Après être arrivées, au lieu de descendre Tammy en face de l'école, comme d'habitude, sa tante se gara sur une place de stationnement visiteurs
«Tammy . . . », commença sa tante en se tournant vers elle.
Tammy apeurée saisit les bras du siège avant de la voiture en regardant sa tante.
"Tammy, nous allons aller ensemble à l’école car nous avons une réunion avec la direction. Tu fais exactement ce que je te dis de faire !». Elle se pencha plus près de sa petite nièce et ajouta " exactement ce que je dis, et rien de plus ! Ou je te le fais payer chèrement quand nous rentrons à la maison! compris? "
Tammy était trop choquée pour dire quoi que ce soit et hocha simplement la tête.
Gwynn sourit d’un sourire mauvais en regardant la fille hocher la tête de haut en bas.
«Hein? Tu ne sais plus parler? Un adolescente bien élevée aurait répondue ‘Oui Madame!’"
"Ouuii MammmmMm."
"Bonne fille !" Et avec cela Gwynn laissa sortir Tammy de voiture. Elle descendit aussi à côté de la jeune fille, prit sa main et la conduisit dans l'école.
"Allez ! En avant. Il faut qu’on discute avec ta Directrice."
Tammy était choquée et son estomac noueux.
Qu’est-ce que Gwynn va faire, oh mon dieu, elle ne va pas parler de l'homosexualité avec la directrice?, se demanda-t-elle
Tammy secoua la tête faiblement, alors que sa tante la forçait à suivre en tenant sa main fermement.
Pas pour la première fois et certainement pas pour la dernière fois, Tammy souhaita que sa mère soit avec elle.
Gwynn conduisit sa nièce dans l'école puis dans le bureau de la directrice. Il y avait déjà un groupe de cinq femmes assises à les attendre. Elles regardèrent Gwynn entrer et trainer une Tammy terrifiée dans la pièce. La Directrice, Mlle Stirn, était assise à la tête de la table de réunion. A 38 ans, elle était une assez jeune femme pour ce poste, avec une coiffure bien tirée vers l'arrière et des lunettes argentées à la mode. Elle était très belle dans son style assez strict.
Gwynn s’assis sur la chaise à l'extrémité opposée de la table. Tammy réalisa qu'il n'y avait plus de siège pour elle et elle dû se tenir à côté de sa tante. Elle se sentait plus comme un sujet de discussion que comme une participante de la réunion.
Mlle Stirn prit la direction de la réunion de suite en introduisant chaque participante à Gwynn et Tammy.
Avec elle, était présentes l'infirmière de l'école, Mlle Pleasance, une rousse avec des seins un peu trop grands pour elle, en blouse blanche. La conseillère scolaire Miss Jones, une femme noire qui ressemblait à une athlète, ses bras nus exhibant ses muscles, belle dans son style de sportive. La secrétaire de l'école, une petite femme timide nommée Joan et la directrice adjointe de l'école, Mme Watson, une femme plus âgée avec un visage doux.
Après les présentations, Gwynn commença la discussion.
«Merci de nous recevoir avec un délai si bref, mais j’ai senti qu'il était important de mettre en règle ma nièce avec l'école pour prévenir toute discrimination", a déclaré Gwynn.
Oh non, elle ne va pas, elle ne peut pas, pensa Tammy.
Elle a essayé de penser ce qu'elle pouvait faire pour arrêter sa tante, mais elle était piégée. Sa lèvre inférieure se mit à trembler.
«Je comprends, l’Ecole Sainte Mary de la Chasteté s’intéresse à tous ses étudiantes, peu importe de ce qu’elles peuvent être atteintes. Est-ce un problème d'apprentissage? Un problème de santé? "
Tammy secoua la tête doucement et pensa : ne pas, s’il vous plaît, ne pas, s’il vous plaît ne dites pas que je suis une lesbienne.
"Non Mlle Stirn, voyez-vous, et je trouve qu'il est très difficile pour moi de l’admettre," commença à dire Gwynn en faisant une pause, profitant pleinement de l'humiliation qu'elle infligeait à sa nièce, "vous voyez ... Je trouve cela très dur."
"Allez, nous sommes là pour l'aider quel que soit son affliction."
«Je sais, c’est juste que j" ai eu affaire ... ". Gwynn s’arrêta et demanda : " Je suis désolée, puis-je avoir un mouchoir?"
