Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 17:08

udagjb2dBonjour amies perverses et amis pervers! 

Celà fait un moment que je n'ai pas fait de point sur la vie de votre blog préféré, non par manque de succès mais par manque de mise à jour du Top des blogs d'Erog! Manque de mise à jour qui perdure!

Celà n'empêche pas votre blog préféré d'être de plus en plus au top!

L'année dernière, alors qu'il était à une moyenne journalière de 250 connexions iindividuelles jour et à 1 000 pages lues, il était classé 149eme.  Actuellement, il est au même classement alors que nous en sommes à une moyenne de 5OO connexions individuelles jour et à 2500 pages lues! Pas terrible pour la réactivité d'Erog alors que les blogs gratuits sont de plus en plus innondés de pubs!

En tout cas merci pour votre fidélité!

Le blog s'enrichit de plus en plus: 24 rubriques, 323 articles, des textes, des bandes dessinées, autour du thème de la soumission féminine sous toutes ses formes! . . . Et l'aventure continue!

De nouveaux un grand bonjour à nos lecteurs de l'étranger qui nous viennent maintenant des 5 continents! J'espère que mon petit blog réponds à votre besoin de trouver des histoires dans la langue de molière sur ce thème de la soumission féminine, qui est plus un thème anglo-saxon il faut le reconnaitre! (un grand merci à nos pervers amis anglais pour toutes leurs belles histoires!)

Bonne lecture!

 

PS: je suis toujours preneur de toutes les "perles" que vous pourrez créer ou trouver!


Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:36

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Housewives at play - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:33

Chapitre 26 : Coquette et Lauren 2

 

Coquette ouvrit la porte de la chambre de Lauren. Il y faisait trop noir pour voir quoi que ce soit mais elle ne pouvait que sentir distinctement l’odeur de sexe qu’elle dégageait et qui lui collait à la peau comme une huile. Ça la suivait comme de l’ail, elle puait le sexe.
Elle referma la porte dès que ses pupilles commencèrent à s’adapter à la pénombre.
Sur le lit, elle pouvait distinguer la forme sombre de Lauren qui dormait. En dépit du fait que sa Maîtresse l’obligeait à faire ça, son estomac était noué par l’excitation. Elle avait toujours désiré cette jeune fille et aujourd’hui ses espoirs étaient sur le point d’être récompensés. Elle était certaine d’y prendre beaucoup de plaisir.
Elle traversa la pièce et ouvrit les rideaux.

— Mademoiselle ! C’est l’heure de vous lever.

La teinte rouge de l’aurore envahit la chambre de la fille, révélant ses cheveux blonds éparpillés sur ses oreillers en soie.
Elle s’approcha de la tête du lit, alluma la lampe de chevet de Lauren et murmura :

— Mademoiselle Lauren, c’est l’heure de vous réveiller.

Elle se pencha sur la jeune fille afin d’être sûre que son odeur musquée arrive jusqu’à ses narines et chuchota :

— Allez, on se réveille.

Lauren entrouvrit les yeux, s’étira et pris une grande respiration. Son odorat fut envahi par les effluves de sexe que dégageait la bonne. Surprise, elle bloqua sa respiration et ouvrit ses yeux en grand. Debout près d’elle, elle découvrit coquette. Cette dernière portait le plus étroit et le plus court des uniformes de domestique qu’elle n’ait jamais vu.

— Qu’est-ce que tu fais ici ? Demanda-t-elle en tirant les draps jusqu’à son menton pour masquer son corps.

— Mes fonctions ont changé, je suis affectée à votre service exclusif. Dorénavant, je serai votre femme de chambre et votre servante personnelle.

Lauren toussa, l’odeur musquée était vraiment concentrée, Coquette puait le sexe.

— Je n’ai pas besoin de ton aide, tu peux t’en aller.

Elle était effarée. Elle connaissait le projet qu’avait sa belle-mère de la marier à Tawnee Cantrell, un pur mariage d’intérêt qu’elle n’avait pas l’intention d’accepter. Elle voulait avoir une vie normale et se marier à un homme bien quand il en serait temps. A nouveau, elle se prit à rêver de s’échapper de cette maison de dingues.

— Mademoiselle, j’ai des instructions très STRICTES. Elles viennent de Madame votre mère et répondent à tous vos besoins. Je serai très sévèrement punie si je la déçois.
Et Coquette s’empara des draps et essaya de les tirer hors du lit. Lauren résista, s’y accrochant comme à une bouée de sauvetage.

— Ce n’est pas ma mère !

Elle détestait sa belle-mère mais elle ne voulait pas être la cause de tourments que pourrait endurer la servante. Elle n’imaginait que trop quelle flagellation ou autre torture sa belle-mère sadique pourrait prendre plaisir à lui infliger. Après tout, quel mal y aurait-il à laisser Coquette s’occuper d’elle.

— Ok, tu peux rester, mais je ne veux pas que tu traînes dans mes pieds. Dit-elle.

Elle laissa donc la servante retirer les draps, révélant son corps mince d’adolescente, vêtu d’un tee-shirt et d’une petite culotte en coton.

— Merci Mademoiselle Lauren.

Elle tendit une main et s’empara de celle de l’adolescente pour l’aider à se lever. Sans la lâcher, elle attira la jeune fille vers la salle de bain. Celle-ci la suivit d’un pas nonchalant, abasourdie par le spectacle que produisait la jupe de coquette en révélant une partie de son postérieur à chaque mouvement de cuisse.
Lauren roula des yeux, ça n’était pas possible. Elle se plaindrait à sa belle-mère du comportement indécent de cette domestique. Lui faire ce genre d’avances à elle… Elle qui n’aimait pas les filles…
La jeune fille s’arrêta à l’entrée de la salle de bain dans laquelle Coquette venait de pénétrer naturellement, comme le lui avait ordonné sa Maîtresse.

— Eh !... Qu’est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle ?

Coquette s’arrêta, se retourna et battit des cils en regardant la blonde.

— Je ne fais que ce que l’on m’a demandé de faire.

Et, tel un perroquet, elle répéta les ordres de sa Maîtresse, se redressant légèrement sur ses talons pour paraître plus imposante :

— Choisis ses vêtements pour elle, nettoie sa salle de bain, fais son lit, coiffe la, maquille la et habille la.

— Bien, mais tu peux attendre que j’aie fini d’utiliser la salle de bains ? Peut-être que tu peux faire le lit pendant que je vais aux toilettes.

Lauren se dandinait d’un pied sur l’autre. Elle ne savait pas quoi faire.

— Mes ordres sont très précis Mademoiselle.

Et elle se déplaça pour laisser Lauren entrer dans la salle de bain.
L’adolescente hésita un instant puis haussa les épaules avant d’entrer. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle aurait pu faire d’autre.
La pièce d’eau était assez grande. Un grand espace libre au centre, un wc dans un coin. Dans le coin opposé, une douche assez spacieuse pour accueillir plusieurs personnes à la fois et, en face de la porte, une longue console surplombée par un gigantesque miroir mural.

— Pourquoi n’iriez-vous pas vous soulager pendant que je prépare votre douche Mademoiselle Lauren ?

Désemparée, l’adolescente se dirigea humblement vers les toilettes. Elle eut un regard vers Coquette, pour s’assurer qu’elle ne regardait pas, puis, dans un mouvement rapide, baissa sa culotte et s’assit sur le siège. Elle fit son possible pour ménager sa pudeur, tentant d’échapper au regard de la soubrette. Ses longs cheveux blonds formèrent un écran devant ses yeux à travers lequel elle regarda attentivement Coquette lancer sa douche.
Coquette s’employa à tourner le dos à l’adolescente pendant qu’elle se penchait pour atteindre le robinet. Sa position exposa son derrière pratiquement nu à la jeune fille.
Sidérée par la légèreté et la transparence du sous-vêtement, la jeune fille resta coite, bouche ouverte. Dans le même temps, elle entrevit un éclat brillant trahissant la moiteur de l’entrecuisse de la soubrette.
Outrée, la jeune fille ferma les yeux et remua la tête, tentant de chasser cette image obscène de son esprit. Lorsqu’elle les rouvrit, Coquette s’avançait vers elle.

— Votre douche est prête Mademoiselle.

La jeune fille n’avait pas encore réussi à se soulager, elle commença à paniquer. Elle essaya de s’y forcer, serra les dents et poussa, mais rien ne vint.

Maintenant, Coquette se trouvait tout près d’elle.

— Allez-y Mademoiselle Lauren.

L’adolescente ne changea pas de position, tête inclinée sur la poitrine et visage masqué par ses cheveux. Elle n’arrivait pas à croire que cela puisse lui arriver. Elle tenta d’oublier ce qui se passait et se concentra sur son envie. Finalement, lentement, elle sentit l’urine sortir de sa vessie.

— Allez Mademoiselle, vous pouvez y arriver. L’encouragea Coquette.

L’adolescente ouvrit les yeux et les leva vers la petite brune. Aussitôt, elle le regretta. La soubrette se tenait juste devant elle. Comme elle était légèrement penchée en avant, ses deux tétons, qui s’étaient échappés de leur prison de tissu, pointaient directement à la hauteur de ses yeux. Elle les ferma à nouveau énergiquement fuyant l’embarras qui la minait. Elle se mit à uriner. La miction commença à couler lentement au début, elle poussa plus fort afin de précipiter le jet pour en finir plus vite avec cette situation humiliante.

Lauren sentit quelque chose effleurer ses lèvres, elle sursauta et ses yeux s’ouvrirent à nouveau. La surprise stoppa net sa miction. La soubrette s’était penchée sur elle pour attraper du papier toilette et ce mouvement avait plaqué l’un de ses tétons contre sa bouche.

Paniquée, l’adolescente tenta de repousser Coquette.

— Que fais-tu ? Ecarte-toi…

Elle ne put retenir quelques larmes qui se mirent à couler sur ses joues. Pourquoi tout cela lui arrivait-il ?

SLAP!

