable sur les lesbiennes", dit l'infirmière, tout en stimulant Tammy.

 « Oui, je sens l'humidité s’écouler", ajoute-t-elle., "C’est clair, la mouille a été suscitée par la chatte de Mme Watson. La lingerie et l’odeur du sexe d’une femme ont fait leur effet", a-t-elle continué, en souriant aux trois femmes assises à côté de la table d'examen.

"Oooooooooh!", couina Tammy en commençant à jouir.

L’infirmière Pleasance ne lui donna pas l’occasion de récupérer et recommença à déplacer lentement son doigt dans et hors de sa chatte.

Elle a approché son autre main et a commencé à jouer avec le clitoris de Tammy.

Elle est allée de plus en plus vite et plus rapide

Enfin, quand elle vit Tammy au bord de l'orgasme, elle redressa son annulaire, le planta contre l’anus de la fille, et pénétra le cul de Tammy.

"Deux dans la chatte et un dans cul!"

Toutes les femmes éclatèrent franchement de rire. L’atmosphère se détendait, maintenant qu’elle avaient la certitude que Tammy était lesbienne.

Mme Watson, très excitée aussi, s’écrasa encore plus sur le visage de Tammy, tout en se soutenant contre les seins de l’adolescente, qu’elle prit à pleines mains.

"Oh mon dieu", cria Tammy, la voix étouffée, en jouissant enfin.

Mme Watson senti venir la jouissance de la jeune fille et se mit à frotter son entrejambe contre le nez et la bouche Tammy, tout en réussissant à se contrôler, afin de maintenir sa dignité vis-à-vis de ses collègues et de Gwynn.

Toutes les femmes commencèrent à parler à la fois. Elles constatèrent l'orgasme évident de la jeune fille, s’étonnant de son impudeur, constatant son lesbianisme flagrant

"Comment peut-on tolérer, Mme, Panzer ? ", dit la conseillère.

"Ça va être dur, mais il faut la soutenir ! ", dit Gwynn," la jeune fille aspire évidemment à une sexualité avec les femmes et que peut-on faire sinon le lui permettre, l’y aider? "

L’infirmière Pleasance dit "OH mon Dieu !, " tandis qu'elle continuait à frotter la chatte trempée de Tammy, " je pense qu’il faut encore étudier plus loin Mme Panzer. Mme Stirn, j’aimerais que vous m’aidiez dans ma prochaine expérimentation.

La directrice se leva et se tint à côté de l'infirmière. "Que puis-je faire pour vous aider?", demanda-t-elle.

"S’il vous plait, enlevez votre culotte et enfourchez la patiente comme Mme Watson l’a fait, mais en agrippant ses hanches avec les mains pour frotter votre sexe sur son visage », dit l'infirmière en souriant.

Gwynn était proche de l'orgasme, ses mamelons étaient durs et elle sentit de petits chocs à l’intérieur de sa chatte. C’était encore mieux que ce qu'elle avait espéré, et ce n’était pas encore terminé ! Elle réussit à mettre discrètement sa main droite sur son sexe, puis à appuyer sur contre sa jupe, afin de se faire jouir.

Mme Stirn releva sa jupe et enleva sa culotte. Elle chevaucha ensuite Tammy comme demandé.

"S’il vous plait, remontez encore votre jupe légèrement, de sorte que je puisse voir et régler la position de la tête de la patiente. Mme Stirn était en effet plus grande que Mme Watson et l'infirmière du de nouveau régler la table. Le visage de Tammy fut poussé entre les fesses humides de la directrice et ses yeux s’écarquillèrent de panique, alors qu'elle regardait l'anus ridée de Mme Stirn s’approcher, puis son nez plonger dans la raie puis l’anus, tandis que sa bouche se pressaient contre les lèvres vaginales.

Mme Stirn, souhaitant aider, se plia légèrement afin d'augmenter la pression sur son entrejambe. Tammy protesta, son nez à mi-hauteur du rectum, mais sa voix était réduite à néant par les lèvres grasses couvrant sa face inférieure. L’Infirmière Pleasance pinça le mamelon droit de Tammy, alors qu'elle augmentait le rythme de sa main droite

Mme Stirn ferma les yeux. La sensation dans son entrejambe était merveilleuse, mais comme Mme Watson, elle a réussi à se calmer tout en se déplaçant légèrement d'avant en arrière sur le visage de la jeune fille. L'infirmière se pencha, ouvrit un tiroir et en sortit un gode vibreur blanc tout simple, se tourna vers Tammy et le plaqua contre l’anus de l’adolescente. Tammy essaya de protester, mais l'infirmière de l'école continua de lui doigter la chatte et de lui exciter l’anus. Après trois minutes Tammy perdit le contrôle d’elle-même et eut son 2eme orgasme, en criant dans la chatte humide de la directrice.

