Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 21:23

Chapitre 30: En attendant le grand jour 2.

 

 

 

— Non non, stop ! Lança précipitamment Allie. Ne touche-pas à ta minette, concentre-toi uniquement sur les sensations que tu ressens entre les fesses.

 

Lauren interrompit son geste avec réticence. Un besoin obsédant la poussait à glisser ses doigts entre ses cuisses pour calmer la démangeaison irrésistible qui augmentait sournoisement au cœur de son intimité moite.

 

Durcissant la pointe de sa langue, Allie la présenta à l’entrée de l’anus et se mit à pousser doucement, la faisant pénétrer adroitement entre les muqueuses ramollies. Après un petit instant de surprise, Lauren se relâcha complètement et la langue s’enfonça à l’intérieur de sa rosette. Elle la sentit s’agiter tout doucement d’avant en arrière, s’enfonçant un peu plus à chaque poussée. Un sentiment bizarre, mais incroyablement excitant s’empara d’elle. Au comble de la honte, elle se surprit à envoyer son bassin à la rencontre de cette langue diabolique.

 

— Lauren, Déclara Allie sans ôter sa langue. J’ai l’impression que je suis en train de tomber amoureuse de toi.

 

Et elle s’enfonça le plus profondément possible, déclenchant un petit cri de surprise. Elle avait pénétré sur plusieurs centimètres et sa bouche lui faisait mal tant les muscles de sa langue étaient tendus, cherchant désespérément à gagner quelques centimètres. Son nez s’écrasait contre le coccyx de Lauren et elle peinait à respirer.

 

— OOOhhh Allie, HHHmmm…

 

Chaque fois que la langue ressortait, Lauren avait l’impression que son anus restait un peu plus ouvert, un peu plus distendu. Allie avait placé ses pouces de part et d’autres de son rectum et écartelait ses fesses à l’extrême. Sa langue avait recommencé son manège diabolique, s’appliquant à effleurer les muqueuses internes et Lauren avait l’impression de s’ouvrir, de s’ouvrir…

 

Son plaisir grimpait en flèche et elle se surprit à penser qu’après tout, Allie avait peut-être raison, que l’on pouvait éprouver du plaisir dans ce genre de rapports. Tout du moins à condition que sa partenaire ait envie de lui en donner.

 

Les prémices de l’orgasme se mirent à enfler dans son ventre.

 

— AAAHHH, mon dieu, ça n’est pas possible… AAAHHH OOOHHH Allie ma chérie contin… AAAAHHHH Ne t’arrête surtout pas, je crois que je vais jouir…

 

Allie augmenta le rythme de ses caresses, sa langue s’enfonçait, ressortait, effleurait, faisait durer le supplice, reprenait de plus belle, ne cessant de taquiner les muscles anaux qui, maintenant, se contractaient régulièrement autour de sa langue.

 

— HHHMMMM !!!! AAAhhh… Ohhh… hmmm…

 

Toutes deux savaient que l’orgasme de Lauren approchait à grands pas.

 

Allie enfonça sa langue à fond et plaqua hermétiquement ses lèvres autour des muqueuses et l’embrassa passionnément, faisant tourner sa langue à l’intérieur de la cavité. Emportée par son élan, elle attrapa fermement les cuisses de Lauren et se mit à pousser sa langue encore plus loin, le plus possible…

 

— HHHHHMMMMMM !!!! AAAAAAHHHHHH !!! OOOOOOOOHHHHHHH !!!!!

 

Aussitôt, Lauren se mit à jouir.

 

Allie conserva sa position, agitant frénétiquement sa langue à l’intérieur du sphincter qui se contractait convulsivement. Enfin, elle se retira délicatement. Les muscles intimes de Lauren étaient si contractés qu’ils lui donnaient l’impression d’être des mâchoires qui ne voulaient pas relâcher leur proie.

 

Après de longues secondes, Lauren se calma un peu. Après un dernier baiser délicat sur les muqueuses enflammées, Allie déclara :

 

— Je pense que tu es prête ma chérie.

 

Et elle se redressa un peu pour présenter la tête du gadget assujetti à son ventre contre l’orifice détrempé.

 

— Tu es prête pour ma bite ?

 

— Tout ce que tu voudras Allie. Fais de moi ce que tu veux, mon amour.

 

Allie força doucement, écrasant délicatement la fleur anale de Lauren.

 

Les fesses de Lauren se portèrent aussitôt à sa rencontre dans un mouvement d’offrande qui trahissait son impatience. Surprise, Allie s’immobilisa, et avant qu’elle réagisse, Lauren s’était empalée sur toute la longueur du membre factice.

 

— MON DIEU Allie, c’est si bon. BAISE-MOI, vas-y. Baise-moi dans le cul…

 

Allie se mit à aller-et-venir tendrement. Le godemiché entrait et ressortait avec aisance du rectum lubrifié par sa salive. Elle était étonnée par la facilité avec laquelle Lauren accueillait la totalité du membre au fond de son anus.

 

— OOOOHHHH ALLIE !!! Je t’aime ma chérie. HHHHMMMM !!! Oh que c’est bon ! AAAAHHH BAISE-MOI !!!!

 

Allie accéléra la cadence.

 

— Est-ce que tu peux encore jouir pour moi ma chérie ? Est-ce que tu peux jouir quand je te sodomise ?

 

Et elle accéléra encore, crochetant les fesses de Lauren à deux mains pour les écarter largement. Elle pouvait voir distinctement la corolle anale se distendre à chaque coup de piston qu’elle donnait et se rétracter lorsqu’elle ressortait.

 

Au même moment, la porte de la chambre s’ouvrit silencieusement sur la belle-mère de Lauren. Elle était accompagnée par plusieurs de ses invitées.

 

Toutes à leur affaire, les deux adolescentes ne remarquèrent pas les intruses qui s’approchèrent silencieusement sur un geste d’Alex. Le spectacle était d’une obscénité extraordinaire.

 

Couverte de sueur, Allie se démenait à un rythme endiablé entre les fesses de Lauren qui miaulait bruyamment à chaque poussée.

 

Ce ne fut que lorsqu’Alex s’assit sur le lit, tout près du visage de sa fille que celle-ci leva la tête et se tétanisa, le souffle coupé par la honte.

 

Allie s’interrompit aussitôt et les deux jeunes filles roulèrent sur le côté. Le godemiché luisant de sécrétions fit un bruit sonore en s’éjectant de l’anus de Lauren et glissa entre les jeunes filles sans quitter l’entrejambe trempé de Lauren.

 

Incapables de faire un geste, elles restèrent immobiles, nues, choquées d’avoir été surprises dans une position aussi humiliante.

 

— Non, non jeunes filles ! Ne vous interrompez pas en si bon chemin, continuez s’il vous plaît.

 

Toutes les invitées étaient venues avec leurs verres et semblaient prêtes pour le spectacle.

 

Les deux adolescentes ne firent pas un geste mais se regardèrent l’une l’autre.

 

— Allez allez, tout cela n’a rien de choquant. Allie n’est qu’une vulgaire prostituée qu’on paye pour baiser celles qu’on lui désigne, et toi, ma chère fille, tu as déjà été sodomisée plusieurs fois cette semaine.

 

Elle eut un sourire presque tendre.

 

— Vous êtes deux petites salopes, nous avons toutes entendu que tu étais sur le point de jouir et nous nous en voudrions de te priver de cet orgasme qui paraissait si prometteur. Dieu sait à quel point Allie est douée pour faire jouir les autres.

 

Humiliée, Allie baissa les yeux. La révélation brutale de sa condition par Alex la ramena à la dure réalité. Elle tenta de dissimuler sa gêne derrière ses cheveux.

 

Lauren niait l’évidence en remuant la tête de droite à gauche, refusant d’affronter la situation telle que la présentait sa belle-mère.

 

Alex agrippa le menton de sa fille dans la main et la toisa en plongeant ses yeux dans les siens.

 

— Continuez, j’insiste. Lança-t-elle d’une voix froide et menaçante.

 

Elle relâcha le menton de l’adolescente et, d’un geste qui ne souffrait aucune contestation, appuya sur ses épaules, la forçant à se remettre à plat-ventre.

 

Puis, d’un geste autoritaire, elle fit signe à Allie de recommencer à sodomiser sa belle-fille.

 

La jeune fille s’agenouilla à nouveau entre les cuisses de Lauren, jeta un coup d’œil circulaire à l’assemblée qui n’attendait que la reprise des festivités, et repositionna délicatement le membre factice contre le petit trou de Lauren.

 

Celle-ci enfonça son visage dans le matelas et se mit à gémir doucement en sentant le gadget chercher doucement l’entrée de ses fesses, la trouver et commencer à nouveau à la pénétrer.

 

Allie recommença à sodomiser la jeune fille devant les invitées de Maîtresse Alex. Elle retrouvait peu à peu son rythme précédant lorsque Suzan entra à son tour dans la chambre. Elle tenait une bouteille de vin et remplit les verres des invitées qui ne perdaient pas une miette du spectacle qui leur était offert.

 

Bientôt, Lauren fut à nouveau au bord de l’orgasme. Elle essaya de le combattre mais cette situation démente ne faisait que contribuer à la précipiter vers sa perte. Elle tourna son visage vers sa mère et prononça silencieusement les mots « Je vous déteste » alors que la jouissance la submergeait.

 

Alex sourit et articula silencieusement « Petite enculée ».

 

Allie pistonna Lauren de plus belle, la menant directement à l’orgasme. La jeune fille cria sa jouissance avant de s’effondrer mollement sur le matelas. Épuisée, Allie se coucha sur son dos et continua à aller-et-venir lentement au creux de ses reins tandis qu’elles reprenaient leurs esprits.

 

Elles restèrent ainsi un long moment. Les mouvements du bassin d’Allie étaient devenus presque imperceptibles.

 

— Hmmm, que vous étiez mignonnes. Alex se releva. Nous allons vous laisser entre vous. Continuez à vous amuser. J’ai payé cette pute pour toute l’après-midi et la soirée, alors profites-en bien.

 

Et elle quitta la chambre en emmenant ses invitées avec elle.

 

Lorsqu’elles furent seules, Allie, son sexe factice toujours fiché entre les fesses de la future mariée, l’entraîna avec elle, la faisant rouler sur le côté pour l’enlacer.

 

Elles restèrent ainsi un long moment, profitant chacune du contact de la peau moite de l’autre, savourant le mouvement infime du sexe factice. Allie qui jouait avec les seins de la jeune fille, sentait pointer les tétons encore durs comme du bois.

 

— Lauren ? Chuchotta-t-elle.

 

— Oui Allie ? Répondit-elle, d’une voix qui flottait encore dans les limbes du plaisir.

 

Allie ne cessa pas d’actionner le gadget dans l’anus de Lauren, le faisant aller et venir sur un ou deux centimètres. Lauren accompagnait le mouvement, allant même parfois à sa rencontre. Elle aimait les sensations qu’elle ressentait, le contact des petits seins d’Allie contre son dos et les baisers que celle-ci déposait délicatement sur sa nuque.

 

— Lauren, il faut qu’on parle de ton mariage.

 

La jeune fille émergea un peu de sa torpeur sexuelle.

 

— Pourquoi parler de ça maintenant ? Tu ne veux pas plutôt continuer à me faire du bien ?

 

Et elle arqua son dos pour mieux s’offrir, essayant de s’empaler encore plus profondément sur le membre en plastique de sa bien aimée.

 

— C’est important ma chérie. Rajouta Allie en s’immobilisant à l’intérieur de l’anus de Lauren. Une opération pour te libérer vient d’être montée. Elle a pour but d’empêcher ton mariage avec Tawnee.

 

Lauren se tordit le cou pour regarder Allie.

 

— Qu’est-ce que tu veux dire ?

 

Elle se retourna complètement, expulsant le godemiché de son anus. Celui-ci, encore gluant, se mit à pendre, abandonné entre les deux adolescentes.

 

— Je ne peux pas te communiquer tous les détails, seulement que toi, moi et d’autres, allons être libérées de notre esclavage aujourd’hui.