Lauren cessa de lutter et frotta sa joue à l’endroit où la gifle s’était écrasée. La domestique la fusillait du regard en serrant les dents tant elle était en colère.

— Ecoute-moi bien, espèce de petite garce…

La soubrette, semblant reprendre son contrôle, s’interrompit et sourit.

— Mademoiselle Lauren. Reprit-elle d’une voix plus calme.

Elle repliait le papier dans le creux de sa main.

— Vous devriez accepter la situation. Je sais qu’il y a beaucoup de moyens que votre mère AIMERAIT appliquer pour vous enseigner le comportement qu’elle attend de vous.

Elle eut un sourire hypocrite.

— M’accepter en tant que femme de chambre particulière est de loin le moins sévère.

Lauren se mit à pleurer de plus belle. Le visage couvert de larmes, elle sanglotait silencieusement.

— Et maintenant, Mademoiselle, est-ce que vous avez fini de faire pipi ?

Vaincue, Lauren approuva de la tête.

— Alors écartez vos jambes Mademoiselle, je dois m’occuper correctement de vous.

Les larmes ruisselèrent de plus belle lorsque l’adolescente écarta ses cuisses pour offrir son intimité à sa bonne. Coquette s’accroupit entre les jambes de la jeune fille et appliqua délicatement le papier sur la fente de Lauren. Elle introduisit adroitement le papier hygiénique entre les lèvres du sexe, tamponnant délicieusement les muqueuses pour en absorber l’urine qui les humectait.

Elle fixa l’adolescente dans les yeux.

— Je ferai de mon mieux pour satisfaire le moindre de vos besoins Mademoiselle.

Elle l’essuya une dernière fois et, toujours aussi délicatement, introduisit son majeur derrière le chiffon de papier, le faisant coulisser légèrement à l’intérieur des parties honteuses de la blonde, se délectant du contact soyeux.
Lauren poussa un petit geignement à travers ses larmes mais ne se débâtit pas. Elle avait peur de recevoir une autre gifle.
Coquette immobilisa son doigt au cœur de l’intimité de l’adolescente.

— TOUS vos désirs…

Et sur ce, elle s’interrompit et se redressa.

— Hmmm Mademoiselle, j’adore vous taquiner.

Elle se pencha à nouveau sur la jeune fille et glissa adroitement le papier hygiénique souillé entre ses cuisses avant de le jeter dans la cuvette des WC. Puis, devant les yeux horrifiés de l’adolescente, Coquette lécha langoureusement son doigt et lui sourit.

— Allez, jeune fille, votre douche est prête.

Elle fit un pas en arrière et, d’un geste d’invite, tendit la main à Lauren pour l’aider à se lever. L’adolescente saisit la main de la soubrette et se redressa, l’air perdu. Sans offrir de résistance, elle se laissa guider jusqu’à la douche. Dans un état-second, elle se laissa déshabiller entièrement.

Coquette admira le corps de la jeune fille.

— Vous êtes très jolie Mademoiselle. J’adore vos petits seins. Elle en empauma un. Choquée, la blonde baissa les yeux sur la main qui s’était posée là où personne ne l’avait fait jusqu’à aujourd’hui.

— Hmmm, je suis sûre que nous allons beaucoup nous amusez toutes les deux, vous n’aurez plus jamais envie de nous quitter.

Puis elle la fit pivoter de dos et lui claqua gentiment la fesse.

— Rentrez là-dedans, il est temps de procéder à vos ablutions.

Lauren pénétra dans la cabine et se retourna.

— Tu ne viens pas avec moi ? Demanda-t-elle d’une toute petite voix.

— Non. Gloussa Coquette. Pas aujourd’hui, mon adorable petite cochonne. Je vois bien que tu apprécies notre petit jeu, mais non.

Elle saisit les côtés de sa petite jupe et pirouetta sur elle-même.

— Je ne peux pas prendre le risque de mouiller mon bel uniforme. Peut-être demain… Je viendrais sans vêtements si vous voulez.

— Non, non ça va comme ça. Répondit la blonde dans un souffle.

Elle se dirigea vers le jet qui cascadait à quelques mètres d’elle.

Dès que l’adolescente se fut immergée sous le jet dru, Coquette alla s’asseoir sur le siège placé devant la console. Elle glissa sa main à l’intérieur de sa culotte souillée et introduisit son majeur entre ses lèvres sexuelles. Rapidement elle se caressa, veillant à retrouver le même état d’excitation qu’elle ressentait en entrant dans la chambre de Lauren.
Lauren prolongea sa douche aussi longtemps que possible. Elle lava ses cheveux deux fois et, finalement, resta sous le jet, ne faisant rien, s’abandonnant à la douce caresse de l’eau.
Au bout d’un moment, Coquette passa sa tête à l’intérieur de la cabine et déclara :

— Allez petite chérie, vous allez être en retard à votre cours de tennis.

La blonde ferma l’eau mollement et sortit de la douche en s’enveloppant dans l’immense serviette que tenait sa bonne. Celle-ci prit affectueusement l’adolescente dans ses bras.

Coquette sécha entièrement l’adolescente, passant derrière elle, n’oubliant pas une parcelle de peau. Abasourdie, Lauren se laissa faire. La soubrette s’était accroupie et lui frottait les jambes en admirant sa nudité. Puis, elle se servit de la serviette pour lui couvrir les cheveux, révélant la nudité de la jeune fille dans son ensemble.

— Vous êtes bien sèche partout ? Demanda innocemment la bonne.

L’adolescente approuva de la tête.

— Bien, alors asseyez-vous ici que je m’occupe de votre maquillage et de vos cheveux.

Elle la guida vers la chaise et la positionna face au grand miroir.
Pour commencer, la petite brune s’attela à sécher les cheveux blonds, elle tournait autour de la jeune fille, prenant soin de se tenir aussi près que possible d’elle. Elle s’appliquait à appuyer ses tétons contre le visage de l’adolescente, les faisant frotter contre ses joues et même, deux fois, contre ses lèvres. Au bout d’un moment, la timidité de l’adolescente prit le dessus et elle tenta d’échapper à l’emprise de sa soubrette, mais lorsqu’elle recula son visage, Coquette la gronda et lui dit qu’en agissant ainsi, elle allait lui créer des problèmes avec sa belle-mère.
Enfin, lorsqu’elle en eut terminé avec le maquillage et la coiffure, la soubrette fit lever la jeune fille.
Sans lâcher les mains de l’adolescente, elle prit un peu de recul et laissa ses yeux se promener sur le corps dénudé de la blonde.

— Vous êtes vraiment très sexy Mademoiselle Lauren, j’ai vraiment du mal à me retenir de goûter à votre petit nid d’amour.

Lauren fit non de la tête faiblement. Les agacements incessants que lui avait fait subir la bonne, les insinuations grivoises et le contact indécent avec ses tétons l’avaient plongée dans une espèce de torpeur inhabituelle. Des sentiments contradictoires l’habitaient. Elle se refusait à se laisser émoustiller par le comportement et la tenue obscènes de Coquette, mais, d’un autre côté, elle n’éprouvait plus autant de répulsion que lorsqu’elle s’était réveillée. Son sexe la démangeait légèrement et les pointes de ses seins étaient dressées, aussi dures que du bois.
Elle se prit à envisager que le doigt de la soubrette se glisse une nouvelle fois entre les lèvres de sa petite fente.
La brune se rapprocha d’elle, lui prit gentiment la main et la fit sortir gentiment de la salle de bain.
De retour dans la chambre, coquette choisit sa tenue : Un soutien-gorge de sport serré, une mini-jupe blanche plissée, des chaussettes en coton assorties et une paire de chaussures de tennis. Enfin, elle sélectionna la plus petite culotte, la plus minuscule, que contenait son armoire.

Puis elle aida l’adolescente à se vêtir, lui enfilant sa culotte et chacune de ses chaussettes, insérant délicatement chacun des petits seins à l’intérieur du soutien-gorge. La jupe vint en dernier.

— Maintenant, Mademoiselle, dites-moi ce que vous en pensez.

Elle se tenait juste derrière l’adolescente rougissante dont l’image se réfléchissait dans le miroir.
Lauren se sentait toute bizarre, le regard de la soubrette dans son dos l’incommodait un peu et les évènements de la matinée tournoyaient dans sa tête.

— Alors, comment vous sentez-vous ?

Comme dans un rêve, elle sentit, plus qu'elle ne les vit, les mains de la soubrette se glisser sous sa petite jupe.

— Ici ?

Elle sentit les doigts se faufiler sous le petit rempart de tissu qui couvrait ses parties honteuses et s’insinuer à l’entrée de sa petite fente.

— Oohhh vous êtes complètement trempée Mademoiselle Lauren, je ne me doutais pas que vous étiez si réceptive.

Et la soubrette se mit à masser délicatement le clitoris de l’adolescente.
La jeune fille émit un "Non" désarmé. Elle sentait un plaisir inconnu s’insinuer au plus profond de son ventre. Affaiblie, elle laissa Coquette se livrer à ses manipulations sans opposer la moindre résistance et s’effondra contre elle en poussant un gémissement.
La soubrette accompagna le mouvement et se laissa glisser par-terre en même temps que l’adolescente. Se positionnant au-dessus du corps abandonné, elle glissa aussitôt sa main contre les fesses de la blonde, s’emparant de son intimité par derrière.
Lauren sentit les doigts de sa bonne serpenter au cœur de son bas-ventre. D’abord un, puis deux qui se mirent à aller et venir à l’intérieur de sa vulve. Chaque mouvement lui arrachait un gémissement dont l’intensité allait en augmentant.
Brusquement, sans cesser de la tripoter, Coquette s’agenouilla entre les cuisses de la jeune fille et la débarrassa de sa petite culotte. Ironiquement, elle ne put s’empêcher de se dire que l’adolescente ne l’avait pas conservée très longtemps sur elle.
Lorsqu’elle fut arrivée à ses fins, la brune s’inclina entre les cuisses offertes et se mit à lécher activement le sexe offert.
L’adolescente avait perdu la notion des choses. Seule l’extase grandissante qu’elle ressentait occupait son esprit. La langue diabolique de sa bonne lui prodiguait des caresses qu’elle n’aurait jamais imaginées possibles. Au bout d’un moment, elle sentit le muscle chaud se concentrer sur le pourtour de son anus. Deux doigts reprirent possession de son intimité tandis que la langue forçait les muscles de son sphincter.
Un orgasme fabuleux explosa dans son ventre.