L'infirmière lui tendit une boîte de mouchoirs en papier. Gwynn sécha les larmes de crocodile que l’excitation sexuelle et le plaisir provoquaient devant l’humiliation abjecte de sa nièce.
"Vous voyez,", a-t-elle enfin continuée, "elle aime les filles, elle est une lesbienne confirmée."
«Oh non!», s’écria la directrice avant de pouvoir se rattraper. Les autres femmes, en état de choc, en eurent le souffle coupé.
Gwynn laissa sa tête tomber en signe de honte, "je sais ... toute la famille est dévastée par cette déviance, mais nous n’avons pas été trop surpris en fait . . ., comme sa mère, ma sœur, est une lesbienne confirmée ainsi. Donc vous voyez pourquoi c’est si difficile pour moi . . . ma sœur et ma nièce sont toutes les deux gay ".
«Je suis tellement désolée pour vous Mme Panzer», a déclaré Mlle Stirn, "Bien entendu, nous allons faire tout ce que nous pouvons pour tenir compte de sa préférence sexuelle. Comment a-t-elle été diagnostiquée? "
Tammy sentit les larmes commencer à venir. Alors qu’elle était debout à côté de sa tante dans le bureau de la directrice avec la directrice, l’infirmière de l'école, la secrétaire, la conseillère scolaire et la directrice adjointe, sa tante a commencé à raconter sa visite de la veille chez la gynécologue. C’était terriblement humiliant. Sa tante n’oublia aucuns détails.
"Les doutes ont commencés au début de l'examen gynécologique de routine. Nous avons remarqué que même sous un examen des seins de routine ses mamelons durcissaient à cause de l'excitation. Cela nous a inquiété et le médecin a décidé d’approfondir ".
«Je vois.», dit la directrice. L'infirmière et la conseillère prenaient des notes pendant la discussion. Tammy baissa la tête et a essayé de se dire que c’était un cauchemar, qu’elle n’était pas là.
"Mais ce n’était certainement pas assez pour un diagnostic clinique.", continua Mlle Stirn.
"Bien sûr que non. Lors de l'examen, nous avons tout d’abord été soulagées de constater qu'elle n’était pas infectée par une maladie sexuellement transmissible perceptible et le docteur a réussi à localiser son hymen, de sorte que nous savons qu'elle est encore vierge, ce qui est un soulagement ".
"Ouf, c’est bien.", dit l'infirmière. La conseillère hocha la tête pour approuver.
Gwynn a poursuivi: «Mais au cours de l'inspection, Tammy a continué à être de plus en plus excitée. Et finalement, elle a eu un orgasme à cause des attouchements du médecin ".
"Oh non ! Est-ce que la gynécologue est belle? "
"Oui, c’est une très belle femme. Cela peut avoir joué. "
"Avez-vous reçu un deuxième avis?", demanda à l'infirmière?
"Non, je pensais que c’était tout à fait concluant, mais maintenant que vous le dites, confirmer ses tendances serait plus sûr. Seriez-vous capable de faire cela? "
"Oui, je pourrais le faire ce matin, il serait bon d'obtenir une confirmation avant d'aller plus loin. Il y a peut-être eu un concours de circonstances.
"C’est la sagesse même ! Rejoignons le cabinet de Mlle Pleasance. ", déclara Mlle Stirn.
Le groupe de cinq femmes et Gwynn se leva. Gwynn saisit le bras de Tammy et traîna la petite fille avec le groupe de femmes dans le couloir, jusqu’au bureau de l'infirmière.
Tammy traînait à côté de sa tante, en sautant alternativement sur un pied puis sur l’autre. Elle leva les yeux vers Gwynn et supplia d'une voix calme, "Non ma tante, s’il vous plaît . . ."
Gwynn fronça les sourcils, «du calme ma fille, ce n’est certainement pas ma faute si tu es dans cette situation." Tammy avait trop peur pour discuter avec sa tante. Si son cerveau pouvait sortir de l'état de terreur et d’humiliation dans lequel il était, elle aurait réalisé que presque chaque mot de sa tante était un mensonge.
Et Gwynn jubilait.
Elles entrèrent toutes dans le bureau de l'infirmière, et Mlle Pleasance fit signe à l'adolescente d'entrer dans la salle d'examen. Gwynn poussa Tammy d’une claque légère sur les fesses, pas trop forte pour sembler inopportune.
Tammy comprit le message de Gwynn : elle devait obéir ou la peine serait imminente.