 

Elle regarda Lauren dans les yeux et déclara en épelant clairement ses mots :

 

— Mais pas avant la réception. Il faudra que tu te conformes à la cérémonie et que tu assistes à la réception. Tout dépend de toi.

 

— Allie, j… je ne sais pas, je voulais tenter quelque chose… pour me sauver…

 

— S’il te plaît Lauren. C’est aussi ma chance de quitter Nicole, d’être libérée de mon esclavage.

 

Elle s’empara des mains de Lauren et les appuya contre sa poitrine.

 

— Je t’en prie, fais-moi confiance, j’ai besoin de toi.

 

Lauren la fixa longuement, étudiant attentivement son visage.

 

— Est-ce que tu es vraiment amoureuse de moi Allie ?

 

— Oui Lauren. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais je sais que je le suis.

 

Lauren approcha son visage du sien et l’embrassa.

 

— Je te fais confiance, Allie. Je ferais comme tu voudras.

 

Elles restèrent enlacées un long moment, s’embrassant du bout des lèvres. Alors Allie sourit timidement.

 

— Tu veux bien faire une dernière chose pour moi ma chérie ?

 

— Bien sûr Allie, tout ce que tu voudras.

 

— Est-ce que tu veux bien me faire la même chose Lauren ? Comme tout à l’heure, dans le cul…

 

Lauren passa le godemiché autour de sa taille et rendit la pareille à l’adolescente

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Alors Lauren, vous vous êtes bien amusée toutes les deux ? J’espère que tu as aimé quand cette petite pute t’a sodomisée. Demanda Alex

 

Elles étaient assises sur la terrasse pour prendre le petit-déjeuner.

 

— Oui Alex. Répondit la jeune fille en rougissant.

 

Alex ne se formalisait absolument pas de la présence de Tawnee et sa mère.

 

— Elle était bonne ?

 

Lauren regarda Tawnee dans les yeux et déclara ostensiblement :

 

— C’est la meilleure que j’ai jamais rencontrée.

 

Tawnee en rougit de contrariété.

 

Lauren sourit intérieurement. C’était la première fois qu’elle avait l’occasion de rabattre son caquet à cette salope et ça faisait du bien.

 

 

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Est-ce que tu l’as mise au courant de notre plan ? Demanda Isis, plus tard dans la semaine lorsqu’Allie suivait un nouvel entraînement.

 

— Oui, elle se mariera. Répondit Allie en se remémorant l’après-midi entière comme s’il s’agissait d’un rêve.

 

Maintenant, elle avait une raison supplémentaire de mener sa mission à bien, pour elle, mais aussi pour quelqu’un qu’elle aimait. Elle n’avait aimé personne depuis la mort de ses parents.

 

— Bien, je pense que tu mesures mieux l’importance de ta mission maintenant.

 

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— Vous aimez ma langue Mademoiselle ? Demanda Coquette.

 

Lauren se languissait d’une autre langue, pas celle de sa bonne. Elle essayait de s’imaginer que c’était la tête d’Allie qui était enfouie entre ses jambes. Elle réfléchit à ce qui pourrait attiser son plaisir.

 

— Coquette, lèche-moi le cul !

 

— Mais Mademoiselle, je n’ai jamais…

 

— Ne mens pas, Coquette. Je sais que tu dois faire tout ce que je te demande. Maintenant, enfonce ta langue dans mon anus.

 

Résignée, Coquette fit glisser sa langue entre les fesses de l’adolescente et se mit à lécher.

 

Lauren s’imagina que c’était Allie. Cela exacerba un peu son plaisir, mais Allie était bien plus habile que coquette.

 

— Mieux que ça Coquette, mets-y plus d’enthousiasme !

 

Ça allait prendre un peu de temps, mais Lauren était sûre qu’elle tirerait du plaisir de la langue de Coquette ce matin-là.

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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 21:22

Chapitre 29: En attendant le grand jour 1.

 

 

 

— Allie, est-ce que tu t’es déjà servie d’une arme à feu ? Demanda Isis en regardant l’adolescente viser les cibles exposées au fond du sous-sol de la batisse.

 

— Non M’dame. Répondit la jeune fille.

 

Isis ôta la sécurité du revolver, le chargea, visa, tira et réenclencha la sécurité.

 

Allie l’imita et tira à son tour sur la cible, jouissant d’un sentiment de pouvoir inconnu jusqu’alors.

 

Dès le début, Nicole avait pensé qu’Isis lui inspirerait confiance. Elle avait intrigué auprès de la diablesse rousse pour qu’elle abuse de la naïveté d’Allie. D’autre part, Isis avait promis qu’elle se profiterait des talents de l’adolescente, ce qui était un bon moyen de s’assurer qu’Allie respecterait la règle n°4.

 

BANG!  BANG!  BANG!

 

C’était le meilleur moment que vivait Allie depuis près d’un an et demi.

 

BANG! BANG!  BANG!  BANG! BANG!  BANG!

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Non non et non, stupide garce !

 

Alex se releva et gifla la couturière.

 

— Où est-ce que tu as appris à faire ton putain de travail ?

 

Lauren se tenait debout sur une estrade, elle portait une robe blanche de mariée qui la serrait à la taille et mettait ses petits seins en valeur. Le dos du vêtement était à moitié rabattu sur ses reins et l’ourlet, qui traînait par terre, recouvrait ses chevilles.

 

— Elle doit avoir l’air d’un ange ET d’une pute ! Hurla Alex.

 

Subitement, elle se calma et sourit avant de continuer d’une voix douce pleine de malice.

 

— Je veux que tout le monde la considère comme la plus jolie chose de la soirée, mais aussi qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur le type de contrat qui unira nos deux familles.

 

Elle se retourna face à sa belle-fille.

 

— Ce sera la pute la plus chère de la soirée, elle vaudra des millions, mais elle restera toujours une putain…

 

Elle sourit à nouveau.

 

— Et je suis son maquereau.

 

Elle fixa à nouveau la couturière qui tremblait de peur.

 

— ET IL EST HORS DE QUESTION QU’UNE DE MES INVITÉES AIT LE MOINDRE DOUTE LÀ-DESSUS ! Découvre mieux ses jambes, son décolleté et son dos. Mets-lui des gants et un voile plus grand. Cette robe devra être ton ultime création, ta plus belle œuvre. Tu n’auras plus jamais l’opportunité d’en créer une comme celle-là. Une parure qui marie aussi bien l’innocence et le vice.

 

Et elle partit dans un grand éclat de rire qui résonna comme celui d’un ténor.

 

Lauren remua la tête lentement, incapable de prononcer le moindre mot à travers le bâillon boule qui obstruait sa bouche. Ses pieds, légèrement écartés, étaient fixés à l’estrade par des bracelets en cuir et ses mains étaient attachées dans son dos.

 

Elle était réduite à l’état d’un mannequin de chair, un modèle obscène maintenu en place par la longue tige en métal froid qui pénétrait d’une douzaine de centimètres dans son rectum (sa fleur vaginale devant absolument rester vierge jusqu’au mariage).

 

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— Demain, tu te gouineras avec Lauren. Déclara Isis langoureusement.

 

Allie était agenouillée entre ses cuisses et embrassait amoureusement son sexe après lui avoir procuré un nouvel orgasme.

 

Comment sait-elle ça ? Se demanda Allie.

 

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Isis poursuivit :

 

— J’ai un sixième sens pour ces choses-là, fais-moi confiance.

 

Elle se pencha et attira délicatement l’adolescente vers elle.

 

— Tu devras la convaincre qu’elle doit absolument se marier, la cérémonie doit avoir lieu, notre projet est bouclé et tout changement serait désastreux.

 

— Mais Isis, je ne peux pas lui dire ça, elle ne m’écoutera jamais.

 

— Allons Allie, tu seras notre agent de terrain. Il n’y aura que toi auprès de Lauren et ta mission sera de t’assurer qu’elle s’engage bien dans cette union.

 

Allie repensa alors à Lauren, elle se sentit proche d’elle, malgré les conditions dans lesquelles elles s’étaient rencontrées. Sans savoir pourquoi, elle acquit la conviction qu’elle allait faire son possible pour la convaincre.

 

— D’accord Isis, je ferai en sorte qu’elle se marie.

 

— On la libérera pendant la réception, et toi aussi.

 

Éperdue de reconnaissance, Allie la remercia en l’embrassant passionnément sur les seins.

 

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Coquette était toujours au service personnel de Lauren. Rapidement, la jeune fille s’était habituée à être réveillée par la langue de sa servante. Elle ne se formalisait plus et commençait même à apprécier certains aspects de ce dorlotage. Les soins que la bonne déployait pour l’habiller, la coiffer, la faire belle et la façon qu’elle avait de la traiter comme une princesse n’étaient pas si désagréables.

 

Une princesse lesbienne, mais une princesse quand même.

 

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— Ahhh Allie, je suis si contente de te savoir bientôt de retour parmi nous. Tu es sans conteste la meilleure de toutes les salopes que j’ai louées jusqu’à maintenant et, manifestement, tu es très fière de tes talents.

 

Alex adorait le spectacle qu’offrait l’adolescente en se tortillait timidement devant elle. Elle était tellement impudique dans sa tenue qu’elle prit plaisir à la faire attendre devant la maison.

 

On avait exigé qu’elle soit vêtue d’un petit débardeur et rien d’autre. Elle se tenait maintenant sur le pas de la porte d’entrée de la maison des Jacob, s’abstenant de dire le moindre mot, sachant que Maîtresse Alex aimait la voir comme ça, embarrassée.

 

— Bien, tu peux entrer. Finit par dire Alex, presque à contrecœur.

 

Elle claqua vigoureusement les fesses de l’adolescente lorsqu’elle passa devant elle.

 

Une fois à l’intérieur, Allie se rendit compte de l’agitation qui regnait en vue du mariage. On était vendredi, et le grand moment était prévu pour le samedi. Bien entendu, Nicole et elle faisaient partie des invitées. La répétition du dîner devait avoir lieu le soir même et il y avait au moins six servantes qui s’affairaient en nettoyant, en déplaçant les meubles et en préparant la salle à manger pour la cérémonie.

 

— Le grand jour approche. Déclara Alex. Ma petite Lauren va se marier. J’ai vraiment de la chance, perdre une fille n’est rien en comparaison du gain d’une belle-fille.

 

Une femme portant un gros classeur s’approcha. Elle dévisagea Allie des pieds à la tête avec un regard désapprobateur. C’était elle qui était en charge des préparatifs du mariage

 

Ignorant Allie, Alex lui donna quelques indications supplémentaires. La jeune fille resta derrière la maîtresse de maison, se sentant plus que nue avec son petit débardeur.

 

Lorsque la femme fut partie, Alex ordonna à Allie de la suivre jusqu’à la terrasse qui surplombait les jardins. Plusieurs femmes y étaient attablées, toutes vêtues de tenues de soirée. Le cœur d’Allie s’accéléra. De dos, Lauren était assise parmi elles.

 

Toutes levèrent les yeux lorsqu’Alex s’approcha.

 

— Lauren ma chérie, je t’ai loué une pute. Tu pourras profiter de ses services cet après-midi et ce soir, une sorte d’enterrement de vie de jeune fille.

 

L’assemblée s’esclaffa. Lauren se retourna et resta bouche-bée en reconnaissant Allie.

 

— Allez, danse donc ma fille, déballe-nous ta marchandise. Tu m’as coûté suffisamment cher…

 

Elle poussa l’adolescente au centre de la terrasse et la fit pirouetter devant ses invitées.

 

— Comme vous pouvez le constater, mesdames, cette petite salope porte un cadenas sur le clitoris, n’est-ce pas merveilleusement pervers ?

 

Tous les regards se fixèrent sur le bas-ventre où le petit cadenas dépassait obscènement.

 

Blasée, la jeune fille ne se formalisa pas, les humiliations qu’on lui faisait subir n’écornaient plus qu’à peine son amour-propre.

 

— Et son petit cul est tout simplement parfait, jeune, serré et ferme.

 

Puis elle la positionna dos à l’audience et agrippa ses fesses, les écartant largement.

 

L’adolescente se laissa faire veulement, se faisant l’effet de n’être qu’un animal qu’on évaluait dans une foire à bestiaux.