— OooOOOHHH MON DIEU !!!

Coquette sourit en se remettant lentement. Elle conserva ses doigts à l’intérieur du vagin de la jeune fille et l’aida à se remettre sur ses genoux. Elle ne les retira que lorsque l’adolescente tituba sur ses pieds, incapable de maintenir son équilibre elle-même.

— Pressez-vous jeune fille. Dit la brune en poussant doucement Lauren vers la porte d’entrée de sa chambre. Elle s’empara de la raquette de la blonde et la suivit dans l’escalier.

Ce ne fut que lorsqu’elle eut descendu la moitié des marches que l’adolescente réalisa qu’elle ne portait pas de culotte

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 13:28

Chapitre 25: Coquette et Lauren


Ce chapitre vient s’intercaler avant Allie et Nicole 22 : Allie la prostituée pour femme. C’est un récit parallèle qui, je vous le garantis, impliquera vos personnages préférés et en introduira de nouveaux.

 

— Coquette ! Appela la grande femme aux cheveux noirs assise derrière le bureau.

— Oui Maîtresse ? Répondit Coquette.

Elle avait appris à obéir à cette femme et pâlit quand le regard vert et froid se braqua sur elle. Elle appartenait corps et âme à sa Maîtresse : Alex Jacobs.

— J’ai une nouvelle tâche à te confier.

Alex se leva, contourna le bureau et s’y appuya, de dos, face à la domestique au corps mince.
Coquette attendait tandis qu’Alex déclara en souriant.

— J’attends de toi que tu séduise Lauren. Tu seras la servante dévouée qui la convertira au lesbianisme. Grace à toi, elle va devenir l’adolescente lesbienne dont j’ai besoin.

L’estomac de Coquette se noua. Elle ne pensait pas être capable de ça, mais répondit :

— Oui Maîtresse.

— Bien, bien. Je suis heureuse que tu acceptes. J’aurai détesté être obligée de te faire quelque chose de désagréable.

Et elle eut un de ces sourires dont elle avait le secret et qui signifiait qu’en fait, elle se serait volontiers pris plaisir à punir sa bonne jusqu’à ce qu’elle change d’avis.
Coquette sourit mécaniquement.

— J’ai dressé une liste détaillée des obligations dont tu devras t’acquitter durant ton service. Susan te remplacera pour les tâches courantes. Pour commencer, dès demain matin, tu la réveilleras et tu l’informeras que tu vas l’aider à faire sa toilette matinale. Je t’interdis de la laisser seule, que ce soit dans sa chambre, sa douche ou ses toilettes. Compris ?

— Oui Maîtresse.

— Il faudra aussi que tu choisisses ses vêtements pour elle, que tu nettoies sa salle de bain, que tu fasses son lit, que tu la coiffe, la maquilles et que tu l’habilles. Tu n’auras qu’à lui dire que tu risques d’être fouettée si tu ne t’acquittes pas de toutes ces tâches.

Ce disant, Alex s’était redressée. Elle se pencha sur la jeune femme qu’elle dominait de plusieurs centimètres et ronronna presque en déclarant calmement :

— Ce qui est tout à fait vrai bien entendu.

Elle sourit à nouveau et Coquette lut dans les prunelles glacées une vision de douleur et de plaisir. Elle ne put soutenir le regard de sa Maîtresse et baissa les yeux.

— Ca sera tout Coquette. Tu iras voir Susan pour qu’elle te fasse part des instructions spécifiques.

Alex la congédia d’un geste de la main et retourna s’asseoir derrière son bureau où elle se replongea dans le dossier qu’elle avait abandonné.

**********************************************

Coquette referma la porte du bureau derrière elle et traversa l’entrée en direction du bureau de Susan. Elle détestait Susan. En tant que favorite d’Alex, elle abusait toujours des autres filles du harem d’Alex. Chaque fois qu’elle le désirait, elle pouvait faire ce qu’elle voulait et les punissait pour des raisons aussi futiles qu’insignifiantes.
Lorsqu’elle entra dans le bureau, Susan leva le nez des documents qu’elle remplissait. C’était elle qui était responsable de la bonne marche de la maison et elle prenait son rôle très au sérieux. Quand on savait les punitions qu’Alex adorait inventer, ça n’était pas étonnant

— Coquette ! Quelle bonne surprise.

— Je suis à votre disposition Madame. Bien que Suzan soit soumise à Alex, elle avait toujours conservé son ascendant sur les autres filles.

— Je suppose que tu viens du bureau de notre Maîtresse non ? Bien, ne tournons pas autour du pot. J’ai un nouvel uniforme pour toi. Il sera mieux adapté pour être au service de la fille, sa femme de chambre en fait.

Elle se leva et quitta son bureau, suivie par la petite brune. Les deux femmes traversèrent une partie de la demeure. Enfin, elles arrivèrent dans les quartiers des servantes où elles habitaient toutes. L’agencement était très fonctionnel : Une pièce commune leur servait pour s’habiller et se préparer. Un grand sanitaire comportait plusieurs douches communes et, le long d’un couloir, plusieurs chambres privées accueillaient chacune d’entre elles.

— Attends-moi ici. Dit Susan.

Coquette resta debout au centre de la salle commune pendant que Susan ouvrait l’une des nombreuses penderies. Elle en tira un uniforme de soubrette protégé par une housse en plastique.

— Allons-y, enfile ça s’il te plaît.

Coquette se déshabilla rapidement, elle avait l’habitude de se déshabiller devant les habitantes de la maison. On le lui demandait souvent et il était rare qu’une journée passe entièrement sans qu’elle soit obligée de sucer un sexe ou d’être sucée. C’était enivrant.

— Tes sous-vêtements aussi.

La soubrette se déshabilla intégralement et se tint nue devant Susan.

— Hmmm, Coquette tu as vraiment un corps splendide. Tes petits seins sont exquis.

Dit-elle en tendant les mains pour empaumer les seins de la petite bonne.

— Il va t’aller comme un gant.

Elle sourit et tendit la robe à la fille.

— Mets-la. Ta Maîtresse veut te voir dans une demi-heure.

Et elle quitta la pièce, laissant Coquette seule.
Celle-ci ôta la housse en plastique. Il s’agissait d’une caricature d’uniforme de soubrette. La jupe à froufrous était extrêmement courte et le corsage paraissait très serré et s’il arrivait à recouvrir ses seins, elle fut surprise par la profondeur du décolleté. En plus de la robe, elle trouva une paire de bas et une petite culotte légère et transparente.
Au prix de quelques contorsions, elle enfila son uniforme. Puis elle observa son reflet dans le miroir. C’en était presque risible, elle ressemblait à une poupée sexuelle. La petite jupe était à peine assez longue pour couvrir ses fesses et peinait à ne pas se soulever en permanence. Le corsage comprimait sa poitrine en la soulevant et le décolleté en dentelle descendait si bas que ses tétons paraissaient sur le point de déborder. De la sorte, ses aréoles étaient parfaitement visibles pour quelqu’un qui se serait tenu suffisamment près.
Elle se contempla un moment et se rendit compte qu’elle risquait d’être en retard. Elle sortit précipitamment des quartiers des domestiques et se précipita dans le bureau de Susan.

— Je suis prête M’dame.

— Hmmm tu es délicieuse comme ça. Dit Susan en admirant la soubrette. Tu ressembles à une vraie putain, c’est parfait.
Elle se redressa et fit le tour du bureau.

— Allons-y, suis-moi.

Et elle guida Coquette jusqu’au bureau de Maîtresse Alex.
Alex était assise derrière son grand bureau, renversée dans son confortable fauteuil. Entre ses jambes écartées, on pouvait voir une tête blonde s’agiter.

— Un moment s’il vous plaît.

Et elle mordit ses lèvres et inclina la tête en arrière dans un accès de plaisir.

— Ahhhh oui !!! Juste là Miranda, JUSTE LÀ !!

Susan et Coquette attendirent silencieusement pendant que leur Maîtresse jouissait de la langue de l’autre servante. Elle écrasa son entrecuisse contre le visage de la blonde en gémissant et en la félicitant pour ses talents.

— Merci Miranda, c’était très bon.

Elle repoussa la tête de la jeune femme et se pencha sur elle pour l’embrasser sur les lèvres.

— C’est tout pour l’instant, si j’ai encore besoin de tes services, je te sonnerai.

Miranda se releva, fit volte-face et s’apprêta à s’éclipser. Alex lui donna une tape sur les fesses pour lui signifier son congé.
La brune se leva et lissa précautionneusement sa jupe. Puis elle prit une grande respiration et dit :

— Maintenant voyons comment tu es attifée toi.

Elle fit le tour de la soubrette, soulevant l’arrière de sa jupe pour jeter un œil sur son derrière presque dénudé.

— Bien, bien…

Elle se plaça en face d’elle et crocheta le décolleté pour y scruter la poitrine de sa bonne.
Puis elle regagna son fauteuil.

— C’est parfait Susan. Je veux qu’elle sente le sexe demain matin. Fais en sorte qu’elle ne chôme pas cette nuit.

Elle eut un sourire cruel.

— Assure-toi bien que toutes celles qui feront l’amour avec elle la barbouillent de sécretions sur tout le corps.

Elle se tourna vers Coquette.

— Je veux que ma belle-fille te sente avant de te voir, et souviens-toi bien : Pas de douche demain matin. Tu recevras tes dernières instructions à 5h 30 demain matin.

Et elle congédia les deux femmes.

