Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 21:06

Chapitre 8 : Monique resserre son emprise sur Laura

 

C’est une Laura désemparée qui rentra dans sa chambre. Elle ouvrit la porte de sa chambre dans un état échevelé pour trouver Monique en train de lire à son bureau. Elle courut vers sa colocataire, les larmes commencèrent à tomber de ses yeux et s’effondra à ses pieds. Mettant ses bras autour des jambes de la belle noire, elle éclata en sanglots.

« Mon dieu ! Qu’il y a-t-il? », demanda Monique à la jeune fille en pleurs.

« Oh Monique, la journée a été horrible, tout simplement horrible. Ce que tu as fait pour moi ce matin m’a aidée pendant un certain temps, mais après ma chatte... ». Laura sanglotait et avait du mal à trouver les mots justes, « ma chatte a mouillé et m'a fait faire les choses les plus horribles. »

Monique posa son livre, et essaya de calmer la jeune fille hystérique.

« Tout va bien aller Laura. Je vais trouver un remède pour toi », dit  Monique en pointant le gros livre de psychologie posé sur son bureau.

« Tu vois, ce que je viens de lire confirme que si avec mes premiers traitements tu n’as pas jouis aujourd'hui, tu devrais pouvoir guérir. Par contre, si tu as jouis, c’est le signe que ta perversion se renforce. Je pense que tu es un peu comme l'un des chiens de Pavlov. C’est le même principe de fonctionnement, mais avec ta chatte ! ».

Avec ses propos, Monique semblait rassurer sa colocataire apeurée, même si elle se doutait déjà que Laura avait jouit comme une malade. La bimbo blonde sentait en effet comme une chienne en chaleur.

« Tu n’as pas jouis ma salope, hein ? ».

Laura éclata de plus belle en sanglots aux propos de Monique. Non seulement elle avait joui, mais elle avait joui comme un folle et il semblait que chaque jouissance était plus longue et plus puissante que la précédente.

« Oui », dit-elle en sanglotant. « Je n’ai pas pu m’en empêcher. »

Monique dégagea des bras de Laura la regarda dans les yeux.

« Dans ce cas, je crains que nous allons devoir renforcer ton traitement avant que tes perversions ne deviennent intraitable ! »

Laura était effondrée par cette nouvelle, mais elle détestait agir comme une trainée.

« N’importe quoi », chuchota-t-elle. «S’il te plaît, aide-moi à retrouver le contrôle de mon corps. »

« J’ai remarqué que certaines des choses que nous faisions ne semblent pas fonctionner comme je l'avais prévu. Donc, j’ai appelé une amie à moi qui est une lesbienne. Elle n’est pas juste une lesbienne en fait. On peut dire qu'elle est une experte lesbienne, parce qu'elle a traitée des femmes qu'elle garde comme des esclaves », dit Monique.

Pour une raison que Laura ne pouvait pas expliquer, quand elle entendit le mot « esclave », sa chatte lui lança une onde de plaisir.

« Je lui ai parlé de ton problème et elle a rit. Elle a dit qu'elle pensait que tu étais une soumise. Puis, quand je lui ai montré les enregistrements de toi en train de renifler mes culottes, elle a confirmée qu'il fallait être une salope soumise et malade pour le faire. ». Monique semblait sérieuse en parlant, mais elle avait de la peine à ne pas éclater de rire.

Laura la regarda sans sembler comprendre.

« Mais qu’est-ce qu’une soumise ? », demanda t-elle.

« Mais tu ne connais rien au sexe ma fille ! », constata Monique en riant. Laura rougit de son inexpérience. « Une soumise est une lesbienne qui aime être commandée, humiliée et punie »

Laura suffoqua sous le choc et vira au pourpre. Elle repensa à ses réactions avec Beth, Mme Adams, ou Monique, à la fessée qu’elle avait reçue et qui l’avait excitée.