L'infirmière ferma la porte et Tammy fut légèrement soulagée que les autres femmes étaient restées à l’extérieur.
Elle saisit sa chance et a chuchoté, "s’il vous plaît, aidez-moi."
L’infirmière Pleasance sourit, «Je suis en train de t’aider en ce moment."
"Non, non, non, s’il vous plaît, aider moi, je ne suis pas une lesbienne." Elle continuait de chuchoter désespérément, «Ma tante me force à faire ce genre de choses, ce sont des mensonges."
"Mme Panzer ?! Je ne le crois pas une minute ! Une femme si honorable ! Si importante ! Déshabille-toi !"
"Je ne suis pas lesbienne!"
«Je sais que tu dois encore avoir du mal avec tes sentiments, disons simplement que nous allons vérifier et nous assurer que tu ne l’es pas. Nous sommes toutes là pour t’aider. Maintenant ... enlève ta chemise, ta jupe, et le reste!", ajouta l’infirmière tout en claquant des doigts.
"S’il vous plaît.", dit Tammy, les lèvres tremblantes et les yeux commençant à mouiller.
«C’est ça!» L'infirmière alla à la porte, «Je dois dire à ta tante et mes collègues de venir ici pour m’aider . . . "
"Non, non, non, S’il vous plaît . . ., je vais le faire, je serai obéissante, ne le dites pas à ma tante.», supplia Tammy, terrorisée à l’idée que sa réticence entraînerait une punition. Et Tammy commença à déboutonner son chemisier avec des doigts tremblants.
L’Infirmière Pleasance ouvrit tout de même la porte et passa la tête.
« Désolée, Mme Panzer, mais votre nièce prétend que vous mentez et refuse de se déshabiller. Je pense que vous devriez toutes venir et m’aider. Apportez deux chaises supplémentaires, comme je n’ai que deux chaises dans mon cabinet.
Tammy était dévastée, elle savait qu'elle était en difficulté et commença à se dévêtir sans tarder, tandis que les femmes s’asseyaient.
Tammy enleva son chemisier qu’elle glissa de ses épaules révélant son soutien-gorge blanc.
L'infirmière lui tendit la main et Tammy lui donna la chemise.
"La jupe !"
Tammy déboutonna sa jupe et la laissa tomber sur le sol. L’infirmière prit le vêtement.
"Le soutien-gorge », dit-elle en claquant des doigts.
Tammy jeta un coup d'œil à l’air renfrogné de sa tante et détacha son soutien-gorge libérant ses seins lourds parfaitement galbés. Elle remit son soutien-gorge à l'infirmière.
"Culotte."
Tammy hésita une seconde puis baissa la tête, et obéit
"Elle a toujours été très pudique. . . elle doit être très gênée», dit sa tante d'une voix faible mais parfaitement audible.
Tammy passa ses pouces dans sa culotte et la tira jusqu'à ses chevilles. Elle se redressa, son visage rougissant de se retrouver nue debout devant toutes ces femmes. Elle ne portait plus que ses chaussettes et des chaussures en cuir verni. L'air froid lui donna la chair de poule et en baissant les yeux elle vit ses mamelons la trahir à nouveau en pointant tout durs, que ce soit à cause de la fraîcheur ou de l'embarras que lui causait sa situation.
"Allonge-toi sur la table d'examen."
Tammy alla vers la table d'examen couverte d’une feuille de papier blanc. Elle gardait les jambes bien fermées.
"Glisse ta tête au bord."
Tammy passa un bras sur ses yeux et essaya d'imaginer qu'elle était ailleurs alors qu’elle glissait jusqu'au bord de la table.
L'infirmière sortit une paire d'étriers de gynécologue du placard et les plaça dans des fentes sur le bord de la table.
"Maintenant, mets les pieds dans les étriers.", dit-elle en sortant des gants en latex d’une boite.
Tammy, hésitante mit ses pieds dans les étriers et l'infirmière les bloqua immédiatement avec des bandes velcro attachés aux montants. L’Infirmière Pleasance saisit alors Tammy par la main gauche et tira son bas pour le fixer avec un type similaire de sangle situé sous la table. Tammy était si confuse qu'elle ne régit pas Le temps qu’elle se rende compte, son poignet droit était attaché ainsi.
Tammy regarda l'infirmière et plaida, "Vous n’avez pas à faire cela, je ne suis pas une lesbienne."