**********************************************

Le matin suivant, Coquette se réveilla sur le ventre, étendue en travers de son lit. Elle essaya d’ouvrir les yeux, mais le droit était tout collé. Des sécretions séchées maintenaient ses cils prisonniers. Il fallut qu’elle les sépare en se servant de ses deux index.
Si ce n’était le drap qui recouvrait la moitié d’une de ses jambes, elle était entièrement nue. Elle était épuisée. On s’était servi d’elle durant toute la nuit. D’abord, il y avait eu Miranda, mais elles avaient déjà passé la nuit ensemble. Elles partageaient une chambre et aussi, souvent, leur lit donc c’était plutôt habituel. Mais ça avait été différent cette nuit. Selon les ordres de Susan, la petite blonde avait saisi toutes les opportunités pour frotter son sexe contre le corps de Coquette.
Au début coquette avait été frustrée car Miranda semblait plus concentrée sur le fait de répandre ses sécretions sur son corps plutôt que de lui donner du plaisir. Elle frottait son sexe nu d’avant en arrière sur ses bras et ses jambes. Puis elle l’avait fait pivoter sur le ventre et s’était assise sur son dos pour la masser en se frottant sur son dos.
Ensuite ça avait été le tour de Susan. Elle s’était présentée avec deux des invitées qu’Alex avait eu à diner ce soir. Elles se servirent d’elle de toutes les façons possibles pendant toute la nuit.
Pendant qu’elle achevait de se réveiller, la chambre embaumait d’une forte odeur de musc et de sexe. Elle roula sur elle-même et regarda le réveil. Il était 4h 30 du matin. Le buzzer retentit à nouveau, ça devait être l’heure à laquelle elle était censée se lever.
Elle se leva en poussant un grognement et marcha, au radar, jusqu’à la salle commune.

— Bonjour Coquette !

Susan, déjà habillée, se tenait devant elle. Elle tenait son nouvel uniforme.

— Tu es particulièrement ravissante ce matin.

— Miranda !

Encore nue, la petite blonde surgit des sanitaires d’un pas mal assuré.

— Oui M’dame ?

— Aide Coquette à enfiler ses vêtements s’il te plaît. Ensuite tu l’accompagneras jusqu’au bureau de notre Maîtresse.

Suzan eut un sourire entendu en direction des deux domestiques et quitta la pièce.

— Bonjour Coquette. As-tu pris du bon temps la nuit-dernière ? Demanda Miranda en sortant l’uniforme de sa housse.

Elle continua à discuter de choses et d’autres tout en l’habillant. Coquette eut le sentiment que l’uniforme était encore plus serré que la veille. Ses tétons lui donnèrent l’impression qu’ils n’arriveraient jamais à rester prisonniers du tissu. Il leur fallut plusieurs essais avant d’arriver à leurs fins, bien qu’à chaque mouvement, ils montrassent allégrement le bout de leur nez.
La petite culotte était un peu plus que transparente avec de minces élastiques noirs pour la maintenir en place. Les bas et les chaussures noires complétèrent la mise.

Miranda fit quelques pas en arrière et inspecta son travail.

— Coquette, tu ressembles à une affiche publicitaire pour un site de cul.

Coquette sourit, elle commençait à apprécier son nouveau rôle dans la maisonnée.
Elles frappèrent à la porte d’Alex.

— Entrez !

Les deux soubrettes pénétrèrent dans le bureau.
Alex se tenait devant son bureau. Elle ne portait qu’une légère robe qui accentuait ses formes parfaites. À ses pieds, Susan était prosternée, nue. De fines marques rouges entrecroisées commençaient à apparaître sur son dos. Alex tenait un fouet à la lanière longue et mince.

— Bonjour les filles. Dit Alex d’une voix froide.

Malgré leurs regards éperdus de curiosité mêlée de crainte, elle ne proféra pas une seule explication.

— Coquette, je veux que ta petite culotte soit trempée de tes jus.

Et elle adressa deux nouveaux coups au dos de sa victime.

— Assieds-toi pendant que je termine d’instruire Susan sur le comportement qu’elle DOIT avoir avec mes invitées. Dit-elle en désignant une chaise sur sa gauche.

— Miranda ! Donne-lui du plaisir. Et n’économise pas ta langue, je la veux au bord de l’orgasme lorsqu’elle ira réveiller ma belle-fille.

Et le fouet s’abattit une nouvelle fois sur le dos de la suppliciée.
Les deux servantes se hâtèrent d’obéir. Coquette s’assit précipitamment et s’empressa d’ôter sa petite culotte pour ouvrir l’accès de son entrecuisse à Miranda.

— Non ! Garde-la. Je veux que Miranda te lèche à travers. Ta culotte doit être aussi poisseuse et moite que ta chatte.

Coquette remonta sa culotte, fit glisser son bassin en avant et écarta ses cuisses le plus possible. Ses fesses se trouvaient au bord du siège, presque dans le vide, dans une posture d’offrande parfaite.
Miranda s’agenouilla entre ses jambes et commença à la lécher à travers le tissu léger.

CLAC !

— Quand l’une de mes invitées…

CLAC !

— Désire te sodomiser…

CLAC !

— Tu réponds oui !

CLAC !

— Maintenant penche-toi en avant et écarte tes fesses. Vite !

CLAC !

Le châtiment se poursuivit jusqu’à ce que Coquette soit menée, une fois de plus, à la limite de l’orgasme par la langue experte de Miranda. La petite brune avait mis ses mains derrière ses genoux et écartelait ses cuisses le plus possible, offrant son entrecuisse voilé par le tissu à Miranda.

— Oui Maîtresse !

CLAC !

— Aaaiiieee !

Miranda écrasait sa langue contre le tissu, elle donnait de grands coups de langues, parcourant l’empiècement de haut en bas, s’attardant sur le clitoris qu’elle caressait délicatement. Coquette se mit à gémir. Elle se délectait de la punition de Susan tout en appréciant le travail de la petite blonde. Elle était aussi trempée que si elle avait uriné dans sa culotte et Miranda prenait soin de répandre généreusement la combinaison de mouille et de salive sur l’ensemble de l’entrecuisse.

— Maintenant, dépêche-toi de rejoindre Sharon dans sa chambre et présente-lui tes excuses !

CLAC !

Elle frappa une dernière fois le derrière nu de Susan qui se hâtait de fuir la pièce.

Miranda ne cessa pas de prodiguer ses services, elle savait parfaitement reconnaître lorsque sa Maîtresse était de mauvaise humeur.

— Et vous deux, ne vous croyez pas hors de portée. Je suis d’humeur à vous fouetter toutes les deux uniquement pour passer mes nerfs.

Puis elle se détendit et sourit.

— Mais nous avons quelque chose de plus important à réaliser.

Elle s’approcha des deux domestiques et resta immobile quelque temps à observer la langue de Miranda qui taquinait le clitoris derrière le rempart de la petite culotte noire. Puis elle attrapa un des tétons de Coquette et le tira, faisant grimacer sa propriétaire. La douleur abattit les dernières défenses de la bonne qui poussa un cri de douleur décuplé par l’orgasme qui la dévastait.

— C’est bien les filles. Ça sera tout Miranda.

— Bien Maîtresse.

La petite blonde se redressa et quitta la pièce.

— Maintenant ma fille, voyons ce qu’il en est.

Elle tendit sa main et fit délicatement glisser son doigt le long de la fente de coquette, à travers la petite culotte.

— Hmmm, bieennn, parfaitement mouillé. Il faudra que tu entretiennes ça pendant tout le temps que tu passeras dans la chambre de ma belle-fille.

Elle appuya son doigt plus fortement, incrustant par la même occasion le tissu dans la fente de Coquette. À son grand plaisir, elle réussit à faire pénétrer une première phalange, puis une deuxième et enfin trois.

— C’est parfait. Elle respira profondément. Et tu pues la chatte en chaleur. Excellent ! Il y a au moins une chienne ici qui fasse ce qu’on lui ordonne. Bon, j’en ai terminé avec toi. Va réveiller ma belle-fille et fais ton mieux pour la séduire. J’y veillerai…

Coquette se redressa en chancelant et marcha vers la porte dans un état second.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 16:23

Chapitre 2. Le récit de Julie : Sibylle apprend le self control

 

Je venais d’avoir 19 ans et j’entamais ma dernière année lorsque Sibylle entra dans ma vie. On lui avait attribué un lit dans notre chambre et elle devint bien vite notre quatrième mousquetaire. Elle était nouvelle au S. Son père diplomate étant en poste à l’étranger, elle n’avait pu comme nous, être inscrite au pensionnat à l’âge de 16 ans et je compris que son adaptation tardive à notre système disciplinaire s’avérerait problématique. Elle travaillait peu, toujours en retard dans ses travaux, souvent distraite en classe. Mais surtout contrairement à son père, notre nouvelle amie n’avait aucun sens de la diplomatie. Le verbe haut, la répartie facile, elle ne réfrénait jamais l’envie de placer un bon mot au risque de froisser une de ses compagnes de classe ou de se tailler une solide réputation d’insolence auprès des professeurs. En fait la plupart des filles la jalousaient. Il est vrai que la nature l’avait dotée d’un physique de mannequin. Svelte et élancée, une élégance toute naturelle, des cheveux d’une blondeur scandinave, un regard impérieux que l’on qualifiait vite d’hautain. Quant aux garçons, ils la considéraient comme une improbable apparition et beaucoup n’osaient même pas lui adresser la parole.

Ses ennuis commencèrent au cours d’une soirée au club house. Une des filles qui la détestait, prit la mouche quand elle fut la cible d’un de ses mots d’esprit lâché devant des garçons. Le ton s’envenima rapidement et heurtée à son tour par une réplique cinglante, Sibylle se lança sur son adversaire, la gifla et lui déchira même le haut du chemisier. L’affaire fit grand bruit dans cet établissement si policé et dès le lendemain notre impétueuse amie fut convoquée chez le directeur.