«Oh, mon Dieu ! S’il te plaît ne me laisse pas être une soumise! », pensa t-elle, horrifiée qu'il était peut-être déjà trop tard pour elle. Non, elle ne pouvait pas admettre cette révélation de Monique. Elle s’était toujours sentie supérieure à tout le monde dans le passé.

« Donc, mon amie Latanya pense que je dois te traiter comme une esclave et voir si tu y trouve du plaisir », déclara Monique, qui évaluait en même temps les réactions de Laura sur son visage.

«Je sais ce que tu penses ma fille. J’ai dit la même chose à Latanya. Ce n’est pas possible ! Laura n’est pas une soumise ! Elle ne jouit pas à l’idée d’être une esclave ! Ce sont des malades pervers qui fantasment sur des choses comme ça! », dit la noire pour rassurer Laura.

« Mais bon », reprit-elle, « si tu es une soumise, tu vas finir par appartenir à quelqu'un de toute façon. Ce serait mieux pour toi d’être fixée ! Elle a dit qu'il ne faudrait pas longtemps pour savoir si tu es soumise ou pas de toute façon. Alors, tu es prête à commencer tes tests? », demanda Monique.

Laura baissa les yeux et rougit.

«Oui», répondit-elle humblement.

« Oui, Mlle Monique! », la corrigea la jeune noire.

« Oui... Mlle Monique », a répondu Laura, d'une voix tremblante de son impuissance.

« Bon, alors déshabille-toi, comme nous en avons convenu. », ordonna Monique.

D'une certaine manière, Laura était heureuse d’enlever ses vêtements qui puaient, mais elle savait qu’elle allait ainsi exposer les effets des activités de la journée à sa colocataire. Elle essaya de les cacher, mais entre le numéro de téléphone sur sa poitrine, son sexe rouge, enflé et bouffi, et les marques rose de la règle sur son cul, elle n’avait tout simplement pas assez de mains pour tout cacher.

« Mon dieu ! Mais tu es peut-être bien une soumise après tout », s’exclama Monique, en regardant l'œuvre de Mme Adams. La jeune noire passa la main sur cul rose de Laura pour voir s’il était encore chaud.

«Tu as apprécié ta correction, salope? », a-t-elle chuchoté à l'oreille de Laura.

Un profond gémissement impuissant s’échappa de l'intérieur de la gorge de Laura.

« Non », mentit-elle, alors qu'elle tendait son cul en arrière pour répondre à la caresse de Monique.

« Bien ! Je vais te donner tes corvées à faire, pendant que je vais à la bibliothèque. Pour me documenter sur la soumission féminine et ses traitements. »

Intérieurement Monique jubilait.

«Ha-ha, en fait, j’ai rendez-vous avec la plus grosse bite du campus salope ! », pensa t-elle en son fort intérieur

Monique alluma l'enregistreur vidéo.

«D'abord, tu enregistre ton journal et tu dis devant la caméra toutes les saloperies que tu as faite pendant la journée. Et je dis bien tout ! En détail ! »

Monique souriait.

« Puis, quand tu auras fini, tu me nettoie cette putain de chambre ! Ça commence à sentir la moule à plein nez !», a déclaré Monique, en fronçant les sourcils et regardant, accusatrice, Laura.

« Ensuite, je veux que tu laves toutes les culottes sales dans le panier. Puisque tu aimes tellement les renifler, je veux que tu sentes chaque culotte avant de la mettre de la laver. Puis, sur une feuille de papier, tu écriras quelle culotte tu as préférée et pourquoi. Ensuite, tu écriras pourquoi tu aimes tant mes culottes, l’odeur de ma chatte, de ma mouille, de mon cul. Je veux savoir pourquoi l’odeur de ma merde plait tant à une chienne comme toi ! Ah oui, et avant de laver les culottes, tu feras un pré-nettoyage des tâches sales avec ta langue ! ».

La belle noire se délectait d’inventer les plus sales humiliations.