 

— Et elle suce les chattes comme une pro. Elle ricana. Hum hum, mais c’est vrai qu’elle est une pro.

 

— Allez jeune fille ! Dit-elle en s’adressant à Lauren. Fais-la monter dans ta chambre et amuse-toi avec elle. Cette pute n’est pas bon marché et je ne voudrais pas gaspiller l’argent qu’elle m’a couté.

 

Alex poussa Lauren pour qu’elle se lève, ce qui fit chuchoter les invitées, et lui donna quelques conseils obscènes sur la façon dont elles pouvaient se gouiner. Puis elle, d’un geste qui ne souffrait aucune contradiction, elle poussa les deux adolescentes vers la maison.

 

— Je viendrais vous voir dans quelques minutes pour m’assurer que tout se passe bien…

 

Rouges de honte, les deux jeunes filles échangèrent un regard. Allie avait pleinement conscience de sa nudité et suivit Lauren en montant l’escalier le plus rapidement possible.

 

Arrivées dans la chambre de la future mariée, elles faillirent buter contre une table qui avait été placée au milieu de l’entrée. Il y était posé trois choses : Un morceau de papier, un tube de lubrifiant et un godemichet. Surprises, elles restèrent figées un instant avant de pénétrer dans la pièce et refermer la porte.

 

Lauren s’empara du mot :

 

 

Chère Lauren,

J’espère que tu apprécies mes petits présents. Ce sont tes cadeaux d’enterrement de ta vie de jeune fille et je suis sûre que tu sauras les apprécier à leur juste valeur.

Je viendrais dans quelques minutes et je compte bien vous trouver en train d’utiliser à fond le godemiché.

Souviens-toi bien que tu dois rester vierge, ta petite fleur est réservée à Tawnee pour votre nuit de noces, mais j’autorise Allie à avoir des rapports anals avec toi. Je sais combien tu aimes ça, Tawnee m’a touché quelques mots à propos de votre petite aventure avec ta monitrice de tennis, petite vicieuse.

Ta mère qui t’adore,

Alex

P.S. Je détesterais être obligée de vous fouetter toutes les deux si mes consignes n’étaient pas respectées.

 

 

 

Lauren eut une grimace de désespoir et tendit timidement le mot à Allie.

 

Allie le parcourut rapidement et la regarda tendrement.

 

— Je serai très douce Lauren.

 

Et elle attrapa le godemiché à pleine main. Elle ne s’était jamais trouvée de ce côté de l’engin. Jusqu’à présent, c’était toujours elle qui avait dû subir les pénétrations et cette nouvelle donne éveillait sa curiosité.

 

Lauren se dirigea vers le lit et s’y assit. Elle se tint immobile, le regard dans le vague. Pendant ce temps, Allie enfila la ceinture du gadget et assujettit étroitement les courroies autour de ses cuisses et entre ses fesses. Elle baissa les yeux sur le sexe factice qui dépassait entre ses cuisses comme s’il était une extension de son corps. Elle éprouva un sentiment de pitié pour Lauren en pensant à ce qu’elle allait lui faire subir. Puis elle s’empara du tube de lubrifiant et vint s’asseoir à côté de la jeune fille.

 

— Il faut qu’on le fasse Lauren, tu as lu le mot. Je n’ai pas envie d’être fouettée encore une fois.

 

Elle appuya délicatement son épaule contre celle de la future mariée.

 

— Je sais Allie, mais Tawnee m’a déjà pénétrée plusieurs fois de ce côté la semaine dernière. Elle m’a sodomisée chaque fois qu’elle en a eu l’occasion avant de m’abandonner à mon triste sort. Elle leva les yeux sur Allie. Alors ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste que je n’ai pas envie que ça recommence.

 

— Mais, tu ne l’as pas encore fait avec moi. Je suis sûre que je peux te donner du plaisir, même de ce côté.

 

Et elle se pencha sur Lauren et essaya de l’embrasser. La jeune fille eut un léger mouvement de recul et regarda Allie d’un air interrogatif. Elles restèrent immobiles un moment, se regardant dans les yeux. Puis le regard de Lauren s’adoucit, elle ferma les yeux, et tendit timidement ses lèvres à Allie. Elles s’embrassèrent tendrement.

 

Leur baiser dura quelques minutes, puis Allie souleva doucement la robe d’été et la fit passer délicatement sur la tête de Lauren. Celle-ci ne portait aucun sous-vêtement.

 

— Mets-toi sur le ventre.

 

Docilement, Lauren s’exécuta en surveillant nerveusement Allie du coin de l’œil.

 

— Je ne te ferai que du bien, Lauren. Simplement, fais-moi confiance.

 

Elle passa ses mains sous les cuisses de Lauren et les tira habilement vers le haut, faisant saillir son derrière. Les épaules plaquées contre le dessus-de-lit, Lauren se laissa passivement mettre en position et n’eut aucun mouvement de révolte lorsqu’Allie lui écarta largement les cuisses et se positionna entre elles, plaçant son bassin à proximité immédiate de ses fesses.

 

Avec une douceur infinie, elle posa ses mains sur chacune des fesses et les écarta largement, exposant le petit anus contracté à la lumière du jour. Puis, procédant par petites touches aériennes, elle titilla imperceptiblement la muqueuse du bout de la langue.

 

Surprise, Lauren poussa un petit cri et se mit à haleter silencieusement. C’était si sale, si vicieux… Personne ne l’avait jamais léchée à cet endroit.

 

Allie s’enhardit et se mit à lécher doucement le rectum palpitant, orientant tout doucement la pointe de sa langue vers le centre du muscle qui se crispait et se décrispait convulsivement. Petit à petit, elle prit possession de la totalité de l’endroit, s’attardant longuement sur la portion sensible entre la vulve et l’anus, n’ayant de cesse avant que ce soit ruisselant de salive. À aucun moment, elle n’eut de contact avec la vulve que l’écartèlement des cuisses livrait sans défense à sa convoitise, se concentrant uniquement sur le petit anus qui se crispait de moins en moins.

 

— Détends-toi Lauren, ça sera meilleur.

 

Lauren s’appliqua à essayer de détendre ses muscles anaux, haletant de plus en plus fort. La langue d’Allie virevoltait, se posait, s’immobilisait à l’entrée de son petit trou, repartait, traçait un sillon humide tout autour. Celle-ci employait toutes les connaissances qu’elle avait acquises à déguster la petite pastille, la titillant, picorant, léchant comme s’il s’était agi d’un clitoris.

 

Elle sut qu’elle avait gagné lorsqu’elle sentit la main de Lauren cheminer entre ses cuisses pour atteindre son sexe.

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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 19:24

Chapitre 28 : La leçon de tennis de Lauren.

 

 

… Suite du chapitre Coquette & Lauren…

 

 

 

Ce n’était pas avant d’avoir descendu la moitié de l’escalier principal qu’elle réalisa qu’elle ne portait pas de culotte.

 

Elle se figea, se retourna et remonta deux marches, s’immobilisa et fit demi-tour à nouveau. Elle ne pouvait pas retourner en arrière maintenant, pas après ce qui venait de se passer. Elle se jura à elle-même que ça ne se reproduirait plus.

 

Sa belle-mère n’allait pas gagner comme ça !

 

Il était hors de question qu’elle accepte ce mariage avec Tawnee Cantrell. Elle n’était pas lesbienne.

 

Vraiment ?

 

Elle descendit une nouvelle marche, s’arrêta à nouveau et regarda derrière elle. Alors, elle prit son courage à deux main, dévala le reste des escaliers et courut vers la porte d’entrée. L’air lui sembla frais lorsqu’il se faufila contre son sexe encore humide.

 

Elle fit le tour de la maison, dépassa la piscine, traversa le grand jardin et contourna le labyrinthe que formaient les haies de houx qui entouraient les courts de tennis. Elle remarqua que Sonya Jameson, sa monitrice, était déjà là et échangeait quelques coups avec la machine à balles.

 

La jeune fille arrivait devant la grande porte grillagée lorsqu’elle se contraignit à ralentir. Elle venait de se rendre compte que le souffle du vent faisait virevolter sa jupe de tennis et exposait ses fesses nues à la vue de tout le monde. Elle tenait à ce que le cours se déroule sans anicroche.

 

En ouvrant la barrière métallique, elle constata que Sonya n’était pas seule. Évidemment, Tawnee lui tenait compagnie. Cette dernière portait une jupe de tennis et un polo blancs et lui adressa un sourire lubrique. Elle était dans la meilleure position pour l’union qui se préparait entre les Cantrells et les Jacobs. Elle aimait les filles et avait tenté plusieurs fois de séduire Lauren, espérant en tirer une aventure prénuptiale. Elle fit une boule avec son chewing-gum et souffla pour la faire éclater.

 

— Salut cocotte. Lança Tawnee en esquissant un sourire moqueur devant la détresse manifeste de Lauren.

 

— Salut. Répondit Lauren.

 

Elle était encore plus consciente de sa nudité, uniquement protégée des yeux de Tawnee par quelques centimètres de tissu. L’adolescente eut le sentiment que son interlocutrice savait qu’elle était nue sous sa jupette et que ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle puisse écarter les lèvres de son sexe et y glisser sa langue.

 

— Bonjour Lauren, prête pour ta leçon ?

 

C’était la voix de Sonya. Elle interrompit la transe dans laquelle la jeune fille se trouvait.

 

— Hmmm… Hein… Les mots peinaient à sortir de la gorge de la petite blonde.

 

— On dirait que tu es un peu congestionnée Lauren, tu te sens bien ? Demanda-t-elle en s’approchant de l’adolescente pour passer un bras autour de ses épaules.

 

Oui, oui je vais bien. Répondit Lauren tandis que son regard se braquait à nouveau sur sa "fiancée".

 

— Ok, si tu en es sûre. Dit la monitrice rousse. Commençons par quelques échauffements. Incidemment, l’adolescente se dit que sa prof avait autre chose que le tennis en tête lorsqu’elle prononça le mot "échauffements".

 

Elle demanda à Lauren de se placer sur le côté droit du cours et à Tawnee de se tenir en retrait derrière elle pour observer et lancer la machine.
Lorsque la première balle traversa le filet, l’adolescente effectua maladroitement un coup droit qui manqua de beaucoup son objectif tant elle était occupée à ne pas exhiber ses fesses nues à Tawnee.

 

— Voyons Lauren, force-toi un peu. La réprimanda Sonya.

 

La jeune fille ne rata pas la balle suivante, mais la frappa mollement, préservant sa pudeur du mieux qu’elle pouvait.

 

— C’était un peu mieux, mais ton retour doit-être plus puissant. Pense à avancer vers la balle et redresse tes épaules.

 

La troisième balle partit avant qu’elle soit prête. Lauren s’élança avec toute son énergie et la fouetta fortement. Le coup porta sur le bord de la raquette et s’envola au-delà des limites du terrain. Dans le même temps, sa mini-jupe s’était soulevée, offrant une vue imprenable aux deux femmes.

 

Elles échangèrent un regard entendu.

 

— Passons à un panier complet.

 

La monitrice fit travailler son élève intensément, appréciant les visions fugitives de peau dénudée que Lauren n’arrivait plus à cacher à chaque coup de raquette qu’elle donnait. Elle poussa l’adolescente à bout et celle-ci fut rapidement couverte de transpiration. À force de courir après les balles, elle pouvait sentir la sueur ruisseler le long de son dos, se frayer un chemin le long de la raie de ses fesses et dégouliner à l’intérieur de ses jambes.

 

— Bon, ça suffit pour le moment Lauren, tu peux prendre une pause. Dit Sonya. Et merci pour le spectacle.

 

L’adolescente rougit profondément et alla se réfugier sur le banc pour se désaltérer.

 

Ce fut le tour de Tawnee. Sonia la fit travailler raisonnablement, sans excès. Le rythme était beaucoup moins intensif que celui auquel elle venait de soumettre Lauren.

 

Après ça, elles prirent une pause. Tawnee attrapa son sac à dos, fit un clin d’œil à Sonya et se dirigea vers la petite dépendance qui jouxtait les cours de tennis.

 

Lauren n’eut pas le loisir de souffler plus longtemps. Sonya la fit à nouveau travailler, en tête à tête cette fois.