Il nous sembla charitable de la préparer quelque peu à ce qui l’attendait. Son comportement lui vaudrait avec certitude une punition corporelle. Après un bon sermon sur les vertus de la civilité, le directeur lui imposerait probablement une solide fessée, peut-être complétée par quelques coups de martinet : rien d’insurmontable côté douleur. Au S. les châtiments corporels ne sont évidemment pas des séances sadomasochistes comme on les imagine dans la littérature anglaise. Ce serait plutôt sa pudeur qui aurait à souffrir de ce rendez-vous, puisque chez nous, les châtiments s’accompagnent toujours d’un déshabillage qui, selon la gravité de la faute mais aussi l’humeur du professeur, peut se révéler plus ou moins important, plus ou moins public et plus ou moins prolongé. La gêne et l’embarras d’avoir à s’exposer à l’une ou plusieurs personnes participent ainsi pleinement au système disciplinaire tant pour les filles que pour les garçons. A ses questions embarrassées, nous dûmes bien lui avouer que comme elle était nouvelle et faite comme elle l’était, nous imaginions mal notre cher directeur se contenter de lui relever la jupe. Il ne résisterait sûrement pas au plaisir d’une « présentation complète. » Par contre, la convocation dans son bureau était un signe plutôt encourageant. L’habitude lorsqu’il s’agissait de sévir à l’encontre d’une inconduite publique était d’infliger une punition tout aussi publique. On aurait pu craindre que le directeur se déplace lui-même dans notre classe ou au réfectoire des filles pour la corriger ou pire qu’il choisisse de la punir au club- house en présence des garçons. S’il préférait la faire venir dans son bureau, c’est qu’il entendait sans nul doute lui épargner, pour cette première fois, l’humiliation supplémentaire de témoins. Nous lui fîmes remarquer qu’elle aurait particulièrement détesté devoir se déshabiller sous le regard narquois de ses ennemies ou même que le directeur demande à la fille qu’elle avait giflée de se charger de la dévêtir comme il l’avait déjà fait dans un cas semblable. Cependant il fallait qu’elle sache que même dans le bureau du directeur, elle ne serait pas totalement à l’abri de témoins occasionnels car il avait pour règle de toujours maintenir sa double porte grande ouverte durant les punitions, si bien que n’importe qui passant dans le couloir pouvait regarder la scène. Or il y avait pas mal d’allées et venues d’enseignants et d’étudiants des deux sexes dans ce corridor qui desservait l’ensemble des bureaux du corps professoral et la salle des professeurs.

Virginie lui donna aussi le précieux conseil de prendre ses précautions avant de présenter au secrétariat de la direction, puisque les élèves ne pouvaient se rhabiller qu’une fois leur punition complètement terminée. Elle-même en avait fait la pénible expérience. Ayant demandé à satisfaire un besoin pressant, le directeur l’avait envoyée aux toilettes sans l’autoriser à remettre le moindre vêtement, et c’est entièrement nue qu’elle avait dû déambuler dans les longs couloirs de l’école, heureusement pour elle, déserts à cette heure de cours. Cette péripétie avait été d’autant plus éprouvante que le bureau du directeur se trouve au rez-de-chaussée du bâtiment des garçons et que les élèves ne pouvant utiliser les sanitaires réservés aux enseignants, elle avait dû aller jusqu’aux toilettes des garçons au premier étage en passant devant toutes les portes de classe.

Sibylle était assez effarée par nos avertissements. Elle nous promit pourtant de faire bonne figure et l’on se quitta sur son engagement de tout nous raconter le soir même. Sa convocation était pour quatorze heures et à dix-huit heures nous l’attendions de plus en plus inquiètes dans notre chambre lorsque nous eûmes la surprise de la voir entrer essoufflée, les larmes aux yeux, le torse et les pieds nus. En fait sa jupe d’uniforme était son seul vêtement. Après s’être couverte, elle nous rapporta ainsi le désastre.

« Après tout ce que vous m’aviez raconté, j’avais la gorge nouée en m’engageant dans le couloir de la direction. Mlle D., la secrétaire m’accueillit avec une allure dédaigneuse, je l’ai sur le champ détestée. Elle parcourut mon billet de convocation, me toisa d’un air amusé et me demanda si j’étais bien la nouvelle de la classe terminale. Sur ma réponse positive, elle me lança :

« Savez-vous que l’on ne parle plus que de vous ? »

Et elle ajouta d’un air entendu :

« Je comprends que l’on soit impatient de vous . . . découvrir. »

Elle me demanda d’attendre dans le couloir mais bien vite, elle m’appela pour m’introduire chez le directeur. Il était absent lors de mon inscription si bien que je ne l’avais encore jamais vu. La cinquantaine, vêtu avec élégance, teint bronzé, yeux clairs, menton volontaire et allure énergique, je le trouve vraiment impressionnant.

Comme vous l’aviez prévu, il se lança immédiatement dans une diatribe sur le respect des autres et sur la nécessaire maitrise de soi. Je laissai passer l’orage en prenant bien soin d’adopter un air de parfaite contrition ; je reconnus humblement mes torts et je promis de m’amender. Il se calma alors, me fit asseoir et devint très aimable. Il m’interrogea longuement sur mon cursus à l’étranger, sur mes premières impressions du S. et si je m’y plaisais ; puis il prit des nouvelles de mes parents qu’il compte parmi ses relations. Je commençais à penser que vous m’aviez menée en bateau avec vos histoires, lorsque, sans aucune transition, juste après m’avoir dit combien il avait été ravi de revoir mon père lors de la réception de clôture des journées diplomatiques, il poursuivit sur le même ton de conversation mondaine :

« Auriez-vous l’obligeance de vous dévêtir ? »

Ce fut comme si l’air venait brutalement de se retirer de la pièce. Les tempes en feu, je me demandai si j’avais bien compris, tant il avait semblé me dire la chose la plus banale, la plus naturelle du monde. Il n’eût pas d’autres inflexions dans la voix s’il m’avait aimablement demandé si je prenais un ou deux sucres dans mon café. Je le regardai un moment incrédule, ne sachant comment réagir. Je m’attendais à ce qu’il répète son ordre et à tout le moins qu’il le précise mais rien ne vint. Il gardait le silence en me dévisageant de son air aimable et courtois. Renfoncé dans son fauteuil, il avait croisé les bras, attendant visiblement une action de ma part, mais sans me brusquer comme s’il voulait me tester. Je finis par me lever et face à son bureau, j’entrepris de déboucler la ceinture de ma jupe. J’avais les doigts gourds et ce simple geste me prit une éternité. En dégrafant ma jupe, je ne pus m’empêcher de me détourner de profil et je remarquai que comme vous l’aviez prévu la secrétaire avait laissé les doubles portes grandes ouvertes. Il comprit mon regard :

« Je suis désolé pour ce manque d’intimité mais les portes doivent toujours rester ouvertes lorsqu’un enseignant punit un élève du sexe opposé. C’est une règle que j’ai moi-même instaurée, ainsi on évite tout soupçon malsain puisque les punitions se déroulent sous les yeux de tout qui le souhaite. Il n’y aura jamais rien à cacher de ce qui se passe dans cette pièce. D’ailleurs reculez donc un peu vers votre gauche, ainsi vous serez parfaitement vue du couloir. »

J’obéis et ayant descendu ma fermeture éclair, je fis glisser ma jupe au sol. Je pris appui sur le coin de son bureau, pour me dégager du vêtement et en le ramassant, j’hésitai un instant où le poser.

« Vous pouvez abandonner vos vêtements sur le bureau, ma secrétaire viendra les chercher. »

Je me souviens m’être demandée sur l’instant ce qu’il entendait par là et s’il me faudrait subir l’humiliation supplémentaire de devoir aller rechercher mes vêtements chez cette jeune femme si désagréable. Mais ma préoccupation immédiate était autre : il me fallait à présent enlever mon chemisier. Je ne porte jamais de soutien-gorge, je n’en ai d’ailleurs aucun et j’étais terriblement consciente que retirer ce chemisier assez long pour couvrir plus ou moins mon slip allait d’un coup me basculer dans un statut humiliant de quasi nudité. Le directeur me fixait toujours d’un regard curieux mais bienveillant. Je me résolus à l’inévitable et je commençais à défaire mes boutons lorsque son téléphone sonna. La conversation fut brève. En raccrochant il semblait très contrarié. Il se leva en me priant de l’excuser pour ce contretemps : il devait répondre à une urgence mais sa secrétaire me prendrait en charge pendant son absence. Sur ce, il prit son trench-coat et sortit. Presqu’aussitôt Mlle D. arriva, elle me dit que le directeur souhaitait que je reste en sa compagnie jusqu’à son retour mais qu’avec tout le travail qu’elle avait encore, elle ne tenait vraiment pas de me voir traîner dans son bureau, aussi elle allait me conduire au deuxième étage, dans la classe des dernières années où j’attendrais qu’il vienne me chercher. J’étais contrariée que des garçons que je rencontrais tous les jours sachent que j’étais sanctionnée, néanmoins je n’osais pas protester et je saisis ma jupe pour la remettre. Mlle D. m’arrêta sèchement :

« Votre jupe reste ici, Mademoiselle, vous pourrez vous rhabiller après votre punition. »

Je protestai qu’il est indécent de m’emmener en slip dans une classe de garçons, que d’ailleurs ma punition n’a pas encore réellement commencé et que le directeur me punit dans son bureau précisément pour m’éviter des témoins. . . etc. Mlle D. m’écouta avec un sourire moqueur exaspérant puis sans daigner répondre à mes arguments, elle trancha sèchement :

« Vous obéissez un point c’est tout, ma petite. Vous restez comme ça et vous me suivez. »

Je crois que je l’aurais tuée ! J’explosai en lui disant qu’elle aussi devait obéir au directeur et me permettre de l’attendre dans son bureau, qu’elle cherchait à m’humilier parce qu’elle n’était un petit gratte-papier aigri qui profitait de l’occasion pour se venger sur une jeune fille bien-née. Le coup avait manifestement porté car elle pâlit, me traita de garce et me gifla. Vous me connaissez! Je n’ai malheureusement pas pu me retenir, je lui ai rendu la pareille et nous en sommes venues aux mains. Un surveillant alerté par les cris nous a séparées et me saisissant par le bras, il m’emmena de force au second étage. Vous pouvez imaginer l’émoi que notre entrée provoqua dans la classe.