L’infirmière mit un gant dans un claquement retentissant.
"Silence Tammy, tu es trop jeune pour savoir ce que sont tes tendances sexuelles, laisse les professionnels t’étudier et décider".
L'infirmière tira un tabouret entre ses jambes et se plaça entre celles de Tammy en s’asseyant.
"Tammy, tu as un très joli vagin.".
Tammy se tût.
"Quoi ?!, es-tu grossière en en plus d'être gay? "
Tammy ne savait pas quoi dire, elle ne voulait rien dire.
Gwynn jubilait. Visiblement, même si elle souhaitait un second examen, l’infirmière avait déjà son opinion de faite sur les mœurs de l’adolescente !
«Je m’attendais à ce que lorsqu’une fille est complimentée pour sa jolie chatte, elle dirait merci?!"
"Oui madame. Je vous remercie. "
Gloria Panzer se frotta les cuisses de plaisir. Elle adorait la façon dont sa morveuse de nièce était piégée et contrainte de répondre.
"C’est mieux, maintenant nous allons voir ce qu’il en est de ce lesbianisme, OK?"
L'infirmière avança les doigts de sa main droite jusqu'au vagin de Tammy, plaçant doucement un doigt sur le clitoris. Tammy sursauta au contact et laissa échapper un «eeek".
"Oooh, tu es très sensible au toucher d'une femme." dit l'infirmière en souriant méchamment, l’air entendue "Cela va être amusant." Il y eu de petits rires et des murmures derrière elle.
L’infirmière glissa son doigt vers le bas la chatte de Tammy qui senti le latex froid comme une lame de métal sur sa partie la plus intime d’elle-même. Elle a combattu l'excitation qui commençait à monter en elle : l'exposition en face de cette femme, l'humiliation qu’elle subissait, la perversité de la situation faisaient leur œuvre.
L’infirmière Pleasance commença à lui masser le clitoris doucement avec une main puis avança sa main gauche et a étendu son doigt du milieu pour le faire entrer dans la chatte de Tammy.
Elle commença à essayer de forcer dans le vagin.
"Mon Dieu ! Tu es toujours un peu sèche"
L'infirmière regarda à sa gauche et s’adressa à la directrice adjointe, Mme Dahlia Watson.
"Pourriez-vous venir m’aidez une seconde? ".
Mme Watson sourit et s’approcha de la table d'examen. " Que dois-je faire ? ?, a-t-elle demandé.
L'infirmière se leva, appuya sur un bouton et Tammy sentit son corps basculer en arrière. Il y eut une légère pause, puis le mouvement reprit. Tammy était maintenant tête vers le bas, à hauteur des genoux de Mme Watsons, juste en dessous de sa jupe bleue.
"II faudrait vous rapprocher et enfourcher le visage de Tammy", dit l’infirmière Pleasance en bougeant son tabouret pour se retrouver sur le côté droit de la jeune fille.
"S’il vous plait, relevez votre jupe légèrement, pour que je puisse bien placer ma patiente", dit l’infirmière.
Dahlia releva sa jupe et l'infirmière poussa un autre bouton. La tête de Tammy se releva entre les cuisses de Mme Watson. Tammy sentait la douceur des cuisses de la femme sur ses joues et soudain son nez butta contre la culotte de soie humide. Tammy tourna la tête sur les côtés pour se dégager mais elle ne le pouvait pas !
Excités, les mamelons de Mme Watson durcirent et se dressèrent. Elle était une femme mariée et hétérosexuelle, mais cette situation l'avait prise au dépourvue et très excitée. Sa mouille coulait en abondance d’autant qu’elle sentait le nez de Tammy frotter son clitoris. Instinctivement, elle contracta les cuisses ce qui permet une sensation accrue des frottements de Tammy.
L’Infirmière Pleasance mit sa main droite sur la vulve de Tammy et a commencé à frotter doucement.
"Voir et sentir les organes génitaux d’une femme a un effet imparable sur les lesbiennes", dit l'infirmière, tout en stimulant Tammy.
« Oui, je sens l'humidité s’écouler", ajoute-t-elle., "C’est clair, la mouille a été suscitée par la chatte de Mme Watson. La lingerie et l’odeur du sexe d’une femme ont fait leur effet", a-t-elle continué, en souriant aux trois femmes assises à côté de la table d'examen.
"Oooooooooh!", couina Tammy en commençant à jouir.