 

La monitrice se plaça dans son dos afin de la guider dans son coup droit. Elles étaient l’une contre l’autre, presque collées et Sonya se pencha sur son oreille et déclara doucement.

 

— Voilà comme ça, des coups longs et profonds.

 

L’adolescente pouvait sentir sa petite jupe frotter contre les hanches de sa prof.

 

— Il faut accompagner le mouvement avec tes hanches, lorsque tu frappes dans la balle.

 

Tout en donnant ses explications, Sonya avait délicatement posé une main sur les hanches de son élève. Ce contact anodin fit pourtant frémir Lauren, en effet la main avait en fait glissé sous sa jupe, sur sa peau nue… Tout près de ses fesses…

 

Son nez frotta contre le cou de l’adolescente et elle la plaqua étroitement contre elle.

 

— Tu dois être drôlement en chaleur pour sortir sans petite culotte. Chuchota-t-elle.

 

Sa main se déplaça vers les cuisses humides de la jeune fille, effleurant quelques poils pubiens.

 

— Tu recherches peut-être des émotions fortes ?

 

— Non. Répondit Lauren en essayant de se libérer.

 

Mais Sonya avait passé son autre bras autour de sa taille, le maintenant fermement.

 

Un mouvement attira l’attention de la jeune fille, Tawnee revenait de la petite dépendance. Il y avait quelque chose de bizarre sur le devant de sa jupe.

 

Tawnee se rendit compte que Lauren la regardait. Un sourire malsain se dessina sur ses lèvres, tandis qu’elle relevait sa jupe.

 

Lauren haleta, sa "fiancée" portait un godemiché ceinture à la taille, un énorme phallus artificiel noir qui pointait vers elle d’un air menaçant.

 

Elle comprit immédiatement à quoi il allait servir, à quelle foufoune il était destiné : La sienne.

 

Elle se mit à se débattre furieusement pour échapper aux bras de Sonya, lâcha sa raquette et détala vers la porte qui se trouvait à l’opposé.

 

Tawnee poussa un cri et s’élança à sa poursuite.

 

Lauren s’enfuit à travers le labyrinthe de houx. Elle courut à perdre haleine, espérant semer sa prétendue fiancée. Droite-gauche, gauche-droite, désorientée, à bout de souffle, elle fit une halte, effrayée. Elle avait l’impression de tourner en rond et la panique commençait à la gagner.

 

— Je t’entends ma chérie ! Lança Tawnee quelques haies derrière elle.

 

Lauren poussa un cri et reprit sa course effrénée.

 

— Je vais te faire ta fête ! La railla à nouveau Tawnee en riant vicieusement.

 

Éperdue, Lauren courut. Gauche, gauche, elle était presque sûre de savoir où elle était maintenant. La sortie ne devait plus être loin, plus qu’un virage à gauche et un à droite. Elle passa l’angle de la haie et… OH NON !!! Une impasse !

 

Elle regarda derrière elle… Tawnee l’avait rejointe et bloquait le passage. Elle était PIÉGÉE.

 

— Maintenant, je te tiens, ma petite fiancée chérie.

 

Et Tawnee se jeta sur elle, la plaquant au sol. Le souffle coupé, elle cessa de lutter quelques instants. L’autre en profita pour la faire rouler sur le ventre et lui tira les mains dans le dos, les attachant étroitement avec une corde qu’elle avait dans son sac à dos.

 

Lauren était à sa merci. Elle se redressa en observant sa victime impuissante.

 

Sadiquement, elle appuya son pied au milieu du dos de l’adolescente, la clouant fermement sur place, tandis qu’elle écartait sa jupe, exhibant l’énorme godemiché noir qui pendait sur son bassin.

 

— Ma mère m’a dit que je ne pouvais pas faire l’amour avec toi tant que nous n’étions pas mariées, mais ça ne veut pas dire que je ne peux pas me servir de ton petit trou !

 

Le poids de Lauren appuyait sur ses épaules, sa joue était plaquée sur le sol et une feuille de houx piquait douloureusement sa chair tendre. Elle était incapable de se libérer de la pression que Tawnee, plus forte qu’elle, exerçait sur son dos avec sa chaussure de tennis. Celle-ci sortit de son sac un tube de lubrifiant dont elle enduisit le phallus artificiel pour le préparer à la pénétration.

 

L’adolescente essaya de tourner son visage vers sa persécutrice, mais elle ne réussit qu’à égratigner encore plus sa joue.

 

— Tawneee ! Ne fait pas ça s’il te plaît, tu n’as pas le droit !

 

Mais l’autre ignora ses protestations et rabattit sa jupette sur ses reins, mettant à jour le derrière virginal de la jeune fille, au sein duquel se tapissait le petit anus qu’elle convoitait. Elle expédia un peu de lubrifiant entre les fesses de l’adolescente qui se cabra au contact du gel froid, mais ne put échapper au pied implacable de sa "fiancée".

 

— Tawnee, je t’en supplie ! Je ferai ce que tu voudras, je sucerai même ta foufoune si tu veux mais s’il te plaît pas ça !

 

La "fiancée" de Lauren donna nonchalamment un coup de pied entre les genoux de sa victime pour les écarter et se plaça de façon à ôter à Lauren toute possibilité de lui échapper. Elle s’agenouilla entre ses cuisses et appuya fermement sa main gauche sur la nuque de l’adolescente tandis qu’elle présentait l’engin contre son anus sans défense. Celui-ci était se contractait convulsivement dans une tentative dérisoire pour échapper à la pénétration.

 

Puis l’énorme godemiché entra en contact avec la petite ouverture plissée. Lauren la suppliait désespérément maintenant.

 

— Non Tawnee, je t’en supplie non… NON !!!

 

Le gland de son phallus artificiel força littéralement le sphincter de sa future, l’écartelant légèrement. Elle fit une pause à l’entrée pour laisser le temps aux muscles de s’habituer à la présence de l’intrus.

 

— NON NON NON NON s’il te plaît Tawnee !

 

— Je te baiserai tous les jours quand nous serons mariées.

 

Et elle poussa fermement, enfonçant le gland plus profondément dans le rectum qui fit un "plop" audible lorsque le godemiché franchit sa barrière.

 

— AAAIIIIEEEeee !!!! Cria Lauren au même moment.

 

Tawnee s’immobilisa à nouveau. La tête du phallus était maintenant entièrement insérée dans l’anus de l’adolescente.

 

— Tu me sens bien ? Dit-elle en claquant la fesse droite de la jeune fille.

 

Et, dans le même temps, elle s’enfonça de quelques centimètres supplémentaires.

 

— WOOuaaah !!! Ooooh !! NOOOONNNN ! ARRÊTE !

 

— Ton cul m’appartient. Je m’en servirai à chaque fois que je le désirerai. Ma mère s’en moque du moment que tu restes vierge.

 

Tawnee s’appuya plus fort contre le bassin de sa future réticente et introduisit le godemiché d’une dizaine de centimètres dans l’anus virginal de Lauren.

 

— Et c’est ta mère qui m’a offert ce gode ! Dit-elle en s’enfonçant encore plus profondément.

 

— OOOUUUAAAILLLE !! Hurla Lauren. STOPPE ÇA !!! OUUUUHHH !! AAAHHHH !! NON ! NON ! Ressors-le s’il te plaît.

 

— OK, s’il n’y a que ça pour te faire plaisir…

 

Tawnee fit marche arrière jusqu’à ce que le gland soit presque ressorti et, d’un seul coup, se renfonça aussi rapidement que possible, écrasant le corps martyrisé de tout son poids.

 

Elle avait poussé le godemiché juqu’à la garde.

 

— OUUUHHMMmm ! Fut le seul mot que Lauren parvint à prononcer.

 

Tawnee se retira lentement et s’enfonça une nouvelle fois jusqu’à la garde.

 

D’une voix rayonnante, elle déclara.

 

— C’est tout ce que tu mérites : Mon godemiché au plus profond de ton petit cul de salope !

 

Elle se retira et se mit à donner quelques coups de reins moins appuyés.

 

Lauren se mit à pleurer, hurlant à chaque poussée :

 

— AAAHHH !! OOOHHH !!! HHHMMM !! Aaahhh ! Ooohhh ! POURQUOI ? AAAHHH !!! HHUUNNHHH !!! Hhhmmm !

 

C’est à cet instant que Soraya apparut au coin de la haie. Elle s’approcha des deux adolescentes et s’immobilisa pour les contempler.
Lauren avait recommencé à augmenter la cadence de ses coups de reins et le phallus artificiel était clairement visible entre les fesses de Lauren.

 

— Ahh ! Ahh ! Ahhh ! Ahh ! Oohh ! Noonnn ! Aahhh !

 

Les protestations de Tawnee s’étaient affaiblies et s’accordaient au rythme du phallus qui allait et venait entre ses fesses.

 

— On y est presque !

 

Le rythme imposé par Tawnee était devenu intensif. Elle bougeait son bassin aussi vite que possible, s’agitant frénétiquement dans l’anus de sa victime.

 

— C’est ça petite pute, avale bien ma bite !

 

Lauren s’était écroulée sur le sol. Ses membres se détendaient et elle fut bientôt étendue complètement à plat, jambes et bras écartés, résignée. Sa "fiancée" agenouillée à califourchon sur son derrière la pilonnait avec la dernière énergie.

 

— OUUAAIS ! PRENDS-ÇA !! Prends-ça espèce de petite bêcheuse vicieuse.

 

Sonya glissa sa main dans sa culotte rendue humide par la transpiration et caressa doucement son pubis. Elle mouillait déjà. Incapable de se contenir, elle fit glisser sa culotte sur ses jambes et s’approcha des deux adolescentes. S’accroupissant près de Tawnee, elle se reput un moment du viol de son élève.

 

Lorsque Tawnee prit conscience de sa présence, elle déclara.

 

— Va devant et sers-toi de sa bouche, elle n’est pas occupée. Et elle sourit machiavéliquement.

 

Sonya s’assit dans l’herbe et passa ses jambes de part et d’autre de la tête de son élève. Sa position écartelée révélait son intimité luisante. Elle profita d’un sursaut de celle-ci pour l’attraper par les cheveux et soulever sa tête, la faire pivoter face à elle et glissa son bassin en avant jusqu’à ce que les lèvres de l’adolescente soient en contact avec ses parties intimes.

 

— Au travail, petite salope, tu sais ce que je veux.

 

Lauren ne put rien faire, sa monitrice se mit à frotter son sexe humide contre son visage.

 

— Allez ! Lèche-moi ! Ordonna la rousse.

 

Constatant le manque de réaction de Lauren, Tawnee interrompit sa chevauchée et se pencha en avant, approchant sa bouche de l’oreille de sa victime.

 

— Lèche là tout de suite si tu ne veux pas que je te donne une correction aussi sévère que celles de ta mère ou même pire !

 

Lauren sortit sa langue et fit ce qu’on lui imposait.

 

— Mieux que ça petite chienne ! Exigea Sonia.

 

— Allez Mademoiselle la petite salope, montre un peu plus d’entrain. Ordonna Tawnee en recommençant à aller et venir dans l’anus de Lauren.

 

La scène se poursuivit pendant une vingtaine de minutes : Tawnee par-derrière et Sonya par-devant. Puis, lorsque la rousse eut joui, les tortionnaires changèrent de place. Sonya s’équipa du godemiché ceinture et Tawnee offrit son entrecuisse ruisselant de sueur et de sécrétions à Lauren. Lorsqu’elles furent satisfaites, Lauren n’était plus qu’une masse inerte sur le sol. Son visage était souillé par l’herbe et les sécrétions des sexes qu’elle avait léchés, des griffures infligées par le houx maculaient son visage, ses cuisses et ses genoux. Incapable de bouger, elle gémissait. Son anus lui semblait être en feu et un sentiment de vide l’obsédait après que le phallus artificiel ait été retiré du creux de ses reins.

 

Avant de libérer l’adolescente, Tawnee lui fit nettoyer le godemiché avec sa bouche.