« Ensuite, je veux que tu notes les culotte sales de zéro à dix. Je t-avertie à l'avance salope, si mes culottes n’obtiennent pas les meilleures notes, tu vas faire connaissance avec les culs et les chattes des autres filles du dortoir ! »

Laura était effarée.

«Oh s’il te plaît », supplia Laura, en essayant de se convaincre de ne pas faire les choses dégoûtantes que lui demandait Monique. Cependant, sa moule de plus en plus juteuse avait d’autres envies. Elle commençait à s’ouvrir et à couler de plaisir.

« Oui, Mlle Monique», répondit-elle docilement.

Monique se dirigea vers la commode et sortit quelques vêtements et  une paire de souliers hauts talons.

« Maintenant, pour renforcer le traitement, tu seras aussi ma femme de chambre. Regarde, j’ai compilé une collection de vêtements des filles du dortoir. ».

Monique enfila une très grande culotte de dentelle blanche autour de la taille de Laura.

«Toute femme de ménage a besoin d'un tablier », dit-elle en souriant.

Ensuite, elle plaça une petite culotte satinée noire sur la tête de Laura.

« Un joli petit bonnet pour ta tête. La tenue de la parfaite femme de ménage lesbienne et salope ! », commenta Monique en riant.

« Mets ces souliers Laura. Toutes les filles portent des talons quand elles nettoient. »

Laura repensa à la femme de chambre de sa famille qui portait un uniforme mais n’avait pas de hauts talons. «Eh bien, Rosa était probablement trop grosse pour les talons toute façon », pensa Laura.

La jeune blonde mis les hauts talons, et prit conscience que les talons faisaient bien 10 cm !

Monique mit une cassette dans le magnétoscope et l'alluma. Comme Laura terminait d'enfiler les talons, elle regarda avec horreur ce que passait le magnétoscope : c’était elle! Elle était sur le sol avec son nez dans les culottes salles de Monique!

"Ok, je vais devoir y aller maintenant salope. Si tu en as envie, tu peux bien entendu jouer avec ta chatte. Mais rappelez-toi que chaque orgasme que tu auras renforcera tes tendances de lesbiennes et de salope, peut-être de soumise et en tout cas ruinera le travail acharné que j’ai fait sur toi ! Cela risque de prendre des semaines pour corriger les dégâts et avec des traitements de plus en plus durs ! . . . si tu sens que tes perversions risquent de te faire perdre ton contrôle, il te suffit de te regarder à la télé en train de renifler mes culottes puantes pour te motiver. . . . Alors, souviens-toi, pas de jouissance à moins que tu ne veuille devenir bien sûr une salope lesbienne totale », dit Monique en fermant la porte derrière elle, laissant Laura abattue et confuse.

Chancelante sur ses hauts talons, la jeune blonde se regarda à nouveau dans le miroir.

La créature pervertie qu'elle vit ne pouvait pas être elle! Pourtant, elle était là ! Anciennement Mme Reine des glaces, jolie et snob jeune fille de bonne famille et maintenant . . . . princesse Panty !. Même la modeste femme de ménage mexicaine qui servait à la maison de sa famille n’était pas habillée dans une tenue aussi ridicule et humiliante

Mais le pire, c’est que Laura adorait ça ! Elle y aspirait ! Ca la faisait mouiller !

« Oh mon Dieu, qu'est-ce qui m’arrive? Pourquoi mon corps me fait ça? », se demanda Laura comme elle écartait la culotte qui lui servait de tablier de fortune pour examiner son sexe.

« Ohh, ma pauvre chatte », gémit Laura, rouge, gonflée et déjà suintante. L'aspiration de la pompe avait non seulement aspirée les jus de Laura, mais aussi gonflée les lèvres extérieures de sa chatte à deux fois leur taille normale. Son clitoris et ses lèvres intérieures étaient également enflés et gonflés. Son clitoris était devenu si grand; qu’il restait sorti et rigide.

Ses yeux passèrent à seins nus.