De nouveaux les femmes de l’assemblée se mirent à discuter

La directrice du rétablir l’ordre: «Mesdames, Mesdames! S’il vous plaît, du calme !".

Une fois le calme revenu, Mlle Stirn se tourna vers Gwynn : «Mme Panzer, Tammy est clairement homosexuelle. Dépravée au point d’être excitée par une femme devant un groupe de femmes et d’avoir 2 orgasmes. Nous devons décider comment traiter Tammy dans cette école. Je vais déjà envoyer un mémo à toutes les enseignantes au sujet de son lesbianisme et de sa dépravation pour les informer ".

L’infirmière Pleasance se baissa, ramassa la culotte de la directrice et la pressa contre le visage de Tammy, tandis qu’elle plaçait le gode vibreur sur son clitoris et ses petites lèvres.

L'infirmière sentit rapidement un nouvel orgasme venir

"Regardez ! Regardez ! Elle va jouir de nouveau ! Alors qu’elle a une culotte de femme sur le visage ! Je ne peux être que d'accord avec Mlle Stirn, cette fille est évidemment une lesbienne et peut-être même une nymphomane" Elle fourra alors carrément la culotte dans la bouche de Tammy.

"Oui, c’est définitivement une nymphomane ! Une nymphomane qui jouit avec une culotte sale dans la bouche ! "

L'infirmière desserra les bandes de velcro et libéra la jeune fille. "La cloche est sur le point de sonner jeune fille et vous devez vous préparer pour la classe. . . .Assez d’orgasmes pour aujourd’hui !"

Tammy, en sanglots, tremblante encore de ces 3 orgasmes retira la culotte de Mlle Stirn de sa bouche. Elle se sentait malade, son visage puait le sexe de femme, elle avait perdu tout espoir et s’est effondrée sur le sol de désespoir et vomi sur le plancher de bureau.

L’infirmière Pleasance nettoya rapidement le gâchis, alors que Gwynn essuyait le visage de Tammy.

"Allons Tammy",  gazouilla Gwynn "il n’y a pas de raison de pleurer, ne t’inquiète pas, la direction de l’école va t’aider à assumer tes penchants!". Elle posa sa bouche à l’oreille gauche de Tammy et murmura : "j’ai remarqué combien tu as apprécié le cul de la directrice . . . tu vas voir combien tu vas apprécier le mien lorsque tu vas rentrer à la maison après l'école !

Tammy se rhabilla et demanda à récupérer sa culotte en balbutiant

"Tu es lesbienne et nymphomane, non? Tu n’as plus besoin de culotte. Ce sera très bien pour ta petite chatte d’avoir de l’air frais pour refroidir le feu qui couve en toi », dit Gwynn en lui administrant une bonne claque sur le derrière cette fois pour l’envoyer en classe.

Gwynn remercia l'infirmière et alla parler à Helen Stirn. La directrice avait une conversation avec Mme Watson et les deux femmes sourirent à Gwynn en la voyant arriver.

"Je veux juste vous remercier pour votre aide et votre compréhension", dit Gwynn. "Maintenant il n'y a absolument plus aucun doute sur le fait que Tammy soit gay !

"Nous sommes heureuses d’avoir été en mesure de vous aider, Mme Panzer et soyez assurée que Tammy va obtenir une attention particulière et quotidienne », répondit Helen Stirn tout en tapotant la main Gwynn et en souriant

Gwynn tendit sa culotte à la directrice qu'elle avait apportée du cabinet de l’infirmière.

"Il aurait été bête de la perdre ! Elle doit encore avoir de l’usage pour notre petite Tammy !", dit Gwynn, déclenchant les rires de l’assemblée.

Maintenant qu’elles étaient fixées sur les goûts lesbiens de Tammy, les membres de la direction de l’école auraient une attitude décomplexée envers la jeune fille

Mme Watson dit au revoir et retourna à son bureau et Gwynn et Helen Stirn commencèrent à parler.

Gwynn dit : "Pourquoi ne viendriez-vous pas dîner vendredi soir ? Nous pourrions discuter des dispositions que vous prévoyez pour Tammy?

"Merci ! C’est gentil. J’ai une réunion à 16h30 qui durera environ une heure et je viendrai après", répondit Helen Stirn en serrant la main de Gwynn.

Gwynn souria à elle-même tout le chemin du retour. La journée avait été merveilleuse ! Et elle ne faisait que commencer !

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Tammy et Gwynn, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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