 

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Lauren vacilla en escaladant les marches qui jouxtaient la gigantesque terrasse sur laquelle la table du déjeuner avait été dressée. Elle n’avait pas envie de se rendre à la réception pour le moment. Tout ce qu’elle désirait, c’était de prendre une douche brulante et se débarrasser toutes les traces de viol qui souillaient son corps, se brosser les dents et faire disparaître le gout des sexes qui infectaient sa bouche et jeter ses vêtements qui empestaient le parfum de Tawnee.

 

— Lauren ! Je suis contente que tu te joignes à nous. Lança sa belle-mère lorsqu’elle arriva en haut des marches. Viens par ici s’il te plaît.

 

Assises à une table, Alex se tenait à côté de la future belle-mère de Lauren : Elizabeth Cantrell. Toutes les deux souriaient de toutes leurs dents.

 

— J… Je… J’ai vraiment besoin d’y aller et de prendre une douche après mon cours. Répondit Lauren.

 

— Ne dis pas de bêtises, en tant que ta "mère" j’insiste.

 

Elle tira la chaise située à côté d’elle. Matée, Lauren s’approcha. Lorsqu’elle fût plus près, Alex la dévisagea de la tête aux pieds.

 

— Tu as une mine affreuse, ma chérie, que c’est-il passé ?

 

— J… Je… Heu… Je me promenais… Et… Heu… Je suis tombée dans une haie de houx. Répondit-elle en s’asseyant délicatement sur la chaise.

 

Elle essaya de dissimuler la douleur qui torturait son anus en feu et de masquer sa nudité sous la mini-jupe.

 

— Est-ce que tu t’es amusée avec Tawnee ? Demanda-t-elle en ricanant. Je suis contente de voir que vous vous entendez mieux toutes les deux.

 

À ce moment, Tawnee apparut en haut des marches.

 

— Bonjour Alex, bonjour Maman.

 

Elle se dirigea droit sur Lauren, posa ses mains sur les joues de la jeune fille et, avant qu’elle puisse réagir, l’embrassa sur les lèvres avant de déclarer :

 

— C’était super dans le labyrinthe, merci pour tout.

 

Elle libéra le visage de Lauren qui ne put que baisser les yeux tant la honte la submergeait.

 

Les quatre femmes déjeunèrent et, pendant tout le repas, Lauren ne cessa de penser au phallus de Tawnee qui forait son derrière encore et encore…

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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 19:20

Chapitre 27 : Conspiration et revanche.

 

 

— Allez ! Debout la-dedans ! Dit Nicole en agaçant Allie du bout de son pied.

 

Allie se déplia, abandonnant la position fœtale dans laquelle elle dormait. Elle roula sur le dos et leva les yeux vers sa Maîtresse.

 

Nicole se leva et l’enjamba, splendide dans sa nudité. Allie fut frappée par la beauté et le maintien de la brune qui la surplombait, digne et fière de sa nudité. Elle avait les mains sur les hanches, un léger sourire sur les lèvres et son pubis était une invitation pour le futur et le présent de la jeune soumise.

 

Elle se souvint de quelques mots que lui avait soufflés sa Maîtresse quelques mois auparavant.

 

"Ce sexe que tu adoreras, dont tu rêveras en t’endormant, que tu nettoieras et dont tu prendras le plus grand soin".

 

Elle réalisa que l’essentiel de ces mots était réel aujourd’hui.

 

Nicole se pencha et attrapa le coin de la couverture légère qui couvrait son esclave. Elle tira et dénuda l’adolescente, révélant sa nudité et le collier enchaîné à la tête de son lit.

 

Elle connaissait ses obligations. Sa vie entière était régie par des règles claires et la numéro 16 l’astreignait à se masturber tous les matins. Elle écarta les jambes et commença à jouer avec son sexe, insérant son doigt entre les lèvres de sa fente sous le regard attentif de sa Maîtresse debout devant elle. Elle souleva le petit cadenas qui ornait le haut de son intimité et se mit à titiller son clitoris. Sa main recouvrait en partie le tatouage qui décorait son sexe imberbe. Rapidement, une humidité caractéristique se développa au sein de son sexe, lubrifiant ses muqueuses, lui permettant d’accélérer la cadence de ses caresses.

 

— Presse-toi ma fille !

 

Nicole s’impatienta, un sourire sadique au coin des lèvres. Ses yeux se gorgèrent de l’image que lui renvoyait la jeune fille qui s’activait, toujours enchaînée au lit. Dieu qu’elle était agréable à regarder, et à tourmenter…
Allie tirait de plus en plus fort sur le petit cadenas, elle avait récemment découvert que c’était un moyen infaillible d’arriver rapidement à ses fins. Elle lui donna de petites chiquenaudes qui le faisaient rebondir sur ses chairs déliquescentes, puis le fit tourner sur lui-même à une cadence de plus en plus frénétique jusqu’à ce qu’elle serre ses dents et jouisse dans une gerbe de plaisir. Elle n’avait pas quitté des yeux le corps sculptural de sa Maîtresse.

 

— C’est bien ma fille.

 

Nicole détacha la laisse de l’adolescente et l’entraîna vers la salle de bain pour qu’elle s’occupe de sa toilette.

 

Lâchant la laisse, elle s’assit sur la toilette pendant qu’Allie réglait la température de l’eau.

 

— Je t’attends jeune fille ! Déclara Nicole avec un sourire narquois.

 

Le cœur de la jeune fille s’accéléra, elle savait ce que sa Maîtresse allait exiger d’elle et elle détestait ça. Pourtant, elle serra les dents et s’approcha des toilettes, s’agenouilla entre les jambes de sa Maîtresse et pencha sa tête entre ses cuisses.

 

— Supplie-moi. Dit Nicole en baissant les yeux sur le visage d’Allie qui se trouvait à quelques centimètres de son entrecuisse.

 

L’adolescente avait étroitement fermé sa bouche et ses paupières étaient tellement crispées que Nicole pouvait les voir trembler. Ses adorables cheveux blonds pendaient jusque dans la cuvette.

 

— Supplie-moi de te pisser sur le visage.

 

Comme dans un rêve, Allie s’entendit parler. Elle ne pensait pas ce qu’elle disait mais l’idée d’en avoir fini au plus vite lui donnait des forces.

 

— S’il vous plaît Maîtresse, pissez-moi sur le visage.

 

— Puisque tu me demandes si poliment, je pense que j’aimerais que tu passes ta langue sur ma chatte d’abord. Lèche-moi.

 

Allie étira son cou et poussa sa langue contre le sexe de Nicole. Elle se mit à lécher consciencieusement. Elle savait comment mener sa Maîtresse au plaisir, cela faisait maintenant longtemps qu’elle avait perfectionné sa technique.

 

— Bien, maintenant continue à me lécher. Ne t’arrête surtout pas.

 

Le ton avait changé, s’était fait plus menaçant.
Allie savait ce qui allait se produire, elle se prépara, fermant les yeux du mieux qu’elle pouvait. La voix de Nicole la fit frissonner.

 

— Ca y est salope, ça vient.

 

À cet instant, l’urine gicla directement du méat urinaire, s’écrasant contre sa langue et son palais.

 

Elle fit pourtant ce qu’on lui avait ordonné et continua à lécher le sexe de sa Maîtresse pendant que le liquide jaune giclait à l’intérieur de sa bouche, éclaboussait ses joues et ses paupières, rebondissait contre sa langue en coulant le long de son cou et sur ses petits seins percés, trempant son corps et les carreaux froid du sol sous ses genoux. Incapable d’y échapper, l’adolescente dut en avaler une grande quantité et faillit vomir lorsque l’urine chaude de Nicole dégringola en cascade dans sa trachée, en ligne directe vers son estomac

 


Elle continua à lécher lorsque Nicole crispa ses muscles, projetant la pisse odorante sur sa soumise avec le plus de force possible.
Elle continua à lécher lorsque sa Maîtresse inclina sa tête vers l’arrière et poussa un cri de plaisir.

 

— Oh oouuuiii !!!

 

Elle continua à lécher lorsque le flot se tarit et se transforma en un petit filet.
Alors, Nicole attrapa son esclave par la nuque, retint le peu d’urine qui encombrait encore sa vessie et plaqua fermement sa bouche contre son sexe.

 

— Avale le reste, petite chienne.

 

Et elle relâcha une dernière fois son sphincter, dirigeant le dernier jet directement dans la bouche de son esclave, ne lui laissant d’autre choix que d’avaler la pisse qui envahissait son palais. Écœurée, Allie dut avaler l’intégralité du liquide salé au goût infecte en une seule gorgée.
Nicole appuya encore plus fort la bouche de l’adolescente contre son sexe et jouit d’un seul coup. Ses sécrétions intimes se mélangèrent à l’urine dans la bouche de la jeune fille qui continua à lécher sans s’interrompre. Un frisson parcourut le corps de Nicole lorsque son plaisir commença à retomber.

 

— Mon dieu ! Que c’est bon de pisser pendant que tu me lèches.

 

Elle libéra l’adolescente.

 

— Nous ferons ça plus souvent.

 

Allie toussa un peu et de l’urine se mit à couler de son nez, ses cils et son menton.
Sans autre manière, Nicole se leva, enjamba la jeune fille agenouillée à ses pieds et se dirigea vers la douche.

 

— Viens ici, salope. Tu nettoieras tes saletés plus tard.

 

Allie rampa sur les talons de sa Maîtresse. L’urine qui avait pénétré entre ses paupières la brulait mais elle était heureuse de pouvoir se glisser dans la douche avec Nicole. Cela lui permettrait au moins de se débarrasser de ce liquide nauséabond qui empestait sa bouche et le reste de son corps.

 

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Après le petit-déjeuner, Nicole fit revêtir sa tenue de gymnastique à Allie. Il s’agissait de son petit débardeur, qui ressemblait plutôt à un petit bas de bikini dont les bretelles passaient autour les épaules au lieu de la taille. Le triangle de tissu qui recouvrait son entrejambe aurait masqué le pubis d’une femme à condition qu’il soit taillé suffisamment court. Il recouvrait tout juste sa petite fente et montait juste au-dessus de de l’ornement qui perçait le capuchon de son clitoris. Mais cela n’était pas un problème puisque l’adolescente se faisait épiler deux fois par semaine par l’esthéticienne.

 

Ce qui l’inquiétait maintenant était son nouveau tatouage qui était clairement visible au-dessus de l’élastique de la petite culotte. Tout le monde pourrait lire les mots blasonnés sur la partie supérieure de son pubis : "Propriété de Maîtresse Nicole" et en dessous, les mots : "Pour femmes uniquement".

 

L’adolescente se rendit immédiatement compte à quel point ces inscriptions seraient visibles. Elle ne pouvait pas aller faire de gymnastique vêtue ainsi, n’importe qui saurait tout sur sa condition de soumise.

 

En guise de haut, Nicole lui fit mettre un minuscule tee-shirt qui était coupé juste au-dessus de ses aréoles. Le moindre mouvement exhiberait les pointes de ses seins à qui voudrait bien la regarder. Pour l’instant, les anneaux qui les perçaient se contentaient de pointer juste en dessous du haut du maillot.

 

Elle se dirigea vers l’entrée où Nicole l’attendait.

 

— Maîtresse, je vous en prie ! Je ne peux pas sortir dans cette tenue, tout le monde verra mes tatouages.

 

Nicole eut un sourire démoniaque.

 

— Idiote, elles n’ont pas besoin de lire quoi que ce soit pour savoir que tu es ma petite esclave lesbienne salope.

 

Elle s’empara de la main de la jeune fille et l’entraîna vers la voiture, ouvrit la porte de la place passager et y fit asseoir Allie.

 

Une fois assise au volant, elle révéla l’itinéraire à l’adolescente :

 

— Je dois passer au bureau ce matin. Je vais te déposer au salon, mais tu devras te débrouiller pour rejoindre le club de gym toute seule.

 

Elle se retourna vers Allie et lui fit un sourire.

 

— Je suis sûre que tu trouveras un moyen de te faire escorter jusqu’au club. Fais preuve d’imagination.

 

Elle s’arrêta de l’autre côté de la rue du salon d’esthétique et fit descendre Allie. Puis elle redémarra en trombe en lançant :

 

— À ce soir.

 

Sous le choc, Allie resta un instant immobile sur le bord du trottoir.