«Je n’ai que la poitrine d'une toute petite fille, mais j’ai la chatte d'une femme »

«Non, ce ne est pas vrai. Monique me dit que je dois me dire la vérité sans me mentir! J’ai la chatte d’une pute », pensa-t-elle, alors que sa main droite glissa naturellement vers le bas, et commença à frotter ses lèvres douloureuses.

L'effet fut électrique! Laura dû se retenir de jouir accidentellement. Elle écarta ses lèvres intimes pour regarder la mouille s’écouler.

« Une chatte juteuse; une chatte qui est faite pour se faire baiser », pensa-t-elle.

« Mon Dieu! Je dois avoir l’air d’une salope narcissique ! », pensa Laura en se rappelant que la caméra enregistrait ses actions.

Puis Laura dû se soumettre à l'humiliation supplémentaire de revivre les événements de la journée en raconta chacun d'eux dans le détail devant la caméra vidéo.

Elle ne put s’en empêcher . . . . elle commença à frotta sa chatte et reprit.

Elle voulait désespérément ne pas jouir!

Son clitoris lui faisait mal tellement elle avait envie. Laura pleurait, mais elle devait être forte. Elle se souvenait de l'avertissement de Monique : «Si tu joui trop, tu vas devenir une salope lesbienne à vie ! ».

Afin de ne pas céder à la tentation, Laura commença ses corvées. Elle nettoya les toilettes. Elle se déplaça dans la chambre sur ses hauts talons.

En effectuant sa tâche, la jeune blonde s’aperçue peu à peu que les tâches humiliantes qu’elle effectuait dans sa tenue obscène prenait un nouveau sens . . .  le nettoyage des toilettes et de la chambre devenait sexuellement stimulant !

Tout en travaillant, l’esprit de Laura vagabonda.

Dans son fantasme, elle était la femme de chambre de Melle Monique. La jeune noire l’appelait Fifi.

«Allez Fifi, garde tes jambes bien droites et plie la taille lorsque tu décroche mes vêtements! . .  .Tu vas aller au coin Fifi . . . . Je vais devoir te mettre sur mes genoux et te fesser ton cul de petite fille Fifi. . . . Étends tes jambes chienne, lorsque tu es sur mes genoux, je veux voir ta chatte juteuse. . . . . Regarde-toi dans le miroir Fifii, regarde quelle salope dépravée tu es devenue. »

Puis, quand elle se regarda dans le miroir, elle mouilla de plus belle. Les hauts talons la grandissaient et accentuaient la courbure de sa chute de rein. Alors que la culotte qu'elle portait sur la tête la faisait ressembler à une bimbo muette, son cul était joliment mais en valeur par le tablier de fortune.

Elle a également constaté que sa culotte-tablier était bien pratique pour essuyer le flux constant de jus qui s’écoulait de sa chatte et coulait sur ses cuisses, menaçant de ruiner ses nouveaux talons.

Soudain, elle s’entendit jouir sur la vidéo, le visage enfoui dans les culottes de sa colocataire ce qui focalisa son attention. Elle savait qu'elle devrait être dégoûtée. Mais l'idée même qu'elle reniflait les culottes malodorantes de sa colocataire en fait l’excitait !

Frénétiquement, elle chercha les culottes sales d'hier.

«Je me demande si elles sont dans ce tas de culottes sur le plancher? », pensa t-elle.

Puis, elle se reprit.

«Après cela, peut-être. . .. Je dois nettoyer la chambre d'abord, puis les culottes de Monique », pensa Laura.

Mais elle ne pouvait pas attendre! Sa chatte hurlait son envie!

Laura se maudit mentalement.

Elle a rapidement réuni toutes les culottes et chemises de nuit souillées de Monique dans ses bras. Elle essaya de résister, elle a essayé d'être forte.

« Peut-être juste un peu . . .. Qu’il y a-t-il de mal ? Monique a même dit que je devais les sentir », se dit Laura en penchant la tête dans les culottes et en inhalant l'arôme des vêtements de dentelle de Monique.