La classe était en fait un petit auditoire en gradin divisé par une allée centrale. Nous étions en haut de la salle et c’est de là que le surveillant expliqua la situation au professeur. Tous les garçons s’étaient évidemment retournés vers nous. Quand le surveillant eut quitté la classe, le professeur m’invita à venir m’installer au premier rang « où il pourrait me tenir à l’œil. ». Je descendis d’un pas hésitant, intimidée par tous ces regards masculins. Les quatre places du premier rang étaient occupées et je demandais timidement où je pouvais m’asseoir.

« Vous asseoir ? Mais il n’en est pas question. Puisque vous avez manifestement besoin d’une leçon de discipline vous attendrez Monsieur le directeur debout. Et commencez par poser vos mains sur la tête : c’est l’attitude des gamines qui attendent de recevoir leurs fessées. »

J’obéis piteusement déclenchant les ricanements dans mon dos. J’avais de la peine à contenir ma rage. Avec mes bras relevés, mon chemisier découvrait mon slip que je n’avais pas pu ajuster après la bagarre si bien qu’une de mes fesses était largement dénudée. J’étais le point de mire d’une vingtaine d’étudiants qui n’en revenaient pas de leur chance de pouvoir contempler à loisir une fille de leur âge punie et privée de sa jupe. La disposition en gradins leur assurait une vision parfaite jusqu’au dernier rang.

J’essayais de fixer mon attention sur le cours pour oublier que je devais être le sujet de bien des fantasmes et je devais certainement être la seule à encore écouter ce que racontait le prof.

Je crus arriver à la fin de mon humiliation lorsque j’entendis entrer le directeur. Ce parfait gentleman allait me délivrer d’une situation si inconvenante et me ramener immédiatement à son bureau. Mais je déchantai vite. Il semblait hors de lui. Il se campa à côté du professeur. Sans me prêter la moindre attention, il parcourut lentement des yeux toute la classe. Le silence était impressionnant. Il fixait à tour de rôle chacun des garçons comme s’il voulait bien connaître son public. L’homme du monde de tout à l’heure avait fait place à un supérieur autoritaire et déterminé. Il avait les lèvres serrées, le visage empourpré de colère, une veine battait sous sa tempe. Enfin ses yeux descendirent sur moi. J’avais envie de rentrer sous terre tant il me dévisageait froidement.

« Venez jusqu’ici, jeune fille, que l’on vous voit bien puisque vous aimez tant vous faire remarquer. »

Je montai sur l’estrade face à lui et il se déchaîna :

« Votre conduite est inqualifiable, Mademoiselle : vos résultats scolaires sont on ne peut plus médiocres ; vous agressez vos compagnes ; alors que je m’apprêtais à vous infliger une sanction modérée, vous aggravez votre cas en refusant d’obéir ; vous insultez ma secrétaire et comme si tout cela ne suffisait pas encore, pour la seconde fois en moins de vingt-quatre heures, vous vous colletez avec un supérieur et cela cinq minutes à peine après m’avoir promis de ne plus régler vos contentieux comme une sauvageonne. Des caractères rebelles comme le vôtre, je sais comment les mater, croyez-moi. »

Il me toisa de la tête au pied avec une glaciale froideur et je crus que le sol se dérobait sous moi, quand il ajouta sur un ton cette fois très calme :

« Non seulement je sais comment les mater mais qui plus est, je peux y trouver un certain plaisir.»

Il me laissa le temps d’envisager le sens de cette phrase ambiguë.

« Ma secrétaire m’a rapporté que vous l’avez brutalisée parce que vous refusiez de paraître devant les garçons dans une tenue que vous jugiez indécente ; est-ce exact ? »

Je n’en menais pas large. Rien que sa voix me faisait trembler. Je me sentais toute petite. Les yeux baissés, je réussis tout juste à balbutier :

« Oui, enfin les convenances . . . devant des garçons. Je voulais simplement remettre ma jupe en vous attendant.

− En m’attendant ? Vous vous déshabillez dans mon bureau, vous vous rhabillez pour vous présenter à ces jeunes gens . . . de manière à pouvoir vous déshabiller à nouveau dès mon retour. C’est bien cela. Croyez-vous que nous ayons du temps à perdre à vous regarder vous rhabiller et vous déshabiller ? Je crois que vous confondez notre établissement avec une école de strip-teases, Mademoiselle. »

Cette évocation suscita quelques rires nerveux dans la classe immédiatement stoppés quand il reprit la parole tant son autorité était incontestée et que chacun brûlait d’impatience de découvrir ce qui allait se passer.

« Trêve de plaisanteries. Vous saviez fort bien - et ma secrétaire vous l’a d’ailleurs rappelé – qu’on ne se rhabille pas avant la fin d’une punition. Quant au respect des convenances, voilà bien un sujet dont vous n’aviez nul besoin de vous préoccuper. Une élève punie n’est plus responsable de sa tenue vestimentaire. Le professeur décide de l’accoutrement qui lui convient et l’élève obéit, un point c’est tout. Si ma secrétaire a estimé qu’il n’était pas outrageant de vous faire venir chez les garçons sans votre jupe, elle ne pouvait qu’avoir raison puisque vous étiez sous son autorité. Et quand bien même elle vous aurait dit d’entrer nue dans cette classe, la seule règle de bienséance et de convenance qui se serait imposé à vous, eût été une immédiate et stricte obéissance. »

Sa suggestion déclencha une nouvelle vague d’agitation vite calmée.

« Mais pour l’heure, c’est à moi de décider de ce qui est convenable et de ce qui ne l’est pas. Cette mise au point est-elle suffisamment claire et êtes-vous disposée à présent à accepter votre punition sans discussion ou désirez-vous que nous commencions par une petite démonstration de la valeur relative des termes décence et obéissance ? »

L’espoir d’assister à cette « petite démonstration » parut enchanter mon public et les chuchotements qui suivirent la menace couvrit ma timide réponse qui se résuma en un sorte de stupide « oui enfin non. »

« Exprimez-vous clairement. Je veux que ces jeunes gens puissent vous entendre et soient témoins de votre engagement. Et d’abord, tournez-vous vers eux. »

Pour la première fois, je dus faire face à l’auditoire. Je n’osais lever les yeux de crainte de reconnaître tant de visages connus.

« Voilà qui est mieux. J’attends à présent des phrases dignes d’une jeune fille responsable et non des monosyllabes chaotiques d’une gamine. Êtes-vous consciente que vous méritez une punition exemplaire et allez-vous cette fois vous soumettre de bonne grâce aux instructions que l’on vous donnera ? »

Je compris que cet interrogatoire public faisait déjà partie de ma punition et que je n’avais nul intérêt à me soustraire à l’humiliation attendue de ma réponse. Aussi je m’efforçai de répondre d’une voix ferme :

« Oui, Monsieur le Directeur, ma conduite a été inqualifiable et je mérite d’être sanctionnée sévèrement. Je me soumettrai en toute obéissance à la punition que vous voudrez bien m’infliger.

− Parfait, il semble que vous commenciez à comprendre ce que l’on attend de vous. Mais je vois que nous avons ici de nombreux jeunes hommes qui semblent très intéressés. Je dois reconnaître que je les ai rarement vus si attentifs en classe. Puisque les questions de décence vous tiennent tant à cœur, il serait dommage de ne pas requérir leurs opinions sur un sujet qui, j’en suis sûr, va les captiver. Qu’en pensez-vous ? »

Et sans attendre ma réponse, il s’approcha de moi et il releva légèrement mon chemisier pour dévoiler mon slip.

« Vous estimez donc que cette petite culotte est impudique ? Voyons ce qu’ils en pensent ? Jusqu’à présent, vous leur en avez surtout exposé le côté pile. Avancez donc lentement jusqu’au fond de la classe que chacun ait l’occasion d’en examiner le côté face. Vous pouvez baisser les bras, et marchez naturellement. »

Tête basse pour ne croiser aucun regard et tirant machinalement sur les pans de mon chemisier pour mieux me couvrir, je me mis à monter les gradins entre les bancs des garçons. Arrivée en haut, je me retourne pour revenir vers le directeur espérant encore qu’il allait cette fois mettre fin à mon supplice et me ramener dans son bureau, mais il m’arrêta :

« Je vous ai demandé de nous montrer votre petite culotte afin que nous puissions juger en toute connaissance de cause de sa décence. Je constate qu’à nouveau, vous me désobéissez en tentant de la cacher sous votre chemisier. Vous êtes décidément incorrigible. Mais c’est tant pis pour vous, vous me contraignez à adopter des mesures plus radicales. »

Soignant ses effets, il marqua un temps d’arrêt. Je pris conscience de ma gaffe. Tous les garçons s’étaient retournés vers moi et je ne sais si c’était mon cœur ou le leurs qui battait le plus fort dans l’attente de la sentence.

« Puisque vous vous servez de ce chemisier pour contrecarrer mes ordres, je n’ai d’autres choix que de vous demander d’ôter aussi ce vêtement malgré la présence de ces jeunes gens. »

Rouge comme une pivoine, je ne sais ce que je parvins à marmonner d’incompréhensible.

« Une nouvelle fois on ne vous entend pas, jeune fille. Ayez la politesse de nous parler à haute et intelligible voix si vous avez quelque chose à nous dire.

− Veuillez m’excuser Monsieur. Mais c’est que . . . je suis . . . je n’ai pas . . . enfin c’est-à dire que je. .

− On vous écoute, très chère, insista le directeur qui avait compris mon problème.

− Je ne porte jamais de soutien-gorge.