 

Tout le monde pouvait la voir. Mises à part les voitures qui circulaient, la rue était relativement vide. Elle fit une tentative pour traverser, mais un automobiliste qu’elle n’avait pas eu le temps de voir la klaxonna agressivement, la faisant battre en retraite.

 

Elle se décida à longer le trottoir. A chaque pas, son tee-shirt se soulevait en révélant ses seins nus. Elle l’attrapa par l’ourlet et le rabattit sur sa taille.
Le trafic était trop dense, il allait falloir qu’elle utilise les passages piétons. Dans l’espoir de cacher son tatouage, elle mit une main devant son entrejambe, tandis que, de l’autre, elle maintenait son tee-shirt en place. Elle trotta vers le coin de la rue aussi vite que possible, douloureusement consciente que son postérieur était nu derrière le minuscule rempart de nylon qui lui courait entre les fesses. Arrivée devant le passage, elle pressa sur le bouton de commande des feux et attendit impatiemment.

 

Frustrée par le décalage, elle l’enfonça plusieurs fois. Il fallait qu’elle aille se réfugier dans le salon le plus vite possible. À bout de nerfs, elle cogna sur le bouton plusieurs fois et ne remarqua pas la passante qui s’était arrêtée à côté d’elle.

 

— Mais qui voilà ? Ronronna une voix contre son oreille.

 

Au même moment, une main indiscrète pris possession de sa fesse nue. Allie sursauta et se retourna brusquement.
Maîtresse Jytte se tenait tout près d’elle, éblouissante dans toute sa perfection féminine. Elle portait un élégant ensemble gris avec un chapeau noir luxueux dont les larges bords n’éclipsaient pas les lunettes de soleil de marque qui voilaient ses yeux. La fragrance de son parfum exotique et dispendieux flottait jusqu’aux narines de l’adolescente.

 

— Bonjour Maîtresse Jytte. Répondit la jeune fille dont le cœur battait à tout rompre.

 

Maîtresse Jytte souria à Allie. Elle prit un peu de recul et contempla le derrière de l’adolescente. Puis, avec un regard qui ne souffrait aucune contradiction, elle replaça sa main sur sa fesse gauche. Cette fois, la jeune fille ne broncha pas et se soumit servilement au caprice de la femme.

 

— Tu vas au salon ce matin petite salope ? Demanda-t-elle nonchalamment, tout en glissant sa main sous la petite bande qui séparait les fesses d’Allie.

 

Allie n’arriva pas à se concentrer sur la question. Elle se comportait comme un chevreuil tétanisé par les phares de la voiture qui allait l’écraser. Elle se trouvait en pleine rue, pratiquement nue et cette femme lui caressait les fesses, à la vue de tout le monde.
Elle tenta de dire quelque chose, mais aucun son ne réussit à franchir la barrière de ses lèvres. La main de Maîtresse Jytte continuait à explorer ses fesses et ne s’immobilisa que lorsque son majeur se fraya un chemin entre les lèvres de son sexe. Elle resta comme ça, sans bouger, le doigt légèrement enfoncé au sein des muqueuses moites.

 

— Je t’ai posé une question petite lécheuse de chatte !

 

Le ton de la femme était devenu plus ferme et Allie sentit la menace qu’il faisait planer.

 

— Maîtresse, s’il vous plaît, il faut que j’y aille…

 

Elle sut que c’était la dernière chose à dire au moment où les mots franchirent ses lèvres.

 

Terrorisée par son audace, crispée au possible, elle se garda bien de protester lorsqu’elle sentit le doigt de la femme, si élégante, appuyer contre l’entrée de son vagin. Soudain ses défenses cédèrent et l’intrus fit son chemin au cœur de son intimité. Une première phalange, puis deux et enfin trois.
Elle gémit silencieusement, assommée par l’idée qu’une femme puisse la violer comme ça, en publique, sur un vulgaire trottoir.

 

— Réponds à ma question petite pute.

 

La voix était redevenue plus calme, glaciale, contredite par le sourire de la Maîtresse femme.

 

— O… Ou… Oui Maîtresse, j’y allais.

 

— Bien. Alors allons-y. Traverse devant moi, je te suis pour profiter du spectacle.

 

Commandé par Maîtresse Jytte, le feu des piétons était passé au vert. Elle retira son doigt et claqua sèchement sa fesse pour la décider à avancer.
L’adolescente se mit à marcher, consciente de la vue qu’elle offrait à l’autre femme : Ses fesses pratiquement nue sur lesquelles l’empreinte de la main qui la cuisait devait briller, bien rouge, comme un phare en pleine nuit. Elle n’eut même pas la présence d’esprit de la couvrir tant elle était occupée à préserver sa pudeur en masquant l’inscription qui ornait son pubis en tirant de toutes ses forces sur l’avant de son mini tee-shirt.

 

Elles finirent de traverser et remontèrent la rue en direction du salon.
Courant presque, Allie escalada les quelques marches et se réfugia à l’intérieur, loin des yeux indiscrets de tous les gens qui avaient du la voir.

 

Quelques pas derrière elle, Maîtresse Jytte entra à son tour en ricanant.

 

— J’ai adoré la façon dont tu fais valser ton petit derrière.

 

La réceptionniste leva les yeux.

 

— Ahhh, Allie, te voilà enfin, tu devrais aller tout de suite rejoindre Jackie, elle t’attend.

 

Telle une habituée, la jeune fille s’empressa de traverser la pièce dans laquelle on produisait des soins aux vraies femmes. Elle garda les yeux baissés tout le temps, faisant son possible pour éviter les regards réprobateurs, des clientes aux mains des stylistes et des manucures, qui se posaient sur elle.

 

Elle sentait l’air contre ses fesses nues, la confortant dans sa honte d’être nue. Le tissu de la petite culotte avait disparu depuis longtemps entre ses fesses, les exposant largement au regard des autres.

 

Une fois le rideau franchi, elle commença à se détendre, se sentant relativement à l’abri. Jackie détourna les yeux de l’entrejambe d’une autre fille à qui elle prodiguait les dernières touches d’une épilation intégrale. La fille en question ne put que tourner les yeux vers elle car elle était étroitement assujettie à la chaise de soins.

 

— Tu peux te déshabiller, Allie, je vais m’occuper de toi tout de suite.

 

Mécaniquement, l’adolescente ôta le peu de vêtements qu’elle portait. Elle se retrouva rapidement nue à attendre son tour.

 

— Ca y est, Missy, aussi lisse que le jour de ta naissance.

 

Et elle ponctua sa phrase d’un coup de langue précis et langoureux sur la petite fente glabre. Missy gémit à travers le bâillon qui obstruait sa bouche. L’esthéticienne la libéra, lui ôta la petite boule en plastique sur laquelle ses dents étaient serrées et lui donna une tape sur les fesses.

 

— Allez !

 

La jeune fille trottina vers ses vêtements et s’habilla. Elle ne portait qu’une petite jupe courte, un tee-shirt blanc tout simple et n’avait ni chaussures ni sous-vêtements. Elle risqua un regard rapide vers Allie, dans lequel les deux adolescentes échangèrent une sorte de connivence propre à leurs conditions de soumises respectives. Puis, sans un mot, elle partit.
Allie prit place dans le fauteuil encore chaud et s’apprêta à recevoir son traitement bihebdomadaire.

 

***

 

De retour dans l’entrée du salon, après que Jackie l’aie nettoyée en profondeur et épilée, Allie se dandinait d’un pied sur l’autre en essayant de capter l’attention de la réceptionniste. Celle-ci discutait avec une femme qui ressemblait à Kathleen Turner : Cheveux roux, port royal, poitrine généreuse et ferme.

 

  • Il me faut un rendez-vous pour ma fille Sydney. Elle sera libre Mardi après-midi. Dit-elle dédaigneusement à la réceptionniste.

 

— Bien M’dame, est-ce votre fille ou votre pupille ? Demanda la brune derrière son comptoir.

 

La question fit naître un sourire sur le visage sévère.

 

— Pourquoi me demandez-vous ça ? C’est ma fille adoptive bien sûr.

 

Elle fixa son regard sur celui de la réceptionniste.

 

— Il lui faut le traitement particulier, celui que vous réservez aux filles indisciplinées.

 

— Bien M’dame. Est-ce que vous souhaitez qu’on lui applique un de nos services supplémentaires ?

 

— Non, pas cette fois, mais vous me donnerez une brochure avec vos tarifs.

 

— Je suis désolée M’dame mais c’est strictement confidentiel. Il faudra que vous rencontriez Sarah, la propriétaire du salon pour cela.

 

— Je comprends, alors ça sera tout pour aujourd’hui.

 

Elle s’apprêtait à ressortir lorsque, apparemment pour la première fois, son regard se posa sur Allie.

 

— Mais qu’avons-nous là ? Elle sourit. Aussi sexy et pas d’endroit où aller… Quel dommage.

 

— Oui M’dame… Heu, je veux dire non M’dame… Je veux dire… Je… Je vais à ma séance de gym. Bégaya Alllie.

 

— Ca alors, mais vous êtes bien timide, jeune fille.

 

Elle dévisagea l’adolescente de la tête aux pieds, se focalisant sur le tatouage qui décorait le pubis d’Allie.

 

— Propriété de Nicole… Hmmm… Pour femmes seulement… Tu es joliment décorée jeune fille.

 

— Oui M’dame. Répondit Allie.

 

Elle se tourna vers la réceptionniste et demanda d’une petite voix :

 

— S’il vous plaît, j’ai besoin d’un moyen de transport pour le "Club des Dames qui Savent Vivre" sur Main Street

 

— Nous ne sommes pas une station de taxis. Répondit la réceptionniste.

 

La femme qui ressemblait à Kathleen Turner prit alors la parole.

 

— Voyons Mademoiselle, ne soyez pas si rude avec cette jeune fille. Je serai heureuse de l’emmener à son club.

 

Le cœur d’Allie s’accéléra.

 

— Je ne pourrais pas M’dame. Répondit l’adolescente d’une voix à peine audible.

 

— Oh, mais j’insiste. Renchérit la rousse en attrapant le poignet d’Allie.

 

Et, sans concession, elle entraina l’adolescente à moitié nue hors de la boutique, lui fit descendre les escaliers et marcher jusqu’à sa Mercedes. Elle en ouvrit la porte et, avant qu’Allie ait réalisé ce qui lui arrivait, la fit asseoir sur le siège passager. Le contact de ses fesses sur le cuir froid de la luxueuse voiture la fit frissonner.

 

Puis, la femme fit le tour et s’assit au volant.

 

— Il faut d’abord que je passe à la maison, c’est sur le chemin. Je suis sûre que ça ne te dérangera pas.

 

— Non M’dame. Répondit la jeune fille.

 

De toute façon, elle s’attendait à quelque chose comme ça.
Dès qu’elles furent en route, le ton de la femme changea. Elle se tourna vers Allie et lui dit :

 

— Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il va falloir que tu me fasses confiance.

 

Allie ne répondit pas.

 

— Tu peux m’appeler Isis. Je suis la responsable d’une organisation dont le but est de libérer les filles comme toi et de punir les responsables.

 

Le visage d’Allie se figea. Que se passait-il ? Elle s’attendait à être violée où à être utilisée comme une pute lesbienne, mais les mots qu’elle venait d’entendre l’étonnaient. Elle était prête à être forcée dans tous les sens du terme et à sucer des sexes, mais pas pour une promesse aussi inattendue.

 

— Mon organisation surveille cet endroit depuis six mois maintenant. Nous espérons bientôt coincer la responsable de ce salon, et tu es une pièce Maîtresse de notre plan.

 

Au même moment, elle pénétra dans une belle allée menant à une superbe maison.

 

— Est-ce que tu penses que tu peux faire ça Allie ? Demanda Isis en éteignant le moteur. Penses-tu que tu peux jouer un rôle dans tout ça ?

 

Elle avait compris en partie la situation. Cette femme n’avait pas l’intention de la violer. Est-ce qu’elle allait la libérer de Nicole ? Elle réfléchit à cette nouvelle donne, ayant de la peine à y croire.

 

— Je ne sais pas.

