Chapitre 1 : Laura est « conditionnée » par sa colocataire

« Je vais corriger cette petite garce! »

Monique était furieuse.

Elle était assise à son bureau, en train de souder une carte de circuit imprimé.

Elle bouillonnait comme du métal liquide !

Son année de lycée avait été très difficile. Monique avait enduré toutes les insultes de Laura Leigh sans broncher. Cependant, la semaine dernière, la « petite pute » avait eu le culot de flirter avec le petit ami de Monique sous son propre nez ! Alors que Monique savait que Laura n’aimait même pas les blacks ! C’était juste pour lui pourrir la vie ! Et son copain avait donné dans le panneau ! Pour une petite bourgeoise blondasse aux seins de fillette ! Alors qu’il avait sous la main une sculpturale black aux fesses charnues et à la poitrine de vraie femme.

Eh bien, Monique allait enseigner à cette petite chienne une leçon. Une leçon très importante.

Monique posa un couvercle sur le dispositif qu’elle venait de terminer et le glissa sous le lit de Laura.

Cela faisait 3 semaines qu’elle essayait de coincer « la princesse de glace » ! Elle avait même accroché une caméra dans la chambre pour l’espionner. Mais Laura n’était pas seulement une princesse de glace, elle était la personne la plus chiante de la planète !

« Eh bien peut-être la petite Laura avait juste besoin d'un coup de pouce dans la bonne direction . . . c'est-à-dire la mauvaise ! », pensa Monique en finissant de cacher l’appareil.

Monique pouffa de rire.

« Si mon plan fonctionne, la petite pute ne volera plus jamais le mec d’une autre fille . . . plus jamais »

Plus tard dans la nuit, Monique était couchée dans son lit, la tête cachée sous les couvertures. Grace à son IPod, elle activa  la boîte noire cachée sous le lit.

Laura aussi était couchée. Elle avait sur elle une culotte en coton et un long T-shirt qui pendait jusqu’à mi cuisses. Après s’être endormie, sa respiration devint régulière. Un peu de lumière rouge brillait sous son lit. Et à une fréquence si basse que seul un animal devait pouvoir l’entendre, et à une longueur d'onde parfaitement adaptée au cycle de sommeil de Laura un message enregistré a été diffusé.

"Laura Leigh, quand tu te réveilleras, tu seras obsédée par les petites culottes des filles, les culottes pleines, les culottes sexy, les culottes de toutes les couleurs et toutes les tailles. Penser à une petite culotte, entendre le mot culotte, te feront mouiller de plaisir! En pensant aux petites culottes tu penseras aux chattes des filles. Quand tu te réveilleras, tu auras envie de sentir une culotte. L’odeur de la chatte, de la mouille et de la pisse de fille t’excitera. Ce parfum te donneras envie de te masturber et de jouir comme une salope. Dès que tu verras une culotte, tu auras envie de la renifler, surtout si c’est celle d’une autre fille.".

Le message se répétait en boucle et s’imprégnait dans son cerveau.

«Oh oui - oh oui," gémit Laura, ses mains glissant peu à peu dans sa petite culotte.

Lorsque ses mains touchèrent sa vulve et commencèrent à les caresser, Laura se réveilla en sursaut.

« Que suis-je en train de faire? ", se demanda-t-elle.

Elle était toute chaude et un doux élancement émanait de sa chatte humide.

« De quoi je rêvai ? ». Elle ne se souvenait plus.

Excitée, elle ne put se retenir de tendre la main et de commencer à masser les lèvres gonflées de sa chatte tout en pensant à son idole habituelle : Brad Pitt. Mais il n'y eu pas que Brad cette fois, Angelina Jolie lui vint à l’esprit. Et bientôt il n’y avait eu plus qu’Angelina.

Dieu! Je suis si chaude! Laura pensait, en caressant sa chatte avec 2 doigts.

Dans ses fantasmes, Angelina poussait Laura dans le lit, et se mit à la chevaucher, son entrejambe à quelques centimètres de son visage. Alors que Laura inhalait le parfum de son amante dans son fantasme, dans la réalité, elle renifla son doigt mouillé en inspirant profondément.

"Mmmmmmmmm..." Laura gémit et massa son sexe de plus belle.

«Que fais-je ??! ».

Laura enleva sa main de son visage.

« C’est dégoûtant !».

Ses fantasmes s’évaporèrent, la laissant mortifiée de honte.

Elle sortit de son lit et prit une douche dans l’espoir de mettre sa libido sous contrôle.

Après la douche, Laura revint dans sa chambre et a remarqua une culotte que Monique avait laissé sur le dessus du tiroir de la commode.

« Qu’elle souillon ! Je dois toujours ramasser après elle ! », murmura-t-elle en ramassant la culotte pour la ranger.

Au contact du vêtement soyeux, Laura éprouva un désir irrésistible de le sentir, tout en étant consciente que c’était anormal.

"Eh bien, je dois m’assurer qu'il propre», essaya-t-elle de se dire. Comme elle sentit l’odeur du propre, Laura ouvrit le tiroir de lingerie de Monique et rangea le vêtement dedans. Le tiroir était rempli de culottes. Laura les caressa doucement.