L’infirmière Pleasance ne lui donna pas l’occasion de récupérer et recommença à déplacer lentement son doigt dans et hors de sa chatte.
Elle a approché son autre main et a commencé à jouer avec le clitoris de Tammy.
Elle est allée de plus en plus vite et plus rapide
Enfin, quand elle vit Tammy au bord de l'orgasme, elle redressa son annulaire, le planta contre l’anus de la fille, et pénétra le cul de Tammy.
"Deux dans la chatte et un dans cul!"
Toutes les femmes éclatèrent franchement de rire. L’atmosphère se détendait, maintenant qu’elle avaient la certitude que Tammy était lesbienne.
Mme Watson, très excitée aussi, s’écrasa encore plus sur le visage de Tammy, tout en se soutenant contre les seins de l’adolescente, qu’elle prit à pleines mains.
"Oh mon dieu", cria Tammy, la voix étouffée, en jouissant enfin.
Mme Watson senti venir la jouissance de la jeune fille et se mit à frotter son entrejambe contre le nez et la bouche Tammy, tout en réussissant à se contrôler, afin de maintenir sa dignité vis-à-vis de ses collègues et de Gwynn.
Toutes les femmes commencèrent à parler à la fois. Elles constatèrent l'orgasme évident de la jeune fille, s’étonnant de son impudeur, constatant son lesbianisme flagrant
"Comment peut-on tolérer, Mme, Panzer ? ", dit la conseillère.
"Ça va être dur, mais il faut la soutenir ! ", dit Gwynn," la jeune fille aspire évidemment à une sexualité avec les femmes et que peut-on faire sinon le lui permettre, l’y aider? "
L’infirmière Pleasance dit "OH mon Dieu !, " tandis qu'elle continuait à frotter la chatte trempée de Tammy, " je pense qu’il faut encore étudier plus loin Mme Panzer. Mme Stirn, j’aimerais que vous m’aidiez dans ma prochaine expérimentation.
La directrice se leva et se tint à côté de l'infirmière. "Que puis-je faire pour vous aider?", demanda-t-elle.
"S’il vous plait, enlevez votre culotte et enfourchez la patiente comme Mme Watson l’a fait, mais en agrippant ses hanches avec les mains pour frotter votre sexe sur son visage », dit l'infirmière en souriant.
Gwynn était proche de l'orgasme, ses mamelons étaient durs et elle sentit de petits chocs à l’intérieur de sa chatte. C’était encore mieux que ce qu'elle avait espéré, et ce n’était pas encore terminé ! Elle réussit à mettre discrètement sa main droite sur son sexe, puis à appuyer sur contre sa jupe, afin de se faire jouir.
Mme Stirn releva sa jupe et enleva sa culotte. Elle chevaucha ensuite Tammy comme demandé.
"S’il vous plait, remontez encore votre jupe légèrement, de sorte que je puisse voir et régler la position de la tête de la patiente. Mme Stirn était en effet plus grande que Mme Watson et l'infirmière du de nouveau régler la table. Le visage de Tammy fut poussé entre les fesses humides de la directrice et ses yeux s’écarquillèrent de panique, alors qu'elle regardait l'anus ridée de Mme Stirn s’approcher, puis son nez plonger dans la raie puis l’anus, tandis que sa bouche se pressaient contre les lèvres vaginales.
Mme Stirn, souhaitant aider, se plia légèrement afin d'augmenter la pression sur son entrejambe. Tammy protesta, son nez à mi-hauteur du rectum, mais sa voix était réduite à néant par les lèvres grasses couvrant sa face inférieure. L’Infirmière Pleasance pinça le mamelon droit de Tammy, alors qu'elle augmentait le rythme de sa main droite
Mme Stirn ferma les yeux. La sensation dans son entrejambe était merveilleuse, mais comme Mme Watson, elle a réussi à se calmer tout en se déplaçant légèrement d'avant en arrière sur le visage de la jeune fille. L'infirmière se pencha, ouvrit un tiroir et en sortit un gode vibreur blanc tout simple, se tourna vers Tammy et le plaqua contre l’anus de l’adolescente. Tammy essaya de protester, mais l'infirmière de l'école continua de lui doigter la chatte et de lui exciter l’anus. Après trois minutes Tammy perdit le contrôle d’elle-même et eut son 2eme orgasme, en criant dans la chatte humide de la directrice.