− Mais c’est votre choix et votre liberté, jeune fille. Pour ma part, je n’y vois aucun inconvénient puisque les sous-vêtements ne font pas partie de l’uniforme et il m’étonnerait que votre option contrarie grandement vos camarades. »

Les doigts tremblants, le cœur battant à tout rompre, je me déboutonnai maladroitement et fis glisser le vêtement sur mes épaules dévoilant un instant mes seins avant de vite les couvrir de mes mains.

« Voilà qui est parfait. A présent que vos mains sont occupées ailleurs, nous avons une parfaite vision de cette fameuse petite culotte. Reprenez votre présentation. »

Je dus une nouvelle fois parcourir l’auditoire, cette fois dans les deux sens ; les mains croisées sur mes épaules, je cachais soigneusement ma poitrine .

Tandis que je venais de faire demi-tour au fond de la classe, le directeur m’interpella :

« En fin de compte, je pense que vous aviez raison. Ce petit slip est tout-à-fait impudique. Il serait indécent et inconvenant de continuer à vous laisser parader au milieu de ces jeunes gens uniquement vêtue de ce minuscule bout de tissu. »

Il semblait adorer créer le suspens. Chacun pensait qu’il annonçait ainsi la fin du spectacle. La déception de l’auditoire se manifesta par quelques soupirs tandis que moi je me demandais s’il allait me ramener dans son bureau sans m’autoriser à remettre ma chemise. Il poursuivit en souriant :

« Vous rendez-vous compte que vous infligez un véritable supplice de Tantale à ces pauvres garçons qui aimeraient tant en voir plus et d’ailleurs, je suis pas du tout certain que vous ne paraîtriez pas moins indécente si vous étiez complètement nue. Quoiqu’il en soit j’estime que Monsieur le Professeur et ces jeunes hommes dont vous avez tellement perturbé la classe ont bien mérité une compensation : ils assisteront donc à votre correction. Ce petit slip est désormais superflu. Retirez-le et revenez sur l’estrade ; vous serez fessée toute nue. »

Là, je me mis à vraiment paniquer. Les murmures d’étonnement et d’enthousiasme traversaient la salle: une étudiante fessée dans leur classe, personne n’aurait osé le rêver. Je crois que je restai un bon moment au sommet de l’auditoire sans pouvoir bouger. Les garçons s’étaient évidemment retournés sur leurs bancs, certains se tordaient le cou pour mieux voir, d’autres s’étaient carrément levés. Ils attendaient dans un silence pesant le moment où inévitablement j’allais devoir tout leur montrer. Le directeur lui-même ne faisait preuve d’aucune impatience. Il se contenta d’ironiser :

« Prenez tout votre temps, nous ne sommes nullement pressés; je dois à la vérité que bien que vous nous cachiez l’essentiel vous êtes très agréable à contempler.»

J’étais véritablement paralysée, essayant désespérément de trouver une échappatoire. Ce qui me gênait le plus, c’était la présence toute proche des deux garçons assis au dernier rang, de part et d’autre de l’allée centrale. Charles et Philippe S., les deux cousins les plus insupportablement snobs de l’école, s’étaient carrément assis de biais sur leurs bancs pour se tourner vers moi. Ils m’encadraient de si près que je sentais la respiration de Charles sur ma cuisse tandis que le genou de Philippe frôlait ma jambe. Rassemblant tout mon courage, je finis par ôter une main de ma poitrine et lentement je tirai sur l’élastique de mon slip en l’abaissant sous mes fesses. Là encore je bloquais, tétanisée, incapable de poursuivre le geste de découvrir mon sexe et recroquevillée sur moi-même, je restais immobile, parcourant la pièce d’un regard affolé. Le petit bout de tissu blanc était roulé sous mes fesses et il cachait encore à peine mon sexe. Il me semblait que je n’avais plus aucune volonté propre. Je me sentais comme un jouet offert aux caprices de tous.

« Décidément vous avez l’art d’attiser notre curiosité, Mademoiselle. Si vous ne parvenez pas à vous en sortir seule, je vais demander à ces deux jeunes gens qui sont à vos côtés de bien vouloir vous aider. »

Effarée par cette menace, morte de honte à l’idée que ces prétentieux me touchent, je trouvai enfin la force de baisser mon slip. Je l’enjambai avec tant de gaucherie que je dus me rattraper à l’épaule de Charles pour ne pas trébucher. Vite je plaquai mes deux mains sur mon pubis préférant laisser voir mes seins. Le directeur me rappela qu’il m’attendait entièrement nue et je compris que je devais enlever mes chaussures à lacets et mes chaussettes ce qui m’obligea à m’agenouiller. Il voulait décidément faire durer mon exhibition car il me fit remarquer qu’une jeune fille bien éduquée n’abandonne pas ses vêtements au sol. Il me pria de les ramasser et les placer sur la table de Charles. Celle-ci était encombrée de documents. Charles, comme un mufle, ne bougea pas, assis de biais sur son banc, il me défiait d’un air narquois. Je fus contrainte de me pencher sur lui, les seins quasiment sur son visage pour déposer mes effets par-delà ses livres et cahiers. Ce fut pire pour mes chaussures car je reçus l’ordre de les poser à l’extrémité du banc de Philippe. Pour éviter de l’enjamber comme on souhaitait sans doute que je le fis, je dus m’astreindre à une gymnastique tout aussi humiliante qui me coucha presque en travers de ses genoux. Je sursautai quand je sentis que ce goujat en profitait pour m’effleurer furtivement l’intérieur de la cuisse.

Je fus presque soulagée quand le directeur m’ordonna de venir près de lui, « à pas lents, s’il vous plaît, apprenons la patience à ces jeunes gens». Je me sentais si nue, si vulnérable, terriblement consciente de tous ces yeux fixés sur moi. Tandis que je descendais, les uns cherchaient à capter mon regard, d’autres se focalisaient sur mes seins ou sur mes mains croisées sur mon sexe. Je savais que les ayant dépassés, ils se délectaient de ma chute de reins et de mes fesses. Le directeur me fit monter sur l’estrade et me plaça face à la classe pendant qu’il déplaçait une chaise sur le bord de cette scène comme s’il mettait en place un spectacle. Il s’assit, me prit la main et m’attira tout contre sa cuisse. Dans un instant, il allait me coucher sur ses genoux mais il prenait son temps. Je ne pus réprimer un agréable frisson lorsque sa paume se posa dans le creux de mes reins puis descendit sur mes fesses. Ses doigts étaient sur ma raie. Je sentais une excitation parcourir mon bas ventre. J’étais au-delà de la peur et de la honte à présent ou plutôt ma honte m’excitait. Les garçons me découvraient de profil. Ils devaient deviner mon émotion à mes tétons dressés et durcis, presque douloureux. Il me prenait l’envie confuse que le directeur me force à écarter mes mains que je tenais toujours serrées sur mon pubis. Mais sans un mot, il se contentait de contempler de bas en haut et de haut en bas ce que je lui offrais à quelques centimètres de son visage. Je sentis enfin qu’il déplaçait sa main. Ses phalanges s’insinuèrent dans ma raie et il appuya pour me faire basculer en travers de ses genoux. Mes mains prirent appui sur le plancher tandis que mes pieds quittaient le sol. Il veilla alors à me placer à sa convenance.

« Avancez un peu. Encore. Un rien encore. Non, là vous êtes trop avancée, reculez donc à présent.»

Et tandis qu’il m’obligeait à me contorsionner sur ses genoux, sa main était doucement posée dans le creux de mon dos.

« Voilà qui est parfait pour moi. Cette position est-elle à votre goût, jeune fille? En générale celles qui l’expérimentent la trouvent quelque peu humiliante. Qu’en pensez-vous ? »

Il voulait encore me faire parler. Je ne pouvais me contenter de recevoir passivement ma correction et il avait décidément l’art de faire participer activement les punies à leur humiliation. D’une voix nette, je dus répondre à toutes ses questions: oui, j’avais honte d’être nue devant des garçons de mon âge ; oui, j’avais conscience de l’indécence de ma position et il était très embarrassant d’être ainsi couchée en travers de ses genoux ; oui, il avait eu raison de me faire mettre nue dans cette classe plutôt que dans son bureau car je ne méritais pas que l’on ménage ma pudeur. Durant ces préliminaires verbaux, sa main parcourait mon fessier avec une incroyable douceur. Sa paume enfin se souleva et je me préparais à recevoir une première claque mais il la reposa délicatement sur mes fesses. Il recommença ce geste plusieurs fois mettant un comble à la tension qui régnait dans la pièce. Puis sans avertissement, une série de claques s’abattirent sur mon derrière. Il fessa longtemps mais en variant constamment la méthode. Tantôt il alternait les claques sur un lobe puis sur l’autre, tantôt il consacrait ses efforts sur une zone particulière. Parfois il ralentissait la cadence et j’avais le temps d’appréhender le coup suivant, parfois au contraire une grêle de claques sonores se déchaînaient soudain sur mon postérieur. Mes fesses, mes cuisses et surtout la jonction de ces deux zones étaient successivement l’objet de tous ses soins. Mon corps d’abord inerte se mit à onduler sur ses jambes. Je me débattais, je ruais en tout sens et je ne pensais plus à refermer mes jambes devenues incontrôlables. Quand je m’agitais trop, il s’arrêtait pour me repositionner. C’était prétexte à me toucher aux endroits les plus sensibles. Sa paume se plaquait entre mes cuisses pour me hisser plus avant sur ses genoux, tandis qu’il me soulevait en plaçant son bras sous mes seins. J’étais d’autant plus gênée de me sentir ainsi manipulée devant les garçons que je ne pouvais dissimuler que ces attouchements me procuraient des sensations. Un petit gémissement m’échappa même et je me détournai aussitôt pour cacher ma honte mais ce geste me valut une nouvelle réprimande.

« Ne dissimulez pas votre visage, jeune fille. Tête relevée. Ainsi, voilà qui est bien. Et regardez la classe.»