 

Elle faillit dire qu’elle avait besoin de l’autorisation de sa Maîtresse mais se retint.

 

— Qu’est-ce que je vais devoir faire.

 

— Viens avec moi à l’intérieur, je vais t’expliquer.

 

L’adolescente sortit de la voiture et suivit la rousse jusqu’à la porte d’entrée. Celle-ci l’ouvrit, révélant trois autres femmes affairées. Deux pianotaient sur des ordinateurs installés dans le séjour et une troisième utilisait un téléphone.

 

— Ce sont mes assistantes.

 

Elle désigna une blonde assise derrière un écran :

 

— Voici Aphrodite, c’est elle qui s’occupe de nos arrières. Nous voulons être sûres de ne pas laisser de traces une fois que nous aurons agi.

 

Et voici Athena. Dit-elle en montrant la brune assise devant l’autre ordinateur. Elle traque les informations, les fichiers, les saletés. Grace à elle, nous connaissons les faiblesses de ces perverses dont nous nous servons pour les confondre.

 

Enfin, voici Aurora. Elle désigna la blonde qui téléphonait. Elle est mon bras droit et c’est elle qui est chargée des opérations musclées.

 

Allie se dit qu’elle ne ressemblait pas à une femme d’action, mais plutôt à un top-model.

 

— Et maintenant, toi Allie. À partir de maintenant, tu fais partie de notre équipe.

 

Elle se retourna vers l’adolescente.

 

— Penses-tu que tu peux nous aider à dissoudre l’ignoble réseau constitué de ces femmes qui orbitent autour du salon ? Tu joueras le rôle de l’infiltrée.

 

Allie n’arrivait pas à y croire. Elle n’avait jamais ne serait-ce que rêver d’échapper à Nicole et voilà qu’on lui offrait cette possibilité sur un plateau.

 

— O… Ou… Oui, oui je pense.

 

— Excellent !

 

Et Isis enlaça l’adolescente.

 

— Il va falloir que tu sois forte pendant quelque temps. Nous avons choisi un evènement qui devrait nous permettre de confondre presque toutes ces diablesses en un clin d’œil.

 

Elle se dirigea vers le bureau d’Athena et y prit un dossier, l’ouvrit et tendit une photo à Allie.
L’adolescente blêmit. Elle avait reconnu Lauren. C’était auprès qu’elle avait du se prostituer lorsque Nicole l’avait louée à Maîtresse Alex. La dernière fois qu’elle l’avait rencontrée, elle avait surtout vu son sexe, mais elle était sûre qu’il s’agissait bien d’elle.

 

— Oui, nous savons que tu l’as rencontrée. L’occasion pour laquelle nous espérons démanteler ce réseau sera le mariage de Lauren Jacobs avec Tawnee Cantrell. Ça sera l’évènement de l’année pour les éléments du réseau qui gravitent dans ce salon. Et enfin, voici leur point faible : Nous savons que Nicole et toi serez invitées…

 

Elle prit les mains de l’adolescente dans les siennes et la regarda dans les yeux.

 

— Allie, voici ce que nous attendons de toi…

 

Allie écouta attentivement ce qu’elle devrait faire.

 

******************

 

Allie était stupéfaite des révélations de l’après-midi. Elle ne réalisa qu’à peine qu’Isis la déposait devant le club. Elle rentra dans le gymnase sans prendre garde aux regards sur sa nudité que lançaient les femmes qu’elle croisa.
Elle ne remit les pieds sur terre que lorsqu’elle arriva devant Josie, toujours occupée à accueillir les clientes du club.

 

— Bonjour petite salope. Dit-elle en guise d’introduction.

 

— Je ne suis pas une salope. Répondit l’adolescente du tac au tac et regrettant aussitôt les mots qui venaient de lui échapper.

 

— Ah non ? La railla la jeune femme. Mais regarde-toi dans cette tenue de strip-teaseuse.

 

Allie baissa les yeux sur son ventre : Ses piercings qui pointaient sous son tee-shirt trop court, son tatouage que tout le monde pouvait voir, l’indécence de sa tenue, toutes les pores de son être transpiraient le message "SALOPE". Et pas une salope ordinaire, mais une salope qui aimait les FILLES.
Brièvement, l’adolescente tenta de reprendre le dessus en repensant à son recrutement récent, mais, avant qu’elle ait pu esquisser un geste de repli, Josie se pencha sur elle et assujetti rapidement une laisse à l’un des anneaux qui perçaient ses seins.

 

— C’est mieux comme ça. Dit Josie en se levant.

 

Sans lâcher la laisse, elle fit le tour de son bureau en la tendant au fûr et à mesure de sa progression, contraignant les pointes de seins de l’adolescente à quitter le mince abri de tissu derrière lequel elles tentaient désespérément de s’abriter. Deux petites torsions sèches eurent raison du peu de pudeur qui subsistait dans l’esprit d’Allie.

 

Elle ne tenta même pas de se rebeller. Elle avait perdu tout amour-propre et le mince espoir de liberté qui l’avait habité auparavant s’était volatilisé.

 

— Suis-moi, espèce de gouine dégénérée.

 

Et elle l’entraîna à sa suite.
Arrivées à l’entrée d’une pièce qu’Allie ne connaissait pas, elle ouvrit la porte et alluma la lumière. La salle était équipée de plusieurs rangées de vélos d’entraînement.

 

— Il n’y a pas de cours prévus ici avant un bon moment, nous allons t’installer là pour tes exercices.

 

Elle guida l’adolescente jusqu’à la dernière rangée et la fit attendre à côté de l’un d’entre eux. Puis elle sortit un godemiché de son sac et le tendit devant les yeux d’Allie. L’objet était noir et nervuré, il mesurait environ 20 centimètres de long. Josie l’attacha sur la celle de l’un des vélos à l’aide de bandes velcro et poussa la jeune fille pour la faire enjamber la selle.

 

L’adolescente hésita. Elle portait déjà son gadget habituel entre les fesses et être empalée sur ce nouvel intrus pendant qu’elle pédalerait ne laissait rien présager de bon.

 

— Monte sur ce vélo, petite chienne ! Aboya Josie.

 

Dans le même temps, elle claqua les fesses d’Allie pour l’encourager. La jeune fille enjamba la selle et se tint debout sur les pédales.

 

— Tiens-toi plus haut !

 

Docilement, Allie se positionna sur la pointe des pieds. La jeune femme en profita pour écarter l’empiècement de sa petite culotte, exhibant son sexe autant que le petit cadenas qui en fermait le haut. Puis elle maintint le godemiché en place et guida le plaça entre les lèvres du sexe d’Allie.
La jeune fille sentit le phallus artificiel pousser contre son sexe. Elle s’empala doucement sur le phallus artificiel.

 

Elle s’interrompit après quelques centimètres. Son sexe n’était pas suffisamment humide et l’engin était plutôt gros.

 

— Tu y est. Dit Josie. Plus profond maintenant, je ne voudrais pas être obligée de dire à Nicole que tu n’as pas été suffisamment coopérative.

 

Cela stimula Allie.

 

Elle tenta d’accentuer la pénétration en effectuant un léger mouvement de va-et-vient, ce qui lui fit gagner quelques centimètres. Une légère humidité commençait à se former au cœur de ses muqueuses mais l’engin était vraiment gros et chaque mouvement lui causait une douleur lancinante.

 

— C’est mieux petite chienne.

 

Elle regarda sa montre.

 

— Juste à l’heure.

 

Quelle heure ? Se demanda l’adolescente.

 

Elle avait réussi à s’empaler sur une bonne dizaine de centimètres lorsque la porte s’ouvrit sur un groupe de femmes.

 

— Pile à l’heure mesdames ! Déclara Josie.

 

Allie perdit son contrôle. Elle ne pouvait pas se montrer devant toutes ces femmes ! Sa détresse fut telle que ses forces l’abandonnère et elle s’assit complètement sur la selle. Malheureusement, le gadget en plastique ne suivit pas correctement le mouvement et entraîna ses petites lèvres à l’intérieur de son vagin. La douleur explosa dans le bas ventre de l’adolescente et lui fit l’impression que ses chairs intimes allaient se déchirer.

 

Le godemiché avait presque pénétré dans son intégralité et il ne subistait plus que quelques centimètres à l’extérieur de son sexe. Dans un reflex de pudeur, elle avait refermé ses cuisses pour dissimuler autant que possible l’indécence de sa situation.

 

Des larmes lui échappèrent. Elle serra les dents et prit son mal en patience. Comble de l’humiliation, elle n’avait pas la certitude d’avoir été suffisamment discrète pour cacher à toutes ces femmes ce qui se passait entre ses cuisses.

 

— Profite bien de ton cours de body-bike, je reviendrai te chercher dans une demi-heure. Lui lança Josie avant de sortir de la pièce.

 

Allie resta muette. La douleur que lui occasionnaient ses lèvres intimes, l’intrus qui perforait son sexe et son gadget anal occupaient toute son attention. Elle dut se pencher sur le guidon et s’y appuyer pour éviter de perdre connaissance.

 

Les autres femmes prirent place sur leurs bicyclettes. Au grand soulagement d’Allie, aucune d’entre elles ne choisit une de celles qui étaient sur la même rangée que la sienne. Au moins elles ne pourraient pas remarquer à quel point elle était obscène. Étonnamment, personne ne semblait s’être rendu compte de quoi que ce soit.

 

L’instructrice monta sur celle qui se trouvait face aux leurs et commença son cours. En guise d’échauffement, elle se mit à pédaler tranquillement.

 

Après quelques minutes, elle décida qu’il était temps de changer de rythme.

 

— Ok les filles, maintenant imaginez que vous êtes sur un sentier dans une forêt et que nous arrivons à proximité d’une colline.

 

Et elle se dressa sur son vélo. Toutes les autres femmes l’imitèrent mis à part l’adolescente. Celle-ci se demandait ce qui serait le pire : les imiter ou pas. Finalement, elle décida qu’elle avait intérêt à faire comme elles, ce serait le moins visible (en étant optimiste).

 

Elle fit comme tout le monde et se mit en danseuse. Le gros phallus sortit de son vagin. Heureusement pour elle, une légère humidité avait lubrifié ses parties intimes, soulageant quelque peu la douleur qui la torturait. Elles pédalèrent ainsi pendant un moment. L’adolescente commençait à haleter, d’une part à cause de l’exercice, mais aussi et surtout à cause du gros godemiché fixé sur sa selle. L’exercice la forçait à conserver l’engin inséré de quelques centimètres à l’entrée de son vagin et chaque coup de pédale le faisait coulisser un peu plus librement dans son intimité. C’était un mouvement émoustillant et bientôt, le godemiché en plastique ruissela de sécrétions.

 

— Ok mesdames, nous sommes arrivées au sommet. Maintenant rassoyez-vous.

 

À bout de forces, Allie s’écroula sur le sexe en plastique qui pénétra profondément dans son vagin, la faisant gémir profondément.

 

— Hmhmhmmmmm.

 

Allez, on continue. Ça n’était pas si difficile. Se moqua la monitrice.

 

Le bassin de l’adolescente montait et descendait légèrement au rythme de ses coups de pédales. Elle escaladait activement la pente du plaisir, se servant adroitement du godemiché sanglé sur sa selle. Elle n’arrivait pas à croire avec quelle rapidité son vagin s’était lubrifié.

 

— Ok, maintenant plus vite.

 

La jeune fille accéléra le mouvement. L’humidité qui luisait sur ses cuisses les faisait glisser sur la selle de la bicyclette. Le sexe factice lui donnait l’impression de buter contre son utérus à chaque coup de pédale. Elle commença à perdre contrôle et la promenade à vélo devint une chevauchée sexuelle. La voix de l’instructrice lui parvenait de moins en moins. Elle ne pensait plus qu’au merveilleux plaisir que lui causait l’objet qui défonçait son sexe.

 

Elle ne réalisa pas que les participantes commençaient à la regarder étrangement et se mit à agiter son bassin de plus en plus furieusement en gémissant de plus en plus fort.