« Mon Dieu, j’ai besoin d’une bonne bite! », pensa Laura en sentant sa chatte s’humidifier.

«Ca ne peut pas être les culottes. . .. Ça doit être de mon rêve, mais je n’ai jamais eu de fantasmes comme ça avant. »

Du coin de l'œil, elle vit les culottes, shorts sales de Monique, et son jogging matinal froissés sur le sol carrelé.

«Hmmm. . . . Peut-être que je devrais nettoyer ça. Laura se pencha pour ramasser les vêtements froissés sur le sol. Cependant, au lieu de les ramasser comme elle l'avait prévu, Laura se retrouva agenouillée.

«Que fais-je, oh mon dieu, c’est tellement sale ! »

Elle n’avait plus aucune excuse à se trouver. Elle était agenouillée, son visage reniflant les shorts de sa colocataire jusqu'à trouver l’odeur de son entrejambe. Elle inspira l'odeur de sa colocataire profondément, appréciant les parfums intimes de Monique : sa sueur, ses sécrétions intimes.

"Oh mon Dieu, qu’est-ce que ça sent bon !," haleta Laura.

Laura laissa tomber la serviette qu’elle avait mise sur son corps humide en sortant de la douche. Elle passa ses mains sur ses seins, tordit ses mamelons et se mit à masser son clitoris.

Maintes et maintes fois Laura se répéta, «c’est mal ... c’est mal. Oh mon Dieu! Je ne peux pas faire cela. "

Mais son corps brûlait des sensations du désir. Elle fourra un doigt, puis deux dans sa vulve déjà trempée tout en plaquant son visage dans les culottes sales de Monique. Son visage plaqué fermement sur les vêtements sales et froissés, ses cuisses fines et gracieuses largement écartées, son cul bien ferme haut dans les airs, elle se fouraillait la chatte en massant son clitoris avec énergie.

"Oh mon Dieu! Oh putain! Oh putain . . . ma chatte . . . . ma chatte !"

La blonde se mit a pleurer en plantant 3 doigts dans sa vulve.

"Oh Oh ohhhhh - eeeeoooooowwwwww !!!" Ses cris résonnaient sur les murs en parpaings. Plusieurs étudiantes passant dans le dortoir des filles regardèrent vers sa chambre et se demandaient avec envie avec qui Laura ou Monique baisaient ainsi à mort.

"Ahhh ... Ouiiiiiiiii !! Ouuuuiiiiiiii!".

Laura n’avait jamais atteint un tel paroxysme dans la jouissance. L’orgasme la submergea.

Oh! Oh! Putain. .  .. Putain !! J’ai joui comme une putain !! "

La jeune fille tira la langue et se mit à lécher le fonds des culottes. Le nez enfoui dans les sous-vêtements de sa colocataire, elle continuait à faire entrer et sortir les doigts de sa chatte béante.

Monique faisait semblant de dormir du sommeil du juste. Mais la caméra vidéo enregistrait les actions de Laura.

« Je ne peux pas croire à ce que j’ai fait. Je suis devenue une sorte de perverse démente et malade. », se dit Laura, reprenant ses esprits.

Elle regarda l'horloge.

« Oh merde! Je vais être en retard pour la classe. »

Cela l’empêcha de penser plus loin. Elle dû se préparer.

Elle se lava les mains et le visage dans les toilettes du dortoir. Elle n’avait pas le temps de prendre une autre douche. Elle posa son pied droit sur le dessus de l'évier, puis poussa ses hanches vers l'avant jusqu'à ce qu'elle soit en mesure de placer son sexe au-dessus de l'évier. Lorsque Laura tourna le robinet et éclaboussa sa chatte, elle sentit un frisson de plaisir alors que l'eau fraîche frappait son sexe gonflé et durci.

Alors que Laura se regarda dans le miroir, elle fut surprise par l'image de salope blonde qu’il lui renvoya. Cette salope avait son visage, ses petits seins, ses petits tétons gonflés et durs, son clitoris dressé comme un petit coq sur ses ergots, et ses lèvres intérieures largement ouvertes. Jamais elle n’avait été dans un tel état !

L'image dans le miroir remonta à nouveaux ses doigts dans les replis de son sexe la tête courbée vers l'arrière par le plaisir. La fille dans le miroir était une salope en rut, ce ne pouvait pas être elle ! Elle était une gentille fille. Une bonne fille. Les larmes coulèrent de ses yeux.

Après avoir de nouveau joui, elle prit la serviette et essuya soigneusement les preuves de ses dépravations. Peu importe ce qui venait de lui arriver, elle ne pouvait pas laisser Monique découvrir ce qu'elle avait fait.

Sa colocataire dormait visiblement encore

Laura s’habilla, enfilant inconsciemment la culotte de Monique, un soutien-gorge, une mini-jupe rose, un maillot en stretch blanc, et des souliers roses. Laura attrapa son sac de livres, quitta le dortoir, et commença à marcher vers son école. Sur le chemin, elle porta sa main à son nez et inhala l’odeur persistante de sa chatte.

"Mmmm! Je me sens royalement baisée!"

Mais elle ne savait pas à quel point elle venait de se faire baiser !