Il marquait aussi des poses plus ou moins longues durant lesquelles, sans un mot, il me caressait les fesses, les massait, les malaxait, les écartait même quelques fois. Du bout de ses doigts, il parcourait avec une émouvante délicatesse toute mon échine jusqu’à la nuque puis redescendait savamment le long de mon flan provoquant de délicieux frissons. Il eut la cruauté de faire remarquer aux garçons un soupir.

« On dirait que cette jeune personne finit par prendre goût à l’exhibition. Si vous aimez tant que l’on vous regarde, je pourrais la prochaine fois vous punir au réfectoire.»

Des images érotiques me traversaient l’esprit, aggravant mon trouble. J’avais des envies d’abandon, de me laisser aller, de me porter vers cette main qui me frappait si vigoureusement et me caressait si divinement. Il avait emprisonné ma jambe entre ses genoux si bien qu’il m’interdisait d’encore refermer mes cuisses. Je me sentais honteusement mais délicieusement ouverte, offerte à sa vue et à sa main s’il le voulait. Je ne sais s’il se rendit compte de mon état, mais il interrompit soudain claques et caresses et il m’aida gentiment à me relever alors que mon visage était aussi empourpré que mon fondement. A nouveau, il me plaça face à la classe. Après quelques instants, je pris conscience de ce que j’exposais et je me couvris de mes mains malgré ma terrible envie de me frotter les fesses. Je dus le remercier de m’avoir puni, il me fallut aussi présenter mes excuses au professeur puis aux garçons pour avoir dérangé leur cours et les remercier de leur patience à mon égard.

Le directeur me congédia alors en me priant d’aller me mettre à disposition de sa secrétaire. Elle était la principale préjudiciée de ma conduite, c’est à elle, me dit-il, qu’il revenait de lever ma sanction, je pourrais alors retourner dans ma section.

Je voulus aller récupérer mes vêtements au fond de la salle mais il m’apostropha :

« Laissez là vos vêtements. Vous n’en avez nul besoin pour l’instant. Vous viendrez les rechercher lorsque Mlle D. vous y autorisera. En attendant veillez à lui montrer que vous avez appris à obéir.»

Parcourir les couloirs et l’escalier du bâtiment des garçons dans le plus simple appareil fut une nouvelle épreuve. Je me dissimulais au mieux de mes mains et de mes bras et je me recroquevillais tant et plus en passant devant chaque salle de classe, terrorisée à l’idée que quelqu’un n’en sorte. En descendant l’escalier, j’entendis deux étudiants qui discutaient en descendant au−dessus de moi. Je dévalai les dernières marches et j’atteignis le bureau de Mlle D. un peu essoufflée. Elle m’accueillit en me lançant ironique :

« Je vois avec plaisir que votre sens de la pudeur et de la décence évolue rapidement. Mais ne vous arrêtez donc pas en si bon chemin; puisque vous êtes nue, toute nue, autant vous montrer sans détour ; posez donc vos mains sur la tête. »

A l’arrière de son bureau, une porte-fenêtre donnait sur la cour, elle me poussa contre la vitre.

« Laissez-moi admirer le travail de notre cher directeur sur ce joli petit cul.»

Tandis qu’elle me palpait les fesses et le haut des cuisses, j’eus un mouvement de recul quand un de mes professeurs passa tout proche mais sans m’apercevoir. Ce réflexe de pudeur déclencha sa colère.

« Si je vous place devant cette porte-fenêtre, c’est précisément pour vous exposer à tout qui passe par la cour, étudiants ou professeurs. Si vous essayez encore de vous dérober aux regards, je vous conduis au beau milieu de cette cour et vous y resterai jusqu’après la sortie des classes.»

Et elle en profita pour m’asséner quelques claques supplémentaires puis me positionna à son gré. Elle me fit reculer d’un pas, m’obligea du genou à me camper jambes écartées, elle joignit mes mains dans mon dos puis me poussa le torse vers la fenêtre. Je n’osais plus bouger et je restais plantée là, cambrée, nez contre la vitre tandis qu’elle recommençait ses attouchements. Son champ d’exploration ne connaissait plus de frontières et en me laissant faire, je me fis la réflexion que notre directeur eut été bien inspiré d’étendre la règle de la porte à maintenir ouverte aux situations où professeur et élève sont du même sexe. Ses investigations de plus en plus envahissantes, ses caresses de plus en plus précises m’emportaient dans de profonds frissons. Je tentais de résister mais elle me manipulait avec une science diabolique et j’étais affolée à l’idée que quelqu’un pût me surprendre dans un tel état.

On frappa à sa porte et elle me vit sursauter. Je me tournai vers elle et l’on se regarda un moment puis malgré ma supplique silencieuse, elle me sourit et cria d’entrer. J’étais dos à la porte mais je compris que deux étudiants venaient d’entrer et qu’elle les invitait à s’asseoir. La conversation portait sur l’organisation de la prochaine fête de l’école; ces garçons étaient en terminal mais je ne reconnaissais pas leur voix. Je me demandais s’ils étaient dans la classe où j’avais été fessée ou si c’était la première fois qu’ils me voyaient nue. Dans ce cas, au moins ils ignoreraient mon nom car Mademoiselle D. n’avait pas fait la moindre allusion à moi. La présence d’une fille nue avait dû les surprendre et les troubler profondément comme je le percevais au ton de leur voix et à leurs bafouillages. Je me tenais bien droite, les cuisses serrées l’une contre l’autre, les fesses contractée pour ne pas laisser voir mon sexe. Après quelques minutes, Mlle D. s’interrompit au milieu d’une phrase comme si elle se souvenait soudain de ma présence. J’eus l’impression que mon cœur s’arrêtait de battre lorsque je sentis ses mains se poser sur mes hanches et qu’elle m’obligea doucement à pivoter pour faire face à ses visiteurs. Les mains toujours croisées dans le dos, rouge de confusion, je gardais les yeux baissés n’osant pas regarder les garçons qui devaient se délecter de ma nudité. Mlle D. enserra de son bras le haut de ma cuisse pour m’attirer tout contre son fauteuil. Sa main chaude posée sur la partie la plus sensible de ma cuisse, à toucher presque mes lèvres, il n’y avait plus que cela que je ressentais. Elle expliquait :

« Sibylle est punie ; pour lui apprendre à conserver son self control, elle doit rester toute nue sans chercher à se cacher ou à se couvrir. Mais il lui faut encore faire des efforts pour accepter de se laisser regarder sans réticence. N’est-ce pas Sibylle que l’exercice est difficile ? Il est tellement gênant d’offrir aux regards du tout-venant ce que l’on a de plus intime, ce que l’on a l’habitude de cacher soigneusement. Mais ne vous tracassez pas vous faites de rapides progrès; il y a une heure à peine vous me frappiez parce que vous refusiez de paraître en sous-vêtements devant quelques garçons et à présent voyez comme vous vous exhibez à ces jeunes gens.»

Tout en parlant, elle me maintenait contre elle, et du bout des doigts de sa main libre, elle reprit sa lente exploration, côté face cette fois. Elle s’attardait sur ma fine toison, la lissant puis l’enroulant autour de ses doigts. Elle prenait les garçons à témoin du soin de mon épilation qui me découvrait parfaitement. Elle trouvait que l’ourlet de mes lèvres tellement apparentes constituait « une merveille d’indécence ». Son bras qui me retenait prisonnière lâcha prise mais sa main entreprit de me caresser l’intérieur de la cuisse. Elle remontait de plus en plus haut et plusieurs fois son pouce atteignit, comme par mégarde, mon sexe en provocant des petits bruits mouillés. Les garçons regardaient fascinés ce jeu pervers tandis que ma respiration se faisait saccadée. Un orgasme m’aurait fait mourir de honte. Ma tourmenteuse interrompit à temps ses caresses et m’abandonna un peu hagarde.

« Les préparatifs de cette fête doivent rester confidentiels, je sais que vous avez grand plaisir à découvrir les charmes que Sibylle vous offre si généreusement mais il est préférable que nous la fassions sortir pendant que nous discutons entre membres du comité. Allez donc attendre dans le couloir, Mademoiselle, et surtout ne vous avisez pas de vous couvrir. Aujourd’hui chacun peut vous contempler à loisir, ne l’oubliez pas. Vous n’avez rien à cacher.»

Je restai devant sa porte plus d’une demi-heure. Deux professeurs passant dans le hall s’arrêtèrent pour m’interroger. Ils voulaient savoir pourquoi j’étais privée de vêtements et je dus leur raconter toutes mes mésaventures en détail tandis qu’ils m’examinaient sans vergogne. Les deux étudiants finirent enfin par sortir et je pus rentrer à l’abri tout relatif du bureau. Mlle D. avait à présent l’air pressée de s’en aller. Elle me fit signer le registre des punitions, me rendit ma jupe qu’elle avait récupérée chez le directeur et me congédia en me disant que je pouvais aller chercher le reste de mes vêtements au deuxième étage. Elle me précisa que la classe était maintenant inoccupée et que la porte n’était pas fermée à clé. Je sortis tout heureuse du bureau, je remis prestement ma jupe et j’allais me précipiter vers l’étage quand la sonnerie de fin des cours retentit. Presqu’aussitôt, les élèves sortirent des classes ; un flot bruyant et joyeux descendait l’escalier. M’engager à moitié nue à contre-sens d’un tel déferlement me sembla impossible. Je pris alors le parti de rentrer sans mes vêtements et je me mis à courir à travers la cour et le parc pour revenir jusqu’ici.

Je dois à la vérité de préciser que cette punition fut la seule que mérita Sibylle au cours de son année au S. Après cette mémorable équipée dans le bâtiment des garçons, son comportement changea radicalement. Ses résultats scolaires connurent une notable amélioration mais surtout elle devint beaucoup plus sociable avec ses compagnes. Quant aux garçons, ils cessèrent de la voir comme une icône intouchable et elle devint le centre de toutes leurs attentions.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les chroniques du pensionnat de S., par D de La M - Communauté : Soumissions féminines
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