 

— Hmmm… ooohhh… Ahhhh…

 

Elle était tellement concentrée sur son plaisir qu’elle ne se rendit pas compte que le groupe cessait l’exercice et que les femmes descendaient de leurs bicyclettes pour se regrouper autour d’elle. Elle avait fermé les yeux et accentuait encore et encore le rythme de sa course vers l’orgasme. Chaque fois que ses fesses se plaquaient contre la selle, son cadenas s’écrasait contre son clitoris, lui occasionnant une décharge de plaisir.

 

— OOOOHHH MON DIEU !!! S’écria-t-elle.

 

Elle était en plein sprint vers la délivrance.

 

— AAAAHHHH ! HHHHMMM !!! OOOOOOHHHHOOOUUUIIIIIIII !!!!!

 

Elle jouit en écrasant furieusement le cadenas contre son clitoris. Ses mains s’agrippaient convulsivement au guidon pendant que la bicyclette tremblait violemment pendant toute la durée de l’orgasme dévastateur qui parcourait son corps.
Elle perdit connaissance et se mit à glisser de son vélo, le sexe gluant s’échappa de son sexe et plusieurs femmes durent la retenir afin d’éviter qu’elle ne chute sur le sol.

 

La raclée que Nicole lui administra le soir même fut proportionnelle au scandale qu’elle avait causé. Allie était sûre que Nicole se délectait de cet esclandre, et particulièrement parce que ça lui donnait une occasion de fouetter sa petite esclave.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 19 août 2 19 /08 /Août 21:43

Chapitre  1: Mme la directrice rencontre Marion Mc Cluskey

 

Au retour de week-end de Sarah, j’eu la surprise de la voir accompagnée de sa mère, qui me demanda une entrevue immédiate.

Je la fis attendre quelques minutes pour le principe et je la fis entrer avec sa fille.

Sarah portait la tenue réglementaire de l’école et je ne doutais pas qu’elle portait maintenant aussi les sous-vêtements prescrits, tout indécents quels les jugeaient !

La mère était vêtue d’un tailleur strict, la jupe lui tombant sagement au-dessus des genoux. C’était une superbe rousse à la crinière fournie, bien en chair sans être en surpoids, avec des hanches charnues et une poitrine opulente. On sentait la femme qui avait eu plusieurs maternités mais qui avait fait des efforts pour rester belle.

Merci de m’avoir reçue si rapidement Madame la Directrice, me dit-elle de but en blanc.

Mais c’est bien normal Mme Mc Cluskey! répondis-je.

Je serais directe avec vous Madame : Sarah m’a avoué les punitions qu’elle a reçues en fin de semaine dernière, en vue de me demander de quitter votre école.

Voyez-vous ça !  . . . Elle a sans doute été plus rapide sur  les causes de ces punitions ! Et suite à cet aveu vous souhaitez la retirer ?

Mme Mc Cluskey était visiblement interpellée.

Mais pas du tout Madame ! Mon mari et moi-même avons inscrits Sarah en connaissance de cause dans votre établissement ! Ma sœur nous avait clairement expliquée que l’on ne transigeait pas avec la discipline ici ! Nous avons signés la décharge qui vous donnait toute licence pour les punitions.

Je souris intérieurement, l’entretien se présentait très bien.

Personnellement, je trouve que vous avez été un peu dure, mais peu importe, vous êtes seule juge ! Je suis ici pour que Sarah ne se fasse pas d’illusions : mon mari et moi-même soutenons l’équipe pédagogique et ses méthodes sans réserves ! J’ai été scandalisée de la conduite de Sarah . . . vous détenez l’autorité dans cet établissement et elle vous doit respect et obéissance !  J’ai profondément honte et je suis consciente que Sarah a besoin de la plus grande discipline !

La jeune fille ravala un sanglot, tout espoir de retourner dans son ancien établissement brisé.

Je vous en remercie. L’équipe pédagogique de cet établissement a besoin du soutien des parents dans son action. Nos plus grandes difficultés viennent souvent du manque de relais de notre action dans les familles !

La rouquine piqua un fard.

Vous me dites que vous étiez fixée sur les méthodes de notre établissement grâce à votre sœur ?

Oui, Beth Mc Callagan.

Ah oui, je la remets !

Effectivement, à partir du moment où elle me donna son nom d’épouse, je la remis très bien. Elle avait inscrit sa fille chez nous sur les conseils d’une amie en nous recommandant la plus extrême rigueur. Elle était elle-même adepte d’une éducation stricte à base de punitions corporelles humiliantes et il a donc été assez facile de prendre en main sa fille.

Je saisi la perche de suite.

Oui, sa fille était un cas assez difficile mais nous avons réussis à redresser la barre grâce à la vigilance de votre sœur au sein de la famille! . . . je ne vous cache pas que je ne vous sens pas aussi énergique mais un peu plus laxiste !

. . . Je le crains madame . . . j’ai lâchée trop la bride à mes enfants  . . .

C’est en effet regrettable . . . je comprends mieux l’état de délabrement moral de votre fille Mme Mc Cluskey.

Elle rougit de plus belle.

J’ai toujours manqué d’autorité et préféré les méthodes douces, la persuasion.

Ce qui fonctionne rarement avec les adolescentes d’aujourd’hui et le mépris pour toute autorité  qui marque notre époque et qu’elles ne savent pas gérer !

Oui . . . je suis d’accord Madame . . . c’est pour cela que je m’en remets à vous totalement.

Je réfléchi à toute vitesse et vis une opportunité originale.

Je vous en remercie Mme Mc Cluskey, mais je vais devoir refuser de donner suite à cette  confiance car en l’absence de relais familial à notre pédagogie le cas de Sarah est visiblement désespéré et je ne voudrai pas qu’une pomme pourrie gangrène tout le panier !

La mère de Sarah était saisit et sa fille visiblement soulagée.

Madame Marx, je vous en prie, Sarah a besoin  de votre aide! . . .  D’autant que je n’ai pas votre volonté, ni celle de ma sœur !

Je fis mine de réfléchir.

Est-ce que vous travaillez Mme Mc Cluskey ?

Non je suis femme au foyer

Bien . . . dans ce cas, j’accepte que Sarah puisse continuer sa scolarité chez nous . . .

OH merci . . .

Mais à une condition . . .

Laquelle ?

Que vous vous formiez aussi chez nous à être une éducatrice irréprochable et intraitable . . . comme l’est votre sœur!

Sur ce, la sonnerie retentit.

Je me tournai vers Sarah :

Allez en cours petite péronnelle, nous reparleront de votre fourberie plus tard !

Sarah ne demanda pas son reste et partit en cours.

Alors . . . Marion, que décidez-vous ?

Marion Mc Cluskey était sur les chardons ardents. Elle était intiment convaincue que Sarah avait besoin de discipline mais de là à accepter mon offre, il y avait un pas . . . !

Mais elle se décida à sauter le pas pour le bien de sa fille.

J’accepte Madame Marx .

Bien ! Vous ne pouviez pas le savoir, mais pour les employés de l’école, c’est toujours Madame ou Madame la Directrice ! De plus je dois vous préciser que la discipline et la rigueur qui s’impose à nos élèves s’impose aussi aux employés ! La seule différence, c’est que je ne vous punirai pas devant une élève pour sauvegarder votre autorité !

Marion déglutit, mais ne dit rien.

Bien, nous allons d’ailleurs commencer par une punition afin de sanctionner des années de laxisme et vous donner un aperçu de ce qui vous attend si vous ne prenez pas vos responsabilités à cœur ! . . . déshabillez-vous !

Nue, madame ?, demanda Marion, visiblement choquée.

Bien entendu ! les punitions ne s’appliquent pas autrement !

Madame la Directrice, je suis catholique pratiquante . . . je pourrai relever simplement ma jupe . . .

Totalement nue Marion !

Marion se leva et enleva avec réticence sa veste dévoilant un chemisier blanc.

Elle enleva ensuite ses chaussures puis sa jupe qui tomba a ses pieds, dévoilant ses jambes gainées de bas couleur chair. Ses cuisses étaient en effet charnues, mais agréables à regarder.

Elle enleva ses bas, libérant ses jambes et sa culotte blanche de grand-mère !

Elle enleva son chemisier, dévoilant un soutien-gorge assortit à la culotte, mais dénudant un ventre encore plat !

Puis vint le plus difficile : elle dégrafa son soutien-gorge, libérant 2 superbes seins lourds aux larges aréoles roses et aux grosses tétines, puis sa culotte, exhibant une chatte recouverte d’une toison rousse abondante mais qui laissait deviner des lèvres proéminentes et un cul aux fesses charnues. Un corps aux appâts de salope en puissance qu’il fallait aider à s’épanouir !

Marion se couvrit pudiquement  les seins d’une main et le sexe de l’autre !

Vous êtes encore une superbe femelle, Marion, pour votre âge !, lui lançais-je. Monsieur Mc Cluskey ne doit pas s’ennuyer !

Elle rougit jusqu’aux oreilles.

Parfait ! Mains contre le mur, à l’équerre, cuisses bien écartées !

Marion se dirigeât vers le mur face au bureau, posa ses mains dessus puis recula pour  pouvoir se baisser et se mettre à l’équerre. Ravalant un sanglot, elle écarta les cuisses, consciente qu’elle m’exposait sa chatte.

Je me levai et pris paddle dans un tiroir de mon bureau. Un paddle un peu spécial, bien épais, couvert de gros piquots, que je coinçais sous mon bras droit.

Je pris position à côté de la mère de Sarah et pris ses fesses à pleines mains, les malaxant, les triturant, les écartant pour dévoiler la raie et la pastille rose et la vulve offerte.

Comme vous le voyez Marion, avant d’administrer une punition, il faut repérer le terrain, en prendre possession . . .

Je palpai les cuisses sans vergogne, claquant les fesses de temps en temps afin de tester leur élasticité.

Je repris ensuite en main le paddle et envoyait le 1er coup en pleines fesses. Comme prévu, le paddle frappa sur la totalité des fesses, les piquots pénétrants bien dans les chairs

Marion hurla de douleur

Un peu douillette !

Je recommençai, prenant le rythme.

Marion hurlait mais gardait la position.

Au bout de 10 coups, le cul était rouge vif, strié de marques par les morsures des piquots. La dame marquait facilement, comme toutes les rousses.

C’était suffisant . . . pour aujourd’hui.

Comme vous devez le savoir Marion, une bonne punition pour être efficace, doit marquer la mémoire, doit faire mal, très mal, mais aussi être humiliante. C’est pour cela que les punitions sont données nues et souvent en public. Mais sur ce dernier point, nous devons déroger pour sauvegarder votre autorité. Que faire pour compenser ?

Je laissai le silence s’installer.

Marion haletait.

Comment humilier une fervente catholique comme vous Marion ?

La mère de Sarah ne répondit pas.

Et bien je sais ! Vous allez me lécher la chatte pour me remercier !

Marion qui avait gardé sa position se releva d’un coup en reculant.

Non Madame ! Je ne peux pas ! C’est trop dégoutant !

Voyez-vous ça ! . . . Mon idée est donc excellente !  . . . Ce n’est pas compliqué Marion . . . ou vous acceptez votre punition . . . ou vous devrez trouver une autre école pour Sarah . . . en espérant qu’elle soit capable de gérer ses perversions !

Marion blêmit.

Oh Madame, je vous en prie . . .

Vous souhaitez peut-être que je convie en plus au spectacle certains de vos collègues . . .

Non, Non Madame . . .

Elle s’avança enfin.

Je laissai tomber ma jupe, dévoilant ma chatte nue.

Elle s’agenouilla devant moi, tête à hauteur de ma moule.

Elle ne se décidait pas à attaquer. Je n’en pouvais plus.

Je la saisi à 2 mains par la tête et lui plaqua le visage sur ma chatte lui frottant la bouche contre mes lèvres et mon clito

Bouffe salope !

Elle se mit enfin à lécher et sucer le clito

Pour une 1ere ce n’était pas trop mal

Excitée, je jouie très vite sur son visage.

Je la libérai et remis ma jupe.

Parfait Marion . . . vous léchez comme une gouine  . . . j ‘espère que vous avez bien honte de vous !

Oui Madame, oui

 

Bien, nous allons donc vous mettre en tenue pour votre prise de poste

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: le dressage - Communauté : Soumissions féminines
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