Elle ne pouvait pas s’en empêcher! Peut-être qu'elle pourrait les renifler un tout petit peu, puis terminer le nettoyage des WC ?

Avec précaution, elle posa la lingerie souillée sur lit propre de Monique, puis s’agenouilla sur le sol à côté du lit.

« Je vais aller de l'avant et écrire ce que je pense de chacune de ces culottes. Après tout, elle me l’a demandé. », pensa Laura.

Laura prit un stylo et un morceau de papier. A genoux devant le lit à nouveau, elle commença à évaluer chaque culotte comme si c’était un bon vin.

Culotte # 1: satinée avec des lignes verticales et une légère odeur de sexe. J’imagine que vous devez avoir porté cette culotte en classe cette semaine. Six.

Culotte # 2: en satin noir avec lacet devant. Elle a un léger parfum de sexe et un parfum délicat. J’imagine que vous portiez cette culotte à un rendez-vous en raison de l'odeur du parfum. six.

Culotte # 3: satinée, couleur pêche. Cette culotte pu le sexe. J’ai aussi décelé une odeur étrangère et en regardant de plus près je vois qu'il y a une tache séchée dans l'entrejambe. Je suppose que vous avez eu des relations sexuelles avec votre petit ami lorsque vous la portiez. Si mes culottes avaient été tachées ainsi, je n’aurais laissée personne les voir, et encore moins les déguster, comme vous m’obligez à le faire. Je ne peux pas croire à quel point elle m’excite. Huit.

Les joues de Laura lui brûlaient. «Pourquoi je me sens si jalouse de son petit ami? », se demandait-elle.

Culotte # 4: coton blanc. Celle-ci à l'odeur la plus forte jusqu'ici. Elle est encore humide au toucher et à l'odeur forte de la sueur et du sexe. Il n'y a pas d'odeur de petit ami, mais l'odeur de votre excitation est encore plus forte que la culotte d’avant. J’imagine que vous avez fait de l’exercice puis que vous vous êtes masturbée pendant que vous la portiez encore. Le goût est légèrement salé et extrêmement renfermé. Je ne pense pas que je peux me résoudre à la laver. Une partie de moi veut la garder pour plus tard. Dix.

«Oh mon Dieu, je suis folle! », pensa Laura.

«Si cette vidéo est vue, ma réputation sera ruinée à jamais ». La pauvre blonde aurait aimé arrêter, mais elle ne le pouvait pas.  Silencieusement, elle se pencha et enfouit son visage dans sa culotte préférée.

Elle a lécha l'entrejambe et a commencé à se masturber sans s’en rendre compte.

Alors qu’elle caressait sa chatte surchauffée, elle se rappela les événements de la nuit précédente. Dans son esprit, elle pouvait entendre la jeune noire commander : «Allez! Frotte tes petits seins de chienne. Baise cette chatte blanche trempée pour moi ! »

Laura sentait un nouvel orgasme venir. Elle ne pouvait pas arrêter! Elle oublia ses instructions et que  la caméra vidéo enregistrait chaqu’une de ses actions. Toute l'attention de la jeune fille était focalisée sur l'odeur et le goût de la culotte.

«Je suis une soumise », pensa-t-elle, alors qu’elle commençait à caresser son clitoris élargit et à tordre vicieusement un petit mamelon.

Tout ce à quoi elle pouvait penser . . . tout ce dont elle se souciait, était de la culotte!

Juste à ce moment, au moment le plus inopportun, on frappa à la porte.

Une voix féminine très grossière retentit.

« Ouvre cette porte ! On sait que tu es là!"

«J’y suis presque », se dit Laura en frottant son clitoris encore plus vite

« Ouvre cette porte ! Tu as jusqu'à 3, salope Laura ! »

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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Commentaires

Hum hum des nouvelles humiliations derrière cette porte ?
J'adore.
commentaire n° :1 posté par : Rudy le: 20/02/2015 à 13h15

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