De nouveaux les femmes de l’assemblée se mirent à discuter
La directrice du rétablir l’ordre: «Mesdames, Mesdames! S’il vous plaît, du calme !".
Une fois le calme revenu, Mlle Stirn se tourna vers Gwynn : «Mme Panzer, Tammy est clairement homosexuelle. Dépravée au point d’être excitée par une femme devant un groupe de femmes et d’avoir 2 orgasmes. Nous devons décider comment traiter Tammy dans cette école. Je vais déjà envoyer un mémo à toutes les enseignantes au sujet de son lesbianisme et de sa dépravation pour les informer ".
L’infirmière Pleasance se baissa, ramassa la culotte de la directrice et la pressa contre le visage de Tammy, tandis qu’elle plaçait le gode vibreur sur son clitoris et ses petites lèvres.
L'infirmière sentit rapidement un nouvel orgasme venir
"Regardez ! Regardez ! Elle va jouir de nouveau ! Alors qu’elle a une culotte de femme sur le visage ! Je ne peux être que d'accord avec Mlle Stirn, cette fille est évidemment une lesbienne et peut-être même une nymphomane" Elle fourra alors carrément la culotte dans la bouche de Tammy.
"Oui, c’est définitivement une nymphomane ! Une nymphomane qui jouit avec une culotte sale dans la bouche ! "
L'infirmière desserra les bandes de velcro et libéra la jeune fille. "La cloche est sur le point de sonner jeune fille et vous devez vous préparer pour la classe. . . .Assez d’orgasmes pour aujourd’hui !"
Tammy, en sanglots, tremblante encore de ces 3 orgasmes retira la culotte de Mlle Stirn de sa bouche. Elle se sentait malade, son visage puait le sexe de femme, elle avait perdu tout espoir et s’est effondrée sur le sol de désespoir et vomi sur le plancher de bureau.
L’infirmière Pleasance nettoya rapidement le gâchis, alors que Gwynn essuyait le visage de Tammy.
"Allons Tammy", gazouilla Gwynn "il n’y a pas de raison de pleurer, ne t’inquiète pas, la direction de l’école va t’aider à assumer tes penchants!". Elle posa sa bouche à l’oreille gauche de Tammy et murmura : "j’ai remarqué combien tu as apprécié le cul de la directrice . . . tu vas voir combien tu vas apprécier le mien lorsque tu vas rentrer à la maison après l'école !
Tammy se rhabilla et demanda à récupérer sa culotte en balbutiant
"Tu es lesbienne et nymphomane, non? Tu n’as plus besoin de culotte. Ce sera très bien pour ta petite chatte d’avoir de l’air frais pour refroidir le feu qui couve en toi », dit Gwynn en lui administrant une bonne claque sur le derrière cette fois pour l’envoyer en classe.
Gwynn remercia l'infirmière et alla parler à Helen Stirn. La directrice avait une conversation avec Mme Watson et les deux femmes sourirent à Gwynn en la voyant arriver.
"Je veux juste vous remercier pour votre aide et votre compréhension", dit Gwynn. "Maintenant il n'y a absolument plus aucun doute sur le fait que Tammy soit gay !
"Nous sommes heureuses d’avoir été en mesure de vous aider, Mme Panzer et soyez assurée que Tammy va obtenir une attention particulière et quotidienne », répondit Helen Stirn tout en tapotant la main Gwynn et en souriant
Gwynn tendit sa culotte à la directrice qu'elle avait apportée du cabinet de l’infirmière.
"Il aurait été bête de la perdre ! Elle doit encore avoir de l’usage pour notre petite Tammy !", dit Gwynn, déclenchant les rires de l’assemblée.
Maintenant qu’elles étaient fixées sur les goûts lesbiens de Tammy, les membres de la direction de l’école auraient une attitude décomplexée envers la jeune fille
Mme Watson dit au revoir et retourna à son bureau et Gwynn et Helen Stirn commencèrent à parler.
Gwynn dit : "Pourquoi ne viendriez-vous pas dîner vendredi soir ? Nous pourrions discuter des dispositions que vous prévoyez pour Tammy?
"Merci ! C’est gentil. J’ai une réunion à 16h30 qui durera environ une heure et je viendrai après", répondit Helen Stirn en serrant la main de Gwynn.
Gwynn souria à elle-même tout le chemin du retour. La journée avait été merveilleuse ! Et elle ne faisait que commencer !
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